JAMAIS TROP TÔT
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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JAMAIS TROP TÔT
Bérengère se réveilla en sentant Kevin agglutiné contre elle, sa main se baladant sur le
bas de son dos, ses doigts se déplaçaient lentement, en décrivant de longs cercles
insistants.
Un coup d'œil au réveil lui apprit qu'il était 5H30 du matin, et qu’elle avait droit à
une heure de sommeil supplémentaire.
Elle roula de sa position à plat ventre vers le côté pour lui tourner le dos et signifier
à l’importun qu’elle ne souhaitait pas de câlin, mais en une fraction de seconde il était
de nouveau scotché contre elle, mélangeant sa chaleur à la sienne.
Les intentions de son homme étaient claires, sa bite palpitait contre sa fesse de manière
motivante.
Il l’enlaça tendrement, sa main pris automatiquement le chemin du contour doux et
malléable de sa poitrine, ses doigts pétrissant sa chair. Ses mamelons s’érigèrent par
anticipation.
"Salut, mamours !" grogna-t-il d'une voix rauque, la bouche dans son cou, juste sous
l’oreille.
Bérengère a incliné la tête, exposant son cou et ses épaules aux baisers de la bouche
gourmande.
Il embrassait et mordillait en même temps, éveillant le désir de sa femme engourdie de
sommeil.
"Tu sens bon, chérie !" gémit-il, son ventre se pressant doucement contre ses fesses.
Elle sourit, mais d’une voix de petite fille boudeuse : "Pourquoi me réveiller si tôt? Il
fait encore nuit !"
Kevin resserra sa prise sur sa poitrine et pinça durement son téton entre son pouce et
son index.
Une douleur lancinante traversa son ventre, forant sa chatte. Pantelante, elle attendait
la rémanence.
"Parce que j’ai la trique et que je veux te niquer !" murmura-t-il en faisant crisser ses
dents sur sa peau.
Bérengère gémit doucement d’émotion et mit sa main sur son cul, l'attirant fermement
contre elle.
Kevin a accentué la pression sur son sein, tordant son mamelon pour la faire gémir en se
mordant la lèvre inférieure.
Il savait ce qu'elle aimait, mais il était également conscient qu'il ne voulait pas lui
faire de mal.
Peu importait ce qu’elle lui réclamait, en lui disant que la pression, la douleur, et les
piques qui lui traversaient le corps étaient ce qu'elle voulait, il hésitait toujours,
par peur d’aller trop loin.
En réponse à cette agression sur ses mamelons sensibles, Bérengère sentit sa chatte
palpiter et se gorger de sang.
Le désir d'être prise, possédée, baisée commençait à prendre forme.
"Je vais te baiser la cervelle jusqu’à ce que tu perdes la tête, petite chienne !"
grogna-t-il en saisissant sa gorge.
Bérengère souffla lorsque la douleur dans son mamelon s'évasa autour de son aréole.
Elle acquiesça silencieusement en ouvrant ses cuisses, levant une jambe pour la poser sur
celle de Kevin.
Sa chatte béante suintait ses jus chauds dans ses plis délicats.
Incapable de résister, elle se toucha, glissant ses doigts entre ses lèvres épanouies, se
goûtant.
Chaude, collante et un peu acidulée, la bouche ouverte, elle frissonnait de désir.
Kevin bougeait derrière elle, sa main palpait l’entrejambe et il grogna son
appréciation : "Tu es déjà toute mouillée !"
Son sexe, maintenant dressé, était entre ses cuisses et il oscillait ses hanches d'avant
en arrière, faisant glisser la tête de son membre le long de sa chatte trempée, écartant
les plis délicats.
Kevin écartait les lèvres avec ses doigts, dansant légèrement le long de sa fente, à la
recherche du petit bouton.
Bérengère cambrait ses reins en frémissant sous la caresse de ces doigts qui exploraient
sa féminité.
Il glissait le bout de ses doigts le long de sa fente humide, encercla le clitoris, le
manipula avec précaution, avant d’enfoncer lentement ses doigts à l'intérieur de sa
chatte en fusion.
Les sons produits par son minou détrempé la faisaient se sentir à la fois salope et sexy.
"Bonne fille. Tu es ma bonne fille, n'est-ce pas?" Lui chuchota-t-il à l'oreille.
Bérengère ronronnait lorsque son souffle chaud glissait dans son cou.
Elle voulait l'embrasser, sentir ses lèvres sur les siennes, ouvrir sa bouche pour être
envahie par sa langue agile.
Progressivement, depuis des mois qu'ils avaient emménagé ensemble, ils avaient peaufiné
ce jeu de domination.
Elle vibrait maintenant de façon incontrôlable, dans l’attente de la pénétration.
"Oui bébé, je t’appartiens, je suis ta petite chienne !" gémit-elle.
"Bonne réponse. Bonne fille. Bravo !"
Soudainement, elle fut roulée sur le ventre et Kevin chevauchait ses cuisses, les
pressant fermement entre les siennes. Bérengère poussa un cri tandis qu’elle sentait la
bite impérieuse s’insérer en elle.
Elle gémit tandis qu'il enfouissait son sexe dans son antre, emplissant sa petite chatte,
l’élargissant pour accueillir sa circonférence. Il poussait ses hanches vers le bas,
appuyant de tout son poids sur elle.
"C'est là que ma bite se plaît bien, Bérengère. Juste ici, à l'intérieur de toi, n'est-ce
pas ?"
Kevin la baisait progressivement, sa bite glissant facilement dans et hors de son vagin
ardent et accueillant.
Bérengère était incapable de prononcer une réponse correcte, tellement il la fourrait
sans ménagement, le bout de son sexe massait la paroi avant de se déplacer plus
profondément pour heurter son col.
Elle pouvait sentir son plaisir augmenter progressivement; un frémissement doux
parcourait sa peau, ses cuisses se tendaient au rythme de ses poussées, son ventre
bouillonnait, sa chatte agrippait la bite, l'engloutissait, essayant de la garder en
elle.
Elle souleva ses hanches aussi haut qu'elle le pouvait, son dos se creusant
inconfortablement pour qu'il puisse pénétrer plus profondément en elle. Elle l'entendit
murmurer son approbation.
Dans cette position, elle savait qu'il pouvait voir sa raie culière et elle aimait ça,
mais cela ne l'empêchait pas de rougir. Malgré tout les plaisirs que lui procuraient les
explorations de ses fesses, elle était toujours déconcertée quand il jouait avec cette
partie de son anatomie.
Elle sentit son pouce s’insérer entre les globes pâles de ses fesses. Elle trembla
lorsqu'il pressa fermement son anus qui se soumettait de bonne grâce à cette
intrusion. Il a persisté de la tourmenter avec ce petit jeu, poussant une phalange en
elle, puis se retirant. Pendant tout ce temps, Bérengère espérait et redoutait qu’il
utilise cet orifice !
Elle était toujours en conflit avec son éducation bourgeoise, cet idée ridicule du bien
et du mal.
Comme s'il pouvait lire dans ses pensées, sans cesser de baiser sa chatte trempée, Kevin
fourra deux doigts dans l’antre sombre. Avec un râle rauque, il poussa en elle et
Bérengère cria, enfouissant son visage dans l’oreiller pour cacher sa joie, sa douleur et
son embarras.
"Bonne petite salope. T’aimes ça, n'est-ce pas ?" Grogna Kevin.
Kevin vrillait ses doigts en elle, pompant sa bite puissamment dans sa chatte. Bérengère
voulait jouir.
"Non, ne bouge pas, reste là, juste comme ça !" exigea-t-il.
Bérengère garda ses hanches soulevées tandis que Kevin sortait sa bite de sa chatte et
ses doigts de son cul.
Bérengère poussa une plainte avant de retenir son souffle en sentant la bite trempée de
ses jus explorer sa fente avant de replonger dans sa chatte. Kevin aimait ce jeu, sortir
d’un orifice, promener l’extrémité de sa bite dans la fente de la fille, semblant
hésiter, quel trou choisir, puis s’enfoncer brutalement devant ou derrière au gré de ses
envies.
"Kevin, non, s'il te plaît ..." murmura-t-elle, plaintive.
"Que veux-tu dire, Bérengère ? Tu veux dire non à ça ?"
Dans un mouvement violent et rapide, Kevin enfonça sa queue turgescente dans son cul,
d’une seule poussée, jusqu'à ce qu'il soit profondément emboîté.
Il saisit sa tignasse pour lui courber la tête en arrière alors que son anneau serré se
dilatait douloureusement.
"Kevin ! Non, non, putain, non !" cria-t-elle, étouffant d'angoisse. Il y avait la
douleur initiale brûlante, déferlante, lancinante, mais qui a presque disparue
rapidement, remplacée par un plaisir profond, opaque et interdit.
Bérengère était cambrée à se briser les reins, fesses soulevées, en appui sur ses coudes,
tête rejetée en arrière.
Elle subissait la charge rageuse de Kevin, victime consentante clouée sur son matelas.
Ses doigts s’agrippèrent aux draps sous elle et elle parvint à tourner la tête pour
regarder son amant sexy en plein effort.
"T’aimes ça, pas vrai, sale pute ?"
Bérengère, petite bourgeoise de bonne famille, s’était encanaillée avec ce métis issu des
quartiers nord, quelques mois plus tôt. Elle avait la peau aussi blanche qu’il était
bronzé. Elle était aussi voluptueuse qu’il était musclé.
Le contraste entre ces deux êtres dissemblables était saisissant, mais elle l’adorait, le
trouvait beau comme un dieu.
Elle sentait sa bite, glissant vigoureusement dans et hors de son cul, lui transmettre sa
chaleur intense.
Il la pénétrait aussi profondément qu'il le pouvait, son ventre pressé contre son cul,
tirant fermement ses cheveux en arrière. Elle tendait ses lèvres vers lui et il
l'embrassa voracement, sa langue harcelant sa bouche.
"T’es ma sale salope préférée, pas vrai ?" Il gronda.
Elle lui sourit : "Oui, bébé, je suis ta sale pute, ta salope, ta chienne !"
Il lui sourit également et l'embrassa tendrement. C’était le seul geste de tendresse
qu’il pouvait se permettre, car pour Kevin, tendresse rimait avec faiblesse !
Il lâcha ses cheveux pour agripper ses hanches et la baiser plus vigoureusement.
Bérengère pouvait sentir sa chatte s’associer tandis que Kevin lui bourrait sauvagement
le cul, sa bite la remplissant, l'étirant, grattant la fine membrane entre sa chatte et
son cul, rien à voir avec la sensation de la bite qui forait sa chatte.
Elle s’agrippa à la tête de lit pour crier son plaisir, tétanisée, les jambes agitées de
tremblements, sa chatte convulsait, ses jus suintaient, tachant le drap.
Kevin cria aussi lorsque l’anus de Bérengère se resserra autour de son membre, et que sa
chatte frissonnait sous sa bite ravageuse. Il attendit qu'instinctivement elle se tourne
vers lui, haletante, balbutiant son nom, le suppliant dans son délire sauvage.
Alors qu'elle s’apaisait, haletante sous lui, il retira son sexe pour contempler son anus
évasé.
Il avait envie de la provoquer, de l’entendre le supplier de lui baiser encore le cul.
Et elle le suppliait, comme souvent. Elle rougissait, hésitante, en lui chuchotant
doucement son envie.
Kevin entendit Bérengère gémir et vit de nouveau les spasmes aveugles de son anus
martyrisé.
"Reviens, encore une fois, tu veux bien ?" Demanda-t-elle d'une voix rauque.
"S'il te plaît, bébé, baise-moi. Baise-moi fort !" Tremblante de honte, elle plongea son
visage dans l’oreiller.
Kevin happa une poignée de ses cheveux bouclés, les saisissant fermement dans son poing.
Elle gémit et il l'entendit dire : "Oui, oh oui, Kevin !"
Il aimait voir son visage lorsqu'elle jouissait, contempler la montée du plaisir pendant
qu'il la baisait.
Il regardait attentivement le masque sur son visage lorsqu'il la conduisait au bord du
précipice vertigineux.
Elle souriait parfois, mais des vagues de souffrance déformaient son visage le plus
souvent. Elle semblait être à l'agonie, tandis qu'elle se tordait et se cambrait sous
lui. Parfois même, elle geignait en s'accrochant à lui.
Chaque fois qu'ils baisaient ensemble, il laissait des marques sur elle, une égratignure
ici, une ecchymose ou la trace d’une morsure là-bas. Sa peau était la toile de leur amour
et chaque marque un témoignage de leur passion.
"Je viens, me veux-tu dans ton cul ?" Il souffla, ralentissant ses coups en sentant
bouillonner son sperme.
Bérengère pouvait sentir son sexe s'épaissir, se tendre en elle et elle comprit qu'il
était proche.
"Viens en moi, Kevin !" haleta-t-elle.
Avec un gémissement guttural, Kevin se propulsa sur elle, lui martelant le cul sans
relâche.
En quelques instants, Bérengère repartait juste au moment où Kevin s'écria: "Oh
Bérengère, tiens, tiens !"
Il s’appesantit sur elle, de son sexe jaillissait des jets de sperme, il frissonnait et
tremblait, ses doigts crispés dans ses hanches moelleuses.
Elle sera meurtrie ce soir et il embrassera les petites ecchymoses violettes avant de la
baiser encore et encore, ajoutant d’autres marques de propriété. Et elle aimera
ça. Encore et encore.
bas de son dos, ses doigts se déplaçaient lentement, en décrivant de longs cercles
insistants.
Un coup d'œil au réveil lui apprit qu'il était 5H30 du matin, et qu’elle avait droit à
une heure de sommeil supplémentaire.
Elle roula de sa position à plat ventre vers le côté pour lui tourner le dos et signifier
à l’importun qu’elle ne souhaitait pas de câlin, mais en une fraction de seconde il était
de nouveau scotché contre elle, mélangeant sa chaleur à la sienne.
Les intentions de son homme étaient claires, sa bite palpitait contre sa fesse de manière
motivante.
Il l’enlaça tendrement, sa main pris automatiquement le chemin du contour doux et
malléable de sa poitrine, ses doigts pétrissant sa chair. Ses mamelons s’érigèrent par
anticipation.
"Salut, mamours !" grogna-t-il d'une voix rauque, la bouche dans son cou, juste sous
l’oreille.
Bérengère a incliné la tête, exposant son cou et ses épaules aux baisers de la bouche
gourmande.
Il embrassait et mordillait en même temps, éveillant le désir de sa femme engourdie de
sommeil.
"Tu sens bon, chérie !" gémit-il, son ventre se pressant doucement contre ses fesses.
Elle sourit, mais d’une voix de petite fille boudeuse : "Pourquoi me réveiller si tôt? Il
fait encore nuit !"
Kevin resserra sa prise sur sa poitrine et pinça durement son téton entre son pouce et
son index.
Une douleur lancinante traversa son ventre, forant sa chatte. Pantelante, elle attendait
la rémanence.
"Parce que j’ai la trique et que je veux te niquer !" murmura-t-il en faisant crisser ses
dents sur sa peau.
Bérengère gémit doucement d’émotion et mit sa main sur son cul, l'attirant fermement
contre elle.
Kevin a accentué la pression sur son sein, tordant son mamelon pour la faire gémir en se
mordant la lèvre inférieure.
Il savait ce qu'elle aimait, mais il était également conscient qu'il ne voulait pas lui
faire de mal.
Peu importait ce qu’elle lui réclamait, en lui disant que la pression, la douleur, et les
piques qui lui traversaient le corps étaient ce qu'elle voulait, il hésitait toujours,
par peur d’aller trop loin.
En réponse à cette agression sur ses mamelons sensibles, Bérengère sentit sa chatte
palpiter et se gorger de sang.
Le désir d'être prise, possédée, baisée commençait à prendre forme.
"Je vais te baiser la cervelle jusqu’à ce que tu perdes la tête, petite chienne !"
grogna-t-il en saisissant sa gorge.
Bérengère souffla lorsque la douleur dans son mamelon s'évasa autour de son aréole.
Elle acquiesça silencieusement en ouvrant ses cuisses, levant une jambe pour la poser sur
celle de Kevin.
Sa chatte béante suintait ses jus chauds dans ses plis délicats.
Incapable de résister, elle se toucha, glissant ses doigts entre ses lèvres épanouies, se
goûtant.
Chaude, collante et un peu acidulée, la bouche ouverte, elle frissonnait de désir.
Kevin bougeait derrière elle, sa main palpait l’entrejambe et il grogna son
appréciation : "Tu es déjà toute mouillée !"
Son sexe, maintenant dressé, était entre ses cuisses et il oscillait ses hanches d'avant
en arrière, faisant glisser la tête de son membre le long de sa chatte trempée, écartant
les plis délicats.
Kevin écartait les lèvres avec ses doigts, dansant légèrement le long de sa fente, à la
recherche du petit bouton.
Bérengère cambrait ses reins en frémissant sous la caresse de ces doigts qui exploraient
sa féminité.
Il glissait le bout de ses doigts le long de sa fente humide, encercla le clitoris, le
manipula avec précaution, avant d’enfoncer lentement ses doigts à l'intérieur de sa
chatte en fusion.
Les sons produits par son minou détrempé la faisaient se sentir à la fois salope et sexy.
"Bonne fille. Tu es ma bonne fille, n'est-ce pas?" Lui chuchota-t-il à l'oreille.
Bérengère ronronnait lorsque son souffle chaud glissait dans son cou.
Elle voulait l'embrasser, sentir ses lèvres sur les siennes, ouvrir sa bouche pour être
envahie par sa langue agile.
Progressivement, depuis des mois qu'ils avaient emménagé ensemble, ils avaient peaufiné
ce jeu de domination.
Elle vibrait maintenant de façon incontrôlable, dans l’attente de la pénétration.
"Oui bébé, je t’appartiens, je suis ta petite chienne !" gémit-elle.
"Bonne réponse. Bonne fille. Bravo !"
Soudainement, elle fut roulée sur le ventre et Kevin chevauchait ses cuisses, les
pressant fermement entre les siennes. Bérengère poussa un cri tandis qu’elle sentait la
bite impérieuse s’insérer en elle.
Elle gémit tandis qu'il enfouissait son sexe dans son antre, emplissant sa petite chatte,
l’élargissant pour accueillir sa circonférence. Il poussait ses hanches vers le bas,
appuyant de tout son poids sur elle.
"C'est là que ma bite se plaît bien, Bérengère. Juste ici, à l'intérieur de toi, n'est-ce
pas ?"
Kevin la baisait progressivement, sa bite glissant facilement dans et hors de son vagin
ardent et accueillant.
Bérengère était incapable de prononcer une réponse correcte, tellement il la fourrait
sans ménagement, le bout de son sexe massait la paroi avant de se déplacer plus
profondément pour heurter son col.
Elle pouvait sentir son plaisir augmenter progressivement; un frémissement doux
parcourait sa peau, ses cuisses se tendaient au rythme de ses poussées, son ventre
bouillonnait, sa chatte agrippait la bite, l'engloutissait, essayant de la garder en
elle.
Elle souleva ses hanches aussi haut qu'elle le pouvait, son dos se creusant
inconfortablement pour qu'il puisse pénétrer plus profondément en elle. Elle l'entendit
murmurer son approbation.
Dans cette position, elle savait qu'il pouvait voir sa raie culière et elle aimait ça,
mais cela ne l'empêchait pas de rougir. Malgré tout les plaisirs que lui procuraient les
explorations de ses fesses, elle était toujours déconcertée quand il jouait avec cette
partie de son anatomie.
Elle sentit son pouce s’insérer entre les globes pâles de ses fesses. Elle trembla
lorsqu'il pressa fermement son anus qui se soumettait de bonne grâce à cette
intrusion. Il a persisté de la tourmenter avec ce petit jeu, poussant une phalange en
elle, puis se retirant. Pendant tout ce temps, Bérengère espérait et redoutait qu’il
utilise cet orifice !
Elle était toujours en conflit avec son éducation bourgeoise, cet idée ridicule du bien
et du mal.
Comme s'il pouvait lire dans ses pensées, sans cesser de baiser sa chatte trempée, Kevin
fourra deux doigts dans l’antre sombre. Avec un râle rauque, il poussa en elle et
Bérengère cria, enfouissant son visage dans l’oreiller pour cacher sa joie, sa douleur et
son embarras.
"Bonne petite salope. T’aimes ça, n'est-ce pas ?" Grogna Kevin.
Kevin vrillait ses doigts en elle, pompant sa bite puissamment dans sa chatte. Bérengère
voulait jouir.
"Non, ne bouge pas, reste là, juste comme ça !" exigea-t-il.
Bérengère garda ses hanches soulevées tandis que Kevin sortait sa bite de sa chatte et
ses doigts de son cul.
Bérengère poussa une plainte avant de retenir son souffle en sentant la bite trempée de
ses jus explorer sa fente avant de replonger dans sa chatte. Kevin aimait ce jeu, sortir
d’un orifice, promener l’extrémité de sa bite dans la fente de la fille, semblant
hésiter, quel trou choisir, puis s’enfoncer brutalement devant ou derrière au gré de ses
envies.
"Kevin, non, s'il te plaît ..." murmura-t-elle, plaintive.
"Que veux-tu dire, Bérengère ? Tu veux dire non à ça ?"
Dans un mouvement violent et rapide, Kevin enfonça sa queue turgescente dans son cul,
d’une seule poussée, jusqu'à ce qu'il soit profondément emboîté.
Il saisit sa tignasse pour lui courber la tête en arrière alors que son anneau serré se
dilatait douloureusement.
"Kevin ! Non, non, putain, non !" cria-t-elle, étouffant d'angoisse. Il y avait la
douleur initiale brûlante, déferlante, lancinante, mais qui a presque disparue
rapidement, remplacée par un plaisir profond, opaque et interdit.
Bérengère était cambrée à se briser les reins, fesses soulevées, en appui sur ses coudes,
tête rejetée en arrière.
Elle subissait la charge rageuse de Kevin, victime consentante clouée sur son matelas.
Ses doigts s’agrippèrent aux draps sous elle et elle parvint à tourner la tête pour
regarder son amant sexy en plein effort.
"T’aimes ça, pas vrai, sale pute ?"
Bérengère, petite bourgeoise de bonne famille, s’était encanaillée avec ce métis issu des
quartiers nord, quelques mois plus tôt. Elle avait la peau aussi blanche qu’il était
bronzé. Elle était aussi voluptueuse qu’il était musclé.
Le contraste entre ces deux êtres dissemblables était saisissant, mais elle l’adorait, le
trouvait beau comme un dieu.
Elle sentait sa bite, glissant vigoureusement dans et hors de son cul, lui transmettre sa
chaleur intense.
Il la pénétrait aussi profondément qu'il le pouvait, son ventre pressé contre son cul,
tirant fermement ses cheveux en arrière. Elle tendait ses lèvres vers lui et il
l'embrassa voracement, sa langue harcelant sa bouche.
"T’es ma sale salope préférée, pas vrai ?" Il gronda.
Elle lui sourit : "Oui, bébé, je suis ta sale pute, ta salope, ta chienne !"
Il lui sourit également et l'embrassa tendrement. C’était le seul geste de tendresse
qu’il pouvait se permettre, car pour Kevin, tendresse rimait avec faiblesse !
Il lâcha ses cheveux pour agripper ses hanches et la baiser plus vigoureusement.
Bérengère pouvait sentir sa chatte s’associer tandis que Kevin lui bourrait sauvagement
le cul, sa bite la remplissant, l'étirant, grattant la fine membrane entre sa chatte et
son cul, rien à voir avec la sensation de la bite qui forait sa chatte.
Elle s’agrippa à la tête de lit pour crier son plaisir, tétanisée, les jambes agitées de
tremblements, sa chatte convulsait, ses jus suintaient, tachant le drap.
Kevin cria aussi lorsque l’anus de Bérengère se resserra autour de son membre, et que sa
chatte frissonnait sous sa bite ravageuse. Il attendit qu'instinctivement elle se tourne
vers lui, haletante, balbutiant son nom, le suppliant dans son délire sauvage.
Alors qu'elle s’apaisait, haletante sous lui, il retira son sexe pour contempler son anus
évasé.
Il avait envie de la provoquer, de l’entendre le supplier de lui baiser encore le cul.
Et elle le suppliait, comme souvent. Elle rougissait, hésitante, en lui chuchotant
doucement son envie.
Kevin entendit Bérengère gémir et vit de nouveau les spasmes aveugles de son anus
martyrisé.
"Reviens, encore une fois, tu veux bien ?" Demanda-t-elle d'une voix rauque.
"S'il te plaît, bébé, baise-moi. Baise-moi fort !" Tremblante de honte, elle plongea son
visage dans l’oreiller.
Kevin happa une poignée de ses cheveux bouclés, les saisissant fermement dans son poing.
Elle gémit et il l'entendit dire : "Oui, oh oui, Kevin !"
Il aimait voir son visage lorsqu'elle jouissait, contempler la montée du plaisir pendant
qu'il la baisait.
Il regardait attentivement le masque sur son visage lorsqu'il la conduisait au bord du
précipice vertigineux.
Elle souriait parfois, mais des vagues de souffrance déformaient son visage le plus
souvent. Elle semblait être à l'agonie, tandis qu'elle se tordait et se cambrait sous
lui. Parfois même, elle geignait en s'accrochant à lui.
Chaque fois qu'ils baisaient ensemble, il laissait des marques sur elle, une égratignure
ici, une ecchymose ou la trace d’une morsure là-bas. Sa peau était la toile de leur amour
et chaque marque un témoignage de leur passion.
"Je viens, me veux-tu dans ton cul ?" Il souffla, ralentissant ses coups en sentant
bouillonner son sperme.
Bérengère pouvait sentir son sexe s'épaissir, se tendre en elle et elle comprit qu'il
était proche.
"Viens en moi, Kevin !" haleta-t-elle.
Avec un gémissement guttural, Kevin se propulsa sur elle, lui martelant le cul sans
relâche.
En quelques instants, Bérengère repartait juste au moment où Kevin s'écria: "Oh
Bérengère, tiens, tiens !"
Il s’appesantit sur elle, de son sexe jaillissait des jets de sperme, il frissonnait et
tremblait, ses doigts crispés dans ses hanches moelleuses.
Elle sera meurtrie ce soir et il embrassera les petites ecchymoses violettes avant de la
baiser encore et encore, ajoutant d’autres marques de propriété. Et elle aimera
ça. Encore et encore.
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