La Chapelle de la Pénitente

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : La Chapelle de la Pénitente Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Chapelle de la Pénitente
Suite à cette folle nuit de l'inauguration de la restauration du lycée, je me réveillais le lendemain sereine et épanouie, mais encore recouverte des stigmates et des traces de mes aventures extraconjugales de la veille. Après une bonne douche pour retirer les marques de sperme séché recouvrant mon corps, je quittais l’hôtel afin de prendre un bon petit déjeuner au centre-ville, sur la place centrale qui restait un trésor de l'architecture classique, faisant partie des plus belles places du monde. Avant de remonter dans ma voiture, je reconnus le véhicule de Thierry qui apparemment séjournait dans le même hôtel que moi. Le parking étant désert, je pris mon tube de rouge à lèvres afin de lui laisser un dernier souvenir. Je me rendais ensuite au centre. J’adorais cette place prestigieuse, qui me rappelait les moments précieux de ma jeunesse dans cette ville que j’avais quittée depuis bien longtemps. Profitant du soleil avec un petit-déjeuner copieux, je reçus un SMS de Thierry accompagné par plusieurs photos très explicites…- @Patricia : merci pour le cadeau, il serait préférable qu’on se voit rapidement…La première photo était sombre, mais on pouvait me voir sur le parking entouré de mes deux jeunes amants dans une position très compromettante. La seconde photo, était celle de sa voiture que j’avais marquée 1 heure plus tôt, et sur laquelle j’avais accroché ma culotte déchirée pleine de sperme, avec comme inscription sur le pare-brise : “En souvenir d’adieu !!!”. Il m’avait donc, non seulement espionné, mais de plus immortalisé dans une situation délicate. Que voulait-il ? Sans aucun doute, il allait me demander de monnayer cette preuve de mon adultère et me faire payer mon arrogance et mépris de la veille. Ne souhaitant pas rentrer trop tard chez moi, je lui proposais une rencontre une heure plus tard dans un parc à proximité. Le voir en public me rassurait.
- Bonjour Patricia, tu as des cernes sous les yeux, je suppose que tu n’as pas dû dormir beaucoup…- Épargne-moi tes commentaires salaces et dis moi ce que tu veux.
- Rien, juste parler avec toi, me donner le temps de m’expliquer…- En me faisant chanter ?
- Ha, la photo, ne t’inquiète pas d’ailleurs regarde, je la supprime devant toi…Il s’exécuta, supprimant les photos de son téléphone sous mes yeux. J’étais soulagée, et décidais de lui donner le temps de s’expliquer. Il parla longtemps, terriblement ému. Regrettant son attitude, avouant n’avoir pas été au courant des agissements de son beau-frère à mon égard. Il m’avoua sa passion, sa flamme, son amour, ses regrets, il ne cessait de parler, les yeux remplis de larmes, tentant à plusieurs reprises de me prendre la main. Il était comme un amant écarté, un homme amoureux, mais rejeté essayant de récupérer celle qui lui avait brisé le cœur. Émue, je le laissais me prendre tendrement la main, l’écoutant, tout en essayant de ne pas lui donner de faux espoirs. Au bout d’une heure, on se quitta, il était vraisemblablement soulagé, et me fit promettre de le revoir sans arrière-pensée, mais comme de bons amis. J’acceptais, sachant que la distance et sa vie personnelle ne rendrait pas facile la tenue de cette promesse. Je rentrais chez moi, reprenant ma vie de bourgeoise coquine. Les semaines s’écoulèrent, sans nouvelle, avant qu’il ne reprenne contact. De passage dans ma région, il me proposa de déjeuner, j’acceptais.
Il avait profité d’un rendez-vous d’affaire pour faire un crochet et m’inviter. On se retrouva dans une petite auberge de la région, à l’écart de la ville, et en pleine nature. Étant, en plein milieu de semaine, la clientèle était avant tout professionnelle. Nous étions installés dans un coin discret et intimiste, et je me surprenais à passer un moment agréable. À la fin du déjeuner, il me raccompagna à mon véhicule et après avoir échangé une bise pleine de tendresse, me quitta pour rentrer chez lui. Ce scénario se reproduit plusieurs fois pendant cette période de printemps. Une fois par semaine, je recevais cette invitation et nous partagions ce moment sympathique comme deux vieux amis dans cette petite auberge discrète. Il profitait de ces moments pour me raconter sa vie, ses enfants, mais également ses problèmes de couple, m’avouant qu'il voulait entamer une procédure de divorce. Les relations avec son épouse s’étaient fortement détériorées au fil des années, et il avait décidé de mettre un terme à son mariage. Je partageais sa tristesse comme une veille amie, attentive, ne pouvant m’empêcher d’imaginer quelle aurait pu être notre vie ensemble, si à l’époque, il n’avait pas épousé cette femme. À la fin du déjeuner, nous profitions d’un peu de temps afin de nous balader dans le joli parc qui était à proximité de l’auberge, marchant tous les deux dans cette douceur printanière. Il m’avait pris par le bras, et nous flânions en papotant tous les deux comme deux amis complices. On s’arrêta sur un banc en face d’un joli étang, pour profiter de moment de calme bucolique, assis l’un face à l’autre. Face à moi, ses grands yeux d’aristocrate plongeaient dans mon regard bleu, tout en souriant…- Ohhhhhh Patricia, tu sais que….
Sans autre préambule, il s’approcha de moi me serra dans ses bras, il m’embrassa avec passion. J’étais à mille lieux de pouvoir imaginer cet instant, moi qui avais juré de ne plus jamais tomber sous son emprise, je me retrouvais un an après son ignoble trahison, assise contre lui alors me laissant embrasser comme une collégienne. Cela me prit quelques minutes pour trouver enfin la force de le repousser.
- Non Thierry, tu sais qu’il ne peut plus rien avoir entre-nous. Après ce que tu m’as fait, je ne peux t’offrir que mon amitié.
- Ohhhh mon amour… Tu sais que ton amitié est importante pour moi, mais je veux plus, je veux tout…Il replongea sur moi pour m’embrasser à nouveau, enfonçant sa langue au plus profond de moi, me laissant sans force et dans l’incapacité de résister. J’essayais pour la forme de le repousser, mais ses bras puissants avaient enserré mes poignets, empêchant toute rébellion. Je subissais ce baiser, retrouvant cette passion et virilité que je lui connaissais tant. Il savait comment me transporter, et je devais trouver un moyen rapide pour le stopper. Nous étions seuls, dans cette forêt, au bord de ce petit étang, et tels deux adolescents, nous fleuretions comme au premier jour. Il tenait mes mains fermement de sa main droite, alors que sa main gauche me tenait par la nuque et les cheveux pour maintenir son baiser le plus longtemps possible. Un désir presque imperceptible s’éveillait en moi. J’acceptais son baiser, et m’abandonnais à cette caresse intrusive et passionnée. Sa salive coulait en moi, exprimant un plaisir qu’il pouvait lire dans mes yeux, dans mon expression faciale, exacerbé par les claquements de nos bouches et la salive qui sortait de mes lèvres. Les odeurs, l’humidité de notre baiser, la pression de ses mains créaient un d'effet aphrodisiaque envoyant également un signal à mon cerveau multipliant le plaisir reçu et occultant tous ces derniers mois de rancunes. J’oubliais ce qu’il m’avait fait, ne me concentrant que sur cet instant présent. Dans un éclair de lucidité, je parvenais à me relever et de mettre un terme à cette embrassade surprise. Sans un mot, il se redressa, et me reprit par le bras afin de continuer notre promenade comme si de rien n’était. On marchait en silence, remontant un petit sentier, quand il me poussa en dehors du chemin contre un arbre, attrapant mes poignets qu’il bloqua à nouveau derrière ma nuque. Il posa un doigt sur mes lèvres et commença à m’embrasser dans le cou. C’était si bon, si doux et à la fois si ardent ! Je m’enflammais petit à petit tandis que les mains de Thierry parcouraient mon corps avec une grande douceur, à travers le tissu léger de ma robe bleu. Chaque baiser me procurait de délicieuses secousses dans le ventre. Il m’avait trompé, abandonné, bafoué, et pourtant, j’avais envie de lui ! Je ressentais un véritable désir pour cet homme qui s’était comporté comme un monstre. Il me reprit la bouche, comme avide de recueillir mes premiers gémissements de plaisir. Mon envie de sentir sa peau contre la mienne était si forte que je le laissais prendre l’initiative sans décoller ma bouche de la sienne. Il stoppa au bout de quelques minutes pour me raccompagner à ma voiture.
Je repris ma voiture et rentrais chez moi. Totalement désemparée par cette situation. Je m’étais juré de ne plus jamais tomber sous le charme de cet homme, et voilà qu'après-justes quelques rencontres, je retombais dans ses bras comme une petite Jouvencelle. Il se passa quelque temps, pendant lesquels je n’eus aucune nouvelle, me permettant de réfléchir à mon comportement. Il ne me rappelait pas, essayait-il de mettre de la distance ? Était-il passé à autre chose ? Dans tous les cas, il me fallait trouver les bons mots afin de pouvoir arrêter ce qui risquait de se reproduire. Après 2 semaines, il m’invita à nouveau, lors d’un de ses nombreux déplacements. Pour cette fois, il avait réservé une table dans un village typique dans lequel il venait de réaliser un investissement important dans un objectif de rénovation d’une petite chapelle. Le déjeuner se déroula, sans même faire référence à notre dernière entrevue, et alors que je m’étais préparée, avec un argumentaire complet, je me retrouvais dans une situation paradoxale de frustration. À la fin du déjeuner, on déambulait dans le village, quand il décida de me faire visiter la petite chapelle en cours de restauration.
Il ouvrit la grande porte et me fit entrer dans cet endroit pieux, jonché d’échafaudages m’expliquant la caractéristique des travaux en cours. Dans un angle de la chapelle, se trouvait un petit confessionnal vers lequel il m’entraîna. La partie réservée au confesseur était une sorte de cellule munie d’un banc assez large, et profond pour que celui-ci puisse écouter suffisamment à son aise les confessions avec un guichet grillagé, obturable par un volet coulissant. La cellule était fermée par une porte. L’emplacement réservé aux pénitents, était occupé par un agenouilloir fixe, d’une hauteur et d’une largeur suffisantes, au-dessus duquel un crucifix était placé.
Sans se préoccuper de mes intentions, il me prit par le bras et me poussa dans l’espace exigu du confessionnal refermant la porte derrière lui. Il me força à m’asseoir à la place du confesseur malgré ma résistance, et sorti son sexe fièrement tendu devant moi...
- Je vous écoute, belle pécheresse, confessez moi vos péchés...
- Thierry que fais tu ? Il est hors de question que...
Il poussa son sexe entre mes lèvres sans me laisser terminer ma phrase, me bâillonnant d’un même coup, empêchant toute protestation... Depuis des semaines, j’essayais d’affûter mes arguments afin de pouvoir repousser ses avances et voilà qu’en l’espace de quelques minutes, je me retrouvais sans défense avec le sexe de cet homme qui me baisait la bouche. Il me tenait fermement par les cheveux faisant coulisser son membre énorme entre mes lèvres, tout en commentant ma prestation de pécheresse.
- Haaaaa, oui voilà, une belle pénitente, pour ton péché... Oui, astique-moi le gland...
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmm- Voilà continue, brûle toutes tes erreurs, sale pécheresse.
- Hummmmmm, Hummmmm, Hummmmmm- Je vais te laver de tous tes péchés avec mon sperme, belle salope...
- Hummmmm, Hummmmm, HummmmmJ’étais à nouveau soumise à cet homme, qui avait réussi à me manipuler, et cela, malgré toute ma rancœur. Il avait réussi à me courtiser, pour me posséder à nouveau, et je savais que cette pipe rapide et improvisée n’était que le début... C’était un prédateur, et j’étais sa proie, son jouet, son objet. Il utilisait ma bouche et mes lèvres comme une ventouse, entre lesquelles son gros sexe coulissait tout en continuant de me traiter de pécheresse...
- Tu veux mon liquide sur ta face impur... Demande-le-moi...
- Hummmmmm, Hummmmm, HUmmmmmmIl jouit sur moi, sur mon visage, répandant son liquide sur mes joues, ma bouche mes cheveux. De grands jets, qu’il me forçait à avaler, et sans un bruit, il me releva pour me raccompagner à mon véhicule- Thierry, tu m’as forcé à te sucer, je ne veux plus jamais...
Il m’embrassa avec force, plongeant sa langue dans ma bouche, me roulant une pelle gluante, et baveuse, dont je ne pouvais me soustraire.
- Et tu as aimé cela, et tu en redemandes. Rentre chez-toi, on se revoit bientôt.
Il me laissa, repartir, seule, totalement désemparée, avec le goût de son sperme dans ma bouche, et la sensation étrange que ce n’était le début d’une aventure pour laquelle je n’avais aucun contrôle. Les jours d’après s’écoulèrent avec un sentiment étrange, d’inquiétude d’une part de me trouver piéger dans ce rôle de soumise à cet homme si puissant, mais également terriblement excitée par sa puissance et l’érotisme de nos relations perverses. Régulièrement, je frissonnais seule en pensant à sa bouche qui bougeait habilement sur ma chair, ses lèvres tétant, tordant et tirant les parties les plus intimes de mon corps. Des sensations multiples me traversaient et je me retrouvais fréquemment rêvant d'être prise dans un vortex de plaisir et de désir. Chaque semaine, il revenait, et me réinvitait dans la même auberge, me parlant tendrement, me prenant la main, se montrant attentionné et doux, et systématiquement à chaque fin de repas, il m’entraînait dans cette chapelle, à l’intérieur de ce petit confessionnal, et me violait la bouche, se comportant comme un prêtre confesseur, un ministre du sacrement de pénitence à qui on avoue tous ses péchés. Il utilisait son sexe comme un outil de lavement, afin de me nettoyer de mon impureté. Un prêtre aurait utilisé l’eau du baptême pour me purifier, lui utilisait son sexe et son sperme que j’avalais une fois par semaine. Ses mains toujours accrochées dans mes cheveux, et sa grosse bite coulissant entre mes lèvres, je regardais les reliques et les croix autour de moi, écoutant mon amant dominateur.
- Oui pécheresse, pompe moi le dard... Fais-moi bander...
- Hummmmm, Hummmmmmm, Hummmmm- Dis-moi que tu es une grosse salope impure...
- Hummmmm, Hummmmmm, Hummmmmm- Une pute qui fait pénitence en bouffant mon sperme chaque semaine...
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm- Oui, c’est bien, quand tu seras enfin propre alors je te prendrais...
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm- Ohhhhhh, quelle gourmande tu vas me faire encore jouir !!!!!!
Comment lutter contre mes pulsions? Comment résister à cet homme ? Comment le repousser ? Paradoxalement, et sûrement comme un effet de ma culpabilité, je m’offrais corps et âme à mon mari. Multipliant les sollicitations sexuelles, livrant mon corps, me permettant de maintenir un équilibre et de maîtriser mes pulsions et contrôler mes envies sexuelles. Une tension sauvage me traversait en permanence. C’était enivrant, sombre et délicieux. Une soudaine prise de conscience me percuta, je risquais d’aller au-delà de mes limites, me forçant à explorer mon côté sombre, cherchant cette face profondément enfoui de mon désir de voir ses deux hommes me posséder tel un objet, une vulgaire poupée de chair. C’était comme si un mur infranchissable venait de tomber devant moi. Je voulais être libre et succomber à la liberté soudaine et écrasante de me donner. Être poussée hors de ma zone de confort de bourgeoise en réveillant mes penchants sexuels les plus obscurs.
Après plusieurs semaines, il alterna les pénitences, utilisant mes gros seins pour se branler, se tenant debout devant moi, alors qu’il me forçait à resserrer mes belles grosses mamelles autour de son pénis, me poussant à lui donner des petits coups de langue sur son gland lorsque celui-ci se rapprochait de ma bouche. Cela augmentait son plaisir. Cette branlette espagnole était toutefois d’une grande sensualité, pouvant sentir son corps contre le mien avec une sensation très voluptueuse, mes gros seins étant une zone particulièrement érogène.
- Voilà, pécheresse, utilise tes grosses mamelles pour te purifier...
- Ohhhhh Thierry...
- Silence grosse pute, nettoie moi mon outil, fais-moi couler mon liquide afin que finisse de te confesser...
- Ohhhhhhhhh....
- Oui comme ma cochonne, Ohhhhh quelle belle mamelleuse tu es... Après ton gros cul, je crois que ce sont tes beaux nichons que je préfère.
- Ohhhhhhhhhh- Ouiiiiiiiii, Salope, prends-ca !!!!!!!!
Il se répandit une fois de plus sur mon visage me forçant à tout avaler...
- Bien maintenant tu es prête... La semaine prochaine, je vais enfin m’occuper de ta croupe...
Il me re convoqua la semaine suivante, et à nouveau m’entraîna dans la chapelle. Docile, je le suivais, nous dirigeant vers le confessionnal, mais juste avant d’entrer à l’intérieur, ou je savais qu’il allait enfin me prendre violemment, il sortit de sa poche quelques accessoires, composés d’une paire de menottes, un bandeau et mon string souillé de sperme séché.
- Tu le reconnais ma belle, ouvres ta belle bouche et avales le...
- Hummmmmm, Hummmmm, HummmmmmmIl me bâillonna la bouche avec ma culotte, les yeux avec le bandeau, et pour finir m’attacha les mains dans le dos avec la paire de menottes. Il me poussa enfin dans le confessionnal, me positionnant en levrette sur le banc, le visage reposant contre le coussin, laissant ma croupe sur-élevée offerte à mon amant dominateur. Sans une parole, il releva ma robe noire, laissant apparaître mes porte-jarretelles noirs et mes fesses juste protégées par la ficelle de mon string. Il écarta la lanière s’exclamant à la vue de mon gros cul disponible, et me pénétra d’un coup. Accroché à mes hanches, il commença son travail de piston, me baisant avec rage et férocité. Ses mains claquaient sur mes fesses, comme pour appliquer un châtiment divin, une punition surnaturelle donnait par une divinité, en réponse à mes actes de pécheresse.
- Prends ça ma pécheresse. Prends ma grosse bite dans ton derche de pénitente.
- Hummmmmmm, Hummmmmm, Hummmmmm- Oui, bouge-moi ton gros cul... Mon sperme va te purifier ma salope.
- Hoooooooooo, Hooooooooooo- Regarde-moi ton beau gros cul tout rouge, voilà comment on se purifie, avec une bonne grosse fessée... Tiens, prends ça.
- <<Clac>> <<Clac>> <<Clac>> <<Clac>> <<Clac>> <<Clac>>- Hoooooooooooooooo !!!!!!!!!!
- Ohhhhhh qu’est ce que tu es bonne, ma cochonne... Tu vas me faire jouir !!!!!
Bâillonnée avec ma culotte, je ne pouvais que gémir sous les coups de reins qui me transperçaient le corps. Il me baisait avec toutes ses forces, me faisant enfin jouir après toutes ces semaines d’attente. C’était violent, et bestial. Il se comportait comme l’amant animal qu’il était, me procurant des orgasmes multiples, dans cette position dominée et ce lieu si spécial. Il me pilonna le cul pendant plusieurs minutes avant enfin de se vider sur ma croupe, tachant au passage ma robe noire.
Il recommença semaine après semaine. Notre aventure durait depuis plusieurs mois, et malgré la culpabilité de mon adultère, je revenais chaque semaine pour me faire baiser dans cette petite chapelle. Il me prenait de toutes les façons possibles. J’avais pour l’instant conservé une petite victoire, lui refusant de me sodomiser, et cela, malgré ses tentatives régulières. Chose étrange, il n’insistait pas, alors qu’il savait qu’il lui suffisait simplement de me forcer l’anus, et qu’avec mes mains attachées dans mon dos, je ne pouvais pas faire grand-chose. Cette fois-ci, le cérémonial changea. Il m’attacha les mains devant, et me poussa toujours en levrette la tête au travers du guichet grillagé ouvert. Il commença à me besogner avec force, toujours me claquant mes grosses fesses alors qu’à ma grande surprise, une main, à l’extérieur du confessionnal m’attrapa par les cheveux. Je gémissais fort essayant de me débattre, comprenant qu’une deuxième personne allait s’intéresser à mes formes pulpeuses. Plus j’essayais de me débattre, plus Thierry me pilonnait la croupe. Un gros sexe se frotta sur mon visage. Je ne pouvais rien voir et rien faire, prisonnière de mon amant déchaîné. L’homme me retira mon string de la bouche, essayant de pousser son sexe entre mes lèvres. Je fermais la bouche afin d’éviter cette fellation forcée.
- Ouvre ta bouche, pécheresse.
- Donne ta bouche à mon ami, sinon, c’est ton petit trou que je vais lui offrir.
- Hooo Thierry, comment peux, tu me faire... Hummmmmmmmm- Voilà, c’est bien, prends moi entre tes lèvres, montre moi que tu es une bonne pipeuse.
- Alors tu reconnais le goût ?
- Hummmmmm, HummmmmmmmmApparemment, ce n’était pas la première fois que je suçais cet inconnu, mais qui pouvait, être ? Ce n’était quand même pas ?????
- Alors tu reconnais ma bite beauté...
- Tu aimes la bite de mon beauf ma pécheresse, elle est moins grosse que la mienne, mais bien dure quand même...
- Ohhhhh quelle suceuse...
- Pompe-le bien, ma beauté, soit bien docile, tu m’appartiens pour toujours, tu es à moi, tu es mon jouet, et tu vas faire ce que je te demande...
- Hummmmmm, HummmmmmmmIl avait fait venir son beau-frère qui avait abusé de moi lors de ma dernière visite à Dijon, pour me partager avec cet homme. Cette fois, il avait passé une étape majeure dans ma domination et son besoin de me soumettre. Il voulait me donner, m’offrir, me partager, sans aucune considération de mes états d’âmes. J’étais à lui, et il me le faisait savoir. Ils me baisèrent pendant plusieurs minutes, alors que je sentis le pouce de Thierry pousser dans mon anus, qu’il enfonça d’un coup... Il me dilata mon petit trou pendant quelques minutes alors que j’étais toujours empalée à chaque extrémité par les membres de ces deux sauvages. Je sentis alors son membre se frayer un chemin dans mon anus. Il me sodomisait...
- Tu es en train de l’enculer, ta pénitente...
- Oui, je vais la nettoyer de ses péchés... Elle adore la sodo ma beauté...
- Tu vas me laisser l’enculer aussi ?
- Oui, c’est bientôt ton tour.
Une grande claque sur mon cul me motiva, avant d’enchaîner sur un pilonnage de ma croupe en règle. Je sentais son membre entrer et sortir de mon anus, alors que l’autre s’amuser entre mes lèvres.
J’étais incapable de protester. Trop faible pour combattre. Il repoussa ses hanches vers l’avant me faisant crier de surprise. Son sexe lourd m’empalait, profond, destructeur. Des sensations érotiques m’envahissaient lors de cette intrusion rapide. Il se retira et son sexe me pénétra à nouveau. Je luttais pour rester consciente alors que ma bouche, pleine de chair, dévorée le sexe de son beau-frère. Avec des poussées sur ses hanches, son sexe s’enfonçait de plus en plus profondément en moi. Il continuait à pousser jusqu’à ce que mon anus s’ouvre et lui appartienne. Je surfais sur une vague sauvage d’excitation alors que Thierry continuait à pousser son sexe lubrifié dans mon cul. La longueur de sa queue, dure comme du fer, appuyait contre les terminaisons nerveuses sensibles me faisant exploser de plaisir. Les vibrations me déchiraient et je me retrouvais engloutie dans un kaléidoscope de couleurs et de spasmes. Ma santé mentale m’avait abandonnée. J’étais coincée entre deux corps durs. Jetée contre un homme, puis l’autre comme une poupée de chiffon, alors qu’ils me caressaient, s’enfonçaient en moi et me secouaient. Mon être s’évanouissait au milieu d’un flot incessant de sensations.
Ils me reléverent enfin, et Patrick, entra à son tour dans le confessional. Il s’assit sur le banc, me remit mon string dans la bouche, m’attira vers lui et poussa son sexe dans mon anus dilaté. Moins gros que Thierry, il me sodomisait facilement, alors que Thierry qui me faisait face me prit en sandwich, enfonçant son sexe dans ma chatte en feu. Ils me baisèrent comme ça pendant des minutes interminables, caressant mes grosses mamelles, me claquant le cul et les seins, me tirant par les cheveux, ils étaient en transe, et se déchaînaient sur mon corps en feu. Je jouissais comme une folle, hurlant de plaisir sous mon bâillon, alors que leurs mains palpaient chaque recoin de mon corps. C’était d’une violence et d’une débauche inouïe, dans ce lieu de culte, j’étais utilisée comme une vulgaire poupée de sexe, et transperçait par des orgasmes à répétitions.
- Arrête de la sodomiser, on va lui mettre nos deux bites dans la chatte.
- Hummmmmm, Hummmmmmm- La bonne idée, écarte-lui les jambes à notre garage à bitte que je lui fourre mon engin.
- Hummmmm, Hummmmmmm- Voilà, tu vas être lavée de tous tes péchés, impure.
- Hoooooo, putain quelle est bonneIls me baisèrent comme ça coincée dans ce petit espace, faisant coulisser leurs membres dans ma chatte déchirée tout en me tirant sur mes grosses mamelles meurtries. Je n’en pouvais plus preque au bord de l’évanouissement, hystérique de plaisir, quand enfin, je sentis leurs liquides se répandre en moi, ils avaient jouis quasi en même temps entre mes cuisses, me laissant épuisée, défaite, anéantie et couverte de sperme.
Je devais rassembler mes pensées. Comprendre ce qui venait de se passer&#8201;! Je récupérai mes vêtements pour me rhabiller, les jambes tremblantes, le souffle coupé. Je réussis à mettre tous mes vêtements et passais frénétiquement mes doigts dans mes cheveux en bataille. Je regardais les deux hommes sortir de la chapelle. Les portes se fermèrent et je soupirais lourdement. Honteuse, je rentrais chez moi, effaçant le numéro de Thierry, qui même s'il me faisait jouir comme une folle allait devenir néfaste pour mon couple.

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Texte coquin : La Chapelle de la Pénitente
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