Joyeux Noël
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 117 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 695 271 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 712 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Joyeux Noël
Quand ma femme entre dans la chambre, plein de paquet en main je suis allongé sur le lit.
-Alors ? Me fait-elle. Ça c’est bien passé avec marraine.
-Plus que bien si tu veux savoir.
-Ça veut dire quoi ?
-Que nous sommes passés à l’acte.
-Non ! Tu ne vas pas me dire que tu l’as baisée.
-Eh bien oui ! Et je ne te cache pas que je suis peu fière.
-Mais pourquoi mon chéri, ce n’était pas le but ?
-Oui mais quand même !
-Il faut fêter ça ! Lâche-t-elle.
-En faisant quoi ?
-Eh bien, je veux que tu m’encules…
Elle laisse choir ses paquets sur le parquet et se déshabille entièrement avant de sauter sur le lit. Le souffle de plus en plus saccadé, je tâte le derrière de Claire, laissant des traces rouges sur la peau blanche. Je masse du pouce les bords de l’anus. Elle donne des petits coups de reins en arrière, s’arque au maximum.
Je prépare son anus divinement. Lubrifie le conduit. Introduis un, puis deux doigts. Dilate au mieux les muscles. Je retire mes doigts, et place ma verge au centre de l’auréole bistre. La chair rouge forme un rond presque parfait. J’appui le gland et me laisse aller en avant. Elle ne met pas longtemps à disparaître entre les fesses. Elles m’accueillent sans broncher. Je suis à un tel point d‘excitation que je ne peux m‘empêcher de la tambouriner fortement et profondément.
Malgré mon émulation, j’entends les coups légers frappés à la porte de notre. Je jette un coup d’œil en biais. La figure ingrate de la marraine m’apparaît dans l’ouverture. Elle a un mouvement de recul, vite réprimé. Les yeux écarquillés, elle reste sur place. Son visage prend des couleurs. Je vais, je viens dans les reins de sa filleul.
Je n’éprouve aucune honte à m’exposer aux yeux de la jeune femme. Je ne me pose aucune question sur le côté moral ou immoral de cette exhibition dans laquelle j’éprouve une pleine satisfaction. Comme ce doit être le cas pour l’intruse. Se tenant sur le seuil de la chambre. Elle fronce les sourcils en nous observons.
-Approche ! Je lui lance.
La marraine fronce les sourcils, hésite un court instant avant de s’approcher, cédant à la curiosité.
-A qui parles-tu chéri ? Fait Claire.
-A ta marraine !
-Parce que elle est là ?
-Comme je suis en train de t’enculer.
-Bonsoir marraine, tu as passé une bonne journée à ce que j’ai appris.
-C’est pour ça que je suis là. Pour m’excuser !
-Mais il n’y a pas de quoi.
J‘envoie deux, trois coups de reins violents dans le fion à Claire, sous les yeux témoins sa marraine. Loin d’être mécontente de ce qui lui arrive, témoin d’une enculade. Je me surprends de son culot. J’acène quelques aller et retour rapides dans le cul de Claire.
- Ta relation avec mon mari ta plut ?
-Je reconnais que ce n’était pas désagréable !
Sans qu’on lui demande, la voilà qui fait passer sa chemise de nuit par-dessus sa tête. Dessous elle porte une culotte de coton. Je remarque une tache humide en train de s’élargir sur le devant.
- Hou la vilaine Marraine ! Elle mouille la grosse cochonne.
Pour toute réponse, la marraine baisse son slip. Une grosse couche de mouille translucide apparait sur les muqueuses rouges.
- Mais ma cochonne, fait Claire, tu mouilles au fur et à mesure. Tu mérite une bonne fessée.
Il m’en faut pas plus pour envoyer ma semence. Elle ne se fait pas prier la marraine, elle s’approche.
-Mais tu pus la femme en rut, marraine !
Ma femme claque les fesses de sa marraine à toute volée, alors que je reprends mon souffle, allongé de tout mon long sur le lit. Ses doigts marquent de traces rouges la chair pâle et grasse qui rebondit sous les claques de ma femme. Essoufflée elle s’arrête.
- Je pense que tu en as prie pour ton grade ! Lâche ma femme.
- Je suis excusé ?
Dans un frémissement, ma femme lâche :
-Tu te caresses chez toi ?
- Oui… cela m’arrive. Très souvent en ce moment.
- Avec quelle main ?
Elle agite un poignet droit, fin.
- Celle-ci.
- Pose-la sur ta chatte. Montre à Alain comment tu t’en sers.
La marraine écarte l’entaille sexuelle, parcoure sans gêne son sexe de ses doigts. En haut de la fente, le bourgeon pointe. Elle le pince, le fait rouler sous son index. Il se dresse comme un petit pénis en érection. Elle revient sur sa vulve. Enfonce ses doigts entre les replis de chair molle qui s’exsudent une mouille gluante comme un blanc d’œuf. Un bref gargouillis, une plainte mouillée fuse des lèvres roses.
-Eh bien marraine, je ne te connaissais pas aussi coquine.
-Je n’allais pas l’exposer à tout le monde. Oh ! Oui… Je me sens toute chaude… toute excité, prête à faire tout ce que tu veux.
Je n’en peux plus. C’est dingue cette façon inattendue que cette femme a de prononcer tout à coup des phrases bouleversantes. La regardant dans les yeux.
- Que dirais-tu de sucer la chatte de Claire.
- Pourquoi pas… si cela peux me faire pardonner…
-Mais Alain, laisse tomber ma femme, ça ne va pas !
- Tu l’as déjà fait… fais-je à la marraine.
- Oh ! Non, jamais…
- Comment tu trouves la chatte de Claire ?
- Elle est très joli !
Avec un rire énervé, elle s’apprête à s’agenouillé à ses pieds.
- Attends, fais-je en posant ma main sur son épaule.
- Oui, réplique-t-elle en levant les yeux sur moi.
- Dit à Claire ce que tu a pensé de ma lui désignant ma queue.
Elle glisse ses yeux dessus.
- Jamais je ne l’oublierais ! Réplique-t-elle, en me pinçant le gland.
- Branle-moi, alors ! Montre à a filleul comment tu t’y prend.
Sans aucune hésitation elle m’enroule la verge de ses doigts. Et me branle. Elle le fait bien, sans aller trop vite. Je vois qu’elle prend plaisir à faire monter et descendre la peau sur mon gland. Au bord de la jouissance, je respire très fort. Je dois m’y reprendre à deux ou trois fois pour bloquer mon éjaculation. C’est bon. Je ne veux pas jouir tout de suite. Je cesse même de faire aller et venir ma queue dans sa main. Surprise par mon geste, elle me regarde et dit :
- Je le fais pas bien ?
- Si… très bien. Trop bien même.
Il lui en faut pas plus pour reprendre sa caresse. La situation est si particulière que l’orgasme est immédiat. Balayant tout à son passage. Une dizaine de contraction. Un flux intarissable. Presque effrayante. La marraine recueillit toute ma jouissance sur le visage en gémissant.
Là, je vois ma femme se presser sur sa marraine. Elles se pressent l’une contre l’autre. Elles se pelotent les fesses. Se bécotent le visage. Se saoulent de caresses et de baisers. Sa bouche de l’une s’écrase sur celle de l‘autre.
Une langue force les lèvres de l’autre. Elles s’embrassent goulûment. Se barbouillant le bas du visage de salive, mélangée à mon sperme. Elles jouissent en même temps. Une mouille épaisse suinte de leurs vulves, tâchant les draps. Elles grognent de satisfaction. Leurs odeurs fortes de femelles en rut saturent l’atmosphère de la pièce. L’orgasme est si violent qu’elles se laissent tomber en arrière de chaque côté du lit.
Je m’empresse de m’agenouiller aux pieds de ma femme. Je plaque ma bouche gourmande contre son intimité, aux fortes odeurs musquées. Ma langue se régale dans cette fournaise. Elle bouge lascivement et respire fort. Elle mouille abondamment. Le moment me paraît absolument céleste. Je ne touche plus terre et ne contrôle plus mes sens. Elle est vite rattrapée par un nouvel orgasme. Je me décolle de son sexe. Le visage souillé des sécrétions qu’elle m’a éjectées.
Je fais reposer les jambes de ma femme sur sa poitrine. Une posture qui m’offre son cul. Elle a la raie toute gluante de mouille. J’ai passe mon gland entre les poils.
- Prend moi ! Baise-moi ! Me supplie ma femme.
Je place mon gland fatiguée par tant de jouissance dans une journée, contre son anus et je force un peu. Il m’avale de nouveau comme une ventouse. Il s’ouvre de plus en plus sous ma pénétration. Tout en gémissant, elle remue ses fesses de droite à gauche. Prenant appui avec ses mains sur le matelas. Je lai sodomise de toute ma longueur endolorie. Mes couilles viennent s’écraser contre ses fesses. Elle bouge autant que moi, sous les yeux envieux de la marraine. Par intermédiaire de ma verge, je pompe son fion qui produit des bruits de succion.
- Oui… c’est bon ! Encore, me supplie Claire. Plus vite… plus fort…
Que la marraine soit témoin de notre ébat me transcende. Je pilonne ma femme de plus en plus fort, pour son plus grand plaisir mais aussi le mien.
Ça vraiment été un magnifique Noël, le plus beau !
-Alors ? Me fait-elle. Ça c’est bien passé avec marraine.
-Plus que bien si tu veux savoir.
-Ça veut dire quoi ?
-Que nous sommes passés à l’acte.
-Non ! Tu ne vas pas me dire que tu l’as baisée.
-Eh bien oui ! Et je ne te cache pas que je suis peu fière.
-Mais pourquoi mon chéri, ce n’était pas le but ?
-Oui mais quand même !
-Il faut fêter ça ! Lâche-t-elle.
-En faisant quoi ?
-Eh bien, je veux que tu m’encules…
Elle laisse choir ses paquets sur le parquet et se déshabille entièrement avant de sauter sur le lit. Le souffle de plus en plus saccadé, je tâte le derrière de Claire, laissant des traces rouges sur la peau blanche. Je masse du pouce les bords de l’anus. Elle donne des petits coups de reins en arrière, s’arque au maximum.
Je prépare son anus divinement. Lubrifie le conduit. Introduis un, puis deux doigts. Dilate au mieux les muscles. Je retire mes doigts, et place ma verge au centre de l’auréole bistre. La chair rouge forme un rond presque parfait. J’appui le gland et me laisse aller en avant. Elle ne met pas longtemps à disparaître entre les fesses. Elles m’accueillent sans broncher. Je suis à un tel point d‘excitation que je ne peux m‘empêcher de la tambouriner fortement et profondément.
Malgré mon émulation, j’entends les coups légers frappés à la porte de notre. Je jette un coup d’œil en biais. La figure ingrate de la marraine m’apparaît dans l’ouverture. Elle a un mouvement de recul, vite réprimé. Les yeux écarquillés, elle reste sur place. Son visage prend des couleurs. Je vais, je viens dans les reins de sa filleul.
Je n’éprouve aucune honte à m’exposer aux yeux de la jeune femme. Je ne me pose aucune question sur le côté moral ou immoral de cette exhibition dans laquelle j’éprouve une pleine satisfaction. Comme ce doit être le cas pour l’intruse. Se tenant sur le seuil de la chambre. Elle fronce les sourcils en nous observons.
-Approche ! Je lui lance.
La marraine fronce les sourcils, hésite un court instant avant de s’approcher, cédant à la curiosité.
-A qui parles-tu chéri ? Fait Claire.
-A ta marraine !
-Parce que elle est là ?
-Comme je suis en train de t’enculer.
-Bonsoir marraine, tu as passé une bonne journée à ce que j’ai appris.
-C’est pour ça que je suis là. Pour m’excuser !
-Mais il n’y a pas de quoi.
J‘envoie deux, trois coups de reins violents dans le fion à Claire, sous les yeux témoins sa marraine. Loin d’être mécontente de ce qui lui arrive, témoin d’une enculade. Je me surprends de son culot. J’acène quelques aller et retour rapides dans le cul de Claire.
- Ta relation avec mon mari ta plut ?
-Je reconnais que ce n’était pas désagréable !
Sans qu’on lui demande, la voilà qui fait passer sa chemise de nuit par-dessus sa tête. Dessous elle porte une culotte de coton. Je remarque une tache humide en train de s’élargir sur le devant.
- Hou la vilaine Marraine ! Elle mouille la grosse cochonne.
Pour toute réponse, la marraine baisse son slip. Une grosse couche de mouille translucide apparait sur les muqueuses rouges.
- Mais ma cochonne, fait Claire, tu mouilles au fur et à mesure. Tu mérite une bonne fessée.
Il m’en faut pas plus pour envoyer ma semence. Elle ne se fait pas prier la marraine, elle s’approche.
-Mais tu pus la femme en rut, marraine !
Ma femme claque les fesses de sa marraine à toute volée, alors que je reprends mon souffle, allongé de tout mon long sur le lit. Ses doigts marquent de traces rouges la chair pâle et grasse qui rebondit sous les claques de ma femme. Essoufflée elle s’arrête.
- Je pense que tu en as prie pour ton grade ! Lâche ma femme.
- Je suis excusé ?
Dans un frémissement, ma femme lâche :
-Tu te caresses chez toi ?
- Oui… cela m’arrive. Très souvent en ce moment.
- Avec quelle main ?
Elle agite un poignet droit, fin.
- Celle-ci.
- Pose-la sur ta chatte. Montre à Alain comment tu t’en sers.
La marraine écarte l’entaille sexuelle, parcoure sans gêne son sexe de ses doigts. En haut de la fente, le bourgeon pointe. Elle le pince, le fait rouler sous son index. Il se dresse comme un petit pénis en érection. Elle revient sur sa vulve. Enfonce ses doigts entre les replis de chair molle qui s’exsudent une mouille gluante comme un blanc d’œuf. Un bref gargouillis, une plainte mouillée fuse des lèvres roses.
-Eh bien marraine, je ne te connaissais pas aussi coquine.
-Je n’allais pas l’exposer à tout le monde. Oh ! Oui… Je me sens toute chaude… toute excité, prête à faire tout ce que tu veux.
Je n’en peux plus. C’est dingue cette façon inattendue que cette femme a de prononcer tout à coup des phrases bouleversantes. La regardant dans les yeux.
- Que dirais-tu de sucer la chatte de Claire.
- Pourquoi pas… si cela peux me faire pardonner…
-Mais Alain, laisse tomber ma femme, ça ne va pas !
- Tu l’as déjà fait… fais-je à la marraine.
- Oh ! Non, jamais…
- Comment tu trouves la chatte de Claire ?
- Elle est très joli !
Avec un rire énervé, elle s’apprête à s’agenouillé à ses pieds.
- Attends, fais-je en posant ma main sur son épaule.
- Oui, réplique-t-elle en levant les yeux sur moi.
- Dit à Claire ce que tu a pensé de ma lui désignant ma queue.
Elle glisse ses yeux dessus.
- Jamais je ne l’oublierais ! Réplique-t-elle, en me pinçant le gland.
- Branle-moi, alors ! Montre à a filleul comment tu t’y prend.
Sans aucune hésitation elle m’enroule la verge de ses doigts. Et me branle. Elle le fait bien, sans aller trop vite. Je vois qu’elle prend plaisir à faire monter et descendre la peau sur mon gland. Au bord de la jouissance, je respire très fort. Je dois m’y reprendre à deux ou trois fois pour bloquer mon éjaculation. C’est bon. Je ne veux pas jouir tout de suite. Je cesse même de faire aller et venir ma queue dans sa main. Surprise par mon geste, elle me regarde et dit :
- Je le fais pas bien ?
- Si… très bien. Trop bien même.
Il lui en faut pas plus pour reprendre sa caresse. La situation est si particulière que l’orgasme est immédiat. Balayant tout à son passage. Une dizaine de contraction. Un flux intarissable. Presque effrayante. La marraine recueillit toute ma jouissance sur le visage en gémissant.
Là, je vois ma femme se presser sur sa marraine. Elles se pressent l’une contre l’autre. Elles se pelotent les fesses. Se bécotent le visage. Se saoulent de caresses et de baisers. Sa bouche de l’une s’écrase sur celle de l‘autre.
Une langue force les lèvres de l’autre. Elles s’embrassent goulûment. Se barbouillant le bas du visage de salive, mélangée à mon sperme. Elles jouissent en même temps. Une mouille épaisse suinte de leurs vulves, tâchant les draps. Elles grognent de satisfaction. Leurs odeurs fortes de femelles en rut saturent l’atmosphère de la pièce. L’orgasme est si violent qu’elles se laissent tomber en arrière de chaque côté du lit.
Je m’empresse de m’agenouiller aux pieds de ma femme. Je plaque ma bouche gourmande contre son intimité, aux fortes odeurs musquées. Ma langue se régale dans cette fournaise. Elle bouge lascivement et respire fort. Elle mouille abondamment. Le moment me paraît absolument céleste. Je ne touche plus terre et ne contrôle plus mes sens. Elle est vite rattrapée par un nouvel orgasme. Je me décolle de son sexe. Le visage souillé des sécrétions qu’elle m’a éjectées.
Je fais reposer les jambes de ma femme sur sa poitrine. Une posture qui m’offre son cul. Elle a la raie toute gluante de mouille. J’ai passe mon gland entre les poils.
- Prend moi ! Baise-moi ! Me supplie ma femme.
Je place mon gland fatiguée par tant de jouissance dans une journée, contre son anus et je force un peu. Il m’avale de nouveau comme une ventouse. Il s’ouvre de plus en plus sous ma pénétration. Tout en gémissant, elle remue ses fesses de droite à gauche. Prenant appui avec ses mains sur le matelas. Je lai sodomise de toute ma longueur endolorie. Mes couilles viennent s’écraser contre ses fesses. Elle bouge autant que moi, sous les yeux envieux de la marraine. Par intermédiaire de ma verge, je pompe son fion qui produit des bruits de succion.
- Oui… c’est bon ! Encore, me supplie Claire. Plus vite… plus fort…
Que la marraine soit témoin de notre ébat me transcende. Je pilonne ma femme de plus en plus fort, pour son plus grand plaisir mais aussi le mien.
Ça vraiment été un magnifique Noël, le plus beau !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...