Je suis trop disponible !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Je suis trop disponible !
Paradoxalement, Corinne était contente pour moi !
Grâce au chantier, je n'avais plus besoin de prendre le bus !
Le bâtiment à restaurer était à moins de 500 mètres !
Donc, je rentrai plus tôt pour manger entre 12 et 14 h, et plus vite rentré le soir aussi !
Mais elle ne savait pas, que je n'avais pas su résister aux avances de mon chef de chantier !
Et comme il était sur place, il me sollicitait tous les jours !
Sans oublier Dimitri et ses amis roumains !
J'étais devenu la pute du chantier ! Et j'avais du mal à l'assumer, à la longue !
Chaque vendredi, les roumains m'attendaient dans la salle, qui leur servait de vestiaire !
J'étais obligé de rentrer bien plus tard, afin de me remettre en état !
7 hommes qui m'enculent, et me jouissent où dans le cul, où dans la bouche ! Ca fait beaucoup !
Surtout, sans que Corinne ne se doute de quelque chose !
Elle n'a jamais rien vu, ni su ! J'en avais trop honte ! Sans pouvoir non plus, m'arrêter !
Mais moi, je l'ai mal vécu ! Je perdais toute estime de moi ! C'était plus fort que moi, mais ça faisait trop !
C'est pour ça, au début, que j'ai exigé que Dimitri se cache, pour m'enculer à l'insu des autres !
Ses copains avaient pour consigne d'attendre le vendredi, mais ils me sollicitaient quand même !
Dès que l'un d'entre eux se trouvait seul avec moi ! Il me coinçait !
Donc, j'ai sucé des bites dans des toilettes, dont les murs sentaient encore la peinture.
Je m'y suis fait défoncer aussi ! Egalement sur un tas de sacs de ciment, ou contre un mur pas assez sec.
J'ai eu les mains pleines de peinture à l'huile, toute l'après-midi !
Dans la pièce de stockage du matériel, aussi, entre les gros cartons !
Dimitri avait également, trouvé l'idée de me baiser sur les toits !
J'avoue que j'ai adoré ça !
Par chance, Corinne a cru mon excuse d'"heures supplémentaires" !
Alors, quand je rentrai, et que de temps en temps, je la voyais jouir sur la bite de Dimitri, ou celle de Chris, qui est de nouveau sur la région, je me sentais libéré d'un poids !
Mais c'était pas normal, non plus ! J'étais entrain de fuir mon rôle !
Parallèlement à ça, je n'avais plus envie de me rendre au Sex-shop, évidemment !
Cela m'a fait perdre le fil de ma relation avec Gilles !
Et puis, je commençais vicieusement, à adorer la très large bite de Mario !
Elle était parfaitement calibrée pour mon anus !
Me cognant toujours le fond, en même temps que je sentais frapper ses couilles !
Donc la longueur idéale ! Même si la plus longue queue de Gilles, m'emmenait bien plus haut dans les orgasmes !
Mais ces très, voire trop, profondes pénétrations me faisaient flipper !
Mario était plus épais, d'une dureté incroyable, et bien plus court ! J'adorai ça aussi !
Quand il avait fini de m'enculer, j'avais l'impression qu'on m'avait écartelé avec un énorme marteau piqueur !
J'arrivai jamais à serrer les fesses convenablement pour retenir son foutre !
J'ai trouvé l'idée de mettre un ou deux mouchoirs kleenex sous mon anus, pour les "accidents" inévitables en rentrant chez moi !
Quand les roumains ont terminé leur travail, j'ai commencé à souffler enfin !
Je ne baisais plus qu'avec Mario !
Il en avait besoin, le pauvre ! Sa femme malade ne pouvait plus pratiquer le sexe !
Donc, il a choisit d'assouvir plus assidument, son gout pour les garçons et les hommes, dans les lieux boisés près de chez lui !
Mais, quand Dimitri le roumain, lui a révélé que j'étais sa "femelle" et que j'étais "facile à baiser", il a sauté sur l'occasion ! Je tombai à pic ! Il adorait m'enculer en fin d'après-midi, et se faire accessoirement sucer en arrivant le matin !
Le premier jour, ou les roumains ont terminé leur mission, sur le chantier, il est avec moi, afin de me donner les consignes de travail pour la journée !
Je m'apprête à attaquer mon boulot, pendant qu'il s'éloigne.
Mais il revient, dans mon dos. j'entend des bruits de boucle de ceinture.
Je me retourne, il a sa grosse bite bien dure, entre les doigts !
"Mario ? Qu'est-ce que tu fais ?".
"On va en profiter, on est seuls ! Allez suces moi un peu !".
Il ne me laisse pas le choix ! Il passe sa main derrière ma nuque, et me remplit la gorge !
"Glllllllrrlllllll ! Mario ! Calmes-toi ! Mmmmm ! Glllllllllrrp !...".
Je reçois de nombreux enfoncements de sa grosse verge, dans la bouche.
Je commence à bander ! Mais pourquoi ?
Pourquoi cette disponibilité ? Pourquoi j'aime autant, ce désir envers moi et mes fesses !
Encore une fois, je n'arrive pas à lutter contre cette condition délicieuse, de salope soumise !
Si tous ces hommes en profitent, c'est que je les laisse prendre ce rôle de "Maitre", vis-à-vis de moi !
Il n'a plus besoin de me coincer le visage, en me défonçant la gorge, je l'accompagne en m'accrochant à ses fesses !
Je commence à saliver, comme une pute avide de bite, sur sa verge !
Bêtement, je pense qu'une fellation va le contenter !
Mais après quelques minutes, il me redresse et me place vers la vitre.
Il m'oblige à me tenir sur le rebord de la fenêtre, à mi-hauteur de mes cuisses !
"Mario, t'es fou, on va nous voir !".
"Non, c'est des vitres teintées ! Moi ça m'excite, en tout cas !".
"Orhh ! Je... Je sais... pas ! Hummmm !".
Il me bouffe le cul, un bon et délicieux moment, puis se lève, en collant son énorme gland contre mon œillet.
Je fixe les gens, au dessous de nous, dans la rue, en scrutant leurs regards, pendant que mon anus s'écartèle lentement.
Comme d'habitude, je me sens submergé par sa présence dans mon cul !
Je me mord les lèvres !
Je souffle en gémissant aussi !
"Putain ! Mario ! Je me suis pas encore habitué à ta bite ! Ouuufffffff ! Laisses-moi un peu de temps ! S'il te plait !".
"Ok, mais pas trop longtemps ! J'ai envie de te remplir le cul, avec mon sperme ! C'est bon de jouir dans ta chatte !".
Il utilise rarement cette expression.
Il s'amuse à patienter en me forçant l'anus, et appuyant fortement son gland, au fond de mon cul.
Je râle à chaque fois !
Puis, il amplifie ses mouvements, me secouant de plus en plus fort, devant la vitre teintée.
Chaque retournement de personne, et regard vers nous, me fait douter de la vitre devant moi !
Si on nous voit, on doit assister à mes râles d'orgasme anal, et au plaisir sur mon visage !
Je me sens très humide, entre les cuisses, je baisse ma tête pour vérifier.
Un long filet de jus coule à l'intérieur de ma jambe droite, elle va tacher le flanc de mon jean's Levi's !
Il en oublie que nous devons travailler ! Il prend trop, son temps !
Il m'encule en me procurant une longue série d'orgasmes, au long desquels, il commence à se lâcher verbalement !
Il me traite de "pute de chantier", "petite salope", me dit que c'est ma faute tout ça ! Je suis là pour ça ! Ect... !
La sensation de gonflement dans ma verge, me révèle la montée de mon plaisir prostatique et pénien, je vais éjaculer !
Mon sperme s'éjecte, puis s'écoule dans une complète anarchie, sous ses secousses dans mon cul ! Je joui sans m'en soucier !
Il se lâche enfin ! Il me rempli l'anus en grognant ! Son déversement est interminable !
Ensuite, il se recule, en gardant son gros gland collé à mes fesses.
Il fait remonter le reste de son sperme, avec ses doigts pour m'en couvrir l'anus !
Le jus coule et va tâcher mon slip !
"Orhhh ! Mario ! C'était trop bon, J'ai pris mon pied encore !".
"Pareil, pour moi ! Mon p'tit chéri ! Hummm, j't'en ai mis partout ! C'est excellent ! T'es magnifique avec mon foutre sur le cul ! Oups ! Ca dégouline, je vois ! Putain, c'est excitant !".
En effet, c'est à ce moment, que je constate les dégâts ! Le foutre sort de mon anus éclaté, pour arroser mon pantalon et mon slip, déjà taché de mon propre sperme !
"Oh, putain ! Comment je vais faire ? C'est fini, Mario ! Il faut que j'enlève mes vêtements, la prochaine fois ! J'arrive jamais à garder ton jus ! Ca coule toujours !".
"Hummm ! Moi, ça me plait !".
La seule solution que j'ai trouvé, c'est d'enlever mon slip et de m'en servir pour nettoyer mon Jean's.
Je l'ai rincé sous le robinet d'eau froide, et étendu pour qu'il sèche un peu !
Je rentrerai à midi, sans slip !
Pour l'heure, je me remets à mon boulot, alors que Mario fait de même !
il revient vers 10h30, se pose sur un tas de matériel, puis me dit:
"Arrêtes toi, Chéri ! Je t'ai pris un petit déjeuner ! Tiens !".
Cette attention me touche ! Je dévore les deux pâtisseries qu'il m'offre !
Il prend mon visage à deux reprises pour m'embrasser !
Cette tendresse soudaine me gêne, mais je l'oublie très vite !
On se dresse ensuite, je pense reprendre mon activité, mais il me couche sur le dos, directement sur un gros carton contenant un appareil, dont je ne me souviens plus l'utilité.
"Mario ! Qu'est-ce qui t'arrives ? Ne me dis pas que t'as encore envie ?".
"Si ! Chéri ! Je repense toujours, à ton cul éclaté, plein de foutre ! Regardes comme je bande !".
Il m'a relevé le pantalon pour le coincer au niveau de mes genoux.
Je le devine déjà, en train de tenter de me pénétrer !
Je pousse un énorme cri, quand il y parvient et qu'il me submerge de sensations anales !
Il s'affole !
"Chéri ? Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C'est encore trop sensible ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
L'excitation lui monte d'un coup ! Et il s'affaire en moi, en me faisant crier sans discontinuer !
Sa grosse verge se couvre rapidement du jus anal, encore présent dans mon anus !
Dire que mon cul, commençait à retrouver une condition un peu normale !
Me voilà encore, à vivre un nouvel orgasme sur sa grosse bite !
Je le supplie de ne pas se retenir ! Mais malgré cela, il m'encule comme ça, pendant plus de 15 minutes avant de jouir.
Il m'insémine beaucoup moins abondamment, bien évidemment !
Mais la puissance de son orgasme est bien plus expressive que la première !
Il se retire ensuite, pour faire le tour de mon corps et vient m'embrasser tendrement.
"Merci, chéri, tu me fais beaucoup de bien ! Tu sais !".
Je suis dans une position scabreuse ! Sur le dos, avec les cuisses en l'air, en tenant mon pantalon pour éviter de le tacher encore, avec mon anus plein de jus !
"C'est gentil ! Mais ! Aides-moi ! S'il te plais ! Tu peux m'essuyer ?".
"Bien sûr, mon p'tit chéri !".
Il m'appelai pas comme ça, tout à l'heure ! Les "chienne", "salope de chantier", "pute", "sac à foutre", "trou à bites" ! Je les ai bien entendus !
L'après-midi fut plus "calme", il m'a simplement défoncé la gorge, pour s'y déverser à la fin !
C'est le seul jour, ou il m'a autant sollicité !
A mon retour, à la maison, après notre baiser, ma belle a deviné que j'avais avalé du sperme !
"Tu devrais te rincer la gorge avant de m'embrasser ! T'as sucé un homme ! Non ?".
"Oui ! Mais t'es gonflée ! Tu le fais pas toi ?".
Elle piaffe de rire en disant:
"Non, je le fais pas, non plus ! On fait une sacrée paire de vicieux tous les deux !".
"C'est sur !".
"Qui c'est le type ?".
"Ca me gêne d'en parler !".
"Ah tu m'intrigues ! Qui c'est ? Je le connais ?".
"Oui ! Tu te rappelles quand t'es venue m'attendre à midi, en sortant du chantier ?".
"Oui ! Tu parlais avec un mec âgé, un peu typé ! Non ! C'est lui ? Mais il doit avoir plus de cinquante ans !".
"Oui ! C'est Mario ! Mon chef de chantier ! Et je peux te dire que je déguste !".
"Je vois, il te fait souvent boire son sperme ! On dirait !".
"Idiote ! Je pensais pas dans ce sens là ! Je parlais de mon cul ! Mais c'est bon aussi, c'est vrai ! il est très épais et puissant en gout ! Moi j'aime !".
L'image de l'homme qu'elle aime, enculé par un vieil ouvrier Portugais, a fait son chemin toute la soirée, et elle m'a ensuite sollicité pour que je la baise, en lui racontant nos ébats !
Grâce au chantier, je n'avais plus besoin de prendre le bus !
Le bâtiment à restaurer était à moins de 500 mètres !
Donc, je rentrai plus tôt pour manger entre 12 et 14 h, et plus vite rentré le soir aussi !
Mais elle ne savait pas, que je n'avais pas su résister aux avances de mon chef de chantier !
Et comme il était sur place, il me sollicitait tous les jours !
Sans oublier Dimitri et ses amis roumains !
J'étais devenu la pute du chantier ! Et j'avais du mal à l'assumer, à la longue !
Chaque vendredi, les roumains m'attendaient dans la salle, qui leur servait de vestiaire !
J'étais obligé de rentrer bien plus tard, afin de me remettre en état !
7 hommes qui m'enculent, et me jouissent où dans le cul, où dans la bouche ! Ca fait beaucoup !
Surtout, sans que Corinne ne se doute de quelque chose !
Elle n'a jamais rien vu, ni su ! J'en avais trop honte ! Sans pouvoir non plus, m'arrêter !
Mais moi, je l'ai mal vécu ! Je perdais toute estime de moi ! C'était plus fort que moi, mais ça faisait trop !
C'est pour ça, au début, que j'ai exigé que Dimitri se cache, pour m'enculer à l'insu des autres !
Ses copains avaient pour consigne d'attendre le vendredi, mais ils me sollicitaient quand même !
Dès que l'un d'entre eux se trouvait seul avec moi ! Il me coinçait !
Donc, j'ai sucé des bites dans des toilettes, dont les murs sentaient encore la peinture.
Je m'y suis fait défoncer aussi ! Egalement sur un tas de sacs de ciment, ou contre un mur pas assez sec.
J'ai eu les mains pleines de peinture à l'huile, toute l'après-midi !
Dans la pièce de stockage du matériel, aussi, entre les gros cartons !
Dimitri avait également, trouvé l'idée de me baiser sur les toits !
J'avoue que j'ai adoré ça !
Par chance, Corinne a cru mon excuse d'"heures supplémentaires" !
Alors, quand je rentrai, et que de temps en temps, je la voyais jouir sur la bite de Dimitri, ou celle de Chris, qui est de nouveau sur la région, je me sentais libéré d'un poids !
Mais c'était pas normal, non plus ! J'étais entrain de fuir mon rôle !
Parallèlement à ça, je n'avais plus envie de me rendre au Sex-shop, évidemment !
Cela m'a fait perdre le fil de ma relation avec Gilles !
Et puis, je commençais vicieusement, à adorer la très large bite de Mario !
Elle était parfaitement calibrée pour mon anus !
Me cognant toujours le fond, en même temps que je sentais frapper ses couilles !
Donc la longueur idéale ! Même si la plus longue queue de Gilles, m'emmenait bien plus haut dans les orgasmes !
Mais ces très, voire trop, profondes pénétrations me faisaient flipper !
Mario était plus épais, d'une dureté incroyable, et bien plus court ! J'adorai ça aussi !
Quand il avait fini de m'enculer, j'avais l'impression qu'on m'avait écartelé avec un énorme marteau piqueur !
J'arrivai jamais à serrer les fesses convenablement pour retenir son foutre !
J'ai trouvé l'idée de mettre un ou deux mouchoirs kleenex sous mon anus, pour les "accidents" inévitables en rentrant chez moi !
Quand les roumains ont terminé leur travail, j'ai commencé à souffler enfin !
Je ne baisais plus qu'avec Mario !
Il en avait besoin, le pauvre ! Sa femme malade ne pouvait plus pratiquer le sexe !
Donc, il a choisit d'assouvir plus assidument, son gout pour les garçons et les hommes, dans les lieux boisés près de chez lui !
Mais, quand Dimitri le roumain, lui a révélé que j'étais sa "femelle" et que j'étais "facile à baiser", il a sauté sur l'occasion ! Je tombai à pic ! Il adorait m'enculer en fin d'après-midi, et se faire accessoirement sucer en arrivant le matin !
Le premier jour, ou les roumains ont terminé leur mission, sur le chantier, il est avec moi, afin de me donner les consignes de travail pour la journée !
Je m'apprête à attaquer mon boulot, pendant qu'il s'éloigne.
Mais il revient, dans mon dos. j'entend des bruits de boucle de ceinture.
Je me retourne, il a sa grosse bite bien dure, entre les doigts !
"Mario ? Qu'est-ce que tu fais ?".
"On va en profiter, on est seuls ! Allez suces moi un peu !".
Il ne me laisse pas le choix ! Il passe sa main derrière ma nuque, et me remplit la gorge !
"Glllllllrrlllllll ! Mario ! Calmes-toi ! Mmmmm ! Glllllllllrrp !...".
Je reçois de nombreux enfoncements de sa grosse verge, dans la bouche.
Je commence à bander ! Mais pourquoi ?
Pourquoi cette disponibilité ? Pourquoi j'aime autant, ce désir envers moi et mes fesses !
Encore une fois, je n'arrive pas à lutter contre cette condition délicieuse, de salope soumise !
Si tous ces hommes en profitent, c'est que je les laisse prendre ce rôle de "Maitre", vis-à-vis de moi !
Il n'a plus besoin de me coincer le visage, en me défonçant la gorge, je l'accompagne en m'accrochant à ses fesses !
Je commence à saliver, comme une pute avide de bite, sur sa verge !
Bêtement, je pense qu'une fellation va le contenter !
Mais après quelques minutes, il me redresse et me place vers la vitre.
Il m'oblige à me tenir sur le rebord de la fenêtre, à mi-hauteur de mes cuisses !
"Mario, t'es fou, on va nous voir !".
"Non, c'est des vitres teintées ! Moi ça m'excite, en tout cas !".
"Orhh ! Je... Je sais... pas ! Hummmm !".
Il me bouffe le cul, un bon et délicieux moment, puis se lève, en collant son énorme gland contre mon œillet.
Je fixe les gens, au dessous de nous, dans la rue, en scrutant leurs regards, pendant que mon anus s'écartèle lentement.
Comme d'habitude, je me sens submergé par sa présence dans mon cul !
Je me mord les lèvres !
Je souffle en gémissant aussi !
"Putain ! Mario ! Je me suis pas encore habitué à ta bite ! Ouuufffffff ! Laisses-moi un peu de temps ! S'il te plait !".
"Ok, mais pas trop longtemps ! J'ai envie de te remplir le cul, avec mon sperme ! C'est bon de jouir dans ta chatte !".
Il utilise rarement cette expression.
Il s'amuse à patienter en me forçant l'anus, et appuyant fortement son gland, au fond de mon cul.
Je râle à chaque fois !
Puis, il amplifie ses mouvements, me secouant de plus en plus fort, devant la vitre teintée.
Chaque retournement de personne, et regard vers nous, me fait douter de la vitre devant moi !
Si on nous voit, on doit assister à mes râles d'orgasme anal, et au plaisir sur mon visage !
Je me sens très humide, entre les cuisses, je baisse ma tête pour vérifier.
Un long filet de jus coule à l'intérieur de ma jambe droite, elle va tacher le flanc de mon jean's Levi's !
Il en oublie que nous devons travailler ! Il prend trop, son temps !
Il m'encule en me procurant une longue série d'orgasmes, au long desquels, il commence à se lâcher verbalement !
Il me traite de "pute de chantier", "petite salope", me dit que c'est ma faute tout ça ! Je suis là pour ça ! Ect... !
La sensation de gonflement dans ma verge, me révèle la montée de mon plaisir prostatique et pénien, je vais éjaculer !
Mon sperme s'éjecte, puis s'écoule dans une complète anarchie, sous ses secousses dans mon cul ! Je joui sans m'en soucier !
Il se lâche enfin ! Il me rempli l'anus en grognant ! Son déversement est interminable !
Ensuite, il se recule, en gardant son gros gland collé à mes fesses.
Il fait remonter le reste de son sperme, avec ses doigts pour m'en couvrir l'anus !
Le jus coule et va tâcher mon slip !
"Orhhh ! Mario ! C'était trop bon, J'ai pris mon pied encore !".
"Pareil, pour moi ! Mon p'tit chéri ! Hummm, j't'en ai mis partout ! C'est excellent ! T'es magnifique avec mon foutre sur le cul ! Oups ! Ca dégouline, je vois ! Putain, c'est excitant !".
En effet, c'est à ce moment, que je constate les dégâts ! Le foutre sort de mon anus éclaté, pour arroser mon pantalon et mon slip, déjà taché de mon propre sperme !
"Oh, putain ! Comment je vais faire ? C'est fini, Mario ! Il faut que j'enlève mes vêtements, la prochaine fois ! J'arrive jamais à garder ton jus ! Ca coule toujours !".
"Hummm ! Moi, ça me plait !".
La seule solution que j'ai trouvé, c'est d'enlever mon slip et de m'en servir pour nettoyer mon Jean's.
Je l'ai rincé sous le robinet d'eau froide, et étendu pour qu'il sèche un peu !
Je rentrerai à midi, sans slip !
Pour l'heure, je me remets à mon boulot, alors que Mario fait de même !
il revient vers 10h30, se pose sur un tas de matériel, puis me dit:
"Arrêtes toi, Chéri ! Je t'ai pris un petit déjeuner ! Tiens !".
Cette attention me touche ! Je dévore les deux pâtisseries qu'il m'offre !
Il prend mon visage à deux reprises pour m'embrasser !
Cette tendresse soudaine me gêne, mais je l'oublie très vite !
On se dresse ensuite, je pense reprendre mon activité, mais il me couche sur le dos, directement sur un gros carton contenant un appareil, dont je ne me souviens plus l'utilité.
"Mario ! Qu'est-ce qui t'arrives ? Ne me dis pas que t'as encore envie ?".
"Si ! Chéri ! Je repense toujours, à ton cul éclaté, plein de foutre ! Regardes comme je bande !".
Il m'a relevé le pantalon pour le coincer au niveau de mes genoux.
Je le devine déjà, en train de tenter de me pénétrer !
Je pousse un énorme cri, quand il y parvient et qu'il me submerge de sensations anales !
Il s'affole !
"Chéri ? Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C'est encore trop sensible ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
L'excitation lui monte d'un coup ! Et il s'affaire en moi, en me faisant crier sans discontinuer !
Sa grosse verge se couvre rapidement du jus anal, encore présent dans mon anus !
Dire que mon cul, commençait à retrouver une condition un peu normale !
Me voilà encore, à vivre un nouvel orgasme sur sa grosse bite !
Je le supplie de ne pas se retenir ! Mais malgré cela, il m'encule comme ça, pendant plus de 15 minutes avant de jouir.
Il m'insémine beaucoup moins abondamment, bien évidemment !
Mais la puissance de son orgasme est bien plus expressive que la première !
Il se retire ensuite, pour faire le tour de mon corps et vient m'embrasser tendrement.
"Merci, chéri, tu me fais beaucoup de bien ! Tu sais !".
Je suis dans une position scabreuse ! Sur le dos, avec les cuisses en l'air, en tenant mon pantalon pour éviter de le tacher encore, avec mon anus plein de jus !
"C'est gentil ! Mais ! Aides-moi ! S'il te plais ! Tu peux m'essuyer ?".
"Bien sûr, mon p'tit chéri !".
Il m'appelai pas comme ça, tout à l'heure ! Les "chienne", "salope de chantier", "pute", "sac à foutre", "trou à bites" ! Je les ai bien entendus !
L'après-midi fut plus "calme", il m'a simplement défoncé la gorge, pour s'y déverser à la fin !
C'est le seul jour, ou il m'a autant sollicité !
A mon retour, à la maison, après notre baiser, ma belle a deviné que j'avais avalé du sperme !
"Tu devrais te rincer la gorge avant de m'embrasser ! T'as sucé un homme ! Non ?".
"Oui ! Mais t'es gonflée ! Tu le fais pas toi ?".
Elle piaffe de rire en disant:
"Non, je le fais pas, non plus ! On fait une sacrée paire de vicieux tous les deux !".
"C'est sur !".
"Qui c'est le type ?".
"Ca me gêne d'en parler !".
"Ah tu m'intrigues ! Qui c'est ? Je le connais ?".
"Oui ! Tu te rappelles quand t'es venue m'attendre à midi, en sortant du chantier ?".
"Oui ! Tu parlais avec un mec âgé, un peu typé ! Non ! C'est lui ? Mais il doit avoir plus de cinquante ans !".
"Oui ! C'est Mario ! Mon chef de chantier ! Et je peux te dire que je déguste !".
"Je vois, il te fait souvent boire son sperme ! On dirait !".
"Idiote ! Je pensais pas dans ce sens là ! Je parlais de mon cul ! Mais c'est bon aussi, c'est vrai ! il est très épais et puissant en gout ! Moi j'aime !".
L'image de l'homme qu'elle aime, enculé par un vieil ouvrier Portugais, a fait son chemin toute la soirée, et elle m'a ensuite sollicité pour que je la baise, en lui racontant nos ébats !
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