Marine et mes initiations (3)
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Marine et mes initiations (3)
Le mercredi matin arrive enfin. Il ne me reste plus que quelques heures avant de connaître le plaisir dans les bras de Marc.
Je me lève pour prendre le petit-déjeuner avec mes parents. Je sors de ma chambre en jogging et débardeur.
— Salut, ma puce.
— Bonjour, papa.
— Tu es rayonnante, ce matin.
— Merci.
— Tu vas faire quoi, aujourd'hui ?
— Euh... je crois que je vais courir un peu ce matin, et cet après-midi, je lirais peut-être un livre.
— Tu devrais sortir un peu, Marine. Tu ne devrais pas rester toute seule à la maison.
Si tu veux, je peux prendre mon après-midi pour faire un tennis avec toi ?
Je suis étonnée par sa proposition qui pourrait mettre à mal mon réel projet.
— Je crois que je vais aller voir Sébastien et Sandrine.
— C'est une bonne idée, ma puce.
Je crois avoir convaincu mon père avec mon mensonge. Ma mère nous rejoint pour manger ensemble.
Après nous avoir souhaité de passer une bonne journée, mes parents sortent de la maison pour aller au travail.
Je reviens dans ma chambre afin de me préparer. Même si je sais que Marc ne doit arriver que sur les coups de 14 heures, je passe ma matinée à me préparer. Entre une dernière séance d'épilation des jambes, une douche et ma séance de coiffure, il est rapidement 13 heures.
Je mange simplement une salade et quelques fruits, car je suis incapable de manger plus. Je sens une montée de stress mélangée à de l'excitation.
Un quart d'heure avant l'arrivée de Marc, je reviens dans la chambre. Je me déshabille et je sors le sac où se trouve la lingerie que m'a offerte Marc, la veille. Je commence par enfiler le string. C'est la première fois que j'en mets un. Je mets ensuite le soutien-gorge qui met bien en valeur ma poitrine. En passant mes doigts le long de ma fente, je sens que je suis déjà légèrement mouillée. Mon cœur bat à tout rompre.
Je vais ensuite dans la salle de bain faire quelques raccords maquillage. J'hésite à mettre du rouge à lèvres, mais je décide finalement de ne pas en mettre. Mes lèvres sont assez pulpeuses pour ne pas les valoriser plus que nécessaire.
Je reviens dans ma chambre pour mettre ma robe blanche et mes sandales. Elle est plus proche d'une nuisette que d'une vraie robe. Elle moule parfaitement ma poitrine et mes hanches. On peut facilement deviner mes dessous sexy au travers. Je réajuste une dernière fois mon soutien-gorge avant de fermer les quelques boutons qui se trouvent sur mon épaule gauche.
Je fais quelques exercices de respiration avant que Marc n'arrive. Je mets un dernier coup de brosse à cheveux en l'attendant.
J'entends sa voiture se garer devant chez moi. Mon cœur s'emballe. Je me regarde une dernière fois dans le miroir de l'entrée et je viens lui ouvrir la porte.
Marc se présente devant moi. Il porte un pantalon noir ainsi qu'une chemise blanche. Je le trouve magnifique. Il a une rose dans sa main gauche. Marc me sourit en voyant la tenue que je porte.
— Tu es vraiment sublime, Marine !
— Merci, Marc. Je vois que tu as fait des efforts pour te faire encore plus beau.
— Je peux renvoyer le compliment. Voici pour toi, mon bel ange.
— Tu n'aurais pas dû. Merci quand même.
— Je peux entrer, Marine ?
— Oh, oui, bien sûr, Marc !
Je le fais entrer et il voit bien que je suis stressée. Il passe un bras derrière mon dos et il se penche vers moi pour m'embrasser. Je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds afin de pouvoir l'embrasser correctement. On se regarde, quelques instants, sans se parler.
— Où se trouve ton petit coin de paradis, Marine ?
— Suis-moi !
Je lui prends la main et on se dirige vers ma chambre. Mon excitation est déjà presque à son paroxysme. Je le fais entrer dans ma chambre. Je pose sa rose sur mon bureau.
— Tu as énormément de goût, Marine.
— Merci. Cela va se passer comment, Marc ?
— On va y aller doucement. J'aimerais que ta première fois soit gravée à vie dans la mémoire.
— Je ne vais pas te cacher que j'appréhende un peu.
— C'est normal, Marine. Ce qu'il va se passer n'est pas du tout anodin pour une jeune femme. Assieds-toi sur ton lit et enlève tes sandales.
Je me laisse guider par les douces instructions de Marc. Il enlève ses chaussures et ses chaussettes avant de s'asseoir près de moi. Il passe une main dans mes cheveux et il approche son visage du mien pour m'embrasser. Je ferme les yeux.
— J'ai rarement vu une jeune femme aussi belle que toi, Marine.
— Tu dis ça pour me faire plaisir, non ?
— Non, Marine. Je le pense vraiment.
Il descend sa main dans mon dos jusqu'au creux de mes reins. Il pose l'autre sur l'une des cuisses nues. Le doux contact de ses mains sur moi me fait frissonner. Marc m'embrasse dans le cou et il déboutonne lentement les boutons de ma robe qui se trouvent sur mon épaule.
— Tu es tellement belle, Marine. J'espère que je ne vais pas trop vite ?
— Non, ça va, Marc. J'adore ta façon de t'occuper de moi.
— Toi aussi, tu peux déboutonner ma chemise, tu sais ?
Marc recommence ses bisous dans mon cou et, timidement, je m'attaque aux boutons de sa chemise. Mes doigts tremblent. Marc descend lentement ma robe le long de mes épaules pour que je me retrouve dos nu, mais toujours avec mon soutien-gorge. J'arrive tout de même à déboutonner entièrement sa chemise et mes mains viennent caresser son torse et ses abdos bien dessinés. J'ai l'impression que mon bas-ventre va rentrer en fusion tellement je suis excitée par la situation.
— C'est bien, Marine. J'adore sentir tes mains douces sur moi.
— Tu es si doux, Marc. C'est si agréable.
On échange quelques baisers et il baisse délicatement les bretelles de mon soutien-gorge. Mes doigts parcourent son torse. Avec ses doigts agiles, il dégrafe facilement mon soutien-gorge. Par réflexe, je pose une main sur ma poitrine pour ne pas qu'il tombe.
— Ça va toujours, Marine ? On peut arrêter tant qu'il est temps.
— C'est juste un réflexe, Marc, surtout que tu les as déjà vus.
— Oui, mon ange.
Je récupère mon soutien-gorge et je le pose au pied de mon lit. De son côté, Marc enlève entièrement sa chemise pour se retrouver torse nu.
— On devrait se mettre un peu plus à l'aise pour la suite, Marine. Lève-toi ! Je veux enlever ta robe.
— D'accord, Marc.
Je me lève donc. Marc tire délicatement ma robe vers le bas pour faire apparaître mon nombril et finalement mon string. Marc pose de délicats baisers entre mon nombril et mon string. Dès que ma robe se retrouve au sol, il remonte ses mains le long de mes mollets, puis mes cuisses jusqu'à arriver à ses fesses. Je frissonne en sentant ses mains parcourir mon corps.
— Je dois enlever mon string, Marc ?
— Non, pas tout de suite. Tu es si excitante comme ça. Tourne-toi ! Je veux admirer tes fesses.
Je lui tourne donc le dos et Marc vient poser délicatement des baisers sur mes parties charnues. Il se lève et en profite pour enlever son pantalon.
— Viens t'allonger sur ton lit, mon ange !
Je m'allonge donc sur le lit et Marc s'allonge près de moi. D'une main, il caresse mes cheveux et il bouge une de mes mèches pour plonger son regard dans le mien. De son autre main, il s'attarde longuement sur mes seins pour les pétrir tendrement en pinçant de temps en temps mes tétons. De nouveaux frissons font le tour de mon corps. Ne voulant pas être la seule à recevoir de douces caresses, je glisse une main dans son boxer et je me saisis de son sexe pour le caresser. Je ne suis pas vraiment étonné que son sexe soit déjà bien dur.
— Mmm, mademoiselle veut prendre les choses en main, on dirait !
— J'adore ce que tu me fais, Marc.
— Moi aussi, Marine.
Marc vient embrasser mes seins et sucer mes tétons. Sa main descend le long de ma poitrine et mon ventre. Je sens ses doigts se glisser sous mon string. Il ne lui faut que quelques secondes pour atteindre mon buisson déjà trempé. Voyant qu'il se rapproche inexorablement de mon intimité, je commence à le masturber.
— Mademoiselle est déjà bien excitée !
— Je ne suis pas la seule !
Marc atteint finalement mon clitoris et ma fente. Je gémis sous ses délicates caresses et nous échangeons quelques baisers. Ma main s'active doucement sur son membre dur que je commence à avoir de plus en plus envie de le recevoir en moi. Ses doigts jouent avec mon clitoris. Mon rythme cardiaque s'emballe. Je mords l'intérieur de mes lèvres tout en poussant des gémissements de plaisir.
— Oh, Marc ! Tu vas me faire jouir si tu continues !
— Tu es si belle quand tu jouis, Marine !
Avec simplement ses doigts, Marc m'amène de plus en plus près de mon orgasme. Je ne peux réprimer un long râle de plaisir au moment de rejoindre le septième ciel. Je me cambre de plaisir et j'ai l'impression que mon cœur explose. On se regarde profondément dans les yeux. Et sans m'y attendre, je sens le bout d'un des doigts de Marc se glisser dans mon intimité. Il me fouille légèrement. Il retire finalement sa main de mon string et il porte son doigt dans ma bouche pour que je puisse me goûter.
— Je crois que tu es prête, mon ange ! Tu devrais te mettre à quatre pattes pour la suite.
— Pourquoi ? Je veux te voir !
— C'est juste pour que je prenne ta virginité et pour que tu aies le moins mal possible. Et, on changera de position après.
— Je te fais confiance, Marc.
J'enlève donc ma main de son boxer afin qu'il puisse se lever. Je me mets à quatre pattes. Je tourne la tête pour le suivre du regard. Marc enlève son boxer, me laissant ainsi voir son sexe dur qui pointe vers le ciel. Marc se positionne derrière moi et il retire délicatement mon string. Il le dépose au pied de mon lit à côté de mon soutien-gorge. Mon bas-ventre est encore brûlant suite à mon orgasme.
Marc pose sa bouche sur mon abricot et il me donne de petits coups de langue sur ma fente et mon clitoris. Je frissonne à nouveau de plaisir. Je sens sa langue fouiller l'entrée de mon intimité humide. Après s'être délecté de ma mouille directement à sa source, Marc pose une main dans le creux de mes reins. Il frotte son gland le long de ma fente.
— Tu risques de ressentir comme une brûlure au début, mais cela devrait rapidement passer. Tu peux encore arrêter, si tu veux.
— On est allé trop loin pour s'arrêter maintenant, Marc. Vas-y !
— OK, mon ange.
Je frissonne en ressentant son gland se glisser à l'entrée de mon intimité. Par instinct, je serre mes draps dans mes mains. J'appréhende la douleur probable que je vais sans doute ressentir.
Marc se saisit de mes hanches, et d'un grand coup sec, il entre en moi. Je mords mon coussin en le sentant déchirer mon hymen avec son sexe. Je pousse un cri de douleur étouffé. Marc reste en moi sans bouger.
— Ça va, mon ange ? Tu as passé le plus douloureux.
— Ça brûle un peu, Marc !
— C'est normal.
Je tourne la tête vers lui pour le regarder. On échange un sourire avant qu'il ne commence à me donner de petits coups de reins pour bouger en moi. La sensation est plutôt bizarre au début. Mais peu à peu, ma légère douleur fait place à un nouveau plaisir qui est loin d'être désagréable. Marc s'arrête à nouveau.
— On va changer de position, mon ange. Tout va bien ?
— Oui, Marc. Je m'attendais à avoir plus mal que ça.
Marc reste planté en moi alors qu'il fouille dans une poche de son pantalon. Il en sort un mouchoir en papier. Il retire son sexe du mien et il passe son mouchoir sur ma fente ainsi que sur son sexe. Il me le montre pour me faire voir la preuve de ma perte de virginité. Le mouchoir blanc est légèrement taché de sang. Il le pose ensuite sur ma table de nuit.
— Mets-toi sur le dos, Marine, et mets des coussins sous tes fesses.
— D'accord.
Je lui passe deux coussins afin qu'il les positionne sous mes fesses. Mon bassin est bien relevé. Je vois son sexe dur et dressé juste entre mes cuisses. Je mets un coussin sous ma tête pour que le sang ne me monte pas trop à la tête.
— Tu es prête ? Je vais revenir en toi !
— Oui, Marc !
Marc frotte à nouveau son gland le long de ma fente et il glisse lentement son gland en moi. La sensation est toujours aussi agréable et avec la douleur en moins. Il glisse la moitié de son sexe dans le mien. Marc se saisit de mes cuisses pour les poser sur son torse nu. Il commence à nouveau à bouger en moi. Dans ma position, je peux voir son sexe aller et venir dans le mien. La sensation de son sexe qui bouge en moi est de plus en plus agréable.
— Ça va toujours, mon ange ?
— Oui, Marc.
— Je vais accélérer un peu. OK ?
— OK, Marc.
Marc alterne entre des coups de reins rapides et lents. Son bassin claque régulièrement contre mes cuisses. Par réflexe, je passe une main sur mon ventre et je viens caresser mon clitoris. Je me fais du bien tandis que Marc continue à me limer. Mon bas-ventre est à nouveau en feu. Il ne demande qu'à exploser de nouveau.
Pendant plusieurs minutes, Marc bouge en moi. On ne se parle pas. Seuls nos gémissements de plaisir résonnent dans ma chambre. J'approche à nouveau de mon orgasme. Je caresse plus frénétiquement mon clitoris. Marc accélère ses coups de reins.
— Oh, je vais jouir, Marc !
— Je sens que ça vient aussi, mon ange ! Oh, oui.
Nos gémissements se transforment peu à peu en des cris de plaisir, et dans un dernier gémissement commun, on atteint l'orgasme en même temps. Mon bas-ventre explose de plaisir. J'ai l'impression de sentir son sperme arriver par saccades contre les parois de mon vagin. Nos respirations sont rapides et saccadées. Marc continue à me limer encore pendant quelques secondes avant de rester planté en moi. On s'échange un sourire. Marc finit par se retirer de mon sexe et il s'allonge près de moi. Nos corps sont en sueur. Je retire les coussins que j'ai sous les fesses et je me blottis dans ses bras en posant ma tête sur son torse nu.
— Merci, Marc. C'était génial !
— Si tu le dis.
Je me redresse sur un coude et je lui lance un regard noir. Marc sourit en voyant ma réaction.
— Je te taquine, mon ange. C'était vraiment extraordinaire.
Je plante un coude dans son ventre pour le punir de sa mauvaise blague. S'en suit une bataille de coussins. On rigole aux éclats. Marc met fait aux hostilités en me plaquant contre mon lit et en posant un doux baiser sur mes lèvres.
— Je vais me souvenir toute ma vie de ce moment-là, Marc. Merci encore.
— De rien, mademoiselle. J'ai aussi pris énormément de plaisir.
On passe plusieurs minutes à se regarder droit dans les yeux sans échanger un seul mot. Le temps semble comme suspendu.
— C'est toujours aussi long et agréable, Marc ?
— Quitte à te décevoir, ce n'est pas forcément toujours le cas. Mais, sache que j'ai rarement joui autant avec une fille.
On s'échange un long baiser avant que Marc ne se lève.
— Tu vas où ? Tu pars déjà ?
— Non, mon ange. J’ai besoin de prendre une douche. Tu viens ?
Je me lève à mon tour et on sort nus de ma chambre pour se rendre dans la salle de bain. Je remarque que le sexe de Marc est devenu tout flasque.
J'allume la douche et on s'y glisse tous les deux dessous. On passe un bon quart d'heure sous l'eau tiède pour nous remettre de nos émotions. Nos mains restent plus ou moins sages. Je caresse le sexe mou de Marc tandis qu'il vient effleurer délicatement mon buisson et mon clitoris. Je finis par le masturber lentement. Marc me sourit et il me laisse jouer avec sa virilité. Le sexe de Marc redevient un petit peu dur suite à mes caresses.
— Je veux te sucer pour te remercier, Marc.
— Mmm, fais-toi plaisir, mon ange.
Je me mets donc à genoux dans la douche et je continue à le masturber tout en posant des bisous sur son sexe. Timidement, je glisse son gland dans ma bouche et je commence à le sucer. Les gémissements de plaisir de Marc sont à peine couverts par le bruit de l'eau qui s'écoule sur nos corps nus. Malgré mon manque d'expérience, Marc semble vraiment apprécier ma douce attention.
Il lui faut quelques minutes pour sentir monter son orgasme. Je comprends qu'il s'approche de son point de non-retour. Je sors son sexe de ma bouche et le masturbe vigoureusement.
— Oh, tu vas me faire jouir, Marine ! Oooh.
Ne voulant pas goûter à son jus, je positionne son gland juste en face de mes seins. Le corps de Marc se crispe et quelques gouttes de sperme viennent se déposer sur mes seins qui disparaissent rapidement grâce à l'eau qui coule sur ma poitrine.
Je me relève et je me mets la pointe des pieds afin de pouvoir l'embrasser. J'arrête la douche et on prend des serviettes pour se sécher.
— Merci pour ton agréable attention, mon ange.
— C'était la moindre des choses.
On revient ensuite dans ma chambre pour se rhabiller. Marc se rhabille rapidement tandis que je reste nue pour me chercher une tenue. Je ne ressens plus de gêne à l'idée d'être nue devant un homme.
— Tu devrais mettre ton jogging et un t-shirt comme hier, mon ange.
— Non, je veux être un peu sexy pour toi !
— Tu ne devrais pas changer tes habitudes, sinon tes parents pourraient se douter de quelque chose.
— Tu n'es pas si bête pour un mec !
— Eh, tu veux une fessée ?
Je me tourne vers lui en souriant et en lui tirant la langue. Je finis par suivre son idée. J'enfile un t-shirt un peu ample, mais il m'arrête avant que je ne mette ma culotte.
— Si tu veux m'exciter, Marine, tu ne devrais pas mettre de culotte sous ton jogging.
— Tu es un vrai coquin !
— Personne ne pourra se rendre compte que tu ne portes pas de sous-vêtements.
— Tu aimerais que je ne mette rien si je porte une jupe ou une robe ?
— Je vais te paraître paradoxal, mais sache que j'aime quand ma copine ne porte pas de sous-vêtements, mais que j'adore quand elle en porte quand je sais que l'on risque de passer un moment tendre ensemble.
— Je vais rien mettre aujourd'hui, mais à chacun de mes rendez-vous avec toi, j'en mettrais.
— Dernière chose, j'adore la lingerie. Il faudrait que tu arrêtes de mettre des petites culottes en coton. Tu n'es plus une petite fille !
— OK, mais c'est toi qui la choisiras.
— Ça sera avec plaisir, mon ange.
Je mets mon jogging et une paire de baskets pour compléter ma tenue.
En sortant de ma chambre, je récupère la preuve de ma perte de virginité que je cache ensuite au fond de la poubelle. Je ramène ensuite Marc à la porte d'entrée. On échange un tendre baiser avant qu'il ne sorte de la maison.
Au moment où il entre dans sa voiture, mon père se gare à côté de lui. Marc attend avant de rentrer dans sa voiture pour saluer mon père. Ils se serrent la main.
— Salut, Marc !
— Bonjour, Jérémy !
— Qu'est-ce tu fais là ?
— Euh... je suis passé pour amener un livre à Marine sur... l'Égypte Ancienne.
— Ah, d'accord. Et tu étais obligé de t'habiller comme un prince ?
— Euh... J'avais un rendez-vous pour un entretien avant de venir.
— OK, Marc. À une prochaine fois, alors !
— À la prochaine, Jérémy.
Marc monte dans sa voiture et il prend la route pour rentrer chez lui. Mon père rentre dans la maison en souriant.
— Depuis quand tu t'intéresses à l'Égypte Ancienne, ma puce ?
— Euh... en fait, j'aimerais bien y aller, un jour. Et je sais que tu y es déjà allé avec maman avant ma naissance.
— Je ne devrais sans doute pas te le dire, mais il y a des chances que tu aies été conçue là-bas.
— Aux pieds des pyramides ?
— Non ! Juste dans l'hôtel en face !
Mon père va se prendre une bière et je reviens dans ma chambre. Je me pose sur mon lit et je repense à mon après-midi exceptionnel passée dans les bras de Marc.
Je me lève pour prendre le petit-déjeuner avec mes parents. Je sors de ma chambre en jogging et débardeur.
— Salut, ma puce.
— Bonjour, papa.
— Tu es rayonnante, ce matin.
— Merci.
— Tu vas faire quoi, aujourd'hui ?
— Euh... je crois que je vais courir un peu ce matin, et cet après-midi, je lirais peut-être un livre.
— Tu devrais sortir un peu, Marine. Tu ne devrais pas rester toute seule à la maison.
Si tu veux, je peux prendre mon après-midi pour faire un tennis avec toi ?
Je suis étonnée par sa proposition qui pourrait mettre à mal mon réel projet.
— Je crois que je vais aller voir Sébastien et Sandrine.
— C'est une bonne idée, ma puce.
Je crois avoir convaincu mon père avec mon mensonge. Ma mère nous rejoint pour manger ensemble.
Après nous avoir souhaité de passer une bonne journée, mes parents sortent de la maison pour aller au travail.
Je reviens dans ma chambre afin de me préparer. Même si je sais que Marc ne doit arriver que sur les coups de 14 heures, je passe ma matinée à me préparer. Entre une dernière séance d'épilation des jambes, une douche et ma séance de coiffure, il est rapidement 13 heures.
Je mange simplement une salade et quelques fruits, car je suis incapable de manger plus. Je sens une montée de stress mélangée à de l'excitation.
Un quart d'heure avant l'arrivée de Marc, je reviens dans la chambre. Je me déshabille et je sors le sac où se trouve la lingerie que m'a offerte Marc, la veille. Je commence par enfiler le string. C'est la première fois que j'en mets un. Je mets ensuite le soutien-gorge qui met bien en valeur ma poitrine. En passant mes doigts le long de ma fente, je sens que je suis déjà légèrement mouillée. Mon cœur bat à tout rompre.
Je vais ensuite dans la salle de bain faire quelques raccords maquillage. J'hésite à mettre du rouge à lèvres, mais je décide finalement de ne pas en mettre. Mes lèvres sont assez pulpeuses pour ne pas les valoriser plus que nécessaire.
Je reviens dans ma chambre pour mettre ma robe blanche et mes sandales. Elle est plus proche d'une nuisette que d'une vraie robe. Elle moule parfaitement ma poitrine et mes hanches. On peut facilement deviner mes dessous sexy au travers. Je réajuste une dernière fois mon soutien-gorge avant de fermer les quelques boutons qui se trouvent sur mon épaule gauche.
Je fais quelques exercices de respiration avant que Marc n'arrive. Je mets un dernier coup de brosse à cheveux en l'attendant.
J'entends sa voiture se garer devant chez moi. Mon cœur s'emballe. Je me regarde une dernière fois dans le miroir de l'entrée et je viens lui ouvrir la porte.
Marc se présente devant moi. Il porte un pantalon noir ainsi qu'une chemise blanche. Je le trouve magnifique. Il a une rose dans sa main gauche. Marc me sourit en voyant la tenue que je porte.
— Tu es vraiment sublime, Marine !
— Merci, Marc. Je vois que tu as fait des efforts pour te faire encore plus beau.
— Je peux renvoyer le compliment. Voici pour toi, mon bel ange.
— Tu n'aurais pas dû. Merci quand même.
— Je peux entrer, Marine ?
— Oh, oui, bien sûr, Marc !
Je le fais entrer et il voit bien que je suis stressée. Il passe un bras derrière mon dos et il se penche vers moi pour m'embrasser. Je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds afin de pouvoir l'embrasser correctement. On se regarde, quelques instants, sans se parler.
— Où se trouve ton petit coin de paradis, Marine ?
— Suis-moi !
Je lui prends la main et on se dirige vers ma chambre. Mon excitation est déjà presque à son paroxysme. Je le fais entrer dans ma chambre. Je pose sa rose sur mon bureau.
— Tu as énormément de goût, Marine.
— Merci. Cela va se passer comment, Marc ?
— On va y aller doucement. J'aimerais que ta première fois soit gravée à vie dans la mémoire.
— Je ne vais pas te cacher que j'appréhende un peu.
— C'est normal, Marine. Ce qu'il va se passer n'est pas du tout anodin pour une jeune femme. Assieds-toi sur ton lit et enlève tes sandales.
Je me laisse guider par les douces instructions de Marc. Il enlève ses chaussures et ses chaussettes avant de s'asseoir près de moi. Il passe une main dans mes cheveux et il approche son visage du mien pour m'embrasser. Je ferme les yeux.
— J'ai rarement vu une jeune femme aussi belle que toi, Marine.
— Tu dis ça pour me faire plaisir, non ?
— Non, Marine. Je le pense vraiment.
Il descend sa main dans mon dos jusqu'au creux de mes reins. Il pose l'autre sur l'une des cuisses nues. Le doux contact de ses mains sur moi me fait frissonner. Marc m'embrasse dans le cou et il déboutonne lentement les boutons de ma robe qui se trouvent sur mon épaule.
— Tu es tellement belle, Marine. J'espère que je ne vais pas trop vite ?
— Non, ça va, Marc. J'adore ta façon de t'occuper de moi.
— Toi aussi, tu peux déboutonner ma chemise, tu sais ?
Marc recommence ses bisous dans mon cou et, timidement, je m'attaque aux boutons de sa chemise. Mes doigts tremblent. Marc descend lentement ma robe le long de mes épaules pour que je me retrouve dos nu, mais toujours avec mon soutien-gorge. J'arrive tout de même à déboutonner entièrement sa chemise et mes mains viennent caresser son torse et ses abdos bien dessinés. J'ai l'impression que mon bas-ventre va rentrer en fusion tellement je suis excitée par la situation.
— C'est bien, Marine. J'adore sentir tes mains douces sur moi.
— Tu es si doux, Marc. C'est si agréable.
On échange quelques baisers et il baisse délicatement les bretelles de mon soutien-gorge. Mes doigts parcourent son torse. Avec ses doigts agiles, il dégrafe facilement mon soutien-gorge. Par réflexe, je pose une main sur ma poitrine pour ne pas qu'il tombe.
— Ça va toujours, Marine ? On peut arrêter tant qu'il est temps.
— C'est juste un réflexe, Marc, surtout que tu les as déjà vus.
— Oui, mon ange.
Je récupère mon soutien-gorge et je le pose au pied de mon lit. De son côté, Marc enlève entièrement sa chemise pour se retrouver torse nu.
— On devrait se mettre un peu plus à l'aise pour la suite, Marine. Lève-toi ! Je veux enlever ta robe.
— D'accord, Marc.
Je me lève donc. Marc tire délicatement ma robe vers le bas pour faire apparaître mon nombril et finalement mon string. Marc pose de délicats baisers entre mon nombril et mon string. Dès que ma robe se retrouve au sol, il remonte ses mains le long de mes mollets, puis mes cuisses jusqu'à arriver à ses fesses. Je frissonne en sentant ses mains parcourir mon corps.
— Je dois enlever mon string, Marc ?
— Non, pas tout de suite. Tu es si excitante comme ça. Tourne-toi ! Je veux admirer tes fesses.
Je lui tourne donc le dos et Marc vient poser délicatement des baisers sur mes parties charnues. Il se lève et en profite pour enlever son pantalon.
— Viens t'allonger sur ton lit, mon ange !
Je m'allonge donc sur le lit et Marc s'allonge près de moi. D'une main, il caresse mes cheveux et il bouge une de mes mèches pour plonger son regard dans le mien. De son autre main, il s'attarde longuement sur mes seins pour les pétrir tendrement en pinçant de temps en temps mes tétons. De nouveaux frissons font le tour de mon corps. Ne voulant pas être la seule à recevoir de douces caresses, je glisse une main dans son boxer et je me saisis de son sexe pour le caresser. Je ne suis pas vraiment étonné que son sexe soit déjà bien dur.
— Mmm, mademoiselle veut prendre les choses en main, on dirait !
— J'adore ce que tu me fais, Marc.
— Moi aussi, Marine.
Marc vient embrasser mes seins et sucer mes tétons. Sa main descend le long de ma poitrine et mon ventre. Je sens ses doigts se glisser sous mon string. Il ne lui faut que quelques secondes pour atteindre mon buisson déjà trempé. Voyant qu'il se rapproche inexorablement de mon intimité, je commence à le masturber.
— Mademoiselle est déjà bien excitée !
— Je ne suis pas la seule !
Marc atteint finalement mon clitoris et ma fente. Je gémis sous ses délicates caresses et nous échangeons quelques baisers. Ma main s'active doucement sur son membre dur que je commence à avoir de plus en plus envie de le recevoir en moi. Ses doigts jouent avec mon clitoris. Mon rythme cardiaque s'emballe. Je mords l'intérieur de mes lèvres tout en poussant des gémissements de plaisir.
— Oh, Marc ! Tu vas me faire jouir si tu continues !
— Tu es si belle quand tu jouis, Marine !
Avec simplement ses doigts, Marc m'amène de plus en plus près de mon orgasme. Je ne peux réprimer un long râle de plaisir au moment de rejoindre le septième ciel. Je me cambre de plaisir et j'ai l'impression que mon cœur explose. On se regarde profondément dans les yeux. Et sans m'y attendre, je sens le bout d'un des doigts de Marc se glisser dans mon intimité. Il me fouille légèrement. Il retire finalement sa main de mon string et il porte son doigt dans ma bouche pour que je puisse me goûter.
— Je crois que tu es prête, mon ange ! Tu devrais te mettre à quatre pattes pour la suite.
— Pourquoi ? Je veux te voir !
— C'est juste pour que je prenne ta virginité et pour que tu aies le moins mal possible. Et, on changera de position après.
— Je te fais confiance, Marc.
J'enlève donc ma main de son boxer afin qu'il puisse se lever. Je me mets à quatre pattes. Je tourne la tête pour le suivre du regard. Marc enlève son boxer, me laissant ainsi voir son sexe dur qui pointe vers le ciel. Marc se positionne derrière moi et il retire délicatement mon string. Il le dépose au pied de mon lit à côté de mon soutien-gorge. Mon bas-ventre est encore brûlant suite à mon orgasme.
Marc pose sa bouche sur mon abricot et il me donne de petits coups de langue sur ma fente et mon clitoris. Je frissonne à nouveau de plaisir. Je sens sa langue fouiller l'entrée de mon intimité humide. Après s'être délecté de ma mouille directement à sa source, Marc pose une main dans le creux de mes reins. Il frotte son gland le long de ma fente.
— Tu risques de ressentir comme une brûlure au début, mais cela devrait rapidement passer. Tu peux encore arrêter, si tu veux.
— On est allé trop loin pour s'arrêter maintenant, Marc. Vas-y !
— OK, mon ange.
Je frissonne en ressentant son gland se glisser à l'entrée de mon intimité. Par instinct, je serre mes draps dans mes mains. J'appréhende la douleur probable que je vais sans doute ressentir.
Marc se saisit de mes hanches, et d'un grand coup sec, il entre en moi. Je mords mon coussin en le sentant déchirer mon hymen avec son sexe. Je pousse un cri de douleur étouffé. Marc reste en moi sans bouger.
— Ça va, mon ange ? Tu as passé le plus douloureux.
— Ça brûle un peu, Marc !
— C'est normal.
Je tourne la tête vers lui pour le regarder. On échange un sourire avant qu'il ne commence à me donner de petits coups de reins pour bouger en moi. La sensation est plutôt bizarre au début. Mais peu à peu, ma légère douleur fait place à un nouveau plaisir qui est loin d'être désagréable. Marc s'arrête à nouveau.
— On va changer de position, mon ange. Tout va bien ?
— Oui, Marc. Je m'attendais à avoir plus mal que ça.
Marc reste planté en moi alors qu'il fouille dans une poche de son pantalon. Il en sort un mouchoir en papier. Il retire son sexe du mien et il passe son mouchoir sur ma fente ainsi que sur son sexe. Il me le montre pour me faire voir la preuve de ma perte de virginité. Le mouchoir blanc est légèrement taché de sang. Il le pose ensuite sur ma table de nuit.
— Mets-toi sur le dos, Marine, et mets des coussins sous tes fesses.
— D'accord.
Je lui passe deux coussins afin qu'il les positionne sous mes fesses. Mon bassin est bien relevé. Je vois son sexe dur et dressé juste entre mes cuisses. Je mets un coussin sous ma tête pour que le sang ne me monte pas trop à la tête.
— Tu es prête ? Je vais revenir en toi !
— Oui, Marc !
Marc frotte à nouveau son gland le long de ma fente et il glisse lentement son gland en moi. La sensation est toujours aussi agréable et avec la douleur en moins. Il glisse la moitié de son sexe dans le mien. Marc se saisit de mes cuisses pour les poser sur son torse nu. Il commence à nouveau à bouger en moi. Dans ma position, je peux voir son sexe aller et venir dans le mien. La sensation de son sexe qui bouge en moi est de plus en plus agréable.
— Ça va toujours, mon ange ?
— Oui, Marc.
— Je vais accélérer un peu. OK ?
— OK, Marc.
Marc alterne entre des coups de reins rapides et lents. Son bassin claque régulièrement contre mes cuisses. Par réflexe, je passe une main sur mon ventre et je viens caresser mon clitoris. Je me fais du bien tandis que Marc continue à me limer. Mon bas-ventre est à nouveau en feu. Il ne demande qu'à exploser de nouveau.
Pendant plusieurs minutes, Marc bouge en moi. On ne se parle pas. Seuls nos gémissements de plaisir résonnent dans ma chambre. J'approche à nouveau de mon orgasme. Je caresse plus frénétiquement mon clitoris. Marc accélère ses coups de reins.
— Oh, je vais jouir, Marc !
— Je sens que ça vient aussi, mon ange ! Oh, oui.
Nos gémissements se transforment peu à peu en des cris de plaisir, et dans un dernier gémissement commun, on atteint l'orgasme en même temps. Mon bas-ventre explose de plaisir. J'ai l'impression de sentir son sperme arriver par saccades contre les parois de mon vagin. Nos respirations sont rapides et saccadées. Marc continue à me limer encore pendant quelques secondes avant de rester planté en moi. On s'échange un sourire. Marc finit par se retirer de mon sexe et il s'allonge près de moi. Nos corps sont en sueur. Je retire les coussins que j'ai sous les fesses et je me blottis dans ses bras en posant ma tête sur son torse nu.
— Merci, Marc. C'était génial !
— Si tu le dis.
Je me redresse sur un coude et je lui lance un regard noir. Marc sourit en voyant ma réaction.
— Je te taquine, mon ange. C'était vraiment extraordinaire.
Je plante un coude dans son ventre pour le punir de sa mauvaise blague. S'en suit une bataille de coussins. On rigole aux éclats. Marc met fait aux hostilités en me plaquant contre mon lit et en posant un doux baiser sur mes lèvres.
— Je vais me souvenir toute ma vie de ce moment-là, Marc. Merci encore.
— De rien, mademoiselle. J'ai aussi pris énormément de plaisir.
On passe plusieurs minutes à se regarder droit dans les yeux sans échanger un seul mot. Le temps semble comme suspendu.
— C'est toujours aussi long et agréable, Marc ?
— Quitte à te décevoir, ce n'est pas forcément toujours le cas. Mais, sache que j'ai rarement joui autant avec une fille.
On s'échange un long baiser avant que Marc ne se lève.
— Tu vas où ? Tu pars déjà ?
— Non, mon ange. J’ai besoin de prendre une douche. Tu viens ?
Je me lève à mon tour et on sort nus de ma chambre pour se rendre dans la salle de bain. Je remarque que le sexe de Marc est devenu tout flasque.
J'allume la douche et on s'y glisse tous les deux dessous. On passe un bon quart d'heure sous l'eau tiède pour nous remettre de nos émotions. Nos mains restent plus ou moins sages. Je caresse le sexe mou de Marc tandis qu'il vient effleurer délicatement mon buisson et mon clitoris. Je finis par le masturber lentement. Marc me sourit et il me laisse jouer avec sa virilité. Le sexe de Marc redevient un petit peu dur suite à mes caresses.
— Je veux te sucer pour te remercier, Marc.
— Mmm, fais-toi plaisir, mon ange.
Je me mets donc à genoux dans la douche et je continue à le masturber tout en posant des bisous sur son sexe. Timidement, je glisse son gland dans ma bouche et je commence à le sucer. Les gémissements de plaisir de Marc sont à peine couverts par le bruit de l'eau qui s'écoule sur nos corps nus. Malgré mon manque d'expérience, Marc semble vraiment apprécier ma douce attention.
Il lui faut quelques minutes pour sentir monter son orgasme. Je comprends qu'il s'approche de son point de non-retour. Je sors son sexe de ma bouche et le masturbe vigoureusement.
— Oh, tu vas me faire jouir, Marine ! Oooh.
Ne voulant pas goûter à son jus, je positionne son gland juste en face de mes seins. Le corps de Marc se crispe et quelques gouttes de sperme viennent se déposer sur mes seins qui disparaissent rapidement grâce à l'eau qui coule sur ma poitrine.
Je me relève et je me mets la pointe des pieds afin de pouvoir l'embrasser. J'arrête la douche et on prend des serviettes pour se sécher.
— Merci pour ton agréable attention, mon ange.
— C'était la moindre des choses.
On revient ensuite dans ma chambre pour se rhabiller. Marc se rhabille rapidement tandis que je reste nue pour me chercher une tenue. Je ne ressens plus de gêne à l'idée d'être nue devant un homme.
— Tu devrais mettre ton jogging et un t-shirt comme hier, mon ange.
— Non, je veux être un peu sexy pour toi !
— Tu ne devrais pas changer tes habitudes, sinon tes parents pourraient se douter de quelque chose.
— Tu n'es pas si bête pour un mec !
— Eh, tu veux une fessée ?
Je me tourne vers lui en souriant et en lui tirant la langue. Je finis par suivre son idée. J'enfile un t-shirt un peu ample, mais il m'arrête avant que je ne mette ma culotte.
— Si tu veux m'exciter, Marine, tu ne devrais pas mettre de culotte sous ton jogging.
— Tu es un vrai coquin !
— Personne ne pourra se rendre compte que tu ne portes pas de sous-vêtements.
— Tu aimerais que je ne mette rien si je porte une jupe ou une robe ?
— Je vais te paraître paradoxal, mais sache que j'aime quand ma copine ne porte pas de sous-vêtements, mais que j'adore quand elle en porte quand je sais que l'on risque de passer un moment tendre ensemble.
— Je vais rien mettre aujourd'hui, mais à chacun de mes rendez-vous avec toi, j'en mettrais.
— Dernière chose, j'adore la lingerie. Il faudrait que tu arrêtes de mettre des petites culottes en coton. Tu n'es plus une petite fille !
— OK, mais c'est toi qui la choisiras.
— Ça sera avec plaisir, mon ange.
Je mets mon jogging et une paire de baskets pour compléter ma tenue.
En sortant de ma chambre, je récupère la preuve de ma perte de virginité que je cache ensuite au fond de la poubelle. Je ramène ensuite Marc à la porte d'entrée. On échange un tendre baiser avant qu'il ne sorte de la maison.
Au moment où il entre dans sa voiture, mon père se gare à côté de lui. Marc attend avant de rentrer dans sa voiture pour saluer mon père. Ils se serrent la main.
— Salut, Marc !
— Bonjour, Jérémy !
— Qu'est-ce tu fais là ?
— Euh... je suis passé pour amener un livre à Marine sur... l'Égypte Ancienne.
— Ah, d'accord. Et tu étais obligé de t'habiller comme un prince ?
— Euh... J'avais un rendez-vous pour un entretien avant de venir.
— OK, Marc. À une prochaine fois, alors !
— À la prochaine, Jérémy.
Marc monte dans sa voiture et il prend la route pour rentrer chez lui. Mon père rentre dans la maison en souriant.
— Depuis quand tu t'intéresses à l'Égypte Ancienne, ma puce ?
— Euh... en fait, j'aimerais bien y aller, un jour. Et je sais que tu y es déjà allé avec maman avant ma naissance.
— Je ne devrais sans doute pas te le dire, mais il y a des chances que tu aies été conçue là-bas.
— Aux pieds des pyramides ?
— Non ! Juste dans l'hôtel en face !
Mon père va se prendre une bière et je reviens dans ma chambre. Je me pose sur mon lit et je repense à mon après-midi exceptionnel passée dans les bras de Marc.
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