Je ferais n'importe quoi, pour ?

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Je ferais n'importe quoi, pour ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je ferais n'importe quoi, pour ?
Alors que je sors de ma location, mon regard se focalise sur une mini qui vient de se garer sur la route surélevée. Jusque-là rien d’anormal, sauf que, quand la portière côté chauffeur s’ouvre, c’est pour laisser passer une paire de jambes. D’où je me trouve, j’ai une place de roi, je ne peux que me rincer l’œil. Surtout que ses mêmes jambes, appartiennent à une belle jeune fille à lunettes. Sur un visage d’enfant. Avec des fossettes au creux des joues et des yeux rieurs. Mais surtout, son corps est celui d’une femme. Sa poitrine développée, ses fesses pommées, ses cuisses charnues.
Je tombe tout de suite sous son charme, surtout que voilà qu’elle se déplace avec désinvolture. Jusqu’à atteindre le coffre. Comme toujours, je m’assure à prendre judicieusement une place pour avoir le loisir de laisser mes yeux vagabonder là où il faut. J’ai au point de mire l’ourlet de la minijupe courte. Comme celle que portent les joueuses de tennis. Sa position surhaussée, mais surtout courbée est saisissante pour mes rétines. Croupe tendue, ses fesses tournées dans ma direction. Je peux sans modération lorgner la petite lingerie qui couvre son cul. D’autant plus, qu’elle s’enfonce la tête en première dans le coffre de sa mini. Dans une pose parfaitement indécente. Je la surprends même la coquine en train de m’observer à la dérobée. Je ne m’interdis pas de la contempler.
De même l’étudié avec intérêt. Ce jeu me trouble. À en avoir le sexe à l’étroit dans mon slip. Mais voilà, pour mon plus grand désarroi, la jeune femme se redresse et me fixe. Elle me houspille, m’expliquant qu’elle m’a surpris en train de me rincer l’œil, et que ce n’est pas bien !
Il est temps pour moi de prendre congé.
Fait de hasard ou pas, je la retrouve le lendemain dans la rue. Là-même où je l’avais laissé la veille. À la différence que ce matin elle est vêtue d’une robe sexy, qui la moule comme une seconde peau. Qui laisse apparaître juste ce qu’il faut, pour faire monter la libido à qui pose ses yeux sur elle. Une courbe, un arrondi, une plage de chaire claire que laisse entrevoir la transparence de sous-vêtement.
Un début d’érection me prend au dépourvu.
- Dis-donc, je ne rêve pas, tu mates encore ? Me lance-t-elle.
- Et alors j’ai un faible pour tout ce qui est beau à voir.
-Cela n’est pas pour me déplaire ce que tu viens de dire, surtout quand le mec est beau !
- Tu m’en vois ravi ! Merci du compliment !
- Tant que cela reste du voyeurisme, mais pas question de toucher. Me lâche-t-elle en me fixant de ses yeux en souriant.
- Je ne touche jamais sans y être invité !
Elle me regarde. Je lui fais un clin d’œil. Petite hésitation, avant de laisser sortir de sa bouche.
- Ça t’arrive de fantasmer sur des jeunes filles comme moi ?
- Ça m'arrive oui, et pas qu’une seule fois !
- Tu me charries, là ?
- Je n’ai jamais été aussi sérieux !
- Eh bien, je t’écoute.
- Tu veux entendre quoi ?
- Un scénario de fantasme, bien sûr !
- Tu crois que c’est aussi simple que ça !
- Je suis certaine que tu débordes d’imagination, vas-y, je t’écoute.
Là, elle pose son attention de moi. Un regard nonchalant, un rien aguicheur.
- Si cela est ton souhait pourquoi pas.
Je prends un temps de réflexion, puis je me lance.
- Tiens, imagine que nous sommes comme là devant ta voiture, il est tard, il fait nuit, nous sommes comme tout seul au monde. Tu es en train de fouiller dans ton coffre. Tu ne m’as pas entendu arriver. Je suis juste dans ton dos. Je me colle lentement à toi. Je me frotte à toi. Je t’enlace par la taille, t’attire à moi. Je pose mes mains sur son ventre. Tu es soumise. Mon bassin au niveau de tes fesses, tu ressens mon érection à travers les couches de tissu. Mes mains glissent jusqu’à ta poitrine.
- Cela tombe bien, me coupe-t-elle, j’aime bien qu’on me caresse la poitrine !


Mettant de côté ce que je venais d’entendre, je continue mon récit apprivoisé :
- Tu colles ton bassin au mien. Tu ondules lentement des fesses. Il est temps pour moi d’en voir un peu plus. Pour cela, je fais tomber ta robe à tes pieds.
- En pleine rue ? S’injurie-t-elle ?
- Tu m’apparais en petite tenue. Bas, jarretelles.
- Tu es de ce genre-là, toi ?
- Et pas qu’un peu ! Je te fais t’asseoir sur le siège. Je fais sauter des escarpins et hume tes pieds.
- Sache que je transpire fort des pieds !
- Je te les embrasse, te les lèche. Ton odeur m’enivre.
- Je n’en suis pas si sûr que toi, là !
- Ma bouche remonte le long de tes jambes. Tu glousses, ravie de mon initiative. Je continue sur ma lancée et saisis ta culotte, la fait rouler sur tes hanches, la baissant au milieu des cuisses. Par automatisme, tu portes les mains à ton bas-ventre pour dissimuler ton sexe.
- Espèce de gros cochon !
Son sourire trahit sa satisfaction.
- Tu sais que je bande, là !
- Oui, comme je mouille pour ma part ma culotte.
- De quelle couleur ?
- Continue ton fantasme !
- Quelle couleur ta culotte où je me casse !
- Elle est noire.
- Montre ?
- Ça ne va pas, pas en pleine rue.
-Montre je te dis ?
Contraint et forcé, elle soulève l’ourlet de sa robe. Et ce que je vois n’est pas pour soulager ma libido. Alors je continue ma saga.
- Je te demande de te retourner, de te pencher que je le vois mieux. Tu te plies en deux sur le siège, étalant sa croupe. Ouais ! Tu as vraiment un beau cul !
- Merci !
- J’empoigne à pleines mains la chair tende des fesses et les écarte sans ménagement. Les globes étirés laissent voir la raie, le sillon à peine marqué d’une ligne rosâtre dans laquelle saillie l’anus d’un rose plus vif. Plus basses, les grandes lèvres s’entrouvrent sur les nymphes, qui pendent.
Je passe une main dans la raie, palpant le bourrelet de l’anus.
- Dire que tous les petits amis que j’ai eus jusqu’alors n’étaient pas artisan de ce genre de caresse.
- Je pousse, j’ajoute, ignorant encore une fois ses dires, et continuant à formuler mon fantasme.
- Je fais pénétrer le bout de mon index dans l’orifice. Tu te raidis.
- Oh Alain, tu ne vas pas !
- Pourquoi ? Tu n’aimes pas ça ?
- Je… Je ne sais pas !
- Je pose la main, éprouvant le grain de la peau, l’élasticité des chairs. Emporté par mon envie, je me penche et pose mes lèvres sur un globe lisse et le couvre de baisers la croupe que je convoite depuis hier soir.
- Non !
- Comme je te dis…
- Je m’enhardis, mes baisers deviennent des coups de langue. Je lèche la raie sur toute la longueur, bavant sur le petit trou que je ne force pas, préférant descendre pour repousser les nymphes pendantes, les écarter, atteindre l’entrée d vagin et goûter la mouille acidulée.
- Oh-là… Tu vas fort…
- Ma bouche passe d’un orifice à l’autre, te tirant des frissons toujours penchée sur le bureau. Tu gémis chaque fois que ma langue s’enfonce dans ton sexe, ou vient agacer les replis de ton anus.
Un grand sourire fripon éclaire son visage. Elle se passe le bout de la langue sur ses lèvres. Son bassin exécute un imperceptible mouvement de balancier. Son regard est perdu dans le lointain.
- J’adore ton goût amer. L’odeur que dégage ton anus. Enfin, j’aime ton cul.
Elle gigote un peu, elle a comme un léger mouvement de contraction. Moi, j’ai une violente érection. J’ai beau me tortiller, j’ai la queue coincée, pressurée dans mon pantalon trop étroit.
Avec un air pervers, elle me propose de la suivre jusque chez elle. Curieux de connaître la suite, je m’exécute. Alors que je descends les marches derrière elle, elle m’assure que si je suis obéissant, je gagnerai, de la voir connue. Je devine qu’elle a envie de s’amuser avec moi, ce qui vue les circonstances n'est pas si désagréable que ça.
- Tu t’appelles comment ? Me fait-elle.
- Alain…
- Moi, c’est Marjorie.
- Enchanté Marjorie.
- Oui, c’est ça, tient, fait-elle en fermant la porte derrière moi. Fous-toi à poils.
- Et bien toi, tu es du genre à aller droit au but.
- Tu n’as pas envie, toi ?
Je me balance d’un pied à l’autre attendant impatient la suite. J’ouvre de grands yeux et me gave de son corps à demi-nu. Elle s’accroupit juste assez pour que son entrejambe se pose sur mon visage. Il est sanglé dans le mini-slip de coton noir, et je dois l’écarter avec les dents pour pouvoir la lécher. Hélas pour moi pas un seul poil à me mettre sous les yeux. Elle se saisit de ma queue, dans sa petite main et entreprend de me branler. La conjonction des deux actions relève de la sorcellerie. Surtout qu’avec une science consommée, elle change soudain de rythme prend mon gland entre deux doigts et l’agite rapidement suivant une faible amplitude tandis que son autre main joue avec mon anus. Faisant entrer son index. Je m’agite, souffle, grogne, étouffé par sa chatte. Surtout que la petite Marjorie n’a aucune retenue et écarte largement les cuisses pour exhiber son sexe, sa fente déplumée.
Devant un tel spectacle, ma queue est prête à exploser. Marjorie me demande de m’allonger sur le lit. Survoltée, elle glisse une main entre mes cuisses pour se saisir de mes couilles. De sa main libre, elle se pelote les seins, agaçant ses pointes toutes gonflées. Sa main abandonne mes couilles pour s’intéresser à nouveau à ma hampe. Qu’elle fait bouger entre ses doigts. Du bout de l’index, elle frotte le gland. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir.
- Tu sais Alain, branler un homme est un plaisir divin. Mais attention, pas de façon stupide ! Jouer longuement avec une queue et les couilles me plaît. Je ne m’en lasse jamais. La queue des hommes est mon jouet favori. Les amants que j’ai gardés le plus longtemps sont ceux qui acceptaient de se plier à ma déplorable manie de tripoter leur queue. D’emblée, nous convenons que leur sexe m’appartient. Pour ma part, j’aime me faire branler. Qu’on me lèche aussi.
Ma queue pointe comme un poignard. Marjorie continue à jouer avec, avant de pencher la tête pour passer le bout de ma queue sur ses lèvres. Après quelques caresses buccales, elle me prend en bouche. Me suçant en creusant les joues et enroulant sa langue autour de ma verge.
Je me place de façon à être au contact de son sexe. Une chaleur arrive à mes narines. Le clitoris pointe à demi, d’un rose sale, tout baveux. Mes doigts fouillent dans la touffe claire. Putain ! Que le cul de cette jeune fille sent bon. Une odeur un peu bestiale, puissante de mouille, d’urine, de sueur. Je vois éclore l’anus. Une odeur amère caresse mes narines. Je me sens littéralement aspiré à l’intérieur. Je serre les dents pour ne pas gémir pendant qu’elle me pompe tout en malaxant mes bourses. J’écrase ma bouche contre son sexe. Tout de suite, le goût musqué envahit mon palais et ma langue.
Une foufoune qui ne sent rien est comme une rose sans odeur, pour moi, cela m’intéresse pas !
Je donne de grands coups de langue le long des grosses lèvres, les écartant pour titiller l’entrée du vagin, à la saveur plus forte. L’odeur du cul m’enivre. Mais elle se redresse et me fait rouler sur le côté. Elle se met à cheval sur moi. Se saisit de ma queue, d’une main sûre, et se l’introduit en elle. Je manque de défaillir. Malgré les chaudes larmes de plaisir qui courent sur ses cuisses, elle est encore bien serrée, et après quelques amples mouvements de bassin de sa part, je monte déjà dangereusement.
Marjorie se penche sur moi. Je n’ai pas peu de temps pour me ressaisir de cette première émotion, car elle se met subitement autant d’énergie à me chevaucher qu’elle en avait mis à me sucer. Elle monte et descend frénétiquement sur ma queue en marmonnant des oui essoufflés d’excitation. Elle mouille tellement que ses allées et venues deviennent glissantes. Je sens déjà les contractions de son vagin autour de mon sexe. Elle jouit assez longuement tout en réclamant que je continue.
Une lueur fabuleuse éclaire son regard qui se braque sur le mien. Sa respiration est irrégulière, son front couvert d’un voile de transpiration, elle a les joues rougies d’avoir joui. Sa poitrine palpitante sous l’effet d’un rythme cardiaque accélère. Je la trouve plus sublime. Elle prend une inspiration plus profonde et déglutit. Sa respiration haletante, rouge de colère ou de honte.
-Je ne sais pas ce qui m’a pris ? Me lâche-t-elle.
-L’envie !

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