Marine et mes initiations (4)
Récit érotique écrit par Autorfr [→ Accès à sa fiche auteur]
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Marine et mes initiations (4)
Cela fait maintenant un mois que Marc et moi sommes ensemble. Nous l’avons annoncé à nos familles respectives. Mon père et mon frère semblent accepter ma relation avec Marc malgré nos sept ans d’écart.
Depuis ma première fois, Marc vient régulièrement chez moi pour que l’on passe un moment tendre ensemble. À chacune de ses visites, j’ai droit un nouvel ensemble de lingerie en cadeau. Marc adore me voir le porter, mais il finit à chaque fois par me l’enlever pour m'honorer. Malgré notre amour et notre relation forte, j’ai toujours une appréhension à chaque fois que je le suce. Je sais que cela semble le déranger même s’il ne le dit pas afin de ne pas me mettre mal à l’aise. C’est pour cela que j’ai demandé à sa sœur Sandrine de venir chez moi pour prendre des conseils auprès d’elle.
J’accueille Sandrine en lui faisant la bise et je lui propose un verre du jus d’orange avant de s’asseoir sur le canapé.
— Je peux savoir pourquoi tu m’as fait venir, Marine ?
— Euh... en fait, c’est au sujet de ton frère.
— Il a fait quoi comme connerie, celui-là ?
— Rien, au contraire. Mais le problème vient plutôt de moi.
— Tu m’inquiètes ! Explique-moi !
— Voilà ... c’est un sujet un peu délicat. Et je ne me voyais pas en parler avec ma mère. Marc adore que je le suce, mais je ressens du dégoût au moment où il gicle dans ma bouche. Je n’arrive pas avaler son sperme.
Les joues de Sandrine virent au rouge suite à l’exposition de mon problème.
— Ah, je vois. Je comprends pourquoi tu ne peux pas parler de sujet à ta mère. Tu n’es pas obligée de le faire même si je sais qu’il adore ça.
— Comment le sais-tu, Sandrine ?
Son visage devient encore plus rouge. Elle avale une gorgée de son jus d’orange avant de me prendre une main.
— Promets-moi d’en parler à personne et surtout à ton frère, Marine !
— Je te le promets, Sandrine.
— Il y a environs un an, j’ai surpris Marc en train de se masturber sur son lit en regardant un film pour adultes.
Je suis choquée par sa révélation, mais je la laisse continuer son histoire.
— Sur le ton de la rigolade, je lui demandais s’il avait besoin d’aide.
— Et ?
— Après avoir ressenti de la gêne, je suis entrée dans sa chambre.
— Et vous avez fait l’amour ?
— Non, Marine ! Je ne ferais jamais ça avec lui ! Je l’ai juste sucé.
— Et tu as avalé son sperme ?
— Oui, Marine.
— Il t’a forcée ?
— Non ! En fait, je voulais savoir, par curiosité, s'il a avait le même goût que celui de ton frère.
— C’était le cas ?
— Oui, Marine.
— Tu n’avais sucé d’autres mecs avant ?
— Non, ton frère a été mon premier.
— C’est la même chose pour moi.
Sandrine semble pas vraiment surprise par ma révélation.
— Alors, mon frère qui t’a dépucelée, Marine ?
— Oui, Sandrine. J’ai perdu ma virginité dans ma chambre.
— Je ne savais pas. Je compte sur toi pour que personne ne soit au courant.
— Je te l’ai promis.
— Pour en revenir à ton problème, il faut que tu te poses la question pourquoi tu le suces, si c’est pour son plaisir ou pour le tien.
— En fait, je ne vois pas comment prendre du plaisir en même temps que lui.
— Tu pourrais lui demander de te lécher pendant que tu le suces, par exemple.
— Ah, oui, je comprends. C’est vrai que j’adore quand il me lèche.
Sandrine se rapproche de moi et elle me fait un bisou dans le cou. Par réflexe, j’ai un léger moment de recul.
— Pourquoi tu as fait ça, Sandrine ?
— J’ai toujours rêvé de faire l’amour avec une fille.
Bizarrement, même après ma réaction initiale, je sens une légère chaleur envahir mon bas-ventre. À mon tour, j’embrasse Sandrine près de la commissure de ses lèvres. Elle me sourit et elle m’embrasse sur la bouche en glissant une main dans mes cheveux. Voyant que je réponds positivement à son baiser, Sandrine me roule une pelle. Après cet agréable baiser, on se sourit.
— Tu aimerais essayer, Marine ?
— Je crois que oui, Sandrine. Mais, on doit garder le secret !
— Oui, Marine. On en aura chacune un dans ce cas.
On se lève du canapé et on va dans ma chambre en se tenant la main. La situation est tout autant excitante que la première fois où j’ai invité son frère dans ma chambre.
On s’assoit en tailleur sur mon lit en se faisant face après avoir retiré nos chaussures. Je plonge mon regard dans le sien. Je peux ressentir une certaine tension sexuelle autour de moi. Sandrine me retire mon t-shirt pendant que je retire le sien. On se sourit en voyant que l’on ne porte pas de soutien-gorge.
— Toi aussi, ton mec aime que tu ne portes pas de soutien-gorge ?
— Oui, Marine. Je crois que nos frères sont aussi coquins l’un que l’autre. Et tu ne portes rien en bas, toi aussi ?
— Je n’ai rien sous mon jogging, Sandrine.
Sandrine retire sa jupe et j’enlève mon jogging. On se remet en tailleur ensuite. On regarde nos corps nus avec envie. Sa poitrine a l’air aussi ferme que la mienne. À l’inverse de moi, le pubis de Sandrine est parfaitement épilé.
— On dirait que mon frère aime un peu les poils.
— Par contre, le mien semble ne pas aimer cela. Il se rase le sexe comme le tien ?
— Oui, Marine.
On s’allonge sur mon lit en se faisant face. Après quelques secondes d’hésitation, je pose mes doigts sur sa fente aussi lisse que la peau d’un bébé. Sandrine en fait de même. Nos doigts viennent caresser délicatement nos clitoris. On rapproche nos visages pour s’embrasser pendant que nos doigts s’activent sur nos intimités.
En quelques minutes, nos cœurs se mettent à battre fort. Sandrine me pousse sur le côté et elle s’allonge sur moi. Sandrine glisse ses mains dans les miennes et elle frotte doucement ses seins sur ma poitrine. Nos tétons sont bien durs. Sandrine relève légèrement son torse et elle frotte ses tétons contre les miens. Mon bas-ventre commence à bouillir d’excitation. On échange des baisers. Dans un mouvement d’épaule, je finis par me retrouver au-dessus de Sandrine. Je joue avec mes seins sur les siens de la même manière.
— Je suis tout excitée, Marine !
— Moi aussi, Sandrine.
— Tourne-toi et viens poser ta chatte sur ma bouche !
— Oui, Sandrine.
Je me mets en position. Je me retrouve donc face au sexe de Sandrine. Je vois que sa fente est légèrement brillante de mouille. Sandrine vient donner de petits coups de langue sur mon clitoris et le long de ma fente. Mon corps frissonne sous ses caresses intimes. Ne voulant pas être la seule à éprouver du plaisir, je viens lécher son clitoris et sa fente à mon tour. Je me délecte de sa mouille tout en continuant à lécher son intimité glabre.
— Mmm, je peux te mettre un doigt, Marine ?
— Oui, Sandrine.
Sandrine glisse un doigt dans mon intimité humide et brûlante de plaisir. Je glisse, à mon tour, un doigt en elle. Ma langue continue à titiller son clitoris. Sandrine fouille délicatement mon intimité et j’en fais de même. Nos gémissements de plaisir résonnent rapidement dans ma chambre. Sans me le demander, Sandrine glisse un deuxième doigt en moi. J’ai presque l’impression de sentir le sexe de Marc en moi. Je lui prodigue le même type de caresse. Mon bas-ventre est en feu. En quelques minutes, je sens monter mon orgasme.
— Oh, je vais jouir, Sandrine ! Aaah.
— Moi aussi, Mariiiine ! Aaaah ouiii.
Nos corps vibrent en atteignant l’orgasme. On se doigte l’une l’autre encore quelques secondes avant de glisser nos doigts dans nos bouches pour goûter à nos mouilles.
Je viens me blottir dans les bras de Sandrine pour échanger quelques baisers et me remettre de ses émotions nouvelles.
— Oh que c’était bon, Marine !
— C’était merveilleux, Sandrine. J’ai adoré goûter à ta mouille, ma belle.
— Moi, aussi.
On finit par se lever et se rhabiller avant d’aller dans la cuisine pour nous désaltérer.
— Tout ce que l’on vient de faire ne résout pas vraiment mon problème, Sandrine.
— Un peu oui, en fait. Je sais bien que son sperme n’a pas le même goût que ma mouille, mais tu pourrais lui proposer de te lécher pendant que tu le suces.
— D’accord, Sandrine. Mais ce n’est pas vraiment le goût qui me dérange, c’est surtout le fait de sentir son sperme arriver par saccades dans ma bouche.
— Il y a peut-être une solution, après tout !
— Explique-moi !
— Tu peux lui demander de te dire quand il va éjaculer et au lieu de se finir directement dans ta bouche, tu le masturbes et tu récoltes son jus dans le creux de ta langue, et après tu pourras avaler.
— J’aime bien cette solution, Sandrine !
— Tu as bien fait de me faire venir.
— Oui, surtout que l’on s’est bien amusé.
On se prend dans les bras pour se faire un câlin.
— J’espère que je n’ai pas fait mal à ton futur bébé, Sandrine ?
— Non, Marine ! Il y a aucune chance que tu lui fasses mal avec tes doigts. Même le sexe de ton frère ne peut pas le toucher.
— Vous comptez le dire bientôt à tout le monde ?
— Oui, Marine. Merci de m’y faire penser ! On aimerait réunir tout le monde le week-end prochain.
— On va vite se revoir, alors ?
— Oui, mais cela risque d’être moins agréable entre nous.
On boit une dernière gorgée d’eau fraîche avant que Sandrine ne parte.
Au moment de franchir la porte, ma mère se gare devant la maison. On va l’accueillir.
— Salut Sandrine.
— Bonjour future belle-maman.
— Comment va, mon fils ?
— Il se porte bien. Il est allé courir avec Marc cet après-midi.
— C’est bien. Et toi ? Ça va mieux ton ventre ?
— Euh... oui. C’était une simple gastro.
— Tu es venue discuter avec ta future belle-sœur ?
— Euh... oui. Ça tombe bien que je sois là. On voudrait vous inviter à l’appartement ce week-end.
— On sera là, Sandrine. Ça fait longtemps que je n’ai pas vu mon fils.
Sandrine nous fait la bise et elle monte dans sa voiture.
Depuis ma première fois, Marc vient régulièrement chez moi pour que l’on passe un moment tendre ensemble. À chacune de ses visites, j’ai droit un nouvel ensemble de lingerie en cadeau. Marc adore me voir le porter, mais il finit à chaque fois par me l’enlever pour m'honorer. Malgré notre amour et notre relation forte, j’ai toujours une appréhension à chaque fois que je le suce. Je sais que cela semble le déranger même s’il ne le dit pas afin de ne pas me mettre mal à l’aise. C’est pour cela que j’ai demandé à sa sœur Sandrine de venir chez moi pour prendre des conseils auprès d’elle.
J’accueille Sandrine en lui faisant la bise et je lui propose un verre du jus d’orange avant de s’asseoir sur le canapé.
— Je peux savoir pourquoi tu m’as fait venir, Marine ?
— Euh... en fait, c’est au sujet de ton frère.
— Il a fait quoi comme connerie, celui-là ?
— Rien, au contraire. Mais le problème vient plutôt de moi.
— Tu m’inquiètes ! Explique-moi !
— Voilà ... c’est un sujet un peu délicat. Et je ne me voyais pas en parler avec ma mère. Marc adore que je le suce, mais je ressens du dégoût au moment où il gicle dans ma bouche. Je n’arrive pas avaler son sperme.
Les joues de Sandrine virent au rouge suite à l’exposition de mon problème.
— Ah, je vois. Je comprends pourquoi tu ne peux pas parler de sujet à ta mère. Tu n’es pas obligée de le faire même si je sais qu’il adore ça.
— Comment le sais-tu, Sandrine ?
Son visage devient encore plus rouge. Elle avale une gorgée de son jus d’orange avant de me prendre une main.
— Promets-moi d’en parler à personne et surtout à ton frère, Marine !
— Je te le promets, Sandrine.
— Il y a environs un an, j’ai surpris Marc en train de se masturber sur son lit en regardant un film pour adultes.
Je suis choquée par sa révélation, mais je la laisse continuer son histoire.
— Sur le ton de la rigolade, je lui demandais s’il avait besoin d’aide.
— Et ?
— Après avoir ressenti de la gêne, je suis entrée dans sa chambre.
— Et vous avez fait l’amour ?
— Non, Marine ! Je ne ferais jamais ça avec lui ! Je l’ai juste sucé.
— Et tu as avalé son sperme ?
— Oui, Marine.
— Il t’a forcée ?
— Non ! En fait, je voulais savoir, par curiosité, s'il a avait le même goût que celui de ton frère.
— C’était le cas ?
— Oui, Marine.
— Tu n’avais sucé d’autres mecs avant ?
— Non, ton frère a été mon premier.
— C’est la même chose pour moi.
Sandrine semble pas vraiment surprise par ma révélation.
— Alors, mon frère qui t’a dépucelée, Marine ?
— Oui, Sandrine. J’ai perdu ma virginité dans ma chambre.
— Je ne savais pas. Je compte sur toi pour que personne ne soit au courant.
— Je te l’ai promis.
— Pour en revenir à ton problème, il faut que tu te poses la question pourquoi tu le suces, si c’est pour son plaisir ou pour le tien.
— En fait, je ne vois pas comment prendre du plaisir en même temps que lui.
— Tu pourrais lui demander de te lécher pendant que tu le suces, par exemple.
— Ah, oui, je comprends. C’est vrai que j’adore quand il me lèche.
Sandrine se rapproche de moi et elle me fait un bisou dans le cou. Par réflexe, j’ai un léger moment de recul.
— Pourquoi tu as fait ça, Sandrine ?
— J’ai toujours rêvé de faire l’amour avec une fille.
Bizarrement, même après ma réaction initiale, je sens une légère chaleur envahir mon bas-ventre. À mon tour, j’embrasse Sandrine près de la commissure de ses lèvres. Elle me sourit et elle m’embrasse sur la bouche en glissant une main dans mes cheveux. Voyant que je réponds positivement à son baiser, Sandrine me roule une pelle. Après cet agréable baiser, on se sourit.
— Tu aimerais essayer, Marine ?
— Je crois que oui, Sandrine. Mais, on doit garder le secret !
— Oui, Marine. On en aura chacune un dans ce cas.
On se lève du canapé et on va dans ma chambre en se tenant la main. La situation est tout autant excitante que la première fois où j’ai invité son frère dans ma chambre.
On s’assoit en tailleur sur mon lit en se faisant face après avoir retiré nos chaussures. Je plonge mon regard dans le sien. Je peux ressentir une certaine tension sexuelle autour de moi. Sandrine me retire mon t-shirt pendant que je retire le sien. On se sourit en voyant que l’on ne porte pas de soutien-gorge.
— Toi aussi, ton mec aime que tu ne portes pas de soutien-gorge ?
— Oui, Marine. Je crois que nos frères sont aussi coquins l’un que l’autre. Et tu ne portes rien en bas, toi aussi ?
— Je n’ai rien sous mon jogging, Sandrine.
Sandrine retire sa jupe et j’enlève mon jogging. On se remet en tailleur ensuite. On regarde nos corps nus avec envie. Sa poitrine a l’air aussi ferme que la mienne. À l’inverse de moi, le pubis de Sandrine est parfaitement épilé.
— On dirait que mon frère aime un peu les poils.
— Par contre, le mien semble ne pas aimer cela. Il se rase le sexe comme le tien ?
— Oui, Marine.
On s’allonge sur mon lit en se faisant face. Après quelques secondes d’hésitation, je pose mes doigts sur sa fente aussi lisse que la peau d’un bébé. Sandrine en fait de même. Nos doigts viennent caresser délicatement nos clitoris. On rapproche nos visages pour s’embrasser pendant que nos doigts s’activent sur nos intimités.
En quelques minutes, nos cœurs se mettent à battre fort. Sandrine me pousse sur le côté et elle s’allonge sur moi. Sandrine glisse ses mains dans les miennes et elle frotte doucement ses seins sur ma poitrine. Nos tétons sont bien durs. Sandrine relève légèrement son torse et elle frotte ses tétons contre les miens. Mon bas-ventre commence à bouillir d’excitation. On échange des baisers. Dans un mouvement d’épaule, je finis par me retrouver au-dessus de Sandrine. Je joue avec mes seins sur les siens de la même manière.
— Je suis tout excitée, Marine !
— Moi aussi, Sandrine.
— Tourne-toi et viens poser ta chatte sur ma bouche !
— Oui, Sandrine.
Je me mets en position. Je me retrouve donc face au sexe de Sandrine. Je vois que sa fente est légèrement brillante de mouille. Sandrine vient donner de petits coups de langue sur mon clitoris et le long de ma fente. Mon corps frissonne sous ses caresses intimes. Ne voulant pas être la seule à éprouver du plaisir, je viens lécher son clitoris et sa fente à mon tour. Je me délecte de sa mouille tout en continuant à lécher son intimité glabre.
— Mmm, je peux te mettre un doigt, Marine ?
— Oui, Sandrine.
Sandrine glisse un doigt dans mon intimité humide et brûlante de plaisir. Je glisse, à mon tour, un doigt en elle. Ma langue continue à titiller son clitoris. Sandrine fouille délicatement mon intimité et j’en fais de même. Nos gémissements de plaisir résonnent rapidement dans ma chambre. Sans me le demander, Sandrine glisse un deuxième doigt en moi. J’ai presque l’impression de sentir le sexe de Marc en moi. Je lui prodigue le même type de caresse. Mon bas-ventre est en feu. En quelques minutes, je sens monter mon orgasme.
— Oh, je vais jouir, Sandrine ! Aaah.
— Moi aussi, Mariiiine ! Aaaah ouiii.
Nos corps vibrent en atteignant l’orgasme. On se doigte l’une l’autre encore quelques secondes avant de glisser nos doigts dans nos bouches pour goûter à nos mouilles.
Je viens me blottir dans les bras de Sandrine pour échanger quelques baisers et me remettre de ses émotions nouvelles.
— Oh que c’était bon, Marine !
— C’était merveilleux, Sandrine. J’ai adoré goûter à ta mouille, ma belle.
— Moi, aussi.
On finit par se lever et se rhabiller avant d’aller dans la cuisine pour nous désaltérer.
— Tout ce que l’on vient de faire ne résout pas vraiment mon problème, Sandrine.
— Un peu oui, en fait. Je sais bien que son sperme n’a pas le même goût que ma mouille, mais tu pourrais lui proposer de te lécher pendant que tu le suces.
— D’accord, Sandrine. Mais ce n’est pas vraiment le goût qui me dérange, c’est surtout le fait de sentir son sperme arriver par saccades dans ma bouche.
— Il y a peut-être une solution, après tout !
— Explique-moi !
— Tu peux lui demander de te dire quand il va éjaculer et au lieu de se finir directement dans ta bouche, tu le masturbes et tu récoltes son jus dans le creux de ta langue, et après tu pourras avaler.
— J’aime bien cette solution, Sandrine !
— Tu as bien fait de me faire venir.
— Oui, surtout que l’on s’est bien amusé.
On se prend dans les bras pour se faire un câlin.
— J’espère que je n’ai pas fait mal à ton futur bébé, Sandrine ?
— Non, Marine ! Il y a aucune chance que tu lui fasses mal avec tes doigts. Même le sexe de ton frère ne peut pas le toucher.
— Vous comptez le dire bientôt à tout le monde ?
— Oui, Marine. Merci de m’y faire penser ! On aimerait réunir tout le monde le week-end prochain.
— On va vite se revoir, alors ?
— Oui, mais cela risque d’être moins agréable entre nous.
On boit une dernière gorgée d’eau fraîche avant que Sandrine ne parte.
Au moment de franchir la porte, ma mère se gare devant la maison. On va l’accueillir.
— Salut Sandrine.
— Bonjour future belle-maman.
— Comment va, mon fils ?
— Il se porte bien. Il est allé courir avec Marc cet après-midi.
— C’est bien. Et toi ? Ça va mieux ton ventre ?
— Euh... oui. C’était une simple gastro.
— Tu es venue discuter avec ta future belle-sœur ?
— Euh... oui. Ça tombe bien que je sois là. On voudrait vous inviter à l’appartement ce week-end.
— On sera là, Sandrine. Ça fait longtemps que je n’ai pas vu mon fils.
Sandrine nous fait la bise et elle monte dans sa voiture.
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