LES 7 PECHES CAPITAUX DES DIABLOTINS

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : LES 7 PECHES CAPITAUX DES DIABLOTINS Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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LES 7 PECHES CAPITAUX DES DIABLOTINS
Quelques semaines après notre séjour au Negresco, j'avais décidé d'organiser une soirée pour l'anniversaire de mon mari. Nous étions au mois de décembre, avec un temps pluvieux et froid, et pour casser cette période un peu maussade, rien de tel qu’un dîner en amoureux afin de célébrer les 55 ans de mon époux. J’avais pour cette occasion décidée de lui faire le grand jeu, et au-delà d’une magnifique montre IWC avec cadran bleu et boîtier en acier fin, de diamètre de 41 mm avec bracelet en alligator noir, j’avais concocté une surprise qu’il allait apprécier encore plus. J’étais prête pour le dîner avec un ensemble robe noire moulante qui m’arrivait aux genoux avec double poches zippée de chaque côté, et la taille fendue. La fermeture éclair sur le devant permettait une ouverture complète, et les manches longues et le col chemise donnait un coté sexy et chic. Je lui donnais son premier cadeau pendant l ‘apéritif, gardant la surprise pour le dessert. Il était ravi et très affable, sûrement attiré par mon look de bourgeoise mature sexy et pulpeuse. Une fois au dessert, je lui tendais une enveloppe : « Vendredi 10, soirée privée : les 7 péchés capitaux des diablotins ».
- Tu peux m’expliquer ma chérie ?
- Bien sûr, j’ai organisé une soirée privée vendredi, pour ton anniversaire, avec pour thème « les 7 péchés capitaux. »- Hummmm, bravo, tu m’intéresses... Explique-moi un peu plus...
- C’est très simple, c’est une soirée candaulisme, cette pratique sexuelle qui consiste à regarder sa partenaire faire l’amour avec d’autres personnes. Aux origines, c’est l’histoire d’un roi, éperdument admiratif des charmes de sa compagne, qui demande à son garde qui l'admirait de coucher avec la reine. Donc la reine, c’est moi et le roi c’est toi qui devra de choisir parmi les 7 diablotins qui représentent les 7 péchès capitaux.
- Tu es merveilleuse, tu m’excites comme un fou ma belle, j’adore ce cadeau !!!!!! Tu sais que j'adore te regarder quand tu te fais prendre...
- tu es un vrai pervers.
- En attendant, ton cadeau m'a tellement excité que je ne pourrais pas attendre vendredi avant de te baiser ma beauté...
- Cochon... Paye l'addition qu'on rentre rapidement à la maison.
On paya l'addition pour quitter le restaurant afin de regagner son Range Rover flambant neuf qu'il avait récupéré 2 semaines plus tôt. Arrivés dans le parking souterrain du centre, il ouvrit la porte arrière et me poussa à l'intérieur.
- Je ne vais pas pouvoir attendre d'être à la maison, on va inaugurer la voiture, viens t'occuper de moi avec ta belle bouche de bourgeoise.
Tous les deux assis dans la voiture, il m’attrapa par les cheveux et m’entraîna vers lui pour m’embrasser fougueusement. Sa langue m’envahissait, jouant avec ma bouche, tel un serpent sadique et gourmand. Il m’enleva mon manteau, laissant apparaître ma robe moulante sur laquelle il posa ses grosses mains. Il baissa le zip laissant apparaître mes gros seins serrés dans un soutien-gorge noir de toute beauté. Il me caressait mes gros seins tout en jouant avec ma langue. Je sentais ses mains malaxer mes gros seins laiteux, alors que nous étions dans ce parking, isolés juste protégés par les vitres noires de son 4x4 de luxe. Après quelques minutes de ce traitement, il poussa mon visage entre ses cuisses, entre lesquelles son sexe bien dressé et bien dure apparaissait. Il me poussa son membre entre mes lèvres forçant ma tête jusqu’à ce que je sente son gland au fond de ma gorge.
- Hummmmmmm ; oui, vas-y suce-moi ma grosse bitte.
- Hoooooooooo Richard !!!!!!
- Tais-toi et suce !!!!!
- Hummmmmmmmmmm- Oui, comme ça, tu es une bonne butineuse, une belle gourmande... Tu vois, je connais déjà un de tes 7 péchés... La gourmandise... Vas-y pompe moi ma salope...
- Hummmmmmmmm- Continue, lubrifie moi la bitte, je vais pouvoir t’enfiler ton gros cul plus facilement...
Je le suçais, affamé de son sexe, léchant, mordillant, avalant, pompant... Je savais qu'à ce rythme, il allait se vider entre mes lèvres, il ne pourrait pas résister bien longtemps à la qualité de ma fellation... Alors qu’il allait jouir, il me redressa, et me positionna sur le flanc, pour pousser son sexe dans mon vagin en feu. Il me pénétra comme une bête et me lima la chatte pendant de longues minutes, alors que ma robe ouverte laissait mes grosses miches laiteuses ballotter au rythme de ses coups de reins... Il me baisa, fort, encore et encore, me parlant dans le creux de l’oreille, m’insultant de mots cochons et immondes, qui me faisait jouir. J’adorais être sa pute, son jouet, sa chose, son esclave sexuel, qu’il utilisait comme bon lui semblait. Il me releva pour me positionner assise, sur lui, et accentuer la pression de ses va-et-vient, qui me démontait l’entre-jambe. Je savais qu’il allait sûrement me sodomiser après ce premier traitement et cela m’excitais encore plus... Ses mains me palpaient mes grosses mamelles alors que son sexe me défonçait le vagin, poussant mes gémissements à l’extrême avant qu’il ne me bascule sur le côté à nouveau pour défoncer mon petit trou.
- Écarte-moi ton gros cul, ma belle que je t’encule comme tu aimes...
- Hooo Richard doucement tu es trop gros...
- Tiens !!!!!! Voilà, je suis bien au fond ma grosse pouffe, tu aimes l’avoir dans tes belles fesses...
- Hooooooo Richard !!!!!!!!
- Vas-y bouge moi ton cul, oui comme ça, vas-y continue... HaaaaaaaaIl me sodomisa pendant plusieurs minutes avant de répandre son liquide chaud sur mes grosses fesses et ma robe chic... Je m’effondrais sur la banquette arrière épuisée et défaite, alors qu’il avait repris le volant pour nous ramener à la maison...
Il ne me restait que quelques jours pour finaliser l’organisation de la fête surprise, « un peu spéciale » pour l’anniversaire de mon mari. Par l’intermédiaire de mon ami et psy Jérôme, j’avais donc réservé et privatisé un grand espace dans un club libertin très chic de la région. Il m’avait également aidé pour trouver le thème et les invités, et s’était occupé du casting pour les « Diablotins » au travers de son réseau d’Escort de la région, qu’il avait soumis à ma validation. J’avais donc retenu un groupe de 7 hommes tous moins de 30 ans avec des corps d’Apollon ou de Dieu Grec, symbole d’une beauté masculine animale qui devait représenter les 7 péchés capitaux. Pour l’endroit, le club était de grande qualité, doté d’un personnel professionnel et adorable une vraie référence sur la région pour tous ceux qui cherchent un club raffiné, élégant, propre dans un esprit libertin chic et respectueux. J’avais réparti pour chacun de mes diablotins les 7 péchés capitaux, ainsi que des instructions que je partageais avec chacun des hommes sélectionnés par Jérôme :- l’orgueil qui devait tendre des pièges sexuels,- l’avarice où se forcer à tout donner- la paresse entre fantasme et volupté- la colère ou la jalousie qui devait décupler la hargne,- la gourmandise pour un goût immodéré et compulsif pour la chair- l’envie quand le désir devient trouble- et bien évidemment la luxure avec la transgression et un univers fantasmatique puissant et vulgaireChacun avait son pitch sexuel, laissant à mon mari le choix de sélectionner quel péché se prêtait en apparence à ses exigences sexuelles et pour lesquels je devais recevoir son châtiment. Le soir même, je mettais préparé avec un look très BCBG composé d’une robe moulante marron en bandage avec manches longues fendues, de style glamour, fendu, avec fermeture éclair, et bouton devant, qui m’arrivait au genou.
La soirée devait commencer dès 20 h avec un apéritif à la maison. Nous étions une dizaine de personnes et j’avais préparé des mojitos ainsi qu’un ensemble de réductions. Les discussions allaient bon train, et nous étions tous impatients de rejoindre le club au plus vite. Vers 21 h 30, ne pouvant plus attendre, nous nous rendions vers notre futur lieu de détente, d’amusement et de débauche. Notre groupe se présenta à la porte discrète du club ou un homme élégant et raffiné ouvrit. C’était le propriétaire du club qui nous laissa entrer et déposer nos manteaux aux vestiaires. La première impression était excellente, avec une entrée à la fois classe, cosy et raffinée tout en dorures, miroirs, lustres et meubles couleur noir ébène. J’étais impressionnée par la décoration chic, et notamment la descente vers le club sublime avec un escalier en marbre flanqué d’un gigantesque miroir. Il y avait déjà une vingtaine de personnes dans le club, tous invités par Jérôme. Nous visitions le club, avec derrière le bar la piste de danse, assez spacieuse et disposant d’une belle barre de pôle danse et sur le côté de la piste se trouvait un vaste espace avec des canapés et tables basses. L’idéal pour siroter sa coupe de champagne tout en admirant les libertins danser. Sur le côté, il y avait une petite pièce masquée par un grand rideau de couleur pourpre. Après avoir pris une coupe de champagne, je me dirigeais vers mon mari, pour l’embrasser. Je plongeais ma langue entre ses lèvres comme un préambule à la folle soirée que je lui avais organisé.
- Bon anniversaire mon chéri, ton cadeau est derrière ce rideau.
- Tu es merveilleuse, ma belle, je ne sais pas qui va passer la meilleure soirée de sa vie...
- Ouvre le rideau, et tu seras vite fixé.
Il écarta le rideau, dévoilant la petite pièce qui donnait sur la piste de danse et qui contenait en son centre un grand lit à baldaquin posé comme un autel, entouré par des bancs en marbres et des colonnes dans un style grec et entièrement recouverte de miroir. Sur le lit, étaient installés mes 7 diablotins souriants. Ils avaient tous un déguisement de diable se composant d'une cape rouge satinée, d'une paire de gants, de cornes et d’un haut à jabot de dentelle noir avec un masque qui camouflait leur identité.
Alors que mon mari rentrait dans la pièce pour discuter avec les diablotins, mes convives commençaient à s’amuser, sur la barre de pôle, et à danser sur la piste centrale. Les corps se rapprochaient, c’était très chaud tout en étant vraiment chic. Alors que quelques couples s’éclipsaient dans les coins câlins, mon mari se rapprocha de moi avec les 7 diablotins qui m’entouraient. Très rapidement, les mains de ces 7 hommes se posèrent délicatement sur mon corps, tout en faisant chacun une forme promotion personnelle.
- Si j’ai bien compris le jeu ma chérie, il faut que je choisisse lequel de ces péchés te convient ?
- Bravo, je vois que tu as compris le concept...
- Et bien Messieurs, je vous écoute...
- Moi, je suis l’orgueil, et quand je vois comment ta femme s’habille, en bourgeoise mondaine et arrogante, elle me semble particulièrement orgueilleuse.
- Moi, je suis l’avarice, et je crois qu’elle a besoin d’être forcée pour tout donner.
- Moi, je suis la paresse, et je la soupçonne d'être passive dans ses fantasmes.
- Moi, je suis la colère, et je sais qu’elle aime se faire fesser par des hommes en colère.
- Moi, je suis l’envie, et quand je vois comment elle remue son corps sous nos caresses elle est pleine de désir- Moi, c’est la gourmandise, et forcément avec une bouche pareille, elle est assurément très gourmande- Moi, je suis la luxure, et je dirais que quand on organise une soirée comme celle-ci, ses penchants pour la transgression ne font aucun doute...
- Bravo Messieurs, alors ma chérie qu’en penses-tu ?
- Je crois qu’ils ont tous raison, je ne sais pas quoi choisir.
- Alors dans ce cas, je conclus que tu auras tous les péchés ce soir !!!! Messieurs ma femme est à vous ....
- Richard... Mais... HummmmmmmmJe n’eus pas le temps de terminer ma phrase que le paresseux, m’embrassant fougueusement, bâillonnant ma bouche pour empêcher une quelconque protestation... Pendant qu’il m’embrassait, toutes les autres mains me touchaient le corps, me caressant, me palpant, me malaxant, explorant au travers de ma robe de bourgeoise toutes les parties de mon corps. Richard prenait place sur un fauteuil, confortablement installé, me regardant livrée à ses 7 hommes, qui allaient abuser de mon corps... Alors que j’avais planifié une séance de candaulisme à 3, je me retrouvais prise dans mon propre piège, cible et objet du Gangbang que ces hommes allaient me faire subir sous le regard excité de mon mari. Ils me poussèrent vers un fauteuil, ou je pris place alors qu’ils continuaient à palper mon corps pulpeux livré à leurs désirs. Je sentais leurs mains partout sur moi, palpant mes gros seins, se glissant sous ma robe, pour caresser mes cuisses, leurs langues plongeant entre mes lèvres, ils étaient partout, tels des animaux affamés essayant de se partager leur proie captive et soumise. . Un premier sexe libre se frotta contre mon visage avant de s’introduire dans ma bouche.
- Voilà, sois une belle gourmande...
- Hummmmmmm, HummmmmmPendant que je le suçais et que les autres jouaient avec mes formes appétissantes, mon mari m’observait, tout en me filmant de son téléphone, alors qu’une jeune blonde s’était approchée de lui. Elle était accroupie devant lui, et je pouvais voir sa main tenir le membre de mon homme fermement avant de le prendre en bouche également. Elle l’engloutit entièrement, alors que lui passif, n’avait d’yeux que pour moi, soumise à mes 7 diables. Ma palpation continuait de plus belle, et les sexes de ses hommes lubriques se succédaient entre mes lèvres. J’étais excitée, regardant mon mari droit dans les yeux, qui ne me quittait pas du regard. Je subis ce traitement pendant une dizaine de minutes, avant qu’il me relève et m’entraîne dans le milieu de la piste de danse, suivant un rythme de slow langoureux. J’étais coincée entre trois des hommes qui me serraient contre leurs corps, me malaxant la croupe au travers de ma robe froissée, tout en m’embrassant goulûment. L’un deux plaça son sexe bien dure dans ma main gauche alors qu’un quatrième fit de même avec ma main droite. Je sentais qu’on relevait ma robe, dévoilant mes magnifiques portes-jartelles blancs et mon tanga en dentelle Lise-Charmel. Il me palpait les fesses alors que bâillonner par la langue du diablotin envie, je ne pouvais mettre le moindre son.
- Alors belle bourgeoise, tu aimes cette danse paresseuse...
- Tu es très avare de caresse, serre ma bitte bien fort dans ta main de bourge...
- Oui, comme ça, donne-moi ta langue beauté.
- Hummmm, elle a un cul magnifique, gros comme je les aime.
- Et ses gros seins, regarde-moi cela comme elle est bien mameleuse la bourgeoise...
Cette danse, continua pendant de longues minutes avant qu’ils ne m'entraînent enfin vers la pièce avec le lit à baldaquin. Arrivant devant l’entrée, ils me plaquèrent contre une colonne. ‘L’envie’, s’était glissée derrière moi, me tenant fermement, et je pouvais sentir son souffle dans mon cou alors qu’il m’embrassait. Il me mordillait, m’aspirait la peau, me lécher le cou avec sa langue alors que ses grosses mains me tenaient le corps, fermement accrochées à ma poitrine voluptueuse. Les 6 autres me faisaient face, et s’occupaient du reste de mon corps offert. L’un plongea à nouveau sa langue entre mes lèvres, alors que les autres me caressaient les cuisses, glissant leurs mains en dessous de ma robe. J’étais leur objet, leur offrande, leur jouet, et le contact de leurs mains sur mon corps générait une montée de désir lubrique, qui retentissait dans toutes les parties de mon corps. ‘L’orgueil’, à genoux devant moi, me releva la robe faisant apparaître mes magnifiques porte-jartelles blancs, jusqu’à dévoiler ma culotte. Il écarta mon tanga et plongea sa tête entre mes cuisses, insérant sa langue arrogante dans mon vagin en feu. Il me suça, alors que les autres continuaient de jouer de mes formes pulpeuses. Jamais je n’avais eu autant de mains, poser sur moi, possédant chaque partie érogène de mon anatomie. J’étais prise au piège telle une biche inoffensive, qui était dominée au travers d’un érotisme brutal en contradiction avec l’aspect bourgeois et sérieux de mon apparence.
Après plusieurs minutes de ce traitement, ‘La colère’ s’attaqua à ma tenue bourgeoise, déboutonnant et baissant le zip, afin de me retirer ma robe et de me laisser en dessous blanc. Une fois débarrassée de mon vêtement, les 7 hommes qui m’entouraient, formant un cercle autour de moi, m’observaient avec envie devant mon corps partiellement dévoilé et mise en valeur par ma lingerie de luxe. Romantique, délicate et légère, cet ensemble était plein de richesse, avec des petits motifs graphiques de perles et d'anneaux entre croisés évoquant l'amour éternel. Entre un soutien-gorge corbeille, un tanga magnifique, et sans oublier le porte-jarretelles, cette collection, avec ses parures de soie, était d’un raffinement total qui sublimait mes formes pulpeuses. J’avais les traits d'une jeune femme belle, douce et mariée, se prêtant en apparence à des exigences sexuelles pour recevoir son châtiment.
Ils se jetèrent sur moi, m’entourant à nouveau, toujours debout contre cette colonne. La scène était sur-réaliste, moi captive des 7 hommes, au beau milieu d’un club, ou les couples s’étaient formés, soit pour danser soit pour s’accoupler sur les banquettes. Beaucoup me regardaient, profitant du spectacle, de cette bourgeoise, mature, offert par son mari à 7 diablotins prédateurs qui allaient sans aucun doute, abuser et violer tous les charmes à leurs dispositions. Une main plongea dans mon tanga, pour se saisir de mon vagin à pleine main, alors que deux autres me caressaient ma grosse poitrine. J’étais à nouveau palpée, léchée, abusée par ces prédateurs assoiffés de sexe et de luxure. Je sentis les doigts de ‘la colère’ s’introduire en moi, déclenchant une réaction automatique, alors que mon mari continuait à me regarder me faire violer par ces brutes, et que je ne pouvais protester, la bouche bâillonnée par la langue du diablotin paresseux.
- Ta chatte est toute humide ma beauté, mais comme tu m’as mis en colère, tu vas subir une grosse punition.
- Oui une bonne grosse fessée, elle doit aimer ça- Hummmmm, HummmmmmmUne main s'était posée sur mon épaule, alors qu’une bouche embrasée mon cou. L’homme derrière moi, me tenait par les hanches et mordillait le lobe de mon oreille, alors que je sentais dans chacune de main un sexe dur s’enserrait entre mes doigts, tandis que leurs mains se posaient respectivement sur ma grosse poitrine qu’ils malaxaient avec délectation au travers de la dentelle blanche de mon soutien-gorge. Les doigts s’activaient en moi, me pistonnant l’entre-jambe générant des gémissements de plus en fort qui m’emmenait progressivement vers un premier orgasme. Jamais tout au long de ma vie de luxure, je n’avais ressenti ce désir, d’être l’objet de tant d’hommes en même temps. Ils se contentaient juste de me caresser et j’étais déjà partie dans ce monde de luxure et de jouissance.
- Tu aimes ça ma belle, te faire tripoter par toutes ces mains.
- Regarde-la réagir à nos caresses, elle doit être trempée.
- Oui, je te confirme, elle est trempée.
- Ohhhhh ses gros seins sont tellement laiteux, j’adore malaxer ces belles mamelles- Tu sais qu’on va tous te baiser, es-tu prête pour prendre nos belles bites.
- Hummmmmm, Hummmmmmmm- Regarde-ton mari, il te regarde, il aime ce qu’on te fait, je suis sûr qu’il va gicler quand on va te baiser...
Je ne tenais plus sur mes jambes, seulement soutenue par leurs 14 mains posées sur mon corps, et qui tout en me palpant et me caressant, me portait en même temps. Ils m’entraînèrent enfin sur le lit me posant au milieu pour se jeter sur moi, et reprendre de plus belle leurs caresses intrusives et tellement jouissives. Ils m’entourèrent à nouveau dans ce grand lit à baldaquin, et alors que « L’envie’ m’embrassait, la main de ‘L’avarice’ replongea en dessous ma culotte, s’emparant à nouveau de ma chatte mouillée.
Ils me masturbèrent pendant plus de 10 minutes, m’apportant plusieurs orgasmes. Ils étaient partout à la fois, sur mes gros seins, dans ma chatte, sur mes cuisses, dans ma bouche. Plusieurs sexes forcerent l’entrée de ma bouche comme en préléminaires de ce qu’ils allaient me faire. Mes bras, bloqués en dessous de leurs corps, étaient écartelés, laissant l’accès à mes mains, dans lesquelles ils plaquèrent leurs sexes afin que je les masturbe. Alors que la main de l’avare me fouillait ma chatte en feu, la luxure me souleva les jambes afin de pouvoir accéder à mon petit trou. Il avait écarté la lanière de mon tanga et je sentais sa langue titillait mon petit trou encore vierge de caresse. J’étais définitivement prise de tous les côtés, ma bouche, mes mains, mes gros seins, ma chatte et mon anus, chacun des diablotins jouait avec une partie de mon corps. Maintenue, allongée et prisonnière sur ce lit, je jouissais sous la pression de ces préliminaires qui n’en finissaient pas. Un sexe m’envahit la bouche, c’était « La gourmandise », alors que 3 autres se positionnaient au-dessus de mon visage posé sur ma tête et mes cheveux. Je suçais le premier, alors que les autres frottaient leurs membres bien raides contre mon visage, comme pour marquer leur impatience de rentrer entre mes lèvres bourgeoises.
- Vas-y ma gourmande, suce-moi bien, oui comme ça, tripote lui ses grosses mamelles pendant qu’elle me pipe.
- Hooooo, une vraie butineuse, notre mondaine... T’aimes bien ça la bitte ma cochonne.
- Hummmmmm, Hummmmmm- Regarde comme ton mari te regarde nous sucer, il n’en perd pas une goutte, vas-y fais lui plaisir...
- Hooooo sa chatte, elle est trempée... Elle meurt d’envie qu’on la prenne maintenant.
- Non pas tout de suite, on va d’abord la rendre folle de caresse, c’est ça que tu aimes la belle salope...
- Hummmmmmm, HummmmmmmmJe prenais ses sexes dans ma bouche à tour de rôle, toujours recouverte de toutes ces mains qui me malaxaient le corps ou qui jouait en dessous de mon tanga, et de cette langue qui continuait à me dilater mon anus. Ils me préparaient pour des doubles pénétrations multiples, alors que de temps en temps, je pouvais observer mon mari entouré de jeunes femmes qui le suçait tendrement. Il ne me quittait pas des yeux, comme fasciné par le traitement que je subissais. Sans dire un mot, il s’était approché et se tenait maintenant dans la pièce sur un banc qui entourait le lit à baldaquin toujours me regardant jouir. J’avais des orgasmes à répétitions, chaque caresse était prétexte à jouir, je perdais le contrôle, m’abandonnant à ces hommes et ne communiquant que par des gémissements de plaisir. Tout d’un coup, ils s’écartèrent de moi, restant autour de moi qui étais couché. « La Luxure » invita mon mari à me rejoindre sur le lit... Il ne se fit pas prier.
- Tu vas sucer ton mari maintenant après tout c’est son anniversaire, on te baisera que quand tu auras son sperme sur tes gros seins.
Richard grimpa sur le lit et plaça son dans ma bouche alors que je m ‘étais mise à 4 pattes. J’engloutis son sexe entièrement bien décidé à lui donner la pipe de sa vie, alors qu’il s’adressait au diablotin « La colère ».
- Donne une grosse fessée à ma femme.
- Avec plaisir, je vais punir cette belle pouliche, qui n‘a pas été sage...
- Fais-lui rougir son gros cul...
Il me baissa ma culotte à mi-cuisse, et m’appliqua une première claque sur ma croupe... Alors que j’avais le sexe de mon homme dans la bouche, les claques s’abattaient mes fesses, faisant résonner dans la pièce le bruit de gifles rebondissant sur mon gros cul. Je pompais mon homme avec amour et sensualité, sentant que son désir et son excitation était à son paroxysme. Il allait me jouir dessus, et je me préparais à recevoir la semence, ce qui allait aussi être le point de départ au Gangbang que les 7 diablotins allaient me faire subir. Alors que la colère continuait à mes claquer les fesses, les jets de sperme me réouvrirent le visage et les gros seins. Il jouit abondamment, nettoyant son sexe dans ma bouche...

Richard retourna s’asseoir sur le banc, laissant les 7 diablotins qui m’entouraient se rapprocher de moi. « L’envie » me retira mon soutien-gorge, dévoilant ma grosse poitrine qu’il malaxa avec appétit, alors que les autres grimpaient sur le lit. Le moment était arrivé, ou ils allaient me prendre, me saillir, m’utiliser, me violer, abuser de mon corps de bourgeoise plantureux et appétissant et tout cela sous le regard consentant de mon mari. Ils se déshabillèrent tous les 7, et alors que « La paresse » se couchait sur le lit, les autres me poussèrent vers lui afin que je le chevauche, assise sur son corps face à lui. Il me prit avec passion, mais lentement comme pour marquer sa particularité pécheresse. Il accrocha ses deux mains sur ma croupe, fermement, et me fit coulisser sur son membre en position. Alors qu’il me baisait comme un dieu, je sentis ‘La Luxure’ derrière moi s’apprêtant à me violer l’anus, qu’il m’avait fortement dilaté avec sa langue. Il m’encula avec force, m’arrachant un cri qui fut rapidement étouffé par le sexe de « La gourmandise » qui s’introduit entre mes lèvres. Les 4 autres étaient autour de nous, regardant ou se servant de mes mains afin de se masturber, en attendant patiemment leur tour. Ils me baisèrent comme ça pendant un long moment, infatigables, se relayant quand l’un d’eux se sentait au bord de l’explosion. Tantôt prise en double, parfois assise, toutes les positions s’enchaînaient, sans répit, sans pause. Ils me placèrent ensuite sur ‘l’avare’ qui me prit par-derrière me couchant sur le dos, me sodomisant également. J’étais allongée sur lui sentant son souffle dans mon cou, avec le rythme de son sexe énorme qui me pilonnait l’anus.
- Ohhhhh ce cul... Elle aime se faire enculer la bourgeoise.
- Oui et cette bouche, quelle suceuse... Tu aimes te faire baiser comme ça belle salope avoue le.
- Hummmmmm, Hummmmmmmm- Allez, on change, j’ai envie de la prendre en levrette...
Épuisée, anéantie, au bord de l’évanouissement, « L’orgueil » « l’envie », me relevèrent pour m’entraîner au milieu de la piste de danse. J’étais nue, en porte-jartelle au milieu de ces couples qui dansaient en me regardant, quand ils me soulevèrent et me baisèrent débout sur le dance floor. L’envie me prenait par-devant alors que "l’orgueil" me sodomisa, aidé par ‘Le Gourmand’ qui me tenait par le cou, et auquel je m’accrochais désespérément.
- Allez danse sur nos bites beauté...
- Tu aimes ça dis le nous... Oui, ça te plaît.
- Ohhhhhhhh, Ouiiiiiii, j’en peux plus... Au secours...
- Tu aimes te faire baiser debout grosse pute...
- Ohhhhh, Nonnnnn pitié...
- Oui, bouge bien ma belle sur mon gros pieu, danse sur ma bitte.
- Quelle cochonne, regarde-la jouir, elle va s’évanouir.
- Ça fait déjà une heure qu’ils jouent avec, et elle continue à jouir.
- Jamais vue une nympho pareil...
- Ohhhhhhhhhh, OuiiiiiiiiiiiJ’écoutais les commentaires des gens autour de moi et restais médusée, bouche ouverte, comme si ma mâchoire menaçait de se détacher du reste de mon visage. Je n’arrivais pas à croire que je subissais un pareil affront. Les autres me regardaient, tout aussi surpris, mais excités par le traitement que ces hommes m’infligeaient. Bien que surexcitée, je me sentais également humiliée alors que tous, les regards étaient posés sur moi. J’essayais de reprendre mes esprits, toujours pilonnée par ses sexes énormes qui m’envahissaient mes parties intimes. Ils abusèrent de moi pendant de longues minutes dans cette position debout, avant de me ramener de la pièce pour me livrer aux autres qui me reprirent de plus belle. Je ne savais pas qui me baisait et qui j’avais dans ma bouche, j’étais perdue, et dans un autre monde, ou la seule impression que je ressentais était ses orgasmes à répétitions, qui faisaient trembler mon corps. Cette orgie dura plus d’une heure avant qu’ils ne me laissent enfin couchée sur le lit, m‘entourant et se masturbant tous en même temps au-dessus de mon corps. Ils allaient m’inonder de sperme me recouvrir de leur foutre chaud. Les premiers jets me recouvrirent le visage, engendrant une réaction en cascade de tous les diablotins qui me jouissaient dessus. J’en avais partout sur mes gros seins, sur mon visage, sur le ventre, sur les cuisses. Pour la première de ma vie, j’étais inondée par le sperme de 7 apollons qui venait de me faire vivre une expérience d’une intensité incomparable. J’étais exténuée, vidée anéantie, et restais allongée sur ce lit pendant qu’ils continuaient à se vider sur moi. Mon mari leur tendu enfin ma robe chic, pour finir de se nettoyer qu’ils utilisèrent les uns après les autres afin de s’essuyer avec. Ils n’avaient pas que souiller mon cops, mais également mes vêtements dans cette orgie de sexe.
- Bravo messieurs, une très belle prestation à la hauteur de vos honoraires. Une enveloppe vous attend à l’accueil, et pour ceux qui le souhaitent, je peux vous proposer d’échanger votre enveloppe contre une prestation en nature de ma charmante épouse.
De retour à la maison, je découvris 7 enveloppes posées sur la table sans vraiment savoir à quoi, j’allais être à nouveau confrontée.
- Ils étaient tous candidats ma beauté, et je ne savais pas qui choisir... Se sera ton cadeau de Noël...

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