La métamorphose de Ghislaine - Partie 5 et fin
Récit érotique écrit par Cassio14 [→ Accès à sa fiche auteur]
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La métamorphose de Ghislaine - Partie 5 et fin
Après ces fêtes de fin d'année pleine de surprises, Ghislaine finit par revoir son amant.
Pour célébrer leurs retrouvailles, Gigi décida de prendre un peu de Simone et un peu de Patricia.
Elle se pointa chez Bruno le mont de Vénus imberbe et vêtue seulement d'une paire de bas noirs, le tout dissimulé son son manteau.
Lorsqu'elle l'ouvrit, Bruno en prit plein les mirettes si bien qu'il l'attrapa avec plus de vigueur qu'à l'accoutumée, emmenant Ghislaine au 7ème ciel, l'innondant de nouveau de sa semence.
Malgré tout, Bruno sembla se désintéresser de Gigi au fil des semaines.
Cela prit tout son sens lorsqu'elle aperçut une belle femme pénétrer chez son désormais ex-amant. Elle comprit que les mouches avaient changé d'âne et n'insista pas...Dans le fond, il ne lui appartenait pas...
Ghislaine dû tout reprendre à zéro, essayant de se consoler en s'imaginant voguer vers de nouvelles aventures.
Malheureusement, ce ne fut pas si facile que ça. La magie était retombée et elle abandonna petit à petit ses artifices de séduction pour redevenir cette bonne vieille Gigi, la boniche du Jacky.
Mais ce dimanche après-midi là, alors que Jacques était encore partit traîner on ne sais où, elle reçut une visite inattendue...plutôt deux pour être précis.
Et elles lui firent cracher la foudre !
La sonnette retentit...
- Bonjour Ghislaine !
C'était la Poire qui tenait un bouquet de fleurs dans les mains
- Bonjour Bernard, quelle bonne surpr...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'apparut cette pouffe de Patricia qui l'accompagnait.
- On est venus pour s'excuser pour le réveillon...on était pas très frais...tu sais...
- Ouais ! Et pis, le Bernard, c'est mon bonhomme maintenait.. sois pas jalouse !
La mocheté entra dans l'appartement sans y être invitée.
Ghislaine soupira puis sourit à Poirier lorsque celui-ci lui tendit les fleurs.
- Merci Bernard, c'est gentil...euh...comme ta dulcinée est déjà à l'intérieur, vous prendrez bien quelque chose.
Alors que Ghislaine servait le café, Patricia brailla
- T'aurais pas un truc de plus fort ?
- Non ! Ce sera café pour tout le monde !
- Oui Ghislaine, c'est très bien...hein Patou ?
- Ouais...ça ira...
Au bout d'un moment, le portable de Poirier sonna er il dût s'absenter pour prendre l'appel. Les deux femmes se retouvérent en tête à tête.
- Hey, tu veux que j'te dise un truc ?
Gigi l'interrogea du regard.
- Hé ben, le Poirier, il m'a fait deux-trois confidences...tu vois, sur l'oreiller quoi...Il m'a balancé que c'était toi qu'il voulait baiser avant, que tu lui avais même montrer ta chatte une fois, tout çà...
Gigi faillit tomber à la renverse.
- Mais...De quoi tu parles ???
- Ça m'a refilé une idée, j'm'en fous un peu du Poirier mais il me fait de la peine...Le coup des excuses, des fleurs, ça vient de moi...Je me disais que tu le laisserais ptet te mettre un ptit coup vu que tu l'as déjà chauffé.
Ghislaine n'en revenait pas devant tant d'audace.
- Allez quoi ! Tu lui dois bien ça non ? Fais-le pour lui merde...Qu'on soit pas venu pour rien...Et pis, t'es pas vraiment une princesse à ce qui paraît, hein ? Le Jacky, il dit partout que tu une Sainte-Nitouche doublé d'une pub ambulante vantant l'abstinence...
Gigi prit le train dans la figure...Comment avait-il pu ce bande-mou ? Surtout qu'elle disposait de trois témoins capables d'assurer le contraire...
Furax et avide de justice, Ghislaine était bien décidée à coller son pied dans les burnes de Jacques en vidant celles de son meilleur pote !
Elle partit dans une vrille incontrôlable.
- Qu'il radine par ici ton gars, tu vas voir de quel bois je me chauffes !
Quand on parle du loup, il pointa sa petite queue...
Gigi sauta sur le rable du Poirier comme une panthère, se mit à genoux devant lui et sortit sa bite de son benne.
Sans que le Poirier n'ait eu le temps de comprendre quoi que ce soit, elle l'enfila dans sa bouche, lui pompant le dard de manière vengeresse.
- Mais...Ghislaine...Que fais-tu ?
Patricia, sur un ton jubilatoire, répondit à sa place.
- Elle te taille une pipe abruti ! Allez Ghislaine ! Jusqu'aux couilles !
Le tout récent ex-puceau devint vite bien raide.
Gigi le besogna de toute la haine qu'elle avait en elle.
Patricia, appuyée sur l'accoudoir du canapé, n'en manquait pas une miette.
Ghislaine lui lâcha le chibre et se mit à quatre-pattes face à Patou.
- Vas-y...Defonces moi...mets ta queue la-dedans !
Bernard crut tomber dans les pommes...enfin, plutôt dans les poires sans mauvais jeu de mots...Mais un ordre est un ordre...
Il remonta la robe de Ghislaine, toujours en mode " Toutes voiles dehors" à domicile et pénétra la sans-culotte avec hésitation.
- Sois pas timide Bernard ! Bourres moi !
- Oui Nanard ! Baises-la putain ! Elle veut que ça !
La Poire envoya sa bite dans Ghislaine d'un coup de rein prononcé.
Patricia continua de l'encourager.
- Allez Nanard ! Elle te le dois bien cette salope ! Tu l'as enfin sa grosse moule ! Rates pas l'occaz !
La Poire entrait et sortait de Gigi, qui se mit à couiner, non pas parce qu'elle trouvait ça bon, oh que non ! Mais surtout pour faire siffler les oreilles de cette ordure de Jacques dont les cornes allaient prendre encore quelques centimètres supplémentaires aujourd'hui.
Se faire sauter par Poirier...C'était pire que tout ce qu'elle avait déjà fait auparavant...Mais chaque coup de bites qu'elle recevait, c'est comme si ce baratineur de Jacky les prenait également dans le cul.
Le petit gros jouait enfin sa Champion's League. Il envoyait sa bedaine claquer la croupe de Ghislaine à chaque coups de matraque.
- Oh Gigi ! J'en rêvais depuis longtemps...Tu es merveilleuse !
Patricia se rebiffa.
- Eh hoo! J'suis là moi, j'veux ma part !
Ghislaine prit la balle au bond.
- Continue Bernard ! Je vais servir ta grognasse !
Ghislaine aggripa les cuisses de Patricia et les écarta en grand.
- Putain ! Tu fais quoi ???
Se souvenant de la délicieuse leçon donnée par Simone, elle plongea ses doigts dans le garage à bites de la blondasse.
- Oh putain Bernard ! Elle me fouille la chatte ! Regardes ça !
Cette vue donna un supplément d'âme au Poirier qui accéléra le pilonnage de Gigi.
Patricia s'abandonna sous l'effet de l'invasion d'une Ghislaine sans filtre.
- Tu aimes ça ! Tu es remplie comme je le suis par ton pantin !
Elle fourra sa langue dans sa fente. La voilà en train de cunilinguser cette chienne...
- Nanard ! Elle me bouffe le pot de miel ! Oh mon dieu...elle fait ça mieux qu'un mec !
Gigi était prise en sandwich, aspirant le jus de Patou tout en se faisant déssouder par La Poire.
La vengeance est un plat qui se mange froid...Mais pour le coup, c'est chaud que Ghislaine allait s'en gaver et même la partager !
Poirier arriva en bout de course et le fit savoir.
- Ca vient...Ca vient !
Patricia s'écria.
- Balances nous tout dans la gueule !
Bernard se retira de Gigi et se rapprocha des deux coquines, lance en main.
Il se déchargea sur leurs visages. Elles avalérent chacune leurs rations de potion magique avec délectation.
Ce fut le moment choisit par Jacques pour faire irruption dans l'appartement.
Son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il découvrit la scène.
La Poire, affalé dans le canapé, la queue reput par sa femme et les deux garces, chattes à l'air, la bouche dégoulinant de sperme.
- Bah...Ghislaine...C'est quoi ce bordel ? Ne m'dis pas que...
Décidément, il avait toujours une érection de retard le Jacky ! La partouze était terminée...
Le petit marteau du juge Poirier avait rendu son verdict.
Répondant des chefs d'accusations de frigidité et de tue-l'amour, Gigi venait d'en être...facialement blanchit !!!
FIN
Pour célébrer leurs retrouvailles, Gigi décida de prendre un peu de Simone et un peu de Patricia.
Elle se pointa chez Bruno le mont de Vénus imberbe et vêtue seulement d'une paire de bas noirs, le tout dissimulé son son manteau.
Lorsqu'elle l'ouvrit, Bruno en prit plein les mirettes si bien qu'il l'attrapa avec plus de vigueur qu'à l'accoutumée, emmenant Ghislaine au 7ème ciel, l'innondant de nouveau de sa semence.
Malgré tout, Bruno sembla se désintéresser de Gigi au fil des semaines.
Cela prit tout son sens lorsqu'elle aperçut une belle femme pénétrer chez son désormais ex-amant. Elle comprit que les mouches avaient changé d'âne et n'insista pas...Dans le fond, il ne lui appartenait pas...
Ghislaine dû tout reprendre à zéro, essayant de se consoler en s'imaginant voguer vers de nouvelles aventures.
Malheureusement, ce ne fut pas si facile que ça. La magie était retombée et elle abandonna petit à petit ses artifices de séduction pour redevenir cette bonne vieille Gigi, la boniche du Jacky.
Mais ce dimanche après-midi là, alors que Jacques était encore partit traîner on ne sais où, elle reçut une visite inattendue...plutôt deux pour être précis.
Et elles lui firent cracher la foudre !
La sonnette retentit...
- Bonjour Ghislaine !
C'était la Poire qui tenait un bouquet de fleurs dans les mains
- Bonjour Bernard, quelle bonne surpr...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'apparut cette pouffe de Patricia qui l'accompagnait.
- On est venus pour s'excuser pour le réveillon...on était pas très frais...tu sais...
- Ouais ! Et pis, le Bernard, c'est mon bonhomme maintenait.. sois pas jalouse !
La mocheté entra dans l'appartement sans y être invitée.
Ghislaine soupira puis sourit à Poirier lorsque celui-ci lui tendit les fleurs.
- Merci Bernard, c'est gentil...euh...comme ta dulcinée est déjà à l'intérieur, vous prendrez bien quelque chose.
Alors que Ghislaine servait le café, Patricia brailla
- T'aurais pas un truc de plus fort ?
- Non ! Ce sera café pour tout le monde !
- Oui Ghislaine, c'est très bien...hein Patou ?
- Ouais...ça ira...
Au bout d'un moment, le portable de Poirier sonna er il dût s'absenter pour prendre l'appel. Les deux femmes se retouvérent en tête à tête.
- Hey, tu veux que j'te dise un truc ?
Gigi l'interrogea du regard.
- Hé ben, le Poirier, il m'a fait deux-trois confidences...tu vois, sur l'oreiller quoi...Il m'a balancé que c'était toi qu'il voulait baiser avant, que tu lui avais même montrer ta chatte une fois, tout çà...
Gigi faillit tomber à la renverse.
- Mais...De quoi tu parles ???
- Ça m'a refilé une idée, j'm'en fous un peu du Poirier mais il me fait de la peine...Le coup des excuses, des fleurs, ça vient de moi...Je me disais que tu le laisserais ptet te mettre un ptit coup vu que tu l'as déjà chauffé.
Ghislaine n'en revenait pas devant tant d'audace.
- Allez quoi ! Tu lui dois bien ça non ? Fais-le pour lui merde...Qu'on soit pas venu pour rien...Et pis, t'es pas vraiment une princesse à ce qui paraît, hein ? Le Jacky, il dit partout que tu une Sainte-Nitouche doublé d'une pub ambulante vantant l'abstinence...
Gigi prit le train dans la figure...Comment avait-il pu ce bande-mou ? Surtout qu'elle disposait de trois témoins capables d'assurer le contraire...
Furax et avide de justice, Ghislaine était bien décidée à coller son pied dans les burnes de Jacques en vidant celles de son meilleur pote !
Elle partit dans une vrille incontrôlable.
- Qu'il radine par ici ton gars, tu vas voir de quel bois je me chauffes !
Quand on parle du loup, il pointa sa petite queue...
Gigi sauta sur le rable du Poirier comme une panthère, se mit à genoux devant lui et sortit sa bite de son benne.
Sans que le Poirier n'ait eu le temps de comprendre quoi que ce soit, elle l'enfila dans sa bouche, lui pompant le dard de manière vengeresse.
- Mais...Ghislaine...Que fais-tu ?
Patricia, sur un ton jubilatoire, répondit à sa place.
- Elle te taille une pipe abruti ! Allez Ghislaine ! Jusqu'aux couilles !
Le tout récent ex-puceau devint vite bien raide.
Gigi le besogna de toute la haine qu'elle avait en elle.
Patricia, appuyée sur l'accoudoir du canapé, n'en manquait pas une miette.
Ghislaine lui lâcha le chibre et se mit à quatre-pattes face à Patou.
- Vas-y...Defonces moi...mets ta queue la-dedans !
Bernard crut tomber dans les pommes...enfin, plutôt dans les poires sans mauvais jeu de mots...Mais un ordre est un ordre...
Il remonta la robe de Ghislaine, toujours en mode " Toutes voiles dehors" à domicile et pénétra la sans-culotte avec hésitation.
- Sois pas timide Bernard ! Bourres moi !
- Oui Nanard ! Baises-la putain ! Elle veut que ça !
La Poire envoya sa bite dans Ghislaine d'un coup de rein prononcé.
Patricia continua de l'encourager.
- Allez Nanard ! Elle te le dois bien cette salope ! Tu l'as enfin sa grosse moule ! Rates pas l'occaz !
La Poire entrait et sortait de Gigi, qui se mit à couiner, non pas parce qu'elle trouvait ça bon, oh que non ! Mais surtout pour faire siffler les oreilles de cette ordure de Jacques dont les cornes allaient prendre encore quelques centimètres supplémentaires aujourd'hui.
Se faire sauter par Poirier...C'était pire que tout ce qu'elle avait déjà fait auparavant...Mais chaque coup de bites qu'elle recevait, c'est comme si ce baratineur de Jacky les prenait également dans le cul.
Le petit gros jouait enfin sa Champion's League. Il envoyait sa bedaine claquer la croupe de Ghislaine à chaque coups de matraque.
- Oh Gigi ! J'en rêvais depuis longtemps...Tu es merveilleuse !
Patricia se rebiffa.
- Eh hoo! J'suis là moi, j'veux ma part !
Ghislaine prit la balle au bond.
- Continue Bernard ! Je vais servir ta grognasse !
Ghislaine aggripa les cuisses de Patricia et les écarta en grand.
- Putain ! Tu fais quoi ???
Se souvenant de la délicieuse leçon donnée par Simone, elle plongea ses doigts dans le garage à bites de la blondasse.
- Oh putain Bernard ! Elle me fouille la chatte ! Regardes ça !
Cette vue donna un supplément d'âme au Poirier qui accéléra le pilonnage de Gigi.
Patricia s'abandonna sous l'effet de l'invasion d'une Ghislaine sans filtre.
- Tu aimes ça ! Tu es remplie comme je le suis par ton pantin !
Elle fourra sa langue dans sa fente. La voilà en train de cunilinguser cette chienne...
- Nanard ! Elle me bouffe le pot de miel ! Oh mon dieu...elle fait ça mieux qu'un mec !
Gigi était prise en sandwich, aspirant le jus de Patou tout en se faisant déssouder par La Poire.
La vengeance est un plat qui se mange froid...Mais pour le coup, c'est chaud que Ghislaine allait s'en gaver et même la partager !
Poirier arriva en bout de course et le fit savoir.
- Ca vient...Ca vient !
Patricia s'écria.
- Balances nous tout dans la gueule !
Bernard se retira de Gigi et se rapprocha des deux coquines, lance en main.
Il se déchargea sur leurs visages. Elles avalérent chacune leurs rations de potion magique avec délectation.
Ce fut le moment choisit par Jacques pour faire irruption dans l'appartement.
Son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il découvrit la scène.
La Poire, affalé dans le canapé, la queue reput par sa femme et les deux garces, chattes à l'air, la bouche dégoulinant de sperme.
- Bah...Ghislaine...C'est quoi ce bordel ? Ne m'dis pas que...
Décidément, il avait toujours une érection de retard le Jacky ! La partouze était terminée...
Le petit marteau du juge Poirier avait rendu son verdict.
Répondant des chefs d'accusations de frigidité et de tue-l'amour, Gigi venait d'en être...facialement blanchit !!!
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