L'ECOLE DES COLLINES

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'ECOLE DES COLLINES Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'ECOLE DES COLLINES
Filles rebelles. Le problème des adolescentes difficiles c'est qu'elles ont de mauvaises attitudes et le tempérament d'un chat sauvage.
Ici, dans le centre de rééducation des Collines, on accepte toutes les jeunes filles, envoyées soit par les parents, soit plus fréquemment par l'autorité judiciaire.
On les éduque, on leur enseigne le bon comportement pour des jeunes filles, dociles et soumises à l'autorité. Elle sortent de l'école des Collines avec un dossier de réhabilitation exemplaire, transformées en belles jeunes femmes, et personne ne regarde de trop près la méthode.
Quand elles entrent en franchissant les portes en fer de l'école, elles tombent sous le contrôle total des administrateurs de l'établissement. Chacune de leurs actions est surveillée et jugée, et la punition est rapidement appliquée à la seconde où elles franchissent la ligne. Isolées de leurs amis et de leurs familles, les filles doivent affronter seules la brutalité du personnel.

SHLAAACK !!!
"AAAAIEEE! Si-s'il vous plaît, monsieur! Ça fait mal! AAAAIEEE!""C'est ta leçon, Ambre! Tes parents ont essayé de t'inculquer la discipline avec des mots, ils ont échoué. Tes professeurs ont fait de leur mieux et tu ne les as jamais écoutés non plus! Donner à ton gros cul cette belle teinte cramoisie est la seule façon de te faire entendre raison! "SHLAAACK !!!
"AAAHHHHH! Stop! Ça fait trop mal! S'IL VOUS PLAÎT!!! Arrêtez monsieur, je suis désolée! ""Tu dois m’appeler "Maître", salope! Dans ma classe, je te l'ai expliqué et répété, tu dois être assise avec ta jupe remontée jusqu'à la taille, les genoux écartés! Je détourne le regard cinq minutes, pas plus, et qu'est-ce que je vois? Mademoiselle Ambre, les jambes croisées et les mains sur les genoux! Je ne supporterai pas une telle insolence de la part d'une petite salope arrogante!"SHLAAACK !!!
"AAAAIEEE !!! Je suis désolée, maître! Cela n'arrivera plus jamais! SNIFF! Je suis tellement désolée!""Tu passeras le reste de la journée penchée sur mon bureau, ton cul rougi face aux autres élèves pour qu'elles puissent voir le prix de la désobéissance! Je vais décorer ton gros cul de tant de zébrures que tu seras incapable de t'asseoir pendant une semaine!"
Chaque fille a un fichier détaillé répertoriant les domaines nécessitant une instruction spéciale. Les jeunes femmes avec de fortes personnalités et de nature autoritaire ont été sélectionnées pour "l'éducation par l'impuissance". Attachées dans des postures humiliantes, leurs chairs exposées aux mains de l'enseignant, elles apprennent rapidement qu'elles sont dans l'incapacité de se rebeller à un ordre ou à un commandement, aussi dégradant soit-il.

Karen luttait pour respirer, le scotch scellait sa bouche si fort qu'il semblait soudé à sa peau claire. Elle poussa un léger grognement de douleur tandis que les cordes s'enfonçaient dans ses poignets. Elle tira aussi fort qu'elle le put mais réussit seulement à se faire encore plus mal. Elle était rouge de colère, mais sentait l'appréhension lui ronger l'estomac. Comment ose-t-on lui faire ça! Tout ce qu'elle avait fait de mal était de parler à sa petite amie en classe!
Le maître lui a tapoté la tête comme il l'aurait fait à une petite chienne, et il a gloussé quand il a vu le flash de colère dans les yeux de la jeune fille: "Tu as la langue aussi acérée qu'une vipère, salope! Cela va te causer des ennuis! Les gamines doivent rester silencieuses, sauf si elles sont interrogées. Même là, elles doivent juste répondre "Oui, maître" ou "Non, maître". Tout autre parole qui sort de ta gueule de pute te rapportera des jours supplémentaires dans ce placard!"Le maître lui a tapoté doucement le cul. Il passa ensuite la main sur son pubis et apprécia la fermeté et la douceur de ses chairs en lui pinçant gentiment la chatte.
"Tu resteras en pénitence dans ce placard jusqu'à demain, sans dîner, sans petit-déjeuner, pour réfléchir et te montrer digne de cette punition que tu mérites. Quand je reviendrai dans la matinée, tu pourras t'excuser et te faire pardonner comme la putain de bas étage que tu es. En rampant sur ton ventre comme un misérable ver de terre pour embrasser mes pieds, puis sucer ma bite. Si tu es assez convaincante, j'accepterai peut-être de lever la punition. Pour ton bien, j'espère que tu auras compris la leçon, sinon tu sortiras d'ici avec la peau sur les os!"Karen entendit la porte claquer et se verrouiller derrière lui. Ses muscles se contractèrent et elle sentit ses poings se refermer en signe de protestation. Elle ne durerait jamais comme ça. Ravalant sa fierté, elle rougit de honte en pensant à ce qu'elle aurait à faire. Elle sanglota dans l'obscurité et attendit le matin.

Jenny sentit sa culotte en coton glisser sous ses genoux et sa jupe courte se soulever, exposant le chaume duveteux qui couvrait son pubis gonflé. Elle ferma les yeux, gardant bouche close à la langue du vieil homme qui sondait son jeune corps. Comment tout cela était arrivé, pensa-t-elle. Elle vient juste d'avoir 18 ans! Bien sûr, elle s'est battue avec sa mère et son père, mais quelle jeune fille déterminée n'a pas montré un peu de résistance? Sa mère menaçait toujours de l'envoyer à l'école des Collines, mais elle n'aurait jamais imaginé que cette salope le ferait réellement!
Ses pensées furent interrompues quand elle sentit la main râpeuse de l'homme palper son monticule moelleux et le presser un peu. L'horreur la tétanisa et elle sentit des larmes chaudes couler sur ses joues lorsqu'un doigt s'infiltra dans sa chatte. L'homme leva les doigts sous son nez et inspira profondément.
SNIFF!!! Ah! Le doux parfum d'une jeune morue en chaleur!
"Ta mère a bien fait de t'envoyer ici, Jenny. Tu es entre de bonnes mains, les miennes!" Rigola-t-il. "De jeunes salopes dévergondées comme toi finissent dans le caniveau, à faire des croisières pleines de sperme, ou en train de faire des fellations derrière des bennes à ordures dans une ruelle. Je l'ai déjà vu. Il est révoltant de voir comment les jeunes femmes immorales se soumettent à leurs convoitises refoulées et deviennent des putes à bas prix. Mais tu as de la chance d'être ici, avec du personnel dévoué pour s'occuper de toi et de tes dépravations, miss. Nous t'apprendrons ce qu'une jeune fille doit savoir pour bien se comporter."
Les yeux de Terri brûlaient de larmes en levant les yeux vers les deux administrateurs de l'école. Elle avait été envoyée à l'école des Collines il y a juste deux semaines et, maintenant, elle avait tellement changée qu'aucune de ses meilleures amies ne la reconnaîtrait. Avant, elle était la bimbo dans sa ville. Elle aimait se pavaner en minijupe dans la rue principale, balançant ses hanches pleines de vie juvénile. Regarder les hommes essayer de dissimuler qu'ils se sentaient à l'étroit dans leur pantalon était si drôle! Elle avait une règle stricte. Regardez, mais ne touchez pas. Les gars étaient excités par ses formes galbées et sa poitrine arrogante, et elle aimait ces regards admiratifs ou concupiscents. Mais c'était tout. Elle aimait allumer, mais refusait d'éteindre l'incendie.
Mais depuis qu'elle était à l'école des Collines, son comportement avait changé. Maintenant, elle n'osait plus défier les hommes du regard. Ils pouvaient l'utiliser comme ils le voulaient, quand ils le voulaient, et elle était impuissante à leur résister.
Aujourd'hui, les administrateurs l'ont sortie du lit à l'aube et l'ont forcée à s'agenouiller devant eux. Ils ont bâillonné sa bouche avec un chiffon crasseux et ont ri de son expression terrifiée. Caressant leurs queues, ils lui ont précisé ce qu'ils attendaient d'elle. Elle étouffa un sanglot de honte car elle sentait sa chatte s'humidifier. Ils l'avaient transformée en putain docile et soumise!
"Je vais t'ôter ce bâillon, tu ne prononceras pas un seul mot. Tu humecteras tes lèvres de chienne soumise et ensuite tu lècheras nos queues avec de longs et affectueux coups de langue ... puis tu nous suceras et on se videra les couilles dans ta gorge, et tu avaleras notre sperme comme si ta putain de vie en dépendait ... "
"Vas-y, connasse! Tu dois aimer être fouettée parce que deux fois cette semaine j'ai dû t'envoyer en quarantaine! Le directeur a dû commander une douzaine de nouveaux fouets pour ton cul. Au rythme où tu les utilises, il faudra en approvisionner une douzaine de plus avant la fin du mois!"Viviane était blanche comme un drap et tremblait d'effroi. Elle s'était effondrée sur le sol en béton à côté de l'autre jeune femme qui avait été assignée en quarantaine. Quelle blague horrible, pensa-t-elle. Quarantaine, c'est le mot qu'ils utilisent pour désigner ce lieu, qui n'est qu'un cachot! C'est juste un enclos où nous sommes enchainées jusqu'à ce que les gardes veuillent nous utiliser! Elle sentait son ventre se tordre en se souvenant de la dernière fois qu'elle était venue là. Le concierge graisseux avait fait d'elle son esclave personnel pour la journée. Elle a dû nettoyer les toilettes avec ses mains, ensuite il l'a obligée à faire la toilette intime de cet obèse repoussant avec sa langue, pour finir par sucer sa bite qui n'arrivait pas à raidir. Il la giflait chaque fois qu'elle reprenait son souffle. Elle avait encore son goût graisseux sur sa langue.
"La surveillante du dortoir t'a vu dormir sous les couvertures, chienne. Tu connais la règle! Toutes les salopes comme toi doivent dormir nues sur les couvertures, sur le dos avec les jambes écartées! Tu ne sais jamais quand un enseignant se réveillera avec une érection massive et qui a besoin d'une chatte humide pour se soulager."Il se pourlèche ses babines flétries. Il était assez vieux pour être son grand-père. Ses yeux de jouisseur ont fouillé son corps sexy. Il n'y avait aucun doute dans son esprit, bientôt elle s'empalerait d'elle-même sur son poteau, désireuse d'éviter une nouvelle punition.
Viviane se recroquevilla à ses pieds, geignante: "Mais, Maître, il fait si froid la nuit. La surveillante du dortoir a coupé le chauffage. Je ne sentais plus mes orteils.""Répondre à ton maître? C'est un jour supplémentaire de détention pour toi, connasse! Veux-tu tenter la passe de trois? Quand le maître te donne un ordre, tu fermes ta gueule de salope et tu obéis instantanément! Tu devrais être reconnaissante à la surveillante du dortoir de ne pas t'avoir attachée dehors comme une chienne désobéissante! C'est ce que mérite une traînée sans cervelle comme toi!"
Abandonnée et sans défense entre les mains de ce prédateur sexuel, Sarah pleurait à la pensée de sa posture difficile. Liée et bâillonnée, elle ne pouvait pas comprendre pourquoi le maître avait insisté pour une punition aussi dure pour la jeune fille fragile. Oui, elle avait fait de mauvais choix dans sa vie, mais rien qui méritait ça!
"Arrête de me regarder, salope," dit le vigoureux garde de sécurité, "c'est à croire que tu désires goûter ma délicieuse bite."Sarah laissa échapper un grand cri étouffé, incapable de contenir sa peur et son épuisement.
"C'est bien ce que tu veux, petite pute? Oui, je comprends que tu en ais envie. Je pense qu'une bonne gorgée de sperme va sécher ces beaux yeux bleus. Maintenant, tais-toi et suce, ou tu vas savoir pourquoi tu pleures."
Dolorès est une rebelle. Depuis qu'elle a commencé à faire l'école buissonnière à l'âge de 13 ans, elle se fout des règles et n'obéis à aucun supérieur. C'est pourquoi elle a été envoyée à l'école des Collines. Dès son arrivée, les choses ont été difficiles pour Dolorès. Chaque fois qu'elle sentait une menace, elle se défendait. Sa bouche impertinente et ses poings lui ont causé des problèmes. L'école des Collines a dû faire preuve de sévérité avec Dolorès, la jeune rebelle. Chaque fois qu'elle répondait à un supérieur ou à une élève, elle recevait une fessée considérable, que ce soit avec la palette ou la ceinture. Rien ne la calmait.
Finalement, Dolorès a été envoyée au sous-sol pour être assouplie par Sasha, la maîtresse d'école sexy qui ne s'occupait que des filles violentes. Maintenant muselée et entravée, Dolorès est sous contrôle grâce à Sasha, qui la traite comme la perverse qu'elle est.
"Allez, je vais enlever ton bâillon et tu vas lécher longtemps la chatte trempée et gluante de maman, n'est-ce pas, petite pute?"
Pauvre minou qui n'a rien fait pour mériter l'école des Collines. Cathy a été dénoncée par une camarade de classe pour avoir tagué.
"Je n'ai pas écris SUCEUSE DE BITES sur la façade de l'école" a-t-elle plaidé devant le juge.
Mais le juge Mike Simon était le père de Cali Simon, la diabolique petite salope qui a tagué le mur et dénoncé Cathy à son père.
Elle mériterait d'être à l'école des Collines. Mais le juge Simon s'est assuré que des crayons et des livres appartenant à Cathy ont été trouvés sur les lieux, blanchissant ainsi sa fille et accablant la timide Cathy.
"Toutes les preuves vous accablent, Mlle Cathy," a dit le juge Simon.
"Vous méritez la sanction la plus dure qu'une jeune fille puisse avoir. Vous irez à l'école des Collines. Cela vous éduquera!"Cathy sanglotait de façon incontrôlable dans la salle d'audience, tout comme elle sanglote depuis.
Bâillonnée et enchaînée, Cathy se remémorait les derniers mots du juge Simon qui recommandait au directeur:"Veillez à ce qu'elle reçoive le châtiment que cette petite salope mérite!" disait-il tandis que son gros ventre était secoué de rires.

Jade aimait que les hommes caressent ses gros seins moelleux. Grâce à eux, elle séduisait les hommes depuis des années.
"Aimez-les, pétrissez-les et baisez-les" leur a-t-elle toujours dit, et c'est eux la cause de ses problèmes.
Elle a finalement rencontré son maître avec le directeur de l'école des Collines.
Jade cherchait une école pour sa turbulente fille, Jessica. Elle a visité l'école des Collines et a compris que la perversion était au-delà de l'entendement. Cependant, lors de sa visite, elle a été remarquée par le Directeur qui, après avoir drogué son eau, l'a forcée à signer un contrat. Un membre de sa famille était inscrite à l'école des Collines.
À son réveil, Jade a réalisé l'horrible piège que le directeur lui avait tendu. "Je ne peux pas envoyer ma fille dans cette école", alors elle s'est résignée et a accepté de rester à la place de Jessica pour éviter d'être poursuivie pour rupture de contrat.
En caressant ses gros seins moelleux, le directeur lui a déclaré: "Salope, réjouis-toi! Tu vas être ma pute et mon jouet. Ta chatte va être parfaite comme garage à bites, et ta bouche pulpeuse me fait déjà bander!"
Ses seins doux et succulents à sucer étaient maintenant rougis et sanguinolents, et des contusions recouvraient tout le corps de Jade. Elle endurait un traitement quotidien strict de discipline, à base de coups de fouet et de coups de bite.
"S'il vous plaît! Arrêtez! S'il vous plait!" Suppliait-elle tandis que la minuscule bite du directeur gargouillait dans sa chatte distendue. Elle serait devenue la mascotte de l'école, si cette mascotte était une poupée gonflable.
Jade pensait qu'elle n'aurait jamais imaginé baiser un être aussi répugnant.
Peut-être par défi, ou le frisson de la chasse, elle l'avait défié et elle était tombée dans son piège.
Le directeur lui tira les cheveux pour la sortir de ses pensées.
"Salope, remue ton cul et concentre-toi. C'est ton travail de putain de me faire jouir encore et encore."C'était vendredi après-midi, Dieu merci, et tout ces salauds partaient en week-end.

Jade a vécu une première semaine exténuante à l'école des Collines, étant soumise à de nombreux niveaux d'humiliations et de tortures sexuelles, tout cela pour empêcher sa fille d'être incarcérée ici. Alors que Jade se détendait en pensant à sa fille et se languissait de la revoir un jour, le garde de sécurité de l'école, Gus, apparut devant la grille de sa cellule.
Gus était un étalon musclé, à la grosse bite, petit cerveau, qui adorait se balader dans les couloirs de l'école pendant les week-end, seul maître à bord, en choisissant une fille différente chaque fois pour en faire son jouet sexuel.
Gus s'arrêta devant la cellule de Jade et la détailla longuement, déplaçant ses yeux pervers sur son corps cabossé.
"T'es un peu vieille pour être ici," dit-il. "T'as quoi, 30, 40?""36" gémit Jade.
"Bien, bien. On dirait que nous avons une étudiante chevronnée aux Collines, "dit-il en entrant dans la cellule.
"J'espère que tu étudies les grosses bites ce semestre, parce que tu vas recevoir une leçon.""Non, s'il vous plaît," plaida Jade. "C'est vendredi. J'en peux plus. J'ai souffert toute la semaine. ""Dommage, chérie" dit Gus en l'attrapant par les cheveux, fourrant sa grosse bite noire dans sa bouche et la fouettant avec son ceinturon. "La semaine scolaire est terminée, mais tu as oublié les révisions!"
Gus, le pervers gardien de sécurité du week-end dans l'école des Collines, était de retour.
Cette fois l'objet de sa convoitise était la pauvre Heather.
Heather pleurait doucement dans sa cellule tandis que Gus promenait ses mains sur son corps jeune et ferme.
«Comment vas-tu ce soir, sale pute?» Cracha Gus à l'innocente jeune fille.
"Tu te repose dans ta cellule en rêvant d'être ailleurs? Eh bien, ça n'arrivera pas, salope. Et j'en ai marre de t'entendre chialer."Gus attrapa du ruban adhésif pour lier les poignets de Heather et couvrir sa bouche.
"Maintenant tu vas me foutre la paix, petite salope, il est temps de me montrer ton cul.""MMM" Heather a gémit, incapable de lutter et d'exprimer son dégoût.
"Pas besoin de me remercier, chérie. J'ai ta récompense, chienne. Allez, fais moi voir ton cul, je vais mettre ma bite là dedans … est-ce que ça rentre? Tu vois, ton cul est fait pour ma bite, arrête de gigoter, je sais que t'aimes ça, salope!"
Christine pensait qu'elle s'en sortait bien. À 18 ans, elle avait été arrêtée et condamnée à 3 ans de prison pour avoir volé une voiture avec son petit ami. Elle pouvait bénéficier d'une remise de peine si elle acceptait de passer le semestre à l'école des Collines.
"Un semestre dans une école pour effacer trois ans de prison. Quelle blague!" Pensait-elle.
Elle ne connaissait pas le piège dans lequel elle tombait.
La classe de Christine était une salle d'étude de comportement, une sorte de laboratoire de la souffrance.
Huit heures par jour, cinq jours par semaine, elle était soumise aux caprices d'un prédateur sexuel.
Chaque matin, le maître liait Christine à une Croix de Saint André et commençait sa dose quotidienne d'humiliation.
"Bonjour, chienne," dit le maître à la beauté nubile. "As-tu fait tes devoirs hier soir?""Vous ne m'en avez pas donné, maître.""Mauvaise réponse, connasse. Tu étais censée répertorier toutes les raisons qui font de toi une salope. Maintenant, tu vas être punie.
Nous allons commencer avec ce fouet, sur ta poitrine et sur ton ventre, ensuite j'utiliserai la canne sur ton cul rebondi. Bien sûr, cela va me faire dresser la bite, alors nous ferons une pause pour se détendre et baiser ta chatte. Même si je ne parviens pas à faire de toi la première de la classe, je te promets beaucoup de souffrance!"
Claudie comprit qu'elle avait des problèmes lorsqu'elle a été envoyée au bureau du directeur.
Elle a été prise en flagrant délit de tricherie et avait peur d'être fessée en utilisant la grande palette de l'école.
"S'il vous plaît, maître," supplia Claudie à l'homme pervers. "Je n'ai pas pu étudier hier soir parce que le garde de sécurité m'a baisée jusqu'au milieu de la nuit. Je vous promets de ne plus jamais tricher."Le directeur la regarda par-dessus ses lunettes et se lamenta.
"Oh, Claudie. Qu'est-ce que je vais faire de toi? Comment ne comprends-tu pas que la tricherie n'est pas tolérée aux Collines? Dois-je t'enchaîner sur ce chevalet dans le couloir, te bâillonner pour faire de toi le jouet des maîtres lorsqu'ils viennent se détendre ou prendre un café?""Oh, mon Dieu, non! S'il vous plaît! S'il vous plaît!" Dit Claudie en retenant ses larmes."Pas ça. Monsieur! s'il vous plait!!"Elle s'est jetée à genoux, suppliante, puis a rampé sous le bureau, proposant sa bouche humide à la bite flasque de l'odieux personnage.
"Oui, c'est exactement ce que je vais faire," dit froidement le directeur.
"C'est la seule façon pour que tu apprennes. Peut-être que ça te donnera le temps de réfléchir à ce que tu as fait. Installe-toi sur le chevalet, Claudie, que je t'attache, et que je te baise!"

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