L’homme de la Maintenance

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L’homme de la Maintenance Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L’homme de la Maintenance
Ma femme et moi, nous avons toujours aimé pimenter notre vie sexuelle par des rencontres sans lendemain. Mais, depuis que nous sommes entrés dans la cinquantaine, nous avons fortement élevé notre niveau d’audace.

Bien sûr, avec la cinquantaine, nous avons pris un peu de poids. Je dois faire des efforts, surveiller mon alimentation et faire de l’exercice physique. Stéphanie était sur une note positive, ses seins avaient gonflé, ses hanches voluptueuses et ses fesses rondes faisaient d’elle une déesse éblouissante.

Elle avait toujours l'air formidable, mais ses formes harmonieuses, de femme gironde, attiraient plutôt les africains. Stéphanie est une femme plutôt bavarde, très coquette, et elle n’avait aucun mal à attirer de nombreux admirateurs masculins ou féminins, mais les grands gaillards noirs avaient sa préférence.

Dans ses jeux sexuels, le fantasme de Stéphanie, c’était d’être traitée grossièrement, baisée durement par des types avec d'énormes queues. Pour la planification de telles rencontres, elle s’en remettait souvent à moi, mais je lui avais dit à plusieurs reprises, qu’elle avait son libre arbitre dans le choix de ses partenaires.

Nous étions en vacances dans une île paradisiaque, séjournant dans un très bel hôtel tout compris. Nous avions la chance d'avoir une chambre au rez-de-chaussée, avec terrasse donnant sur les jardins, un endroit discret protégé des regards par une épaisse haie de bougainvillées.

Un matin, au début des vacances, Stéphanie est sortie de la salle de bain en râlant. La pression de l'eau dans la douche était insuffisante, elle avait mis très longtemps à se rincer, alors j'ai appelé la réception pour me plaindre.

Ils se sont excusés, et m’ont promis d’envoyer quelqu'un le plus tôt possible. J’étais prêt à partir, faire mon jogging le long de la plage, et Stéphanie m'a dit qu'elle attendrait ici, pour être sûre du résultat. Elle pensait qu’ils ne pourraient pas résoudre le problème, et prévoyait de changer de chambre.

Je suis donc parti trottiner le long de la plage, en admirant quelques jolis petits culs au passage et, après une petite heure d’efforts, je me suis octroyé une récompense. Je me suis arrêté au bar de la plage, un endroit sympathique tenu par des serveuses aux glandes mammaires très développées, pour consommer un jus de fruit arrangé d’un peu d’alcool.

J’étais assis là, attendant gauloisement que mes glaçons fondent, lorsque mon téléphone m’a tiré de ma rêverie contemplative. Un message de Stéphanie qui voulait savoir où j’étais, et combien de temps je resterais. J’ai répondu que j’étais au bar de l’hôtel, en train de boire un café, et je lui ai demandé si elle voulait que je lui ramène quelque chose.

La réponse a été : «NON, reviens maintenant, passe par la terrasse, n'entre pas, envoie-moi un message lorsque tu y es. Soit discret.» Intrigué, j'ai vidé mon verre et je suis rentré au petit trot.

Arrivé sur la terrasse, je me suis assis sur une chaise en plastique, et tout s’est éclairci. Les rideaux de la porte-fenêtre étaient entrebâillés, laissant un espace d’une trentaine de centimètres. Je voyais le lit, avec Stéphanie agenouillée entre les jambes écartées d’un colosse noir.

Alors, en accord avec ses instructions, je lui ai envoyé un message lui disant que j'étais bien installé, et que la séance pouvait commencer. J'ai entendu son téléphone sonner, elle a arrêté de pomper le gars pour s’occuper du téléphone.

«C'est mon mari, il dit qu'il en a pour une demi-heure.» Elle a tapoté sa réponse avant de se remettre au travail. Quelques secondes plus tard, sa réponse est apparue sur mon écran : «Profite du spectacle !»
Stéphanie s’est relevée pour enfourcher le gars, sa main s’est emparée de la bite dressée, elle est descendue s’empaler dessus, et elle a commencé à chevaucher cette énorme bite.

Clairement, je pouvais l’entendre haleter et gémir, et voir sa chatte s'étirer, alors que l’énorme pieu de chair s’enfonçait en elle. Elle est finalement parvenue à tout absorber, et elle a poussé un long soupir. Puis, elle a commencé à s’élever et à s’enfoncer, lentement d’abord, puis progressivement elle a pris son rythme de croisière.

Elle n’arrêtait pas de lui parler, commentant la taille exceptionnelle de l’engin, disant qu’elle lui faisait un bien fou, Qu’elle était beaucoup plus grosse que tout ce qu’elle avait connu, que c’était une vrai bite de taureau de combat ...

Stéphanie allait de plus en plus vite, le gars avait ses grosses mains noires sur ses seins, ses doigts s'enfonçaient dans les chairs tendres en pinçant et en étirant ses mamelons. Stéphanie commençait à haleter et à gémir de plus en plus fort, et le mouvement de ses hanches se transforma en un balancement d’avant en arrière, en frottant sa chatte sur lui.

«Oh mon Dieu, ça vient, je vais jouir.» elle a dit. J'étais choqué, généralement Stéphanie résiste plus longtemps.

D’une main, le gars lui tordait un nichon, et de l’autre, il lui claquait les fesses. Comment a-t-il deviné que c’était exactement ça qu’elle attendait ? Le bassin de Stéphanie se balançait frénétiquement, et elle laissait échapper de petits cris, accompagnés de grognements. Quelques secondes plus tard, elle poussait un grand cri en s’abattant sur lui, tout son corps agité de tremblements.

Après quelques instant de récupération, Stéphanie a roulé sur le côté pour s’arracher du gars, et elle est descendue du lit. Elle faisait face à la porte-fenêtre, souriante et frivole. Je pouvais voir son visage rubicond et entendre sa respiration essoufflée. Le mec s'est assis au bord du lit et l'a attrapée par le bras :
«Hé, reviens ici, poulette, j’en ai pas encore fini avec toi !»
Stéphanie repoussa ses mains et lui demanda un instant en s’enfuyant vers la salle de bain. Elle revint un moment plus tard, avec deux grandes serviettes qu'elle déposa au pied du lit, devant la porte-fenêtre. Elle s’installa à quatre pattes, dos à la porte :
«Baise-moi par terre, comme une petite chienne blanche !»
«D’accord, tes désirs sont des ordres, Princesse !» dit-il en s’accroupissant derrière elle, son énorme bite, brillante de ses jus, se balançait dans le vide lorsqu'il de déplaçait. Je me suis penché pour avoir une meilleure vue alors qu'il plantait son arbre dans la chatte de Stéphanie. Les mains sur ses hanches, il a commencé à aller et venir en elle.

Incapable de parler, bouche grande ouverte, Stéphanie grognait et gémissait en subissant l’énorme charge du monstre qui écartelait ses chairs. Il frappait son ventre contre les fesses de ma femme, ses couilles qui se balançaient heurtaient son clitoris, le claquement sec des chairs qui se percutent rythmaient leur sauvage fornication.

Un bruit de piston humide s’échappait de la chatte martyrisée, de la bouche grande ouverte de Stéphanie s’échappait un halètement digne d’une locomotive à vapeur. Il butait au fond de son ventre, elle luttait pour ne pas s’effondrer, pour résister à la poussée farouche du mâle en rut.

Elle le suppliait pour plus de rudesse. Je n’en croyais pas mes yeux et mes oreilles. À présent, les gifles pleuvaient sur ses fesses rougies. D’une main, il a saisi une poignée de cheveux pour lui tirer la tête en arrière. Je voyais son visage dans le miroir de l’armoire. Un masque de souffrance déformait ses traits, et pourtant elle réclamait encore plus.

Il enfonçait sa bite en elle, à grands coups puissants, comme s’il voulait la briser en deux, la détruire. Nous n'avions jamais eu de relations sexuelles aussi brutales. J’ignorais qu’elle adorait ça, et ma bite tendue dans mon short, me disait que j'étais ravi et allumé par ce spectacle devant moi.

Le gars a augmenté ses brutalités à un rythme effréné, puis il lui a donné une énorme poussée qui l’a faite tomber à plat ventre. Il s’est écroulé sur elle en grognant «Tiens, prends ça, salope !»
Il est resté couché sur elle, l’écrasant de toute sa masse, la bite enfouie au fond de sa chatte, en bougeant lentement ses hanches. Je savais qu’il se vidait dans sa vulve, qu’il la remplissait de sa semence crémeuse.

Les couilles vides, il s’est relevé péniblement. Stéphanie est restée dans la position où il l’avait laissée, son dos se soulevait au rythme de sa respiration haletante. Entre ses jambes écartées, sa chatte se vidait de sa substance blanchâtre, et une petite flaque se formait sous elle.

Stéphanie a relevé péniblement son visage : «Tu ferais mieux d'y aller, avant que mon mari ne revienne !»
Avec une rapidité étonnante pour un homme de sa corpulence, il s’est rhabillé, il a ramassé sa sacoche à outils, et il s’est éclipsé.

Ma bite palpitait d’impatience. J’ai franchi la porte-fenêtre, je me suis accroupi devant Stéphanie pour lui fourrer ma bite dans sa bouche :
«Tiens, suce, salope !» Et je la baisais dans la bouche jusqu'à ce que j’envoie la purée dans sa gorge.

Après que Stéphanie soit allée se doucher, elle m’a raconté comment elle avait séduit le type de la maintenance.

L’intervention ayant eu lieu à l’extérieur du bâtiment, il n’était entré que pour vérifier que tout fonctionnait correctement. En voyant ce grand type bien balancé, elle lui avait demandé s’il était grand de partout.

Il a répondu qu’il l’était, alors elle s’était mise nue devant lui en lui disant : «Fais voir !»
Le lendemain, je suis allé à la réception pour le remercier de son travail. Quand je l'ai trouvé, je lui ai dit qui j'étais, et qu'il était venu régler la pression de l'eau dans notre chambre. Je l’ai remercié avec un gros billet, en lui disant que ma femme avait été enchantée de sa prestation. Je pense qu’il m’a compris.

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