Marine et mes initiations (6) - histoire érotique

Sébastien commande les pizzas pendant que Sandrine et moi préparons l’apéritif.

— J’ai proposé un truc à mon frère.
— Quoi comme truc ?
— On pourrait coucher tous les quatre ensemble dans ma chambre.
— Euh... quoi ? Avec mon frère qui pourrait me voir faire l’amour ? Comment tu vas pouvoir le convaincre ?
— Ton frère a le même fantasme que le mien ; voir deux filles faire l’amour ensemble. Ce n’est pas comme si on ne l’avait jamais fait toutes les deux. On aurait juste deux spectateurs.
— Tu sais bien que j’ai adoré ça, Sandrine.
— Alors tu es partante ?
— Oui, Sandrine.

Mon frère vient voir ce qu'on fait.

— Vous parlez de quoi toutes les deux ?
— De trucs de filles.
— Sachez que les pizzas vont bientôt arriver.
— OK, Sébastien.

Mon frère repart au salon avec des verres et des boissons. Sandrine veut attendre qu'on ait mangé pour lui proposer notre petit plan coquin.

Marc va récupérer les pizzas auprès du livreur. On s’installe à table. J’appréhende la réaction de mon frère qui pourrait faire capoter notre plan.

Après le repas, Sandrine vient s’asseoir sur les genoux de Sébastien, pour lui caresser le torse par-dessus son t-shirt et l’embrasser. Il la repousse.

— On n’est pas seuls, ma chérie !
— Tu veux refuser un câlin à une femme enceinte ?
— C'est pas ça, Sandrine !
— Bon beh, tu vas passer à côté de quelque chose de sympa !
— À côté de quoi ?

Sandrine me fait signe de m’approcher et on échange un long et tendre baiser. Mon frère est abasourdi par ce baiser entre filles.

— À côté de ça, Sébastien !
— Euh... tu viens d’embrasser ma sœur, là !
— Et alors ? Tu n’as jamais rêvé de voir deux filles s’amuser entre elles ?
— Euh... Si, j’avoue.
— Alors, on va aller dans la chambre tous les quatre, et toi et Marc, vous nous regarderez.
— Je ne peux pas laisser passer une telle occasion. Je suis d’accord, les filles.

Sandrine se lève et prend ma main. on va vers sa chambre en remuant exagérément des hanches. Sébastien et Marc nous suivent comme des petits toutous.

Sébastien ferme la porte derrière Marc. Ils s’assoient sur un petit meuble face au lit. On retire nos chaussures et on se met à danser sur le lit de manière lascive, chacune regardant son partenaire.

— On veut un strip-tease !
— OK, mon chéri !

Je remonte son croc top pour faire apparaître les seins de Sandrine, qui soulève lentement mon t-shirt tout en me fixant du regard, puis me l'enlève et le lance en direction de son frère. On s’embrasse encore. Après ce tendre baiser, nos deux hommes nous sifflent. Je passe mes mains sous la jupe courte de Sandrine, et je baisse lentement son string tout en embrassant ses seins et son ventre. Elle regarde les garçons qui deviennent à moitié fous. Je retire son string, que je lance en direction de mon frère.

— Putain ! Vous nous faites bander !

À son tour, Sandrine embrasse mon ventre, puis elle ôte mon string pour le lancer sur son frère. Elle remonte dégrafer mon soutien-gorge pour le jeter entre les deux garçons.

— À poil, les filles !
— Ce n’est pas trop serré dans vos pantalons ?
— Si, grave ! On a presque envie de se branler.
— Attendez encore, les garçons !

On baisse en même temps nos jupes pour se retrouver entièrement nues devant eux. On fait plusieurs tours sur nous-mêmes avant de twerker devant eux. Ils nous sifflent de nouveau.

Je m’allonge sur le lit et Sandrine vient poser son sexe sur ma bouche. Les garçons changent de place afin de pouvoir observer nos chattes. Mon frère me regarde lécher celle de Sandrine, et Marc regarde sa sœur lécher la mienne. Pendant plusieurs minutes, seules nos langues sont en action. Sandrine est la première à me glisser deux doigts. Je fais rapidement la même chose avec elle.

— On peut sortir nos bites ? On a envie de se branler !
— Oui, à condition de pas gicler ! On veut vous sucer après !
— Espèces de coquines !

Sébastien et Marc enlèvent leur pantalon et leur boxer, puis se masturbent lentement en nous regardant nous faire du bien. Tout en m’occupant de l’entrecuisse humide de Sandrine, je lance un regard furtif sur le sexe de mon frère. Je le trouve encore plus gros que celui de Marc. On se délecte de nos mouilles en poussant de légers gémissements de plaisir.

— Tu ne veux pas utiliser tes godes, ma chérie ?
— Mmm, oui, bonne idée, Sébastien ! Ils sont dans ma table de nuit.
— Je sais !

Sébastien en sort deux de même taille. Sandrine et moi, nous nous adossons à la tête de lit.

— Je n’ai jamais utilisé de gode, Sandrine !
— Laisse-moi te montrer !

Sandrine suce le gode, et elle crache dessus avant de le glisser dans sa chatte.

— Aaah ! T'as compris, Marine ?
— Oui.

Je suce le gode et je crache dessus avant de me l'enfoncer. Je peux encore y sentir le goût de sa mouille. On s’échange des baisers pendant qu'on se ramone la chatte avec nos godes.

— On ne va pas tenir longtemps, les filles !
— Approchez-vous ! On va vous sucer en même temps !

Sébastien s’agenouille à côté de Sandrine sur le lit, et Marc à côté de moi. Avec nos mains libres, on les suce tout en continuant à nous faire du bien avec nos godes. Rapidement, nos gémissements résonnent dans la chambre.

— Oh, je veux me finir sur tes seins, Sandrine !
— OK, mon chéri.
— Je peux faire pareil, Marine ?
— Oui, Marc.

On continue à les sucer jusqu’à ce qu’ils sentent arriver leur plaisir. Sébastien est le premier à éjaculer sur les seins de Sandrine. Elle continue tout de même à se goder jusqu’à atteindre l'orgasme à son tour. Marc arrose ma poitrine avec son sperme au moment où je jouis. Après s’être bien vidés, ils mettent leurs sexes dans nos bouches pour qu’on puisse en lécher les dernières gouttes. Je suce le gode de Sandrine, elle suce le mien. Nos mecs s’assoient à côté de nous.

— Oh que c’était excitant, les filles !
— Oui. T'as bien fait de me faire penser à mes godes, Sébastien. On va prendre une douche rapide toutes les deux, et on revient.
— Oui, les coquines !

Ils en profitent pour mater nos fesses nues dès qu'on se lève. Ils finissent de se déshabiller.

— Nos sœurs ont vraiment des culs magnifiques ! Tu savais qu’elles étaient bi, Sébastien ?
— Non, Marc. Je dois t’avouer un truc : j’ai presque envie de baiser ma sœur.
— C’est vrai que je ne dirais pas non à la chatte ou au cul de la mienne. Sandrine aime la sodomie ?
— Pas vraiment. Et tu as déjà enculé ma sœur ?
— Non, et on n’y a même jamais pensé.
— Ça te dirait qu’on les encule ?
— Euh... oui. Mais t'as de la vaseline ?
— Oui, j’ai toujours un petit tube de côté.
— Parfait ! On va voir si notre idée leur plaît.

Sandrine et moi revenons dans la chambre après avoir nettoyé nos poitrines couvertes de sperme. On remonte à quatre pattes sur le lit, telles deux petites tigresses en chaleur. On se blottit dans les bras de nos mecs, dont le sexe est redevenu mou.

— Ça te dérange pas de voir ta petite sœur nue, Sébastien ?
— Non, au contraire. Elle est presque aussi magnifique que toi, ma chérie. Par contre, je n’aime pas trop son petit buisson.
— S’il n’y a que ça qui te dérange, ça va !
— Et toi, tu aimes voir ta sœur dans le plus simple appareil ?
— Je suis comme Sébastien. Je trouve ça encore plus excitant.
— Merci, les mecs.

Sébastien et Marc se regardent.

— Vous allez peut-être nous prendre pour des pervers, mais on aimerait baiser chacun avec sa soeur.

Sandrine me regarde en souriant.

— Tu veux essayer, Marine ? Je te promets que je serai pas jalouse.
— Si tu es d’accord, je suis OK.

Les garçons se regardent, souriant.

— Ce n’est pas tout, les filles... on aimerait vous enculer.

Je regarde Sandrine avec une légère peur dans le regard.

— Moi, je ne l’ai jamais fait, Sandrine et toi ?
— On l’avait fait une paire de fois, il y a quatre ou cinq ans, mais je n’avais pas vraiment aimé.
— Si tu veux bien essayer encore, je le ferai, Sandrine.

On se tourne tous vers Sandrine pour attendre sa réponse.

— OK, mais il faudra que tu mettes de la vaseline, Marc !
— Ça tombe bien, Sébastien en a !

Je regarde Sandrine avec surprise.

— C’est quoi de la vaseline, Sandrine ? Désolée, si c’est une question bête.
— Tu as le droit de te renseigner, Marine. Pour faire simple, c’est une sorte de gel qui permet d’éviter les frottements lors d’un rapport.
— C’est un peu comme la mouille, en fait ?
— Oui, mais en mieux.

Sébastien sourit en voyant que tout le monde est d’accord.

— Je vais te dépuceler le cul, petite sœur !
— J’espère que cela se passera aussi bien que lorsque Marc m’a dépucelé la chatte ?

Je rougis en prenant conscience de ce que je viens de lui avouer.

— Tu n’as pas à rougir, Marine. Je me doutais bien que c’était lui. Sache que c’est moi qui ai pris la virginité de Sandrine.
— Ah, OK.
— Promets-moi juste d’y aller doucement.
— Je te le promets, ma petite princesse.
— Le mieux serait à quatre pattes sur le lit face à face, les filles.
— C’est comme si tu me prenais en levrette, Sébastien ?
— Oui, sauf que je vais mettre son sexe dans ton petit trou.

Mon frère prend le gode dont je me suis servi précédemment. Il met un peu de vaseline sur le bout et il le glisse légèrement en moi.

— Je ne te fais pas mal, petite sœur ?
— C’est un peu bizarre, mais ça va pour l’instant.
— Je crois que j’aurais besoin de me faire sucer, Marine.
— Je peux m’occuper de toi, Sébastien !

Mon frère continue à dilater l’entrée de mon petit trou pendant que pour le masturber et le sucer je me saisis de son sexe qui durcit assez rapidement.

— Oh, putain ! Que tu suces bien, toi !

Sandrine lui lance un regard noir.

— Mieux que moi ?
— Vous sucez aussi bien l’une que l’autre.
— Je préfère ça, Sébastien !

De leur côté, Sandrine et Marc appliquent les mêmes préliminaires que les nôtres.

— Tu es prête, Sandrine ?
— Je crois que oui.
— Si je te fais mal, on arrête, d’accord ?
— Oui, Sébastien.

Marc et Sébastien se mettent à genoux derrière nous. Ils nous retirent lentement le bout du gode qu'on serre dans nos petits culs. Sébastien donne un agréable coup de langue sur ma fente trempée. Sandrine a droit à la même attention de la part de son frère. Puis ils étalent un peu de vaseline sur leurs glands et sur nos petits trous légèrement dilatés.

Mon frère s'enfonce lentement dans mon petit trou. Il y entre plutôt facilement. Marc agit de même avec sa sœur.

— Ça va toujours, Marine ?
— Oui, Sébastien.
— Je vais y aller doucement.

Mon frère agrippe mes hanches pour faire entrer son sexe un peu plus profondément. Sandrine et moi poussons un gémissement entre douleur et plaisir.

— Aaah ! Oooh ! Oui !
— Oh que ton cul est serré, petite sœur ! Tu as mal ?
— Non ! Continue !

Pendant que nos frères explorent nos petits trous, Sandrine et moi, nous nous embrassons. Malgré une légère douleur, nous éprouvons tout de même énormément de plaisir. On en vient même à se doigter.

— Oh, oui, c’est bon, les mecs ! Plus fort !
— Vous êtes si excitantes, les filles !
— Jouis dans mon cul, Marc !
— Jouis aussi dans le mien, Sébastien !

Pendant plusieurs minutes, ils vont et viennent en nous. Sous l’effet de leur excitation, ils nous mettent même des fessées.

— Oh, oui, les filles ! Ça vient !

Sandrine et moi prenons les godes pour accompagner leurs coups de reins. Nos orgasmes sont quasiment simultanés et nos frères se vident dans nos culs en poussant des cris de jouissance. Ils restent plantés en nous pendant qu’on se gode pour jouir à notre tour.

Sébastien et Marc sortent de nos petits trous bien dilatés pour les admirer. Ils s’écroulent ensuite sur le lit, en sueur. Sandrine et moi on retire nos godes et on s’allonge, chacune sur son frère. On échange même un baiser.

— Oh que c’était intense, les filles !
— On a vraiment kiffé aussi, même si c'était un peu douloureux au début.

Alors que pour nous quatre, l’inceste a toujours été un tabou, on ne regrette pas d’avoir brisé cette barrière.