Mes premières expériences à l'université - Partie 7
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Mes premières expériences à l'université - Partie 7
Après notre petite discussion dans notre chambre, nous descendons pour rejoindre Patrick et Audrey qui sont tranquillement posés sur les transats autour de la piscine.
- Ça te dérange si je vais discuter un peu à l’écart avec Christophe, Lina ?
- Non, Julie. Après tout, vous allez sans doute faire partie bientôt de la même famille.
- Toi aussi, tu feras partie de notre famille.
Julie et Christophe s’éloignent du groupe et ils se dirigent vers la forêt de pins. Je les perds rapidement de vue.
Dès que Julie est sûre que personne ne peut les voir, elle se jette dans les bras de Christophe pour l’embrasser. Christophe se laisse faire. Ils en profitent pour se déclarer leur amour mutuel. Ils reviennent vers la villa après s’être longuement embrassés et ils restent à bonne distance l’un de l’autre afin de ne pas m’alerter.
Après nous avoir rejoint, nous mangeons ensemble. Et après le repas, nous nous asseyons dans le gazon pour admirer le coucher de soleil.
Julie et moi posons nos têtes sur les épaules de Christophe. Cela ne dure qu’un bref instant. Christophe fait semblant de bailler. Nous prenons cela comme le signal pour rejoindre nos chambres. Patrick et Audrey vont dans leur chambre pendant que nous montons à l’étage.
On arrive dans ma chambre et on se pose tous sur mon lit. Je me rend compte du rapprochement entre Christophe et Julie. Ils échangent même quelques gestes quelques peu équivoques. Christophe se met à bailler à nouveau.
- Désolée Noémie mais je crois que je suis trop fatigué pour pouvoir t’honorer, ce soir.
- Ce n’est pas grave, Christophe. Il vaut que tu te reposes. Au pire, on s’amusera entre filles.
Noémie me regarde ainsi que Julie.
- Vous en dites quoi, les filles ?
- Je crois que j’ai pris une insolation. J’ai la tête qui tourne un peu.
- C’est vrai que l’on a pas fait trop attention au soleil aujourd’hui, Julie ! Il ne reste donc plus que toi et moi, Lina !
J’hésite un peu avant d’accepter la proposition de Noémie en voyant que Christophe et Julie ont l’air bien fatigué. Je me dis qu’il ne peut rien se passer entre eux. Noémie et moi allons dans sa chambre en laissant Christophe et Julie dans la mienne.
- Ça te dirait de revenir près du lac, Lina ?
- Euh… il fait nuit, Noémie ! Et il risque de faire froid !
- Je te réchaufferais et on peut prendre une couverture au cas ou. Tu en dis quoi ?
- OK, Noémie. C’est vrai que c’est un endroit plutôt sympa.
Noémie prend donc une couverture et un petit sac où se trouvent quelques jouets. En sortant de sa chambre, nous passons devant la chambre où se trouvent Christophe et Julie. Nous voyons Christophe masser les trapèzes de Julie. Je me dis qu’il fait çà pour lui faire passer son mal de tête. On descend les escaliers.
En passant dans le salon, je vois Patrick assis sur le canapé et Audrey à ses genoux en train de le sucer. Ils sont nus. On sort discrètement du salon. Ils sont bien trop occupés pour nous voir. Noémie les regarde discrètement, un instant, avant de me rejoindre dehors.
- Audrey a vraiment de la chance !
- Eh, Noémie ! Tu veux les rejoindre ? Si tu fais ça, tu risques de foutre la merde entre Christophe et sa mère !
- Je t’ai promis que je ne recoucherai pas avec Patrick, non ?
- Si, je compte bien que tu tiennes ta promesse !
Nous finissons par quitter les abords de la villa et nous nous enfonçons dans la forêt de pins seulement éclairée par la lueur de la pleine Lune. Il ne nous faut que quelques minutes pour rejoindre ce petit coin de paradis au bord du lac.
Noémie étale la couverture au sol après avoir posé son petit sac. Elle enlève ensuite sa robe pour se mettre entièrement nue. Je la rejoins sur couverture mais je garde ma robe.
- Je vais te réchauffer, Lina !
Noémie se colle contre moi et elle glisse une main sous ma robe pour venir caresser mon intimité. Nous échangeons un long baiser. Je sens peu à peu monter mon excitation et mon corps se réchauffer sous ses caresses. Après quelques minutes d’attouchements, je finis par enlever ma robe et je me retrouve donc nue à mon tour.
Noémie glisse une main dans son sac et elle en sort un gode. Elle le glisse délicatement en moi tout en caressant mes seins et mes tétons avec sa main libre. Il ne me faut que quelques secondes pour commencer à gémir de plaisir.
Elle sort son gode de ma chatte. Elle le suce avant de me le donner pour que je puisse lui donner du plaisir à mon tour. Ses gémissements résonnent dans la nuit.
- C’est nul que tu n’aies qu’un seul gode, Noémie !
- J’ai du oublier l’autre dans ma chambre. Mais on peut se faire du bien toutes les deux quand-même, non ?
- Oui, Noémie !
Je retire son gode de sa chatte et nous formons rapidement un 69 pour se donner du plaisir en même temps. Noémie s’allonge sur moi. Nos langues titillent nos clitoris tandis que nos doigts fouillent nos intimités chaudes et humides. Nos gémissements de plaisir sont à peine couverts par le chant des cigales. Après quelques minutes, nous jouissons quasiment toutes les deux en même temps. Je me délecte de sa mouille tandis que Noémie savoure la mienne.
Noémie vient se blottir dans mes bras. Elle écrase sa poitrine contre la mienne et nous échangeons de petits baisers dans le cou. Il nous faut quelques minutes pour reprendre nos esprits avec notre orgasme. On observe le reflet de la Lune sur le lac.
- C’est toujours aussi agréable d’être avec toi, Lina.
- Je pourrais dire la même chose, Noémie.
Soudainement, nous entendons quelque chose bouger dans les fourrets. Nous nous redressons et nous voyons un petit animal en sortir pour rejoindre le lac et y plonger dedans.
- Tu crois que c’était quoi, Noémie ?
- Je dirais que c’était un… rat !
- Quoi ? Un rat !!! Aaah
- Non, je rigole, Lina ! Ça devait être une loutre ou castor !
- Tu m’as fait peur, Noémie ! Tu es bête !
- Tu es une petit peureuse, Lina !
Je me met à la chatouiller pour la punir de sa mauvaise blague. On se met à rouler l’une sur l’autre jusqu’à tomber dans le lac. On explose de rire après notre chute. On s’arrose une l’autre pendant quelques minutes jusqu’à ce que l’on sente un léger vent frais sur nos corps nus. On revient ensuite se blottir l’une contre l’autre dans la couverture afin de se réchauffer.
- Tu as déjà dormi à la belle étoile, Lina ?
- Non, jamais. Et toi ?
- Oui. Il m’est arrivée de dormir dans les bras d’un mec dans les dunes sous les étoiles.
- C’était ton premier mec ?
- Non. C’était juste un mec qui m’avait plu. Il devait avoir une bonne trentaine d’années et moi 19. On avait passé une bonne partie de la nuit à s’amuser, si tu vois ce que je veux dire.
- Coquine ! Tu es plus attirée par les hommes mûrs, on dirait ?
- Je dois avouer que oui même si j’ai pris énormément de plaisir avec Christophe à chacun de nos câlins. Tu étais là à chaque fois. Il ne t’a jamais trompé avec moi.
- Je ne l’ai jamais trompé non plus.
- Tu rigoles ? Tu ne te souviens pas de ton professeur ?
- Si, mais avec lui c’était juste du sexe. Je n’ai jamais eu de sentiments pour lui !
- Tu as une drôle définition de la fidélité, Lina !
- Ne me juges pas, Noémie ! Je suis sûre que lorsque Christophe a baisé avec toi ou avec Julie, il ne ressentait rien pour vous.
Noémie ne confirme ou n’informe ma supposition. Je ne me doutes pas qu’elle me cache quelque chose.
Nous nous enroulons dans la couverture. Noémie se blottit en cuillère derrière moi et nous nous en dormons sous la Lune.
Le lendemain matin, nous sommes réveillées par les premiers rayons du soleil. Nous nous embrassons avant de quitter oa chaleur de la couverture.
- Salut Lina.
- Bonjour Noémie.
- On pourrait aller à la cascade pour nous aider à nous réveiller en douceur.
- Pourquoi pas. Il est quelle heure à ton avis ?
- Il doit être 6 heures et demi ou 7 heures.
On se lève nu et on va se glisser sous la cascade. L’eau est plutôt fraîche mais je trouve ce moment plutôt agréable. On revient ensuite se sécher avec la couverture avant de se rhabiller. Nous regardons le soleil se lever et nous reprenons le chemin pour la villa.
Tout est calme en arrivant. Nous montons au premier étage pour nous changer et réveiller Christophe et Julie.
En passant devant la porte de la chambre de Julie, je ne la vois pas. Je me dis qu’elle est peut-être aux toilettes. Je me dirige vers la chambre où se trouve Christophe et je le vois en train de se faire sucer par Julie. Je reste statufiée devant ce spectacle. Je vois que la chambre est sans dessus dessous. Il y a leurs vêtements posés un peu partout dans la chambre. Je suis tellement choquée que je n’arrive pas a sortir un mot. Je peux tout de même entendre parler Christophe.
- Oh, Julie ! Tu suces cent fois mieux que cette conne de Lina ! Je crois que je vais la larguer quand on rentra ! Oh, Julie ! Oui, je vais jouir !
Je suis KO debout. Mon corps tremble de partout. Des larmes coulent le long de mes joues. Je vois Christophe se mettre debout et cracher sa semence sur le visage souriant de Julie.
- Oh, je t’aime, Julie ! Oh ouiii !
Julie se lève et elle me voit à l’entrée de la chambre. Son visage est encore couvert par le jus de Christophe.
- BANDE D’ENC**** !!! SALE P*** !!! (Je fais exprès de m’autocensurer)
Je pars en pleurant. Je percute Noémie et je descends les escaliers le plus rapidement possible. Je manque de tomber. Je percute Audrey qui se retrouve au sol. Je ne m’arrête pas pour m’excuser. Je sors de la maison et je cours dans la forêt.
Pendant prés d’une heure, je reste cachée dans les fourrets pour pleurer. Je regrette d’avoir laisser Christophe avec Julie durant la nuit.
Au bout d’une heure, Noémie me retrouve. Elle me prend dans ses bras. Elle me ramène vers la villa. Je suis encore toute tremblante. Je suis folle de rage. J’en veux à tous ce qui sont là. Personne ose me parler au risque de se faire dire leurs quatre vérités.
Noémie va récupérer mon sac et mes affaires dans ma chambre. Je lui demande de m’appeler un taxi pour m’amener à la gare la plus proche.
Dès que le taxi arrive, j’y monte dedans sans même les regarder. Le chauffeur est triste pour moi.
- Ça va aller, mademoiselle ?
- Oui ! Amenez-moi à la gare la plus proche !
- D’accord, mademoiselle. Vous êtes sûre que ça va ? Ils vous ont fait du mal ?
- Non. Je suis juste cocue !
Le chauffeur ne dit plus rien durant le reste trajet jusqu’à la gare. Je paie ma course et je sors du taxi pour aller à la gare pour acheter un billet de train. Le chauffeur me rattrape et il me donne mon sac que j’ai failli oublier dans sa voiture.
- Bonne chance, mademoiselle.
- Merci, monsieur.
Je prends mon billet de train. Je mange un sandwich en guise de petit-déjeuner. En attendant mon train, je vois que j’ai reçu une bonne quinzaine d’appels et de textos. Je ne les lis même pas en voyant qu’il s’agit de l’un des traîtres que je viens de quitter.
Mon train arrive finalement. J’ai eu largement le temps de me calmer même si j’ai l’impression que mon cœur s’est brisé en mille morceaux. J’en ai pour trois heures de trajet.
Je monte dans le train et je me retrouve assise à côté d’un homme d’une bonne quarantaine d’années aux cheveux poivre et sel.
Pendant une bonne heure, je ne décroche pas un mot. Mais en revoyant l’océan au loin, je ne peux m’empêcher de repenser à la villa et à ceux qui m’ont brisé le cœur. Je m’effondre en larmes. Sans lui demander l’autorisation, je me blottis dans ses bras quelques instants.
- Pardon, monsieur.
- Ce n’est pas grave, mademoiselle. Je peux savoir ce qui vous met dans un état pareil ?
Je lui explique en quelques mots que j’ai découvert que j’étais cocue. Il me faut quelques minutes pour me calmer.
- Je suis vraiment désolé pour vous, mademoiselle.
- Ce n’est pas de votre faute.
Je lui souris et je le regarde un peu plus en détail. Malgré son âge, je le trouve plutôt bien conservé. Ton teint hâlé et sa barbe de trois jours le rendent même plutôt sexy. On se présente en se serrant la main mais je ne retiens pas son prénom.
- Je te comprends, Lina. C’est dur de découvrir çà. Mais tu es encore jeune et je suis sûr que tu trouveras un homme qui pourra bien s’occuper de toi.
- Merci. On t’a trompé aussi ?
- Oui, au bout de quinze ans de mariage.
- Tu t’en es remis ?
- Oui. Depuis j’enchaîne plutôt les coups d’un soir.
Il vient poser délicatement une main sur ma cuisse nue. Mais au lieu de le repousser, je le laisse faire. Voyant que je ne le repousse pas, il glisse peu à peu loin sa main entre mes cuisses jusqu’à atteindre mon fente. Il est surpris de découvrir que je ne porte pas de sous-vêtements.
- Je connais un bon remède pour soulager tes peines de cœur, Lina !
Je comprends tout de suite qu’il me propose d’aller baiser. Ma peine est tellement présente et forte que je ne refuses pas sa proposition. On se lève et on se dirige vers les toilettes avant de s’y enfermer.
Il baisse rapidement son pantalon et son boxer et je me saisis de son sexe pour le masturber. Je m’assois sur le lavabo et il glisse directement deux doigts dans mon intimité. Malgré les mouvements erratiques du train, j’arrive tout de même à le faire rapidement bander. Il sort ses doigts de ma chatte et il les suce. En voyant qu’il approche dangereusement son sexe du bien, j’ai soudainement un éclair de lucidité.
- Pas sans capote ! Je ne te connais pas !
- Je peux au moins te bouffer la chatte ?
- Oui.
Je vois bien que mon inconnu est bien frustré mais je ne pouvais pas risquer de choper une quelconque MST ou pire. Il se contente de se masturber pendant qu’il dévore mon intimité. Nous sommes balancés dans tous les sens mais malgré çà il me donne énormément de plaisir jusqu’à m’amener à l’orgasme. Mes cris de plaisirs sont masqués par les bruits du train. Il se relève finalement.
- Je peux gicler sur le visage, Lina ?
- Oui, vas-y !
Il se masturbe à fond jusqu’à cracher sa semence un peu partout sur mon visage et même dans mes cheveux. Il range rapidement son engin dans son pantalon et il me laisse seule dans les toilettes pour me nettoyer.
Je reviens dans le wagon quelques minutes plus tard. Il n’est pas là. Il y a juste un bout de papier où il est marqué le mot S***** (autocensure). Une partie de moi se dit que cet inconnu a peut-être raison. Je finis mon trajet seule.
Dés mon arrivée, je vais directement dans ma chambre universitaire. Je bloque tous les numéros de téléphone de mes anciens amis et amants à l’exception de Noémie.
Le lendemain matin, j’ai une discussion avec Noémie en face à face. Je comprends qu’elle est là en tant qu’émissaire pour Christophe et Julie. Après quelques heures de discussion plus ou moins houleuses, j’arrive à lui tirer les vers du nez et elle me déballe tout. Comprenant sa trahison, je lui demande de déménager au plus vite que tout est finit entre nous.
Même si notre histoire c’est très mal fini, je garde toujours un certain respect pour Noémie qui n’a jamais diffusé la vidéo dans laquelle j’ai un rapport sexuel consenti avec l’un des mes professeurs. Je suis restée plusieurs mois sans nouvelles de ceux et celui qui m’ont brisé le cœur jusqu’à ce que je recroise Noémie au détour d’un couloir. Elle m’annonce que Patrick et Audrey comptent se marier et que Christophe et définitivement en couple avec Julie.
- Ça te dérange si je vais discuter un peu à l’écart avec Christophe, Lina ?
- Non, Julie. Après tout, vous allez sans doute faire partie bientôt de la même famille.
- Toi aussi, tu feras partie de notre famille.
Julie et Christophe s’éloignent du groupe et ils se dirigent vers la forêt de pins. Je les perds rapidement de vue.
Dès que Julie est sûre que personne ne peut les voir, elle se jette dans les bras de Christophe pour l’embrasser. Christophe se laisse faire. Ils en profitent pour se déclarer leur amour mutuel. Ils reviennent vers la villa après s’être longuement embrassés et ils restent à bonne distance l’un de l’autre afin de ne pas m’alerter.
Après nous avoir rejoint, nous mangeons ensemble. Et après le repas, nous nous asseyons dans le gazon pour admirer le coucher de soleil.
Julie et moi posons nos têtes sur les épaules de Christophe. Cela ne dure qu’un bref instant. Christophe fait semblant de bailler. Nous prenons cela comme le signal pour rejoindre nos chambres. Patrick et Audrey vont dans leur chambre pendant que nous montons à l’étage.
On arrive dans ma chambre et on se pose tous sur mon lit. Je me rend compte du rapprochement entre Christophe et Julie. Ils échangent même quelques gestes quelques peu équivoques. Christophe se met à bailler à nouveau.
- Désolée Noémie mais je crois que je suis trop fatigué pour pouvoir t’honorer, ce soir.
- Ce n’est pas grave, Christophe. Il vaut que tu te reposes. Au pire, on s’amusera entre filles.
Noémie me regarde ainsi que Julie.
- Vous en dites quoi, les filles ?
- Je crois que j’ai pris une insolation. J’ai la tête qui tourne un peu.
- C’est vrai que l’on a pas fait trop attention au soleil aujourd’hui, Julie ! Il ne reste donc plus que toi et moi, Lina !
J’hésite un peu avant d’accepter la proposition de Noémie en voyant que Christophe et Julie ont l’air bien fatigué. Je me dis qu’il ne peut rien se passer entre eux. Noémie et moi allons dans sa chambre en laissant Christophe et Julie dans la mienne.
- Ça te dirait de revenir près du lac, Lina ?
- Euh… il fait nuit, Noémie ! Et il risque de faire froid !
- Je te réchaufferais et on peut prendre une couverture au cas ou. Tu en dis quoi ?
- OK, Noémie. C’est vrai que c’est un endroit plutôt sympa.
Noémie prend donc une couverture et un petit sac où se trouvent quelques jouets. En sortant de sa chambre, nous passons devant la chambre où se trouvent Christophe et Julie. Nous voyons Christophe masser les trapèzes de Julie. Je me dis qu’il fait çà pour lui faire passer son mal de tête. On descend les escaliers.
En passant dans le salon, je vois Patrick assis sur le canapé et Audrey à ses genoux en train de le sucer. Ils sont nus. On sort discrètement du salon. Ils sont bien trop occupés pour nous voir. Noémie les regarde discrètement, un instant, avant de me rejoindre dehors.
- Audrey a vraiment de la chance !
- Eh, Noémie ! Tu veux les rejoindre ? Si tu fais ça, tu risques de foutre la merde entre Christophe et sa mère !
- Je t’ai promis que je ne recoucherai pas avec Patrick, non ?
- Si, je compte bien que tu tiennes ta promesse !
Nous finissons par quitter les abords de la villa et nous nous enfonçons dans la forêt de pins seulement éclairée par la lueur de la pleine Lune. Il ne nous faut que quelques minutes pour rejoindre ce petit coin de paradis au bord du lac.
Noémie étale la couverture au sol après avoir posé son petit sac. Elle enlève ensuite sa robe pour se mettre entièrement nue. Je la rejoins sur couverture mais je garde ma robe.
- Je vais te réchauffer, Lina !
Noémie se colle contre moi et elle glisse une main sous ma robe pour venir caresser mon intimité. Nous échangeons un long baiser. Je sens peu à peu monter mon excitation et mon corps se réchauffer sous ses caresses. Après quelques minutes d’attouchements, je finis par enlever ma robe et je me retrouve donc nue à mon tour.
Noémie glisse une main dans son sac et elle en sort un gode. Elle le glisse délicatement en moi tout en caressant mes seins et mes tétons avec sa main libre. Il ne me faut que quelques secondes pour commencer à gémir de plaisir.
Elle sort son gode de ma chatte. Elle le suce avant de me le donner pour que je puisse lui donner du plaisir à mon tour. Ses gémissements résonnent dans la nuit.
- C’est nul que tu n’aies qu’un seul gode, Noémie !
- J’ai du oublier l’autre dans ma chambre. Mais on peut se faire du bien toutes les deux quand-même, non ?
- Oui, Noémie !
Je retire son gode de sa chatte et nous formons rapidement un 69 pour se donner du plaisir en même temps. Noémie s’allonge sur moi. Nos langues titillent nos clitoris tandis que nos doigts fouillent nos intimités chaudes et humides. Nos gémissements de plaisir sont à peine couverts par le chant des cigales. Après quelques minutes, nous jouissons quasiment toutes les deux en même temps. Je me délecte de sa mouille tandis que Noémie savoure la mienne.
Noémie vient se blottir dans mes bras. Elle écrase sa poitrine contre la mienne et nous échangeons de petits baisers dans le cou. Il nous faut quelques minutes pour reprendre nos esprits avec notre orgasme. On observe le reflet de la Lune sur le lac.
- C’est toujours aussi agréable d’être avec toi, Lina.
- Je pourrais dire la même chose, Noémie.
Soudainement, nous entendons quelque chose bouger dans les fourrets. Nous nous redressons et nous voyons un petit animal en sortir pour rejoindre le lac et y plonger dedans.
- Tu crois que c’était quoi, Noémie ?
- Je dirais que c’était un… rat !
- Quoi ? Un rat !!! Aaah
- Non, je rigole, Lina ! Ça devait être une loutre ou castor !
- Tu m’as fait peur, Noémie ! Tu es bête !
- Tu es une petit peureuse, Lina !
Je me met à la chatouiller pour la punir de sa mauvaise blague. On se met à rouler l’une sur l’autre jusqu’à tomber dans le lac. On explose de rire après notre chute. On s’arrose une l’autre pendant quelques minutes jusqu’à ce que l’on sente un léger vent frais sur nos corps nus. On revient ensuite se blottir l’une contre l’autre dans la couverture afin de se réchauffer.
- Tu as déjà dormi à la belle étoile, Lina ?
- Non, jamais. Et toi ?
- Oui. Il m’est arrivée de dormir dans les bras d’un mec dans les dunes sous les étoiles.
- C’était ton premier mec ?
- Non. C’était juste un mec qui m’avait plu. Il devait avoir une bonne trentaine d’années et moi 19. On avait passé une bonne partie de la nuit à s’amuser, si tu vois ce que je veux dire.
- Coquine ! Tu es plus attirée par les hommes mûrs, on dirait ?
- Je dois avouer que oui même si j’ai pris énormément de plaisir avec Christophe à chacun de nos câlins. Tu étais là à chaque fois. Il ne t’a jamais trompé avec moi.
- Je ne l’ai jamais trompé non plus.
- Tu rigoles ? Tu ne te souviens pas de ton professeur ?
- Si, mais avec lui c’était juste du sexe. Je n’ai jamais eu de sentiments pour lui !
- Tu as une drôle définition de la fidélité, Lina !
- Ne me juges pas, Noémie ! Je suis sûre que lorsque Christophe a baisé avec toi ou avec Julie, il ne ressentait rien pour vous.
Noémie ne confirme ou n’informe ma supposition. Je ne me doutes pas qu’elle me cache quelque chose.
Nous nous enroulons dans la couverture. Noémie se blottit en cuillère derrière moi et nous nous en dormons sous la Lune.
Le lendemain matin, nous sommes réveillées par les premiers rayons du soleil. Nous nous embrassons avant de quitter oa chaleur de la couverture.
- Salut Lina.
- Bonjour Noémie.
- On pourrait aller à la cascade pour nous aider à nous réveiller en douceur.
- Pourquoi pas. Il est quelle heure à ton avis ?
- Il doit être 6 heures et demi ou 7 heures.
On se lève nu et on va se glisser sous la cascade. L’eau est plutôt fraîche mais je trouve ce moment plutôt agréable. On revient ensuite se sécher avec la couverture avant de se rhabiller. Nous regardons le soleil se lever et nous reprenons le chemin pour la villa.
Tout est calme en arrivant. Nous montons au premier étage pour nous changer et réveiller Christophe et Julie.
En passant devant la porte de la chambre de Julie, je ne la vois pas. Je me dis qu’elle est peut-être aux toilettes. Je me dirige vers la chambre où se trouve Christophe et je le vois en train de se faire sucer par Julie. Je reste statufiée devant ce spectacle. Je vois que la chambre est sans dessus dessous. Il y a leurs vêtements posés un peu partout dans la chambre. Je suis tellement choquée que je n’arrive pas a sortir un mot. Je peux tout de même entendre parler Christophe.
- Oh, Julie ! Tu suces cent fois mieux que cette conne de Lina ! Je crois que je vais la larguer quand on rentra ! Oh, Julie ! Oui, je vais jouir !
Je suis KO debout. Mon corps tremble de partout. Des larmes coulent le long de mes joues. Je vois Christophe se mettre debout et cracher sa semence sur le visage souriant de Julie.
- Oh, je t’aime, Julie ! Oh ouiii !
Julie se lève et elle me voit à l’entrée de la chambre. Son visage est encore couvert par le jus de Christophe.
- BANDE D’ENC**** !!! SALE P*** !!! (Je fais exprès de m’autocensurer)
Je pars en pleurant. Je percute Noémie et je descends les escaliers le plus rapidement possible. Je manque de tomber. Je percute Audrey qui se retrouve au sol. Je ne m’arrête pas pour m’excuser. Je sors de la maison et je cours dans la forêt.
Pendant prés d’une heure, je reste cachée dans les fourrets pour pleurer. Je regrette d’avoir laisser Christophe avec Julie durant la nuit.
Au bout d’une heure, Noémie me retrouve. Elle me prend dans ses bras. Elle me ramène vers la villa. Je suis encore toute tremblante. Je suis folle de rage. J’en veux à tous ce qui sont là. Personne ose me parler au risque de se faire dire leurs quatre vérités.
Noémie va récupérer mon sac et mes affaires dans ma chambre. Je lui demande de m’appeler un taxi pour m’amener à la gare la plus proche.
Dès que le taxi arrive, j’y monte dedans sans même les regarder. Le chauffeur est triste pour moi.
- Ça va aller, mademoiselle ?
- Oui ! Amenez-moi à la gare la plus proche !
- D’accord, mademoiselle. Vous êtes sûre que ça va ? Ils vous ont fait du mal ?
- Non. Je suis juste cocue !
Le chauffeur ne dit plus rien durant le reste trajet jusqu’à la gare. Je paie ma course et je sors du taxi pour aller à la gare pour acheter un billet de train. Le chauffeur me rattrape et il me donne mon sac que j’ai failli oublier dans sa voiture.
- Bonne chance, mademoiselle.
- Merci, monsieur.
Je prends mon billet de train. Je mange un sandwich en guise de petit-déjeuner. En attendant mon train, je vois que j’ai reçu une bonne quinzaine d’appels et de textos. Je ne les lis même pas en voyant qu’il s’agit de l’un des traîtres que je viens de quitter.
Mon train arrive finalement. J’ai eu largement le temps de me calmer même si j’ai l’impression que mon cœur s’est brisé en mille morceaux. J’en ai pour trois heures de trajet.
Je monte dans le train et je me retrouve assise à côté d’un homme d’une bonne quarantaine d’années aux cheveux poivre et sel.
Pendant une bonne heure, je ne décroche pas un mot. Mais en revoyant l’océan au loin, je ne peux m’empêcher de repenser à la villa et à ceux qui m’ont brisé le cœur. Je m’effondre en larmes. Sans lui demander l’autorisation, je me blottis dans ses bras quelques instants.
- Pardon, monsieur.
- Ce n’est pas grave, mademoiselle. Je peux savoir ce qui vous met dans un état pareil ?
Je lui explique en quelques mots que j’ai découvert que j’étais cocue. Il me faut quelques minutes pour me calmer.
- Je suis vraiment désolé pour vous, mademoiselle.
- Ce n’est pas de votre faute.
Je lui souris et je le regarde un peu plus en détail. Malgré son âge, je le trouve plutôt bien conservé. Ton teint hâlé et sa barbe de trois jours le rendent même plutôt sexy. On se présente en se serrant la main mais je ne retiens pas son prénom.
- Je te comprends, Lina. C’est dur de découvrir çà. Mais tu es encore jeune et je suis sûr que tu trouveras un homme qui pourra bien s’occuper de toi.
- Merci. On t’a trompé aussi ?
- Oui, au bout de quinze ans de mariage.
- Tu t’en es remis ?
- Oui. Depuis j’enchaîne plutôt les coups d’un soir.
Il vient poser délicatement une main sur ma cuisse nue. Mais au lieu de le repousser, je le laisse faire. Voyant que je ne le repousse pas, il glisse peu à peu loin sa main entre mes cuisses jusqu’à atteindre mon fente. Il est surpris de découvrir que je ne porte pas de sous-vêtements.
- Je connais un bon remède pour soulager tes peines de cœur, Lina !
Je comprends tout de suite qu’il me propose d’aller baiser. Ma peine est tellement présente et forte que je ne refuses pas sa proposition. On se lève et on se dirige vers les toilettes avant de s’y enfermer.
Il baisse rapidement son pantalon et son boxer et je me saisis de son sexe pour le masturber. Je m’assois sur le lavabo et il glisse directement deux doigts dans mon intimité. Malgré les mouvements erratiques du train, j’arrive tout de même à le faire rapidement bander. Il sort ses doigts de ma chatte et il les suce. En voyant qu’il approche dangereusement son sexe du bien, j’ai soudainement un éclair de lucidité.
- Pas sans capote ! Je ne te connais pas !
- Je peux au moins te bouffer la chatte ?
- Oui.
Je vois bien que mon inconnu est bien frustré mais je ne pouvais pas risquer de choper une quelconque MST ou pire. Il se contente de se masturber pendant qu’il dévore mon intimité. Nous sommes balancés dans tous les sens mais malgré çà il me donne énormément de plaisir jusqu’à m’amener à l’orgasme. Mes cris de plaisirs sont masqués par les bruits du train. Il se relève finalement.
- Je peux gicler sur le visage, Lina ?
- Oui, vas-y !
Il se masturbe à fond jusqu’à cracher sa semence un peu partout sur mon visage et même dans mes cheveux. Il range rapidement son engin dans son pantalon et il me laisse seule dans les toilettes pour me nettoyer.
Je reviens dans le wagon quelques minutes plus tard. Il n’est pas là. Il y a juste un bout de papier où il est marqué le mot S***** (autocensure). Une partie de moi se dit que cet inconnu a peut-être raison. Je finis mon trajet seule.
Dés mon arrivée, je vais directement dans ma chambre universitaire. Je bloque tous les numéros de téléphone de mes anciens amis et amants à l’exception de Noémie.
Le lendemain matin, j’ai une discussion avec Noémie en face à face. Je comprends qu’elle est là en tant qu’émissaire pour Christophe et Julie. Après quelques heures de discussion plus ou moins houleuses, j’arrive à lui tirer les vers du nez et elle me déballe tout. Comprenant sa trahison, je lui demande de déménager au plus vite que tout est finit entre nous.
Même si notre histoire c’est très mal fini, je garde toujours un certain respect pour Noémie qui n’a jamais diffusé la vidéo dans laquelle j’ai un rapport sexuel consenti avec l’un des mes professeurs. Je suis restée plusieurs mois sans nouvelles de ceux et celui qui m’ont brisé le cœur jusqu’à ce que je recroise Noémie au détour d’un couloir. Elle m’annonce que Patrick et Audrey comptent se marier et que Christophe et définitivement en couple avec Julie.
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