La belle et pulpeuse Alice.3. - histoire érotique

Le jeudi suivant notre dernier échange, je suis encore surpris de voir Alice, en sortant de mon travail.

La veille, mon amant Mario, dont je me lasse, m'a enculé longuement dans notre cachette.
Il a su que j'avais une maitresse et m'a fait une crise de jalousie en me défonçant l'anus.

Je lui répondais en jouissant:
"Mario, c'est pas la même chose ! Arhhhhhhhhhhh ! On fait l'amour ! Toi, tu me baises !".

J'ai horreur d'être empêché de faire ce que je veux, je vais donc cesser ma relation avec lui !

Je n'ai pas aimé, quand un collègue m'a lancé "Bonne bourre", en me voyant monter dans la voiture de ma belle amante.

Leurs commentaires, à partir du lendemain de notre deuxième rencontre, m'ont déçu.

"Eh ben, tu t'es trouvé une belle salope ! Tu t'emmerdes pas ! Comment tu fais ?".
"Eh, Racontes ! Elle a l'air chaude, ta nouvelle copine !".
"Putain ! Avec des nibards comme ça, tu dois pas t'ennuyer !".
"Ca a l'air d'être une chienne ! Non ?".

J'avais horreur qu'on lui manque de respect à ce point.
Surtout que Corinne était plus salope qu'elle, de mon point de vue !
Mais ce n'est pas vulgaire, dans ma façon de penser !

En allant chez elle, je lui dit:

"Alice, tu vas devoir m'attendre plus loin, j'aime pas qu'on dise du mal de toi !".
"On s'en fout mon amour ! Je t'ai rien que pour moi, et toi, tu m'as aussi, eux, ils peuvent que se toucher, c'est tout !".

"Allez ! On va chez toi !".
"Hummm, avec plaisir ! Tu m'as manqué Pascal ! Je suis trop heureuse, en ce moment !".
"Je vois ! Tu es rayonnante ! Ca me donne encore plus envie de toi !".
"Hummm, à ce point ?".

"Oui, ça devrait être interdit d'avoir autant de pouvoir sur moi ! J'ai l'impression que ton corps réclame mes mains et ma bouche, tu es comme un aimant sexuel, pour moi !".

"Mais, c'est ce que je veux ! Tu es tout ce que je veux ! Je t'aime comme avant ! Je suis folle de toi ! Il suffit que tu me le demandes et je quitte mon mari pour toi ! Mais tu me dis pas que tu m'aimes ! Pourquoi ?".

"Parce que j'aime Corinne plus que ça, encore et que nous avons une fille maintenant ! Mais je suis fou de toi, aussi, tu me perturbes ! Je veux pas te faire de mal ! Tu es devenue vitale pour moi, mais je comprendrais que tu cesses de venir me voir !".

"Ah, non ! Tant pis ! On reste comme ça ! J'ai trop besoin de ce qu'on vis tous les deux ! Je t'ai retrouvé, je te lâche plus ! Quitte à avoir une double vie !".

Je lui prend le visage et lui répond sensuellement:

"Ok, on vit ce que l'on doit vivre, jusqu'au bout de notre histoire ! Mon amour !".
"Tu m'aimes ? Alors ? C'est vrai ?".

"Oui, sinon, je te ferai pas l'amour comme ça ! Il y a 8 ans, j'avais craqué sur toi déjà, mais ta tentative de suicide m'a fait peur, et aujourd'hui, tu es plus mure et désirable encore ! Je sais pas ou ça nous mène, mais allons y !".

Arrivés chez elle, nous nous jetons l'un sur l'autre avec fougue et frénésie.
Les vêtements sont éparpillés au sol, un peu partout.

Je la couche sur son tapis et lui dévore le corps entier avec ma bouche.
Je me fais, parfois sauvage, et parfois tendre, puis pervers et passionné ensuite.

Après un interminable léchage, je la positionne sur le ventre et plonge entre ses fesses.
Elle se cambre pour m'aider à lui donner du plaisir.
Je lui dévore l'anus comme un affamé.

"Ahhhh ! Pascal ! J'adore ! Encore !".

Je réagis instinctivement et remonte jusqu'à son visage et lui saisit les cheveux pendant que je pousse avec ma queue contre son œillet.
Elle s'ouvre progressivement pour accepter mon sexe en elle.

"Arrrrhhhhhhhhh ! Pascal ! Mon amour ! Tu me rends folle ! Oui, prends moi comme ça ! Fais moi tout ce que tu veux !".

Je la possède analement sans précipitation, mais avec profondeur et puissante passion, en lui tirant les cheveux, pour mieux la dominer.

"Arhhhhhhhh ! Je suis à toi ! Encore !".
"Tu vois comme tu me rends fou ! Je t'aime, Alice ! Tu le sens là, que je t'aime ?".

"Arhhhhhhhh ! Oui, je le sens ! Arhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Encore ! Encore !".

Plus elle râle et gémit, et plus, je deviens impitoyable dans mes assauts, qui deviennent presque violents.

Elle atteint un premier orgasme anal, qui ne fait que me motiver davantage.

Un autre la submerge, quelques minutes plus tard.
J'aime sa manière de se cambrer pour mieux me recevoir.

Puis elle crie plus longuement, et se convulse.

Un énorme jet de cyprine va maculer le tapis sous elle, suivi de nombreux autres, sous mes enfoncements incessants.
Je veux lui soutirer tout son jus, et lui dis clairement:

"Donnes moi tout ton jus, je veux tout !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Tiens, mon amour ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh!".

Les écoulements faiblissent, je m'active de plus belle et elle m'honore d'un dernier jet puissant.
Elle se relâche, vidée par le plaisir anal qu'elle vient de vivre.

"Oh, Pascal, t'es un dingue ! On m'a jamais enculée comme ça !".

Je vois qu'elle ose parler crûment avec moi, j'aime ça !

"J'adore te faire ça ! Mais heureusement que tu n'es pas venue avant, je pourrai pas t'aimer aussi fort tous les jours !".

"T'as de la chance, j'ai failli venir hier !".

"Ah bon, pourquoi, t'es pas venue !".
"Euh, c'est pas important !".
"Si ! Dis-moi ! Allez !".

"Euh, j'ai vu un autre mec ! On se connait depuis quelques mois, pour le sexe ! Tu m'en veux ?".

"Ben, non, je serais gonflé ! Tu crois pas ? Si on était en couple, je comprendrais, mais vu que je m'engage pas avec toi, tu fais ce que tu veux ! Et alors ? C'était bien ?".

"Oui, comme d'habitude ! Mais c'est du sexe ! D'ailleurs, tu sais que c'est grâce à toi aussi, que j'aime le sexe ?".
"Ah bon !".

"Oui, avant de te connaitre, je me donnais aux garçons sans prendre de vrai plaisir, ils se vidaient, sans penser à moi ! Et quand je t'ai rencontré, j'ai eu mes premiers orgasmes ! J'ai découvert le plaisir et j'ai su garder les bons amants !".

"Merci de me dire ça, je m'en voulais de t'avoir poussée au suicide, indirectement. Et ton mari, il t'aime comme il faut ?".

"Ca va ! Mais c'est pas aussi fort qu'avec toi ! Tu restes l'amour de ma vie ! Et maintenant, je veux te faire jouir à mon tour ! Tu me laisses faire encore ?".

"Euh, je sais pas si je peux te faire confiance !".

"Tu as pas aimé, l'autre jour ?".
"Si justement ! C'est ça qui me fait peur ! Tu es plus perverse que je l'imaginais ! Bon, Ok ! Je te laisse faire !".

Elle se tourne pour ouvrir son tiroir de chevet et sort un tube de gel lubrifiant.
Elle se badigeonne entre les seins, puis sort un gode de taille moyenne qu'elle recouvre aussi de gel.

"Alice ? Tu vas pas un peu loin ? Je sais pas, si je dois te laisser continuer !".

"Allez ! Mon amour ! J'ai envie de te donner du plaisir ! Tu as vu comme j'ai joui avec mon cul grâce à toi ! On est fait pareil de ce coté là !".

Elle place ma queue entre ses seins et me couvre l'anus de gel, puis me demande:

"Vas-y, mon amour ! Baises-moi les seins !".

Je saisis sa poitrine que je comprime autour de ma queue, en la faisant aller et venir amplement, le plaisir est énorme.

Pendant ce temps, elle dirige le gode vers mon anus et parvient sans mal à me pénétrer avec.

Elle fait coulisser, en moi, le phallus de silicone, au même rythme que je glisse entre ses seins.

"Arhhhhhhhhhh ! Alice, tu me fais faire des folies ! Arhhhhhhh !".
"Tu aimes mon amour ?".
"Oui, je devrais pas, mais j'aime, tu es une grosse vicieuse !".

Elle augmente son rythme et me provoque un orgasme anal.
Elle se réjouit de m'entendre jouir et ajoute:

"Hummm ! Tu le prends bien ! Tu devrais baiser avec des mecs ! Tu adorerais !".

Je ne tiens plus, au deuxième orgasme anal, je macule la commissure de ses seins avec abondance.
Je la supplie d'ôter le gode pendant que j'éjacule, mon sperme chaud et gluant, s'éjecte alors avec plus de puissance.

A peine ai-je terminé ma jouissance, qu'elle attire ma bouche entre ses seins, en disant:

"Lèches-moi, je veux t'embrasser avec ton sperme !".

Je lui nettoie la poitrine sans avaler et mélange nos langues, ensuite.
Le moment est très pervers, mais intense !

Je me retourne d'un coup pour me remettre de ce qu'on vient de faire.

"T'es une folle ! Alice ! Tu fais souvent ça ?".
"Non ! C'est la première fois, j'ai agi instinctivement ! Mais c'était génial ! Je regrette pas et toi ?".
"Euh, je sais pas, ma virilité en a pris un coup quand même !".

"On s'en fout, tu es toujours un homme pour moi ! Mais t'es sur que que baises pas avec des hommes ? Je trouve que ça c'est super bien passé ! C'est bizarre !".

Je ne veux pas lui avouer que je suis une vraie salope avec les hommes, et lui ment ouvertement.

"Non, je t'assure ! Bon, tu vas devoir me ramener, il va falloir être plus discret que l'autre jour, c'est trop près de chez moi !".
"Attends un peu ! Pas tout de suite !".

Elle plonge sur ma bite pour me sucer comme une reine, pendant de longues minutes.
Je ne débande pas, preuve qu'elle m'excite comme aucune autre.

J'en deviens dingue et la prend sauvagement pendant qu'elle se badigeonne la poitrine avec du gel pour se donner du plaisir mammaire, sous mes yeux.

Je lui titille le clitoris avec mon gland, ce qui la fait mouiller énormément, puis, je la baise frénétiquement.

Je m'amuse avec mon membre en pivotant dans sa chatte, afin de faire éjecter mon gland de sa vulve.
Elle se met à gicler de nouveau sa cyprine, sur moi.

Je réitère ma vicieuse pratique, jusqu'à la vider une seconde fois de son liquide d'amour.

"Arhhhhhhhhh ! Pascal, tu me rends folle, toi aussi !".
"Je me venge ! C'est ta faute !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui, venges-toi ! Encore ! J'adore !".

Je termine dans une fougueuse saillie, violente et passionnée, ma sueur tombe sur elle, qui m'accompagne en m'attirant dans sa chatte, avec ses bras.

On explose tous les deux dans un orgasme fulgurant qui nous tétanise par son intensité.

Nos corps s'affalent l'un sur l'autre, repus. Nous sommes dépassés par notre amour passionnel.
On se fixe des yeux, sans dire un mot, chacun essuie les larmes de l'autre.

On s'aime, c'est évident, notre amour physique est parfait, mais je sais que cela s'arrête là.
On en parlera plus tard, je ne veux pas gâcher ce moment.

Pendant deux semaines, j'ai utilisé mon homosexualité pour cacher notre relation, c'était plus simple pour moi, vis à vis de Corinne.

Puis, Stéphane, son mari est revenu, nous n'avons pu nous voir qu'une seule fois, il était sur son bateau, en cale pour la journée et sortait avec des potes militaires, après.

J'ai a nouveau cessé ma relation avec Mario (pour la troisième fois !), j'avais besoin de calme dans ma vie sexuelle.

Mon aventure avec Fred, un an après Daniel, m'a beaucoup enlevé d'estime personnelle.
Je vous raconterai ma déchéance avec lui, bientôt.

Donc, cette liaison passionnelle m'a fait énormément de bien, même si la nature, parfois bisexuelle, de nos rapports me perturbait.
C'est la seule autre fille, avec Corinne, que j'ai autorisé à toucher mon anus.
Elle va explorer cette voie pour mon plaisir, selon ses mots !
Mais c'est une autre histoire !