Marine et mes initiations (1) - histoire érotique

Cette année, je suis tombée amoureuse du meilleur ami de mon grand frère Sébastien qui se prénomme Marc. J’ai 18 ans tandis qu’il en a 25. Ils jouent ensemble dans le club de rugby local. Je suis une jeune femme brune d’1m65 avec déjà de belles formes généreuses.

Je fais partie du fan-club pas uniquement pour supporter mon grand frère, mais surtout pour me rapprocher de Marc. Marc est un homme brun d’1m85 avec un corps d’athlète. On peut dire qu’il est la star du club et du village. Je sais pertinemment qu’il a déjà eu plusieurs conquêtes.

À la fin de la saison de rugby, un verre de l’amitié est organisé par le club pour fêter le dernier match de la saison. La plupart des joueurs sont déçus par la dernière défaite dont mon frère et Marc. J’ai revêtu une jupe courte rouge et un débardeur blanc aux couleurs du club.

Durant la soirée, je discute avec les copines des joueurs, mais je garde toujours un œil sur Marc. Mon frère sait que j’ai le béguin pour Marc. Ils sont tous les deux très complices.

Mon frère est en couple avec la sœur de Marc, Sandrine. Ils ont tous deux 24 ans. Mon frère fait part à Sandrine des sentiments que je ressens pour son frère. Ils décident donc de m’aider à me rapprocher de Marc.

J’ai une faible estime de moi qui m’empêche de me sentir à l’aise avec les garçons. Même si j’ai déjà eu l’occasion d’embrasser des garçons, ce n’est jamais allé plus loin.

Sandrine et moi discutons près du barbecue où se trouve son frère. Elle lui fait signe de nous rejoindre. Je sens déjà mon cœur s’emballer en voyant Marc s’approcher de moi. Marc vient avec des bières dans ses mains.

— Vous voulez une bière, les filles ?
— Oui, Marc.
— Et toi, Marine ?

Je suis presque surprise qu’il connaisse mon prénom.

— Euh..., je veux une bière sans alcool, s’il te plaît, Marc.
— OK, je t’amène cela tout de suite.

Le simple fait d’avoir échangé ces quelques mots avec lui ne fait qu’accélérer mon rythme cardiaque. Je sens que mes joies se parent de rouge. Marc revient avec ma boisson.

— Voilà, mademoiselle Marine est servie.
— Merci, Marc.
— Sébastien m’a dit que tu as eu ton bac cette année. Félicitations !
— Merci. J’ai une mention très bien.
— Oh ! Tu es bien plus intelligente que moi ! Tu comptes faire quoi, maintenant ?
— J’aimerais devenir institutrice.
— C’est une très belle idée.

Voyant que je discute avec Marc, Sandrine nous laisse tous les deux seuls pour rejoindre mon frère.

— Je dois vous laisser pour surveiller si Sébastien ne boit pas trop !
— OK, petite sœur. À plus tard !

Des frissons me parcourent le corps à l’idée de me retrouver seule avec l’homme qui fait secrètement battre mon cœur.

— Tu as froid, Marine. Je peux te prêter mon sweat, si tu veux.
— Euh... oui. Merci, Marc.

En enlevant son sweat, Marc fait apparaître légèrement ses abdos parfaitement dessinés. Il me passe son sweat autour de mes épaules.

— Tu te sens mieux, Marine ?
— Oui, Marc.

On va s’asseoir sur un banc afin de s’isoler un peu du reste du groupe.

— Je peux te dire un secret, Marine ?
— Euh..., oui Marc.
— Ton frère va faire sa demande ce soir.
— Vraiment ?
— Tu vas devenir ma belle-sœur si ma sœur accepte.

Mon cœur s’emballe encore plus.

— Si elle n’accepte pas, je lui crève les yeux !
— Je ne te savais pas aussi violente, Marine. Je te croyais plus douce que cela ?
— Ce n’est pas ce que je voulais dire, Marc ! Je sais que mon frère est vraiment amoureux de ta sœur et je sais que cela lui ferait vraiment mal si elle n’acceptait pas.
— C’est vrai qu’ils font un beau couple tous les deux.
— Tu as raison, Marc.
— Et du côté de tes amours, cela se passe comment, Marine ?

Je reste sans voix suite à sa question plus qu’indiscrète. Marc voit bien que je suis choquée.

— Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise, Marine. Excuse-moi.
— Non, Marc. C’est que c’est le calme plat de mon côté.
— Désolé d’entendre cela. Il n’y a pas un garçon ou même une fille qui fait battre ton cœur ?
— Euh... je préfère les garçons, Marc.

Alors que je suis sur le point de lui avouer mes sentiments pour lui, mon frère se met debout sur une souche d’arbre pour faire une annonce. Tout le monde se tourne vers lui.

— Puis-je avoir votre attention ? J’aimerais que mademoiselle Sandrine LAURENT vienne me rejoindre !
— Je suis là, couillon !

Mon frère descend de son promontoire et il se met à genoux devant Sandrine. Tout le monde se met en cercle autour d’eux. Sandrine sourit en comprenant que mon frère est sur le point de lui faire sa demande.

— Mademoiselle Sandrine LAURENT. Tu sais que tu es la lumière de ma vie et que sans toi je ne suis rien. Me ferais-tu l’honneur de devenir ton mari ?

Des larmes d’émotions coulent le long des joues de Sandrine. Mon frère lui tend un coffret rouge où se trouve une bague. Entre deux sanglots, Sandrine lui dit oui. Mon frère lui met la bague au doigt avant de se relever de la prendre dans ses bras pour l’embrasser tendrement. On applaudit tous pour les féliciter.

Marc et moi allons féliciter le nouveau couple en les serrant dans nos bras.

— Je suis vraiment trop contente pour vous deux, Sébastien.
— Merci, petite sœur.

Après ce câlin chaleureux, Marc me prend la main afin de revenir où nous étions précédemment. Je suis tout autant émue que Sandrine. Marc essuie mes larmes qui coulent sur mes joues avant ses doigts.

— Ce n’est plus un secret, ma future belle-sœur !
— Oui, Marc.

Tous les regards se tournent vers mon frère et Sandrine. Par réflexe, je pose ma tête contre le bras musclé de Marc.

— Je suis vraiment heureuse pour eux.
— J’ai bien vu, Marine.

Je plonge mon regard dans celui de Marc.

— Je peux te dire un truc, Marc ?
— Oui, Marine.
— Tu ne me laisses pas indifférente, Marc.

Marc me sourit et on échange notre premier baiser. Tout mon être vibre en sentant ses lèvres se poser sur les miennes. Je sens même une vague de chaleur envahir mon bas-ventre.

Marc se rend compte de mon trouble.

— Tu veux que l’on se mette à l’écart, Marine ?
— Euh... oui, Marc.

Nous disparaissons derrière l’ancien moulin pour nous asseoir près de la rivière. Marc s’adosse à un arbre et je me blottis dans ses bras. Nos regards se croisent à nouveau et on échange un nouveau baiser. Marc descend lentement une main le long de mon flanc jusqu’à atteindre le haut de mes fesses. Un nouveau frisson parcourt mon corps. Je le laisse me caresser délicatement, car j’ai longtemps rêvé de ce moment.

— Tu es vraiment très belle, Marine.
— Tu trouves ?
— Oui, Marine.

Sa main glisse sur ma cuisse nue. Elle redescend légèrement jusqu’à prendre contact avec le côté de ma culotte en coton rose.

— Non, pas si vite, Marc !
— Tu peux me caresser aussi, si tu veux !

Ses douces caresses m’excitent vraiment. Marc prend ma main et il la pose délicatement au niveau de son entrejambe. Je ne peux que deviner son sexe dur sous son short.

— Tu as déjà vu le sexe d’un homme, Marine ?
— Non, Marc. C’est même la première fois que j’en touche un.

Je vois bien dans son regard qu’il prend que je suis encore vierge.

— Je comprendrais si tu veux pas aller plus loin.
— Je sais que tu as l’habitude que d’autres filles te touchent, mais je ne me sens pas encore prête à franchir cette étape, Marc.

Je vois un peu de déception dans son regard, mais aussi de la compréhension.

— Je ne te forcerais jamais, Marine. Mais sache que tu ne me laisses pas non plus indifférent à tes charmes.
— Je dois t’avouer que je n’ai jamais ressenti ces choses pour un autre garçon que toi, Marc.

Sans vraiment le vouloir, je masse délicatement son sexe par-dessus son short. Je le sens peu à peu grossir. Mon bas-ventre chauffe de plus en plus.

Marc caresse mes fesses par-dessus le fin tissu de ma culotte. De nouveaux frissons parcourent mon corps. Je plonge mon regard dans le sien.

— Je peux le voir, Marc ?
— Oui, si tu veux, Marine.

Marc baisse son short et son boxer afin de faire apparaître son sexe dur devant mes yeux ébahis. Son pubis est parfaitement rasé. Je n’ose pas toucher son sexe même si mon bas-ventre et ma tête me dictent de le toucher.

— Il est quand même énorme !
— Il est de taille normale, Marine.
— Vraiment ? Cela ne te fait pas trop mal d’être dur comme cela ?
— Non, Marine.
— Tu peux rester longtemps dur comme cela ?
— Pas des heures, non plus. Cela peut même faire mal à la longue.
— Je ne veux pas te faire mal, moi ! Je dois faire quoi pour te soulager ?
— Tu peux me masturber.

Je suis vraiment déstabilisée par la situation qui se présente à moi.

Alors que je suis hésitante à l’idée de me saisir de son sexe dur, du coin de l’œil, je vois un couple s’asseoir à une trentaine de mètres de nous. Malgré la faible lueur de la Lune, je m’aperçois qu’il s’agit de mon frère et de Sandrine. Ils ne remarquent pas notre présence.

Je vois mon frère s’adosser à un arbre et Sandrine qui lui baisse son short. Elle fait apparaître le sexe de mon frère qui semble aussi dur que celui de Marc. Elle lui embrasse le sexe avant de le prendre dans sa main pour le masturber. Je suis à la fois excitée et troublée par ce spectacle. Mon bas-ventre est brûlant et je sens même que je mouille.

Sandrine prend délicatement le sexe de mon frère dans sa bouche et elle fait coulisser sa tête dessus. Je me doute qu’elle est en train de le sucer.

Marc et moi les regardons sans faire de bruit. Malgré mon inexpérience, j’essaie de faire la même chose avec Marc. Je saisis donc son sexe et je me penche pour prendre son sexe dur dans ma bouche. Je continue à regarder Sandrine sucer mon frère. Je peux entendre les gémissements de plaisir de mon frère. Je m’applique autant que je peux pour procurer du plaisir à Marc. Mon frère semble vraiment aimer ce que lui fait Sandrine.

Au bout de quelques minutes, mon frère pousse un léger râle de plaisir. Je vois son corps se crisper et ses yeux se fermer. Sandrine retire le sexe de mon frère de sa bouche et elle se lève. Mon frère range son sexe dans son short et ils disparaissent. Je suis troublée d’avoir surpris mon frère se faire sucer.

À son tour, Marc se met à gémir comme mon frère. Soudainement, je sens un liquide me remplir la bouche. Je suis tellement surprise que je sors le sexe de Marc de ma bouche et je crache ce liquide dans l’herbe.

— C’était quoi ce truc, Marc ?
— C’était du sperme, Marine.
— C’est dégueulasse !
— C’est ce qui arrive quand une fille fait du bien à un garçon avec sa bouche.
— Tu crois qu’il est arrivé la même chose à mon frère ?
— Oui, sans doute, Marine, sauf que Sandrine a avalé son sperme.
— Oh ! C’est normal ?
— Cela dépend des filles. Certaines avalent et d’autres font comme toi.
— Je trouve vraiment cela très bizarre ! Tes ex-copines avalaient d’habitude ?
— Oui, Marine.
— Je devrais le faire si je sors avec toi ?
— Pas forcément. Tu n’es pas obligée de faire jouir un garçon de cette manière à condition que tu laisses jouir autre part.
— Dans une capote, par exemple ?
— Oui, ou directement dans ton vagin.
— Tu préfères quoi, toi ?
— Tout, mais c’est à toi de décider ce qui te convient le mieux.
— Merci d’avoir répondu à mes questions. Je sais que je peux être chiante parfois.
— C’est normal, Marine.
— Je peux te poser une dernière question ?
— Oui.
— Tu as déjà dépucelé une fille ?
— Oui, Marine. Une seule.
— Et tu le ferais avec moi ?