Julia ma femme - histoire érotique

Cela fait quelques années que Julia est mariée avec Robert. Il s'avère qu'au fil des mois, que sexuellement il n'est pas un foudre de guerre. il lui fait que rarement l'amour. D'un esprit voyeur, il l'épie lorsqu'elle prend sa douche. Il fantasme la voir faire l'amour avec d'autres personnes. Il imagine les pires scenarios, avec des violences sexuelles redoutables, des accouplements monstrueux, avec des hommes hyper membrés, et cela le met dans un état d'excitation pas possible. C'est si fort, que dans la salle de bain à l'abri du regard de sa femme, il se masturbe férocement, ses éjaculations sont hors normes. Il se mord la main pour ne pas hurler son plaisir.

Souvent, il aborde le sujet, bien que rarement baisée, Julia reste sur ses positions, elle refuse de se donner à d'autre personnes, elle répond à chaque fois :

- Mais Robert, tu me demandes de faire la pute ? D'ailleurs, j'aurai trop honte de me donner en spectacle !

Souvent dans le lit, sans la toucher, il revient à la charge, en cherchant à l'exciter :

-Imagine ma chérie, de bonnes queues bien calibrées, te percées le ventre, des flots de sperme t'inonder les entrailles, te gaver de semence onctueuse, tu en penses quoi ?

En se raclant la gorge fortement, Julia répond :

-J'en pense que tu ne dois pas être normal, pour vouloir offrir ta femme à des étrangers !

Il dit :

-Cà m'excite, regarde je bande rien que d'y penser !

En effet sa bite est tendue comme un mat, mais au lieu d'en faire profiter sa femme, il se masturbe jusqu'à se qui éjacule. La nuisette de Julia et sa cuisse sont souillées de sperme. Discrètement, Julie étend le liquide visqueux sur sa cuisse, elle en profite pour enduire sa vulve avec. Ses longs doigts fins glissent sur les grandes lèvres bien dessinées, elle insère délicatement deux doigts dans la fente, et part à la recherche de la boule magique. Elle l'agrippe, et doucement l'agite. Lentement la boule rend du volume, yeux fermés, Julia entreprend un doux branlage. Sa respiration s'accélère, son souffle devient rauque. Soudain , son mari repousse avec ses pieds les draps. Julia sursaute, Robert dit avec un air enthousiasmé :

-Oui, oui, ma chérie, branle-toi !

Julia surprise, bien que gênée, est excitée de se masturber devant son mari, elle reprend ce qu'elle avait cessé. Ses doigts agiles, agressent son clito. elle grimace, la masturbation devient plus violente. Robert ne quitte pas des yeux, les doigts qui agitent la boule des plaisirs. Julia geint, grogne, la tension est au maximum. Elle accélère, se tend comme un arc, Puis, en poussant un gémissement terrible, qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main, jouit. Son corps se met à trembler, Robert insiste :

-Continue, continue, tu es si belle lorsque tu jouis ma chérie !

Julia, prise au jeu, reprend entre ses doigts le clito gonflé, elle le branle sauvagement en serrant les dents. Robert lui aussi se masturbe, il dit entre deux souffles:


-Enfonce toi des doigts dans ta chatte et fouille toi à font, oh comme c'est bon de te voir jouer avec ta chatte vas-y, vas-y ma chérie !

Sans savoir pour quelle raison, Julia enfonce trois doigts dans son vagin, et tout en agressant son clito, se fouille profondément. Elle grimace serre tes dents marmonne :


-Oh putain je vais jouir, oui, oui, ça vient !

Elle cambre fortement et en poussant un gémissement de bête, explose. Elle se laisse retomber lourdement sur son lit en haletant. C'est à ce moment là, que Robert éjacule. Il se plaque contre elle et enfonce le clou :

-Oh comme j'aimerai te voir subir les assauts de type lourdement armés, j'en connais deux des bêtes de sexe, il faut que je te les présente absolument !

Julia ne répond pas, elle regarde le plafond rêveuse. Elle réalise, que sous les incitations de son mari, elle vient de se donner en spectacle, et cela ne lui a pas déplu. C'est le Week end. Julia comme chaque samedi, enfile sa blouse et se met à faire du ménage. Elle est nue sous sa blouse mal fermée, qui lui arrive à mi-cuisses.

On peu voir par l'ouverture mal butonnée, une partie de sa poitrine généreuse. Et lorsqu'elle fait des mouvements, les pans de la blouse, s'écartent, et dénudent fortement ses cuisses. Robert pendant qu'elle œuvre, sort faire son tiercé. Il revient deux bonnes heures après, accompagné par deux hommes et une femme. Il les fait entrer au salon, Julia surprise dévisage le trio. Robert dit en souriant :

-Ce sont les amis dont je t'ai parlé ma chérie !

Et commence la présentation présente. La femme se prénomme Valériane, cette femme, bien qu'elle soit d'un âge mûr, moulée dans une jupe qui met en valeur son fessier, et d'un caraco qui laisse deviner une poitrine abondante, et très séduisante. Il présente Serge le mari de Valériane et Aldo un ami du couple que Robert connait de longue date.

Julia reste coite un instant, elle ne s'attendait pas à de la visite sitôt. Mais, rapidement elle reprend ses esprits et serre un verre. Le trio, ne cesse de contempler Julia, malgré qu'elle est un peu négligée, est assaillit de compliments. Valériane rougit, Serge la dévore des yeux, son pantalon serré, cache un membre qui semble imposant. Quant à Aldo, lui est trapu avec un cou de taureau, une force de la nature. Une bosse déforme son pantalon. Julia ne peut s'empêcher de poser se yeux de nombreuses fois dessus. Julia est en face de Valériane, et d'Aldo. Les deux admirent les cuisses de Valériane que le tissu de la blouse ne peut cacher.

De temps en temps, Aldo, vicieusement, se penche pour prendre son verre sur la table basse, il en profite pour regarder entre les jambes mal fermées de Julia. Quelques fois, il aperçoit la toison. Julia remarque le manège du vicieux, elle se met à rougir, et serre fortement les cuisses. Elle semble mal l'aise, elle dit :

-Je vais me changer, j'ai honte de recevoir des invités en blouse !

Valériane la stoppe :

-Mais non, vous êtes très belle ainsi, vous êtes agréable à regarder. Moi oui je suis attifée comme une pute, mon mari aime me voir habiller ainsi, donc je cède à ses caprices !

Valériane volontairement, remue beaucoup sur son fauteuil, sa jupe remonte sur le haut de ses cuisses et on peut voir sa culotte. Cela ne semble pas la traumatiser, car elle ne cherche même pas à la faire redescendre. Robert complice dit :

-Tu as de joli jambes, pourquoi les cacher. Julia est très gênée de montrer ses cuisses, pourtant, elles sont magnifiques regarde. Brusquement Robert, retrousse la blouse de sa femme. Julia se cabre et proteste. Valériane répond en faisant un large sourire :

-Robert à raison, tu as de magnifiques jambes Valériane, laisse nous les contempler, il ne faut pas avoir honte de ses formes. Moi j'ai un gros cul et j'aime qu'on le mate, cela m'excite !

Valériane se lève brusquement, relève sa jupe, et montre sans aucune gêne son fessier. Julia reste sans voix Serge palpe les fesses de sa femme en disant :


-Elles sont bien fermes, j'adore jouer avec, j'adore son petit trou, regarde comme il est désirable !

Sans aucun souci, il écarte la culotte de sa femme, et offre aux yeux médusés de Julia, l'anneau ridé très boursouflé de Valériane, qui prend appuie sur le dossier du fauteuil pour bien exposer son anus !

Il dit en souriant :

-Ce n'est un pousse au viol une rondelle pareille, hein !

Il fait plusieurs pressions dessus, avant d'enfoncer la première phalange de son doigt dans l'antre de Sodome. Julia bouche bée, regarde yeux écarquillés le doigt disparaitre entièrement dans le rectum de Valériane. Doucement, Serge fait faire à son doigt un va-et-vient bien dosé. Valériane geint doucement. La cadence augmente, un deuxième doigt est nécessaire pour faire geindre encore plus fort Valériane. Julia serre les cuisses, autant que ses poings. Robert en profite pour remplir les verres. Aldo regarde Julia, il la sent fébrile. Il décide de passer à l'action aussi.

Il ouvre largement son pantalon, extirpe sa verge, et étale son service trois pièces. Sa verge en semi-érection, est impressionnante, ses testicules monstrueux sont remplis de bon jus. Il saisit d'une main le manche encore mal réveillé, et commence un branlage vigoureux. Julia quitte des yeux l'anus que Serge ramone, et les pose sur la verge colossale qui prend de plus en plus de volume. Elle ravale sa salive, sa chatte ne peut contenir son jus, elle est trempée. A chaque descente de son poignet, Aldo décalotte son gland, le bougre gigantesque, qui chapeaute la hampe épaisse, fait frissonner Julia. l'engin est aussi gros qu'une main d'enfant

Valériane agite sa croupe en geignant de plus en plus fort. Un troisième visiteur est nécessaire pour la combler de plaisir. Serge lui fouille bien le cul comme il sait si bien le faire, il le prépare pour l'estocade. Aldo continue de se travailler la verge, elle est au top. Julia n'en croit ses yeux, jamais elle n'a vu en engin pareil. le méat ouvert rejette quelques perles visqueuse, rapidement le gland s'enduit de ce liquide. Serge soudain dit :

Elle est prête Aldo, elle n'attend que toi !


Aldo se lève et s'approche de Valériane, il place son monstre contre la rondelle brune et, en s'accrochant à ses hanches pousse. Valériane bien qu'habitée au calibre de la bite d'Aldo, pousse un cri de douleur. Elle serre les dents, inexorablement la verge s'enfonce dans son rectum. Dilatée comme elle l'a déjà été plusieurs fois, Valériane subit la sodomie dévastatrice qui lui ouvre le cul terriblement. Bien que se soit douloureux, elle adore être prise de cette façon.
Julia défaille, elle voit le monstre vivant voyager dans le fondement de Valériane qui gémit sous les coups de reins dévastateurs d'Aldo. Les couinements de bêtes que pousse Valériane font tressaillir Julia. Serge jubile il adore entre sa femme geindre sous les coups de reins de son ami Aldo. Son mandrin enfle de plus en plus.

La vulve est de Julia, est devenue un ru de compagne intarissable. Ses cuisses sont trempées de cyprine. En tremblant, elle ose, au travers de sa blouse se presser maladroitement la vulve, pour faire cesser l'écoulement de cyprine. Robert aux premières loges regarde sa femme s'agiter nerveusement. Elle regarde sans baiser les yeux la sodomie que subit Valériane.
La verge épaisse, coulisse de mieux en mieux dans la gaine distendue. A chaque enfoncement, les couilles pleines de semence, frappent fortement les fesses de Valériane qui ne cesse de grogner de plaisir. Serge s'assied près de Julia, il pose sa main sur sa cuisse et la caresse doucement en la faisant progresser vers l'aine. Julia trop captivée par ce qu'elle voit, est sans réactions. Serge repousse la main de Julia, enfin, il atteint son but.


Ses doigts glissent sur les lèvres détrempées, s'insèrent dans le sillon, et voyagent de bas en haut. Ils s'accrochent au clito qui est déjà pas mal gonflé, le presse plusieurs fois avant de l'agiter.
le traitement dure quelques minutes avant qu'elle ne Jouisse. Elle se mord la main au sang pour étouffer son gémissement de plaisir. Serge retire sa main, il sort de son pantalon sa verge épaisse et prend la main de Julia qu'il pose sur le mandrin bondée terriblement. Machinalement, sans son rendre compte, Julia la serre dans sa main, et commence à la branler.

Elle sent battre le sang dans les grosses veines apparentes, elle agite de plus en plus vite le manche plein de vie. Serge râle de bonheur. Quant à Robert, il est aux anges, sa femme va sûrement commettre, ce qu'il lui demande depuis longtemps, prendre une verge bien calibrée dans le ventre. Julia comme un automate, branle la queue qui prend encore du volume.

Serge en poussant un grognement, se raidit et envoie dans les airs plusieurs jets de sperme, qui retombent mollement sur les doigts de Julia. Qui surprise lâche la verge gluante, elle regarde le gland, qui rejette encore quelques gouttes de semence. Ses yeux sont presque exorbités, elle semble tétanisée, elle regarde le membre suinter. Serge lui saisit les cheveux et attire doucement la tête de Julia vers le manche gorgé de sang. Il dit avec une voix rassurante :

- Suce ma chérie, ne te prive pas de ce plaisir, vas-y suce !

Julia empoigne d'une main la hampe épaisse. Regarde médusée, le gland monstrueux. Sin mari insiste :

-Vas-y ma chérie, ne fais pas ta chochotte, tu en meurs d'envie !

Un cri terrible semble la ramène la réalité, Valériane vient de jouir comme une bête en rut. Aldo s'acharne sur elle en pousse un han de bucheron, à chaque coup de reins qu'il donne. Un grognement inhumain sort de la gorge d'Aldo, il remplit de son sperme le cul de Valériane, qui geint toujours.

Enfin après avoir donné encore quelques estocades violentes, Aldo, se retire du rectum. Julia regarde en ravalant sa salive, regarde le trou béant rejeter le surplus de sperme. Elle ne sait ou regarder, le cul ouvert, ou le la verge qu'elle tient en main. Le choix et enfin fait, elle ose avancer sa tête vers le monstre qui la nargue. Elle lui sonne quelques coups de langue. Robert défaille :

-Oui ma chérie, régale toi, oh oui, oui, bouffe lui la bite avale son sperme !

Julia passe sa langue râpeuse sur le gland, en fait de nombreuses fois le tour, elle titille longuement le frein avant de gober le gland. Il est si gros, qu'elle se déboite presque les mâchoires. Elle suce tète comme elle peut, un filet de salive s'échappe à la commissure de ses lèvres. Un bruit brouillant de succion se fait entendre, à chaque aspiration. Robert n'en croit pas ses yeux sa femme suce la verge d'un autre homme. Un miracle se produit, il bande comme un poney. Il sort sa verge et l'agite en serrant les dents. Valériane s'approche, regarde Robert en souriant, retire sa culotte et sa jupe, elle l'enjambe et s'empale sur sa queue. Elle s'agite comme une forcenée en en geignant de plaisir.

De son côté, Julia se démène comme elle peut avec la verge de Serge. Sa mâchoire devient douloureuse. Ses yeux s'emplissent de larme. Soudain Serge pousse un rugissement de fauve. Il envoie dans la bouche de Julia un flot impressionnant de sperme. Au bord de l'asphyxie, Julia repusse brutalement Serge, elle se pince les lèvres, grimace, du sperme s'échappe de ses lèvres.

Aldo lui dit :

-Avale, ne gâche pas don des Dieux !

Par petites gorgées, en grimaçant, Julia déglutie, et finit par avaler la totalité de la fabuleuse décharge. Elle s'essuie d'un revers de la main ses lèvres. Elle regarde le gland qui rejette encore quelques jets de semence.