Jusqu'où!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Jusqu'où! Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jusqu'où!
Sylvie, les mains plongées dans l’eau savonneuse de l’évier, nettoie délicatement les verres qui ont servis à la réception. Sa poitrine épanouie de danse lentement à chacun de ses mouvements, comme si la tension du soutien-gorge était insuffisante.
En appui contre le chambranle de la porte je la regarde. Qui sent mon regard se poser sur son cul. Elle me jette discrètement des regards ravis avant de baisser pudiquement les paupières.
Une fois la vaisselle faite je lui propose de prendre un verre.
-Si tu insistes, pourquoi pas ! me dit-elle.
Sylvie est une femme proche de la cinquantaine. Petite, brune, elle respire la joie de vivre. Son aplomb en fait une femme de caractère, sachant parfaitement ce qu’elle veut. Célibataire.
Elle porte un chemisier, sur un leggings en aspect cuir, le tout porté par des escarpins. Je profite qu’elle marche devant moi pour aller s’installer dans la salle pour poser mon regard sur ses fesses qui se déplacent érotiquement à l’allure des ses pas. Cette adorable vision me déclenche un agréable frisson sur ma queue.
Son regard a un air si coquin que je ne sais pas ce qui me retient de lui sauter dessus. Mon éducation sans faille, sans doute.
Je sers à Sylvie une coupe de champagne. Sous une musique d’ambiance, nous avons longuement discuté de tout et de rien. Je ne manque pas d‘emplir les verres.
-A encore une réception de fini, fais-je, avant de porter nos lèvres vers nos coupes de champagne.
Pris d’une étrange envie, je pose ma main sur son genou. Et la remonte de plus en plus haut. Sylvie halète, tout en ouvrant légèrement les jambes, m’offrant à son amie un panorama sur le haut de ses cuisses.
- Il faudrait ce calmé, souffle-t-elle à mon oreille.
Mais pour moi, il n’est pas question que j’arrête. Mon excitation est au summum. Tout en fixant Sylvie dans les yeux, mes doigts massent la jonction des deux cuisses. Elle referme les jambes, bloquant mon action. Mais, malgré son opposition, mes doigts pianotent sa fourche à travers le simulé cuir.
Je me saisis d’un de ses seins et en tortille le bout dur à travers la laine. Elle gémit. Je profite de cet instant pour tout arrêter.
-Et c’est tout ? Me fait-elle.
-Parce que tu en veux plus ?
-T’abuse ! Maintenant que tu m’as mis en transe !
En plusieurs étapes, avec son aide, j’arrive à la trousser jusqu’à la taille avant d’aventurer ma main droite entre ses jambes légèrement écartées. Mes doigts curieux se noient dans une toison abondante et odorante. Mon index s’invite profondément dans la fente. Sylvie me confirme son contentement en posant sa main sur mon sexe qui se distend.
Je prends place en contrebas, agenouillé sur le sol, j’introduis ma bouche dans son intimité. Ouvrant délicatement les lèvres pour goûter abondamment toutes les saveurs féminines que ma langue explore avec délice. Sylvie est si satisfaite de ma prestation qu’elle monte sa jambe droite sur l’accoudoir pour me permettre un accès plus facile. En contre-plongée, le spectacle est des plus plaisants. Sylvie écartelée, la chatte béante et une allée de poils hirsutes qui envahissent la raie profonde de son cul. Quand j’engloutis son petit bouton rose, Sylvie bloque ma tête sur sa chatte de peur que je n’arrête la caresse qui semble lui convenir parfaitement.
Elle commence à pousser de discrets cris de contentement puis son excitation monte crescendo. Le rythme de ses râles double d’intensité quand ma bouche et ma langue alternent leurs actions sur le clitoris durci. Je sens que Sylvie est au bord d’un orgasme et, naturellement, je lui enfile délicatement un doigt, bien au fond de son petit trou du cul. Elle pousse un feulement étouffé, bloque ma bouche sur son bouton tendu, agite son bassin contre mon visage et arrose ma langue d’un liquide acide et suave.
Je profite qu’elle soit en plein extase pour enfiler trois doigts dans son antre. Elle suffoque. Elle lâche une sorte de hoquet. Non seulement trois doigts fouillent son sexe mais, en plus, mon pouce flirte avec l’orifice anal que sa mouille vaginal a copieusement irrigué, qui bouge comme une petite bouche, heureuse qu’on s’occupe d‘elle.
Le pouce s’y trempe copieusement puis, et comme si s’était un vagin, se plante dedans. Elle soulève un peu les fesses pour faciliter la double pénétration. Son ventre et ses fesses ne sont plus que lave en fusion, un volcan sur le point d’exploser.
Ma queue commence à se sentir à l’étroit dans mon pantalon. Je sais à ce moment que tout m’est permis. De ma main libre je libère ma queue. Sylvie fixe avec des yeux gourmands ma queue. Elle prend l’initiative d’empoigner mon sexe et à tâtons se le place à l’ouverture de ses reins. Résultat, ma queue est comme gobée et gainée d’un fourreau très accueillant.
Je saisis les pieds de Sylvie dans chaque main et les faits prendre appuie sur chacun des accoudoirs du fauteuil. La prenant par-dessous les fesses, je me mets à lui pilonner l’anus à grand coup de bite. Un vrai piston infatigable qui monte et descend. Les yeux aimantés sur mon outil à plaisir en action, Sylvie est comme hypnotisée.
-Oui, Alain, c’est là, oui, plus fort. Oui ! Encore ! Ne t’arrête pas.
J’agite agréablement ma queue dans le petit trou. Je me tends pour aller le plus loin possible.
Tout à coup, je sentis une coulée brûlante noyer mes couilles. Elle pissait. C’était bon… et chaud. Oh, Seigneur, que c’était bon ! Je me sens partir, m’évanouir. Je n’en peux plus. Sylvie, loin d’être sevrée de plaisir, agite le bassin bien dans le rythme en ahanant de plus en plus fort.
J’éjacule comme jamais encore, en inondant les parois du cul de Sylvie de mes jets brûlants.
Après une coupe de champagne réparatrice, j’ai été invité par Sylvie à passer la nuit chez elle. Où elle vit avec une colocataire.
-Tu vas voir elle est plus cochonne que moi…
Cela promets !
Comme par pur défit, Sylvie m’ordonne de m’asseoir sur le lit alors qu’elle attire fabienne contre elle, sur le matelas. Mettant leurs bas-ventres en contact. Leurs poils se sont mélangés. Leurs vulves humides se sont écrasées l’une sur l’autre comme deux bouches qui s’embrassèrent. Instinctivement, elles se sont prises dans les bras, se pressant contre leurs poitrines. Les deux filles s’enlacent étroitement, leurs bouches se frôlent, leurs souffles se mélangent.
Emportée par l’excitation de ma présence, elles se sont pressé l’une contre l’autre. De temps à autre, la languette de chair de Fabienne est entrée dans la vulve de Sylvie tel un petit doigt. Elles se sont pelotées les fesses, se sont bécotées le visage. Se saoulant de caresses et de baisers. Sa bouche de l’une s’écrase sur celle de l‘autre, sa langue forçant ses lèvres. Elles se sont s’embrassées goulûment, se barbouillant le bas du visage de salive. Elles ont joui en même temps. Une mouille épaisse a suinté de leurs vulves, tâchant le drap.
Leur odeur forte de femelles en rut sature l’atmosphère de la pièce. L’orgasme fut si violent qu’elles se sont laissé tomber en arrière sur le matelas.
Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour m’approcher de la fourche de fabienne. Une expression méfiante apparut sur le visage de la femme qui acquiesce néanmoins.
Sans façons, je dirige ma bouche directement vers l’objet du désir. Je la lèche comme un damné, comme si ma vie en dépendait. Elle sent plus fort que sa colocataire. Plus fort la sueur, plus fort son jus intime, plus fort peut-être aussi quelques gouttes de fille qui se serait mal essuyée.
Mais j’aspire ces lèvres charnues. Je tâtonne pour déloger ce bouton si sensible que je titille, recouvre, pelote avec ma langue, avec toute ma bouche. Ses mains prennent délicatement ma tête, non pas pour la guider, mais pour suivre ses mouvements, pour accompagner mes cheveux.
J’aventure une langue vers son anus. Dans une animation mesurée je le taquine. Fabienne gémit sous ma caresse. Elle se met à haleter, pas exagérément mais avec force. Elle jouit de tout son corps, elle a plusieurs soubresauts. Elle lâche ma tête et pose ses mains sur les miennes, elle les serre, elle les tient.
Et alors que je continus à lécher, délicatement, les lèvres de Fabienne, celle-ci prend ma main et l’entraîne doucement vers la chatte de Sylvie. Tout en suçant la chatte de Fabienne, je me mets à la branler comme un fou. La chatte largement ouverte, ruisselant de crème. Sylvie semble comme folle. Et se tétanise au moment de l'orgasme avant de sombrer dans une multitude de tremblements qui semblent ne pas vouloir arrêter.
Le silence retombe dans la chambre, ponctué seulement par nos respirations. La bouche pleine d’arômes je prends place à même le sol.
Sylvie sourit avec une grâce bien à elle.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je suis du même avis que cette lectrice... C'est dommage !!!

Histoire Libertine
Il faut se relire…
Trop de faute et de mots manqueants ou en trop!
Et présenter les acteurs, qui est qui par rapport à l’autre ?
Bon courage !



Texte coquin : Jusqu'où!
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