La cassette.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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La cassette.
Je suis déjà sur place. Assis à une table en train de déguster une pression, quand mon ex-beau-père fait son entrée dans le bar. Avec ses cheveux blancs, la bedaine plus imposante, avec sa petite moustache poivre et sel. Il s’installe à mes côtés.
- Merci d’être venu ! Me dit-il.
Je réponds un :
- On m’invite, j’accours.
- Tu sais pourquoi je t’ai fait venir jusqu’ici ?
- J’ai ma petite idée, mais je vous écoute.
- Tu sais que ma fille est dans la tourmente en ce moment ?
- Et alors ?
- Que prévois-tu pour la suite ?
- Je pense avoir très clair sur ce sujet, je divorce.
- Bien, pas moyen de te faire changer d’avis ?
- Je campe sur ma position.
Et là, il se met à me parler de sa vie. Ce n’est rien qu’une confession. La bonhomie avinée du beau-père commençait à me taper sur les nerfs. Il a un rire déplaisant en me frappant du coude. Je me retiens de le gifler. Il marque une pause et repousse son verre, posant les coudes sur le comptoir avec une exagération théâtrale, signe qu’il allait faire une déclaration.
- Tu ne sais que ma femme, jadis me tromper ? Me lâche-t-il.
Je pense qu’il n’est pas au courant de ma relation avec sa femme. Sinon il me l’aurait dit. Alors je joue l’innocent.
- Non, je ne le savais pas.
- Un jour, je rentre plus tôt, et je trouve sur la table du salon trois coupes. Des vêtements jetés çà et là. Je comprends tout de suite. Mais cela ne m’empêche pas de me rendre jusqu’à la chambre. Une fureur sourde me fait battre le sang aux tempes. Au moment où je pousse la porte, ma femme m’apparaît. Les cheveux en bataille. Visiblement gênée, elle marmonne un oh, tu rentres plus tôt que prévus ?
- J’examine la chambre par-dessus son épaule. Dans le lit saccagé, deux mecs qui dorment à poings fermés, nus comme des vers. Elle soupire et me repousse, m’entraînant jusqu’au salon. Elle rompt le silence. Le rouge aux joues, elle chuchote :
- C’est de ta faute ! Puis elle marque une pause, rougit davantage puis se lance les yeux brillants.
- Oui, ajoute-t-elle, c’est toi qui m’as poussé à cela !
- Ma jalousie est là, mais devant ma femme, qui me sourit avec un mélange de naïveté et d’audace. Et je ne sais pourquoi mon excitation reprend clairement le dessus. Je ne veux pas le montrer. Enfin pas tout de suite. Je désire qu’elle est du remords.
- Tu dois me prendre pour un con ? Me fait-il.
Je me garde bien de répondre.
- C’est la première fois ? Me fait-elle.
Elle relève le menton sur moi, ajoute-t-il. Et là elle me dit :
- J’ai besoin de cul. Ce que tu me donnes plus !
- J’espère qu’ils t’ont donné du plaisir ? Je lui fais.
- Tu ne peux même pas d’imaginer !
- Incapable de dissimuler mon désir, je me colle à elle, laissant ma main courir sur sa forte poitrine. Je glisse mes doigts de mon autre main, entre ses cuisses. Je découvre une vulve humide sous le buisson. Elle frissonne et se laisse aller sur moi. Je pelote ses gros seins. Avec un soupir, elle frotte sa croupe contre mes cuisses. Je déplace ma main et fouille sa raie. Ses deux orifices s’ouvrent sous mes doigts. Avec une docilité que je ne lui connaissais pas. Noyées dans un jus tiède. Mélange de mouille et de sperme. Mes phalanges coulissent dans le cul et dans la chatte. Elle a le souffle court et articule avec peine. Je libère sa chatte, mais loge l’extrémité d’un troisième doigt dans son cul. Elle pousse un petit cri.
Et là, tu ne vas pas me croire, je me suis défait. Je bande comme un taureau. Et sans aucune hésitation de la sodomise. Et crois-moi, elle aimait cela.
Je ne peux pas lui dire, et pour cause, mais je suis au courant que la fameuse Colette, sa femme aime se faire enculer.
- Tu me prends sans doute pour un imbécile ?
- Ce que je pense, ça, je le garde pour moi.
- Qu’est-ce que tu aurais fait toi, à ma place ? Me questionne-t-il.
- Moi, c’est simple, j’aurais réveillé un mec, j’aurais dit à ma femme de s’allonger sur le lit et j’aurais invité le mec de la prendre en missionnaire. Une fois accouplé, j’aurais dilaté l’anus du mec, assez pour lui introduire ma queue. Et je l’aurais sodomisé tout en regardant ma femme dans les yeux.
- Tu es bisexuelle ?
- Je suis où le plaisir m’appel.
- Je vois.
- Et vous, si j’ai bien entendu et compris votre confession, vous avez aimé cet instant ?
- Pour être franc, oui.
- Et vous n’avez jamais cherché à…
- Non, me coupe-t-il.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- De peur d’aimer cela, et de demander beaucoup plus.
- Mais dites-moi, pourquoi me dire cela ?
- Moi, j’ai pardonné, pourquoi pas toi ?
- Parce que je ne suis pas vous. Fais-je en quittant ma chaise. Avec tout ça, je vous salut !
Et sur ce, je m’avance jusqu’au comptoir et paye la consommation. Je fais un signe de tête à mon ex et quitte le bar.
C’est en regardant la télé, qu’une idée vient germer dans mon esprit. Comme il est tard, je me promets de remettre cela pour le lendemain.
Ainsi une fois levé, je prends mon portable et compose le numéro de Colette. Espérant bien que ce soit elle qui répond. Quand j’ai reconnu sa voix, j’ai soufflé de satisfaction. Elle ne trouve aucun obstacle à venir me rejoindre chez moi. Au contraire, elle est radieuse que je pense encore à elle.
Dès la porte franchis la voilà qu’elle me saute dessus.
- Putain, tu ne peux pas savoir comment tu m’as manqué ?
- C’est juste une relation d’adieu.
- Ça me va, je prends !
- Très bien alors !
- Alors ne perdant pas de temps.
- Attends un instant, j’ai avant tout une proposition à te soumettre.
- Tout ce que tu veux. Mais bon, je t’écoute !
Voilà que je lui expose mon souhait.
- Je te l’ai dit, j’accepte tout ce que tu désires.
- Bien, Bruno rentre.
Il attendait sagement mon signal, pour sortir de derrière la porte de ma chambre, caméra VHS sur l’épaule.
Pour la suite, je la fais s’installer nue, les jambes écartées sur la table en sapin de la cuisine, un drap de bain sous les fesses. J’attaque cette masse pileuse au rasoir de cette façon. Il me faut d’abord débarrasser un peu le terrain. Je prends une paire de ciseaux et commence à débroussailler cette forêt amazonienne, grisonnante.
Une fois les longues mèches, retirées, j’humidifie son pubis avec un gant très humide. J’étale la mousse à raser avec un blaireau et entame la longue séance de rasage. Comme je le faisais sur le pubis de sa chère fille. La peau apparaît peu à peu sous mon regard, sous la masse velue. J’y vais par petites touches. Je commence autour du nombril. Rince, répète l’opération sur les flancs. Quelques minutes, plus tard, je gagne la prairie. Puis vient la partie délicate. Je la recouvre sous la mousse, et entame la périlleuse opération sans blesser ses jolies lèvres. Je pose un doigt au sommet de la cime afin de tendre la peau. Après avoir bien affranchi l’aine et le haut des cuisses, les grandes lèvres et le mont-de-Vénus, j’admire mon œuvre. Un vrai sexe de poupée. Je pense à la tête de son con de mari quand il va visionner la cassette !
De voir apparaître sa charmante conque me procure des frissons. Un coup d’essayage sur le tout et je recouvre l’espace d’une nouvelle couche de mousse, pour un second passage de rasseoir. Suite à cela, je lui applique sur son sexe une crème apaisante censée lutter contre le feu du rasoir.
- Tu as tout filmé ? Fais-je à Bruno.
- Tout est dans la boîte.
- Très bien, je compte sur toi pour la suite. Parce que crois-moi la salope en veut. Et tu vas voir !
Je déboutonne ma braguette. Mon sexe s’érige. Du pouce, je caresse mon gland, les yeux rivés sur l’objectif. Colette se masse les seins dont les pointes dardent avec insolence. Mon excitation augmente de minute en minute. Elle laisse courir ses mains sur ses flancs, sur son ventre pour descendre vers l'entrecuisse qu'elle caresse d'un doigt léger. Cette simple caresse lui arrache un gémissement. Lentement, elle se frotte le clitoris tandis que son autre main caresse doucement la courbe de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bande sous l'effet de la caresse et de l'excitation.
Je suis subjugué par cette vision de mon ex belle-mère, en train de se caresser. Ma propre main accélère son mouvement de va-et-vient. Bruno tourne autour de nous.
Je me saisis du gode que j’avais préalablement préparé. Toujours, couchée sur le dos sur la table, les jambes contre sa poitrine haute perchée, je lui fais saliver le silicone. Puis l’introduisit en exerçant une pression. Son anus galbe, se dilate, s’assouplit, palpite, mais finit par engloutir le bout, que je fais disparaître dans son gros fessier.
Colette émet un râle de contentement.
- T’aimes ça cochonne ?
- Je préfère ta queue à choisir, mais bon, si c’est ça que tu veux ! Fait-elle en tirant sur ses fesses pour bien les ouvrir.
Pousse comme pour faire un besoin naturel. J’exerce quelques va-et-vient dans son fion, et retire le gode. Je flaire d’un air approbateur. Et me mets à le laper, devant l’objectif.
- Allez, apporte moi la tienne… Fait-Colette.
Son anus palpite comme une fleur de chair.
- Enfile-moi là, veux-tu. Dit-elle, tout en massant son trou du cul, enfonçant son doigt le poussant le plus profond dans son rectum.
Son fessier ressemble à une grosse pomme coupée dans son centre, au milieu duquel on aurait fait un trou.
Colette souffle d’impatience, elle transpire. Je flatte l’anus dilaté, puis le lèche. Colette, les yeux clos, elle est aux anges. Elle gémit tandis que j’enfonce le bout de ma langue dans son fion. Elle pousse un râle, se cambre, émet un gémissement.
- Oh, Alain, je n’en peux plus… Je veux ta queue maintenant.
Je bande comme jamais. L’anus de Camille se contracte, se dilate. Le trou du cul palpite, laissant apparaître les chairs roses à l’intérieur. Colette me dévisage, se demandant ce que je fais. Je l’embrasse à pleine bouche, elle me lèche les lèvres.
- Tu sens mon cul ! Murmure Colette.
Lui lançant un sourire vicieux, je lui malaxe ses gros nichons.
- Tu veux vraiment que je te fourre ma queue dans le cul ? Tout en la lui exhibant.
- C’est bien pour ça que je suis là.
- Que dirait ton mari en te voyant, m’offrir ton cul ?
- Laisse tomber avec celui-là.
Je pense que cela va lui faire plaisir en visionnant la cassette !
Son orifice m’a toujours frappé par son obscénité. Son trou du cul forme un petit entonnoir aux parois plissées, très foncées, où poussent quelques poils drus de couleur fauve. Entrouvert, cela met une note bestiale dans l’épure.
Je me positionne pour pointer ma queue au contact de son œillet. Tout de suite, la chaleur de son anus se répand sur mon gland.
Je fais peser mon gland au creux de l’entonnoir brûlant qui s’évase sous la poussée. Colette respire plus vite, fait battre ses flancs entre mes genoux. Une fois mon nœud avalé, la sensation est si voluptueuse que j’ai du mal à me retenir de crier.
D’un coup de reins, j’enfonce ma queue jusqu’aux couilles dans le trou du cul dilaté. Colette tremble de tous ses membres. Elle halète.
L’anus se contracte et s’élargit, autour de ma verge. Je sens la paroi intime s’échauffer, s’assouplir, devenir hypersensible.
- Il n’y a pas à dire Colette, ton cul est bien meilleur que celui de ta fille.
- Merci du compliment !
Je donne une impulsion à ma tige, qui se dresse toute dure dans sa cavité grasse, Colette pousse un gémissement de ventre. Son rectum se moule comme un gant autour de l’intrus.
Je ne mets pas longtemps pour éjaculer en grognant, alors que Colette gémit. Avec d’amples mouvements de reins, je me vide jusqu’à la dernière goutte. Puis je me suis laissé couler sur une chaise.
- Bruno, filme bien son trou !
- Tu m’as bien… Bien enculé mon beau…
- Tu sais que je suis friand de ton cul !
- Et moi de ta queue… Approche…
Je me lève de ma chaise et m’approche d’elle. Bruno filme toujours alors qu’elle se saisit de ma queue, qu’elle branle. Elle me masturbe doucement en me palpant les couilles de l’autre main.
- Tu penses qu’elle est comestible ?
- Elle sort de ton cul !
Elle se penche vers ma bite et commence à la sucer lentement en me regardant avec un regard lubrique. Humm, elle enfonce bientôt tout mon chibre dans sa bouche et le ressort lentement.
- Elle a bon goût ! Me fait-elle, avant de la ravaler.
S’en suis alors de sa part, une bonne pipe. Hummm ! Elle y va de bon cœur. Elle aime ça sucer ma queue cette cochonne.
Le lendemain, je fais parvenir la cassette à son mari. J’attends patiemment une bonne semaine pour lui passer un coup de fil. Et comme prévu, il m’a raccroché au nez.
Ils ne sont pas vraiment marrants les cocus !
- Merci d’être venu ! Me dit-il.
Je réponds un :
- On m’invite, j’accours.
- Tu sais pourquoi je t’ai fait venir jusqu’ici ?
- J’ai ma petite idée, mais je vous écoute.
- Tu sais que ma fille est dans la tourmente en ce moment ?
- Et alors ?
- Que prévois-tu pour la suite ?
- Je pense avoir très clair sur ce sujet, je divorce.
- Bien, pas moyen de te faire changer d’avis ?
- Je campe sur ma position.
Et là, il se met à me parler de sa vie. Ce n’est rien qu’une confession. La bonhomie avinée du beau-père commençait à me taper sur les nerfs. Il a un rire déplaisant en me frappant du coude. Je me retiens de le gifler. Il marque une pause et repousse son verre, posant les coudes sur le comptoir avec une exagération théâtrale, signe qu’il allait faire une déclaration.
- Tu ne sais que ma femme, jadis me tromper ? Me lâche-t-il.
Je pense qu’il n’est pas au courant de ma relation avec sa femme. Sinon il me l’aurait dit. Alors je joue l’innocent.
- Non, je ne le savais pas.
- Un jour, je rentre plus tôt, et je trouve sur la table du salon trois coupes. Des vêtements jetés çà et là. Je comprends tout de suite. Mais cela ne m’empêche pas de me rendre jusqu’à la chambre. Une fureur sourde me fait battre le sang aux tempes. Au moment où je pousse la porte, ma femme m’apparaît. Les cheveux en bataille. Visiblement gênée, elle marmonne un oh, tu rentres plus tôt que prévus ?
- J’examine la chambre par-dessus son épaule. Dans le lit saccagé, deux mecs qui dorment à poings fermés, nus comme des vers. Elle soupire et me repousse, m’entraînant jusqu’au salon. Elle rompt le silence. Le rouge aux joues, elle chuchote :
- C’est de ta faute ! Puis elle marque une pause, rougit davantage puis se lance les yeux brillants.
- Oui, ajoute-t-elle, c’est toi qui m’as poussé à cela !
- Ma jalousie est là, mais devant ma femme, qui me sourit avec un mélange de naïveté et d’audace. Et je ne sais pourquoi mon excitation reprend clairement le dessus. Je ne veux pas le montrer. Enfin pas tout de suite. Je désire qu’elle est du remords.
- Tu dois me prendre pour un con ? Me fait-il.
Je me garde bien de répondre.
- C’est la première fois ? Me fait-elle.
Elle relève le menton sur moi, ajoute-t-il. Et là elle me dit :
- J’ai besoin de cul. Ce que tu me donnes plus !
- J’espère qu’ils t’ont donné du plaisir ? Je lui fais.
- Tu ne peux même pas d’imaginer !
- Incapable de dissimuler mon désir, je me colle à elle, laissant ma main courir sur sa forte poitrine. Je glisse mes doigts de mon autre main, entre ses cuisses. Je découvre une vulve humide sous le buisson. Elle frissonne et se laisse aller sur moi. Je pelote ses gros seins. Avec un soupir, elle frotte sa croupe contre mes cuisses. Je déplace ma main et fouille sa raie. Ses deux orifices s’ouvrent sous mes doigts. Avec une docilité que je ne lui connaissais pas. Noyées dans un jus tiède. Mélange de mouille et de sperme. Mes phalanges coulissent dans le cul et dans la chatte. Elle a le souffle court et articule avec peine. Je libère sa chatte, mais loge l’extrémité d’un troisième doigt dans son cul. Elle pousse un petit cri.
Et là, tu ne vas pas me croire, je me suis défait. Je bande comme un taureau. Et sans aucune hésitation de la sodomise. Et crois-moi, elle aimait cela.
Je ne peux pas lui dire, et pour cause, mais je suis au courant que la fameuse Colette, sa femme aime se faire enculer.
- Tu me prends sans doute pour un imbécile ?
- Ce que je pense, ça, je le garde pour moi.
- Qu’est-ce que tu aurais fait toi, à ma place ? Me questionne-t-il.
- Moi, c’est simple, j’aurais réveillé un mec, j’aurais dit à ma femme de s’allonger sur le lit et j’aurais invité le mec de la prendre en missionnaire. Une fois accouplé, j’aurais dilaté l’anus du mec, assez pour lui introduire ma queue. Et je l’aurais sodomisé tout en regardant ma femme dans les yeux.
- Tu es bisexuelle ?
- Je suis où le plaisir m’appel.
- Je vois.
- Et vous, si j’ai bien entendu et compris votre confession, vous avez aimé cet instant ?
- Pour être franc, oui.
- Et vous n’avez jamais cherché à…
- Non, me coupe-t-il.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- De peur d’aimer cela, et de demander beaucoup plus.
- Mais dites-moi, pourquoi me dire cela ?
- Moi, j’ai pardonné, pourquoi pas toi ?
- Parce que je ne suis pas vous. Fais-je en quittant ma chaise. Avec tout ça, je vous salut !
Et sur ce, je m’avance jusqu’au comptoir et paye la consommation. Je fais un signe de tête à mon ex et quitte le bar.
C’est en regardant la télé, qu’une idée vient germer dans mon esprit. Comme il est tard, je me promets de remettre cela pour le lendemain.
Ainsi une fois levé, je prends mon portable et compose le numéro de Colette. Espérant bien que ce soit elle qui répond. Quand j’ai reconnu sa voix, j’ai soufflé de satisfaction. Elle ne trouve aucun obstacle à venir me rejoindre chez moi. Au contraire, elle est radieuse que je pense encore à elle.
Dès la porte franchis la voilà qu’elle me saute dessus.
- Putain, tu ne peux pas savoir comment tu m’as manqué ?
- C’est juste une relation d’adieu.
- Ça me va, je prends !
- Très bien alors !
- Alors ne perdant pas de temps.
- Attends un instant, j’ai avant tout une proposition à te soumettre.
- Tout ce que tu veux. Mais bon, je t’écoute !
Voilà que je lui expose mon souhait.
- Je te l’ai dit, j’accepte tout ce que tu désires.
- Bien, Bruno rentre.
Il attendait sagement mon signal, pour sortir de derrière la porte de ma chambre, caméra VHS sur l’épaule.
Pour la suite, je la fais s’installer nue, les jambes écartées sur la table en sapin de la cuisine, un drap de bain sous les fesses. J’attaque cette masse pileuse au rasoir de cette façon. Il me faut d’abord débarrasser un peu le terrain. Je prends une paire de ciseaux et commence à débroussailler cette forêt amazonienne, grisonnante.
Une fois les longues mèches, retirées, j’humidifie son pubis avec un gant très humide. J’étale la mousse à raser avec un blaireau et entame la longue séance de rasage. Comme je le faisais sur le pubis de sa chère fille. La peau apparaît peu à peu sous mon regard, sous la masse velue. J’y vais par petites touches. Je commence autour du nombril. Rince, répète l’opération sur les flancs. Quelques minutes, plus tard, je gagne la prairie. Puis vient la partie délicate. Je la recouvre sous la mousse, et entame la périlleuse opération sans blesser ses jolies lèvres. Je pose un doigt au sommet de la cime afin de tendre la peau. Après avoir bien affranchi l’aine et le haut des cuisses, les grandes lèvres et le mont-de-Vénus, j’admire mon œuvre. Un vrai sexe de poupée. Je pense à la tête de son con de mari quand il va visionner la cassette !
De voir apparaître sa charmante conque me procure des frissons. Un coup d’essayage sur le tout et je recouvre l’espace d’une nouvelle couche de mousse, pour un second passage de rasseoir. Suite à cela, je lui applique sur son sexe une crème apaisante censée lutter contre le feu du rasoir.
- Tu as tout filmé ? Fais-je à Bruno.
- Tout est dans la boîte.
- Très bien, je compte sur toi pour la suite. Parce que crois-moi la salope en veut. Et tu vas voir !
Je déboutonne ma braguette. Mon sexe s’érige. Du pouce, je caresse mon gland, les yeux rivés sur l’objectif. Colette se masse les seins dont les pointes dardent avec insolence. Mon excitation augmente de minute en minute. Elle laisse courir ses mains sur ses flancs, sur son ventre pour descendre vers l'entrecuisse qu'elle caresse d'un doigt léger. Cette simple caresse lui arrache un gémissement. Lentement, elle se frotte le clitoris tandis que son autre main caresse doucement la courbe de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bande sous l'effet de la caresse et de l'excitation.
Je suis subjugué par cette vision de mon ex belle-mère, en train de se caresser. Ma propre main accélère son mouvement de va-et-vient. Bruno tourne autour de nous.
Je me saisis du gode que j’avais préalablement préparé. Toujours, couchée sur le dos sur la table, les jambes contre sa poitrine haute perchée, je lui fais saliver le silicone. Puis l’introduisit en exerçant une pression. Son anus galbe, se dilate, s’assouplit, palpite, mais finit par engloutir le bout, que je fais disparaître dans son gros fessier.
Colette émet un râle de contentement.
- T’aimes ça cochonne ?
- Je préfère ta queue à choisir, mais bon, si c’est ça que tu veux ! Fait-elle en tirant sur ses fesses pour bien les ouvrir.
Pousse comme pour faire un besoin naturel. J’exerce quelques va-et-vient dans son fion, et retire le gode. Je flaire d’un air approbateur. Et me mets à le laper, devant l’objectif.
- Allez, apporte moi la tienne… Fait-Colette.
Son anus palpite comme une fleur de chair.
- Enfile-moi là, veux-tu. Dit-elle, tout en massant son trou du cul, enfonçant son doigt le poussant le plus profond dans son rectum.
Son fessier ressemble à une grosse pomme coupée dans son centre, au milieu duquel on aurait fait un trou.
Colette souffle d’impatience, elle transpire. Je flatte l’anus dilaté, puis le lèche. Colette, les yeux clos, elle est aux anges. Elle gémit tandis que j’enfonce le bout de ma langue dans son fion. Elle pousse un râle, se cambre, émet un gémissement.
- Oh, Alain, je n’en peux plus… Je veux ta queue maintenant.
Je bande comme jamais. L’anus de Camille se contracte, se dilate. Le trou du cul palpite, laissant apparaître les chairs roses à l’intérieur. Colette me dévisage, se demandant ce que je fais. Je l’embrasse à pleine bouche, elle me lèche les lèvres.
- Tu sens mon cul ! Murmure Colette.
Lui lançant un sourire vicieux, je lui malaxe ses gros nichons.
- Tu veux vraiment que je te fourre ma queue dans le cul ? Tout en la lui exhibant.
- C’est bien pour ça que je suis là.
- Que dirait ton mari en te voyant, m’offrir ton cul ?
- Laisse tomber avec celui-là.
Je pense que cela va lui faire plaisir en visionnant la cassette !
Son orifice m’a toujours frappé par son obscénité. Son trou du cul forme un petit entonnoir aux parois plissées, très foncées, où poussent quelques poils drus de couleur fauve. Entrouvert, cela met une note bestiale dans l’épure.
Je me positionne pour pointer ma queue au contact de son œillet. Tout de suite, la chaleur de son anus se répand sur mon gland.
Je fais peser mon gland au creux de l’entonnoir brûlant qui s’évase sous la poussée. Colette respire plus vite, fait battre ses flancs entre mes genoux. Une fois mon nœud avalé, la sensation est si voluptueuse que j’ai du mal à me retenir de crier.
D’un coup de reins, j’enfonce ma queue jusqu’aux couilles dans le trou du cul dilaté. Colette tremble de tous ses membres. Elle halète.
L’anus se contracte et s’élargit, autour de ma verge. Je sens la paroi intime s’échauffer, s’assouplir, devenir hypersensible.
- Il n’y a pas à dire Colette, ton cul est bien meilleur que celui de ta fille.
- Merci du compliment !
Je donne une impulsion à ma tige, qui se dresse toute dure dans sa cavité grasse, Colette pousse un gémissement de ventre. Son rectum se moule comme un gant autour de l’intrus.
Je ne mets pas longtemps pour éjaculer en grognant, alors que Colette gémit. Avec d’amples mouvements de reins, je me vide jusqu’à la dernière goutte. Puis je me suis laissé couler sur une chaise.
- Bruno, filme bien son trou !
- Tu m’as bien… Bien enculé mon beau…
- Tu sais que je suis friand de ton cul !
- Et moi de ta queue… Approche…
Je me lève de ma chaise et m’approche d’elle. Bruno filme toujours alors qu’elle se saisit de ma queue, qu’elle branle. Elle me masturbe doucement en me palpant les couilles de l’autre main.
- Tu penses qu’elle est comestible ?
- Elle sort de ton cul !
Elle se penche vers ma bite et commence à la sucer lentement en me regardant avec un regard lubrique. Humm, elle enfonce bientôt tout mon chibre dans sa bouche et le ressort lentement.
- Elle a bon goût ! Me fait-elle, avant de la ravaler.
S’en suis alors de sa part, une bonne pipe. Hummm ! Elle y va de bon cœur. Elle aime ça sucer ma queue cette cochonne.
Le lendemain, je fais parvenir la cassette à son mari. J’attends patiemment une bonne semaine pour lui passer un coup de fil. Et comme prévu, il m’a raccroché au nez.
Ils ne sont pas vraiment marrants les cocus !
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