L'alternatif

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : L'alternatif Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'alternatif
Une fois encore cette dernière permanence me donne son lot de plaisir. Et comme pour bien jouir moi-même, j’ai besoin des autres, alors je les utilise. Aussi simple que ça.
Et pour cela, il n’y a pas mieux que de naviguer dans la salle. A la recherche de ce n’est pas quoi, encore. Et comme souvent j’enregistre que derrière les apparences sages de certaines mamans, il se déroule parfois de drôle de scénario. Et c’est pour ça qu’il est intéressant pour moi de les observer. Je m’excite même, juste à les examiner sur leurs sièges.
Et quoi que, quelqu’une ont disent, elles sont tout de même sensibles aux regards des hommes. Comme c’est encore le cas encore ce soir. Où certaines d’entre elles se sont arrangées, le mieux possible, pour être sur leur trente et un. Mon choix se porte toutefois, sur les coquines qui croisent haut les jambes. Dénudant ainsi, par cette posture, un peu leurs cuisses sous leurs jupes. Qui tournent la tête de tous les côtés pour voir si elles ont réussi à donner l’effet escompté. Et que le hasard, fait qu’elles croisent alors mon regard. Elles se sentent alors désorientées par ma présence. Les unes écartent davantage les jambes, les autres les referment.
C’est peut-être pour ça que j’aime ce que je fais !
Une fois le spectacle terminé, la salle vidée de son public, la tête pleine d’images, je bourlingue à travers les allées pour m’informer que rien ne traîne. Et alors que je m’apprête à couper l’éclairage général de la salle, voilà qu’une voix se fait entendre du côté de la loge.
-C’est toi Mathilde ?
-Oui c’est moi, ne m’enferme pas !
-Qu’est-ce que tu fous ?
-Viens plus tôt, j’ai besoin de ton aide !
Je la trouve donc, dans la loge, mais pas comme je l’aurais imaginé. Elle est nue !
-Allez, ne reste pas là, viens, frotte-moi le corps, roucoule-t-elle d’un air pervers.
-Tu ne peux pas le faire toute seule.
-Pourquoi le ferais-je, si tu es là !
J’entreprends de lui frotter les épaules.
-Lave-moi les seins ! Ordonne-t-elle, le regard trouble.
Docile, je m’attaque aux gros nichons étalés sur le buste.
-Ils sont bien rebondis, fait-elle d’une voix enrouée qui trahit son trouble. Lave-moi bien les tétons !
Les yeux luisants, je fais courir mes mains sur la poitrine opulente, insistant sur les pointes tendues. Ses narines palpitent, signe qu’elle est excitée. Ses tétons dardent au centre de ses aréoles contractées sous l’effet d’une forte excitation. Je fais courir mes mains le long du ventre bombé. M’attardant sur le nombril, que j’explore de l’index. Je frotte le pubis, rebondis, frôlant le sommet de la fente vaginale où pointe le clitoris.
-Oui, occupe-toi de ma chatte !
Je fais descendre ma main sur la fente ouverte. Je me mets à astiquer les lèvres charnues, ainsi que les parois gluantes du vagin que j’explore avec un plaisir pervers. Mes doigts produisent un bruit obscène dans le con poisseux de sécrétions.
-J’aime tes doigts dans ma chatte ! Tripote-moi bien ! Lâche-t-elle dans un souffle.
Les yeux vitreux. J’enfonce trois doigts dans la faille écarquillée. Je les fais entrer et sortir. Les cuisses éloignées l’une de l’autre, elle me regarde jouer avec ses lèvres charnues, son clitoris érigé. Attouchements sensuels. Ses tétons bandent.
-Viens, je vois que nous sommes sur la même longueur d’ondes ! Fait-elle avec un sourire goguenard.
Dévorée d’excitation, elle se laisse choir sur le bidet. Elle attire ma tête entre ses cuisses.
-Lèche mon beau, je sais que tu aimes cela ! Laisse-t-elle tomber d’une voix oppressée.
Je ne cherche même pas à savoir comment elle connait ça, je colle ma bouche à la fente humide, les poils me chatouillent les joues. Je vise le large trou d’où coule un liquide mousseux. La femme se cambre soudain et les lèvres molles du con épousent les miennes un instant.
Je peux passer de longs moments à cajoler une chatte, à la faire pleurer, palpiter, je la mange, la suce, la pénètre avec délice.
Mes partenaires sont souvent surprises du soin que je peux mettre, du temps que je peux passer à jouer avec ce joyau, et pas une jusqu'à maintenant n'a été déçue, pas une seule de mes partenaires n'a manqué de jouir sous ma langue.
Je lui demande de se positionner en levrette. J’ai ses orifices si près de mes yeux que j’en louche. Ma queue se tend encore davantage et palpite au rythme de mes pulsations. Entre ses fesses sublimes, l’anus est à peine marqué par un léger relief, dans le fond couvert de duvet de la raie. Il paraît vraiment minuscule.
J’approche ma tête. Mes lèvres atteignent le buisson mal entretenu. Je frotte légèrement mon nez contre les poils pubiens, dans un lent mouvement vertical. Ce langoureux va-et-vient provoque l’effet escompté. La respiration de Mathilde s’accélère. Elle reste bien campée sur ses jambes. Reculant son bassin, elle presse sa chatte contre mes lèvres. Du bout de la langue, j’entame de longs va-et-vient tournoyant entre les grandes lèvres humides.
Je place mes mains de chaque côté du sexe, alors que ma langue pointue pénètre la vulve. Je tire les grandes lèvres vers l’extérieur, les plaquant contre les fesses, permettant à sa langue de s’enfoncer profondément dans le vagin. Quand elle est bien installée, je presse les mêmes lèvres, l’une contre l’autre, l’emprisonnant ainsi entre les parois.
Je recommence plusieurs fois, tentant de la pénétrer toujours plus loin.
Mathilde inonde ma bouche de sa cyprine à jets continus, preuve s’il en est besoin de son extrême excitation. Brusquement, elle me repousse. Je m’agrippe à ses fesses, et replonge la tête entre les fesses si divinement grasses. Elle veut encore une fois me refouler, mais je tiens bon. De ma langue, je la baise toujours.
Je doigte son anus. Ce dernier est tout réjoui, se contracte férocement autour de mon doigt qui le lime. La vulve inonde son visage de cyprine. Une forte houle agite un bas-ventre qu’il doit contenir d’une seule main. Elle laisse échapper une succession de gémissements enamourés. Mes caresses buccales finissent par faire sortir son clitoris de sa cachette, tandis que le vagin évase son orifice. Elle l’anime de contractions qui le rendent presque vivant. J’emprisonne entre mes lèvres la tige du plaisir, j’aspire en harmonie le bulbe glabre, puis le lustre de la pointe de ma langue.

J’enfourne mon index dans sa tirelire. Je fais coulisser de plus en plus rapidement, tout en suçant le clitoris. Sachant très bien, comme d'autres avant elle, qu’elle ne va pas résister longtemps. Un flot de mouille m’inonde bientôt le visage. Lécher, c’est une drogue dont je ne peux plus me passer.
Je lui embrasse l’anus. Je parcours deux ou trois fois la raie, puis je pique ma langue au centre.
-Tu es vraiment spécial, toi ? Lâche Mathilde. Viens, ajoute-t-elle, il est temps pour moi que tu me prennes…
Je pointe mon gland contre la fente dégoulinante de secrétions et de salive. Je la pénètre d’une seule poussée en ahanant. Mathilde feule en sentant les parois de son sexe se distendre au passage de mon sexe. Elle est tout de suite aborder par un orgasme.
Je me retire de sa gaine, et profite qu’elle soit en transe, pour pousser mon gland contre l’orifice préparé plus tôt. Fou de désir je pousse et les sphincters de Mathilde cèdent. Je suis sitôt aspiré dans l’antre. Je suis logé en elle jusqu’à la garde. Je reste immobile un instant. Je l’entends me dire de bouger. La petite vicieuse roule des hanches. Projette son cul en devant de ma queue. Je l’accompagne en lançant un simple aller et retour.
Mathilde est un état second, prise de tremblements convulsifs, proférant des suites de mots incohérentes. Nous sommes plus que deux bêtes avides de plaisirs. Nous amenons mutuellement à une jouissance dévastatrice. Cherchant à tirer un maximum de plaisir dans cette sodomie. Je sens ma queue se cabrer avant de tressauter pour lui offrir ma semence. Cela la fait aussitôt partir dans un second orgasme. Je me laisse tomber sur elle. Et nous restons ainsi un long moment. Récupérant peu à peu nos esprits. C’est avec d’infinies précautions que je me sépare de Mathilde. Un flot de mon plaisir s’échappe de l’orifice totalement distendu pour s’écouler le long des cuisses de Mathilde, qui s’empresse promptement aux toilettes.
Alors que je me nettoie au-dessus de l’évier. Elle m donne un long baiser langoureux avant de me remercier. Elle prend congé tandis que je verrouille les accès.
Arrivée chez moi, ma femme m’attend devant la télé.
-Tu as fini tard ? Me lance-t-elle.
-T’aurais pu aller te coucher !
-Je ne pouvais pas.
-Comment ça, tu ne pouvais pas ?
-Baise-moi !
Je m’exécute, et m’enfonce dans son puits d’amour. Je commence de doux va-et-vient. Ma femme me demande d’accélérer la cadence, de la pilonner. Ces mots sonnent bizarrement à mes oreilles. Elle se lâche comme à son habitude. Tout en lui mangeant les pieds, alternant d’un orteil à l’autre, je la martèle de coups de reins à haute intensité. A en perdre le souffle. Heureusement pour moi, le plaisir arrive, j’éjacule en elle.
-Tu n’as pas joui, toi ! Lui fais-je, je vais te lécher.
-C’est gentil ça !
J’embrasse pour cela ses lèvres, cherche son clito, l’aspire et me retrouve avec mon propre sperme dans la bouche, le mien mélangé à la cyprine de ma femme. Sensation loin d’être désagréable.
Plus tard dans notre chambre, avant de sombrer, je remercie ma femme pour son indulgence.
Rapidement j’entends sa respiration régulière. M’indiquant qu’elle dort profondément. Pour ma part, impossible de dormir, quelle soirée ! A en avoir la queue douloureuse.
Après cela, je m’endors. Demain, il fera jour.
Pas plus tard que le lendemain, je reçois la visite de Mathilde, pendant le déjeuner. J’en profite pour sucer sa chatte. Elle me propose de revenir régulièrement. Pour la faire jouir avec ma bouche.
J’aime ma femme, comme j’aime aussi sucer de nouvelles chattes. Quelle alternative !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour …
Alors la .. je vous rejoints ….
J adore faire jouir une femme avec ma bouche ..explorer de ma langue …
Vous avez bien retranscrit cet acte ..
Felicitations



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