La Gourmandise

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : La Gourmandise Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Gourmandise
Suite au festival de danse, je rentrais à la maison, après avoir vécu deux jours intenses. J’arrivais en fin d’après-midi, la maison était vide, Richard profitant de mon absence pour ce faire un week-end à la montagne entre hommes. J’en profitais pour vider ma valise et nettoyer mes affaires afin de faire disparaître les traces de mes dérapages avec mes deux beaux étalons argentins. Je cachais mes robes dans un panier à linge sale, afin de pouvoir les déposer au pressing le lendemain en toute discrétion. Cependant, ayant promis à Richard une honnêteté totale, je ressentais toutefois un peu de culpabilité et réfléchissais au meilleur moyen de lui avouer mon adultère. Je décidais de lui envoyer une photo de moi avec ma robe de gitane rouge recouverte de sperme, avec un message très court, mais sans ambiguïté.
- @Richard : ‘Je suis une vilaine fille, toute sale, rentre vite punir ta salope de bourgeoise.
Il rentra en début de soirée et me raconta son week-end rapidement, sans aucune référence à mon message. Alors qu’il allait prendre sa douche, il revint quelques instants plus tard avec ma robe dans sa main, avec un air faussement fâché. Je rentrais dans son jeu.
- Je crois que tu as raison, tu as été très vilaine, tu vas m’expliquer les taches sur tes robes...
- Quoi, heu, mais non ce n’est pas ce que tu crois...
- Comment ça, tu as encore joué les grosses salopes dans mon dos !!!!
- Mais non Richard pas du tout !!!!!
- Viens ici grosse pute, tu vas me raconter tout cela pendant que je te sodomise !!!!
- Richard non !!!!!
Il me bascula en levrette sur la table de la cuisine, remonta ma chemise de nuit, et je sentis son sexe pousser au fond de mon petit trou, sans aucun préliminaire. Il m’attrapa par les cheveux, et pendant qu’il m’enculait, il me força à lui raconter mon week-end. Je sentais son membre bien dur en moi me défoncer le cul, surexcité par mon histoire.
- Ohhhhh Richard...
- Allez, je t’écoute.
- Je me suis fait prendre de force et soumettre par mon professeur de danse, et son ami.
- Ils t’ont baisé combien de fois.
- Ohhhhhhh,
- Alors !!!! Réponds salope !!!!
- Tout le week-end, plusieurs fois
- Ou ça, raconte
- Dans leur chambre, dans ma chambre, les toilettes, l’ascenseur....
- Ohhhh qu'elle salope
- Tu as aimé ça, dis le moi...
- Oui, ils m’ont fait jouir, mais je n’aime que toi...
- Continue de me raconter salope...
- Ohhhhhh, Richard...
- Tu es une vraie gourmande, tu aimes te faire bourrer le cul... Je vais te donner en pâture cette semaine tiens toi prête...
Il continuait de me sodomiser violemment, excité par mon récit, que je continuais à lui raconter, entre deux gémissements. Ses coups de reins étaient violents, et il finit par me jouir dessus.
- Tu es la plus belle et la meilleure des putes. Embrasse-moi salope.
- Hummmmm, je t’aime mon amour...
- Cochonne je n'en ai pas fini avec toi. Tu auras bientôt ta seconde punition. Repose-toi.
La semaine s’écoula, sans aucune allusion à mes aventures du week-end. Le jeudi dans l’après-midi, alors que Richard était en rendez-vous extérieur, il m’envoya un SMS me donnant rendez-vous à la maison vers 17 H. Je me doutais de la raison, mais docile, je suivais ses consignes et quittais le bureau pour rentrer chez moi. Arrivée à la maison, il m’attendait dans le salon, me demandant de venir m’asseoir à ses côtés sur le sofa. Habillée d’un pantalon et chemisier blanc très moulant, j’étais très désirable. Une fois assise à ses côtés, il me prit par la nuque et m’embrassa, posant ses mains sur le décolleté de mon chemisier afin de me pétrir mes gros seins avec délectation.
- Tu te souviens de tes petits diablotins ?
- Ohhh Richard qu’as tu encore fait ?
- C’est le moment de payer nos dettes ma belle...
Tout en me parlant et m’embrassant, il m’avait déboutonné mon chemisier pour libérer mes gros seins laiteux qu’il malaxait avec passion.
- Hummmm, t’es une bonne laitière ma beauté, je t’ai réservé pour aujourd’hui deux beaux spécimens... Mais avant, tu vas te changer.
Il me pelotait mes gros seins, tout en ayant glissé sa main dans mon pantalon et sous ma culotte, poussant ses doigts entre mes cuisses.
- Tu es toute humide, je vois que tu es excitée... Tu vas te laisser faire, ils vont te prendre chacun leur tour et après, tu auras droit à la semence de ton mari.
Il me tendit une boite, dans laquelle je trouvais, une jupe noire moulante, un body léopard et des bottes cuissardes en daim. Je m’habillais devant lui et alors que j’avais terminé, il me tendit comme dernier accessoire, un plug anal.
- Fourre-toi cela dans ton gros cul pendant que je vais chercher tes invités.
Alors que je plaçais le jouet entre mes fesses, les deux hommes entrèrent dans le salon. Je reconnus de suite les deux, la gourmandise et l’envie.
Richard se positionna sur un fauteuil un peu en recul, pouvant apprécier la scène avec une vue d’ensemble globale. Les deux hommes se rapprochaient de moi m’encerclant de leurs corps. Sans un mot, ils posaient leurs mains sur mes courbes, profitant de cette atmosphère terriblement sulfureuse pour palper mes formes pulpeuses avec gourmandise et désir. Je sentais leurs mains parcourir mon corps, se posant sur ma poitrine volumineuse et mameleuse, pressant mes gros seins avec délectation. Chacun des deux s’était emparé de mes gros nichons laiteux, qu’ils malaxaient avec passion. Je réagissais à cette palpation mammaire, me laissant posséder par ces deux hommes qui allaient me prendre comme deux animaux sous les yeux lubriques de mon mari, confortablement installé dans son fauteuil qui commentait et guidait mes deux agresseurs dans ces caresses contraintes qui m’étaient imposées sans se préoccuper d’un quelconque consentement de ma part.
- Elle vous plaît bien ma bourgeoise…
- Elle est bonne ta cochonne…
- Oui, j’adore ses grosses mamelles, ses bons gros nichons. Tu aimes que je te palpe tes gros seins ?
- Laissez-moi tranquille !!!! Ohhhhh Richard !!!
- Non ma beauté, on va bien s’occuper de toi.
Debout, dans le milieu de mon salon, entourée par ces monstres affamés, je subissais la pression de ces caresses mamelaires, livrée à ces deux prédateurs dont je pouvais sentir le désir au travers de leurs souffles provoquant des gémissements ainsi que des mouvements oscillatoire de mon corps. Je me trémoussais, fermement maintenue par mes deux diablotins, dont les mains libres s’attaquaient à ma croupe serrée dans cette jupe noire moulante alors qu’une autre, posée sur mon entre-jambe, me malaxait le vagin au travers du tissu. J’essayais de montrer une résistance, qui allait accroître leur désir, et leur besoin de me dominer et de me soumettre. Profitant d’un moment d’inattention, je m’extirpais de leurs bras, essayant de me réfugier dans ceux protecteurs de mon mari, mais fus rattrapée par les deux bruts à mi-chemin. Ils me tenaient fermement par les avant-bras, m’entrainant à nouveau vers le centre de la pièce, m’appliquant des claques d’encouragement sur les fesses.
- Claquez-lui son gros cul à ma bourgeoise rebelle, elle aime se faire encourager.
- Tu aimes te faire fesser ton gros derche ma belle, avoue-le ?
- Ohhhhhhh, arrêtez, s’il vous plaît…
- Et si on s’occupez de toi maintenant.
- Ohhhhhhhh, Non…. Ohhhhh Ouiiiiii !!!!!
Ils me remontèrent la jupe, et la main du diablotin gourmand plongea sous mon body me caressant la chatte avec vigueur, alors que le second me baissait mon décolleté léopard libérant mes seins lourds qu’il pétrissait encore plus fort. Il me malaxait mes nichons, alors que les doigts de son ami me fouillaient les entrailles. Je remuais, debout sous la pression de ces caresses multiples forcées et qui me conduisaient irrémédiablement vers un premier orgasme. La langue de l’envieux plongea entre mes lèvres, m’embrassant tel un lézard, ou un serpent vicieux. Il jouait avec sa langue, tournoyant autour de la mienne tout en me tenant par les cheveux avec force. Il me tirait la tête vers l’arrière, positionnant ma bouche en dessous de ses lèvres, continuant à forcer et à pousser sa langue en moi. Sa main me pelotait mes gros seins, malaxant mes mamelles tel un paysan se préparant à la traite de sa génisse, et je sentais mon corps qui m’abandonnait me laissant en proie à des décharges de désirs.
- Regarde la bouger la bourgeoise…
- Elle est en train de jouir, regarde-la se remuer quand je lui pétris ses nichons.
- Presse-lui ses grosses miches, tu vas lui tirer du lait…
- Il a raison, mon pote t’es une bonne laitière ?
- Ohhhhhhhh, Laissez-moi tranquille…
- Oui, c’est promis, mais avant, tu vas nous sucer…
- Tu veux nos grosses bites dans ta bouche de bourge….
- Ohhhhhhh Non……..
- Elle est toute humide, la belle génisse…
- Ohhhhhhh, Hummmmmm, oui caressez-moi, Hummmm oui comme ça, c’est si bon
Ils continuèrent leurs caresses pendant de longues minutes avec pour unique objectif de me soumettre et de me faire perdre le contrôle total. Ils voulaient me désinhiber entièrement, me porter à un point de non-retour, ou ma résistance morale et mes principes bourgeois laisseront la place aux réactions de mon corps sujet aux caresses de ces deux animaux, et cela, sous le regard bienveillant de mon mari. Je sentais le sol se dérober sous mes pieds, et m’accrochais à la nuque des deux diablotins afin de ne pas m’étaler sur le carrelage. Ils avaient perçu ce détail et augmenter la pression de leurs mains sur toutes les parties érogènes de mon corps. Mes seins étaient maltraités sans aucune pudeur, alors que ma chatte subissait un pistonage violent de doigts intrusifs. Je gémissais, respirant de plus en plus fort, et mes yeux, révulsés ne percevaient plus rien. Des claques régulières continuaient à s’écraser sur ma croupe écarlate, ce qui leur permettait de me maintenir éveiller.
À bout de forces, anéanties par des orgasmes à répétitions, ils me poussèrent enfin sur le canapé, ou je croyais à tort pouvoir reprendre quelques forces. Il n’en fut rien, et aussitôt assise, j’étais encerclée par ces deux diables debout dont les sexes énormes et bien durs se dressaient devant moi. Ils jouèrent avec leurs sexes sur mon visage, frottant leurs glands autour de mes lèvres, comme pour simuler l’application d’un rouge à lèvres, ou tapotant leurs gros membres sur mes joues. Le gourmand, s’empara alors de mes cheveux, utilisant mon carré rou bourgeois afin de se branler le sexe avec mes mèches. Il serrait son membre dans sa main, recouvert par ma chevelure bien mise, se branlant avec fétichisme. L’envieux n’était pas en reste, et continuait à frotter son sexe contre mon visage, tout en me maintenant également par les cheveux. Ses deux pervers, continuaient à m’humilier, encouragés par les propos salaces de mon mari.
- Oui, comme ça, frottez vos grosses bites sur sa face de pute… Elle adore ça…
- Oui beauté, tu as envie de les avoir toutes les deux dans ta belle bouche
- En plus, c’est une vraie bonne suceuse.
- Hummmmmmm, Hummmmmmm, Non Richard, Hummmmm
- Oui ma belle, montre leur que tu es une bonne butineuse
- Hoooooooooo, Hummmmmmmm
Les deux diables avaient positionné leurs deux sexes devant mes lèvres comme pour se disputer l’entrée de ma bouche. J’ouvrais grand, subissant la pression de leurs glands respectifs qui m’écartelaient le visage. Je ne pouvais avaler les deux, mais sans se préoccuper de ce petit détail, ils continuèrent à simuler cet impossible double fellation. Finalement après quelques minutes de ce jeu dépravant, le gourmand poussa son sexe dans ma bouche, bien coincé entre mes lèvres, qu’il s’amusait à faire coulisser tout ne me tenant par les cheveux pour m’obliger à effectuer des mouvements de piston mécaniques. On entendait les bruits de succion de son membre qui allait et venait dans ma bouche résonnant dans la pièce et accompagné par les grognements du prédateur qui me violait la bouche. Ils alternèrent plusieurs fois, me forçant à sucer ces membres l’un après l’autre, tout en continuant à malaxer ma poitrine meurtrie par ces caresses et palpations animales.
- C’est vraiment une bonne suceuse ta femme.
- Ohhhh oui quelle bouche
- Regarde-moi avec tes beaux yeux bleus pendant que tu me suces.
- Hummmmmm, Hummmmmmmm
- Ohhhh, mais regarde-moi cette vue…
Alors que je suçais le premier, le second, c’était penché derrière moi, remontant ma jupe sur mes reins et ainsi libérant ma croupe juste protégée par la lanière de mon body léopard et toujours occupé par un plug anal rose qui me remplissait les fesses. Il avait pris mon instrument anal entre ses doigts et jouait avec, en le faisant tourner dans mon petit trou, déclenchant des secousses de mon corps, coincé entre le sexe du premier bien ancré dans ma bouche et les mains du second qui me tenait par la croupe. J’étais prise au piège, et attendais le moment où ils allaient me posséder tous les deux, me prenant comme une vulgaire pute en sandwich, utilisant mon corps comme un objet de désir sur lequel ils allaient se vider.
- Tu es incroyable ma salope, quelle suceuse. Plus tu joues avec son jouet et plus elle me suce avec gourmandise.
- Regarde comme elle remue son gros cul quand je bouge son jouet. Tu aimes cela la bourgeoise.
- Hummmmmmm, Hummmmmm
- Tu as envie qu’on te prenne maintenant, demande-le ?
- Hummmmmm, Hummmmmm
- Je crois que ça veut dire oui…..
- Oui, prenez-moi, baisez-moi, enculez-moi, violez-moi !!!! Je suis votre jouet !!!!
Son sexe énorme plongea entre mes fesses, envahissant ma chatte en feu alors que de sa main droite, il continuait à me tenir par le plug. La situation était surréaliste, alors que le premier me baisait la bouche en me tenant par les cheveux pour mieux faire coulisser son sexe entre mes lèvres, le second me prenait en levrette, tout en me claquant ma croupe déjà rouge écarlate de sa main gauche, alors qu’il utilisait le plug anal plongé dans mon petit trou comme un joystick. Il s’amusait à orienter le plug pour conduire la direction que mon corps prenait, actionnant vers la droite, ou vers la gauche, et tout cela dans le rythme de ces coups de reins qui me défonçait la croupe. Je continuais à gémir de plus en fort, toujours sous le regard sur-excité de mon mari, qui encourageait les deux diablotins.
- Oui, c’est bien continuez à saillir ma bourgeoise. Regardez comme elle aime ça !!!!
- Hummmmmm, Hummmmm, Hummmmmm
- Vas-y cochonne, tu aimes te faire labourer comme une génisse en rut
- Hummmmmm, Hummmmm, Hummmmmmm
- Ohhhh quelle bonne suceuse, elle me bouffe littéralement la bitte cette grosse truie
- Hummmmmm, Hummmmm, hummmmmmm
- Attends son petit trou et bien dilaté maintenant, on peut enculer ta bourgeoise ?
- Oui, prenez-la… Une bonne double pénétration, elle adore ça
- Hummmmmmm, encoooooorre, ouiiiiii, hummmmmmmmmmm
L’envieux se positionna sur le sofa, couché sur le dos, m’attirant au-dessus de lui, afin que je le chevauche, poussant son gros dard entre mes cuisses déjà meurtries du traitement que je venais de subir. Le second se positionna derrière moi et après avoir retiré mon plug anal, laissant un accès béant à mon anus, il m’encula en levrette. J’étais possédée par ces deux hommes, depuis plus d’une heure, et me faisais prendre en double, dans un acte sexuel effréné ou ces deux prédateurs me traitaient comme un animal, une femelle à utiliser sans vergogne et sans aucune retenue. La pression de ses deux sexes bien ancrés dans mes entrailles, ainsi que le pistonage que je subissais, me faisait jouir intensément. Je m’étais écroulée sur le corps du premier, n’ayant pas la force de me relever, vibrant au rythme des orgasmes multiples qui me traversaient régulièrement le corps. Une poupée, un objet, une vulgaire pute, voilà comment me traitaient ces deux hommes, et ce statut de truie en rut m’excitait et me faisait jouir au plus haut point exacerbé par le regard et consentement de mon mari observant sa femme se faire défoncer. Ils me retournèrent, afin d’échanger leur pénétration, et alors qu’ils continuaient à me baiser, Richard s’était rapproché me caressant mes gros seins qui ballottaient, et m’embrassant avec fougue…
- Oui, tu es si belle comme ça… Tu aimes te faire labourer par ces étalons… Te faire prendre comme une jument…
- Ohhhhh Richard, j’en peux plus ils me rendent folle.
- Oui, vas-y jouie ma cochonne, j’aime te regarder te faire baiser.
- Ohhhhhh, mon Dieu !!!!!! C’est si bon, ils sont si gros, je vais encore jouir !!!!!!
La présence de mon mari les excitait encore plus. Le gourmand tirant fort sur mon body, arracha le tissu alors que le second me retirait ma jupe et mes bottes, j’étais nue sur ce sofa toujours pilonné par ces deux hommes sentant le moment de leur jouissance proche. Ils me relevèrent pour finir par me baiser debout toujours prise en sandwich dans une position qui ne dura que quelques minutes avant de m’accroupir sur le sol, pour m’offrir leurs semences qui se répandissaient sur mon visage. Ils me recouvrirent de sperme, giclant sur mon visage, mes gros seins et mes cheveux. Richard, excité, les invita à se retirer, avant de m’entraîner dans notre chambre pour profiter des restes de sa femme recouverte de sperme.
Alors que les deux hommes venaient de quitter la maison, Richard me poussa dans la chambre et me saisit par les hanches. J’étais nue face à lui, totalement défaite, avec du sperme qui dégoulinait le long de mon corps. Sans préambule, il me souleva la cuisse droite, qu’il coinça sous son avant-bras, pour me pénétrer profondément. Une fois bien au fond de ma chatte, il me souleva la cuisse gauche, me laissant en suspension les jambes autour de son corps accrochées à ses hanches. Il me maintenait par les fesses, mais également profitait que son pieu bien raide était bien profond dans mon vagin démonté. Il utilisait son sexe comme un piston mécanique, une pièce rigide circulaire coulissant en moi dont le déplacement entraînait des plaisirs réciproques. Je pouvais sentir ses grosses mains sur mes fesses fermement maintenues, alors que j’avais placé mes bras autour de sa nuque afin de trouver un peu d’équilibre.
- J’adore te baiser comme ça ma grosse truie, debout, soumise, souillée… Dis-moi que tu aimes ça!!!
- Ohhhh Richard, tu me rends folle, tu me fais jouir… Continue, baise-moi, souille-moi.
- Dis-moi que tu es une grosse salope.
- Je suis ta grosse salope.
- Une grosse truie qui aime se faire monter par des beaux mâles
- Ta grosse truie qui aime se faire démonter par des beaux mâles…
- Je vais te donner à tous les autres diablotins salope !!!!
Il continua comme cela pendant de longues minutes, mon corps collé au sien, avec mes jambes qui tenaient dans le vide à la perpendiculaire de ses hanches. Ses grosses mains fortes profitées de leurs positions pour me palper mon gros cul tout en me maintenant dans cette position acrobatique. À bout de forces, il me reposa sur le lit, me plaçant en levrette pour me sodomiser.
- Hummmm, ton petit trou est complétement dilaté…
- Ohhhh Richard, ils m’ont défoncé le cul
- Oui j’ai vu ça, tu aimes te faire enculer par des inconnus pendant que je te regarde.
- Ohhhhh, je fais cela pour toi….
- Non, tu fais cela parce que tu es une grosse pute.
- Ohhh Richard, Ouiiiiiii Je te sens bien au fond en moi !!!!!!
Il continua à me sodomiser pendant de longues minutes, à quatre pattes sur le lit, je sentais son membre aller et venir en moi, me re-pénétrant avec vice, pour me pistonner encore plus fort. Je jouissais de manière continue, sans répit, avec ce bonheur de sentir le désir que mon homme, éprouvait pour moi, après toutes ces années. Me faire baiser à 56 ans, mais être également désirée à ce point par l’homme de ma vie, dont les fantasmes étaient toujours aussi vivaces, était sans aucun doute la plus belle preuve d'amour qu’il pouvait me donner. J’avais trouvé un point d’équilibre entre mes besoins sexuels et l’amour pour mon mari, certes peu banal, mais terriblement efficace.
- Ohhhhhhh, mon Dieu, oui encore, baise-moi encore…
- Bouge-moi ton gros cul pouffiasse…
- Ohhhhhhh oui continue, claque moi mes grosses fesses…
- Prends ca grosse truie…
- Ohhhhhhh, encore, fais moi rougir mon gros cul de cochonne… Je suis à toi, utilise-moi…
Après plus d’une quinzaine de minutes de sodomie profonde, il me releva enfin, afin de se vider pour une dernière fois de la journée sur le corps pulpeux de sa femme souillée, et offerte. Son jus se répandit sur moi, recouvrant le sperme des diablotins qui avait commencé à sécher. J’en avais partout, et je savais qu’il me fallait conserver ces traces pendant quelques minutes avant de prétendre à un quelconque nettoyage.
- Tu es fantastique ma beauté, tu as été merveilleuse
- Ohhh Richard, j’ai joui comme une folle, merci pour ce fabuleux cadeau
- Oui, reprends des forces, car je suis toujours en dette avec les autres diablotins, et il va falloir honorer nos dettes très bientôt.
Il y allait donc avoir un acte final à mes aventures et encore 5 pêchés capitaux

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