Marine et mes initiations (5)
Récit érotique écrit par Autorfr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 25 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Autorfr ont reçu un total de 146 971 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 857 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Marine et mes initiations (5)
Le samedi matin, je suis réveillée par un appel de Marc. Il m’appelle en visio. Il est torse nu.
— Salut, Marc.
— Salut, ma chérie. Je t’ai réveillée ?
— Oui. Tu as chaud ?
— Je me suis réveillé en pensant à toi. Tu veux voir dans quel état je suis ?
— Euh... tu bandes ?
— À ton avis ?
Je mordille ma lèvre inférieure en voyant qu’il descend son téléphone vers son sexe. Mon cœur s’emballe en le voyant bien dur.
— Ça te dérange si je te demande de me montrer tes seins pour que je me masturbe, Marine ?
Je pose mon téléphone sur mon lit pour enlever mon t-shirt puis je le reprends rapidement.
— Merci, ma chérie !
Même si je trouve son idée un peu perverse au début, je finis par me caresser les seins pour l'exciter encore plus. Marc braque son téléphone sur son sexe pendant qu’il se masturbe lentement.
— Mmm, tu me donnes chaud, Marc !
— Tu peux te faire du bien toi aussi !
Je positionne mon téléphone de façon à ce qu’il voie à la fois ma poitrine et ma fente. De cette manière, j’ai la possibilité de me caresser les seins et la chatte en même temps.
— Tu as dormi nue, Marine ?
— Oui.
— Tu es magnifique !
Je continue à me caresser les seins et j’effleure mon clitoris et mon sillon du bout des doigts.
— Tu peux te doigter s’il te plaît, Marine ?
— Oui, bien sûr.
Dès que je glisse deux doigts en moi, Marc commence à se masturber un peu plus vigoureusement.
— Mmm rapproche ton téléphone de ta chatte, chérie ! On va se branler au même rythme ! Imagine que c’est ma queue. Oui, parfait !
On se masturbe à la cadence où mes doigts vont et viennent en glissant au fond de ma chair humide. Le plaisir me fait rapidement gémir mais je le fais durer, même si mes parents sont dans la chambre d’à côté.
— Oh, accélère, Marine ! Je sens que ça vient !
— Je vais jouir aussi, hmm !
Je me doigte à fond et je mords l’intérieur de ma joue au moment d’atteindre l'orgasme, que je ressens décuplé quand je vois plusieurs jets de sperme jaillir du sexe de Marc et se déposer sur ses abdos. Je suce mes doigts pour me goûter pendant qu'il essuie son ventre avec un mouchoir en papier.
— Oh, c’était vraiment excitant, Marine. Tu as aimé ?
— Je préfère quand même vraiment te sentir en moi !
— Je sais ce que je t’offrirai la prochaine fois.
— Tu as déjà oublié qu’on devait se voir chez ta sœur à midi ?
— Non. Alors, tu n’auras ton cadeau que la fois d’après.
— Je peux savoir ce que c’est ?
— Non. Je veux que ce soit une surprise.
Je reprends mon téléphone et lui lance un baiser à travers l’écran..
— Bisous, Marc !
— Bisous, Marine ! Attends avant de raccrocher !
— Que veux-tu me dire ?
— J’aimerais que tu portes l’ensemble en dentelle rouge que je t’ai offert.
— OK. Mais, je croyais que je devais mettre des sous-vêtements uniquement avant de faire l’amour;
— Je sais, mais il y aura tes parents. Ce serait dommage qu’ils voient que tu ne portes rien.
— T'as raison. Je vais mettre une robe rose pour les cacher.
— Bonne idée, Marine. À tout à l’heure, ma chérie.
— À toute, Marc.
Finalement je me lève pour enfiler un minishort jean et un t-shirt large sans mettre de dessous comme j’en ai pris l’habitude depuis que je suis avec Marc. Je passe près de deux heures à me préparer pour notre repas de famille. Je passe la tenue dont j’ai parlé à Marc .
En sortant de ma chambre, je croise mon père dans le couloir.
— Quel joli bonbon avons-nous là ! Tu es belle à croquer !
— Merci papa.
— Tu t’es fait belle pour Marc ?
— Oui et alors ? J’ai le droit, non ?
— Je te taquine, mon bébé. J’ai juste un peu de mal à me faire à l’idée que tu sois devenue une très jolie jeune femme.
Mon père me prend dans ses bras pour me faire un câlin. On rejoint ma mère dans le salon avant de quitter la maison. Je monte à l’arrière de leur voiture puis on prend la route pour se rendre chez Sébastien et Sandrine.
On arrive au pied de leur immeuble. Marc nous attend à l’entrée avec ses parents. Il porte un simple jean et une chemise. Je sors de la voiture pour aller l’embrasser.
— Tu es magnifique, Marine.
— Merci, Marc.
Il chuchote à mon oreille afin que mes parents ne l’entendent pas :
— Tu étais encore plus belle, ce matin.
— Coquin !
Il salue mes parents et on monte à l’appartement. Sébastien vient nous ouvrir ; on lui fait la bise.
— Tu es magnifique, princesse !
— Merci, Sébastien. Sandrine n’est pas là ?
— Si, elle est juste dans la salle de bain.
Mon grand frère nous invite à s’asseoir en attendant Sandrine. Il semble un peu nerveux.
Sandrine sort de la salle de bain. Elle porte une magnifique robe à fleurs avec de fines bretelles, sans soutien-gorge. On se lève et on la salue chacun son tour.
— Tu es très belle, Sandrine.
— Toi aussi, Marine.
Mon frère nous propose des boissons qu’il nous apporte peu après. Sandrine et Sébastien restent debout devant nous.
— On vous a fait venir ici pour vous annoncer une bonne nouvelle.
— Vous avez prévu la date du mariage ?
— Pas encore, maman. Mais on l'a fixé à l’été prochain.
— C’est autre chose ?
Sébastien vient se mettre derrière Sandrine et il pose ses mains sur son ventre. Nos parents comprennent tout de suite.
— Sandrine attend notre premier bébé !
— Félicitations !
Marc et moi feignons la surprise et nous venons tous faire un câlin à la future maman.
— Tu sais si c’est une fille ou un garçon ?
— Non, pas encore, Marine. On doit faire la première échographie le mois prochain.
On trinque à la santé du futur bébé avant de se mettre à table. Puis nous passons toute l’après-midi à discuter dans une ambiance bon enfant même si je vois que Marc me regarde discrètement avec envie.
À la fin du repas, Sandrine m’invite à dormir chez elle tout comme son frère Marc. Nos parents respectifs partent. Je vois bien que mon père semble un peu inquiet à l’idée de me voir passer la nuit avec Marc. Alors afin de le convaincre totalement, Sandrine lui certifie que je prendrai le clic-clac du salon tandis que Marc dormira dans le bureau sur un matelas gonflable.
On se retrouve donc tous les quatre.
— Tu peux aller aider mon frère à gonfler son matelas, mon chéri ?
— Oui, Sandrine.
— Merci. Je vais aller prendre une douche avec ta sœur.
— Ne faites pas trop de bêtises toutes les deux !
— Tu peux venir après, si tu veux ?
Mon frère rougit suite à la proposition coquine de Sandrine.
— Tu aurais été seule, je serais sans doute venu, mais il y a ma sœur.
— Je te taquine, Sébastien !
Il lui met une petite fessée avant d’aller rejoindre Marc dans le bureau.
Sandrine et moi allons dans la salle de bain. Elle ferme la porte derrière nous puis commence à se déshabiller. Elle fait tomber sa robe. Je suis surprise de voir qu’elle n’avait rien en dessous.
— Tu veux prendre ta douche toute habillée, Marine ?
— Euh... non. Tu étais nue sous ta robe pendant le repas ?
— Oui. Pas toi ?
— Non ! Je suis en lingerie sous ma robe !
— Ton frère m’en offre rarement.
J’enlève ma robe pour lui révéler mon ensemble en dentelle rouge. Elle mordille sa lèvre inférieure en voyant ces dessous coquins.
— Mmm, mon frère a bon goût ! Ça te va super bien.
— Merci, Sandrine.
Pendant que Sandrine fait couler la douche, je retire ma lingerie. Puis je la rejoins, ne ressentant aucune gêne à l’idée de me retrouver nue avec elle. Nous restons sages au début... avant de nous caresser l’une l’autre. Sandrine vient même s'occuper de mon sexe et de mes seins.
— On ne devrait pas faire ça, Sandrine !
— Ne me dis pas que tu n’en as pas envie !
Elle glisse un doigt dans ma fente. Des frissons parcourent mon corps au moment où je sens sa douce intrusion. Me laissant aller au plaisir qu'elle me procure, je l’embrasse tendrement sous la douche tout en glissant moi aussi un doigt en elle. Nos délicats gémissements sont couverts par le bruit de l’eau qui coule sur nos corps. On finit en se doigtant plus frénétiquement, jusqu’à atteindre toutes les deux l’orgasme. On échange un long baiser avant de sortir de la cabine. Elle me passe le peignoir de mon frère et enfile le sien. On récupère ensuite nos vêtements et on quitte la salle de bain.
Les garçons nous attendent au salon, où on les rejoint.
— Vous faisiez quoi sous la douche, les filles ?
— À ton avis ?
Sébastien et Marc se regardent avec un air gêné.
— J’espère qu’il reste de l’eau chaude, Sandrine !
— Oui, mon cœur.
— Je vais aller prendre la mienne et Marc ira après.
— Tu auras sans doute besoin de ton peignoir, Sébastien ?
— Euh... oui, mais pour l’instant, c’est ma sœur qui le porte.
— Je vais lui prêter des fringues pour qu’elle puisse se changer.
Sébastien va à la salle de bain tandis que Marc reste avec nous. J'ai à la main mon ensemble en dentelle.
— Tu vas le remettre, Marine ?
— Oui. Je peux le remettre maintenant si tu veux ?
— Euh... tu veux faire ça devant ma sœur ?
— Elle vient de me voir nue sous la douche. Je pense qu’elle ne sera pas choquée.
— Ça te dérange, Sandrine ?
— Non, Marc.
J’enlève le peignoir que je jette au visage de Marc. Ça fait sourire Sandrine. J’enfile mon ensemble sous les yeux brillants de désir de Marc.
— Tu me fais bander, Marine !
Sandrine sourit suite aux mots de son frère.
— On va aller s’habiller, Marc. Il ne tient qu’à toi de nous suivre dans ma chambre.
Marc rougit à la proposition de sa sœur, mais finalement, il nous suit. Sandrine ferme la porte derrière nous trois et elle fait tomber son peignoir au sol devant son frère. Marc reste bouche bée.
— Vous me faites bander, les filles !
Sandrine me sourit. Elle reste nue le temps de me choisir une tenue : une minijupe blanche à volants ainsi qu’un débardeur rose. Marc n’arrête pas de regarder le corps dénudé de sa sœur.
— Ça devrait t’aller, Marine.
— Merci, Sandrine.
J’enfile les vêtements qu'elle vient de me prêter.
— Tu veux que je mette quoi, Marc ?
— Euh... tu devrais mettre le même genre de tenue que Marine.
— OK, Marc.
Sandrine se choisit une minijupe noire à volants et un croc top gris. Elle enfile ses vêtements sans oublier de mettre un string rose en dentelle en dessous.
— Je vais être obligé d’aller me branler sous la douche à cause de vous !
— On peut commencer avant que Sébastien ne revienne.
— Vous êtes sérieuses ?
Afin d’inciter Marc à le laisser le masturber, Sandrine vient m'embrasser goulûment sur la bouche.
— Putain ! À ce rythme, je n’aurai pas besoin de me branler pour jouir ! C’est mon fantasme de voir deux filles ensemble !
— On peut te masturber, maintenant ?
— Oui !
Marc baisse son pantalon et son boxer. Son sexe est déjà bien dur et dressé. Sandrine le branle dès que je commence à le sucer. On regarde toutes les deux Marc.
— Elle suce bien ?
— Oh oui, Sandrine ! Mmm presque aussi bien que toi !
Sandrine lui sourit. On continue à s’occuper de sa queue.
— Tu vas bientôt jouir ?
— Ça ne va pas tarder ! Tu veux me finir, Sandrine ?
— Non. C’est Marine qui va s’en occuper !
— Elle n’aime pas quand je gicle dans sa bouche !
— Tu vas voir.
Sandrine le masturbe vigoureusement. Je lui donne de petits coups de langue sur son gland.
— Oh oui, comme ça, c’est bon ! Oui, les filles, ça vient ! Aaah.
Dans un râle de plaisir, Marc éjacule dans ma bouche. Je récolte son jus sur ma langue avant de l’avaler. Après avoir atteint son orgasme il s’allonge sur le lit.
On se sourit toutes les deux. On est vraiment fières de ce que l’on vient de faire.
— Il faudrait que tu ranges ton engin avant que mon frère arrive, Marc !
— Tu as raison, Marine. Encore merci les filles !
Marc se lève du lit et se rhabille. On sort tous les trois de la chambre. Sandrine entre dans la salle de bain pour lui donner son peignoir.
— Tu ne voudrais pas me sucer, ma chérie ?
— On a des invités, Sébastien. Il va falloir que tu attendes ce soir.
— Dommage.
Sébastien enfile son peignoir puis laisse sa place à Marc. Il va ensuite dans sa chambre pour se changer. Quelques minutes après il revient en short et t-shirt.
— Ça se passe bien entre Marc et toi, Marine ?
— Oui, Sébastien.
— Sache que ça ne me dérange pas si tu dors avec lui ce soir.
— Tu es si sûre ?
— Je me doute bien que vous l’avez déjà fait, non ?
— C’est ta façon de me demander si on a déjà fait l’amour ?
— Euh... oui, Marine.
— Oui, on l’a déjà fait, pas qu’une seule fois !
— Euh... OK, Marine. Mais ne m’en dis pas plus !
— On dirait que cela te gêne de parler de sexe ?
— Tu es et tu resteras toujours ma petite sœur. Ça me dérange un peu de parler de ça avec toi.
On se pose dans le canapé en attendant le retour de Marc, qui nous rejoint dans le salon en peignoir.
— Tu peux me prêter un short et un t-shirt, Sébastien ?
— Ta sœur va te les chercher.
— OK.
Sandrine et Marc partent un instant dans la chambre pour lui choisir ses affaires. Je reste boire un verre avec mon frère au salon.
— Tant qu’on est tous les deux seuls, j’aimerais te proposer un truc pour ce soir.
— Je t’écoute, Sandrine.
— Ça te plairait qu'on couche tous les quatre ensemble ?
— Euh... quoi ? Tu veux dire que tu veux coucher avec moi ?
— Non, Marc. On pourrait être dans la même pièce pendant qu’on ferait l’amour tous les quatre.
— Mais ça va impliquer que je vais te voir faire l’amour avec Sébastien pendant que je le ferai avec Marine !
— Oui, Marc. C'est pas comme si tu ne m’avais jamais vue nue !
— Je veux bien essayer, mais je ne sais pas comment va réagir Sébastien !
— Je sais comment le persuader. Il ne pourra rien refuser à une femme enceinte !
— Coquine !
Ils sortent de la chambre et ils nous rejoignent.
— Tout le monde est d’accord si je commande des pizzas ?
— Oui, mon chéri. J’ai une faim de loup !
— C’est vrai que tu manges pour deux, maintenant ! Il va falloir que je m’habitue à ce que tu prennes du ventre et des fesses !
— Eh, c’est comme ça que tu parles à future mère de ton enfant ? Et sache que je vais avoir aussi de plus gros seins.
— Ça me dérangera moins !
Sandrine se jette sur Sébastien pour lui faire des chatouilles. On se met tous à rigoler.
— Pardon, mon amour. Tu sais bien que j’adore te taquiner.
— Tu peux le faire, mais pas trop sur mon physique sinon ce sera ceinture jusqu’à mon accouchement !
— Sept mois sans sexe ? Tu es sérieuse ?
— Ça va dépendre de toi.
— Excuse-moi, Sandrine. Je peux être con, parfois.
— Pas que parfois !
— Hé, je ne te permets pas, Marine !
— Je ne peux pas te taquiner ?
— Vous êtes de vraies chipies toutes les deux. Vous avez de la chance que je vous aime.
— Salut, Marc.
— Salut, ma chérie. Je t’ai réveillée ?
— Oui. Tu as chaud ?
— Je me suis réveillé en pensant à toi. Tu veux voir dans quel état je suis ?
— Euh... tu bandes ?
— À ton avis ?
Je mordille ma lèvre inférieure en voyant qu’il descend son téléphone vers son sexe. Mon cœur s’emballe en le voyant bien dur.
— Ça te dérange si je te demande de me montrer tes seins pour que je me masturbe, Marine ?
Je pose mon téléphone sur mon lit pour enlever mon t-shirt puis je le reprends rapidement.
— Merci, ma chérie !
Même si je trouve son idée un peu perverse au début, je finis par me caresser les seins pour l'exciter encore plus. Marc braque son téléphone sur son sexe pendant qu’il se masturbe lentement.
— Mmm, tu me donnes chaud, Marc !
— Tu peux te faire du bien toi aussi !
Je positionne mon téléphone de façon à ce qu’il voie à la fois ma poitrine et ma fente. De cette manière, j’ai la possibilité de me caresser les seins et la chatte en même temps.
— Tu as dormi nue, Marine ?
— Oui.
— Tu es magnifique !
Je continue à me caresser les seins et j’effleure mon clitoris et mon sillon du bout des doigts.
— Tu peux te doigter s’il te plaît, Marine ?
— Oui, bien sûr.
Dès que je glisse deux doigts en moi, Marc commence à se masturber un peu plus vigoureusement.
— Mmm rapproche ton téléphone de ta chatte, chérie ! On va se branler au même rythme ! Imagine que c’est ma queue. Oui, parfait !
On se masturbe à la cadence où mes doigts vont et viennent en glissant au fond de ma chair humide. Le plaisir me fait rapidement gémir mais je le fais durer, même si mes parents sont dans la chambre d’à côté.
— Oh, accélère, Marine ! Je sens que ça vient !
— Je vais jouir aussi, hmm !
Je me doigte à fond et je mords l’intérieur de ma joue au moment d’atteindre l'orgasme, que je ressens décuplé quand je vois plusieurs jets de sperme jaillir du sexe de Marc et se déposer sur ses abdos. Je suce mes doigts pour me goûter pendant qu'il essuie son ventre avec un mouchoir en papier.
— Oh, c’était vraiment excitant, Marine. Tu as aimé ?
— Je préfère quand même vraiment te sentir en moi !
— Je sais ce que je t’offrirai la prochaine fois.
— Tu as déjà oublié qu’on devait se voir chez ta sœur à midi ?
— Non. Alors, tu n’auras ton cadeau que la fois d’après.
— Je peux savoir ce que c’est ?
— Non. Je veux que ce soit une surprise.
Je reprends mon téléphone et lui lance un baiser à travers l’écran..
— Bisous, Marc !
— Bisous, Marine ! Attends avant de raccrocher !
— Que veux-tu me dire ?
— J’aimerais que tu portes l’ensemble en dentelle rouge que je t’ai offert.
— OK. Mais, je croyais que je devais mettre des sous-vêtements uniquement avant de faire l’amour;
— Je sais, mais il y aura tes parents. Ce serait dommage qu’ils voient que tu ne portes rien.
— T'as raison. Je vais mettre une robe rose pour les cacher.
— Bonne idée, Marine. À tout à l’heure, ma chérie.
— À toute, Marc.
Finalement je me lève pour enfiler un minishort jean et un t-shirt large sans mettre de dessous comme j’en ai pris l’habitude depuis que je suis avec Marc. Je passe près de deux heures à me préparer pour notre repas de famille. Je passe la tenue dont j’ai parlé à Marc .
En sortant de ma chambre, je croise mon père dans le couloir.
— Quel joli bonbon avons-nous là ! Tu es belle à croquer !
— Merci papa.
— Tu t’es fait belle pour Marc ?
— Oui et alors ? J’ai le droit, non ?
— Je te taquine, mon bébé. J’ai juste un peu de mal à me faire à l’idée que tu sois devenue une très jolie jeune femme.
Mon père me prend dans ses bras pour me faire un câlin. On rejoint ma mère dans le salon avant de quitter la maison. Je monte à l’arrière de leur voiture puis on prend la route pour se rendre chez Sébastien et Sandrine.
On arrive au pied de leur immeuble. Marc nous attend à l’entrée avec ses parents. Il porte un simple jean et une chemise. Je sors de la voiture pour aller l’embrasser.
— Tu es magnifique, Marine.
— Merci, Marc.
Il chuchote à mon oreille afin que mes parents ne l’entendent pas :
— Tu étais encore plus belle, ce matin.
— Coquin !
Il salue mes parents et on monte à l’appartement. Sébastien vient nous ouvrir ; on lui fait la bise.
— Tu es magnifique, princesse !
— Merci, Sébastien. Sandrine n’est pas là ?
— Si, elle est juste dans la salle de bain.
Mon grand frère nous invite à s’asseoir en attendant Sandrine. Il semble un peu nerveux.
Sandrine sort de la salle de bain. Elle porte une magnifique robe à fleurs avec de fines bretelles, sans soutien-gorge. On se lève et on la salue chacun son tour.
— Tu es très belle, Sandrine.
— Toi aussi, Marine.
Mon frère nous propose des boissons qu’il nous apporte peu après. Sandrine et Sébastien restent debout devant nous.
— On vous a fait venir ici pour vous annoncer une bonne nouvelle.
— Vous avez prévu la date du mariage ?
— Pas encore, maman. Mais on l'a fixé à l’été prochain.
— C’est autre chose ?
Sébastien vient se mettre derrière Sandrine et il pose ses mains sur son ventre. Nos parents comprennent tout de suite.
— Sandrine attend notre premier bébé !
— Félicitations !
Marc et moi feignons la surprise et nous venons tous faire un câlin à la future maman.
— Tu sais si c’est une fille ou un garçon ?
— Non, pas encore, Marine. On doit faire la première échographie le mois prochain.
On trinque à la santé du futur bébé avant de se mettre à table. Puis nous passons toute l’après-midi à discuter dans une ambiance bon enfant même si je vois que Marc me regarde discrètement avec envie.
À la fin du repas, Sandrine m’invite à dormir chez elle tout comme son frère Marc. Nos parents respectifs partent. Je vois bien que mon père semble un peu inquiet à l’idée de me voir passer la nuit avec Marc. Alors afin de le convaincre totalement, Sandrine lui certifie que je prendrai le clic-clac du salon tandis que Marc dormira dans le bureau sur un matelas gonflable.
On se retrouve donc tous les quatre.
— Tu peux aller aider mon frère à gonfler son matelas, mon chéri ?
— Oui, Sandrine.
— Merci. Je vais aller prendre une douche avec ta sœur.
— Ne faites pas trop de bêtises toutes les deux !
— Tu peux venir après, si tu veux ?
Mon frère rougit suite à la proposition coquine de Sandrine.
— Tu aurais été seule, je serais sans doute venu, mais il y a ma sœur.
— Je te taquine, Sébastien !
Il lui met une petite fessée avant d’aller rejoindre Marc dans le bureau.
Sandrine et moi allons dans la salle de bain. Elle ferme la porte derrière nous puis commence à se déshabiller. Elle fait tomber sa robe. Je suis surprise de voir qu’elle n’avait rien en dessous.
— Tu veux prendre ta douche toute habillée, Marine ?
— Euh... non. Tu étais nue sous ta robe pendant le repas ?
— Oui. Pas toi ?
— Non ! Je suis en lingerie sous ma robe !
— Ton frère m’en offre rarement.
J’enlève ma robe pour lui révéler mon ensemble en dentelle rouge. Elle mordille sa lèvre inférieure en voyant ces dessous coquins.
— Mmm, mon frère a bon goût ! Ça te va super bien.
— Merci, Sandrine.
Pendant que Sandrine fait couler la douche, je retire ma lingerie. Puis je la rejoins, ne ressentant aucune gêne à l’idée de me retrouver nue avec elle. Nous restons sages au début... avant de nous caresser l’une l’autre. Sandrine vient même s'occuper de mon sexe et de mes seins.
— On ne devrait pas faire ça, Sandrine !
— Ne me dis pas que tu n’en as pas envie !
Elle glisse un doigt dans ma fente. Des frissons parcourent mon corps au moment où je sens sa douce intrusion. Me laissant aller au plaisir qu'elle me procure, je l’embrasse tendrement sous la douche tout en glissant moi aussi un doigt en elle. Nos délicats gémissements sont couverts par le bruit de l’eau qui coule sur nos corps. On finit en se doigtant plus frénétiquement, jusqu’à atteindre toutes les deux l’orgasme. On échange un long baiser avant de sortir de la cabine. Elle me passe le peignoir de mon frère et enfile le sien. On récupère ensuite nos vêtements et on quitte la salle de bain.
Les garçons nous attendent au salon, où on les rejoint.
— Vous faisiez quoi sous la douche, les filles ?
— À ton avis ?
Sébastien et Marc se regardent avec un air gêné.
— J’espère qu’il reste de l’eau chaude, Sandrine !
— Oui, mon cœur.
— Je vais aller prendre la mienne et Marc ira après.
— Tu auras sans doute besoin de ton peignoir, Sébastien ?
— Euh... oui, mais pour l’instant, c’est ma sœur qui le porte.
— Je vais lui prêter des fringues pour qu’elle puisse se changer.
Sébastien va à la salle de bain tandis que Marc reste avec nous. J'ai à la main mon ensemble en dentelle.
— Tu vas le remettre, Marine ?
— Oui. Je peux le remettre maintenant si tu veux ?
— Euh... tu veux faire ça devant ma sœur ?
— Elle vient de me voir nue sous la douche. Je pense qu’elle ne sera pas choquée.
— Ça te dérange, Sandrine ?
— Non, Marc.
J’enlève le peignoir que je jette au visage de Marc. Ça fait sourire Sandrine. J’enfile mon ensemble sous les yeux brillants de désir de Marc.
— Tu me fais bander, Marine !
Sandrine sourit suite aux mots de son frère.
— On va aller s’habiller, Marc. Il ne tient qu’à toi de nous suivre dans ma chambre.
Marc rougit à la proposition de sa sœur, mais finalement, il nous suit. Sandrine ferme la porte derrière nous trois et elle fait tomber son peignoir au sol devant son frère. Marc reste bouche bée.
— Vous me faites bander, les filles !
Sandrine me sourit. Elle reste nue le temps de me choisir une tenue : une minijupe blanche à volants ainsi qu’un débardeur rose. Marc n’arrête pas de regarder le corps dénudé de sa sœur.
— Ça devrait t’aller, Marine.
— Merci, Sandrine.
J’enfile les vêtements qu'elle vient de me prêter.
— Tu veux que je mette quoi, Marc ?
— Euh... tu devrais mettre le même genre de tenue que Marine.
— OK, Marc.
Sandrine se choisit une minijupe noire à volants et un croc top gris. Elle enfile ses vêtements sans oublier de mettre un string rose en dentelle en dessous.
— Je vais être obligé d’aller me branler sous la douche à cause de vous !
— On peut commencer avant que Sébastien ne revienne.
— Vous êtes sérieuses ?
Afin d’inciter Marc à le laisser le masturber, Sandrine vient m'embrasser goulûment sur la bouche.
— Putain ! À ce rythme, je n’aurai pas besoin de me branler pour jouir ! C’est mon fantasme de voir deux filles ensemble !
— On peut te masturber, maintenant ?
— Oui !
Marc baisse son pantalon et son boxer. Son sexe est déjà bien dur et dressé. Sandrine le branle dès que je commence à le sucer. On regarde toutes les deux Marc.
— Elle suce bien ?
— Oh oui, Sandrine ! Mmm presque aussi bien que toi !
Sandrine lui sourit. On continue à s’occuper de sa queue.
— Tu vas bientôt jouir ?
— Ça ne va pas tarder ! Tu veux me finir, Sandrine ?
— Non. C’est Marine qui va s’en occuper !
— Elle n’aime pas quand je gicle dans sa bouche !
— Tu vas voir.
Sandrine le masturbe vigoureusement. Je lui donne de petits coups de langue sur son gland.
— Oh oui, comme ça, c’est bon ! Oui, les filles, ça vient ! Aaah.
Dans un râle de plaisir, Marc éjacule dans ma bouche. Je récolte son jus sur ma langue avant de l’avaler. Après avoir atteint son orgasme il s’allonge sur le lit.
On se sourit toutes les deux. On est vraiment fières de ce que l’on vient de faire.
— Il faudrait que tu ranges ton engin avant que mon frère arrive, Marc !
— Tu as raison, Marine. Encore merci les filles !
Marc se lève du lit et se rhabille. On sort tous les trois de la chambre. Sandrine entre dans la salle de bain pour lui donner son peignoir.
— Tu ne voudrais pas me sucer, ma chérie ?
— On a des invités, Sébastien. Il va falloir que tu attendes ce soir.
— Dommage.
Sébastien enfile son peignoir puis laisse sa place à Marc. Il va ensuite dans sa chambre pour se changer. Quelques minutes après il revient en short et t-shirt.
— Ça se passe bien entre Marc et toi, Marine ?
— Oui, Sébastien.
— Sache que ça ne me dérange pas si tu dors avec lui ce soir.
— Tu es si sûre ?
— Je me doute bien que vous l’avez déjà fait, non ?
— C’est ta façon de me demander si on a déjà fait l’amour ?
— Euh... oui, Marine.
— Oui, on l’a déjà fait, pas qu’une seule fois !
— Euh... OK, Marine. Mais ne m’en dis pas plus !
— On dirait que cela te gêne de parler de sexe ?
— Tu es et tu resteras toujours ma petite sœur. Ça me dérange un peu de parler de ça avec toi.
On se pose dans le canapé en attendant le retour de Marc, qui nous rejoint dans le salon en peignoir.
— Tu peux me prêter un short et un t-shirt, Sébastien ?
— Ta sœur va te les chercher.
— OK.
Sandrine et Marc partent un instant dans la chambre pour lui choisir ses affaires. Je reste boire un verre avec mon frère au salon.
— Tant qu’on est tous les deux seuls, j’aimerais te proposer un truc pour ce soir.
— Je t’écoute, Sandrine.
— Ça te plairait qu'on couche tous les quatre ensemble ?
— Euh... quoi ? Tu veux dire que tu veux coucher avec moi ?
— Non, Marc. On pourrait être dans la même pièce pendant qu’on ferait l’amour tous les quatre.
— Mais ça va impliquer que je vais te voir faire l’amour avec Sébastien pendant que je le ferai avec Marine !
— Oui, Marc. C'est pas comme si tu ne m’avais jamais vue nue !
— Je veux bien essayer, mais je ne sais pas comment va réagir Sébastien !
— Je sais comment le persuader. Il ne pourra rien refuser à une femme enceinte !
— Coquine !
Ils sortent de la chambre et ils nous rejoignent.
— Tout le monde est d’accord si je commande des pizzas ?
— Oui, mon chéri. J’ai une faim de loup !
— C’est vrai que tu manges pour deux, maintenant ! Il va falloir que je m’habitue à ce que tu prennes du ventre et des fesses !
— Eh, c’est comme ça que tu parles à future mère de ton enfant ? Et sache que je vais avoir aussi de plus gros seins.
— Ça me dérangera moins !
Sandrine se jette sur Sébastien pour lui faire des chatouilles. On se met tous à rigoler.
— Pardon, mon amour. Tu sais bien que j’adore te taquiner.
— Tu peux le faire, mais pas trop sur mon physique sinon ce sera ceinture jusqu’à mon accouchement !
— Sept mois sans sexe ? Tu es sérieuse ?
— Ça va dépendre de toi.
— Excuse-moi, Sandrine. Je peux être con, parfois.
— Pas que parfois !
— Hé, je ne te permets pas, Marine !
— Je ne peux pas te taquiner ?
— Vous êtes de vraies chipies toutes les deux. Vous avez de la chance que je vous aime.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Autorfr
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hâte de lire la suite
