Le châtiment d'Haruka - histoire érotique

Petite précision avant de commencer, ce court récit est inspiré d'une " légende " Japonnaise n'ayant jamais été prouvée.Merci de garder en tête qu'il s'agit donc d'une fiction et rien d'autres. Merci !


En l'an 1214, à l'ére du Shogunat de Kamakura, le printemps était déjà bien installé dans la province de Tokaido. Revêtue de son traditionnel Yukata bleu, Haruka, jeune femme de 22 ans, remontait d'un pas lent le chemin de terre, recouverts des pétales roses des cerisiers abondamment fleuris à cette saison, qui menait au Shoen du seigneur Mayama, domaine agricole où son époux, Kojiro, était employé en tant que Jito.
En approchant de son Oya, elle croisa l'arrogante Mitsuko, l'épouse de Mayama.
La vieille femme jalousait la beauté et la jeunesse d'Haruka. Comme à son habitude, elle l'a toisa de son regard inquisiteur, sans lui adresser un mot, pour lui signifier sa position sociale supérieure ainsi que son mépris.

Haruka se contenta de baisser les yeux en la saluant avec le respect et la timidité qui lui était commune, puis pressa la pas pour ne pas prolonger cette situation qu'elle détestait tant et ainsi, regagner au plus vite la sécurité de sa petite maison.

La douce chaleur de l'après-midi envahissait l'air alors qu'Haruka s'occupait des tâches habituelles dévolues aux femmes au foyer.

Elle s'était unie à Kojiro trois ans auparavant. Cette union n'était pas le fruit de l'amour mais celui d'un arrangement entre sa famille et lui.
L'homme de 35 ans, d'une laideur répugnante, éprouvant les pires difficultés pour trouver sa promise, avait mis sa condition privilégiée de Jito du seigneur en avant pour convaincre le père d'Haruka de lui céder sa main.
Même si le mariage était régulièrement consommé, Kojiro n'avait, jusqu'ici, pas encore réussi à féconder sa femme.

Haruka passait donc ses journées seule à attendre son retour le soir venu.
Elle ne ressentait ni ennui, ni frustration, se contentant de sa besogne quotidienne de femme dévouée qu'elle était pour son mari...Ainsi s'écouler la jeune existence d'Haruka.

Mais, ce jour là, son destin décida de changer de direction pour toujours.

Deux grandes ombres, aussi massives que des faucons, apparurent sur le pas de sa porte. Deux Samouraïs se présentèrent à elle.
De passage dans le village ils souhaitaient s'abreuver avant de reprendre leur route.
Comme il était impensable de refuser pareille requête à deux guerriers du Shogun, Haruka les fit entrer. Ils paraissaient majestueux dans leurs armures de combattants ancestraux.
Haruka leur servit le trafitionnel Saké. Les deux hommes se désaltérent copieusement de l'alcool de riz, tout en dissertant entre eux à voix basse, jetant des regards carnassiers par intermittence vers la jeune femme.
Depuis sa tendre enfance, elle était fascinée par ses guerriers qui avaient conquis le pouvoir au Japon trente ans auparavant lors de la guerre de Genpei, ce qui leurs concédaient toute légitimité, malgré le fait qu'ils opéraient sous l'autorité du Bakufu dirigé par le Shogun.

Le plus âgé d'entre eux, Tetsuya, se leva sans un mot. Il se saisit du Katana qu'il portait en bandoulière et se dirigea vers Haruka, apeurée.

Il fit passer la longue lame aiguisée de son sabre sous la ceinture de tissu du Kimono de la jeune femme et la sectionna, sous le regard narquois de son camarade, Hiro.

Tetsuya empoigna le Yukata d'Haruka de chaque côté du col et le fit glisser au sol.
Sa fine silhouette, ses petits seins ronds aux sombres tétons proéminents ainsi que son épaisse toison brune se dévoilérent pour la première fois à d'autres yeux que ceux de Kojiro.

Haruka tremblait de tout son corps, non de peur, celle-ci avait disparue face à l'audace de ce beau et grand samouraï. Elle chavira comme cela ne lui était jamais arrivée et en signe d'approbation, posa ses mains sur le torse carossé de Tetsuya tout en plongeant son regard plein d'envie dans le sien.

D'un signe de tête, il invita Hiro à les rejoindre.

Les deux soldats posèrent leurs mains sur le corps nu d'Haruka, parcourant la moindre parcelle de sa peau douce.
Envahie de caresses, elle ferma les yeux et s'abandonna.
Hiro lui goba tour à tour les mamelons avec férocité alors que Tetsuya s'aventura au niveau de son entre-jambes et pénétra deux doigts dans son vagin humide de plaisir.

Haruka dût s'aggriper aux solides épaules de ses visiteurs, les jambes ne la tenant déjà plus. Elle voulut que cet instant ne s'arrête jamais.

Mais les deux samouraïs, en mission spéciale , n'ayant pas l'intention de s'attarder, décidèrent d'en finir.

Ils allongérent la jeune femme à même le sol et retirérent leurs armures pour se mettre nu. Leurs pénis étaient aussi long et dur que leurs Katanas.

Hiro, tenant son membre en main, s'approcha du visage d'Haruka qui l'accueillit en bouche alors que Tetsuya plongea sa langue dans la fente touffue de la jeune femme.

Haruka absorba Hiro avec enthousiasme, le masturbant de sa petite main. Elle pouvait sentir son gland au fond de sa gorge, comme elle sentait Tetsuya lui nettoyant le sexe d'où s'echappait un flot continu de Cyprine.

Ce dernier finit par venir entre les cuisses de l'épouse devenue infidèle. Il plaça son sexe à l'entrée du vagin d'Haruka et, d'un franc coup de rein, lui transperça ses deux grandes lèvres pour s'insérer à l'intérieur d'elle.
Chaque pénetration provoquait chez elle de petits cris aiguës, opposant une bien faible comparaison au râles guturaux des deux militaires qui echangérent leurs places.

A son tour, Hiro envahit Haruka d'un va-et-vient soutenu alors que son camarade fut avalé par la jeune femme avec gourmandise.

Remplit de toute part, Haruka ne se contrôlait plus, le plaisir la rendait complètement folle qu'elle voulut demander grâce.
Les deux guerriers exhausérent son voeu.
Ils se retirérent de leurs orifices respectifs et honorérent la jeune femme en lui recouvrant le ventre et les seins de leurs précieuses semences.

Les samouraïs reprirent propriété de leurs équipements, quittèrent l'oya pour disparaître à jamais, laissant Haruka, dans un état d'extase avancé.

Mitsuko, qui avait assisté de loin au départ des deux serviteurs du Shogun, s'approcha de la petite maison. Elle passa la porte entrouverte et découvrit Haruka, haletante au sol, les yeux clôts et sourire aux lèvres, le corps ruisselant de l'offrande des deux guerriers.

L'euphorie l'envahissa...Enfin, elle avait de quoi assouvir sa haine envers la jolie Haruka.

Mitsuko se précipita pour dénoncer les faits aux autorités local du Shogun...

Le lendemain, trois Shogus se présentèrent et, sous le regard abasourdit de Kojiro, ils se saisirent d'Haruka pour l'emmener.

Sur dénonciation de Mitsuko, elle s'était rendue coupable d'adultère et devait subir la punition qui s'imposait.

Elle fut traînée au milieu du village où la population s'était déjà rassemblée en masse à l'annonce de la nouvelle. Tout le monde savait ce qui attendait la pauvre Haruka...
La femme infidèle devait être humiliée en public selon la tradition du Gokkun...

Kojiro, brisé par le déshonneur, ne put assister à la sentence. Il resta seul...attendant que la vindicte populaire s'abatte sur son épouse.

Haruka, encadrée par deux Shogus, fut mise a genoux au milieu de la foule. Ils déchirérent son kimono pour la mettre totalement nue.
Dans un réflexe de pudeur, elle cacha sa poitrine avec ses bras.

Les gens autour d'elle s'agitaient dans un brouhaha épouvantable demandant justice pour Kojiro et humiliation pour Haruka.
Elle savait ce qui l'attendait...

Il fut demander aux hommes de l'assistance de se regrouper face à Haruka, chacun d'entre eux devant jouer le rôle de "bourreau", le reste de la foule se positionna en arc de cercle autour d'eux.

Le Shogu désigna l'homme qui devait sévir le premier.
Celui-ci se plaça au plus proche d'Haruka...son calvaire pouvait commencer.

L'homme masturba son pénis en érection et lui envoya en pleine figure la première salve de justice.

Les autres se succédèrent, se masturbant tour à tour face à la jeune femme, la recouvrant abondamment de sperme.

Haruka recevait la vengeance populaire, inondant son visage et sa bouche.
Le liquide chaud formait un ruisseau courrant le long de son corps, entre ses petits seins, pénétrant au travers de sa toison pubienne, pour s'écouler, goutte à goutte, au sol, formant une flaque blanchâtre qui prenait de l'ampleur au fil de la sentence.

Le souillage de son être dura deux heures, le temps que chaque mâle du village ait put accomplir son devoir au nom du Shogun.

La foule se dissipa peu à peu. L'un des Shogu ramassa le kimono d'Haruka et lui jeta dessus.

Une fine pluie commença à tomber sur le village...Cette pluie, qui selon la croyance japonnaise au Moyen-âge, provenaient des dieux qui envoyaient sur terre leurs propres semences dans le but de fertiliser les sols.

Eux aussi avaient décidés de se joindre au Gokkun.

Tel fut le châtiment d'Haruka, la femme infidèle de Kojiro.

FIN