J'ai decouverts les portes de l'enfer -2 - histoire érotique

Le soir venu, au dîner, Evelyne s'est assise à côté de moi. Je ne vous pas encore parlé d'elle...Evelyne, je l'avais evidemment vu plusieurs fois auparavant et puis comment ne pas la remarquer ? Elle a une longue chevelure bouclée d'un roux incandescent, difficile de passer à côté !
A premiere vue, Evelyne doit avoir sa petite cinquantaine ,son physique est plutôt agréable, environ 1M65, la silhouette présentant les très légères rondeurs des femmes de son âge encore bien conservée, du genre stocking, femme moderne, toujours habillée en tailleur, sa poitrine serrée dans son habituel chemisier blanc. Ses jambes,que sa jupe laissent entrevoir, sont minces avec de jolies petits mollets bien dessinés, souvent en collants noirs. D'un teint clair, elle est d'une beauté quelconque, ni très belle ni désagréable dirais-je, de petites tâches de rousseurs lui recouvrent le nez, elle a les yeux bleus et ses lèvres ne perdaient jamais l'occasion d'esquisser un joli sourire. Si j'avais déjà decouvert sa sociabilité plus tôt dans la journée, elle possèdait egalement lun sens de l'humour certain et sa bienveillance n'était déjà plus a demontrer. Elle me le prouva une nouvelle fois en engageant la discussion avec moi :

E : "Es tu bien installé ?"

J ( moi) : "Oui la chambre est vraiment bien"

E : " C'est vraiment un bel endroit, nous sommes un peu chez nous ici, c'est l'hôtel où nous descendons toujours quand nous venons"

J (d'une petite voix) : "Ah bon..."

E :" Ne sois pas si timide, ca va aller, c'est vrai que tu es le petit jeune du groupe mais profites en pour faire connaissance avec les autres...d'ailleurs tu vas commencer avec moi, quel âge as tu ?

J : " J'ai 22 ans"

E : " MON DIEU ! Tu as presque l'âge de ma fille, elle en a 24, je pourrais être ta mère ! J'en ai 51, presque 30 de plus que toi, je travaillais déjà dans cette boîte alors que tu n'étais pas né !

J'avais vu juste sur son âge

Je ne su pas trop quoi répondre...elle continua a me poser des questions sur moi,si c'était mon premier job, si j'habitais toujours chez mes parents, si j'avais des frères et soeurs ce genre de choses...mes réponses se limitaient à oui et non, jusqu'à ce que Franck, le logisticien, vint a mon aide :

"Laisses le petit tranquille Evelyne ! Tu le saoules avec ton interrogatoire, a son âge, on a pas forcément envie de raconter sa vie a une mémé ! Fou rire général...sauf moi bien sur...grosse, GROSSE envie de disparaître !

"Ne l'ecoutes pas me dit-elle, c'est le pire exemple que tu puisses avoir, a ne surtout pas suivre, goujat avec les femmes, rien de pire"

Re fou rire général...toujours sans moi...un leger rictus de gêne aux lèvres tout de même histoire de ne vexer mes nouveaux camarades.

Le dîner se poursuivit sans autres "incidents".

Le sejour, qui dura 3 jours, se déroula très bien, visite, réunions, avec Evelyne jamais très loin de moi. Toujours aussi bienveillante, je commencai vraiment a apprécier sa présence près de moi, a partager de petits moments de complicité amicales avec elle...et même, je dois l'avouer, a me livrer à de petits plaisirs coupables surtout au moment où elle ecrasa sa poitrine sur ma joue en se penchant sur moi pour débloquer mon ordinateur victime d'un bug dont je ne le remercierai jamais assez. Cette poitrine...que je me surprenais à admirer une autre fois, la dentelle de son soutien gorge qui semblait être imprimée sur son chemisier me fit un effet fou. J'avais de plus en plus de mal à detacher mon regard de cette femme que sa chevelure rousse rendait aussi flamboyante que sa gentillesse rassurante. Parfois, lorsque nos regards se rencontraient, elle me gratifiait d'un sourire malicieux que j'interpretais, dans mon esprit de jeune homme en rûte, comme une invitation indecente.

Nous arrivâmes au dernier soir de notre périple et pour fêter ça, un repas dans un restaurant en ville fut organiser. Ce fut un e superbe soirée, ma timidité s'etant envolé e au fil des jours et en faisant mieux connaissances avec mes compagnons de voyage. Comme à chaque fois, Evelyne s'installa à mes côtés, plaisantant avec moi à la moindre occasion, joignant parfois le geste a la parole, sa main s'aventurant sur ma cuisse ou sur ma main de manière attentionnée. Du coin de l'oeil, je pouvais, de temps en temps, apercevoir ses jambes, exceptionnellement a nues, ainsi que la naissance de ses cuisses blanches au gré des légères remontées de sa jupe lorsqu'elle croisait et decroisait les gambettes.

Nous rentrames vers 23 heures à l'hôtel, l'esprit embrumé par les vapeurs de ce breuvage appelé digestif que l'on nous servit en fin de repas et que je fus obliger d'ingurgiter sur l'insistance du gros comptable, ne voulant pas lui faire le plaisir de lui laisser ma part qu'il convoitait. Le Big Boss nous annonça le programme du lendemain, petit dej a 9h puis départ à destination de nos contrées dans la foulée. Après nous avoir donnés congés, nous nous dirigames chacun vers notre chambre pour cette dernière nuit.
Une fois dans la mienne, je m'allongea quelques minutes sur mon lit afin d'essayer de me remettre des effets du terrible liquide, lorsque l'envie de griller une dernière cigarette me pris.

Je sortis à l'extérieur, me dirigea vers la terrasse du château de l'autre côté du parc.
Mon coeur ne fit qu'un bond lorsque je vis que je n'étais pas seul à avoir eu cette idée.

Elle etait là...assise a une table sur la terasse déserte, sa cigarette entre ses doigts aux ongles vernis au rouge vif...

A suivre..