La métamorphose de Ghislaine - Partie 2
Récit érotique écrit par Cassio14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Cassio14 ont reçu un total de 17 134 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 1 588 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La métamorphose de Ghislaine - Partie 2
Ghislaine traîna son spleen pendant plusieurs semaines. Elle ne savait plus à quel saint se vouer.
Inutile de réessayer avec Jacky, elle connaissait le résultat à l'avance.
L'été s'ecoula ainsi pour elle, entre colère et résignation.
Mais, le loup n'allait pas tarder à frapper à sa porte.
Un soir, dans la chaleur de cet fin août,Ghislaine rentrait du travail. Elle remonta mélancoliquement la rue résidentielle en amont de son immeuble. Perdue dans ses pensées, elle n'aperçut pas cet homme, perché sur le porche de sa maison, obnubilé par ses formes généreuses. D'ailleurs, ce n'était pas la première fois, il en avait fait son rituel.
Gigi passa devant lui sans même le remarquer. Elle portait une robe d'été blanche à fleurs bleues, son sac à l'épaule.
Sans le vouloir, elle lui offrit une sacré spectacle.
L'homme pouvait voir les gros seins de Gigi s'agitant dans son large décolleté et quand elle s'éloigna, c'est sur son arrière-train qu'il se concentra.
Sa robe blanche, moulante dû à sa large croupe, était légèrement transparente, il put voir distinctement ses fesses bien serrées dans sa petite culotte en coton blanc.
Il en savait peu sur elle, juste qu'elle était avec l'autre maigrelet soiffard et que ca ne devait pas être la fête avec lui.
Peut-être avait-il une chance de se la farcir ?
C'est ce qu'il se décida a vérifier quelques jours plus tard...
Armé de son taille-haie, l'homme faisait mine d'entretenir son allée en guettant l'arrivée de Ghislaine.
Quand elle se présenta enfin, il se rapprocha du portail ouvert et l'aborda.
- Bonjour !
Gigi leva les yeux en direction de la voix et vit cet homme, peut-être la cinquantaine assez grand aux cheveux poivre et sel. Elle lui rendit son salut.
S'engagea alors une banale discussion, Ghislaine se contentait d'acquieser d'un timide hochement de tête tout ce qu'il lui racontait.
Au bout de quelques minutes, l'homme décida d'en arriver aux faits. Il prit le bras de Ghislaine et l'attira sous le couvert de la haie.
- Cela fait longtemps que j'ai envie de vous dire que je vous trouves très belle.
Gigi ouvrit de grands yeux rond, son coeur prêt à exploser dans sa poitrine.
- Mais...je...
- Non, ne dites rien, laissez moi continuer...ca fait quelques mois que je vous vois passer devant chez moi, vous me rendez dingue...et je ne connais même pas votre prénom...
- Ghi...Ghi...Ghislaine !
- Ghislaine...c'est très joli
Peu habituée à tant d'égards, elle rougit, se languissant d'en entendre plus.
- Ghislaine, je ne vais pas y aller par quatre chemins, vous me plaisez...j'ai envie de vous...vous êtes tellement belle dans votre petite robe blanche...
- Euh ! Je ne sais pas quoi vous dire...
- Je ne veux pas que vous me repondiez de suite. Reflechissez bien. Je suis seul samedi, je vous attendrais...je vous promets un doux moment...croyez en ma sincérité Ghislaine, je vous en prie.
Gigi recula, foudroyée par cette proposition indécente
- Je ne sais pas...vraiment pas...
Sur ces mots, elle tourna les talons et se hâta de rentrer chez elle.
Elle n'y croyait pas, cet homme, plutôt bien bâti, lui proposait de manière cavalière une partie de jambes en l'air, celle qu'elle espérait depuis longtemps...et samedi, c'est dans 3 jours !
Chamboulée au plus haut point, Gigi se trouvait face à un dilemme inédit pour elle.
Sa conscience lui disait de ne pas céder, peut-être que Jacky ressuciterait dans la peau d'un crack qui sait ? Alors que son clitoris la poussait à croquer le fruit défendue de l'infidélité.
Perturbée, elle changea même son itinéraire pour éviter une nouvelle confrontation avec lui.
Mais son bouton d'amour pouvait compter sur un allié de taille en la personne de Jacques...
Celui-ci se montra odieux avec Ghislaine les jours suivants, lui reprochant toutes sortes de choses, du ménage à la bouffe sans parler des vexations sur son physique...ce tocard ne se doutait pas pas qu'il poussait sa compagne dans les bras d'un autre homme...
Et le vendredi soir, il mit un terme au dilemme de Gigi. Furieux d'avoir perdu au Tiercé, il lui lança à son retour du PMU
- Tu es la plus hideuse femme du monde !
Comme ça, gratuitement, alors qu'elle n'avait rien dit...
Tout devint clair...Que Jacques aille se faire foutre !
Elle attendit qu'il s'affale dans le lit afin de cuver sa journée pour sortir furtivement a l'extérieur
Arrivant devant la maison de l'homme, elle glissa un petit mot dans sa boîte aux lettres puis disparut aussi vite qu'elle était apparue.
La machine était en marche et plus rien ne pourrait la stopper désormais.
Le lendemain, Gigi ne travaillait pas, elle ne tenait pas en place. L'homme devait l'attendre sur le coup des 22H comme elle lui avait écrit sur son message.
Elle avait élaboré un plan pour pouvoir s'éclipser en catimini du domicile conjugal.
Jacky, qui ne s'était toujours pas calmé, somnolait devant le JT du soir. Ghislaine en profita pour prendre une douche, savonnant chaque partie de son corps, insistant particulièrement sur ses parties intimes. Elle enfila sa robe de chambre sur son corps nu et rejoignit Jacques.
Elle attaqua en frontale
- Toujours en train de ne rien branler ?
- Fermes là !
- Non j'la fermerai pas ! Tu me pourris la vie ! J'en ai ras le cul !
- Tu veux dire que tu en as ras ton gros cul ?
Indécrottable impulsif, Jacky tomba dans le piège
- Si t'en a marre, Eh ben, barres toi ! Ca me fera de l'air !
Il était hameçonné, plus qu'à le ramener...
- Fais attention ! Je pourrais bien le faire !
- Impossible...t'auras jamais le courage !
Ghislaine quitta la pièce faussement en colère et regagna sa chambre en claquant la porte.
Aussitôt, elle se mit nue et saisit dans son armoire la robe préférée de son galant. Comme dessous, Gigi n'avait pas grand chose...elle opta pour le moins moche...une parrure soutien-gorge / culotte noire, celle avec le petit noeud rose sur le devant.
Elle s'habilla, ajusta sa coiffure, un peu de make-up, beaucoup de parfum et attendit l'heure de porter l'estocade.
A 21H45, elle enfila son grand imperméable noir pour dissimuler sa tenue et se dirigea vers la sortie.
- J'me casses !
- Vas-y ! Te gênes pas ! A tout de suite !
C'était gagné ! Ghislaine sortit, dévala les escaliers, excitée comme une gamine et se retouva dehors, dans l'obscurité de la nuit.
Elle traversa le parking et s'engagea dans les petits escaliers donnant sur la rue.
Son coeur battait la chamade, elle s'asseya sur les marches de béton froid et alluma une cigarette pour essayer de se calmer. Peine perdue ! Son clitoris bouillait d'excitation, elle se tortillait d'impatience.
Elle écrasa son mégot et pris la direction de la maison de l'homme.
Elle sonna à la porte, il lui ouvrit, se contentant d'un sourire en guise d'invitation à entrer.
Il la débarrassa de son imper et lui posa la main sur le bas du dos pour la guider vers le salon.
Mais Gigi ne tenait plus, elle enlaça son homme et l'embrassa avec passion.
- Comment t'appelles-tu ?
- Bruno
- Bruno, prends moi, je ne peux plus attendre ! Et je n'ai pas beaucoup de temps...
Il l'a pris au mot, ils bifurquérent vers la chambre.
Il plaqua Ghislaine contre lui, la pelotant allègrement, l'embrassant dans le cou.
Bruno souleva la robe de Gigi et lui malaxa le cul, la belle gemissait comme une folle.
Il l'a retourna et inséra sa main dans sa culotte pour doigter sa fente en feu.
- Allez, baises moi ! Donnes moi tout !
Ghislaine retira sa robe, Bruno se déshabilla également...sa grosse queue jaillit de son boxer.
Gigi était conquise, enfin un chibre bien tendu à sa disposition.
Elle le prit en main et l'avala aussi sec, lui pressant ses bonnes couilles bien pleines.
La goulue s'affairait avec entrain. Il l'a regardait faire...il la possédait enfin.
Il dégrafa son soutif, libérant sa poitrine.
Il prit ses deux grosses mamelles et goba ses tétons bien durs.
Ghislaine en profita pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes.
Bruno la poussa sur le lit, écarta ses cuisses pour s'occuper de son minou.
Sa langue dépoussiéra son vagin de fond en comble, lui titillant son clito gonflé de plaisir.
Bruno reprenait de la tarte aux poils à volonté et la Ghislaine prenait son pied !
Il se releva pour attraper un préservatif sur la table de chevet et en recouvrit sa bite.
Bruno se plaça entre les cuisses de sa conquête et d'un coup sec et brutal, la pénétra.
Il la ramonait avec force. Gigi lui tenait fermement le cul pour accompagner le mouvement de va-et-vient qui lui faisait perdre la tête, sa libido enfin comblée.
Son amant la sauta pendant de longues minutes, sans faillir, à un rythme soutenu jusqu'à ce que sa queue ne rende grâce.
Il remplit la capote de plusieurs giclées de fouttre.
Bruno s'écroula sur elle pour l'embrasser.
Il sortit de Ghislaine qui put contempler le résultat de son infidélité. La tube de latex était plein.
Il revint à ses côtés...mais plus le temps pour le câlinage post-baise...Ghislaine devait prendre congé de son quatre-heure.
Elle se rhabilla rapidement, lui donnant un dernier baiser en lui promettant de revenir...très bientôt !
Il ne s'etait écoulée qu'une petite heure depuis son départ lorsqu'elle regagna l'appartement, enfin satisfaite...
Jacky était toujours bloqué devant son écran, il rigola
- J'te l'avais dis ! T'en a pas le cran... Bienvenue au bercail !
Ghislaine se contenta de lui sourire avec défiance et marmonna pour elle
- Si tu savais d'où je reviens, couille molle...
A suivre
Inutile de réessayer avec Jacky, elle connaissait le résultat à l'avance.
L'été s'ecoula ainsi pour elle, entre colère et résignation.
Mais, le loup n'allait pas tarder à frapper à sa porte.
Un soir, dans la chaleur de cet fin août,Ghislaine rentrait du travail. Elle remonta mélancoliquement la rue résidentielle en amont de son immeuble. Perdue dans ses pensées, elle n'aperçut pas cet homme, perché sur le porche de sa maison, obnubilé par ses formes généreuses. D'ailleurs, ce n'était pas la première fois, il en avait fait son rituel.
Gigi passa devant lui sans même le remarquer. Elle portait une robe d'été blanche à fleurs bleues, son sac à l'épaule.
Sans le vouloir, elle lui offrit une sacré spectacle.
L'homme pouvait voir les gros seins de Gigi s'agitant dans son large décolleté et quand elle s'éloigna, c'est sur son arrière-train qu'il se concentra.
Sa robe blanche, moulante dû à sa large croupe, était légèrement transparente, il put voir distinctement ses fesses bien serrées dans sa petite culotte en coton blanc.
Il en savait peu sur elle, juste qu'elle était avec l'autre maigrelet soiffard et que ca ne devait pas être la fête avec lui.
Peut-être avait-il une chance de se la farcir ?
C'est ce qu'il se décida a vérifier quelques jours plus tard...
Armé de son taille-haie, l'homme faisait mine d'entretenir son allée en guettant l'arrivée de Ghislaine.
Quand elle se présenta enfin, il se rapprocha du portail ouvert et l'aborda.
- Bonjour !
Gigi leva les yeux en direction de la voix et vit cet homme, peut-être la cinquantaine assez grand aux cheveux poivre et sel. Elle lui rendit son salut.
S'engagea alors une banale discussion, Ghislaine se contentait d'acquieser d'un timide hochement de tête tout ce qu'il lui racontait.
Au bout de quelques minutes, l'homme décida d'en arriver aux faits. Il prit le bras de Ghislaine et l'attira sous le couvert de la haie.
- Cela fait longtemps que j'ai envie de vous dire que je vous trouves très belle.
Gigi ouvrit de grands yeux rond, son coeur prêt à exploser dans sa poitrine.
- Mais...je...
- Non, ne dites rien, laissez moi continuer...ca fait quelques mois que je vous vois passer devant chez moi, vous me rendez dingue...et je ne connais même pas votre prénom...
- Ghi...Ghi...Ghislaine !
- Ghislaine...c'est très joli
Peu habituée à tant d'égards, elle rougit, se languissant d'en entendre plus.
- Ghislaine, je ne vais pas y aller par quatre chemins, vous me plaisez...j'ai envie de vous...vous êtes tellement belle dans votre petite robe blanche...
- Euh ! Je ne sais pas quoi vous dire...
- Je ne veux pas que vous me repondiez de suite. Reflechissez bien. Je suis seul samedi, je vous attendrais...je vous promets un doux moment...croyez en ma sincérité Ghislaine, je vous en prie.
Gigi recula, foudroyée par cette proposition indécente
- Je ne sais pas...vraiment pas...
Sur ces mots, elle tourna les talons et se hâta de rentrer chez elle.
Elle n'y croyait pas, cet homme, plutôt bien bâti, lui proposait de manière cavalière une partie de jambes en l'air, celle qu'elle espérait depuis longtemps...et samedi, c'est dans 3 jours !
Chamboulée au plus haut point, Gigi se trouvait face à un dilemme inédit pour elle.
Sa conscience lui disait de ne pas céder, peut-être que Jacky ressuciterait dans la peau d'un crack qui sait ? Alors que son clitoris la poussait à croquer le fruit défendue de l'infidélité.
Perturbée, elle changea même son itinéraire pour éviter une nouvelle confrontation avec lui.
Mais son bouton d'amour pouvait compter sur un allié de taille en la personne de Jacques...
Celui-ci se montra odieux avec Ghislaine les jours suivants, lui reprochant toutes sortes de choses, du ménage à la bouffe sans parler des vexations sur son physique...ce tocard ne se doutait pas pas qu'il poussait sa compagne dans les bras d'un autre homme...
Et le vendredi soir, il mit un terme au dilemme de Gigi. Furieux d'avoir perdu au Tiercé, il lui lança à son retour du PMU
- Tu es la plus hideuse femme du monde !
Comme ça, gratuitement, alors qu'elle n'avait rien dit...
Tout devint clair...Que Jacques aille se faire foutre !
Elle attendit qu'il s'affale dans le lit afin de cuver sa journée pour sortir furtivement a l'extérieur
Arrivant devant la maison de l'homme, elle glissa un petit mot dans sa boîte aux lettres puis disparut aussi vite qu'elle était apparue.
La machine était en marche et plus rien ne pourrait la stopper désormais.
Le lendemain, Gigi ne travaillait pas, elle ne tenait pas en place. L'homme devait l'attendre sur le coup des 22H comme elle lui avait écrit sur son message.
Elle avait élaboré un plan pour pouvoir s'éclipser en catimini du domicile conjugal.
Jacky, qui ne s'était toujours pas calmé, somnolait devant le JT du soir. Ghislaine en profita pour prendre une douche, savonnant chaque partie de son corps, insistant particulièrement sur ses parties intimes. Elle enfila sa robe de chambre sur son corps nu et rejoignit Jacques.
Elle attaqua en frontale
- Toujours en train de ne rien branler ?
- Fermes là !
- Non j'la fermerai pas ! Tu me pourris la vie ! J'en ai ras le cul !
- Tu veux dire que tu en as ras ton gros cul ?
Indécrottable impulsif, Jacky tomba dans le piège
- Si t'en a marre, Eh ben, barres toi ! Ca me fera de l'air !
Il était hameçonné, plus qu'à le ramener...
- Fais attention ! Je pourrais bien le faire !
- Impossible...t'auras jamais le courage !
Ghislaine quitta la pièce faussement en colère et regagna sa chambre en claquant la porte.
Aussitôt, elle se mit nue et saisit dans son armoire la robe préférée de son galant. Comme dessous, Gigi n'avait pas grand chose...elle opta pour le moins moche...une parrure soutien-gorge / culotte noire, celle avec le petit noeud rose sur le devant.
Elle s'habilla, ajusta sa coiffure, un peu de make-up, beaucoup de parfum et attendit l'heure de porter l'estocade.
A 21H45, elle enfila son grand imperméable noir pour dissimuler sa tenue et se dirigea vers la sortie.
- J'me casses !
- Vas-y ! Te gênes pas ! A tout de suite !
C'était gagné ! Ghislaine sortit, dévala les escaliers, excitée comme une gamine et se retouva dehors, dans l'obscurité de la nuit.
Elle traversa le parking et s'engagea dans les petits escaliers donnant sur la rue.
Son coeur battait la chamade, elle s'asseya sur les marches de béton froid et alluma une cigarette pour essayer de se calmer. Peine perdue ! Son clitoris bouillait d'excitation, elle se tortillait d'impatience.
Elle écrasa son mégot et pris la direction de la maison de l'homme.
Elle sonna à la porte, il lui ouvrit, se contentant d'un sourire en guise d'invitation à entrer.
Il la débarrassa de son imper et lui posa la main sur le bas du dos pour la guider vers le salon.
Mais Gigi ne tenait plus, elle enlaça son homme et l'embrassa avec passion.
- Comment t'appelles-tu ?
- Bruno
- Bruno, prends moi, je ne peux plus attendre ! Et je n'ai pas beaucoup de temps...
Il l'a pris au mot, ils bifurquérent vers la chambre.
Il plaqua Ghislaine contre lui, la pelotant allègrement, l'embrassant dans le cou.
Bruno souleva la robe de Gigi et lui malaxa le cul, la belle gemissait comme une folle.
Il l'a retourna et inséra sa main dans sa culotte pour doigter sa fente en feu.
- Allez, baises moi ! Donnes moi tout !
Ghislaine retira sa robe, Bruno se déshabilla également...sa grosse queue jaillit de son boxer.
Gigi était conquise, enfin un chibre bien tendu à sa disposition.
Elle le prit en main et l'avala aussi sec, lui pressant ses bonnes couilles bien pleines.
La goulue s'affairait avec entrain. Il l'a regardait faire...il la possédait enfin.
Il dégrafa son soutif, libérant sa poitrine.
Il prit ses deux grosses mamelles et goba ses tétons bien durs.
Ghislaine en profita pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes.
Bruno la poussa sur le lit, écarta ses cuisses pour s'occuper de son minou.
Sa langue dépoussiéra son vagin de fond en comble, lui titillant son clito gonflé de plaisir.
Bruno reprenait de la tarte aux poils à volonté et la Ghislaine prenait son pied !
Il se releva pour attraper un préservatif sur la table de chevet et en recouvrit sa bite.
Bruno se plaça entre les cuisses de sa conquête et d'un coup sec et brutal, la pénétra.
Il la ramonait avec force. Gigi lui tenait fermement le cul pour accompagner le mouvement de va-et-vient qui lui faisait perdre la tête, sa libido enfin comblée.
Son amant la sauta pendant de longues minutes, sans faillir, à un rythme soutenu jusqu'à ce que sa queue ne rende grâce.
Il remplit la capote de plusieurs giclées de fouttre.
Bruno s'écroula sur elle pour l'embrasser.
Il sortit de Ghislaine qui put contempler le résultat de son infidélité. La tube de latex était plein.
Il revint à ses côtés...mais plus le temps pour le câlinage post-baise...Ghislaine devait prendre congé de son quatre-heure.
Elle se rhabilla rapidement, lui donnant un dernier baiser en lui promettant de revenir...très bientôt !
Il ne s'etait écoulée qu'une petite heure depuis son départ lorsqu'elle regagna l'appartement, enfin satisfaite...
Jacky était toujours bloqué devant son écran, il rigola
- J'te l'avais dis ! T'en a pas le cran... Bienvenue au bercail !
Ghislaine se contenta de lui sourire avec défiance et marmonna pour elle
- Si tu savais d'où je reviens, couille molle...
A suivre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cassio14
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vivement la suite
Bof...
