Jean

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Jean
Jean et Michel étaient amis, mais très différents l'un de l'autre.
A part leurs sexes, qui avaient quasiment les mêmes proportions, tout les différenciait.
Michel était un homo très actif, aimant les mots crus, il assumait son amour du sexe cru.
Jean était hétéro officiellement, et homo actif en secret, donc plus discret. Mais il cachait bien son coté pervers, puisqu'il l'était, lui aussi.
Pour vous en donner une idée, je vous raconte nos retrouvailles, après celle des travaux chez moi.
Cela se passe au Sex-Shop.
On est contents de se retrouver, il me demande de lui pomper la verge, pendant qu'il visionne son film dans la cabine.
Ensuite, un inconnu insère sa belle verge dans le Glory Hole.
Jean m'incite à sucer cette bite inconnue, et profite de ma position pour m'enculer longuement.
L'inconnu m'entend jouir, il comprend que je me fais enculer en le suçant.
Il exprime son plaisir cérébral, et me traite vulgairement, tout en râlant.
Jean s'en donne à cœur joie dans mes fesses, en me faisant m'étouffer sur l'autre bite.
La grosse verge me gicle dans la gorge assez rapidement.
Un peu après l'expression de mon premier orgasme anal, en fait.
Je suis aux anges ! Je viens d'arriver, et je prend déjà mon pied avec un bon amant, avec une bonne giclée de foutre dans la gorge, en plus.
C'est pas toujours le cas.
Jean me baise encore un moment, avant de jouir.
Ensuite, nous sortons de la cabine, et il s'éloigne pour me regarder, pendant que j'offre ma bouche à d'autres hommes.
Quand c'est fini, il me retrouve, et vient me demander d'aller baiser avec un autre inconnu devant lui.
On a aucun mal à trouver un partenaire de jeu.
Il me regarde me faire draguer, puis enculer par cet homme d'une soixantaine d'années, avec une verge très épaisse.
Le type assure assez pour me faire éjaculer en m'écartelant la chatte.
Jean recommence à se masturber à quelques mètres de nous.
Pendant ce temps, d'autres se joignent à notre baise.
J'avale deux belles doses de sperme, pendant que le vieux m'expulse tout son foutre dans la chatte.
Deux autres profiteront de la béance de mon orifice spermé, pour s'y branler la queue.
Jean viendra alors dans ma bouche, pour m'abreuver de son jus chaud, en même temps que le dernier se videra en moi.
Depuis ce jour là, il a pris gout à ce jeu dominateur sur moi, il aime me contrôler.
Au point qu'un jour, il m'a glissé une adresse, en précisant:
"C'est un pote ! Va le soulager de ma part ! Il t'attendra lundi, à 14 h !".
"Quoi, mais je le connais pas !".
"Les mecs qui te baisent, non plus ! Tu vas adoré ça ! Dis lui que t'es ma salope ! De toute façon, il est au courant ! Il te reconnaitra ! Ne me déçois pas !".
J'ai eu 4 jours pour y réfléchir, et je ne sais pas pourquoi, j'y suis allé !
L'homme m'a reçu en disant:
"C'est toi ! T'es la p'tite pute de Jean ! On va voir, si t'es aussi salope qu'il le dit ! Viens par là !".
Il m'a pris par le bras, puis m'a imposé de le sucer.
Il m'insultait:
"Allez ! Suces moi cette bite, salope ! Mieux que ça ! Applique toi !".
J'étais dans un état d'excitation extrême, j'ai adoré suivre ses ordres pour lui lécher et dévorer la verge.
Il prenait un malin plaisir à me donner ses couilles à lécher, ensuite ce fut son anus.
Il m'a ensuite possédé contre son plan de cuisine, en me traitant avec vulgarité, et une légère violence.
J'ai adoré ce traitement, malgré moi.
Je jouissais avec la face collée à la crédence, tout mon corps était secoué par ses assauts.
Il a explosé dans ma chatte, puis m'a ordonné de tout rejeter , pour l'avaler ensuite avec ses doigts.
Il m'a laissé repartir ensuite, en ajoutant:
"Tu diras à Jean qu'il avait raison ! Tu pourras revenir, si il veut bien que je te baise encore !".
Je déambulai dans les rues, en réalisant que je venais de faire quelque chose de trop pervers.
Mais j'ai trouvé ça grisant.
Jean m'a demandé de lui raconter, puis m'a enculé comme une pute, lui aussi.
Ca m'a excité comme jamais.
Ce fut le début d'un jeu vicieux, il me disait où et quand, et j'y allais.
Je n'ai pas été déçu sexuellement, surtout au début.
Parfois surpris par le, ou les physiques des hommes, quand ils étaient deux ou trois.
Un jour, l'homme m'a reçu dans sa villa, puis m'a entrainé dans son garage.
Il m'y a attaché pour me saillir quand il en avait envie.
Parfois, il disparaissait, puis revenait pour me défoncer un peu.
Un autre type est venu entre deux baises.
J'ai du l'encaisser sans le voir.
J'ai compris que c'était son voisin, après son éjaculation.
"Orhhhh putain, Gégé ! Il est bon, celui là, il faut qu'il revienne ! Tu remercieras ton pote pour moi !".
"De rien ! Entre voisins, on peut se rendre ce genre de service !".
Je suis rentré avec l'anus endolori, et plein de sperme.
En retenant chaque détail pour mieux le raconter, mais moins conquis par la situation.
A partir de là, j'ai commencé à prendre peur de ce jeu pervers.
Un autre m'a fisté longuement, après m'avoir un peu baisé.
Il s'est vidé de son foutre, puis de son urine sur mon cul ensuite.
J'ai beaucoup moins aimé ce délire.
J'ai pas su quoi penser de cet inconnu âgé, qui avait une bite énorme, baguée à sa base pour être plus ferme.
Je me suis laissé faire, sans conviction au départ.
Puis sa bite est enfin passée, en me déchirant un peu.
Il m'a démonté très longuement, et j'avoue avoir joui comme rarement.
Malgré le fait que le type était très laid, vicieux et très con.
J'ai eu la force de dire stop à ce jeu, après de longs mois.
Jean l'a mal pris, on a donc cessé notre relation.
Il a du apprendre que j'ai rendu plusieurs visites au vieil homme pervers, très fortement membré.
Mais cette fois, j'étais conscient de ce qui m'attendait, et je l'ai fait jusqu'à m'en sevrer.
Même si j'aimais pas la personnalité du type, il me défonçait trop bien !
Après m'être lassé de lui au bout d'une dizaine rencontres, je suis passé à autre chose.
On se refait pas. Tant pis pour Jean !
Quand à Michel, c'est un autre délire.
Lui, il aimait me prendre de toutes les manières.
Que ce soit vicieux ou sensuel, mais toujours avec des mots crus.
Quand j'ai accepté son invitation, je pensais me faire prendre en trio.
Mais en fait, ils seront neuf hommes, dont Jean.
L'ambiance était plus gay, les types très endurants.
L'un d'eux s'est fait enculer pendant qu'il me baisait.
Sa grosse verge n'a pas pu bander longtemps, après m'avoir tout giclé dans la chatte.
C'est ma seule expérience de ce type.
La fin à été grandiose, elle a finit en douche de sperme sur ma p'tite gueule, et ma gorge.
A part leurs sexes, qui avaient quasiment les mêmes proportions, tout les différenciait.
Michel était un homo très actif, aimant les mots crus, il assumait son amour du sexe cru.
Jean était hétéro officiellement, et homo actif en secret, donc plus discret. Mais il cachait bien son coté pervers, puisqu'il l'était, lui aussi.
Pour vous en donner une idée, je vous raconte nos retrouvailles, après celle des travaux chez moi.
Cela se passe au Sex-Shop.
On est contents de se retrouver, il me demande de lui pomper la verge, pendant qu'il visionne son film dans la cabine.
Ensuite, un inconnu insère sa belle verge dans le Glory Hole.
Jean m'incite à sucer cette bite inconnue, et profite de ma position pour m'enculer longuement.
L'inconnu m'entend jouir, il comprend que je me fais enculer en le suçant.
Il exprime son plaisir cérébral, et me traite vulgairement, tout en râlant.
Jean s'en donne à cœur joie dans mes fesses, en me faisant m'étouffer sur l'autre bite.
La grosse verge me gicle dans la gorge assez rapidement.
Un peu après l'expression de mon premier orgasme anal, en fait.
Je suis aux anges ! Je viens d'arriver, et je prend déjà mon pied avec un bon amant, avec une bonne giclée de foutre dans la gorge, en plus.
C'est pas toujours le cas.
Jean me baise encore un moment, avant de jouir.
Ensuite, nous sortons de la cabine, et il s'éloigne pour me regarder, pendant que j'offre ma bouche à d'autres hommes.
Quand c'est fini, il me retrouve, et vient me demander d'aller baiser avec un autre inconnu devant lui.
On a aucun mal à trouver un partenaire de jeu.
Il me regarde me faire draguer, puis enculer par cet homme d'une soixantaine d'années, avec une verge très épaisse.
Le type assure assez pour me faire éjaculer en m'écartelant la chatte.
Jean recommence à se masturber à quelques mètres de nous.
Pendant ce temps, d'autres se joignent à notre baise.
J'avale deux belles doses de sperme, pendant que le vieux m'expulse tout son foutre dans la chatte.
Deux autres profiteront de la béance de mon orifice spermé, pour s'y branler la queue.
Jean viendra alors dans ma bouche, pour m'abreuver de son jus chaud, en même temps que le dernier se videra en moi.
Depuis ce jour là, il a pris gout à ce jeu dominateur sur moi, il aime me contrôler.
Au point qu'un jour, il m'a glissé une adresse, en précisant:
"C'est un pote ! Va le soulager de ma part ! Il t'attendra lundi, à 14 h !".
"Quoi, mais je le connais pas !".
"Les mecs qui te baisent, non plus ! Tu vas adoré ça ! Dis lui que t'es ma salope ! De toute façon, il est au courant ! Il te reconnaitra ! Ne me déçois pas !".
J'ai eu 4 jours pour y réfléchir, et je ne sais pas pourquoi, j'y suis allé !
L'homme m'a reçu en disant:
"C'est toi ! T'es la p'tite pute de Jean ! On va voir, si t'es aussi salope qu'il le dit ! Viens par là !".
Il m'a pris par le bras, puis m'a imposé de le sucer.
Il m'insultait:
"Allez ! Suces moi cette bite, salope ! Mieux que ça ! Applique toi !".
J'étais dans un état d'excitation extrême, j'ai adoré suivre ses ordres pour lui lécher et dévorer la verge.
Il prenait un malin plaisir à me donner ses couilles à lécher, ensuite ce fut son anus.
Il m'a ensuite possédé contre son plan de cuisine, en me traitant avec vulgarité, et une légère violence.
J'ai adoré ce traitement, malgré moi.
Je jouissais avec la face collée à la crédence, tout mon corps était secoué par ses assauts.
Il a explosé dans ma chatte, puis m'a ordonné de tout rejeter , pour l'avaler ensuite avec ses doigts.
Il m'a laissé repartir ensuite, en ajoutant:
"Tu diras à Jean qu'il avait raison ! Tu pourras revenir, si il veut bien que je te baise encore !".
Je déambulai dans les rues, en réalisant que je venais de faire quelque chose de trop pervers.
Mais j'ai trouvé ça grisant.
Jean m'a demandé de lui raconter, puis m'a enculé comme une pute, lui aussi.
Ca m'a excité comme jamais.
Ce fut le début d'un jeu vicieux, il me disait où et quand, et j'y allais.
Je n'ai pas été déçu sexuellement, surtout au début.
Parfois surpris par le, ou les physiques des hommes, quand ils étaient deux ou trois.
Un jour, l'homme m'a reçu dans sa villa, puis m'a entrainé dans son garage.
Il m'y a attaché pour me saillir quand il en avait envie.
Parfois, il disparaissait, puis revenait pour me défoncer un peu.
Un autre type est venu entre deux baises.
J'ai du l'encaisser sans le voir.
J'ai compris que c'était son voisin, après son éjaculation.
"Orhhhh putain, Gégé ! Il est bon, celui là, il faut qu'il revienne ! Tu remercieras ton pote pour moi !".
"De rien ! Entre voisins, on peut se rendre ce genre de service !".
Je suis rentré avec l'anus endolori, et plein de sperme.
En retenant chaque détail pour mieux le raconter, mais moins conquis par la situation.
A partir de là, j'ai commencé à prendre peur de ce jeu pervers.
Un autre m'a fisté longuement, après m'avoir un peu baisé.
Il s'est vidé de son foutre, puis de son urine sur mon cul ensuite.
J'ai beaucoup moins aimé ce délire.
J'ai pas su quoi penser de cet inconnu âgé, qui avait une bite énorme, baguée à sa base pour être plus ferme.
Je me suis laissé faire, sans conviction au départ.
Puis sa bite est enfin passée, en me déchirant un peu.
Il m'a démonté très longuement, et j'avoue avoir joui comme rarement.
Malgré le fait que le type était très laid, vicieux et très con.
J'ai eu la force de dire stop à ce jeu, après de longs mois.
Jean l'a mal pris, on a donc cessé notre relation.
Il a du apprendre que j'ai rendu plusieurs visites au vieil homme pervers, très fortement membré.
Mais cette fois, j'étais conscient de ce qui m'attendait, et je l'ai fait jusqu'à m'en sevrer.
Même si j'aimais pas la personnalité du type, il me défonçait trop bien !
Après m'être lassé de lui au bout d'une dizaine rencontres, je suis passé à autre chose.
On se refait pas. Tant pis pour Jean !
Quand à Michel, c'est un autre délire.
Lui, il aimait me prendre de toutes les manières.
Que ce soit vicieux ou sensuel, mais toujours avec des mots crus.
Quand j'ai accepté son invitation, je pensais me faire prendre en trio.
Mais en fait, ils seront neuf hommes, dont Jean.
L'ambiance était plus gay, les types très endurants.
L'un d'eux s'est fait enculer pendant qu'il me baisait.
Sa grosse verge n'a pas pu bander longtemps, après m'avoir tout giclé dans la chatte.
C'est ma seule expérience de ce type.
La fin à été grandiose, elle a finit en douche de sperme sur ma p'tite gueule, et ma gorge.
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