Marine et mes initiations (2)
Récit érotique écrit par Autorfr [→ Accès à sa fiche auteur]
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Marine et mes initiations (2)
— Oui, Marine. Mais pour ta première fois, il vaudrait mieux le faire dans un endroit un peu plus confortable et sans risque de se faire surprendre.
— Tu as raison, Marc. On pourrait le faire où ?
— Il faudrait mieux le faire dans ta chambre.
— D’accord. Et avec la fille que tu avais dépucelée, tu l’avais dans sa chambre aussi ?
— Oui, Marine.
Je regarde en direction de son sexe et je vois que ce dernier est tout flasque.
— C’est quand même plus beau quand c’est dur !
— Eh, mademoiselle !
— J’ai dit quelque chose de mal ?
— Non, mais c’est juste que cela ne se dit pas ! Je ne peux dire la même chose pour toi !
Je rougis en comprenant qu’il voudrait voir ce qui se cache dans ma culotte.
— Tu veux voir ma chatte, Marc ?
— Je ne dirais pas non.
Marc me fait un grand sourire pendant qu’il range son sexe dans son short. Je me lève. Je baisse ma culotte à mi-cuisse et je relève ma jupe un bref instant pour qu’il puisse voir mon buisson.
— Content ?
— Oui et merci, Marine. J’aime bien les petites chattes poilues, mais si tu pouvais l’éclaircir un peu plus, cela serait encore mieux.
— Euh... d’accord.
Je remonte ma culotte et Marc se lève à son tour.
— On le fait quand, alors ?
— On pourrait le faire mercredi après-midi.
— D’accord, Marc.
On rejoint le reste du groupe comme s’il ne s’était rien passé entre nous. Je vais voir Sandrine tandis que Marc part discuter avec mon frère.
— Je peux voir ta bague, Sandrine ?
— Oui, Marine.
— Il ne s’est pas foutu de toi ! Elle est magnifique.
— Merci, ma future belle-sœur !
— Je peux te poser des questions au sujet de Marc ?
— Oui. Que veux-tu savoir au sujet du beau gosse de la famille... après mon père, bien sûr ?
— J’aimerais savoir comment il se comporte avec les filles ? Et plus, précisément s’il les jette après avoir fait l’amour avec elles ?
Sandrine me regarde en souriant et elle me tire à l’écart pour plus d’intimité.
— Vous l’avez fait quand on vous a vu disparaître derrière l’ancien moulin ?
— Non ! Sandrine ! ... Pas encore en tout cas.
— Oh, coquine ! Pour en revenir à ta question, mon grand frère est plutôt très respectueux avec les filles. C’est plutôt lui qui se fait larguer, en fait. Ses conquêtes ne voient que ses muscles et non sa personnalité. Sous sa carapace de mec bien dans sa peau se cache un mec super sensible. Je l’ai même vu pleurer devant un film.
— C’est un peu l’idée que j’ai de lui-même si la nature la bien gâté... de partout.
— Comment ça de partout ?
Le rouge me monte aux joues. Sandrine comprend vite ce dont je parle.
— Tu as vu sa queue, c’est ça ?
— Euh... oui, Sandrine... et je n’ai pas fait que la voir.
— Euh... je ne veux pas en savoir plus, Marine !
— On dirait que cela te gêne de parler du sexe de ton frère ?
— Tu aimerais que je parle du sexe du tien ?
— Pas faux.
Notre discussion intime est interrompue par l’arrivée de mon grand frère.
— Tu as vu la bague que j’ai offerte à ma future femme, Marine ?
— Oui, Sébastien. Elle est superbe. Avec qui tu l’as choisie ?
— J’ai demandé conseil à maman.
Mon frère prend Sandrine dans ses bras et il l’embrasse dans le cou.
— J’ai envie de rentrer, mon amour.
De par son attitude, je comprends qu’il a envie de passer un moment intime avec Sandrine.
— C’est moi qui conduis, Sébastien !
— Oui, future madame !
— Tu veux que l’on te dépose chez les parents, Marine ?
— Oui, je veux bien. J’ai eu assez d’émotions pour ce soir.
Avant de partir, on salue Marc. Je lui glisse discrètement mon numéro de téléphone dans la main.
On monte dans la voiture de mon frère. Je m’assois à l’arrière tandis que les futurs mariés se mettent à l’avant.
Durant le trajet, mon frère essaie de glisser une main entre les cuisses de Sandrine. Elle lui tape sur la main.
— Attends que l’on soit chez moi, Séb ! Je te rappelle que ta petite sœur est derrière !
Sandrine me dépose devant chez moi et on se fait la bise.
Je rentre tranquillement chez moi en repensant à ma soirée avec Marc et surtout à son sexe bien dur.
Je me glisse nue sous mes draps et je ne peux pas m’empêcher de me caresser en pensant à Marc. Il ne me faut que quelques minutes pour me faire mouiller et atteindre mon orgasme.
Avant de rejoindre le pays des songes, j’envoie un petit message à Marc pour lui souhaiter bonne nuit. Il me répond par un simple émoji « bisou ».
Le lendemain matin, je me réveille avec des étoiles plein les yeux en pensant à Marc.
Dans la matinée, je passe près d’une heure dans la salle de bain pour éclaircir mon buisson brun.
Durant la journée, Marc et moi n’arrêtons pas de nous envoyer des textos de plus en plus coquins. Je finis par lui envoyer une photo de moi en sous-vêtements en laissant apparaître ma toison. Dans la foulée, je reçois un selfie de sa part où il apparaît entièrement nu avec juste une main posée devant son sexe. Dans un élan d’excitation, je lui envoie une photo de mon sein droit. Marc met quelques minutes à me répondre en me disant qu’il a hâte de voir l’autre mercredi.
Le lendemain, quelqu’un vient toquer à la porte de ma maison. Je porte un jogging et un t-shirt sous lequel je n'ai pas mis de soutien-gorge. Je vais voir et en ouvrant la porte, je me retrouve face à Marc.
— Oh, salut. On avait dit demain, Marc !
— Oui, je sais. Mais je voulais t’offrir quelque chose que j’aimerais que tu portes demain.
— C’est quoi ?
Marc me tend un petit sac en papier que je m’empresse d’ouvrir. J’y découvre un ensemble de lingerie blanche. Je rougis instantanément.
— Il te plaît ?
— Oui, Marc ! Mais tu es sûr qu’il va m’aller ?
— Tu fais un 90C, non ?
— Euh..., oui ! Comment tu sais ça, toi ?
— C’est grâce à la photo que tu m’as envoyée hier. J’ai le coup d’œil pour reconnaître la taille de la poitrine d’une femme.
J’ai une terrible envie de faire entrer, mais je me retiens, car j’avais prévu de l’accueillir dans une tenue bien plus sexy.
— Je suis juste venu t’offrir cet humble cadeau, Marine. J’ai rendez-vous avec ton frère pour une partie de rugby.
— Je peux venir ?
— Oui, Marine. J’en serais ravi.
— Laisse-moi aller cacher ton cadeau dans ma chambre et me changer.
— OK, je vous attends, mademoiselle !
Je ferme la porte sans faire attention que je viens de la lui claquer au nez. Je vais directement dans ma chambre pour ranger précisément son cadeau dans un de mes tiroirs. J’enlève rapidement mon jogging et mon t-shirt pour mettre une jupe courte à fleurs et qu’un croc top blanc. Je n’ai que ma culotte en guise de sous-vêtements. J’enfile rapidement une paire de tennis. Je reviens à la porte d’entrée.
— Désolée de t’avoir fait attendre, Marc.
— Ce n’est rien. Et cela valait le coup d’attendre. Tu es vraiment magnifique.
— Tu as mis mon cadeau ?
— Non, j’ai préféré le garder pour demain.
— Tu as bien fait.
Je ferme la porte derrière moi et on monte dans sa voiture. Je m’assois à côté de lui. Mon cœur bat à fond et mon bas-ventre est en ébullition.
Avant d’arriver au stade, je me rends compte que je n’ai pas embrassé Marc.
— Je ne t’ai même pas embrassé pour te remercier de ton cadeau.
— Je ne t’en veux pas. Tu étais trop excitée par mon cadeau.
— Gare-toi ! C’est à mon tour de t’en faire un !
Marc se gare rapidement sur le bas-côté et je soulève mon croc top pour lui montrer mes seins.
— C’est vraiment un joli cadeau, Marine !
Je me redescends mon haut et j’embrasse tendrement Marc sur la bouche. Il reprend la route et il pose délicatement une main sur l’une de mes cuisses. Il ne nous faut que quelques minutes pour arriver au stade.
Avant de sortir de sa voiture, je vérifie que mon croc top est bien en place. Marc en profite pour venir m’ouvrir la portière.
— Merci, monsieur.
— De rien, mademoiselle.
On entre dans l’enceinte du stade en se tenant la main. Sandrine me sourit en me voyant arriver avec son frère. Marc part dans les vestiaires pour se changer. Je me dirige vers Sandrine pour aller la saluer. On se fait la bise.
— Salut, Sandrine.
— Bonjour, Marine. Tu es en beauté. J’ai vu que tu t’es trouvé un chauffeur.
— Oui, Sandrine.
— Donc, tu sors avec mon frère.
— Je crois que l’on peut dire ça. Mon frère va bien ?
— Mon futur mari se porte mieux que moi.
— Tu es malade, Sandrine ?
— Pour l’instant, personne n’est au courant, mais tu risques d’avoir bientôt un neveu ou une nièce.
— Tu es enceinte ?
— Oui. J’ai fait un test, ce matin.
— Je suis trop contente pour vous deux.
— On veut attendre un avant d’en parler à tes parents.
— Je comprends, Sandrine. Marc est au courant ?
— Non. Tu ne le dis pas, OK ?
— Je te le promets, ma future belle-sœur.
On regarde les joueurs sortir du vestiaire. Mes yeux ne sont que pour Marc. Mon frère, Sébastien, se dirige vers nous.
— Tu es là, princesse ?
— Oui, Sébastien !
— Tu es au courant ?
— Que tu as planté ta graine ?
Mon frère me répond par un grand sourire. Il est vraiment fier de son coup. Il embrasse Sandrine et il part rejoindre ses camarades sur le terrain.
Pendant près d’une heure, je regarde Marc jouer. Je souris en le voyant se mettre torse nu au milieu du terrain. Je le trouve de plus en plus beau.
J’ai l’impression que mon cœur s’arrête lorsque je vois Marc rester au sol suite à un plaquage, mais il finit par se relever en boitant. Il revient au bord du terrain tant bien que mal et je vais m’enquérir de son état de santé.
— Tu t’es fait mal, Marc ?
— Oui. J’ai pris un coup au-dessus du genou, j’aurais bien besoin d’un massage, Marine.
Sandrine comprend qu’il ne s’est pas si fait mal que cela. Elle échange un clin d’œil discret avec son frère.
— Marine, tu devrais aller le masser dans le vestiaire des arbitres.
— Euh... d’accord.
— Je vais t’aider à l’amener là-bas.
Marc s’appuie sur nos épaules pour se diriger vers le vestiaire. Sandrine nous ouvre la porte et elle me laisse seul avec Marc. Marc referme la porte derrière nous. Comme par magie, il se met à marcher correctement.
— On dirait que tu vas mieux, Marc !
— Oui, Marine. Mais, j’ai quand même une crampe.
Je ne comprends pas tout de suite son allusion.
— Tu n’as une petite idée, Marine ?
— Euh... tu veux dire... là ?
— Je vois que tu as compris.
— Mais, on avait dit que l’on ne ferait que demain ?
— Je sais bien, Marine. Mais, rien nous empêcher de se caresser.
Mon visage devient rouge et mon cœur s’emballe. Marc baisse son short, me révélant ainsi son sexe au grand jour. Son sexe n’est qu’à moitié dressé.
— J’avais l’impression que ton sexe était plus gros, la dernière fois ?
— Il ne tient qu’à toi pour le faire grossir.
— Tu veux que je te suce ?
— Je me contenterais de ta main à condition que tu te mettes entièrement nue.
J’hésite un bref instant avant d’enlever mon croc top et mon minishort. Marc m’arrête dans mon effeuillage avant que je ne retire ma culotte en coton rose.
— Tu ne veux pas que j’enlève ma culotte ?
— Si, mais pas tout de suite.
Marc tapote le banc pour m’inviter à m’asseoir à côté de lui. Il prend ma main droite et elle la pose sur son sexe. Timidement, je commence à le masturber. Avec sa main gauche, Marc caresse délicatement mon intimité par-dessus ma culotte. L’excitation monte rapidement en moi.
— Mmm, tu fais ça bien, Marine ! Oui, continue !
— C’est la première fois qu’un garçon me caresse à cet endroit.
— Tu aimes ?
— Oooh, oui, Marc.
Mon excitation ne fait que croire. Je continue à le masturber et il vient embrasser mes seins et sucer mes tétons pendant que ses doigts continuent à caresser ma fente.
Rapidement, une tache apparaît au niveau de ma fente. Des frissons parcourent tout mon corps. Son sexe devient de plus en plus gros et dur entre mes doigts.
— Enlève ta culotte et viens t’asseoir sur mes genoux !
— Euh... tu veux faire quoi ?
— Tu vas voir.
Marc retire sa main de mon entrejambe. Je me mets debout devant lui pour retirer ma culotte. Je vois son regard se porter sur mon buisson. Je pose ma culotte à côté de lui.
— J’adore la façon dont tu as taillé ton buisson, Marine.
— Je suis heureuse que cela te plaise.
Je m’assois sur ses genoux en écartant les cuisses. Il pose ses mains sur mes fesses nues pour rapprocher son sexe du mien.
— Non ! Je ne veux pas le faire maintenant !
— Détends-toi, Marine ! Je ne vais pas te pénétrer !
Marc se saisit de son sexe et il le frotte le long de ma fente et sur mon clitoris. De nouveaux frissons parcourent mon corps.
— Oh, c’est bon !
— Je savais que cela allait te plaire, Marine.
Il continue à me caresser avec le bout de son sexe. On se regarde droit dans les yeux. Je caresse son torse nu et musclé. Sentir son sexe dur se frotter contre le mien est particulièrement excitant.
— Oh, je vais jouir, Marine !
— Tu vas éjaculer ?
— Oui, ça vient !
Le corps de Marc se crispe et dans un râle étouffé de plaisir, son gland libère sa semence qui vient se déposer entre mon nombril et sur mon buisson. Le spectacle est vraiment grandiose à mes yeux. Je ressens la chaleur de sa semence.
— Tu en as mis partout sur moi, Marc !
— C’était vraiment excitant, Marine. Merci de m’avoir laissé faire.
— De rien. J’ai adoré. Demain, tu éjaculeras en moi ?
— Oui, Marine.
Son sperme coule sur mes poils. Il prend ma culotte et il essuie ma toison souillée.
— Tu ne mettras pas de capote, demain ?
— Pour ta première fois, cela sera plus agréable pour toi si je n’en mets pas sauf si tu ne prends pas la pilule.
— Je la prends, Marc.
— On fera l’amour sans, alors !
Je reste assise sur ses genoux pendant quelques minutes pour se caresser et s’embrasser.
— On pourrait prendre une douche ensemble, Marine !
— Oui, Marc. Je crois que j’en ai besoin pour me remettre de mes émotions.
— En fait, j’aimerais de te donner du plaisir à mon tour.
— Tu as quoi encore derrière la tête ?
— Je veux goûter à ta chatte avec ma langue ! Tentée ?
— Je veux bien essayer.
Je me lève. Marc prend ma main et on se dirige vers les douches. Je suis à la fois excitée et anxieuse à l’idée de ce qu’il va se passer.
Marc déclenche la douche. L’eau tiède coule sur nos corps brûlants. Marc se met à genoux devant moi et il me soulève pour poser mes cuisses sur ses épaules. Sa bouche se retrouve à quelques centimètres de mon intimité. Sans m’y attendre, Marc se relève en posant ses mains sur mes fesses nues. Je suis surprise de me retrouver aussi haut. Je m’accroche au pommeau de douche et Marc commence l’exploration de mon intimité avec sa langue. Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir. Le plaisir que je ressens est nouveau et extraordinaire.
La langue de Marc passe le long des lèvres de mon sexe et elle vient titiller de temps en temps mon clitoris. Je croise mes pieds derrière son dos afin d’avoir plus de stabilité durant cette acrobatie. Mes gémissements sont à peine couverts par le bruit de la douche et de l’eau qui tombe au sol. Je gémis de plus en plus fort. Ma respiration s’accélère soudainement et je me laisse envahir par une vague de chaleur qui provient de mon bas-ventre. Je vis ainsi mon premier orgasme donné par la langue d’un homme.
Après avoir atteint mon orgasme, Marc me repose au sol. On passe plusieurs minutes sous la douche pour nous remettre de ce moment de plaisir intense.
Marc coupe la douche et on s’assoit sur un banc pour attendre que nos corps sèchent un peu.
Je me rhabille en commençant par enfiler ma culotte souillée par le sperme de Marc. J’enfile ensuite mon minishort. Marc remet son short. Je reste seins nus devant lui pendant quelques minutes avant de remettre mon haut.
— C’était vraiment extraordinaire, Marc. Cela sera aussi bon, demain ?
— Je l’espère même si cela sera moins acrobatique.
On se sourit avant d’échanger de tendres baisers. On sort finalement du vestiaire et on revient voir Sandrine.
Sandrine affiche un grand sourire en voyant que mes cheveux sont mouillés. Marc part dans le vestiaire pour se changer.
— On dirait que mon frère n’a pas eu droit qu’à un massage, Marine ?
Je lui souris tout en sentant mes joues rosir.
— On va dire que l’on a fait plus ample connaissance.
— Euh... tu veux dire que vous l’avez fait ?
— Non, Sandrine ! On a juste appris à se donner du plaisir.
— Euh... OK. Ne m’en dis pas plus !
— Tu ne veux pas savoir si ton frère lèche bien ?
C’est au tour de Sandrine devenir rouge comme une tomate.
— Je ne veux pas le savoir !
Les autres joueurs rejoignent le vestiaire pour aller prendre une douche.
Marc nous rejoint après s’être changé. Il voit que les joues de sa sœur sont rouges.
— Tu devrais te mettre à l’ombre, Sandrine. Je n’aimerais pas que mon futur neveu ou ma future nièce prenne un coup de soleil.
— Vu où est mon futur bébé, cela ne risque pas d’arriver !
— Je te taquine, Sandrine.
— Je sais bien, couillon !
Mon frère nous rejoint pour discuter. Il voit que j’ai les cheveux encore mouillés.
— Tu as si chaud que ça, princesse ?
— Euh... j’avais besoin de me rafraîchir.
Soudainement, Sandrine part derrière la tribune.
— Je crois que notre futur bébé commence à faire des siennes.
— Quoi ? Ma sœur est enceinte ?
Mon frère comprend qu’il a gaffé devant Marc.
— Euh... on ne voulait te l’annoncer comme ça, Marc, mais tu vas être tonton !
— Tu le sais depuis longtemps ?
— Depuis ce matin, en fait.
— Donc, tu l’as demandé en mariage avant de savoir que tu avais planté ta petite graine ?
— Oui, futur beau-frère !
Sandrine revient après avoir rendu mon déjeuner.
— Ça va, mon amour ?
— Euh... oui. Je crois que j’ai pris une insolation.
Marc sourit en voyant sa sœur lui mentir.
— Je sais ce qu’il t’arrive, petite sœur ! Je sais que je vais être tonton.
Sandrine se tourne vers moi avec un regard noir.
— C’est toi qui l’as dit à mon frère, Marine ?
Mon frère vient à ma rescousse avant que Sandrine ne s’énerve.
— J’avoue, c’est moi qui ai gaffé devant ton frère !
— Tu ne sais pas tenir ta langue, toi ! Ce soir, tu seras privé de dessert ! Tu pourras te la mettre derrière l’oreille !
— Je sais que j’ai un bel engin, mais il n’est pas aussi long que ça !
Je rougis en imaginant le sexe de mon grand frère.
— Arrête de parler de sexe devant ta petite sœur, Séb !
— Elle est majeure et je lui souhaite de tomber amoureuse comme nous le sommes tous les deux !
— Tu t’es bien rattrapé aux branches, mon chéri !
Sans m’en rendre compte, je prends la main de Marc. Mon frère s’en rend compte.
— Tu sors avec mon meilleur pote, petite sœur ?
— Euh... oui, Sébastien !
Mon frère se tourne vers Marc.
— Si j’apprends que tu lui fais du mal, je te jure que je te fais bouffer tes couilles !
— Reste zen, Sébastien. Je ne compte pas lui faire du mal... mais plutôt du bien !
— Et ! Ne parle pas comme ça de ma petite sœur !
Je m’interpose entre Marc et mon frère.
— Vous n’allez pas vous battre pour moi ?
— On ne fait que se taquiner. Mais je pensais vraiment ce que je disais toute à l’heure, petite sœur ! Je suis même heureux que vous sortiez ensemble.
Marc et mon frère se prennent dans les bras et font semblant de se rouler une pelle. Sandrine et moi explosons de rire.
— Tu veux me tromper avec mon frère ?
— Jamais de la vie, ma chérie ! Tu sais bien que je considère ton frère comme le mien, mais on n’est pas assez proche pour que je te trompe avec lui.
Sandrine semble fatiguée et elle se met à bâiller.
— On va rentrer, mon amour. Je vais te préparer un bain moussant.
— Je sais pourquoi je t’aime, mon couillon !
Mon frère et Sandrine s’embrassent.
— Il va falloir que tu fasses quelque chose pour ton haleine, Sandrine.
Sandrine lui lance un regard noir et elle lui donne un coup de poing dans le ventre. Mon frère pare un coup de genou en direction de son entrejambe.
— Tu es vraiment trop con !
— Mais, c’est pour ça que tu m’aimes !
Sandrine lui tire la langue en souriant. Après cette petite chamaillerie, ils nous font la bise avant de sortir de l’enceinte du stade main dans la main.
— Je vous ramène, mademoiselle Marine ?
— Je veux bien, monsieur Marc !
À notre tour, nous quittons le stade et nous montons dans sa voiture.
En arrivant devant chez moi, je vois que mes parents sont rentrés. J’embrasse Marc avant de sortir de sa voiture.
— J’ai hâte que l’on soit à demain, Marc.
— Moi aussi, Marine.
— Et encore merci pour cette après-midi coquine.
— Le plaisir a été partagé. À demain et n’oublie pas mon petit cadeau !
— Non, Marc. Bisous !
On se fait un petit signe de la main avant de le laisser rentrer chez lui.
J’ai vraiment hâte de le revoir. Je suis que dans moins de 24 heures, je serai une tout autre femme.
— Tu as raison, Marc. On pourrait le faire où ?
— Il faudrait mieux le faire dans ta chambre.
— D’accord. Et avec la fille que tu avais dépucelée, tu l’avais dans sa chambre aussi ?
— Oui, Marine.
Je regarde en direction de son sexe et je vois que ce dernier est tout flasque.
— C’est quand même plus beau quand c’est dur !
— Eh, mademoiselle !
— J’ai dit quelque chose de mal ?
— Non, mais c’est juste que cela ne se dit pas ! Je ne peux dire la même chose pour toi !
Je rougis en comprenant qu’il voudrait voir ce qui se cache dans ma culotte.
— Tu veux voir ma chatte, Marc ?
— Je ne dirais pas non.
Marc me fait un grand sourire pendant qu’il range son sexe dans son short. Je me lève. Je baisse ma culotte à mi-cuisse et je relève ma jupe un bref instant pour qu’il puisse voir mon buisson.
— Content ?
— Oui et merci, Marine. J’aime bien les petites chattes poilues, mais si tu pouvais l’éclaircir un peu plus, cela serait encore mieux.
— Euh... d’accord.
Je remonte ma culotte et Marc se lève à son tour.
— On le fait quand, alors ?
— On pourrait le faire mercredi après-midi.
— D’accord, Marc.
On rejoint le reste du groupe comme s’il ne s’était rien passé entre nous. Je vais voir Sandrine tandis que Marc part discuter avec mon frère.
— Je peux voir ta bague, Sandrine ?
— Oui, Marine.
— Il ne s’est pas foutu de toi ! Elle est magnifique.
— Merci, ma future belle-sœur !
— Je peux te poser des questions au sujet de Marc ?
— Oui. Que veux-tu savoir au sujet du beau gosse de la famille... après mon père, bien sûr ?
— J’aimerais savoir comment il se comporte avec les filles ? Et plus, précisément s’il les jette après avoir fait l’amour avec elles ?
Sandrine me regarde en souriant et elle me tire à l’écart pour plus d’intimité.
— Vous l’avez fait quand on vous a vu disparaître derrière l’ancien moulin ?
— Non ! Sandrine ! ... Pas encore en tout cas.
— Oh, coquine ! Pour en revenir à ta question, mon grand frère est plutôt très respectueux avec les filles. C’est plutôt lui qui se fait larguer, en fait. Ses conquêtes ne voient que ses muscles et non sa personnalité. Sous sa carapace de mec bien dans sa peau se cache un mec super sensible. Je l’ai même vu pleurer devant un film.
— C’est un peu l’idée que j’ai de lui-même si la nature la bien gâté... de partout.
— Comment ça de partout ?
Le rouge me monte aux joues. Sandrine comprend vite ce dont je parle.
— Tu as vu sa queue, c’est ça ?
— Euh... oui, Sandrine... et je n’ai pas fait que la voir.
— Euh... je ne veux pas en savoir plus, Marine !
— On dirait que cela te gêne de parler du sexe de ton frère ?
— Tu aimerais que je parle du sexe du tien ?
— Pas faux.
Notre discussion intime est interrompue par l’arrivée de mon grand frère.
— Tu as vu la bague que j’ai offerte à ma future femme, Marine ?
— Oui, Sébastien. Elle est superbe. Avec qui tu l’as choisie ?
— J’ai demandé conseil à maman.
Mon frère prend Sandrine dans ses bras et il l’embrasse dans le cou.
— J’ai envie de rentrer, mon amour.
De par son attitude, je comprends qu’il a envie de passer un moment intime avec Sandrine.
— C’est moi qui conduis, Sébastien !
— Oui, future madame !
— Tu veux que l’on te dépose chez les parents, Marine ?
— Oui, je veux bien. J’ai eu assez d’émotions pour ce soir.
Avant de partir, on salue Marc. Je lui glisse discrètement mon numéro de téléphone dans la main.
On monte dans la voiture de mon frère. Je m’assois à l’arrière tandis que les futurs mariés se mettent à l’avant.
Durant le trajet, mon frère essaie de glisser une main entre les cuisses de Sandrine. Elle lui tape sur la main.
— Attends que l’on soit chez moi, Séb ! Je te rappelle que ta petite sœur est derrière !
Sandrine me dépose devant chez moi et on se fait la bise.
Je rentre tranquillement chez moi en repensant à ma soirée avec Marc et surtout à son sexe bien dur.
Je me glisse nue sous mes draps et je ne peux pas m’empêcher de me caresser en pensant à Marc. Il ne me faut que quelques minutes pour me faire mouiller et atteindre mon orgasme.
Avant de rejoindre le pays des songes, j’envoie un petit message à Marc pour lui souhaiter bonne nuit. Il me répond par un simple émoji « bisou ».
Le lendemain matin, je me réveille avec des étoiles plein les yeux en pensant à Marc.
Dans la matinée, je passe près d’une heure dans la salle de bain pour éclaircir mon buisson brun.
Durant la journée, Marc et moi n’arrêtons pas de nous envoyer des textos de plus en plus coquins. Je finis par lui envoyer une photo de moi en sous-vêtements en laissant apparaître ma toison. Dans la foulée, je reçois un selfie de sa part où il apparaît entièrement nu avec juste une main posée devant son sexe. Dans un élan d’excitation, je lui envoie une photo de mon sein droit. Marc met quelques minutes à me répondre en me disant qu’il a hâte de voir l’autre mercredi.
Le lendemain, quelqu’un vient toquer à la porte de ma maison. Je porte un jogging et un t-shirt sous lequel je n'ai pas mis de soutien-gorge. Je vais voir et en ouvrant la porte, je me retrouve face à Marc.
— Oh, salut. On avait dit demain, Marc !
— Oui, je sais. Mais je voulais t’offrir quelque chose que j’aimerais que tu portes demain.
— C’est quoi ?
Marc me tend un petit sac en papier que je m’empresse d’ouvrir. J’y découvre un ensemble de lingerie blanche. Je rougis instantanément.
— Il te plaît ?
— Oui, Marc ! Mais tu es sûr qu’il va m’aller ?
— Tu fais un 90C, non ?
— Euh..., oui ! Comment tu sais ça, toi ?
— C’est grâce à la photo que tu m’as envoyée hier. J’ai le coup d’œil pour reconnaître la taille de la poitrine d’une femme.
J’ai une terrible envie de faire entrer, mais je me retiens, car j’avais prévu de l’accueillir dans une tenue bien plus sexy.
— Je suis juste venu t’offrir cet humble cadeau, Marine. J’ai rendez-vous avec ton frère pour une partie de rugby.
— Je peux venir ?
— Oui, Marine. J’en serais ravi.
— Laisse-moi aller cacher ton cadeau dans ma chambre et me changer.
— OK, je vous attends, mademoiselle !
Je ferme la porte sans faire attention que je viens de la lui claquer au nez. Je vais directement dans ma chambre pour ranger précisément son cadeau dans un de mes tiroirs. J’enlève rapidement mon jogging et mon t-shirt pour mettre une jupe courte à fleurs et qu’un croc top blanc. Je n’ai que ma culotte en guise de sous-vêtements. J’enfile rapidement une paire de tennis. Je reviens à la porte d’entrée.
— Désolée de t’avoir fait attendre, Marc.
— Ce n’est rien. Et cela valait le coup d’attendre. Tu es vraiment magnifique.
— Tu as mis mon cadeau ?
— Non, j’ai préféré le garder pour demain.
— Tu as bien fait.
Je ferme la porte derrière moi et on monte dans sa voiture. Je m’assois à côté de lui. Mon cœur bat à fond et mon bas-ventre est en ébullition.
Avant d’arriver au stade, je me rends compte que je n’ai pas embrassé Marc.
— Je ne t’ai même pas embrassé pour te remercier de ton cadeau.
— Je ne t’en veux pas. Tu étais trop excitée par mon cadeau.
— Gare-toi ! C’est à mon tour de t’en faire un !
Marc se gare rapidement sur le bas-côté et je soulève mon croc top pour lui montrer mes seins.
— C’est vraiment un joli cadeau, Marine !
Je me redescends mon haut et j’embrasse tendrement Marc sur la bouche. Il reprend la route et il pose délicatement une main sur l’une de mes cuisses. Il ne nous faut que quelques minutes pour arriver au stade.
Avant de sortir de sa voiture, je vérifie que mon croc top est bien en place. Marc en profite pour venir m’ouvrir la portière.
— Merci, monsieur.
— De rien, mademoiselle.
On entre dans l’enceinte du stade en se tenant la main. Sandrine me sourit en me voyant arriver avec son frère. Marc part dans les vestiaires pour se changer. Je me dirige vers Sandrine pour aller la saluer. On se fait la bise.
— Salut, Sandrine.
— Bonjour, Marine. Tu es en beauté. J’ai vu que tu t’es trouvé un chauffeur.
— Oui, Sandrine.
— Donc, tu sors avec mon frère.
— Je crois que l’on peut dire ça. Mon frère va bien ?
— Mon futur mari se porte mieux que moi.
— Tu es malade, Sandrine ?
— Pour l’instant, personne n’est au courant, mais tu risques d’avoir bientôt un neveu ou une nièce.
— Tu es enceinte ?
— Oui. J’ai fait un test, ce matin.
— Je suis trop contente pour vous deux.
— On veut attendre un avant d’en parler à tes parents.
— Je comprends, Sandrine. Marc est au courant ?
— Non. Tu ne le dis pas, OK ?
— Je te le promets, ma future belle-sœur.
On regarde les joueurs sortir du vestiaire. Mes yeux ne sont que pour Marc. Mon frère, Sébastien, se dirige vers nous.
— Tu es là, princesse ?
— Oui, Sébastien !
— Tu es au courant ?
— Que tu as planté ta graine ?
Mon frère me répond par un grand sourire. Il est vraiment fier de son coup. Il embrasse Sandrine et il part rejoindre ses camarades sur le terrain.
Pendant près d’une heure, je regarde Marc jouer. Je souris en le voyant se mettre torse nu au milieu du terrain. Je le trouve de plus en plus beau.
J’ai l’impression que mon cœur s’arrête lorsque je vois Marc rester au sol suite à un plaquage, mais il finit par se relever en boitant. Il revient au bord du terrain tant bien que mal et je vais m’enquérir de son état de santé.
— Tu t’es fait mal, Marc ?
— Oui. J’ai pris un coup au-dessus du genou, j’aurais bien besoin d’un massage, Marine.
Sandrine comprend qu’il ne s’est pas si fait mal que cela. Elle échange un clin d’œil discret avec son frère.
— Marine, tu devrais aller le masser dans le vestiaire des arbitres.
— Euh... d’accord.
— Je vais t’aider à l’amener là-bas.
Marc s’appuie sur nos épaules pour se diriger vers le vestiaire. Sandrine nous ouvre la porte et elle me laisse seul avec Marc. Marc referme la porte derrière nous. Comme par magie, il se met à marcher correctement.
— On dirait que tu vas mieux, Marc !
— Oui, Marine. Mais, j’ai quand même une crampe.
Je ne comprends pas tout de suite son allusion.
— Tu n’as une petite idée, Marine ?
— Euh... tu veux dire... là ?
— Je vois que tu as compris.
— Mais, on avait dit que l’on ne ferait que demain ?
— Je sais bien, Marine. Mais, rien nous empêcher de se caresser.
Mon visage devient rouge et mon cœur s’emballe. Marc baisse son short, me révélant ainsi son sexe au grand jour. Son sexe n’est qu’à moitié dressé.
— J’avais l’impression que ton sexe était plus gros, la dernière fois ?
— Il ne tient qu’à toi pour le faire grossir.
— Tu veux que je te suce ?
— Je me contenterais de ta main à condition que tu te mettes entièrement nue.
J’hésite un bref instant avant d’enlever mon croc top et mon minishort. Marc m’arrête dans mon effeuillage avant que je ne retire ma culotte en coton rose.
— Tu ne veux pas que j’enlève ma culotte ?
— Si, mais pas tout de suite.
Marc tapote le banc pour m’inviter à m’asseoir à côté de lui. Il prend ma main droite et elle la pose sur son sexe. Timidement, je commence à le masturber. Avec sa main gauche, Marc caresse délicatement mon intimité par-dessus ma culotte. L’excitation monte rapidement en moi.
— Mmm, tu fais ça bien, Marine ! Oui, continue !
— C’est la première fois qu’un garçon me caresse à cet endroit.
— Tu aimes ?
— Oooh, oui, Marc.
Mon excitation ne fait que croire. Je continue à le masturber et il vient embrasser mes seins et sucer mes tétons pendant que ses doigts continuent à caresser ma fente.
Rapidement, une tache apparaît au niveau de ma fente. Des frissons parcourent tout mon corps. Son sexe devient de plus en plus gros et dur entre mes doigts.
— Enlève ta culotte et viens t’asseoir sur mes genoux !
— Euh... tu veux faire quoi ?
— Tu vas voir.
Marc retire sa main de mon entrejambe. Je me mets debout devant lui pour retirer ma culotte. Je vois son regard se porter sur mon buisson. Je pose ma culotte à côté de lui.
— J’adore la façon dont tu as taillé ton buisson, Marine.
— Je suis heureuse que cela te plaise.
Je m’assois sur ses genoux en écartant les cuisses. Il pose ses mains sur mes fesses nues pour rapprocher son sexe du mien.
— Non ! Je ne veux pas le faire maintenant !
— Détends-toi, Marine ! Je ne vais pas te pénétrer !
Marc se saisit de son sexe et il le frotte le long de ma fente et sur mon clitoris. De nouveaux frissons parcourent mon corps.
— Oh, c’est bon !
— Je savais que cela allait te plaire, Marine.
Il continue à me caresser avec le bout de son sexe. On se regarde droit dans les yeux. Je caresse son torse nu et musclé. Sentir son sexe dur se frotter contre le mien est particulièrement excitant.
— Oh, je vais jouir, Marine !
— Tu vas éjaculer ?
— Oui, ça vient !
Le corps de Marc se crispe et dans un râle étouffé de plaisir, son gland libère sa semence qui vient se déposer entre mon nombril et sur mon buisson. Le spectacle est vraiment grandiose à mes yeux. Je ressens la chaleur de sa semence.
— Tu en as mis partout sur moi, Marc !
— C’était vraiment excitant, Marine. Merci de m’avoir laissé faire.
— De rien. J’ai adoré. Demain, tu éjaculeras en moi ?
— Oui, Marine.
Son sperme coule sur mes poils. Il prend ma culotte et il essuie ma toison souillée.
— Tu ne mettras pas de capote, demain ?
— Pour ta première fois, cela sera plus agréable pour toi si je n’en mets pas sauf si tu ne prends pas la pilule.
— Je la prends, Marc.
— On fera l’amour sans, alors !
Je reste assise sur ses genoux pendant quelques minutes pour se caresser et s’embrasser.
— On pourrait prendre une douche ensemble, Marine !
— Oui, Marc. Je crois que j’en ai besoin pour me remettre de mes émotions.
— En fait, j’aimerais de te donner du plaisir à mon tour.
— Tu as quoi encore derrière la tête ?
— Je veux goûter à ta chatte avec ma langue ! Tentée ?
— Je veux bien essayer.
Je me lève. Marc prend ma main et on se dirige vers les douches. Je suis à la fois excitée et anxieuse à l’idée de ce qu’il va se passer.
Marc déclenche la douche. L’eau tiède coule sur nos corps brûlants. Marc se met à genoux devant moi et il me soulève pour poser mes cuisses sur ses épaules. Sa bouche se retrouve à quelques centimètres de mon intimité. Sans m’y attendre, Marc se relève en posant ses mains sur mes fesses nues. Je suis surprise de me retrouver aussi haut. Je m’accroche au pommeau de douche et Marc commence l’exploration de mon intimité avec sa langue. Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir. Le plaisir que je ressens est nouveau et extraordinaire.
La langue de Marc passe le long des lèvres de mon sexe et elle vient titiller de temps en temps mon clitoris. Je croise mes pieds derrière son dos afin d’avoir plus de stabilité durant cette acrobatie. Mes gémissements sont à peine couverts par le bruit de la douche et de l’eau qui tombe au sol. Je gémis de plus en plus fort. Ma respiration s’accélère soudainement et je me laisse envahir par une vague de chaleur qui provient de mon bas-ventre. Je vis ainsi mon premier orgasme donné par la langue d’un homme.
Après avoir atteint mon orgasme, Marc me repose au sol. On passe plusieurs minutes sous la douche pour nous remettre de ce moment de plaisir intense.
Marc coupe la douche et on s’assoit sur un banc pour attendre que nos corps sèchent un peu.
Je me rhabille en commençant par enfiler ma culotte souillée par le sperme de Marc. J’enfile ensuite mon minishort. Marc remet son short. Je reste seins nus devant lui pendant quelques minutes avant de remettre mon haut.
— C’était vraiment extraordinaire, Marc. Cela sera aussi bon, demain ?
— Je l’espère même si cela sera moins acrobatique.
On se sourit avant d’échanger de tendres baisers. On sort finalement du vestiaire et on revient voir Sandrine.
Sandrine affiche un grand sourire en voyant que mes cheveux sont mouillés. Marc part dans le vestiaire pour se changer.
— On dirait que mon frère n’a pas eu droit qu’à un massage, Marine ?
Je lui souris tout en sentant mes joues rosir.
— On va dire que l’on a fait plus ample connaissance.
— Euh... tu veux dire que vous l’avez fait ?
— Non, Sandrine ! On a juste appris à se donner du plaisir.
— Euh... OK. Ne m’en dis pas plus !
— Tu ne veux pas savoir si ton frère lèche bien ?
C’est au tour de Sandrine devenir rouge comme une tomate.
— Je ne veux pas le savoir !
Les autres joueurs rejoignent le vestiaire pour aller prendre une douche.
Marc nous rejoint après s’être changé. Il voit que les joues de sa sœur sont rouges.
— Tu devrais te mettre à l’ombre, Sandrine. Je n’aimerais pas que mon futur neveu ou ma future nièce prenne un coup de soleil.
— Vu où est mon futur bébé, cela ne risque pas d’arriver !
— Je te taquine, Sandrine.
— Je sais bien, couillon !
Mon frère nous rejoint pour discuter. Il voit que j’ai les cheveux encore mouillés.
— Tu as si chaud que ça, princesse ?
— Euh... j’avais besoin de me rafraîchir.
Soudainement, Sandrine part derrière la tribune.
— Je crois que notre futur bébé commence à faire des siennes.
— Quoi ? Ma sœur est enceinte ?
Mon frère comprend qu’il a gaffé devant Marc.
— Euh... on ne voulait te l’annoncer comme ça, Marc, mais tu vas être tonton !
— Tu le sais depuis longtemps ?
— Depuis ce matin, en fait.
— Donc, tu l’as demandé en mariage avant de savoir que tu avais planté ta petite graine ?
— Oui, futur beau-frère !
Sandrine revient après avoir rendu mon déjeuner.
— Ça va, mon amour ?
— Euh... oui. Je crois que j’ai pris une insolation.
Marc sourit en voyant sa sœur lui mentir.
— Je sais ce qu’il t’arrive, petite sœur ! Je sais que je vais être tonton.
Sandrine se tourne vers moi avec un regard noir.
— C’est toi qui l’as dit à mon frère, Marine ?
Mon frère vient à ma rescousse avant que Sandrine ne s’énerve.
— J’avoue, c’est moi qui ai gaffé devant ton frère !
— Tu ne sais pas tenir ta langue, toi ! Ce soir, tu seras privé de dessert ! Tu pourras te la mettre derrière l’oreille !
— Je sais que j’ai un bel engin, mais il n’est pas aussi long que ça !
Je rougis en imaginant le sexe de mon grand frère.
— Arrête de parler de sexe devant ta petite sœur, Séb !
— Elle est majeure et je lui souhaite de tomber amoureuse comme nous le sommes tous les deux !
— Tu t’es bien rattrapé aux branches, mon chéri !
Sans m’en rendre compte, je prends la main de Marc. Mon frère s’en rend compte.
— Tu sors avec mon meilleur pote, petite sœur ?
— Euh... oui, Sébastien !
Mon frère se tourne vers Marc.
— Si j’apprends que tu lui fais du mal, je te jure que je te fais bouffer tes couilles !
— Reste zen, Sébastien. Je ne compte pas lui faire du mal... mais plutôt du bien !
— Et ! Ne parle pas comme ça de ma petite sœur !
Je m’interpose entre Marc et mon frère.
— Vous n’allez pas vous battre pour moi ?
— On ne fait que se taquiner. Mais je pensais vraiment ce que je disais toute à l’heure, petite sœur ! Je suis même heureux que vous sortiez ensemble.
Marc et mon frère se prennent dans les bras et font semblant de se rouler une pelle. Sandrine et moi explosons de rire.
— Tu veux me tromper avec mon frère ?
— Jamais de la vie, ma chérie ! Tu sais bien que je considère ton frère comme le mien, mais on n’est pas assez proche pour que je te trompe avec lui.
Sandrine semble fatiguée et elle se met à bâiller.
— On va rentrer, mon amour. Je vais te préparer un bain moussant.
— Je sais pourquoi je t’aime, mon couillon !
Mon frère et Sandrine s’embrassent.
— Il va falloir que tu fasses quelque chose pour ton haleine, Sandrine.
Sandrine lui lance un regard noir et elle lui donne un coup de poing dans le ventre. Mon frère pare un coup de genou en direction de son entrejambe.
— Tu es vraiment trop con !
— Mais, c’est pour ça que tu m’aimes !
Sandrine lui tire la langue en souriant. Après cette petite chamaillerie, ils nous font la bise avant de sortir de l’enceinte du stade main dans la main.
— Je vous ramène, mademoiselle Marine ?
— Je veux bien, monsieur Marc !
À notre tour, nous quittons le stade et nous montons dans sa voiture.
En arrivant devant chez moi, je vois que mes parents sont rentrés. J’embrasse Marc avant de sortir de sa voiture.
— J’ai hâte que l’on soit à demain, Marc.
— Moi aussi, Marine.
— Et encore merci pour cette après-midi coquine.
— Le plaisir a été partagé. À demain et n’oublie pas mon petit cadeau !
— Non, Marc. Bisous !
On se fait un petit signe de la main avant de le laisser rentrer chez lui.
J’ai vraiment hâte de le revoir. Je suis que dans moins de 24 heures, je serai une tout autre femme.
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