Latex Party

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : Latex Party Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
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Couleur du fond :
Latex Party
J’étais à nouveau sous l’emprise de mon amant, à la suite de nos retrouvailles et notamment ma soirée en discothèque. Je m’étais offerte à lui, pleinement et entièrement sans mesure et sans aucune limite. Comment maintenant concilier ma vie de femme, préserver mon mariage tout en profitant de ma relation avec cet homme tout-puissant qui avait posé son dévolu sur moi, poussant ses tendances dominatrices à l’extrême. On se voyait chaque semaine, ou il profitait de ses moments d’intimités pour profiter de moi, de mon corps et de mes formes qui l’excitait au plus haut point. Quelque-soit l’endroit, il s’adaptait en fonction des contraintes, mais systématiquement me posséder d’une façon ou d’une autre. En extérieur, dans une voiture, dans une chambre d’hôtel sordide, dans sa petite chapelle, tout était prétexte à développer ses fantasmes et à me soumettre, de ses mains, de ses lèvres ou de son sexe surpuissant. Chaque mercredi pendant tout le printemps, je me donnais à lui, rentrant chez moi salie de son sperme, avec mes habits abîmés, et mon corps utilisé et soumis par mon amant dominateur. Il inventait des scénarios chaque fois plus fous, m’obligeant à m’offrir dans des lieux ou dans des situations exotiques. A chaque séance, il m’offrait en avant-première le scénario de la semaine suivante, ce qui me permettait d’adapter mes tenues en fonction de ses prévisions. Ce jour-là, alors que nous étions installés dans ma Mini Cooper, et que je m’appliquais à le sucer avec gourmandise, il m’expliquait qu’il voulait me prendre dans le bureau de mon mari, en pleine journée, me demandant de l’informer lors d’une absence de mon époux. J’essayais de manifester mon mécontentement, mais me tenant fermement par les cheveux, il se vidait entre mes lèvres, me remplissant la bouche de son sperme et m’empêchant en même temps de protester.
- Je vais te baiser comme une grosse truie dans le bureau de ton homme, tu vas adorer cela, te faire défoncer sur son bureau… Dis-le-moi ma belle.
- Hummmmmm, Hummmmmmm, Hummmmmmm- Ohhhhhhhh, tu vas faire gicler…. Ouiiiii !!!!!!
- Hummmmmm, Hummmmmmm, Hummmmmmm- Nettoie-ma queue maintenant et rendez-vous semaine prochaine.
Une fois sa queue bien propre, il m’embrassa sur le front et sortit de ma voiture, me laissant seule, à cogiter à l’excuse que j’allais devoir inventer afin de le faire rentrer dans les locaux sous les yeux de tout le monde, et surtout utiliser le bureau de mon mari…Je pris quelques jours pour organiser mon scénario et tout d’abord trouver la bonne date, afin d’être garantie de l’absence de mon époux, mais également de son assistante, véritable dragon et qui sans aucun doute me causerait des soucis. La semaine suivante, j’accueillais Thierry dans nos bureaux que j’entraînais à l’étage de la direction prétextant un rendez-vous privé pour un projet de défiscalisation sur des monuments historiques. On s’enferma dans le bureau, prenant soin de fermer la porte à clé, et étions installés sur le grand canapé blanc.
- Joli bureau, c’est toi qui t’es occupé de la déco ?
- Oui, on a fait appel également à une agence.
- Très chic, je suppose que tu dois passer beaucoup de temps avec lui dans son bureau.
- En effet…- Et où il te baise le plus souvent- Thierry !!!!!
- Allez dis le moi ça m’excite de savoir où ma soumise se fait prendre et baiser- Souvent sur le canapé…- Parfait ça me convient, approche-toi et libère-moi ses belles mamellesIl s’était installé sur le canapé, m’attirant vers lui, j’ouvrais mon chemiser, et baissais les balconnets de mon soutien-gorge, laissant apparaître mes deux magnifiques mamelles laiteuses, reflétant la femme mûre, mère de famille plantureuse que j’étais, symbolisant la fertilité. Sans attendre, il plaqua son membre entre mes deux gros nichons et me força à lui compresser le sexe et à le branler entre mes deux gros lobes laiteux. Je m’activais à lui faire cette cravate de notaire espérant qu’il jouisse rapidement, et d’éviter toute situation compromettante sur mon lieu de travail. Je savais que sa résistance et son endurance allait faire perdurer cette position.
- Oui continue branle moi bien la bitte ma soumise… Regarde-moi dans les yeux ma cochonne.
- Hoooooo Thierry, fait vite….
- On a tout notre temps, je vais te prendre et te faire hurler ma belle truie, dis-moi que tu veux mon sexe !!!!
- Hooooooooo, oui, je le veux, prends-moi !!!!
- Tu es à moi maintenant, tu es mon jouet, mon esclave, ma soumise, tu vas faire tout ce que je t’ordonne…- Oui Monsieur le Comte, je suis votre soumise…- Prends-moi dans ta bouche de soumise.
Je le pris en bouche et m’appliquais à le sucer avec passion. Il s’enfonçait au plus profond de ma gorge me tenant fermement par les cheveux, et faisant coulisser son membre gonflé entre mes lèvres. Il se laissa sucer pendant quelques minutes avant de me relever la jupe, écarter ma culotte et me baiser comme un animal. Il me prit sur le canapé, me relevant ensuite pour me prendre sur le bureau de mon mari, me poussant après sur son fauteuil pour continuer à me baiser. Il me fit faire le tour du bureau tout en continuant à me défoncer tel un prédateur, tenant sa main sur ma bouche afin d’atténuer mes cris et gémissements. Il se vida sur mon visage après plus de 20 minutes de baise frénétique, me demandant de me préparer pour la semaine suivante.
- Je t’enverrai l’adresse par texto, et j’espère que tu n’es pas allergique au Latex…- Qu’as-tu encore en tête…- Une bonne soumise ne doit pas poser de question, et être obéissante…Je patientais toute la semaine avant de recevoir un texto de sa part me donnant rendez-vous le mercredi après-midi dans un petit appartement du centre-ville. Il venait de louer, cette garçonnière, dans laquelle je me rendais impatiente, mais aussi un peu angoissée. Il m’ouvrit et me fit découvrir l’appartement totalement rénové dans des combles et composé d’un salon d’une chambre et d’une petite cuisine. À ma grande surprise, le salon et la chambre étaient aménagés dans un esprit SM, avec toute une série d’accessoires et d’instruments, dont je me doutais qu’il allait me faire découvrir l’usage. Sur une petite table, se trouvait une boite emballée qu’il m’offrit.
- Ohhh Merci…- J’espère que c’est ta taille… Ouvre et essaye.
Dans la boite se trouver tout un équipement en latex, avec un débardeur rouge, une grosse ceinture noire, un pantalon noir moulant et des bottes de type sado-maso rouge avec des talons vertigineux. Je me rendais à la salle de bain pour essayer l’ensemble, ressortant avec une tenue ou mon corps était moulé dans un ensemble de latex coloré, faisant ressortir mes formes pulpeuses le tout marqué par un décolleté plongeant. Il me regardait avec des yeux gourmands, prêts à me sauter dessus comme pour consommer sa proie disponible et offerte. Je me doutais bien que le résultat devait être époustouflant, avec mon corps serré et mis en valeur dans ce latex serré, qui ne faisait aucun mystère de mes charmes et de mes formes pulpeuses et plantureuses. Il me tournait autour comme un fauve affamé, posant ses mains sur mon corps, me demandant de prendre des poses suggestives.
- Penche-toi en avant… Mets tes mains sur tes gros seins… Assieds-toi sur la table et caresse-toi… Mets-toi un doigt dans la bouche…Les instructions s’enchaînaient à un rythme soutenu pendant plus de 10 minutes, m’obligeant, moi la femme bourgeoise de plus de cinquante ans à m’afficher comme une vulgaire prostituée prenant des poses suggestives pour appâter sa clientèle et exciter son amant. Il s’approcha enfin de moi, me poussant en avant contre une table de pénitence, et posa ses mains sur les parties les plus charnelles de mon corps. Sa main gauche me pétrissait mes gros seins au travers du latex rouge, alors que la droite s’emparait de ma croupe. Je sentais dans la frénésie de ses caresses une excitation grandissante. Il allait me dévorer, me prendre, me posséder à nouveau, sans se préoccuper de mes états d’âmes, mais juste recherchant son plaisir animal et celui qu’il allait m’offrir.
- Tu aimes la décoration ma beauté….
- Ohhh Thierry prends-moi, fais-moi l’amour sur cette table, je suis à toi.
- Oui, tu es à moi, je ne fais pas te faire l’amour, je vais te baiser, te troncher comme une grosse pute…- Ohhhhhhh, Ouiiiiii- Tu es à moi, maintenant, habitue-toi à ton nouveau style vestimentaire, j’ai prévu un grand stock de latex pour nos futures séances.
- Ohhhhhh, Ouiiii utilise moi comme ton jouet, ta poupée de sexe…- Penche-toi ma grosse pute, et écarte le Zip de ton entre cuisses. Montre-moi ton gros cul que je puisse te prendre en levrette.
J’écartais le Zip de mon leggings en latex qui permit de dévoiler mon gros cul, ouvert et accessible et ma chatte offerte que mon amant allait pouvoir posséder et ravager. Il s’agrippa à mes hanches et poussa son bassin en avant, enfonçant son sexe en moi, profondément dans une pénétration brutale et intense. Il oscilla pendant quelques instants comme pour trouver sa place, et commença à me pilonner comme une bête. Son sexe allait et venait en moi me procurant des sensations incroyables et d’une intensité inégalable. Ses mains étaient bien fixées sur mes hanches, profitant de ma position pour me claquer les fesses, dans un bruit atténué par le latex de mon pantalon. Il arracha mon débardeur en latex rouge laissant libres mes gros seins qui pendaient, malmenés par ses mains de chasseur. Il me palpait tout le corps, maintenant les coups de hanches entre mes fesses, glissant ses mains sous ma tenue comme un fétichiste pervers et déluré. Il voulait me pousser à une exhibition totale, accentuant la perception du toucher de l’odeur et du visuel, tout en sublimant mes formes. Son désir s’orientait autant sur mon corps que sur la matière et la tenue qui me recouvrait comme une seconde peau. Mon sex-appeal était décuplé et son désir l’était d’autant, dans une impression de compression moulante qui impliquait l’idée inaccessible, mais aussi effaçant l’idée d’identité qui me ramenait à un rôle de poupée et d’objet. Mon costume lui procurait aussi une forte stimulation érotique, du fait de la vision de mon corps moulé et sublimé, mais également par l’odeur, le touché ainsi que le bruit singulier du frottement de ses mains sur mes zones érogènes ou sur ma tenue. J’étais envahie par son sexe que je sentais décuplés. Il enchaînait toutes les positions possibles, me prenant debout, en levrette, à quatre pattes, me parlant pour m’humilier ou me dominer davantage.
- Tu es ma belle poupée. Mon jouet sexuel, à partir de maintenant, je vais te baiser toutes les semaines ici, et tu auras une surprise à chaque fois.
- Ohhhhhhhhh Thierry…… Ohhhhhhhh- Bouge-moi ton gros cul, sois docile, allez une bonne grosse fessée.
- <<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>>- Ohhhhhhhhh !!!!!!!
Il me baisa, de cette façon animale une bonne partie de l’après-midi, avant de se vider sur ma tenue déchirée, livrant des quantités de spermes imposantes sur mon corps de bourgeoise soumise. Je repartis vers 16h30, défaite lui ayant fait la promesse de revenir, la semaine, suivante docile et soumise.
Nos séances n’étaient que prétexte à une avalanche de fantasmes les plus pervers les uns que les autres. Je redoutais la séance suivante, me demandant ce qu’il allait pouvoir inventer. Depuis maintenant deux mois après nos retrouvailles, il m’avait poussé dans des extrêmes de perversité, basculant mon âme et mon corps dans un besoin permanent de pulsion et de désir sexuel. Il faisait preuve d’une imagination débordante, inventant chaque semaine un nouveau scénario dont le personnage principal était matérialisé par mon corps prisonnier dans des vêtements en Latex, et mes formes pulpeuses, dont il ne se lassait pas d’abuser et d’utiliser. Chaque rencontre me permettait de m’évader, fuir loin de tout. Cela me stimulait et me boostait avant et pendant, pour me laisser vide et coupable après. Chaque semaine, j’avais droit à un nouveau costume en latex, qu’il s’acharnait à détruire pendant nos ébats.
La fois suivante, il m’offrit une robe marron avec un décolleté plongeant en V, qu’il s’amusa à déchirer et à détruire. Il m’avait menotté les poignets me relevant les bras au-dessus de la tête sur son grand lit, et s’était amuser à jouer de mon corps pendant toute l’après-midi. Il me plaça une cagoule de latex sur le visage, ne laissant une ouverture que pour mes grands yeux bleus ainsi que ma bouche, qu’il bâillonna avec une boule de latex. Il déchira l’entre-jambe du leggins beige censé protéger ma chatte en feu, et me baisa, ou plutôt m’utilisa. Lui-même déguisé en combinaison de Latex, je sentais son plaisir décupler. Il avait recouvert son membre d’une sorte de préservatif de latex noir avant de pousser son gros sexe dans ma bouche. Il me baisa les lèvres, pour ensuite écarteler mes jambes et me pénétrer avec férocité. Il me prit ensuite en levrette, en bascule, me baisant encore et encore pendant toute l’après-midi, jusqu’à se vider sur moi avant de me laisser repartir chez moi défaite.
La semaine d’après, c’était une combinaison en latex, bleue, dans laquelle encore une fois, il me menotta les poignets, serrant mes bras derrière mon dos. Il m’obligea à le sucer longuement, me frappant le visage avec son membre bien dure. Il grognait comme un animal, accentuant les bruits comme pour me démontrer que nous étions que des animaux en rut. Il écarta le zip de ma combinaison libérant l’accès aux parties les plus charnelles de mon corps et me prit dans toutes les pièces, de son appartement. Dans le salon sur sa table des supplices puis dans son grand lit ou il me prit en levrette avant de me sodomiser comme une brute et de se vider les couilles sur le bleu de ma combinaison.
La fois suivante, il m’offrit une magnifique robe violette qu’il détruit entièrement. Il avait dépensé une fortune, avec cette robe longue de couturier toujours en latex au décolletté vertigineux, ouverte sur le devant pour faire ressortir mes jarretelles beiges. Avec col en V et épaules couvertes, et un aspect fétichiste garantie, la robe avait une finition super brillante et son coté moulant me faisait comme une seconde peau. Il me remit une cagoule, équipement maintenant indissociable de nos mercredis après-midi, et me prit dans le salon sur la table. Il me faisait jouir, de manière systématique. Sa queue entre mes cuisses, m’électrisait, me déchirait, me faisait succomber à des ondes de plaisirs comme si j’étais traversée par un orgasme permanent. J’étais droguée, accroc, dépendante de sa grosse bite.
Il passa un cap dans la perversité en renouvelant l’expérience la semaine suivante, m’offrant à nouveau un cadeau composé d’une tunique en latex marron qui était un déguisement de soubrette avec décolleté plongeant. Cette fois-ci, il n’était pas seul, mais accompagné de son beau-frère avec qui il m’avait déjà partagé plusieurs fois. Une fois préparée avec ma tenue de soubrette, ils s’amusèrent à m’humilier, poussant leurs dominations toujours plus loin. Ils me forcèrent à lécher leurs pieds. J’étais à genoux devant eux, léchant leurs chaussures comme pour les nettoyer. Ils me baisèrent ensuite comme des fauves, violant chaque partie de mon corps soumis. Ma bouche, ma chatte, mes gros seins, mes fesses, et mon anus, chaque partie de mon corps eu droit à la visite et l’exploration de ses deux mâles dominants. J’étais leur proie, coincée entre leurs mains, qui utilisaient les parties charnelles de ma silhouette pour se donner du plaisir. Ils me baisèrent pendant de longues minutes debout, alors que Thierry utilisait ma bouche, et que son beau-frère me défonçait les fesses. Thierry lui ayant interdit de me sodomiser, il profitait de mon vagin avec gourmandise. Thierry me prit alors par mon petit trou, assise sur lui, bien installé sur une chaise.
- Oui, beauté, tu aimes te faire enculer par sa grosse bite.
- Mets-lui ta queue dans la bouche à ma soumise. Je veux qu’elle te suce- Ohhhhh Thierry… Hummmmmmm- On ne parle pas la bouche pleine… C’est vraiment une grosse truie ta pouliche, regarde la bouffer ma queue.
- Oui c’est une gourmande….
- Ohhhhhh, elle va me faire jouir cette salope !!!!!
Il se vida dans ma bouche, alors que Thierry continuait à me défoncer le cul avant de se vider à son tour. Une fois de plus, je rentrais chez moi, défaite, honteuse, mais brûlante entre les cuisses, avec cette envie de me faire posséder encore une fois.
Il renouvela l’expérience la semaine suivante, m’offrant à nouveau un cadeau composé d’une tunique en latex robe noire courte avec décolleté plongeant et ouvert sur mes fesses. Une fois de plus, il n’était pas seul, mais accompagné d’un homme noir portant un masque, comme pour dissimuler son identité. L’homme était brutal, me tenant avec force, m’appliquant des claques sur la croupe plus marquée qu’à son habitude. Me bâillonnant la bouche de sa main tout en me pelotant le corps de son autre main, et pour finir m’accrocher un collier autour coup et me tenir en laisse pendant qu’il me baisait, tel un mâle en rut. C’était comme un test, une épreuve afin de mesurer mes limites et évaluer jusqu’où il pouvait m’emmener. Son attirance pour le BDSM était une évidence, et j’en étais l’objet principal. J’obtempérais, obéissais, me soumettais, le laissant utiliser mon corps qui ne m’appartenait plus. Il me fourrait, me baisait, me fessait, parfois m’enculait avec force, alors que Thierry m’humiliait de paroles, plus honteuses à chaque fois, et tout en me bâillonnant évitant la moindre contestation de ma part. Ce jour-là, il passa clairement un cap, me baisant comme un animal affamé, et me promettant une escalade dans nos rapports sexuels.
- Tu aimes ça ma grosse truie, tu aimes que je te partage que je te domine, que je donne à baiser comme une vulgaire femelle. Claque-lui son gros cul pendant que la défonce.
- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmm- Prends ça sur tes grosses fesses de bourgeoise ma salope.
- <<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>><<<Clac>>>- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmm- Je vais continuer à te donner en pâture, la prochaine fois ma belle, et tu ne saurais même pas qui te baisera…- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmm- Oui, tu vas aimer cela, être utilisée par plusieurs hommes sans savoir qui ils sont !!! Dis-le-moi !!!!
- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmm- Il te plaît mon étalon, il te fait du bien.
L’homme se vida sur moi, à nouveau, salissant ma coupe de cheveux bourgeoise bien mise, et laissant ses traces blanches sur mon visage et dans ma bouche, alors que Thierry, qui se masturbait au-dessus de moi, se vidait également. Je repartis une fois de plus vidée, épuisée et inquiète de la tournure que prenait notre relation. Je savais qu’il allait mettre ses promesses à exécution et que c’était encore une étape supplémentaire. Comment faire pour maîtriser cette descente vertigineuse dans son monde de perversion qui m’éloignait de ma vie, et de mon mari ? Il fallait que je réagisse, que je reprenne le contrôle avant de perdre définitivement tout ce que j’avais construit. Je décidais de lui envoyer un message afin de discuter.
- @Thierry : il faut qu’on discute la semaine prochaine, pour parler de nous. Tout va trop loin et trop vite, et je ne suis pas sûr de vouloir continuer.
- @Patricia : 14H chez moi comme prévu et sois à l’heure.
J’aimais cet homme, pas d’un amour traditionnel tel que les émotions que je portais à mon mari, mais de quelque chose de totalement diffèrent. Je vivais un amour sensuel, une forme d’amour torride, passionnel et fusionnel, qui ne prenait en compte que les considérations charnelles. Nous ressentions en permanence une irrépressible attirance physique l’un envers l’autre, qui limitait nos rencontres à un enchaînement d’échanges charnelles. La composante essentielle de mon couple avec mon Mari m’amenait à vivre dans la peur permanente de le perdre, alors que ma relation avec Thierry me faisait craindre de ne plus lui plaire ou donc de le détourner de moi. Le jour même, je me rendais à l’appartement, avec pour objectif de mettre un terme à notre relation, et cela, malgré cette forme d’amour physique et sensuel que je lui portais.
La porte de l’appartement étant ouverte, j’entrais et trouvais dans le salon une boite. J’ouvrais la boite, et découvrais une combinaison en latex noir avec pour motif sur le devant des circuits imprimés et un masque me recouvrant la tête entièrement, avec des instructions.
- @Patricia : « Prépare-toi, et attends dans la chambre sur le lit ton châtiment ma belle bourgeoise. »Ce message était comme une alternative. Il me laissait le choix. J’étais venue pour le quitter, et me retrouver devant ce choix cornélien : quitter l’appartement immédiatement, ou me préparer et accepter de subir ce qu’il avait imaginé. Je savais que revêtir ce costume était l’acceptance de mon châtiment à venir. Je tournais les talons pour quitter les lieux avant de me raviser. Et si pour une dernière fois, je pouvais profiter du plaisir qu’il allait me donner. Et si pour une dernière fois, je voulais me donner à lui, comme un baroud d’honneur. Et si pour une dernière fois, je me laissais utiliser, prendre, abuser par cet homme, être son jouet, son objet, son fantasme sexuel. Sans réfléchir, je tournais les talons pris la boîte, et me rendais dans la chambre pour me préparer. Je me déshabillais, et revêtais cette combinaison qui me moulait comme une seconde peau avec pour caractéristique principale de faire ressortir ma poitrine volumineuse sous l’aspect des circuits imprimés dessinés sur le devant. Une fois prête, je me couchais sur ce grand lit, attendant l’arrivée de mon amant… Je m’étais assoupie, rêvant d'accouplement charnel avec mon amant, quand je sentis la pression de mains autour de moi.
J’ouvrais les yeux et voyais autour de moi plusieurs hommes, entièrement habillés en noir avec des combinaisons de latex, et tous masqués. 4 hommes, qui m’encerclaient sur ce lit, chacun s’emparant de mes bras et de mes jambes afin de m’écarteler et de m’immobiliser. Surprise et un peu effrayée, je me débattais, abandonnant rapidement sous la contrainte de ces 4 prédateurs anonymes qui me maintenaient avec force. Leurs mains libres s’étaient posées sur mon corps, jouant et palpant mes formes pulpeuses, surexcitées par le contact du latex noir de ma combinaison. J’essayais de protester pour la forme.
- Mais qui êtes-vous ? Thierry !!!!!
- Bâillonnez-la !!!!
- Hummmmm, Hummmmmm, Hummmmm- Quel corps …. Elle est bonne ta soumise…- Regardez-la se tortiller… Elle en demande ….
- Hooo ses gros seins… Que du naturel…- On va te faire du bien ma beauté….
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm- T’inquiètes ma belle cochonne, ils vont te faire jouir, je te l’avais promis ….
- Hummmmm, Hummmmm, HummmmmmJ’étais immobilisée, subissant la pression de ses caresses, offertes à ces 4 hommes dont l’un était mon amant, et qui m’avait offert pour me partager avec des inconnus. Ils allaient me prendre, me faire l’amour, abuser de mon corps et de mes formes, me violer chacun leur tour, et j’aimais ça. Je me débattais pour la forme, sachant que ma résistance accentuait leurs désirs. Sachant que mes cris augmentaient leurs volontés de me salir et de me posséder. Je sentis une main se glisser entre mes cuisses, alors qu’un membre poussait entre mes lèvres… J’étais à eux !!!! Ils me poussèrent vers le mur, afin de m’attacher les mains à un anneau maintenu par une chaîne, s’amusant à nouveau avec mon corps. Pendant de longues minutes, ils glissaient leurs mains sur mon corps recouvert de Latex. Je sentais des mains sur mes gros seins, sur mes fesses, entre mes jambes.
L’un des hommes s’amusa à me pénétrer avec un gode long et profond, m’arrachant des soupirs et des gémissements de désirs. Je pouvais sentir à la pression de leurs mains, toute la perversité de ces préliminaires dont j’étais le jouet principal, debout, attachée contre un mur, mes bras au-dessus de la tête, bougeant et oscillant mon corps en réponse à l’excitation et le désir procurait par leurs caresses. Ils m’estimèrent enfin prête, pour me repousser vers le lit, m’allongeant à nouveau écartelée par les bras et les jambes sentant à nouveau ses nombreuses mains sur moi. Les sexes se succédaient entre mes lèvres, coulissant, plongeant profondément au fond de ma gorge.
Mon corps subissait une exploration permanente. Ses mains étaient fantastiques, elles étaient partout sur moi. Je sentais leurs souffles, des murmures, des pulsions, des mains glissantes entre mes cuisses explorant mon sexe. L’un d’eux déchira mon leggins en latex et poussa ses doigts délicats, sur mes lèvres intimes tout en me caressant doucement. Je me sentais mouillée, et continuais à osciller mon corps toujours retenue et écartelée par ses hommes masqués. Je respirais profondément, terrifiée à l’idée de ce qui allait arriver.
- Laissez-moi partir, maintenant !
- Pas avant de t’avoir baisé ma beauté….
- Hummmmmm, Hummmmmmm, Hummmmmm- Voilà, avec une grosse bite dans la bouche, elle est moins bavarde…- Elle veut être punie. Son Papa a raison, ce n’est qu’une pute.
- Regarde la bouger son corps…- Quelle gourmande,- Elle me dévore la bite cette cochonne !!!!
- Sa chatte est trempée !!!!
- Écarte tes jambes, ma jument.
- Mets-toi entre ses cuisses pour lui pénétrer son vagin.
- Je ne veux pas sa bouche est trop bonne, vas-y toi….
- Je veux goûter sa bouche d’abord !!!!!
- Très bien, ma jument, prends le membre de ton étalonIls se disputaient les parties de mon corps, et pendant que je suçais le sexe de l’un, je regardais un autre se faufilait entre mes jambes. Il arrêta son corps et j’aperçus son sexe rigide juste entre mes cuisses. Il releva mes cuisses pour que mes jambes chevauchent ses épaules, sans laisser ma bouche se détacher du sexe de son partenaire. Je m’inclinais sentant le gros gland chaud et épais pénétrer en moi alors que mes lèvres intimes étaient écartelées pour accueillir son membre hors norme. Je rugissais de désir, bâillonnée par le sexe coulissant entre mes lèvres, sentant ses mains et ses sexes parcourir l’intérieur, mais aussi l’extérieur de mon corps offert. Un sexe épais étirait les muscles de ma chatte laissant mon vagin se resserrer autour de cette intrusion rigide. Je voulais tellement ressentir un orgasme que j’oscillais mes hanches pour accompagner les mouvements de marteau-piqueur de l’homme qui était entre mes cuisses.
- Maintenant, belle jument, ce gros étalon va te prendre par-derrière.
- Retourne-la, que je lui défonce ses belles fesses.
Ils me retournèrent, me couchant sur le ventre et des mains glissèrent sur mon cul. Je sentis mes fesses se séparer et un gros sexe généreusement lubrifié poussait dans ma chatte baveuse. Je gémis sous la pression intense. Son membre poussa et pressa, laissant mes muscles protester contre cet empalement.
- Tout doux, ma jument, tout doux.
- Prends bien mon sexe au fond de toi ma belle génisse- Tiens-lui la tête à notre belle poulicheL’un des hommes plaqua son pied contre ma tête maintenant mon visage contre le matelas, ne me laissant aucune possibilité de résistance. Les deux autres hommes prirent chacun un de mes bras m’écartant à la verticale et maintenant mes poignets avec force. J’étais ainsi soumise et immobilisée, ne pouvant que supporter les coups de bites que le quatrième me donnait avec rage. Ma respiration était rapide, et mon corps frissonnait. Il entrait plus profondément à chaque coup de hanche. Je pouvais sentir son membre palpitait à l’intérieur de mon vagin me forçant à stabiliser ma respiration. Ils me pénétrèrent dans cette position à tour de rôle, m’ayant chacun pénétré plusieurs fois. Je me laissais baiser dans cette folle position, gémissant ma détresse, toujours sentant ses mains sur mon corps alors qu’un sexe martelait en permanence mon vagin en feu.
- C’est bien, ma jument, c’est bien.
- Hummmmm, Hummmmmm, Ohhhhh mon dieu !!!!
- Laisse-moi faire tout le travail, ma jument. C’est moi l’étalon. C’est moi qui commande.
Ils me relevèrent enfin après des minutes interminables de ce traitement, pour me pousser à cheval sur l’un deux qui s’était allongé. Il me pénétra à nouveau et coulissa son membre. Je m’écroulais sur lui me laissant posséder par cet homme masqué alors que je pouvais sentir son doigt à l’entrée de mon anus. Mon cul se serra involontairement autour de son index. Je l’entendais émettre un gémissement étranglé. À ma grande surprise, il se retira lentement puis se glissa à nouveau dans mon cul. Plus profondément cette fois. Je me poussais d’instinct contre lui. Il me pénétra plus profondément, me faisant haleter. La chaleur et l’immense pression de son sexe à l’intérieur de moi m’entraînaient au bord de l’évanouissement. Il se retira, puis plongea en moi d’un coup rapide, cognant les hanches si fort que j’avançais. Son mouvement violent envoya son doigt plus profondément dans mon anus. Il continuait à me pomper mon gros cul avec de longs coups de doigts puissants, dont les impacts créaient une douleur de plaisir unique. J’aimais cette position avec mon cul et ma chatte empalés alors que son doigt dans mon cul s’enfonçait toujours plus profondément. Je sentis enfin son liquide se répandre en moi chaud et en grande quantité, puis ses mains se posèrent sur mes hanches.
Il me souleva, afin de me repousser sur le lit, et qu’un second m’empale le vagin, poussant mes jambes sur le côté afin de libérer l’accès à ma chatte inondée. Il s’agenouilla et poussa vers l’avant jusqu’à ce que son sexe soit au fond de moi. Mon cerveau était excité, dérouté, alors qu’un autre m’envahit la bouche. Presque tous les orifices de mon corps étaient remplis. Ils savaient exactement comment déplacer leurs membres, leurs hanches, me tirant en arrière où me poussant en avant pour que ses deux sexes s’éloignent de moi ou s’enfoncent en moi en même temps. Je suivais les mouvements, appréciant que ces deux hommes me possèdent, m’empalent. Nous bougions tous comme une machine bien huilée. Leurs membres solides réveillaient en moi des terminaisons nerveuses enflammées, glissant contre mes muscles intimes rapidement sensibilisés. Des sensations intenses s’enflammaient dans ma chatte et mes lèvres étaient meurtries du sexe qui s’étirait dans ma bouche. Les vibrations s’intensifiaient, devenaient charnelles. Des besoins qui ne pouvaient être étouffés que par un orgasme. Je me forçais à garder le contrôle, mais la tension augmentait et le plaisir me parcourait à une vitesse fulgurante.
Mon corps exigeait la libération, je n’en pouvais plus. Mon plaisir devenait si puissant et si intense qu’il se transformait en une douleur exquise, rythmée par les grognements de ses prédateurs violeurs et des bruits d’aspiration des sexes qui me possédaient. L’homme qui me pompait les lèvres, gémissait de plus en plus fort, et je sentais sa délivrance et sa jouissance proche. Il se vida d’abord entre mes lèvres avant de continuer à me gicler dessus sur ma combinaison de latex. Une fois soulagé, le troisième toujours bien enfoncé entre mes cuisses me retourna sur le ventre, m’allongeant de tout mon long sur le lit. Il m’écartela les bras à nouveau et me pénétra par-derrière. J’étais comme crucifiée avec cet homme couché sur mon dos qui me pilonnait le cul, me saccageant les fesses tel un animal incontrôlable. J’entendais Thierry l’encourageais.
- Allez, défonce-la ! Baise-la comme tu sais le faire ! Baise-la comme un animal, fais-lui mal avec ta queue.
- Ohhhhhhhh mon Dieu, je ne peux plus !!! Au secours !!!!! Thierry !!!!! Il me rend folle.
- Oui, ma belle profite, après je vais te finir, tu seras à moi….
- OHHHHHHHHHHHHHHHJe me cambrais à chaque fois que son sexe s’enfonçait en moi. J’étais au bord de l’implosion. Il ralentissait la cadence et finit par retirer son sexe. Je voulais le supplier de ne pas s’arrêter, mais il glissa son membre dans mon intimité trempée, prenant plaisir à m’entendre gémir sous cette pénétration. Il continua son matraquage pendant de longues minutes avant de se libérer enfin pour laisser la place à Thierry. J’étais effondrée, épuisée, couchée sur le lit et recouverte de sperme alors mon amant s’approcha de moi. Les trois hommes, vidés et repus, étaient autour du lit à nous observer, alors que Thiery me retira ma cagoule, dévoilant mon visage à mes trois violeurs. Il allait donc me baiser devant ses compagnons, qui allaient pouvoir profiter de la vue de cette bourgeoise au visage déformé par le plaisir. Il me positionna à quatre pattes et me prit en levrette bien décidé à me sodomiser.
- - Je vais t’enculer ma belle, devant tes trois violeurs.
- - Ohhhhh Thierry !!!!!
- - Dis-moi que tu veux que je te défonce le cul….
- - Oui, sodomise-moi, encule-moi….
- - Regardez-moi ma belle truie, ma belle jument qui va se faire prendre l’anus….
- - Ouiiiii, vas-y encule là cette bourgeoise, elle en veut….
Il me sodomisa avec force et détermination, en levrette, agenouillait entre mes cuisses, tenant mes hanches avec force, alors que son autre main me tirait les cheveux ou m’étranglait par le coup, tout en accélérant les mouvements de hanches, qui me défonçait l’anus. Il enchaîna les positions, se couchant ensuite sur le dos m’amenant à m’allonger sur lui, avec ses jambes repliées, et en prenant appui sur mon avant-bras. C’était comme une pénétration en Andromaque inversée, ou il me faisait basculer vers l’arrière lui permettant de stimuler mon clitoris avec ses doigts. Mon esprit m’avait abandonné et ne réagissait qu’aux stimuli de plaisir que cet homme me donnait avec une violence infinie. Les 3 autres s’étaient rapprochés de nous et bien que soulagés, ils me caressaient les seins, s’amusant avec mes grosses mamelles protégées par le latex souillé de leurs spermes chauds.
- Bouge-ton corps, salope.
- Tu aimes te faire enculer beauté…- Elle n’en peut plus la belle jument.
- Ohhhhhh, elle me refait presque bander…- Moi aussi, c’est une déesse du sexe cette pouliche.
- Oui jamais baisé une aussi belle bourgeoise…- Regarde-moi ces beaux gros seins bien fermes.
- Prends mon sexe dans ta bouche et fais-le durcir encore….
Il poussa son sexe flasque entre mes lèvres, me poussant à le faire bander, mais malgré tout mon talent ma fellation ne lui rendit pas la vigueur espérée pour me baiser à nouveau. Le sexe de Thierry me cassait le cul, me déchirant en deux, me faisant crier sous la chair du membre flasque. Je n’en pouvais plus, et étais au bord de l’évanouissement, quand Thierry me releva m’entraînant contre le mur afin de m’attacher à nouveau aux chaînes du mur. Il m’accrocha fermement, et m’entoura avec ses 3 camarades. Les 4 hommes autour de moi se masturbaient devant moi. Thierry joui en premier sur mon corps recouvert de latex, de grande quantité de liquide chaud, alors que les 3 autres déjà vidés contribuèrent médiocrement à cette douche de sperme. Ils me regardèrent ensuite, j'étais recouverte de sperme, ne tenant plus sur les jambes, et quittèrent l’appartement me laissant seule avec Thierry qui m’avait détaché pour me reposer sur le lit.
Je m’assoupis pendant un petit quart d’heure. À mon réveil, j’annonçais à Thierry la fin de notre relation. Même si j’éprouvais un plaisir malsain à nos séances sado maso, je savais que cela conduisait mon couple vers le divorce ce que je refusais, et donc mettais un terme à contrecœur à notre relation. Je savais qu’il était triste et déçu, mais je savais aussi qu’il comprenait l’importance de cette décision, irrévocable.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Félicitations ma belle Bourgeoise mature!!! On attend tous votre prochaine histoire!!Vous êtes la meilleure!



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