Julia face à un dilemme
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Julia face à un dilemme
Roman à une petite entreprise très endettée, elle ne reçoit plus d'aide de la banque qui menace même de porter l'affaire en justice. Roman a des parents très riches qui pourraient l'aider, mais il ne leur parle plus depuis longtemps, et refuse de faire le premier pas.
Son couple bat de l'aile, Julia, sa femme, tente de lui faire entendre raison, mais têtu comme un âne, Roman refuse tout compromis avec ses parents. Souvent ce sont des scènes de ménages qui prennent le dessus. Julia voit son mari déprimer, toujours de mauvaise humeur. Malgré le nombre d'heures qu'il passe à l'entreprise, la situation ne s'améliore pas.
Un jour, Julia, à l'insu de son mari, décide de se rendre chez ses beaux-parents. C'est le cœur serré qu'elle sonne à la porte de la propriété. C'est un employé qui vient ouvrir. Il dirige Julia au salon, et la fait patienter dans un profond fauteuil. Elle attend un long moment, avant que sa belle-mère, Hortense, ne daigne venir. Très hautaine, elle toise Julia, les deux femmes se saluent du bout des lèvres. Hortense demande :
-Que me vaut votre visite ma chère !
C'est avec beaucoup de gêne que Julia lui explique la situation dans le moindre détail. Hortense sourit et en s'approchant de Julia, elle lui lève le menton avec deux doigts et lui dit :
-Ma chère, c'est donnant, donnant !
Julia fronce les sourcils et demande avec un pincement au cœur :
-Ça consiste en quoi, se donnant, donnant !
Hortense s'assoir sur l'accoudoir du fauteuil et dit :
-C'est très simple, nous pouvant éponger toutes vos dettes, mais en contrepartie, vous devez faire un effort !
Tout en lui parlant, Hortense, qui pourrait être sa maman, lui caresse doucement la cuisse et en la fixant du regard ajoute :
-Vous êtes jolie, Roger et moi, nous aimons les belles femmes et comme on dit vulgairement baiser, je n'ai pas besoin d'un dessin pour vous faire comprendre ce que j'attends de vous !
Julia sursaute, se lève d'un coup et en rageant réplique :
-Donc vous me demandez d'être votre pute, et de plier à tous vos délires, n'y pensez pas une seconde !
Julia, outrée, sort en claquant la porte. Elle se dirige vers sa voiture et démarre en trombe. Dans sa voiture, elle vocifère sur ses beaux-parents, les traite de noms d'oiseaux. Une fois chez elle, elle se jette sur son canapé en ruminant. Les jours passent, la situation empire. Julia voit son mari dépérir, elle est mal dans sa peau, elle tient entre ses mains le sort de l'entreprise de son mari, pour elle c'est un dilemme.
Elle réfléchit longuement avant de téléphoner, c'est son beau-père qui décroche. Rapidement, elle explique sa venue de l'autre jour, mais Roger est au courant de la démarche de sa belle-fille. Julia lui dit :
-J'ai réfléchi, bien que cela me coûte, j'accepte la proposition de belle-maman !
Roger cache sa joie, en se frottant les mains, il lui donne un rendez-vous.
Pour s'absenter plusieurs heures, Julia ment à son mari, elle lui dit :
-Mon chéri, je vais voir maman, elle est souffrante !
Roman l'encourage, pour qu'elle se rende au chevet de sa maman. Elle arrive à la propriété de ses beaux-parents. Gare sa voiture, c'est le cœur serré, qu'elle sonne à la porte d'entrée. C'est le même employé qui vient lui ouvrir et l'introduit au salon. Le cœur de Julia bat la chamade, elle se demande dans quelle galère elle s'est fourrée.
Enfin, après un long moment d'attente, Roger et Hortense arrivent tout sourire. Les trois se saluent, avant qu'un serviteur ne serve une boisson. Roger dévisage Julia, il la trouve encore plus belle que le jour de son mariage avec Roman. Il est vrai que Julia a mûri au fil des années.
Une fois la boisson avalée, Roger propose à Julia de le suivre dans la salle des plaisirs. Les trois se rendent dans une pièce, qui ressemble à un sexshop, des dizaines d'objets de toutes tailles et de tous diamètres sont alignés sur une table. Des machines à jouir dont Julia en ignorait jusqu'à leurs existences. Sur un grand panneau de bois sont accrochés des objets qui font écarquiller les yeux de Julia. Menottes, cravache, badine, fouet, martinet sont exposés. Sur une autre table, des pompes à clitos, à mamelons et vaginales sont alignées à côté de godes gonflables.
Julia prend peur, mais Hortense la rassure :
-Ses outils sont pour les habitués, n'aie pas de crainte ma chérie, rien ne t'oblige à les utiliser !
La belle-mère s'approche de Julia, elle l'enlace, la serre très fort dans ses bras et lui dit :
-Tu n'as pas changé d'avis, parce que après, il sera trop tard ma chérie !
Julia lui répond avec un peu de stresse dans la voix :
-Avant, j'attends ce que vous aviez promis de faire pour la dette de Roman :
C'est Roger qui répond :
-Je vais le faire devant vous !
Il crie :
-Firmin mon ami, mon téléphone je vous prie !
Roger exige, avec sa banque, un épanchement total de la dette de son fils. Il met le haut-parleur pour que sa belle-fille entende la conversation. Julia soupire de satisfaction, maintenant, elle doit remplir sa part du contrat. En regardant Roger, elle dégrafe son corsage, le pose sur une chaise, fait glisser le zip de sa jupe et la pose également sur la chaise. Le regard de ses beaux-parents se pose sur ses formes. Hortense ne peut s'empêcher de dire :
-Oh la vache quel cul, Roman ne doit pas s'ennuyer avec un engin pareil !
Julia rougit légèrement, Roger insiste :
-Enlève tout Julia, vite, vite ma chérie !
D'un geste habile, elle dégrafe son soutien-gorge, ses seins se tendent comme un ressort libéré de son carcan. Roger est émerveillé par les deux obus qui semblent bien fermes. Quant à Hortense, elle salive fortement, lorsque la jupe tombe sur le sol. Les deux voyeurs, maitres du jeu, font tourner sur elle-même Julia, pour l'admirer. Les commentaires fusent, en devenant chauds. Hortense se met nue avec l'aide de Firmin, Roger attend son tour.
Les seins d'Hortense s'étalent sur son torse, les bouts larges et épais sont impressionnants, ses fesses en formes de poires semblent flasques, quant aux grandes lèvres de sa chatte bien rasée, elles pendent lamentablement, il est vrai qu'elle n'est pas de la dernière nichée.
Firmin commence à déshabiller son employeur. Roger et rapidement nu, sa queue encore molle pend sur son bas-ventre velu.
Hortense prend l'initiative, elle entraine sa belle-fille sur un banc matelassé, sans dossier. Elle la couche dessus et commence à lui caresser le corps.
Le corps de Julia se couvre de frissons, bien que réticente, elle doit subir les volontés de ses beaux-parents. Les mains moites de sa belle-maman n'omettent aucune parcelle de peau, toutes sont explorées. Julia ferme les yeux, sa respiration s'accélère. Les mains d'Hortense se posent sur sa poitrine et, avec une douceur insoupçonnée, caressent les lobes mammaires. Le malaxage bien dosé d'Hortense fait pousser de nombreux soupirs à Julia.
Les doigts noueux, déformés par de l'arthrose, s'emparent des mamelons. Ils roulent entre les doigts crochus, malgré le petit handicape de ses doigts, Hortense sait s'en servir. Elle étire, pince, écrase les mamelons, en faisant geindre de plaisir sa belle-fille. Sa vulve commence à suer, Julia serre les cuisses pour cacher le fin filet de cyprine qui s'écoule le long de ses cuisses. Hortense lui murmure :
-Laisse-toi aller ma chérie, détends-toi. Ouvre bien les cuisses, laisse évacuer ta tension justueuse, hum, tu dois être bonne, j'en suis persuadée !
Lentement, Julia écarte les jambes, elle ne tente plus de retenir sa cyprine. Elle pousse un râle, lorsque belle-maman lui aspire un mamelon. La femme malgré son âge sait donner du plaisir, sa bouche tète et suce le petit mât qui ne cesse de grossir. Julia geint de plaisir sous les aspirations voraces d'Hortense. Roger regarde le couple en salivant, petit à petit son membre se dresse. Il faut dire que Firmin y est pour quelque chose, le bougre branle doucement son employeur.
Le beau-papa se met à genoux devant les jambes ouvertes de sa belle-fille, il observe un moment la chatte lâcher son jus, avant de poser sa bouche dessus. Julia pousse un gémissement, en se cambrant comme un pont. La bouche du beau-papa arrive rapidement à ses fins, Julia explose de jouissance en gémissant fortement. Hortense écrase les mamelons en criant :
-Jouis, jouis, donne tout ma chérie !
Une seconde jouissance fait hurler Julia.
Son couple bat de l'aile, Julia, sa femme, tente de lui faire entendre raison, mais têtu comme un âne, Roman refuse tout compromis avec ses parents. Souvent ce sont des scènes de ménages qui prennent le dessus. Julia voit son mari déprimer, toujours de mauvaise humeur. Malgré le nombre d'heures qu'il passe à l'entreprise, la situation ne s'améliore pas.
Un jour, Julia, à l'insu de son mari, décide de se rendre chez ses beaux-parents. C'est le cœur serré qu'elle sonne à la porte de la propriété. C'est un employé qui vient ouvrir. Il dirige Julia au salon, et la fait patienter dans un profond fauteuil. Elle attend un long moment, avant que sa belle-mère, Hortense, ne daigne venir. Très hautaine, elle toise Julia, les deux femmes se saluent du bout des lèvres. Hortense demande :
-Que me vaut votre visite ma chère !
C'est avec beaucoup de gêne que Julia lui explique la situation dans le moindre détail. Hortense sourit et en s'approchant de Julia, elle lui lève le menton avec deux doigts et lui dit :
-Ma chère, c'est donnant, donnant !
Julia fronce les sourcils et demande avec un pincement au cœur :
-Ça consiste en quoi, se donnant, donnant !
Hortense s'assoir sur l'accoudoir du fauteuil et dit :
-C'est très simple, nous pouvant éponger toutes vos dettes, mais en contrepartie, vous devez faire un effort !
Tout en lui parlant, Hortense, qui pourrait être sa maman, lui caresse doucement la cuisse et en la fixant du regard ajoute :
-Vous êtes jolie, Roger et moi, nous aimons les belles femmes et comme on dit vulgairement baiser, je n'ai pas besoin d'un dessin pour vous faire comprendre ce que j'attends de vous !
Julia sursaute, se lève d'un coup et en rageant réplique :
-Donc vous me demandez d'être votre pute, et de plier à tous vos délires, n'y pensez pas une seconde !
Julia, outrée, sort en claquant la porte. Elle se dirige vers sa voiture et démarre en trombe. Dans sa voiture, elle vocifère sur ses beaux-parents, les traite de noms d'oiseaux. Une fois chez elle, elle se jette sur son canapé en ruminant. Les jours passent, la situation empire. Julia voit son mari dépérir, elle est mal dans sa peau, elle tient entre ses mains le sort de l'entreprise de son mari, pour elle c'est un dilemme.
Elle réfléchit longuement avant de téléphoner, c'est son beau-père qui décroche. Rapidement, elle explique sa venue de l'autre jour, mais Roger est au courant de la démarche de sa belle-fille. Julia lui dit :
-J'ai réfléchi, bien que cela me coûte, j'accepte la proposition de belle-maman !
Roger cache sa joie, en se frottant les mains, il lui donne un rendez-vous.
Pour s'absenter plusieurs heures, Julia ment à son mari, elle lui dit :
-Mon chéri, je vais voir maman, elle est souffrante !
Roman l'encourage, pour qu'elle se rende au chevet de sa maman. Elle arrive à la propriété de ses beaux-parents. Gare sa voiture, c'est le cœur serré, qu'elle sonne à la porte d'entrée. C'est le même employé qui vient lui ouvrir et l'introduit au salon. Le cœur de Julia bat la chamade, elle se demande dans quelle galère elle s'est fourrée.
Enfin, après un long moment d'attente, Roger et Hortense arrivent tout sourire. Les trois se saluent, avant qu'un serviteur ne serve une boisson. Roger dévisage Julia, il la trouve encore plus belle que le jour de son mariage avec Roman. Il est vrai que Julia a mûri au fil des années.
Une fois la boisson avalée, Roger propose à Julia de le suivre dans la salle des plaisirs. Les trois se rendent dans une pièce, qui ressemble à un sexshop, des dizaines d'objets de toutes tailles et de tous diamètres sont alignés sur une table. Des machines à jouir dont Julia en ignorait jusqu'à leurs existences. Sur un grand panneau de bois sont accrochés des objets qui font écarquiller les yeux de Julia. Menottes, cravache, badine, fouet, martinet sont exposés. Sur une autre table, des pompes à clitos, à mamelons et vaginales sont alignées à côté de godes gonflables.
Julia prend peur, mais Hortense la rassure :
-Ses outils sont pour les habitués, n'aie pas de crainte ma chérie, rien ne t'oblige à les utiliser !
La belle-mère s'approche de Julia, elle l'enlace, la serre très fort dans ses bras et lui dit :
-Tu n'as pas changé d'avis, parce que après, il sera trop tard ma chérie !
Julia lui répond avec un peu de stresse dans la voix :
-Avant, j'attends ce que vous aviez promis de faire pour la dette de Roman :
C'est Roger qui répond :
-Je vais le faire devant vous !
Il crie :
-Firmin mon ami, mon téléphone je vous prie !
Roger exige, avec sa banque, un épanchement total de la dette de son fils. Il met le haut-parleur pour que sa belle-fille entende la conversation. Julia soupire de satisfaction, maintenant, elle doit remplir sa part du contrat. En regardant Roger, elle dégrafe son corsage, le pose sur une chaise, fait glisser le zip de sa jupe et la pose également sur la chaise. Le regard de ses beaux-parents se pose sur ses formes. Hortense ne peut s'empêcher de dire :
-Oh la vache quel cul, Roman ne doit pas s'ennuyer avec un engin pareil !
Julia rougit légèrement, Roger insiste :
-Enlève tout Julia, vite, vite ma chérie !
D'un geste habile, elle dégrafe son soutien-gorge, ses seins se tendent comme un ressort libéré de son carcan. Roger est émerveillé par les deux obus qui semblent bien fermes. Quant à Hortense, elle salive fortement, lorsque la jupe tombe sur le sol. Les deux voyeurs, maitres du jeu, font tourner sur elle-même Julia, pour l'admirer. Les commentaires fusent, en devenant chauds. Hortense se met nue avec l'aide de Firmin, Roger attend son tour.
Les seins d'Hortense s'étalent sur son torse, les bouts larges et épais sont impressionnants, ses fesses en formes de poires semblent flasques, quant aux grandes lèvres de sa chatte bien rasée, elles pendent lamentablement, il est vrai qu'elle n'est pas de la dernière nichée.
Firmin commence à déshabiller son employeur. Roger et rapidement nu, sa queue encore molle pend sur son bas-ventre velu.
Hortense prend l'initiative, elle entraine sa belle-fille sur un banc matelassé, sans dossier. Elle la couche dessus et commence à lui caresser le corps.
Le corps de Julia se couvre de frissons, bien que réticente, elle doit subir les volontés de ses beaux-parents. Les mains moites de sa belle-maman n'omettent aucune parcelle de peau, toutes sont explorées. Julia ferme les yeux, sa respiration s'accélère. Les mains d'Hortense se posent sur sa poitrine et, avec une douceur insoupçonnée, caressent les lobes mammaires. Le malaxage bien dosé d'Hortense fait pousser de nombreux soupirs à Julia.
Les doigts noueux, déformés par de l'arthrose, s'emparent des mamelons. Ils roulent entre les doigts crochus, malgré le petit handicape de ses doigts, Hortense sait s'en servir. Elle étire, pince, écrase les mamelons, en faisant geindre de plaisir sa belle-fille. Sa vulve commence à suer, Julia serre les cuisses pour cacher le fin filet de cyprine qui s'écoule le long de ses cuisses. Hortense lui murmure :
-Laisse-toi aller ma chérie, détends-toi. Ouvre bien les cuisses, laisse évacuer ta tension justueuse, hum, tu dois être bonne, j'en suis persuadée !
Lentement, Julia écarte les jambes, elle ne tente plus de retenir sa cyprine. Elle pousse un râle, lorsque belle-maman lui aspire un mamelon. La femme malgré son âge sait donner du plaisir, sa bouche tète et suce le petit mât qui ne cesse de grossir. Julia geint de plaisir sous les aspirations voraces d'Hortense. Roger regarde le couple en salivant, petit à petit son membre se dresse. Il faut dire que Firmin y est pour quelque chose, le bougre branle doucement son employeur.
Le beau-papa se met à genoux devant les jambes ouvertes de sa belle-fille, il observe un moment la chatte lâcher son jus, avant de poser sa bouche dessus. Julia pousse un gémissement, en se cambrant comme un pont. La bouche du beau-papa arrive rapidement à ses fins, Julia explose de jouissance en gémissant fortement. Hortense écrase les mamelons en criant :
-Jouis, jouis, donne tout ma chérie !
Une seconde jouissance fait hurler Julia.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Linsee pour cette nouvelle histoire assez perverse mais très excitante...
@Olga, le plaisir quand il est bien donné, sait se faire apprécier 😘
Vivement la suite...
Cyrille
@Olga, le plaisir quand il est bien donné, sait se faire apprécier 😘
Vivement la suite...
Cyrille
Julia est aux mains de pervers, mais elle semble aimer ça!