Jour de débauche pour Murielle 1
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jour de débauche pour Murielle 1
Je tiens à préciser que, je suis co-auteure de ce récit, avec mon amie Valériane, un grand merci à elle.
Murielle est une femme mûre aux formes avantageuses. Divorcée depuis quelque temps, elle commence à ressentir un manque. Sa meilleure amie et confidente, Olga, lui conseille, de sauter le pas. Mais Murielle, ne sait où aller et surtout comment rester dans l'anonymat. Après une longue discussion avec son amie Olga, celle-ci lui indique un lieu où elle avoue y aller de temps en temps, à l'insu de son mari Dilan. Murielle sursaute en apprenant les infidélités de son amie. Mais comme elle est très curieuse, elle veut en savoir plus, et devant un verre, elle la questionne. Olga, avec son aveu d'infidélité, en a trop dit, elle ne peut plus reculer et commence à narrer ses exploits. Murielle insiste pour qu'elle entre dans les détails. Plus Olga raconte, plus c'est croustillant.
Murielle ravale sa salive, la tension monte dans son corps, elle boit les paroles de son amie sans jamais la quitter du regard, ses yeux pétillent. Son abricot trop mûr laisse échapper son jus, Murielle lui dit en souriant :
-Eh bien toi, on peut dire que tu es une grosse salope, oh la vache, tu m'épates là !
Olga éclate de rire et répond :
-Oh, c'est la jalousie qui te fait dire ça, je suis certaine que tu es aussi salope que moi, si tu veux, nous pouvons y aller toutes les deux, de toute façon les mecs et les femmes portent masque, personne ne peut te reconnaitre, fais-moi confiance !
Murielle, qui était très réticente au début, le récit de son amie lui fait changer d'avis, elle accepte d'accompagner son amie dans ce lieu de débauche. Les deux choisissent une date, Olga lui conseille de porter des vêtements sexy. Olga passe prendre son amie chez elle. Murielle se montre à elle et, en rougissant, lui dit :
-J'ai l'air d'une pute habillée comme ça !
Olga éclate de rire et réplique :
- Mais c'est comme cela qu'il faut être habillée, les hommes aiment les putes, eh bien, ils vont en avoir deux de plus à leur disposition !
Murielle secoue la tête en disant :
-Eh bien toi ma cochonne, on peut dire que tu as de l'aplomb !
Les deux, avec une jupe ras la moule comme on dit, sont affublées d'un chemisier largement échancré, elles sont prêtes à affronter les mâles. Bien sûr, le soutien-gorge est inutile dans ces cas-là. Elles arrivent, il est 23 heures. Dès l'entrée, on leur donne un masque, les deux se dirigent vers le bar pour prendre un verre. Elles prennent place sur de hauts tabourets et commandent un verre. Pour Murielle, c'est un alcool fort, car la coquine stresse fortement. Soudain un inconnu s'approche d'eux, il les regarde longuement et leur propose un verre. Les deux femmes acceptent, pour Murielle, ce verre est salutaire, elle en a vraiment besoin. Elle cherche à savoir qui se cache sous le loup, mais impossible à savoir.
L'homme se place entre les deux femmes dos au bar, en faisant face aux deux femmes. Il pose ses mains sur les cuisses que les jupes ultra-courtes ne peuvent cacher, et commence par les caresser. Murielle veut fuir, elle regarde son amie qui lui fait un sourire. Elle reprend son sang-froid, lentement les mains audacieuses arrivent sur le haut des cuisses, glissent doucement sur les ventres en s'approchants des vulves, que seule les culottes protègent encore. Murielle commence à trembler, elle avale une gorgée d'alcool pour se donner du courage. Elle sait parfaitement pour quelle raison, elle est là, mais elle est terrorisée. L'homme comprend que la tâche qu'il entreprend et ardue. Il retire sa main de sous la jupe d'Olga, pour ne s'occuper que de Murielle.
D'autres personnes sont au bar, mais n'interviennent pas, ils regardent. Un dernier arrivant, pose sa main sur la cuisse d'Olga et commence une douce caresse, il lui demande de le suivre dans une alcôve. Olga accepte à condition que son amie y aille aussi. Murielle repousse doucement l'homme qui ne cesse de lui caresser les cuisses et, suit son amie et son futur amant. L'autre homme leur emboite le pas, les quatre se rendent dans une alcôve couverte de paillasses. Les deux hommes basculent les deux femmes sur les couches matelassées. Un des hommes retrousse la jupette de Murielle au maximum, qui résiste encore, en serrant les cuisses. Deux doigts baladeurs de l'inconnu, se promènent sur sa fente, en s'insérant doucement dans le sillon entre les grandes lèvres. Les doigts qui entrainent le tissu au fond du sillon, se mettent à voyager entre les lèvres vaginales. Rapidement la culotte s'humidifie. L'homme semble délicat, il n'a aucun geste brutal.
Olga, elle plus volontaire, est déjà nue, son partenaire à la tête entre ses cuisses, et lui dévore la chatte en la faisant geindre. Murielle tourne la tête vers son amie comme pour l'implorer, elle subit les doigts de son amant sur son intimité suintante, en poussant de gros soupirs. L'homme saisit la culotte et la fait descendre les longs des jambes de Murielle, qui a un geste de défonce, elle se cabre en disant faiblement :
-Non, non !
Olga se redresse et lui rappelle pourquoi elles sont là. Murielle se reprend et se laisse retirer la culotte. L'homme la porte à son nez et hume fortement la tâche humide qui s'est formée sur le tissu, il dit en souriant :
-Hum, tu sens l'amour ma chérie, je suis certain que tous les deux nous allons nous éclater comme des bêtes !
Il lui écarte lentement les cuisses, regarde un moment le fruit juteux, qui va bien tôt être son dessert. Il tend le bras, et caresse la vulve doucement du bout des doigts. Murielle pousse un soupir, vaincue par la tension qui monte dans son corps, elle ouvre davantage ses cuisses. Les doigts rugueux de l'homme, glissent entre les grandes lèvres légèrement pendantes, avant de saisir la boule de tous les plaisirs. L'homme la roule entre ses doigts, la presse doucement avant d'entreprendre une masturbation efficace, qui fait geindre Murielle. Son clito prend du volume, et devient comme une grosse cerise. Les râles de Murielle encouragent l'homme, qui se met à branler plus rapidement la boule de chair. Elle enfle encore sous les doigts habiles de l'homme. Les gémissements de Murielle trop expressives font sourire l'homme.
Soudain, Murielle se cambre, l'inconnu en appuyant sur la fente, lui enfonce profondément deux doigts dans le vagin. Il fait des demi-rotations avec les visiteurs, en faisant en même temps un petit ramonage. La chatte de Murielle ne cesse de lâcher son jus, elle agite son bassin en grognant de plaisir. L'homme retire ses doigts du puits d'amour et approche sa tête du centre des plaisirs. Il gobe le clito en faisant une succion dessus, Murielle pousse un râle interminable en se cabrant. L'homme suce et tète la boule de chair avec de plus en plus de voracité. Les gémissements de Murielle sont très bruyants, elle ne peut tenir pas longtemps à un tel traitement. Elle pousse un cri qui fait sursauter son entourage, la jouissance qu'elle ressent est monstrueuse. Un flot de cyprine est expulsé de sa chatte en ébullition. L'homme qui reçoit la giclée dans la bouche, il n'a pas d'autre choix que de l'avaler.
Il se redresse, retire ses vêtements, en ne quittant pas des yeux sa proie. Le bougre bande comme un cerf en rut. Il se penche et ouvre le chemisier de Murielle, ses seins lourds apparaissent garnis d'auréoles brunes, dotées des mamelons larges et épais.
Il prend à pleine main les seins, et les malaxe longuement, en plantant ses doigts dans la chair souple. Les bouts se dressent automatiquement au centre des taches brunes, en prenant du volume. L'homme est impressionné par la grosseur des bouts, il les prend entre ses doigts, les roule doucement, les étire fortement, avant de les prendre en bouche. La succion qu'il exerce sur chaque téton est si puissante, que Murielle gémit en se cabrant. Pendant qu'il suce, une de ses mains se plaque sur la toison épaisse.
Ses doigts retrouvent le clito qui est toujours gonflé. Il le presse, puis le branle un court instant, avant de la re-presser fortement. Le bougre réitère le branlage et le serrage du clito plusieurs fois de suite. Sur Murielle, l'effet est miraculeux, elle rugit comme un fauve et explose. Sa jouissance est terrible, sa chatte projette plusieurs jets de cyprine qui retombent sur les matelas. Olga surprise par les cris de son amie se redresse, elle repousse son amant qui vient de lui tapisser les parois du vagin avec son sperme. Elle s'approche du couple et regarde la chatte de Murielle qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer.
Son amant s'agenouille près de la tête de la jouisseuse. Et lui offre son engin à sucer, Murielle, devient plus audacieuse. Elle s'empare de la verge, la décalotte et ouvre la bouche pour donner quelques coups de langue sur le gland violacé. Elle l'engloutit voracement dans sa bouche. Olga caresse la vulve de son amie, lentement ses doigts s'enfoncent dans le cratère. Murielle suce comme une diva, sa persévérance porte ses fruits. L'homme lui envoie au fond de la gorge une giclée puissante de sperme en rugissant comme un fauve. Murielle, sous l'influence d'Olga, avale la décharge jusqu'à la dernière goutte.
Murielle est une femme mûre aux formes avantageuses. Divorcée depuis quelque temps, elle commence à ressentir un manque. Sa meilleure amie et confidente, Olga, lui conseille, de sauter le pas. Mais Murielle, ne sait où aller et surtout comment rester dans l'anonymat. Après une longue discussion avec son amie Olga, celle-ci lui indique un lieu où elle avoue y aller de temps en temps, à l'insu de son mari Dilan. Murielle sursaute en apprenant les infidélités de son amie. Mais comme elle est très curieuse, elle veut en savoir plus, et devant un verre, elle la questionne. Olga, avec son aveu d'infidélité, en a trop dit, elle ne peut plus reculer et commence à narrer ses exploits. Murielle insiste pour qu'elle entre dans les détails. Plus Olga raconte, plus c'est croustillant.
Murielle ravale sa salive, la tension monte dans son corps, elle boit les paroles de son amie sans jamais la quitter du regard, ses yeux pétillent. Son abricot trop mûr laisse échapper son jus, Murielle lui dit en souriant :
-Eh bien toi, on peut dire que tu es une grosse salope, oh la vache, tu m'épates là !
Olga éclate de rire et répond :
-Oh, c'est la jalousie qui te fait dire ça, je suis certaine que tu es aussi salope que moi, si tu veux, nous pouvons y aller toutes les deux, de toute façon les mecs et les femmes portent masque, personne ne peut te reconnaitre, fais-moi confiance !
Murielle, qui était très réticente au début, le récit de son amie lui fait changer d'avis, elle accepte d'accompagner son amie dans ce lieu de débauche. Les deux choisissent une date, Olga lui conseille de porter des vêtements sexy. Olga passe prendre son amie chez elle. Murielle se montre à elle et, en rougissant, lui dit :
-J'ai l'air d'une pute habillée comme ça !
Olga éclate de rire et réplique :
- Mais c'est comme cela qu'il faut être habillée, les hommes aiment les putes, eh bien, ils vont en avoir deux de plus à leur disposition !
Murielle secoue la tête en disant :
-Eh bien toi ma cochonne, on peut dire que tu as de l'aplomb !
Les deux, avec une jupe ras la moule comme on dit, sont affublées d'un chemisier largement échancré, elles sont prêtes à affronter les mâles. Bien sûr, le soutien-gorge est inutile dans ces cas-là. Elles arrivent, il est 23 heures. Dès l'entrée, on leur donne un masque, les deux se dirigent vers le bar pour prendre un verre. Elles prennent place sur de hauts tabourets et commandent un verre. Pour Murielle, c'est un alcool fort, car la coquine stresse fortement. Soudain un inconnu s'approche d'eux, il les regarde longuement et leur propose un verre. Les deux femmes acceptent, pour Murielle, ce verre est salutaire, elle en a vraiment besoin. Elle cherche à savoir qui se cache sous le loup, mais impossible à savoir.
L'homme se place entre les deux femmes dos au bar, en faisant face aux deux femmes. Il pose ses mains sur les cuisses que les jupes ultra-courtes ne peuvent cacher, et commence par les caresser. Murielle veut fuir, elle regarde son amie qui lui fait un sourire. Elle reprend son sang-froid, lentement les mains audacieuses arrivent sur le haut des cuisses, glissent doucement sur les ventres en s'approchants des vulves, que seule les culottes protègent encore. Murielle commence à trembler, elle avale une gorgée d'alcool pour se donner du courage. Elle sait parfaitement pour quelle raison, elle est là, mais elle est terrorisée. L'homme comprend que la tâche qu'il entreprend et ardue. Il retire sa main de sous la jupe d'Olga, pour ne s'occuper que de Murielle.
D'autres personnes sont au bar, mais n'interviennent pas, ils regardent. Un dernier arrivant, pose sa main sur la cuisse d'Olga et commence une douce caresse, il lui demande de le suivre dans une alcôve. Olga accepte à condition que son amie y aille aussi. Murielle repousse doucement l'homme qui ne cesse de lui caresser les cuisses et, suit son amie et son futur amant. L'autre homme leur emboite le pas, les quatre se rendent dans une alcôve couverte de paillasses. Les deux hommes basculent les deux femmes sur les couches matelassées. Un des hommes retrousse la jupette de Murielle au maximum, qui résiste encore, en serrant les cuisses. Deux doigts baladeurs de l'inconnu, se promènent sur sa fente, en s'insérant doucement dans le sillon entre les grandes lèvres. Les doigts qui entrainent le tissu au fond du sillon, se mettent à voyager entre les lèvres vaginales. Rapidement la culotte s'humidifie. L'homme semble délicat, il n'a aucun geste brutal.
Olga, elle plus volontaire, est déjà nue, son partenaire à la tête entre ses cuisses, et lui dévore la chatte en la faisant geindre. Murielle tourne la tête vers son amie comme pour l'implorer, elle subit les doigts de son amant sur son intimité suintante, en poussant de gros soupirs. L'homme saisit la culotte et la fait descendre les longs des jambes de Murielle, qui a un geste de défonce, elle se cabre en disant faiblement :
-Non, non !
Olga se redresse et lui rappelle pourquoi elles sont là. Murielle se reprend et se laisse retirer la culotte. L'homme la porte à son nez et hume fortement la tâche humide qui s'est formée sur le tissu, il dit en souriant :
-Hum, tu sens l'amour ma chérie, je suis certain que tous les deux nous allons nous éclater comme des bêtes !
Il lui écarte lentement les cuisses, regarde un moment le fruit juteux, qui va bien tôt être son dessert. Il tend le bras, et caresse la vulve doucement du bout des doigts. Murielle pousse un soupir, vaincue par la tension qui monte dans son corps, elle ouvre davantage ses cuisses. Les doigts rugueux de l'homme, glissent entre les grandes lèvres légèrement pendantes, avant de saisir la boule de tous les plaisirs. L'homme la roule entre ses doigts, la presse doucement avant d'entreprendre une masturbation efficace, qui fait geindre Murielle. Son clito prend du volume, et devient comme une grosse cerise. Les râles de Murielle encouragent l'homme, qui se met à branler plus rapidement la boule de chair. Elle enfle encore sous les doigts habiles de l'homme. Les gémissements de Murielle trop expressives font sourire l'homme.
Soudain, Murielle se cambre, l'inconnu en appuyant sur la fente, lui enfonce profondément deux doigts dans le vagin. Il fait des demi-rotations avec les visiteurs, en faisant en même temps un petit ramonage. La chatte de Murielle ne cesse de lâcher son jus, elle agite son bassin en grognant de plaisir. L'homme retire ses doigts du puits d'amour et approche sa tête du centre des plaisirs. Il gobe le clito en faisant une succion dessus, Murielle pousse un râle interminable en se cabrant. L'homme suce et tète la boule de chair avec de plus en plus de voracité. Les gémissements de Murielle sont très bruyants, elle ne peut tenir pas longtemps à un tel traitement. Elle pousse un cri qui fait sursauter son entourage, la jouissance qu'elle ressent est monstrueuse. Un flot de cyprine est expulsé de sa chatte en ébullition. L'homme qui reçoit la giclée dans la bouche, il n'a pas d'autre choix que de l'avaler.
Il se redresse, retire ses vêtements, en ne quittant pas des yeux sa proie. Le bougre bande comme un cerf en rut. Il se penche et ouvre le chemisier de Murielle, ses seins lourds apparaissent garnis d'auréoles brunes, dotées des mamelons larges et épais.
Il prend à pleine main les seins, et les malaxe longuement, en plantant ses doigts dans la chair souple. Les bouts se dressent automatiquement au centre des taches brunes, en prenant du volume. L'homme est impressionné par la grosseur des bouts, il les prend entre ses doigts, les roule doucement, les étire fortement, avant de les prendre en bouche. La succion qu'il exerce sur chaque téton est si puissante, que Murielle gémit en se cabrant. Pendant qu'il suce, une de ses mains se plaque sur la toison épaisse.
Ses doigts retrouvent le clito qui est toujours gonflé. Il le presse, puis le branle un court instant, avant de la re-presser fortement. Le bougre réitère le branlage et le serrage du clito plusieurs fois de suite. Sur Murielle, l'effet est miraculeux, elle rugit comme un fauve et explose. Sa jouissance est terrible, sa chatte projette plusieurs jets de cyprine qui retombent sur les matelas. Olga surprise par les cris de son amie se redresse, elle repousse son amant qui vient de lui tapisser les parois du vagin avec son sperme. Elle s'approche du couple et regarde la chatte de Murielle qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer.
Son amant s'agenouille près de la tête de la jouisseuse. Et lui offre son engin à sucer, Murielle, devient plus audacieuse. Elle s'empare de la verge, la décalotte et ouvre la bouche pour donner quelques coups de langue sur le gland violacé. Elle l'engloutit voracement dans sa bouche. Olga caresse la vulve de son amie, lentement ses doigts s'enfoncent dans le cratère. Murielle suce comme une diva, sa persévérance porte ses fruits. L'homme lui envoie au fond de la gorge une giclée puissante de sperme en rugissant comme un fauve. Murielle, sous l'influence d'Olga, avale la décharge jusqu'à la dernière goutte.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire encore une fois !
Une suite j'espère où les 2 coquines vont déguster...
Lolo
Une suite j'espère où les 2 coquines vont déguster...
Lolo
Je n'ai déposé qu'un seul avis sur une de vos histoires et c'est le seul. Je n'en déposerai plus comme vous disiez : fin du dialogue. Alors je ne sais pas de qui ou de quoi vous parlez, mais quand j'ai quelque chose à dire, je ne le fais pas de manière anonyme. Cessons ce petit jeu si vous le voulez bien et écrivons dans notre coin sans s'occuper de l'autre. D'accord ?
Philus
Philus
Je ne peux pas satisfaire tout le monde, j'en suis désolée
Linsee
Linsee