L’homme à la moto - histoire érotique

Léon désirait une moto. Il a cherché longtemps la moto de ses rêves avant d’en trouver une parfaite. La moto semblait neuve, bien qu'elle ait déjà 10 ans. Elle était en parfait état et ses chromes étincelaient. 
Le prix était peut-être un peu élevé, mais elle lui faisait très envie. Léon l'a achetée sans discuter et demanda au vendeur son secret pour la garder en si bon état après 10 ans.

«Eh bien, c'est assez simple, vraiment» expliqua le vendeur «chaque fois que le moto est à l'extérieur et qu'il va pleuvoir, étalez de la vaseline sur les chromes. Cela les protégera de la pluie.» Et il tendit à Léon un petit pot de vaseline.

Ce soir-là, Sandra, sa nouvelle petite amie depuis une semaine, l'invita chez ses parents. Naturellement, ils ont fait le trajet à moto jusqu'à la maison des parents. Mais, juste avant d'entrer dans la maison, Sandra le prévint :
«Je dois te dire quelque chose sur ma famille avant d'entrer. Bon, j'ai dit à ma mère que tu es noir, et elle a parlé à mon père, pour lui demander d'être conciliant. Cela a pris un peu de temps, mais il a finalement accepté de te recevoir. Sois gentil, ne le provoque pas, serre lui la main, sois cool, comme d'habitude. Mais ma famille est particulière. Quand on se mets à table pour dîner, personne ne parle. En fait, le premier qui parle doit faire la vaisselle.»
«C'est bizarre cette coutume» dit Léon. «Comment ça a commencé ?»
«Avant, tout le monde se chamaillait à table. Un jour, papa a décrété que le prochain qui parlera à table fera la vaisselle, et pour chaque repas, et pour toute sa vie ! C'est comme ça que tout a commencé. Papa tient toujours parole. Donc, depuis, personne ne parle à table.»
«Pas de problème» a dit Léon. Et ils sont entrés dans la maison.

Léon est indigné. Juste au milieu du salon, trône une énorme pile de vaisselle sale. Dans la cuisine, se trouve une autre énorme pile de plats. Empilés dans les escaliers, dans le couloir, presque partout où il regarde, des piles de vaisselle sale. Évidemment, pour ne pas faire la vaisselle, personne ne parle. Ils doivent acheter de nouveaux plats après chaque repas.

Après les mondanités, Léon a pris note de la façon dont le père le regarde, chaque fois que Léon regarde ailleurs. Ils s'assoient à table pour dîner et, bien sûr, personne ne parle. À mesure que le dîner avance, Léon décide de s’amuser des circonstances.

Quelqu'un va faire la vaisselle, et ce ne sera pas lui. Et s'il perd sa petite amie à ce jeu, et bien tant pis. Il y a d'autres filles sur terre, alors pourquoi se priver ? Il se penche et embrasse Sandra. À pleine bouche. Personne ne dit un mot. Juste un petit sourire de surprise. Bon sang, pense-t-elle, il doit vraiment être amoureux de moi, pour se déclarer ainsi devant mes parents.

Léon mange une autre bouchée en réfléchissant à tout cela. Lorsqu'il a embrassé Sandra, les parents se sont jetés un coup d'œil. Voulant vraiment surprendre son monde, il tend la main et caresse le nichon de Sandra. Personne ne dit un mot. En fait, les parents se forcent à vouloir ignorer ce qu'il fait, et continuent de manger. 
Sandra, bien sûr, a le visage cramoisi. Toujours d’esprit audacieux, Léon se lève et passe derrière Sandra. Puis il l’enlace avec ses deux mains et commence à lui pétrir les seins, massant et agitant les loches pour que tout le monde puisse bien voir.

Même à ce moment-là, on n'entend que le son d'une cuillère trempée dans la soupe par le père. Tous les yeux, cependant, suivent les gestes de Léon. Alors Léon soulève Sandra et la met debout. D'abord, il passe sa robe par-dessus sa tête. Puis il décroche rapidement son soutien-gorge, le retire, et il retire sa culotte.

Sandra frissonne de nervosité et tente en vain de couvrir ses gros seins avec ses bras. Elle est nerveuse non seulement à cause de sa situation, mais parce que papa la voit nue pour la première fois.

«J'ai peut-être commis une erreur en amenant Léon ici» pense-t-elle. «C'est déjà assez délicat que je force mon père à accepter mon petit copain noir, mais maintenant Léon se comporte comme un goujat !»
Pourtant, même si elle est debout, là, toute nue, personne ne parle, et regarde Léon et Sandra. Maman, en particulier, a l'air inquiète. Son regard va de Sandra à Léon, puis vers son mari. Elle fronce les sourcils à l’attention de son mari, mais le père ne bouge pas. Papa hésite, il a l'air agacé, mais il contemple aussi la nudité admirable de sa fille.

Puis Léon fait pivoter Sandra pour qu'elle soit dos à la table et, la soulevant par la taille, l’assoit sur la table. Assise face à lui, Léon lui caresse les seins un instant, et sent sa bite se dresser. Alors, il pense à réaliser un vieux fantasme, montrer à toute une famille blanche le spectacle de son équipement merveilleux en pleine ascension. Il ouvre fièrement son pantalon, sort son énorme bite noire et ouvre les jambes de Sandra.

Sans regarder ni la mère ni le père, Léon secoue sa bite juste assez longtemps pour permettre aux parents d’avoir un bon aperçu de ce que Sandra va endurer. Léon les surveille du coin de l’œil. Papa est rouge brique. Maman a la bouche grande ouverte, les yeux écarquillés, elle fixe la monstruosité noire qui s’approche de la petite chatte blanche de Sandra.

Léon ne peut pas en être sûr, mais la maman semble intéressée par le pieu monstrueux qu’agite le petit copain de sa fille. D’ailleurs, le père semble ennuyé et jaloux de l’intérêt que sa femme accorde à ce que Léon secoue.

Léon s’avance et place l’extrémité de sa queue directement dans la fente humide de Sandra. Sandra aspire une grande goulée d’air, accompagnée d’un gémissement plaintif. Maman semble fascinée, elle surveille l'énorme perche qui s’enfouit dans la moiteur chaude de sa douce petite fille.

Papa fulmine. Il regarde sa femme qui semble passionnée par ce que Léon fait à sa fille. Papa se demande:
«À quoi pense-t-elle, cette connasse ? Ce noir est bien mieux équipé que moi. Se demande-t-elle ce que ça lui ferait si ce bâtard lui faisait la même chose qu’à notre fille ?»
Léon se concentre sur la belle fille devant lui. Malaxant ses seins alors qu'il la pénètre millimètre par millimètre, Léon épie le visage de Sandra. Elle a l'air offusquée, mais il est évident qu'elle apprécie les sensations que lui procure la grosse bite qui écarte ses chairs. Elle grimace un sourire et l’enlace amoureusement.

Léon finit de s’enterrer au fond de la vulve de Sandra dans un concert de petits halètements et de gémissements de sa belle énamourée. Puis il commence à la baiser de plus en plus rudement, juste devant ses parents.

Sandra se concentre sur les sensations qui traversent son corps. Elle est secouée, heurtée, rudoyée, alors elle lève ses jambes pour les enrouler autour de la taille de Léon. Les deux amants se regardent les yeux dans les yeux, ils sont seuls au monde.

Léon la baise énergiquement d’avant en arrière, tout en malmenant ses beaux seins. Cinq minutes passent. Léon fait de son mieux pour se retenir. C'est difficile à faire car, à la beauté de la fille, s’ajoute la concupiscence de la mère et la jalousie du père. Se concentrant pour tenter de prolonger l’accouplement, Léon est surpris par Sandra qui exulte. 
Sandra émet un long gémissement aigu, et serre Léon dans ses bras. Léon regarde autour de lui, apparemment, les sons sexuels ne comptent pas, tant que vous ne parlez pas.

Léon continue de pomper, plus vite, plus fort. Puis il lâche prise. Avec un grognement de plaisir, Léon éjacule. Puissamment, abondamment, longtemps. La mère, qui ne sait pas si sa fille prend la pilule, a un visage horrifié.

Lentement, Léon se retire, et un long fil de foutre se tend entre sa bite luisante de sperme et la chatte martyrisée de Sandra. Léon remue ses hanches et le fil se rompt. Elle tend la main, il la saisit et l'aide à se relever. 
Son pénis humide et luisant est toujours dressé. Ne pouvant pas le ranger ainsi, Léon s'assied sans prendre la peine de se rebraguetter. Sandra, ignorant ses sous-vêtements, passe sa robe par-dessus sa tête.

Alors que Sandra se dirige vers la salle de bain pour évacuer le trop-plein de sperme, ses parents la regardent s’éloigner en chancelant misérablement. Léon regarde la mère, en pensant qu’elle n’est pas trop mal foutue pour son âge.

Avec sa bite pendante hors de son pantalon, il fait le tour de la table. Les parents regardent, fascinés, cette grosse bite qui se balance. Elle n’est plus dressée, mais ni sa longueur ni son diamètre n’ont diminués.

Léon attrape la maman pour qu’elle se lève. Elle tente une résistance symbolique, mais elle ne peut pas crier «non», ou «arrêtez ça tout de suite, espèce de salaud» tandis qu'il la penche sur la table du dîner. 
Puis il trousse sa robe, baisse sa culotte, et la couche à plat ventre sur la table. Baissant ses yeux au niveau du cul de la vieille, Léon regarde sa chatte. La vue de ce cul dodu et bien fendu lui rend sa bonne humeur, et sa bite se dresse d’émoi.

Sachant que papa le regarde, il prend un moment pour caresser les courbes de ses fesses dodues, et pour écarter sa chatte à deux mains et jeter un coup d'œil à l'intérieur. Maintenant, il a vraiment envie de cette chatte de femme mariée !

Sans regarder papa droit dans les yeux, mais du coin de l'œil, il peut voir que papa le regarde attentivement. Debout derrière maman, Léon se prépare à la baiser en levrette. Mais d'abord, il veut lui donner un peu d’émotion.

La main de Léon s’insinue entre ses cuisses, et atteint sa féminité. Le soupir de maman est parfaitement audible, lorsque Léon insère trois doigts dans sa chatte.

Léon jette un bref coup d'œil au père, qui s’est arrêté de mâcher et le regarde fixement. Léon secoue sa bite pendant quelques secondes, pour s'assurer que papa l'a bien vue, puis, sans baisser le regard vers sa proie, Léon pousse ses hanches en avant.

Sa verge atteint parfaitement la cible. Voulant l'entendre crier devant son mari, Léon s'enfonce brutalement en la distendant largement. Maman glapit bruyamment. Le choc, la peur, la douleur ou la surprise ? Puis son gémissement devient plus doux, peut être à cause du plaisir.

Léon n'a pas utilisé la douceur et la patience comme avec Sandra. Puisque la mère est mariée, et qu’il la viole devant son mari, il l'a prise de cette manière brutale. Mais ce n'est peut-être pas un viol. Léon s’étonne, une fois à l’intérieur.

Il n'y a aucun doute sur ce qu'elle ressent, la maman est déjà mouillée, volcanique et excitée. C'est une chance pour elle, pense Léon en commençant à la besogner, sinon elle aurait peut-être souffert …
C'est peut-être quelque chose au sujet de cette chatte étonnamment serrée, ou juste l'idée de baiser la mère de sa petite amie, devant le mari qui regarde, mais Léon se sent remarquablement bien là-dedans.

Sandra est sur le pas de la porte, elle regarde, horrifiée, sa maman prise en levrette par son chéri. Elle a entendu sa mère gémir, elle est revenue rapidement pour voir Léon entrer là où elle est née. 
Elle est choquée de voir sa mère étalée sur la table, se fait baiser en levrette sous les yeux de son mari ! Papa qui ne dit rien ! Qui ne dit mot, consent ? Comment papa peut-il accepter cela ? Et Léon, comment peut-il me faire ça, ce salaud ? Je le croyais amoureux de moi ?

Sandra parvient à garder le silence en s'approchant de la table. Léon lui sourit en continuant de baiser sa mère, qui a posé son front sur la table pour subir en silence. Léon donne quelques petites tapes amicales sur les fesses de maman, pendant qu'il la démonte.

Sandra est jalouse, car elle sait ce que maman doit ressentir. Elle sait à quel point cette bite peut faire du bien. Maman, pourra-t-elle encore aimer papa, après avoir connu la grosse bite de Léon ?

Pendant quelques minutes, seul le son de petites gifles ludiques, et celui du pompage humide d'une bite dans une chatte, peuvent être entendu. Puisque Léon a déjà eu un premier plaisir, il n'a aucune difficulté à se retenir. Bien sûr, Léon ne peut pas savoir que la vie sexuelle du couple de parents a fortement ralenti ces dernières années.

Léon, sentant la moutarde lui monter au nez, décida que cette baise n'avait pas duré assez longtemps. Non, pense Léon, il ne viendra pas en levrette. Il veut essayer maman dans une autre position. Alors Léon ressort sa bite luisante de ses jus.

Léon se tenait là, avec sa bite dressée, attendant de voir la réaction de maman, si elle se retournerait d'elle-même, ou si elle resterait allongée sur le ventre, là où il l'avait laissée.

Un instant, la maman est restée vautrée sur la table. Les yeux grands ouverts, fixant la nappe du dimanche. Son esprit était flou. Au fond d'elle-même, elle espérait que Léon n'avait pas fini. Elle y était presque, et puis, sans prévenir, il s’était retiré. Peu probable qu'il ait atteint son paroxysme sans qu'elle le ressente, en raison de leur ajustement très serré.

Maintenant, elle doit se relever, prendre l'air dégoûtée, ou triste, ou se mettre en colère. Qu’attend-on d'elle ?

Pourtant, pas un mot, ni du père, ni de la fille. Tous la regardent, même Léon, avec sa bite dressée, luisante et dégoulinante de ses jus. Maman se redresse lentement, en silence, et se retourne vers Léon qui la regarde. Elle jette un rapide coup d'œil à son pénis, et soupire lorsqu'il le saisit et le pointe vers elle.

Maman avait été émoustillée par la vue de sa fille prise par cette grosse bite, et elle souhaitait avoir le temps d'atteindre sa propre apogée. Si elle avait été sur le dos, elle aurait pu aboutir. Mais en levrette, la trop longue bite de Léon heurtait le fond de sa vulve, et la douleur engendrée ruinait ses effets.

Léon devine ses pensées en la regardant dans les yeux. Maman espérait peut-être mieux, et il voulait avoir la possibilité de caresser ses seins, alors Léon a soulevé maman pour l’asseoir sur la table. Bien sûr, elle ne peut pas protester, mais Léon prend note de sa docilité pour changer de position. Elle est visiblement consentante.

Debout entre ses genoux écartés, il déboutonne le haut de sa robe, exposant son soutien-gorge. Les agrafes sont dans le dos, alors il glisse ses mains et, comme la plupart des hommes, se débat avec le fermoir.

Invraisemblablement, peut-être parce qu'elle sait que c'est inéluctable, elle tend la main et défait elle-même le soutien-gorge récalcitrant. Léon dégage les épaules de sa robe, et maman peut ôter les bretelles et laisser le soutien-gorge glisser au sol.

Totalement dénudée pour la première fois devant un autre homme que son mari, maman semble fière de ses seins. Elle semble même tirer ses épaules en arrière pour les exposer. Ses seins se tiennent bien et ses tétons sont déjà érigés.

Maman se cambre encore un peu plus en plaçant ses mains à plat derrière elle pour se soutenir. Ses seins s’offrent aux caresses de Léon pendant une minute, et son pénis se gonfle encore plus, si c’est possible.

Maman est troublée, elle n’a pas le temps de réfléchir. Cet homme noir est soudainement entré dans sa vie, lui a montré son énorme bite, a baisé et fait jouir sa fille sous ses yeux, l'a baisée en levrette, et maintenant il lui caresse les seins, et devant son mari et sa fille. C'est incroyablement gênant, et terriblement troublant.

Léon s'est presque oublié, et il a failli commenter ses jolis seins, mais il s'est rattrapé juste à temps. Il regarde autour de lui. Papa et Sandra regardent tous les deux sans dire un mot. Leurs yeux suivent le ballet des mains de Léon sur la poitrine de maman. De temps en temps, leur regard descend jusqu’à l’énorme bite de Léon, qui se balance à quelques centimètres de la chatte de maman.

Depuis que son pénis a atteint la taille adulte, Léon aime le montrer en public. Mais jamais, même dans ses fantasmes les plus fous, il n’avait espéré s’en servir devant une telle assistance. Les circonstances sont incroyables. Le mari et la fille, qui est sa petite amie, le regardent en silence baiser la mère. Qui pourrait le croire ?

Encore plus irréel, maman ne peut plus résister à ses pulsions. Les yeux dans les yeux, elle tend la main et saisi son pénis. Après avoir défait son soutien-gorge, c'est la deuxième fois qu'elle prend l’initiative. Au départ, c’était juste une tentation furtive, mais après l'avoir touché, elle ne peut pas résister à l’envie de le caresser.

Le cœur battant, elle le palpe, le presse, le caresse et, finalement, le masturbe. Il est évident pour ceux qui regardent qu'elle prend du plaisir à tripoter le membre de Léon, autant que Léon prend plaisir à tâter ses seins.

Léon se marre intérieurement. Ce petit bout de femme agite sa bite devant son mari et sa fille comme un enfant qui découvre un nouveau jouet. Elle le fait d'elle-même, sans contrainte. Il ne fait aucun doute maintenant qu'elle veut prolonger l’expérience ! Elle ne se soucie guère de ce que penseront son mari et sa fille. 
Brusquement, elle réalise, en sentant les regards de dégoût et d’incrédulité de sa famille, qu'elle ne devrait pas faire ça. Elle lâche rapidement le pénis de Léon, mais le mal est fait, et son visage rougit d'embarras. A quoi pensait-elle? Ils savent maintenant, qu'elle apprécie cette infidélité.

Décidant de reprendre son état de «séduite», elle se penche en arrière, en appui sur ses coudes.

Maintenant totalement exalté, Léon fait une démonstration de friction de sa bite tout le long de la chatte qui s’ouvre à son contact. Quand il tapote le clitoris gonflé, maman gémit doucement et ferme les yeux. Même là, pas un mot de la famille. Puis, alignant sa bite sur le trou en attente, il avance ses hanches. Les lèvres s’écartent un peu, les cuisses se soulèvent légèrement en s’ouvrant, et Léon pénètre profondément en elle.

Alors que Léon grogne de plaisir en heurtant le fond, un sanglot s’échappe de la bouche de maman. Faisant de son mieux pour rester digne, malgré la situation scabreuse, elle tend ses mains pour les poser sur son torse. Ses yeux se referment et elle se mord la lèvre inférieure.

Léon glisse ses mains sous les fesses de maman, qui ses redresse en s’accrochant à ses épaules. Cela met leurs deux torses en contact. Léon s'amuse à lui donner quelques dizaines de pénétrations lentes, presque affectueuses.

Léon est encore plus émoustillé par la mère que par sa fille. Il aimerait pouvoir lui dire des choses cochonnes pendant qu'il la baise. Bon sang, il pourrait même lui dire des choses romantiques. Mais il y a beaucoup de vaisselle en attente. Léon ne peut pas croire le pouvoir qu'il semble avoir sur cette famille de cinglés, à cause de ce tas de vaisselle à laver.

Léon décide de les pousser à bout. Se courbant en avant, il pose ses lèvres sur celles de maman. Au lieu de se retirer en tournant la tête, elle répond à son baiser en s’accrochant à lui. Sa main sur la nuque de Léon, elle l’embrasse passionnément, profondément, avec sa langue agile, et en grognant de satisfaction.

Devant sa fille et son mari stupéfaits, maman s’offre à la grosse bite noire qui la baise, et récompense son assaillant d’un long baiser langoureux. Même là, aucun mot, aucun son, aucune interjection n’échappe aux membres de la famille.

Sandra est bouleversée, jalouse et en colère. Léon et maman semblent si amoureux l’un de l’autre. Elle tenait à Léon, et elle pensait que Léon tenait à elle. Pourtant, elle peut voir maman extrêmement passionnée, et d'une certaine manière, elle en est heureuse.

De plus, elle se demande si maman compare la bite de Léon à celle de papa. Peut-être que plus tard, quand elle sera seule avec maman, elle pourra recueillir ses confidences …
Pendant ce temps, sans cesser de niquer maman, Léon s’est redressé, mettant fin au baiser langoureux de maman. Léon sourit, regarde autour de lui en s'assurant que papa et Sandra regardent, et pose doucement sa main sur la poitrine de maman, la forçant à s’allonger sur le dos. 
Ainsi, il peut baiser maman en leur montrant sa grosse bite noire qui pistonne la chatte blanche de maman. Il peut aussi malaxer les seins, et tirer sur les tétons pour faire grimacer et gémir maman.

Maman est embarrassée et honteuse, des larmes se forment dans le coin de ses yeux, puis commencent à couler sur ses joues. Tout le monde les voit, mais personne ne croit vraiment que ce sont des larmes de tristesse.

Ce n'est pas confortable pour ses jambes de pendre dans le vide. Elle voudrait les lever, mais elle a peur que son mari sache qu'elle désire Léon. Heureusement, Léon attrape ses jambes, les lève pour les poser sur ses épaules.

Dans cette position, ses hanches se soulèvent un peu chaque fois qu'elle reçoit un impact. Léon s’efforce de coulisser sur toute sa longueur, pour bien montrer aux autres son engin de concours qui s’enterre bien à fond dans la chatte de maman. Souriant, Léon massacre gentiment les mamelons de maman pour la faire couiner un peu plus.

Le visage du père est cramoisi, apoplectique, mais il se rassied en silence. Léon a l’impression qu’une légère buée stagne sur le front de papa. Assis là, il ne peut plus voir la bite de Léon étirer la chatte de sa femme. Il voudrait se lever, mais il ne veut pas passer pour un voyeur devant tout le monde.

Sandra surprend Léon en se penchant pour mieux voir la pénétration. Léon lui sourit, mais elle ne le regarde pas. Sandra est triste et jalouse. Elle voit bien que sa mère profite et savoure la grosse bite de Léon.

Elle connaît cette sensation si particulière que procure la grosse bite de Léon, les parois de la chatte distendue qui s’accrochent à la bite quand elle ressort, ce sentiment de vide quand il se retire, ce sentiment de plénitude quand il s’enfonce jusqu’au bout.

Peut-être plus tard, quand papa ne sera pas là, entre femmes, elles pourront avoir une conversation, échanger leurs impressions, si maman le veut. Sandra debout pour mieux voir, procure à papa l'excuse dont il a besoin pour se lever. 
Maintenant, il peut distinguer en détail les lèvres de la chatte étirées par cette énorme bite. Il bouillonne d’indignation et de jalousie. L'expression du visage de maman, la façon dont elle se tortille, indique clairement qu’elle apprécie l’instant.

Mais il ne peut pas dire un mot. Pas maintenant, ni plus tard, en vertu des accords passés précédemment. Si on ne peut pas en parler pendant le repas, on ne pourra pas non plus en parler plus tard. C’est la loi familiale.

Donc, les femmes sont tranquilles, si le père se tait maintenant, il ne pourra pas les accuser plus tard. Elles peuvent se faire baiser ouvertement, profiter, c’est la règle qu’il a lui-même établie, elle se retourne contre lui.

Parce qu'il s’est déjà vidé les bourses dans le vagin de Sandra, Léon peut tenir plus longtemps. Il aimerait que maman exulte. Il sent qu'elle en a besoin. Mais elle voit son mari et sa fille debout, qui la regardent. Sa gêne et sa honte l'empêchent d'arriver, malgré le merveilleux pénis qui besogne sa chatte d'une manière qu'elle n'a jamais connue.

La mère est confuse. Pourquoi se lèvent-ils ? Pour avoir une meilleure vue ? Silence total dans la pièce à l'exception des doux gémissements de la mère, et des bruits humides de piston que sa chatte émet. Tout le monde attend pour savoir si maman atteint son point culminant qui précède la douce agonie.

C'est vraiment troublant pour papa, car malgré sa jalousie et sa colère, et son incapacité à faire quoi que ce soit pour empêcher ce salopard de baiser sa fille et sa femme, il a une érection qui enfle son pantalon.

D'une manière ou d'une autre, tout le monde souhaite que maman exulte et que la séance se termine enfin. Léon accélère son mouvement, maman ne retient plus ses cris, papa réajuste son engin à l’étroit dans son pantalon, Sandra glisse sa main entre ses cuisses.

Il y a un air d'attente dans la pièce. Chacun s’agite à sa manière. Se sentant comprise, voire soutenue, maman se laisse aller. Enfin. Ses mains s’accrochent aux poignets de Léon, tandis qu’il triture ses nichons.

Et puis l’instant arrive, ses jambes tremblantes glissent des épaules de Léon. Tout son corps est secoué de soubresauts. Même à cet instant, elle ne perd pas la tête et reste silencieuse. Dans un effort intense, elle soulève ses épaules de la table et attire son amant noir contre elle.

Maman tend ses lèvres à l’homme qui l’a si bien baisée, qui l’a si bien fait jouir. Reconnaissante, elle ne se cache plus pour montrer son bonheur. Devant son mari et sa fille, c’est le meilleur orgasme qu’elle n’ait jamais connu, et il ne peut pas rester caché. Elle le remercie en l’enlaçant fermement contre elle, en l’embrassant à pleine bouche, et avec ses hanches qui s’agitent pour récolter les dernières gouttes de semence de cette bite merveilleuse.

Papa ne dit pas un mot. Il a dicté les règles, il respecte les règles. Pas question de faire la vaisselle ! Léon sourit à maman. Elle le regarde dans les yeux, un regard émerveillé et amoureux.

Sandra comprend ce qui se passe. Le père aussi, mais de manière plus confuse. Il n’a pas l’expérience de Sandra, ne connaît pas les sensations que procurent l’énorme bite de Léon.

Maman gémit à nouveau lorsque Léon se retire. Son pénis est toujours dressé, et papa ne quitte pas des yeux l’énorme et menaçant pénis luisant qui se balance dans le vide, à la recherche d’un orifice à combler.

Tout à coup, un éclair illumine la pièce, accompagné d’un fort coup de tonnerre, et une rafale de vent secoue les vitres. L’orage gronde, il va pleuvoir.

Léon pense : «merde, ma moto» alors il sort le pot de vaseline de sa poche.

Papa, qui ne quitte pas Léon des yeux, se méprend sur son geste et se met à hurler :
«Ça suffit, arrêtez vos conneries, je vais la faire, cette putain de vaisselle !»