La métamorphose de Ghislaine - Partie 4 - histoire érotique

Après Noël, ce fut le nouvel an qui pointa son nez. Et comble du malheur, Bruno devait s'absenter pour fêter le passage à la nouvelle année avec des amis.
Le feu d'artifice espèré par Ghislaine tomba à l'eau.

Et ce fut encore pire lorsque Jacky lui annonça une "grande nouvelle".

- J'ai invité La Poire pour le réveillon.

- Il n'a nulle part d'autres où aller ?

- Sa famille peut pas la blairer...mais il vient pas tout seul...

Ghislaine voulut demanda des précisions.

- Ce petit salaud a réussit à emballer la Patou du PMU

- Il a une copine alors ?

- Pas vraiment...c'est surtout pour essayer de conclure quoi...c'est ptet enfin son soir...

Gigi lui lança un regard perplexe.

- Bah oui ! Il est le puceau le Poirier, jamais touché une gonzesse de sa vie. On se fout tout le temps de sa gueule à cause de ça...Après, lever la Patricia, c'est pas un exploit mais il l'a travaille depuis un moment. ON va pas lui casser son coup hein ?

- Qu'est-ce que tu manigances ?

- Rien du tout ! J'veux juste aider mon poto...allez ! Ca s'ra bonnard tu verras !

Ghislaine prit le temps de réfléchir un peu.

- D'accord mais j'invite Simone à venir aussi

- Simone ??? Mais elle est conne comme un balai !

Un ange passa...Entendre Jacques insulter quelqu'un de "con" laissait toujours un sentiment disons...paradoxal...

- Bon ok, elle peut venir. Après tout, s'il fait des petits à l'une ou à l'autre, ils nous en garderons un...

Simone accepta l'invitation de Gigi avec joie, elle aussi était seule.

Le jour J arriva. Ghislaine avait mis les petits plats dans les grands, petits-fours, foie gras, huîtres et tout le toutim.

Les invités arrivèrent, tout le monde était sur son 31, même Jacques avait fait un effort. La tenue de Patricia penchait vers la vulgarité.
Grande blonde, mince, elle portait une jupe flottante horriblement courte, rien à avoir avec les tenues classes de Gigi et Simone. De plus, la Patou était d'une laideur repoussante...

De nature démonstrative, elle parlait et riait très fort...une sorte de Jacky au féminin en somme...
Elle avait une sacrée réputation dans le quartier et la bienséance ne faisait pas partie de sa panoplie.

Le dîner se déroula comme Ghislaine le redoutait, bruyant et arrosé de pinard.

Lorsque minuit sonna, tout le monde s'embrassa, Patricia y mit autant d'enthousiasme que les 4 autres réunis.

Gigi servit le champagne et les convives trinquérent.

Ce fut le moment choisi par la grande blonde pour se mettre en scène...

Elle se leva, coupe à la main, et se mit à chantonner, espérant entraîner les autres...personne ne bougea...mais Patou ne s'avoua pas vaincue pour autant.
Elle entreprit une danse endiablée, tournoyant sur elle-même.
L'air gonfla sa jupe et ses longues jambes recouvertes de bas noirs se dévoilerent.
Fidèle à sa réputation, la traînée ne portait rien d'autres en dessous.
Son mont de Vénus, à la pilosité digne d'une barbe de 3 jours, apparut aux yeux de l'assistance. Il était barré de sa petite fente serrée, pourtant si souvent pourfendue par tant de canailles.

- Allez les filles ! Venez danser !

Les deux amies ne suivirent pas...

Patricia continua son ballet, montrant sa chatte et son cul à qui mieux-mieux.

Jacky souriait bêtement alors que Bernard était circonspect.

Cela dura un moment jusqu'à ce que La Poire décida de mettre un terme au spectacle.

- Nous allons y aller...il se fait tard.

Patou posa un doigt sur les lèvres de son cavalier du soir.

- Toi...t'as envie de me sauter !

Poirier entraîna Patricia vers la sortie, attrapant la veste en cuir de la gogo danseuse au passage.

L'air désolé, il remercia la maîtresse de maison pour la soirée et partit, la Patricia accrochée à lui, qui envoyait des baisers volants aux autres.

Ghislaine explosa.

- Mais vous avez vu ça ? Bon sang !

Simone la réconforta.

- Calmes toi. Ils sont partis.

Jacques embraya.

- Mais oui ! Machine a raison. On va pas en faire un cake...on s'est bien marrés !

- Ça t'as plus pervers !

- Oh, c'est pas la première fois que la Patou soulève ses gounelles...Et puis, c'est le problème de Nanard, on en à rien a foutre !

- Pauvre Bernard...J'espère qu'il va s'en sortir avec cette furie...

- Sérieusement ! Tu penses vraiment qu'il va réussir à se la faire ?

- Je ne parles pas de ça ! J'espère juste qu'elle ne lui causera pas plus d'ennuis, c'est tout !

- Te fais pas de bile, il va la jeter chez elle et puis voilà...50 balles qu'il la baisera pas !

- PFFFFF ! Tu es ignoble...

- Mais oui ! Ignoble et crevé aussi...je vais pioncer moi. Foutez pas trop le bordel toutes les deux.

Jacky prit la direction de la chambre et s'y échoua comme une épave laissant les deux femmes blasées par tant de niaiseries.

Simone aida Ghislaine a débarrasser.

- Veux-tu que je restes un peu ?

- S'il te plaît oui. On pourra peut-être rattraper ce désastre en papotant entre filles.

Elles s'installèrent dans le canapé avec une bouteille de champagne.
Ghislaine en avait tellement gros sur la patate qu'elle se laissa aller aux confidences.

Elle raconta à son amie ses ébats avec Bruno ainsi que sa baise crapuleuse avec son jeune protégé de Noël du magasin.

- Eh ben ! J'avais bien remarqué du changement chez toi mais je ne pensais pas à ça...

- Et toi ? Où en es-tu ?

- Depuis le départ de Paulo, c'est le néant total...

- Tu ne rencontres personne ?

- Je ne coiffes que des femmes...dur, dur...il est gentil Bernard ?

- Quoi ??? Euh oui...il est très gentil mais un peu spécial.

- Je le trouves attendrissant

- Et puceau par dessus le marché !

- Quoi ?

- Oui oui, puceau, tu m'as bien comprise.

- Et l'autre buse ?

- Jacky dit qu'il essaye juste de se la faire...genre fille facile...mais quelle pimbéche ! Moche comme un pou en plus !

Simone bondit du canapé.

- Moi aussi je peux danser comme elle !

Simone se mit à se trémousser à la manière de la Patou provoquant le fou rire de Gigi.

- Pas mal, hein ?

La coiffeuse poussa l'imitation en soulevant sa jupe, dévoilant sa petite culotte de dentelle bleue.

- Tu y mets les formes ! Et pas un poil qui dépasse !

Simone écarta le tissu pour montrer à Ghislaine son pubis bien lisse.

- Épilation totale ma chère ! Fait maison !

- Tu le fais toi-même ?

- Bien sûr ! Pas toi ?

- C'est-à-dire que...

- Montres moi ça

Gigi hésita un court instant puis finit par se dévoiler à sa copine.

- Mon dieu...ma pauvre...tu aurais besoin d'un bon débroussaillage...

En effet, ce n'était pas reluisant...

La touffe de Ghislaine débordait de toutes parts...

- Attends, je peux te débarrasser de tout ça...tu as ce qu'il faut ?

- Je sais pas si c'est le moment ?

- Mais si ! C'est comme une soirée pyjama entre copines, on parle de cul et on s'épile la foufoune !

Ghislaine sourit et se précipita chercher la mousse à raser et le bic de Jacky.

- Tu n'as que ça ?

- Oui...

- Bon...ça fera l'affaire...

Ghislaine présenta sa forêt noire à Simone qui la débarrassa du moindre poil pubien.

- Voilaaaa! Ton Bruno va pas en revenir ! Viens voir comme c'est beau.

Devant le miroir de la salle de bains, Gigi put admirer son sexe fraîchement epilé.

- C'est bien plus appétissant comme ça !

Sur ces mots, Simone baissa sa culotte.

- C'est nous le gang des vieilles chattes rasées !

Elle passa la main sur le minou de Gigi.

- Que fais-tu ?

- Tu n'as jamais joué à touche-pipi avec une nana ? Moi oui...une fois avec une cliente du salon...

- Non...

- Ça te botte ?

Ghislaine se laissa aller, curieuse de découvrir de nouvelles sensations.

- Pourquoi pas ? Mais si tu me racontes ton histoire !

Elle prit la main de Simone pour retourner au salon. En chemin, elle passa un oeil dans la chambre...Jacky ronflait comme un loir.

Elles prirent leurs aises sur le canapé.
Sisi commença à caresser l'intimité de Ghislaine tout en racontant son aventure lesbienne.
Gigi en fit autant, le vagin de Simone était si doux, ses lèvres si charnues...elle perdit rapidement le fil du récit...

Simone stoppa la parlotte et enfonça deux doigts à l'intérieur de Ghislaine et la branla franchement. Gigi se régla sur Simone en lui rendant la pareille.

Les deux vieilles femmes se baisérent mutuellement avec une intensité de plus en plus féroce.
Elles étouffaient leurs gémissements de peur de réveiller Jacky, mais à l'interieur elles hurlaient comme des chiennes.

Simona chuchota.

- Vas-y ! Plus fort !

La partie devint sauvage, les pénetrations devenait quasi douleureuses mais extrêmement divines.
Les deux chattes constéllerent le canapé de gouttes de Cyprine.
Elles atteignirent l'orgasme en même temps, leurs moules trempées autant que leurs doigts de leurs mouilles respectives.

Les deux amies se regardèrent dans les yeux pendant un instant, reprenant leurs souffles puis eclatérent de rire.

Ghislaine raccompagna sa partenaire de crime à la porte. Avant de se quitter, Simone fit un clin d'œil coquin à Gigi qui lui répondit en lui tirant la langue.

Le lendemain matin, Ghislaine fut réveillée par Jacky qui gueulait.

Le bonhomme tenait dans sa main la culotte en dentelle que Simone avait oublié dans la salle de bains.

- Tu portes des trucs comme ça toi ?

- Oui...ça m'arrive...

Jacky en huma l'odeur.

- Tu fouettes ma salope ! Ça, par contre c'est pas nouveau !

Ghislaine lui arracha le tissu des mains

- Tu deviens une vraie femme !

- Pauvre cochon !

- C'est toi la cochonne ! T'as vu ta culotte ? Elle est à moi maintenant !

Jacky s'éloigna en riant comme le triple cocu qu'il s'ignorait être...et le compteur allait continuer de tourner...

A suivre...