L'anniversaire de mon cousin
Récit érotique écrit par Autorfr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 20 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Autorfr ont reçu un total de 124 043 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 1 872 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'anniversaire de mon cousin
Lors des vacances de juin, j’ai succombé aux charmes de mon cousin Steve. A l’occasion de son dix-neuvième anniversaire je lui ai fait découvrir les plaisirs du sexe. Nous n'avons que trois mois d’écart tous les deux ; c’est moi l’aînée.
Steve a toujours été fan de jeux vidéo. En d’autres mots, mon cousin est un vrai geek. Je connais presque tout de lui. Même si je lui ai présenté certaines de mes amies, je sais qu’ils n’ont jamais rien fait de plus que des bisous. Mon cousin est donc encore puceau.
Étant à l’université depuis presque un an, j’ai eu la possibilité de découvrir les plaisirs intimes avec une fille ou un garçon. Le premier à avoir fait de moi une femme s’appelait Christophe. Nous sommes restés ensemble quelques semaines avant de passer à autre chose. En quelques mois, j’ai pu coucher avec une fille et trois autres gars. Même si je n’ai pas une expérience importante, je sais que je peux contenter un garçon.
La veille de son anniversaire, je me rends chez mon cousin en bus, car je n’ai pas encore le permis de conduire. Il vient donc me récupérer à la gare routière.
J’appelle Steve dès que je sors du bus.
— Je suis encore sur la route, dit-il. Je serai là dans moins de cinq minutes.
— OK. Je vais t’attendre dans le parc près de la gare routière.
Je vais donc m’asseoir sur un banc pour l'attendre. Quelques minutes plus tard, je le vois traverser le parc vers moi. Je me lève et je mets mon petit sac sur mon épaule. On échange un grand sourire avant de se faire la bise.
Je vois bien que mon cousin est heureux de me voir. Steve récupère mon sac et on monte dans sa voiture. Il ne me fait pas de remarque concernant ma tenue. Je suis un peu déçue, car je me suis pourtant faite belle en portant un jean moulant et un débardeur blanc qui met bien en valeur ma petite poitrine. On peut même apercevoir mes tétons, car je ne porte pas de soutien-gorge. Steve reste silencieux durant le petit quart heure de route.
— Je t’ai connu plus loquace, Steve. Ça va ?
— Euh... pas trop, mais ça peut aller.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Dis-moi tout !
— Voilà... j’avais invité une fille pour mon anniversaire et elle ne pourra pas venir.
— Je suis vraiment désolée pour toi. Tu l’aimes bien ?
— Tu es vraiment trop curieuse, Lina ! Ça me gêne.
— Excuse-moi, Steve.
On arrive finalement devant la maison de ses parents, chez qui il habite. Steve se gare dans l’allée et vient m’ouvrir la portière.
— Merci, Steve.
— Der rien, princesse !
Il me fait un clin d’œil taquin. Il sait que j’adore quand il m’appelle comme ça. Il a récupéré mon sac et il me fait entrer chez lui.
— On est seul, Steve ?
— Pour l’instant, oui. Mes parents sont au travail. Laisse-moi t’amener dans ta chambre.
— Je vous suis mon beau prince.
Steve me sourit et on monte à l'étage où se trouve sa chambre ainsi que celle où je vais m’installer.
— Tes parents doivent rentrer bientôt ?
— Vers 18 heures. Pourquoi tu demandes ça, Lina ?
— Par curiosité, Steve.
On entre dans la chambre. Steve pose mon sac sur le lit.
Un balcon donne sur un bois qui entoure sa maison, ainsi que sur sa piscine.
— On peut aller se baigner ?
— Oui, Lina.
— Super ! Laisse-moi me mettre en maillot.
— Je vais aller mettre le mien.
— On se rejoint en bas ?
— OK !
Steve sort de ma chambre pour rejoindre la sienne, juste en face, dans le couloir. Je fais exprès de laisser ma porte entrouverte. Je pends mon sac, ma serviette et mon bikini rose. Je me déshabille lentement en espérant que mon cousin ait la chance de me voir nue. Je reste ainsi un instant au milieu de la chambre avant d’enfiler mon bikini, légèrement trop petit pour moi mais ayant l’avantage de mouler légèrement ma poitrine et mon sexe. On peut ainsi facilement deviner mes lèvres intimes. Je mets ma serviette autour de ma taille et quitte la chambre. Steve n’est plus dans la sienne. Je descends donc les escaliers en espérant le trouver près de la piscine. Surprise de ne pas le voir là, j’enlève ma serviette et l'étale sur le transat où je m'allonge pour l’attendre. Steve n'apparaît que cinq minutes plus tard.
Je remarque le visage légèrement rouge, et les abdominaux parfaitement dessinés de mon sportif cousin.
— Tu t’es perdu, Steve ?
— Euh... non, Lina. J’étais aux toilettes.
— On va se baigner ?
— Oui, princesse !
Steve se jette directement à l’eau en faisant une bombe. Étant un peu frileuse, je prends les marches pour y entrer en me mouillant petit à petit. Je vois bien les regard de Steve se porter alternativement sur ma poitrine et sur mon entrejambe. Je finis par me glisser entièrement dans l’eau et fais quelques brasses pour le rejoindre.
— L’eau est un peu fraîche. Tu ne trouves pas, Steve ?
— Si, mais ça fait du bien.
Mouillé, mon haut de bikini devient quasiment transparent et mes tétons pointent légèrement. Steve rougit un peu plus en regardant ma poitrine. Soudain il s’éloigne de moi.
— Tu veux qu’on fasse la course ? Je suis sûre de te battre !
— OK. Si tu gagnes, tu auras droit à un bisou sur la joue.
— Euh... OK.
On va donc se mettre au bout de la piscine et à mon top départ, on nage. On arrive ex-aequo de l’autre côté de la piscine. Je lève les bras.
— C’est moi qui ai gagné !
— Tu es sûre, Lina ?
— Tu n’aimes pas perdre !
— Je voulais mon petit bisou, princesse !
— Je vais t’en faire un, cousin !
Je me colle contre lui et lui fais un bisou bruyant sur la joue droite. Ma petite poitrine s’écrase contre son torse musclé.
— Tu as eu ton bisou. Ça va mieux ?
— Oui, Lina. Ça m’a fait plaisir. Au moins tu es câline avec moi.
— Pourquoi tu dis ça, Steve ?
Il détourne son regard. Il semble gêné.
— Je n’ai jamais été aussi proche d’une fille, Lina. Je n’en ai jamais embrassé une.
— Tu n’as pas à en avoir honte. Il y a encore quelques mois, je n’avais pas embrassé de garçons, tu sais.
— Merci de ne pas me juger, Lina. Je peux savoir si tu as un copain ?
— Je suis de nouveau célibataire depuis quelques semaines.
— C’est toi qui l’as quitté ?
— Je n’ai pas eu besoin de le faire quand je l’ai surpris au lit avec ma colocataire.
— Oh, le con !
— Il était plutôt mignon, mais, au lit, c'était pas vraiment ça.
— Euh...Tu n’es plus vierge, Lina ?
— Non.
Steve semble troublé par ma révélation.
— Je peux t’avouer quelque chose, Lina ?
— Oui, je t’écoute, mon beau prince.
— Je suis puceau comme tu as dû le comprendre.
— Oui, Steve. Et ?
— Voilà : tu vas me prendre sans doute pour un pervers, mais... J’aurais bien voulu que l’on perde notre virginité ensemble, Lina. Ça ne te choque pas, j’espère ?
— Pas vraiment, Steve. Même si ce n’est pas très commun, des relations intimes entre un cousin et une cousine, ça doit arriver plus souvent qu'on le croit.
— Tu as aimé ta première fois ?
— C'était pas vraiment parfait, mais j’ai quand même pris du plaisir. Il était vierge lui aussi.
Steve me sourit.
— Et tu me dépucellerais ?
Je suis flattée par sa proposition, mais je ne veux pas aller trop vite.
— On pourrait déjà commencer par s’embrasser et après on verrait où ça pourrait nous mener.
— Tu veux bien, alors ?
— Oui, Steve. Mais là, j’ai peur de ne pas avoir le temps avant que tes parents ne reviennent. Comme je t’ai dit, je peux t’apprendre à embrasser. Et peut-être que je te laisserai me toucher. Un peu.
— Oui, je veux bien essayer, Lina !
Je vois bien son excitation dans son regard. Même si je n’ose pas poser ma main sur son entrejambe, je suppose qu'il bande. Délicatement, je pose mes lèvres sur les siennes. Un frisson me parcourt le dos. Le fait d’embrasser mon cousin m’excite légèrement. Après quelques baisers tendres, je lui roule une pelle.
— J’adore tes baisers, Lina.
— Merci, tu apprends vite.
Je me recule légèrement et je prends sa main que je pose délicatement sur mon sein. Sans me le demander, il commence à le pétrir délicatement par-dessus mon bikini. Une vague de chaleur envahit mon bas-ventre.
— Je parie que ton sexe est bien dur. Je me trompe ?
— Non ! C’est vrai que je bande.
— Je dois t’avouer que j’aurais été déçue du contraire.
Je pose de nouveau mes lèvres sur les siennes.
— Si tu veux, je peux te laisser me caresser la fente si tu me laisses te toucher la queue.
— Tu es sérieuse, Lina ?
— Oui.
— Je peux mettre ma main dans ton bas de bikini ?
— Oui, Steve.
Steve pose sa main sur mon ventre et il glisse timidement ses doigts sous mon slip. Dans un premier temps il effleure rapidement mon clitoris avant de les faire glisser le long de mes petites lèvres.
— Tu es totalement épilée ?
— Oui. Ça te plaît ?
— Oh, oui, Lina. Ta fente est si douce. J’adore !
Je glisse en un tournemain dans son short et je me saisis rapidement de son sexe congestionné. Mon cousin a l’air d’être très bien équipé. Son sexe est parfaitement rasé. Je ne le masturbe pas encore.
— Oh que c’est bon de se faire toucher la queue par une fille !
— Je n’en doute pas. Tu as l’air d’avoir un bel engin bien dur.
— C’est grâce à toi que je suis dans cet état-là.
Je plonge mon regard dans le sien et commence par le masturber lentement. Steve ne peut retenir un léger gémissement.
— Ça me donne des frissons partout, Lina ! Mmm, continue !
Je l’embrasse de nouveau pendant qu'on se caresse mutuellement.
— Tu aimerais que je te suce ?
— Oui, Lina. Ça doit être trop bon !
— OK. Va t’asseoir sur les marches et baisse ton short !
— Oui, tout de suite !
Steve retire sa main de mon bas de bikini et il baisse son short avant de s’asseoir sur les marches. Je relâche mon emprise sur son sexe bien dur. Seul son gland dépasse de l’eau. Il est violet.
— Remonte d’une marche, Steve, s’il te plaît !
Je vois enfin la totalité de son sexe dressé vers le ciel. Avant d’aller m’en occuper, je retire mon haut afin de lui révéler ma poitrine. Je vois bien son regard, qui se porte sur mes petits seins.
— Tu ne les trouves pas trop petits ?
— Non, ils sont parfaits !
— Merci.
Je viens mettre ma tête entre ses cuisses bien écartées. Tout en plongeant mon regard dans le sien, j'embrasse délicatement ses boules que je gobe doucement tout en commençant à le masturber. Steve se laisse faire. Il gémit de nouveau.
— Oh, que c’est bon, Lina ! Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir très longtemps !
Alors que je suis sur le point de poser mes lèvres sur le gland de mon cousin, on entend une voiture se garer dans l’allée.
— Merde ! Mes parents sont en avance !
Ne voulant pas me faire surprendre en pleine action, je relâche mon emprise sur le sexe dur de Steve et je récupère mon soutien-gorge. Je sors rapidement de la piscine, car je suis consciente que mon bikini est plutôt provocant. Je reprends ma serviette et remonte rapidement à ma chambre pour me changer. Steve est vraiment frustré d’avoir été interrompu. Il remonte son short et se met à nager en espérant faire rapidement disparaître son érection.
A peine entrée dans ma chambre, je retire mon bas de bikini. Ainsi nue, je vais me doucher dans la salle de bain.
Après une douche rapide, je retourne dans ma chambre. Je laisse malencontreusement ma porte entrouverte. Cherchant une jupe et un t-shirt dans mon sac, je ne me rends pas compte que mon oncle est en train de me mater. Comme je lui tourne le dos, il a une vue imprenable sur mes fesses. J’enfile un string en dentelle mauve et un soutien-gorge assorti. Puis je mets ma jupe et mon t-shirt. En me retournant, j’ai l’impression de voir une ombre disparaître dans le couloir.
Sortant de ma chambre pour aller saluer les parents de Steve, je tombe nez à nez avec mon oncle dans le couloir. On se fait la bise.
— Oh, salut tonton ! Ça va ?
— Oui, Lina. Le voyage n’a pas été trop long ?
— Non, tonton. Tatie est là ?
— Il va rentrer d’ici une petite demi-heure.
— Ah, d’accord.
— Ça me fait vraiment plaisir de te voir, Lina.
— Moi aussi, tonton.
Steve monte nous rejoindre, puis va se changer dans sa chambre avant d’aller prendre sa douche. Mon oncle et moi descendons au salon.
— Tu veux boire quelque chose, Lina ?
— Je veux bien un jus d’orange, tonton.
— Tu ne veux pas quelque chose de plus fort comme une bière ?
— D’accord, mais on se la partage. Je n’aime pas trop l’alcool.
— OK, Lina.
Je vais m’asseoir sur le canapé en attendant que mon oncle aille prendre une bière fraîche dans le frigo. Il vient s'assoir à côté de moi. Il passe un bras sur mon épaule, prend une gorgée de bière puis me passe la bouteille.
— Ça se passe bien à l’université ? Je suis sûr que tu as dû te faire des amis.
— Oui, tonton. Tout se passe bien.
— Tu as un petit copain, en ce moment ?
— Non, tonton.
Mon oncle plonge son regard dans le mien.
— Pourtant tu es une très jolie jeune femme, Lina.
— Tu me dragues, tonton ?
Il passe ses doigts dans mes cheveux et approche son visage du mien. Alors que je devrais le repousser, je le laisse poser ses lèvres sur les miennes. Notre bref baiser s’interrompt au moment où on entend Steve descendre l’escalier. Mon oncle retire sa main de mon épaule et s’éloigne un peu. Je bois une gorgée de bière.
— Vous avez déjà commencé l’apéritif ?
— Euh... Non, c’est juste une petite bière pour se détendre.
— Je vais m’en prendre une, aussi.
— OK, fiston.
Steve va chercher une bière fraîche au frigo et revient s’assoir dans le fauteuil proche du canapé. Je suis un peu troublée par le baiser que je viens d’échanger avec mon oncle. Je ne le laisse pas transparaître sur mon visage. On échange des banalités jusqu’à l’arrivée de ma tante.
Elle entre dans le salon. Steve va faire un câlin à sa mère tandis que je me lève pour lui faire la bise.
— Salut, tatie.
— Bonjour, Lina. Ça me fait plaisir de te voir. Steve t’a montré ta chambre ?
— Oui, tatie.
Mon oncle finit tranquillement la bière.
— J’ai oublié d’acheter du pain pour ce soir.
— Tu oublies toujours quelque chose, toi !
— Je pourrais y aller avec Lina, ma chérie ?
— OK. Je vais me charger et je vais préparer à manger pour nous quatre.
— A tout à l’heure.
Mon oncle se lève pour aller récupérer son portefeuille.
— Tu viens, Lina ?
— Oui, tonton.
En sortant de la maison, je vois bien que Steve semble déçu de me voir partir avec son père. De mon côté, je sens aussi que mon oncle a choisi cette excuse pour qu’on puisse se retrouver seuls.
Je m’assois à l’avant, mon oncle prend le volant. Je vois bien dans son regard qu’il est heureux de se retrouver seul avec moi. On prend la route pour le centre-village. Mais en passant devant un petit bois, il prend un petit chemin de terre et se gare. Il coupe le contact et se penche vers moi pour m'embrasser.
— Oh, tu es si belle, Lina !
Je pose une main sur son torse pour essayer de le repousser.
— On ne devrait pas faire ça, tonton !
— Laisse-toi faire, Lina ! Tu ne sais pas à quel point je suis en manque de sexe. Ça doit faire au moins deux mois que je n’ai pas couché avec ta tante.
— C'est pas une raison ! Je suis ta nièce !
Malgré mon refus, il m’embrasse de nouveau et glisse une main sur l’intérieur de mes cuisses. Ses doigts viennent effleurer le fin tissu de mon string au niveau de ma fente. Il m’embrasse dans le cou.
— Tu es si jolie, Lina ! J’ai envie de toi !
— Tu me donnes des frissons, tonton !
— Mmm, c’est bon signe ça !
Il caresse ma fente au travers de mon string. Mon bas-ventre brûle peu à peu de désir. Avec son autre main, il caresse mes petits seins par-dessus mon t-shirt et mon soutien-gorge.
Oubliant un instant qu’il s’agit de mon oncle, je pose une main sur son entrejambe et je remarque facilement qu’il bande.
— Viens, Lina ! On va aller dans la forêt !
On sort de sa voiture et on s’éloigne un peu du chemin de terre jusqu’à atteindre une petite clairière où un arbre est couché. Il me fait asseoir sur le tronc, près de lui. Il passe une main entre mes cuisses et écarte délicatement mon string avant de glisser jusqu'à deux doigts dans mon puits d’amour. Il me doigte doucement tout en m’embrassant.
— Tu m’excites, Lina ! Et en plus, tu es toute mouillée !
— Mmm, tu me fais du bien, tonton !
Il sort ses doigts de mon vagin et il les porte à ma bouche pour que je goûte ma mouille. Puis il vient s’agenouiller devant moi. Je relève légèrement les fesses afin qu’il puisse enlever mon string. Il relève un peu ma jupe pour admirer mon pubis parfaitement épilé.
— Mmm, j’adore les belles petites chattes rasées, Lina !
J’écarte suffisamment les cuisses afin qu’il puisse mettre sa tête entre elles. Sa langue passe à plusieurs reprises de long de mes lèvres humides avant qu’il ne donne de petits coups de langue sur mon clitoris. Je ne peux pas réprimer mes petits gémissements de plaisir. Il écarte mes grandes lèvres avec ses pouces et il explore l’entrée de mon vagin avec sa langue. Mon oncle est particulièrement doué. Je ne peux pas me retenir plus longtemps et je me laisse aller au plaisir qu’il me procure. Il savoure la mouille qui s’écoule de ma chatte.
— J’ai envie de te prendre en levrette, Lina !
Je me mets en position afin de me faire prendre en levrette. Il baisse son jean et son boxer, me révélant ainsi son sexe bien dur. Je mordille ma lèvre inférieure en voyant ce sexe. Je n’en ai jamais vu un si gros ! Il pose une main sur le creux de mes reins et de l’autre il frotte son gland le long de ma fente avant de me pénétrer sans trop de ménagement. Je pousse un long râle de plaisir en le sentant glisser en moi.
— Aaah, oui ! Oh quelle queue !
— Oh, tu es serrée, Lina ! Mais que c’est bon !
Mon oncle agrippe mes hanches et me donne de puissants coups de reins. Je frissonne rapidement de plaisir. Son bassin claque contre mes fesses fermes. Sous le coup de son excitation il me donne quelques gifles sur les fesses. Il râle de plaisir. Je suis obligée de mordre mes lèvres pour atténuer mes heureux gémissements. Je sens son gland taper régulièrement au fond de mon vagin.
— Mmm, j’adore ta chatte, Lina !
— Aaah, tonton, vas-y ! Défonce-moi !
— Avec plaisir, petite coquine !
Mon oncle se déchaîne. Ses mouvements de bassin sont de plus en plus forts et rapides. Mes jambes tremblent de plaisir. Je sens rapidement venir mon orgasme.
— Oh je vais jouir, tonton !
— Moi aussi ! Je peux jouir dans ta chatte ?
— Oui ! Ah vas-y !
Mon oncle me gifle encore une ou deux fois les fesses avant de pousser un râle au moment de décharger sa semence au fond de mon vagin. Je jouis quasiment en même temps que lui. Il reste quelques secondes, planté en moi, avant de sortir son sexe du mien. Un long filet de sperme et de mouille s’écoule du trou qu’il vient de remplir. Il se sert de mon string pour nettoyer les traces de notre rapport. Je m’assois un instant sur l’arbre pour reprendre mes esprits et je prends sa queue dans ma bouche pour le sucer.
— Oh, merci, Lina ! Cela m’a fait énormément de bien !
— Moi aussi, tonton ! Tu as une grosse queue quand même !
— J’espère que je ne t’ai pas fait mal ?
— Non, au contraire. Tu me rends mon string, s’il te plaît ?
— Oui, ma belle.
Mon oncle me tend mon string souillé de sperme et de mouille, que je remets sur moi.
— Il faut qu’on se dépêche avant que la boulangerie ne ferme.
On remonte donc en voiture et on reprend la route vers la boulangerie. On se gare sur la place du village et mon oncle s’empresse d’aller acheter le pain. Il remonte dans sa voiture et on rentre. Il ne peut s’empêcher de me caresser une cuisse pendant le trajet retour. On se gare finalement devant chez lui.
— Je compte sur toi pour ne parler à personne de ce qu’il vient de se passer, Lina !
— Je sais garder un secret, tonton.
On sort de sa voiture et on revient dans le salon. Ma tante nous regarde d'un air agacé.
— Tu es allé chercher le pain à l’autre bout du département ou quoi ?
— Euh...J’ai discuté avec un collègue devant la boulangerie et je n’ai pas vu le temps passer.
— OK. On va manger, maintenant !
On se met à table. Steve, à côté de moi, fait face à ses parents. On échange des banalités avant de parler de mes études, mais pas de ma vie privée assez riche en sexualité.
Après le repas, j’aide ma tante à ranger la table tandis que mon cousin et mon oncle vont s’installer au bord de la piscine. On les rejoint quelques minutes plus tard. Steve se met à bâiller.
— Je crois que je vais aller me coucher. Je veux être en forme pour demain.
— Mais tu ne vas pas pouvoir profiter de la présence de ta cousine, Steve ! Elle a fait le voyage juste pour toi.
— Je sais, maman. Je passerai plus de temps avec elle demain.
— OK, Steve.
Je vois bien que Steve n’est pas vraiment fatigué, mais je comprends qu’il aimerait finir qu’on a commencé il y a quelques heures.
— Je crois que je vais aller aussi me coucher, tatie. Mon voyage m’a un peu fatiguée.
— OK, Lina. On se revoit demain. Passe une bonne nuit !
Je fais la bise à mon oncle et à ma tante. Steve et moi montons ensemble à l’étage. Avant d'entrer dans nos chambres, je lui prends la main et lui fais un petit smack sur la joue.
— Tu viendras me rejoindre dans ma chambre toute à l’heure, Steve ?
— Euh...Je n’osais pas te le proposer, Lina. Je veux bien, oui.
— Laisse-moi me changer et viens me rejoindre dans une demi-heure !
— OK.
— Juste un petit conseil : ça serait bien que tu te branles avant de venir.
Steve rougit.
— Euh... Je l’ai déjà fait quand t'es partie avec mon père tout à l’heure, Lina !
— Mmm, OK. A tout à l’heure, Steve.
Je l’embrasse tendrement sur la bouche avant de le laisser aller dans sa chambre. J’entre à mon tour dans la mienne. Je me déshabille rapidement. Je mets juste un string en dentelle blanche et un t-shirt avant de me glisser sous les draps. Je caresse délicatement mon petit bouton sensible en attendant mon cousin. Mon esprit vagabonde en repensant à tout ce que j’ai fait cet après-midi. Je glisse même deux doigts en moi en pensant à la queue de mon oncle. Même si je sais déjà qu’il est moins bien équipé que son père, j’espère que je pourrai prendre du plaisir avec Steve. Mes doigts sont rapidement recouverts de mouille. Avant que mon cousin ne me rejoigne, je les retire de mon puits d’amour et je les lèche afin de goûter mon jus. Je suis bien trempée.
Je laisse juste la faible lumière de ma lampe de chevet pour donner une légère ambiance tamisée à la pièce. Mon cousin entrouvre ma porte, puis entre. Il ne porte qu’un boxer gris et un t-shirt. Je lui fais signe. Steve me rejoint sous les draps. Il est à la fois nerveux et excité par la situation.
— Je rêve depuis tellement longtemps de me retrouver dans un lit avec une fille... En plus c’est toi, Lina.
— On pourrait commencer à jouer à touche-pipi avant de jouer au papa et à la maman. Ça te va comme programme ?
— Je préférerais que tu me suces, Lina. J’ai vraiment aimé ce que tu me faisais dans la piscine. Je peux aussi voir tes seins ?
— OK, on va faire ça.
Il écarte les draps. Je me mets à genoux sur le lit et j’enlève mon t-shirt. Malgré la faible lumière, il peut distinctement voir mes petits seins. Sans que j'aie à lui demander, il retire son boxer qu’il jette au pied du lit. Je mords ma lèvre inférieure, en voyant qu’il bande déjà. Du bout de mes lèvres je viens embrasser ses boules puis son membre viril turgescent. Je passe ma langue le long de sa tige et j'en donne de petits coups sur la base de son gland.
— Oh, Lina ! Ça me fait des frissons partout ! C’est bon.
Je vois perler son gland. Alors je lui en lèche l'extrémité. Il se cambre légèrement sous mon délicat coup de langue. Ne voulant pas le faire patienter plus longtemps, je prends son gland entre mes lèvres pour le lécher tout autour.
— Oh, Lina ! Oh que c’est bon ! Je pensais pas que c’était aussi bon ! Mmm.
Je plonge mon regard dans le sien et je commence à faire coulisser doucement ma tête le long de son membre turgescent tout en le masturbant lentement. Steve gémit. De sa main tremblante, il écarte une mèche de mes cheveux. Le fait de sucer mon cousin m’excite énormément. Mon bas-ventre est déjà brûlant de désir. Je continue à faire bouger ma tête le long de son sexe.
— Oh merde, Lina ! Je sens que je vais jouir !
Voyant qu’il est sur le point de craquer, je continue tout de même à le sucer. J’ai hâte de sentir son sperme emplir ma bouche. Steve ne pouvant pas se retenir plus longtemps, il laisse son gland cracher directement dans ma bouche plusieurs jets de sperme que je récolte soigneusement sur ma langue. Je retire son gland de ma bouche, que j’ouvre en grand devant lui pour lui montrer son sperme au creux de ma langue avant de l’avaler goulûment.
— Ton jus est vraiment agréable à avaler, Steve.
— C’est vraiment bon de se faire sucer. Désolé si je n’ai pas tenu très longtemps.
— Ce n’est pas grave, Steve. J’adore avaler.
— Tu es la cousine parfaite, Lina.
— Merci, mais on n’en a pas encore fini tous les deux.
Je m’allonge près de lui et je le laisse caresser mes petits seins et on échange un tendre baiser.
— Je peux savoir si tu as déjà fait l’amour avec un puceau, Lina ?
— Oui, Steve. Mon premier mec l’était.
— Ah, je vois et ça s’était bien passé ?
— Oui et non. Il était assez nerveux et maladroit, mais j’ai quand même pris du plaisir. C’est ça le plus important.
— Il avait joui où ? Dans ta chatte ?
— Oui, Steve. Si tu veux, je te laisserai jouir en moi.
— Mais je n’ai pas de capote, Lina.
— Je prends la pilule et je déteste qu’un mec mette une capote. Tout va bien se passer, Steve. Je vais bien m’occuper de toi.
— On va faire ça comment, Lina ?
— J’aime bien me faire prendre en levrette, mais si tu préfères que je m’asseye sur toi, ça me va.
— J’aimerais te regarder pendant qu’on fait l’amour, Lina. Tu es tellement belle.
— Merci, Steve. Tu n’es pas obligé de me faire des compliments.
— Je le pense vraiment, Lina.
Je l’embrasse tendrement et je le masturbe lentement pour redonner vie à son sexe. Sous l’effet de son excitation, il pose une main sur mon ventre avant de glisser ses doigts sous le fin tissu de mon string. Je le laisse faire. Il passe rapidement sur mon clitoris et vient caresser ma fente humide du bout de ses doigts. Ce qui le fait bander rapidement.
— Tu veux enlever mon string, Steve ?
— Euh... Oui, Lina. J’ai vraiment envie de te voir entièrement nue.
On arrête nos caresses mutuelles. Je m’allonge sur le dos. Steve vient se mettre à genoux devant moi. Je relève mon bassin et de ses mains tremblantes, mon cousin retire lentement mon string. Mon regard se porte sur son sexe à moitié dressé. Son regard se porte sur ma fente.
— Je peux te lécher, Lina ?
— Bien sûr que oui, Steve. Tu es aussi là pour apprendre.
Steve se penche entre mes cuisses et d'abord il me lèche un peu maladroitement. Je pousse un long gémissement de plaisir quand je sens sa langue titiller mon clitoris.
— Oui, Steve ! Mmm continue juste là !
Mon cousin se délecte de ma mouille tout en continuant à lécher mon bouton. Il se branle discrètement pour devenir bien dur.
— J’ai envie de toi, Lina !
— Moi aussi. Mets-toi sur le dos et je vais m’asseoir sur toi, Steve !
Steve arrête donc de s’occuper de ma chatte et il se met sur le dos. Je viens le chevaucher et poser mon sexe humide sur sa bite bien dure. Je me frotte lentement le long de son sexe. Je prends ses mains dans les miennes et je les pose sur mes seins. Il vient délicatement me masser la poitrine tout en pinçant mes tétons du bout de ses doigts. Je relève légèrement mon bassin. Je prends son sexe dans une main et je frotte son gland le long de ma fente.
— Tu es prêt à devenir un homme, Steve ?
— Je n’ai jamais été aussi prêt, Lina !
Je fais lentement entrer son gland en moi et je m’empale délicatement sur son sexe. Steve pose un gémissement en sentant son sexe pénétrer le mien.
— Oh, que c’est bon d’être en toi, Lina ! Je n’ai jamais ressenti ça de ma vie. Ta chatte est bien chaude et humide !
— Mmm, ça me fait du bien de te sentir dedans !
Je me penche un moment vers lui pour l’embrasser. Je reste empalée sur son sexe sans bouger. Après ce doux baiser, je me redresse et pose mes mains sur son torse musclé. Je fais onduler mon bassin sur sa queue avant de commencer mes mouvements de haut en bas. Steve me regarde droit dans les yeux.
— Oh que c’est bon, Lina ! Ça n’a rien à voir avec le plaisir que je ressens quand je me branle.
— C’est normal, Steve. Mmm, j’adore ton sexe !
Je continue à faire coulisser mon bassin le long de sa tige bien dure. Le fait de bouger lentement en l'enserrant est vraiment excitant. Steve se relève un peu et vient me sucer les tétons tandis que ses mains me caressent le long des flancs avant d'agripper mes fesses. J’accélère doucement mes mouvements de bassin. Je sens de temps en temps son gland buter au fond de mon vagin. Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir.
Mon cousin pétrit mes fesses. Prenant de plus en plus d’assurance il commence à me donner quelques coups de reins, brefs mais puissants. Mon bas-ventre est en feu. Je sens peu à peu venir mon orgasme.
— Oh, je vais jouir en toi, Lina ! Oh oui, je sens que ça vient !
— Tu vas me faire jouir, Steve ! Oui, continue !
Dans un râle de plaisir commun, on atteint l’orgasme en même temps et il décharge sa semence que je garde en moi au fond de mon vagin.
— Oh c’était vraiment bon, Lina ! Merci de m’avoir dépucelé.
— De rien, Steve ! Tu t’es très bien débrouillé.
— Je t’aime, Lina !
On échange un long baiser en restant allongés l’un sur l’autre.
Alors qu’on partage un moment tendre, on ne remarque pas que Steve a laissé la porte de la chambre légèrement entrouverte. Mon oncle nous espionne en restant bien caché derrière. Il se masturbe sauvagement jusqu’à éjaculer dans sa main. Puis il repart dans sa chambre après avoir nettoyé sa main remplie de sperme dans la salle de bain.
Finalement, je retire le sexe de mon cousin de ma chatte et je viens me blottir dans ses bras.
— Je peux dormir avec toi, Lina ?
— Oui, mais il faudra se lever avant que tes parents nous surprennent tous les deux dans mon lit.
— Oui, je sais, Lina.
On échange un tendre baiser pour souhaiter une bonne nuit. Steve s’endort rapidement.
Je ne trouve pas le sommeil et je me lève pour aller boire un verre. Je n’enfile que mon t-shirt et je descends sans bruit à la cuisine pour me désaltérer. En remontant vers ma chambre, je croise mon oncle. Je suis un peu gênée à l’idée de me retrouver quasiment nue devant lui.
— Je n’arrête pas de penser à ce qu’on a fait tous les deux, Lina ! Tu m’obsèdes !
Il me colle contre le mur et il pose sa main entre mes cuisses, remarquant que je ne porte rien sous mon t-shirt. Il caresse délicatement ma fente.
— J'ai encore envie de toi, Lina !
— Tonton, on ne devrait pas faire ça ici ! On risquerait de nous surprendre !
— Tatie et ton cousin doivent dormir à poings fermés !
Mon oncle me prend par la main et on va dans le salon. Il se met rapidement torse nu. On s'assoit sur le canapé et il me doigte tout en m’embrassant.
— Je t’ai vue avec Steve dans ta chambre, Lina. Je me suis même branlé en vous voyant baiser.
— Tu es un sacré coquin, tonton !
— T'es encore toute mouillée ! Laisse-moi te prendre en levrette comme tout à l’heure, Lina !
— OK, tonton.
Il me retire mon t-shirt et je me retrouve donc entièrement nue devant lui. Il ôte son boxer. Je n’ai pas besoin de le masturber, car son sexe est déjà bien dur.
— Mets-toi à quatre pattes sur le canapé, mon petit ange !
J’ai à peine le temps de me mettre en place que mon oncle plante déjà son gros sexe en moi. Il agrippe mes petits seins et il commence à me limer la chatte. Je mets une main devant ma bouche pour atténuer mes gémissements. Son bassin claque contre mes fesses bien fermes. Son sexe coulisse merveilleusement bien en moi. Il ne nous faut que quelques minutes pour atteindre tous les deux l’orgasme. Mais au lieu de décharger son sperme au fond de mon puits d’amour, il se retire et se masturbe énergétiquement devant moi et il laisse son gland cracher son jus sur mon visage et sur mes siens. J’ai ainsi droit à ma première éjaculation faciale.
— J’en ai vraiment mis partout, Lina !
— Je vois ça, tonton.
Il récupère une feuille d’essuie-tout dans la cuisine et il me la tend afin que je nettoie les traces de sa semence qui recouvre mon corps. Il se rhabille rapidement.
— Tu préfères baiser avec moi ou avec mon fils ?
— Je vous aime tous les deux. C’est dur de faire un choix.
— En tout cas, je suis vraiment heureux que tu sois là, Lina. C’est quand même plus agréable que de se palucher devant un film pour adultes.
— Je n’en doute pas, tonton. Mais là, il faut que j’aille dormir.
— À demain matin, Lina !
On s’embrasse une dernière fois avant que je remette mon t-shirt. Mon oncle retourne dans sa chambre. Je jette la feuille d’essuie-tout souillée de sperme dans la poubelle avant de rejoindre au lit mon cousin qui n’a pas remarqué mon absence.
Vers sept heures, j’ouvre les yeux. Il est encore endormi. Afin de le réveiller en douceur, je commence à le masturber avant de mettre sa queue dans ma bouche. C’est en l’entendant pousser un léger gémissement que je me rends compte que je viens de le réveiller. Je continue ma petite gâterie matinale.
— Mmm, j’adore ta façon de me réveiller, Lina ! C’est trop bon. Ne va pas trop vite ! J’ai envie de te faire l’amour !
J’arrête donc de le sucer un peu à contrecœur.
— Tu veux essayer de me prendre en levrette ?
— Je préférerais te prendre en missionnaire pour te regarder, Lina.
— Comme tu veux. Mais avant, il faut que tu me lèches un peu, Steve !
— Je ferai tout ce que tu voudras, Lina !
J’enlève donc mon t-shirt et je viens poser ma chatte sur sa bouche. Steve titille mon clitoris du bout de la langue tandis que j’embrasse délicatement son sexe. Il ne faut que quelques minutes pour que mon vagin libère un peu de mouille qu’il s’empresse de savourer. Steve pose ses mains sur mes fesses, et il lèche délicatement ma fente.
Après ces quelques minutes de doux préliminaires, je m’allonge sur le dos en écartant bien les cuisses afin d’accueillir mon cousin en moi. Même si la position du missionnaire est loin d’être ma préférée, on la fait pour lui faire plaisir.
Steve vient s’allonger au-dessus de moi. Je prends son sexe dans ma main et je guide son gland à l’entrée de ma chatte. Il gémit en se glissant en moi. On s’embrasse tendrement pendant qu’il commence à me limer.
— Mmm, Steve, c’est bon !
— Oh oui, Lina ! J’adore être en toi !
Malgré un peu de maladresse de sa part, je commence à ressentir du plaisir. Je viens poser mes talons juste au-dessus de ses fesses. Nos langues s’entremêlent et il continue à pilonner ma chatte avec plus ou moins de force. Je caresse frénétiquement mon clitoris pour accentuer le plaisir que me procure son sexe. Soudain, Steve accélère ses coups de reins.
— Oh, je vais me finir en toi, Lina ! Oh, ça vient !
Dans un râle de plaisir étouffé, Steve décharge sa semence au fond de mon vagin chaud et humide. Il s’écroule sur moi après s’être bien vidé.
— C’était bon, Steve, mais là tu m’écrases !
— Pardon, Lina, mais c’est si bon d’être dans ta chatte. Je t’aime !
— Je t’aime aussi, Steve.
Il prend appui sur ses genoux pour me libérer de son poids tout en restant en moi pendant quelques secondes. Il finit par sortir et il s’allonge sur le dos. Un mince filet de sperme s’écoule du trou qu’il vient de remplir.
— Tu es la meilleure des cousines.
— Merci, Steve.
On échange un nouveau baiser.
— Bon anniversaire, cousin !
— Je m’en souviendrai toute ma vie, Lina !
Steve a toujours été fan de jeux vidéo. En d’autres mots, mon cousin est un vrai geek. Je connais presque tout de lui. Même si je lui ai présenté certaines de mes amies, je sais qu’ils n’ont jamais rien fait de plus que des bisous. Mon cousin est donc encore puceau.
Étant à l’université depuis presque un an, j’ai eu la possibilité de découvrir les plaisirs intimes avec une fille ou un garçon. Le premier à avoir fait de moi une femme s’appelait Christophe. Nous sommes restés ensemble quelques semaines avant de passer à autre chose. En quelques mois, j’ai pu coucher avec une fille et trois autres gars. Même si je n’ai pas une expérience importante, je sais que je peux contenter un garçon.
La veille de son anniversaire, je me rends chez mon cousin en bus, car je n’ai pas encore le permis de conduire. Il vient donc me récupérer à la gare routière.
J’appelle Steve dès que je sors du bus.
— Je suis encore sur la route, dit-il. Je serai là dans moins de cinq minutes.
— OK. Je vais t’attendre dans le parc près de la gare routière.
Je vais donc m’asseoir sur un banc pour l'attendre. Quelques minutes plus tard, je le vois traverser le parc vers moi. Je me lève et je mets mon petit sac sur mon épaule. On échange un grand sourire avant de se faire la bise.
Je vois bien que mon cousin est heureux de me voir. Steve récupère mon sac et on monte dans sa voiture. Il ne me fait pas de remarque concernant ma tenue. Je suis un peu déçue, car je me suis pourtant faite belle en portant un jean moulant et un débardeur blanc qui met bien en valeur ma petite poitrine. On peut même apercevoir mes tétons, car je ne porte pas de soutien-gorge. Steve reste silencieux durant le petit quart heure de route.
— Je t’ai connu plus loquace, Steve. Ça va ?
— Euh... pas trop, mais ça peut aller.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Dis-moi tout !
— Voilà... j’avais invité une fille pour mon anniversaire et elle ne pourra pas venir.
— Je suis vraiment désolée pour toi. Tu l’aimes bien ?
— Tu es vraiment trop curieuse, Lina ! Ça me gêne.
— Excuse-moi, Steve.
On arrive finalement devant la maison de ses parents, chez qui il habite. Steve se gare dans l’allée et vient m’ouvrir la portière.
— Merci, Steve.
— Der rien, princesse !
Il me fait un clin d’œil taquin. Il sait que j’adore quand il m’appelle comme ça. Il a récupéré mon sac et il me fait entrer chez lui.
— On est seul, Steve ?
— Pour l’instant, oui. Mes parents sont au travail. Laisse-moi t’amener dans ta chambre.
— Je vous suis mon beau prince.
Steve me sourit et on monte à l'étage où se trouve sa chambre ainsi que celle où je vais m’installer.
— Tes parents doivent rentrer bientôt ?
— Vers 18 heures. Pourquoi tu demandes ça, Lina ?
— Par curiosité, Steve.
On entre dans la chambre. Steve pose mon sac sur le lit.
Un balcon donne sur un bois qui entoure sa maison, ainsi que sur sa piscine.
— On peut aller se baigner ?
— Oui, Lina.
— Super ! Laisse-moi me mettre en maillot.
— Je vais aller mettre le mien.
— On se rejoint en bas ?
— OK !
Steve sort de ma chambre pour rejoindre la sienne, juste en face, dans le couloir. Je fais exprès de laisser ma porte entrouverte. Je pends mon sac, ma serviette et mon bikini rose. Je me déshabille lentement en espérant que mon cousin ait la chance de me voir nue. Je reste ainsi un instant au milieu de la chambre avant d’enfiler mon bikini, légèrement trop petit pour moi mais ayant l’avantage de mouler légèrement ma poitrine et mon sexe. On peut ainsi facilement deviner mes lèvres intimes. Je mets ma serviette autour de ma taille et quitte la chambre. Steve n’est plus dans la sienne. Je descends donc les escaliers en espérant le trouver près de la piscine. Surprise de ne pas le voir là, j’enlève ma serviette et l'étale sur le transat où je m'allonge pour l’attendre. Steve n'apparaît que cinq minutes plus tard.
Je remarque le visage légèrement rouge, et les abdominaux parfaitement dessinés de mon sportif cousin.
— Tu t’es perdu, Steve ?
— Euh... non, Lina. J’étais aux toilettes.
— On va se baigner ?
— Oui, princesse !
Steve se jette directement à l’eau en faisant une bombe. Étant un peu frileuse, je prends les marches pour y entrer en me mouillant petit à petit. Je vois bien les regard de Steve se porter alternativement sur ma poitrine et sur mon entrejambe. Je finis par me glisser entièrement dans l’eau et fais quelques brasses pour le rejoindre.
— L’eau est un peu fraîche. Tu ne trouves pas, Steve ?
— Si, mais ça fait du bien.
Mouillé, mon haut de bikini devient quasiment transparent et mes tétons pointent légèrement. Steve rougit un peu plus en regardant ma poitrine. Soudain il s’éloigne de moi.
— Tu veux qu’on fasse la course ? Je suis sûre de te battre !
— OK. Si tu gagnes, tu auras droit à un bisou sur la joue.
— Euh... OK.
On va donc se mettre au bout de la piscine et à mon top départ, on nage. On arrive ex-aequo de l’autre côté de la piscine. Je lève les bras.
— C’est moi qui ai gagné !
— Tu es sûre, Lina ?
— Tu n’aimes pas perdre !
— Je voulais mon petit bisou, princesse !
— Je vais t’en faire un, cousin !
Je me colle contre lui et lui fais un bisou bruyant sur la joue droite. Ma petite poitrine s’écrase contre son torse musclé.
— Tu as eu ton bisou. Ça va mieux ?
— Oui, Lina. Ça m’a fait plaisir. Au moins tu es câline avec moi.
— Pourquoi tu dis ça, Steve ?
Il détourne son regard. Il semble gêné.
— Je n’ai jamais été aussi proche d’une fille, Lina. Je n’en ai jamais embrassé une.
— Tu n’as pas à en avoir honte. Il y a encore quelques mois, je n’avais pas embrassé de garçons, tu sais.
— Merci de ne pas me juger, Lina. Je peux savoir si tu as un copain ?
— Je suis de nouveau célibataire depuis quelques semaines.
— C’est toi qui l’as quitté ?
— Je n’ai pas eu besoin de le faire quand je l’ai surpris au lit avec ma colocataire.
— Oh, le con !
— Il était plutôt mignon, mais, au lit, c'était pas vraiment ça.
— Euh...Tu n’es plus vierge, Lina ?
— Non.
Steve semble troublé par ma révélation.
— Je peux t’avouer quelque chose, Lina ?
— Oui, je t’écoute, mon beau prince.
— Je suis puceau comme tu as dû le comprendre.
— Oui, Steve. Et ?
— Voilà : tu vas me prendre sans doute pour un pervers, mais... J’aurais bien voulu que l’on perde notre virginité ensemble, Lina. Ça ne te choque pas, j’espère ?
— Pas vraiment, Steve. Même si ce n’est pas très commun, des relations intimes entre un cousin et une cousine, ça doit arriver plus souvent qu'on le croit.
— Tu as aimé ta première fois ?
— C'était pas vraiment parfait, mais j’ai quand même pris du plaisir. Il était vierge lui aussi.
Steve me sourit.
— Et tu me dépucellerais ?
Je suis flattée par sa proposition, mais je ne veux pas aller trop vite.
— On pourrait déjà commencer par s’embrasser et après on verrait où ça pourrait nous mener.
— Tu veux bien, alors ?
— Oui, Steve. Mais là, j’ai peur de ne pas avoir le temps avant que tes parents ne reviennent. Comme je t’ai dit, je peux t’apprendre à embrasser. Et peut-être que je te laisserai me toucher. Un peu.
— Oui, je veux bien essayer, Lina !
Je vois bien son excitation dans son regard. Même si je n’ose pas poser ma main sur son entrejambe, je suppose qu'il bande. Délicatement, je pose mes lèvres sur les siennes. Un frisson me parcourt le dos. Le fait d’embrasser mon cousin m’excite légèrement. Après quelques baisers tendres, je lui roule une pelle.
— J’adore tes baisers, Lina.
— Merci, tu apprends vite.
Je me recule légèrement et je prends sa main que je pose délicatement sur mon sein. Sans me le demander, il commence à le pétrir délicatement par-dessus mon bikini. Une vague de chaleur envahit mon bas-ventre.
— Je parie que ton sexe est bien dur. Je me trompe ?
— Non ! C’est vrai que je bande.
— Je dois t’avouer que j’aurais été déçue du contraire.
Je pose de nouveau mes lèvres sur les siennes.
— Si tu veux, je peux te laisser me caresser la fente si tu me laisses te toucher la queue.
— Tu es sérieuse, Lina ?
— Oui.
— Je peux mettre ma main dans ton bas de bikini ?
— Oui, Steve.
Steve pose sa main sur mon ventre et il glisse timidement ses doigts sous mon slip. Dans un premier temps il effleure rapidement mon clitoris avant de les faire glisser le long de mes petites lèvres.
— Tu es totalement épilée ?
— Oui. Ça te plaît ?
— Oh, oui, Lina. Ta fente est si douce. J’adore !
Je glisse en un tournemain dans son short et je me saisis rapidement de son sexe congestionné. Mon cousin a l’air d’être très bien équipé. Son sexe est parfaitement rasé. Je ne le masturbe pas encore.
— Oh que c’est bon de se faire toucher la queue par une fille !
— Je n’en doute pas. Tu as l’air d’avoir un bel engin bien dur.
— C’est grâce à toi que je suis dans cet état-là.
Je plonge mon regard dans le sien et commence par le masturber lentement. Steve ne peut retenir un léger gémissement.
— Ça me donne des frissons partout, Lina ! Mmm, continue !
Je l’embrasse de nouveau pendant qu'on se caresse mutuellement.
— Tu aimerais que je te suce ?
— Oui, Lina. Ça doit être trop bon !
— OK. Va t’asseoir sur les marches et baisse ton short !
— Oui, tout de suite !
Steve retire sa main de mon bas de bikini et il baisse son short avant de s’asseoir sur les marches. Je relâche mon emprise sur son sexe bien dur. Seul son gland dépasse de l’eau. Il est violet.
— Remonte d’une marche, Steve, s’il te plaît !
Je vois enfin la totalité de son sexe dressé vers le ciel. Avant d’aller m’en occuper, je retire mon haut afin de lui révéler ma poitrine. Je vois bien son regard, qui se porte sur mes petits seins.
— Tu ne les trouves pas trop petits ?
— Non, ils sont parfaits !
— Merci.
Je viens mettre ma tête entre ses cuisses bien écartées. Tout en plongeant mon regard dans le sien, j'embrasse délicatement ses boules que je gobe doucement tout en commençant à le masturber. Steve se laisse faire. Il gémit de nouveau.
— Oh, que c’est bon, Lina ! Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir très longtemps !
Alors que je suis sur le point de poser mes lèvres sur le gland de mon cousin, on entend une voiture se garer dans l’allée.
— Merde ! Mes parents sont en avance !
Ne voulant pas me faire surprendre en pleine action, je relâche mon emprise sur le sexe dur de Steve et je récupère mon soutien-gorge. Je sors rapidement de la piscine, car je suis consciente que mon bikini est plutôt provocant. Je reprends ma serviette et remonte rapidement à ma chambre pour me changer. Steve est vraiment frustré d’avoir été interrompu. Il remonte son short et se met à nager en espérant faire rapidement disparaître son érection.
A peine entrée dans ma chambre, je retire mon bas de bikini. Ainsi nue, je vais me doucher dans la salle de bain.
Après une douche rapide, je retourne dans ma chambre. Je laisse malencontreusement ma porte entrouverte. Cherchant une jupe et un t-shirt dans mon sac, je ne me rends pas compte que mon oncle est en train de me mater. Comme je lui tourne le dos, il a une vue imprenable sur mes fesses. J’enfile un string en dentelle mauve et un soutien-gorge assorti. Puis je mets ma jupe et mon t-shirt. En me retournant, j’ai l’impression de voir une ombre disparaître dans le couloir.
Sortant de ma chambre pour aller saluer les parents de Steve, je tombe nez à nez avec mon oncle dans le couloir. On se fait la bise.
— Oh, salut tonton ! Ça va ?
— Oui, Lina. Le voyage n’a pas été trop long ?
— Non, tonton. Tatie est là ?
— Il va rentrer d’ici une petite demi-heure.
— Ah, d’accord.
— Ça me fait vraiment plaisir de te voir, Lina.
— Moi aussi, tonton.
Steve monte nous rejoindre, puis va se changer dans sa chambre avant d’aller prendre sa douche. Mon oncle et moi descendons au salon.
— Tu veux boire quelque chose, Lina ?
— Je veux bien un jus d’orange, tonton.
— Tu ne veux pas quelque chose de plus fort comme une bière ?
— D’accord, mais on se la partage. Je n’aime pas trop l’alcool.
— OK, Lina.
Je vais m’asseoir sur le canapé en attendant que mon oncle aille prendre une bière fraîche dans le frigo. Il vient s'assoir à côté de moi. Il passe un bras sur mon épaule, prend une gorgée de bière puis me passe la bouteille.
— Ça se passe bien à l’université ? Je suis sûr que tu as dû te faire des amis.
— Oui, tonton. Tout se passe bien.
— Tu as un petit copain, en ce moment ?
— Non, tonton.
Mon oncle plonge son regard dans le mien.
— Pourtant tu es une très jolie jeune femme, Lina.
— Tu me dragues, tonton ?
Il passe ses doigts dans mes cheveux et approche son visage du mien. Alors que je devrais le repousser, je le laisse poser ses lèvres sur les miennes. Notre bref baiser s’interrompt au moment où on entend Steve descendre l’escalier. Mon oncle retire sa main de mon épaule et s’éloigne un peu. Je bois une gorgée de bière.
— Vous avez déjà commencé l’apéritif ?
— Euh... Non, c’est juste une petite bière pour se détendre.
— Je vais m’en prendre une, aussi.
— OK, fiston.
Steve va chercher une bière fraîche au frigo et revient s’assoir dans le fauteuil proche du canapé. Je suis un peu troublée par le baiser que je viens d’échanger avec mon oncle. Je ne le laisse pas transparaître sur mon visage. On échange des banalités jusqu’à l’arrivée de ma tante.
Elle entre dans le salon. Steve va faire un câlin à sa mère tandis que je me lève pour lui faire la bise.
— Salut, tatie.
— Bonjour, Lina. Ça me fait plaisir de te voir. Steve t’a montré ta chambre ?
— Oui, tatie.
Mon oncle finit tranquillement la bière.
— J’ai oublié d’acheter du pain pour ce soir.
— Tu oublies toujours quelque chose, toi !
— Je pourrais y aller avec Lina, ma chérie ?
— OK. Je vais me charger et je vais préparer à manger pour nous quatre.
— A tout à l’heure.
Mon oncle se lève pour aller récupérer son portefeuille.
— Tu viens, Lina ?
— Oui, tonton.
En sortant de la maison, je vois bien que Steve semble déçu de me voir partir avec son père. De mon côté, je sens aussi que mon oncle a choisi cette excuse pour qu’on puisse se retrouver seuls.
Je m’assois à l’avant, mon oncle prend le volant. Je vois bien dans son regard qu’il est heureux de se retrouver seul avec moi. On prend la route pour le centre-village. Mais en passant devant un petit bois, il prend un petit chemin de terre et se gare. Il coupe le contact et se penche vers moi pour m'embrasser.
— Oh, tu es si belle, Lina !
Je pose une main sur son torse pour essayer de le repousser.
— On ne devrait pas faire ça, tonton !
— Laisse-toi faire, Lina ! Tu ne sais pas à quel point je suis en manque de sexe. Ça doit faire au moins deux mois que je n’ai pas couché avec ta tante.
— C'est pas une raison ! Je suis ta nièce !
Malgré mon refus, il m’embrasse de nouveau et glisse une main sur l’intérieur de mes cuisses. Ses doigts viennent effleurer le fin tissu de mon string au niveau de ma fente. Il m’embrasse dans le cou.
— Tu es si jolie, Lina ! J’ai envie de toi !
— Tu me donnes des frissons, tonton !
— Mmm, c’est bon signe ça !
Il caresse ma fente au travers de mon string. Mon bas-ventre brûle peu à peu de désir. Avec son autre main, il caresse mes petits seins par-dessus mon t-shirt et mon soutien-gorge.
Oubliant un instant qu’il s’agit de mon oncle, je pose une main sur son entrejambe et je remarque facilement qu’il bande.
— Viens, Lina ! On va aller dans la forêt !
On sort de sa voiture et on s’éloigne un peu du chemin de terre jusqu’à atteindre une petite clairière où un arbre est couché. Il me fait asseoir sur le tronc, près de lui. Il passe une main entre mes cuisses et écarte délicatement mon string avant de glisser jusqu'à deux doigts dans mon puits d’amour. Il me doigte doucement tout en m’embrassant.
— Tu m’excites, Lina ! Et en plus, tu es toute mouillée !
— Mmm, tu me fais du bien, tonton !
Il sort ses doigts de mon vagin et il les porte à ma bouche pour que je goûte ma mouille. Puis il vient s’agenouiller devant moi. Je relève légèrement les fesses afin qu’il puisse enlever mon string. Il relève un peu ma jupe pour admirer mon pubis parfaitement épilé.
— Mmm, j’adore les belles petites chattes rasées, Lina !
J’écarte suffisamment les cuisses afin qu’il puisse mettre sa tête entre elles. Sa langue passe à plusieurs reprises de long de mes lèvres humides avant qu’il ne donne de petits coups de langue sur mon clitoris. Je ne peux pas réprimer mes petits gémissements de plaisir. Il écarte mes grandes lèvres avec ses pouces et il explore l’entrée de mon vagin avec sa langue. Mon oncle est particulièrement doué. Je ne peux pas me retenir plus longtemps et je me laisse aller au plaisir qu’il me procure. Il savoure la mouille qui s’écoule de ma chatte.
— J’ai envie de te prendre en levrette, Lina !
Je me mets en position afin de me faire prendre en levrette. Il baisse son jean et son boxer, me révélant ainsi son sexe bien dur. Je mordille ma lèvre inférieure en voyant ce sexe. Je n’en ai jamais vu un si gros ! Il pose une main sur le creux de mes reins et de l’autre il frotte son gland le long de ma fente avant de me pénétrer sans trop de ménagement. Je pousse un long râle de plaisir en le sentant glisser en moi.
— Aaah, oui ! Oh quelle queue !
— Oh, tu es serrée, Lina ! Mais que c’est bon !
Mon oncle agrippe mes hanches et me donne de puissants coups de reins. Je frissonne rapidement de plaisir. Son bassin claque contre mes fesses fermes. Sous le coup de son excitation il me donne quelques gifles sur les fesses. Il râle de plaisir. Je suis obligée de mordre mes lèvres pour atténuer mes heureux gémissements. Je sens son gland taper régulièrement au fond de mon vagin.
— Mmm, j’adore ta chatte, Lina !
— Aaah, tonton, vas-y ! Défonce-moi !
— Avec plaisir, petite coquine !
Mon oncle se déchaîne. Ses mouvements de bassin sont de plus en plus forts et rapides. Mes jambes tremblent de plaisir. Je sens rapidement venir mon orgasme.
— Oh je vais jouir, tonton !
— Moi aussi ! Je peux jouir dans ta chatte ?
— Oui ! Ah vas-y !
Mon oncle me gifle encore une ou deux fois les fesses avant de pousser un râle au moment de décharger sa semence au fond de mon vagin. Je jouis quasiment en même temps que lui. Il reste quelques secondes, planté en moi, avant de sortir son sexe du mien. Un long filet de sperme et de mouille s’écoule du trou qu’il vient de remplir. Il se sert de mon string pour nettoyer les traces de notre rapport. Je m’assois un instant sur l’arbre pour reprendre mes esprits et je prends sa queue dans ma bouche pour le sucer.
— Oh, merci, Lina ! Cela m’a fait énormément de bien !
— Moi aussi, tonton ! Tu as une grosse queue quand même !
— J’espère que je ne t’ai pas fait mal ?
— Non, au contraire. Tu me rends mon string, s’il te plaît ?
— Oui, ma belle.
Mon oncle me tend mon string souillé de sperme et de mouille, que je remets sur moi.
— Il faut qu’on se dépêche avant que la boulangerie ne ferme.
On remonte donc en voiture et on reprend la route vers la boulangerie. On se gare sur la place du village et mon oncle s’empresse d’aller acheter le pain. Il remonte dans sa voiture et on rentre. Il ne peut s’empêcher de me caresser une cuisse pendant le trajet retour. On se gare finalement devant chez lui.
— Je compte sur toi pour ne parler à personne de ce qu’il vient de se passer, Lina !
— Je sais garder un secret, tonton.
On sort de sa voiture et on revient dans le salon. Ma tante nous regarde d'un air agacé.
— Tu es allé chercher le pain à l’autre bout du département ou quoi ?
— Euh...J’ai discuté avec un collègue devant la boulangerie et je n’ai pas vu le temps passer.
— OK. On va manger, maintenant !
On se met à table. Steve, à côté de moi, fait face à ses parents. On échange des banalités avant de parler de mes études, mais pas de ma vie privée assez riche en sexualité.
Après le repas, j’aide ma tante à ranger la table tandis que mon cousin et mon oncle vont s’installer au bord de la piscine. On les rejoint quelques minutes plus tard. Steve se met à bâiller.
— Je crois que je vais aller me coucher. Je veux être en forme pour demain.
— Mais tu ne vas pas pouvoir profiter de la présence de ta cousine, Steve ! Elle a fait le voyage juste pour toi.
— Je sais, maman. Je passerai plus de temps avec elle demain.
— OK, Steve.
Je vois bien que Steve n’est pas vraiment fatigué, mais je comprends qu’il aimerait finir qu’on a commencé il y a quelques heures.
— Je crois que je vais aller aussi me coucher, tatie. Mon voyage m’a un peu fatiguée.
— OK, Lina. On se revoit demain. Passe une bonne nuit !
Je fais la bise à mon oncle et à ma tante. Steve et moi montons ensemble à l’étage. Avant d'entrer dans nos chambres, je lui prends la main et lui fais un petit smack sur la joue.
— Tu viendras me rejoindre dans ma chambre toute à l’heure, Steve ?
— Euh...Je n’osais pas te le proposer, Lina. Je veux bien, oui.
— Laisse-moi me changer et viens me rejoindre dans une demi-heure !
— OK.
— Juste un petit conseil : ça serait bien que tu te branles avant de venir.
Steve rougit.
— Euh... Je l’ai déjà fait quand t'es partie avec mon père tout à l’heure, Lina !
— Mmm, OK. A tout à l’heure, Steve.
Je l’embrasse tendrement sur la bouche avant de le laisser aller dans sa chambre. J’entre à mon tour dans la mienne. Je me déshabille rapidement. Je mets juste un string en dentelle blanche et un t-shirt avant de me glisser sous les draps. Je caresse délicatement mon petit bouton sensible en attendant mon cousin. Mon esprit vagabonde en repensant à tout ce que j’ai fait cet après-midi. Je glisse même deux doigts en moi en pensant à la queue de mon oncle. Même si je sais déjà qu’il est moins bien équipé que son père, j’espère que je pourrai prendre du plaisir avec Steve. Mes doigts sont rapidement recouverts de mouille. Avant que mon cousin ne me rejoigne, je les retire de mon puits d’amour et je les lèche afin de goûter mon jus. Je suis bien trempée.
Je laisse juste la faible lumière de ma lampe de chevet pour donner une légère ambiance tamisée à la pièce. Mon cousin entrouvre ma porte, puis entre. Il ne porte qu’un boxer gris et un t-shirt. Je lui fais signe. Steve me rejoint sous les draps. Il est à la fois nerveux et excité par la situation.
— Je rêve depuis tellement longtemps de me retrouver dans un lit avec une fille... En plus c’est toi, Lina.
— On pourrait commencer à jouer à touche-pipi avant de jouer au papa et à la maman. Ça te va comme programme ?
— Je préférerais que tu me suces, Lina. J’ai vraiment aimé ce que tu me faisais dans la piscine. Je peux aussi voir tes seins ?
— OK, on va faire ça.
Il écarte les draps. Je me mets à genoux sur le lit et j’enlève mon t-shirt. Malgré la faible lumière, il peut distinctement voir mes petits seins. Sans que j'aie à lui demander, il retire son boxer qu’il jette au pied du lit. Je mords ma lèvre inférieure, en voyant qu’il bande déjà. Du bout de mes lèvres je viens embrasser ses boules puis son membre viril turgescent. Je passe ma langue le long de sa tige et j'en donne de petits coups sur la base de son gland.
— Oh, Lina ! Ça me fait des frissons partout ! C’est bon.
Je vois perler son gland. Alors je lui en lèche l'extrémité. Il se cambre légèrement sous mon délicat coup de langue. Ne voulant pas le faire patienter plus longtemps, je prends son gland entre mes lèvres pour le lécher tout autour.
— Oh, Lina ! Oh que c’est bon ! Je pensais pas que c’était aussi bon ! Mmm.
Je plonge mon regard dans le sien et je commence à faire coulisser doucement ma tête le long de son membre turgescent tout en le masturbant lentement. Steve gémit. De sa main tremblante, il écarte une mèche de mes cheveux. Le fait de sucer mon cousin m’excite énormément. Mon bas-ventre est déjà brûlant de désir. Je continue à faire bouger ma tête le long de son sexe.
— Oh merde, Lina ! Je sens que je vais jouir !
Voyant qu’il est sur le point de craquer, je continue tout de même à le sucer. J’ai hâte de sentir son sperme emplir ma bouche. Steve ne pouvant pas se retenir plus longtemps, il laisse son gland cracher directement dans ma bouche plusieurs jets de sperme que je récolte soigneusement sur ma langue. Je retire son gland de ma bouche, que j’ouvre en grand devant lui pour lui montrer son sperme au creux de ma langue avant de l’avaler goulûment.
— Ton jus est vraiment agréable à avaler, Steve.
— C’est vraiment bon de se faire sucer. Désolé si je n’ai pas tenu très longtemps.
— Ce n’est pas grave, Steve. J’adore avaler.
— Tu es la cousine parfaite, Lina.
— Merci, mais on n’en a pas encore fini tous les deux.
Je m’allonge près de lui et je le laisse caresser mes petits seins et on échange un tendre baiser.
— Je peux savoir si tu as déjà fait l’amour avec un puceau, Lina ?
— Oui, Steve. Mon premier mec l’était.
— Ah, je vois et ça s’était bien passé ?
— Oui et non. Il était assez nerveux et maladroit, mais j’ai quand même pris du plaisir. C’est ça le plus important.
— Il avait joui où ? Dans ta chatte ?
— Oui, Steve. Si tu veux, je te laisserai jouir en moi.
— Mais je n’ai pas de capote, Lina.
— Je prends la pilule et je déteste qu’un mec mette une capote. Tout va bien se passer, Steve. Je vais bien m’occuper de toi.
— On va faire ça comment, Lina ?
— J’aime bien me faire prendre en levrette, mais si tu préfères que je m’asseye sur toi, ça me va.
— J’aimerais te regarder pendant qu’on fait l’amour, Lina. Tu es tellement belle.
— Merci, Steve. Tu n’es pas obligé de me faire des compliments.
— Je le pense vraiment, Lina.
Je l’embrasse tendrement et je le masturbe lentement pour redonner vie à son sexe. Sous l’effet de son excitation, il pose une main sur mon ventre avant de glisser ses doigts sous le fin tissu de mon string. Je le laisse faire. Il passe rapidement sur mon clitoris et vient caresser ma fente humide du bout de ses doigts. Ce qui le fait bander rapidement.
— Tu veux enlever mon string, Steve ?
— Euh... Oui, Lina. J’ai vraiment envie de te voir entièrement nue.
On arrête nos caresses mutuelles. Je m’allonge sur le dos. Steve vient se mettre à genoux devant moi. Je relève mon bassin et de ses mains tremblantes, mon cousin retire lentement mon string. Mon regard se porte sur son sexe à moitié dressé. Son regard se porte sur ma fente.
— Je peux te lécher, Lina ?
— Bien sûr que oui, Steve. Tu es aussi là pour apprendre.
Steve se penche entre mes cuisses et d'abord il me lèche un peu maladroitement. Je pousse un long gémissement de plaisir quand je sens sa langue titiller mon clitoris.
— Oui, Steve ! Mmm continue juste là !
Mon cousin se délecte de ma mouille tout en continuant à lécher mon bouton. Il se branle discrètement pour devenir bien dur.
— J’ai envie de toi, Lina !
— Moi aussi. Mets-toi sur le dos et je vais m’asseoir sur toi, Steve !
Steve arrête donc de s’occuper de ma chatte et il se met sur le dos. Je viens le chevaucher et poser mon sexe humide sur sa bite bien dure. Je me frotte lentement le long de son sexe. Je prends ses mains dans les miennes et je les pose sur mes seins. Il vient délicatement me masser la poitrine tout en pinçant mes tétons du bout de ses doigts. Je relève légèrement mon bassin. Je prends son sexe dans une main et je frotte son gland le long de ma fente.
— Tu es prêt à devenir un homme, Steve ?
— Je n’ai jamais été aussi prêt, Lina !
Je fais lentement entrer son gland en moi et je m’empale délicatement sur son sexe. Steve pose un gémissement en sentant son sexe pénétrer le mien.
— Oh, que c’est bon d’être en toi, Lina ! Je n’ai jamais ressenti ça de ma vie. Ta chatte est bien chaude et humide !
— Mmm, ça me fait du bien de te sentir dedans !
Je me penche un moment vers lui pour l’embrasser. Je reste empalée sur son sexe sans bouger. Après ce doux baiser, je me redresse et pose mes mains sur son torse musclé. Je fais onduler mon bassin sur sa queue avant de commencer mes mouvements de haut en bas. Steve me regarde droit dans les yeux.
— Oh que c’est bon, Lina ! Ça n’a rien à voir avec le plaisir que je ressens quand je me branle.
— C’est normal, Steve. Mmm, j’adore ton sexe !
Je continue à faire coulisser mon bassin le long de sa tige bien dure. Le fait de bouger lentement en l'enserrant est vraiment excitant. Steve se relève un peu et vient me sucer les tétons tandis que ses mains me caressent le long des flancs avant d'agripper mes fesses. J’accélère doucement mes mouvements de bassin. Je sens de temps en temps son gland buter au fond de mon vagin. Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir.
Mon cousin pétrit mes fesses. Prenant de plus en plus d’assurance il commence à me donner quelques coups de reins, brefs mais puissants. Mon bas-ventre est en feu. Je sens peu à peu venir mon orgasme.
— Oh, je vais jouir en toi, Lina ! Oh oui, je sens que ça vient !
— Tu vas me faire jouir, Steve ! Oui, continue !
Dans un râle de plaisir commun, on atteint l’orgasme en même temps et il décharge sa semence que je garde en moi au fond de mon vagin.
— Oh c’était vraiment bon, Lina ! Merci de m’avoir dépucelé.
— De rien, Steve ! Tu t’es très bien débrouillé.
— Je t’aime, Lina !
On échange un long baiser en restant allongés l’un sur l’autre.
Alors qu’on partage un moment tendre, on ne remarque pas que Steve a laissé la porte de la chambre légèrement entrouverte. Mon oncle nous espionne en restant bien caché derrière. Il se masturbe sauvagement jusqu’à éjaculer dans sa main. Puis il repart dans sa chambre après avoir nettoyé sa main remplie de sperme dans la salle de bain.
Finalement, je retire le sexe de mon cousin de ma chatte et je viens me blottir dans ses bras.
— Je peux dormir avec toi, Lina ?
— Oui, mais il faudra se lever avant que tes parents nous surprennent tous les deux dans mon lit.
— Oui, je sais, Lina.
On échange un tendre baiser pour souhaiter une bonne nuit. Steve s’endort rapidement.
Je ne trouve pas le sommeil et je me lève pour aller boire un verre. Je n’enfile que mon t-shirt et je descends sans bruit à la cuisine pour me désaltérer. En remontant vers ma chambre, je croise mon oncle. Je suis un peu gênée à l’idée de me retrouver quasiment nue devant lui.
— Je n’arrête pas de penser à ce qu’on a fait tous les deux, Lina ! Tu m’obsèdes !
Il me colle contre le mur et il pose sa main entre mes cuisses, remarquant que je ne porte rien sous mon t-shirt. Il caresse délicatement ma fente.
— J'ai encore envie de toi, Lina !
— Tonton, on ne devrait pas faire ça ici ! On risquerait de nous surprendre !
— Tatie et ton cousin doivent dormir à poings fermés !
Mon oncle me prend par la main et on va dans le salon. Il se met rapidement torse nu. On s'assoit sur le canapé et il me doigte tout en m’embrassant.
— Je t’ai vue avec Steve dans ta chambre, Lina. Je me suis même branlé en vous voyant baiser.
— Tu es un sacré coquin, tonton !
— T'es encore toute mouillée ! Laisse-moi te prendre en levrette comme tout à l’heure, Lina !
— OK, tonton.
Il me retire mon t-shirt et je me retrouve donc entièrement nue devant lui. Il ôte son boxer. Je n’ai pas besoin de le masturber, car son sexe est déjà bien dur.
— Mets-toi à quatre pattes sur le canapé, mon petit ange !
J’ai à peine le temps de me mettre en place que mon oncle plante déjà son gros sexe en moi. Il agrippe mes petits seins et il commence à me limer la chatte. Je mets une main devant ma bouche pour atténuer mes gémissements. Son bassin claque contre mes fesses bien fermes. Son sexe coulisse merveilleusement bien en moi. Il ne nous faut que quelques minutes pour atteindre tous les deux l’orgasme. Mais au lieu de décharger son sperme au fond de mon puits d’amour, il se retire et se masturbe énergétiquement devant moi et il laisse son gland cracher son jus sur mon visage et sur mes siens. J’ai ainsi droit à ma première éjaculation faciale.
— J’en ai vraiment mis partout, Lina !
— Je vois ça, tonton.
Il récupère une feuille d’essuie-tout dans la cuisine et il me la tend afin que je nettoie les traces de sa semence qui recouvre mon corps. Il se rhabille rapidement.
— Tu préfères baiser avec moi ou avec mon fils ?
— Je vous aime tous les deux. C’est dur de faire un choix.
— En tout cas, je suis vraiment heureux que tu sois là, Lina. C’est quand même plus agréable que de se palucher devant un film pour adultes.
— Je n’en doute pas, tonton. Mais là, il faut que j’aille dormir.
— À demain matin, Lina !
On s’embrasse une dernière fois avant que je remette mon t-shirt. Mon oncle retourne dans sa chambre. Je jette la feuille d’essuie-tout souillée de sperme dans la poubelle avant de rejoindre au lit mon cousin qui n’a pas remarqué mon absence.
Vers sept heures, j’ouvre les yeux. Il est encore endormi. Afin de le réveiller en douceur, je commence à le masturber avant de mettre sa queue dans ma bouche. C’est en l’entendant pousser un léger gémissement que je me rends compte que je viens de le réveiller. Je continue ma petite gâterie matinale.
— Mmm, j’adore ta façon de me réveiller, Lina ! C’est trop bon. Ne va pas trop vite ! J’ai envie de te faire l’amour !
J’arrête donc de le sucer un peu à contrecœur.
— Tu veux essayer de me prendre en levrette ?
— Je préférerais te prendre en missionnaire pour te regarder, Lina.
— Comme tu veux. Mais avant, il faut que tu me lèches un peu, Steve !
— Je ferai tout ce que tu voudras, Lina !
J’enlève donc mon t-shirt et je viens poser ma chatte sur sa bouche. Steve titille mon clitoris du bout de la langue tandis que j’embrasse délicatement son sexe. Il ne faut que quelques minutes pour que mon vagin libère un peu de mouille qu’il s’empresse de savourer. Steve pose ses mains sur mes fesses, et il lèche délicatement ma fente.
Après ces quelques minutes de doux préliminaires, je m’allonge sur le dos en écartant bien les cuisses afin d’accueillir mon cousin en moi. Même si la position du missionnaire est loin d’être ma préférée, on la fait pour lui faire plaisir.
Steve vient s’allonger au-dessus de moi. Je prends son sexe dans ma main et je guide son gland à l’entrée de ma chatte. Il gémit en se glissant en moi. On s’embrasse tendrement pendant qu’il commence à me limer.
— Mmm, Steve, c’est bon !
— Oh oui, Lina ! J’adore être en toi !
Malgré un peu de maladresse de sa part, je commence à ressentir du plaisir. Je viens poser mes talons juste au-dessus de ses fesses. Nos langues s’entremêlent et il continue à pilonner ma chatte avec plus ou moins de force. Je caresse frénétiquement mon clitoris pour accentuer le plaisir que me procure son sexe. Soudain, Steve accélère ses coups de reins.
— Oh, je vais me finir en toi, Lina ! Oh, ça vient !
Dans un râle de plaisir étouffé, Steve décharge sa semence au fond de mon vagin chaud et humide. Il s’écroule sur moi après s’être bien vidé.
— C’était bon, Steve, mais là tu m’écrases !
— Pardon, Lina, mais c’est si bon d’être dans ta chatte. Je t’aime !
— Je t’aime aussi, Steve.
Il prend appui sur ses genoux pour me libérer de son poids tout en restant en moi pendant quelques secondes. Il finit par sortir et il s’allonge sur le dos. Un mince filet de sperme s’écoule du trou qu’il vient de remplir.
— Tu es la meilleure des cousines.
— Merci, Steve.
On échange un nouveau baiser.
— Bon anniversaire, cousin !
— Je m’en souviendrai toute ma vie, Lina !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Autorfr
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un peu trop de répétitions de prénom sans arrêt, ça a presque un effet comique !
