Le Petit Poney

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : Le Petit Poney Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2022 dans la catégorie Plus on est
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Le Petit Poney
J’étais invitée à l'inauguration de la restauration du lycée dans lequel j'avais travaillé plus jeune en tant que surveillante et avec lequel j’avais gardé un certain nombre de contacts avec des amis professeurs, mais aussi des cadres administratifs et dirigeants. En effet, au travers de notre société, et un peu par nostalgie, nous avions supporté quelques investissements, et participé à quelques événements de promotion d'entreprise pour l'emploi ce qui me permettait de maintenir des relations avec un environnement que j’affectionnais particulièrement. Cette soirée de gala avait été organisée afin de fêter dignement cet événement. Je m'y rendais seule, mon mari n'étant pas un adepte de ce genre d'événements. J'étais ravie à l'idée de retrouver d'anciens collègues voire même d'anciens amis avec qui j'avais partagé mes années d'étudiante. La soirée étant prévue le vendredi, la direction avait réservé des chambres dans un hôtel Campanile à proximité pour les invités ne résidant pas sur place et ne voulant pas faire l'aller-retour, ce qui me permettait de profiter de cette soirée que j’espérais festive. Le lycée était situé sur un campus assez grand avec plusieurs bâtiments en annexes, et dont les bureaux et l'administratif se trouver dans un château restauré avec beaucoup de goûts donnant tout le cachet du complexe éducatif. J'arrivais vers 20 h, habillée d'une robe de soirée noire très élégante, avec décolleté vertigineux, bas-résilles, mais un juste équilibre entre un chic bourgeois et look sexy et attractif. Le directeur m’avait également demandé de préparer un petit discours, en tant que partenaire ayant contribué à la restauration des bâtiments. Je rencontrais beaucoup d'anciens collègues et amis, mais également d'anciens élèves que j'avais connu adolescents et qui 25 ans, plus tard, me révélait la nostalgie du temps qui passe. Il y avait plus de 300 personnes à cette soirée et après mon discours, je naviguais d’un groupe à l'autre, virevoltant afin d'essayer de rencontrer un maximum de personnes. Au détour d'un groupe, j’eus la fâcheuse surprise de rencontrer Thierry, mon ancien amant et ex professeur qui m'avait, quelques mois plus tôt, abandonné de manière lâche et infâme me laissant dans une dépression dont j'avais eu quelques difficultés à me sortir. Alors qu'il essayait de s'approcher de moi, je tentais de l'éviter ne souhaitant absolument pas me retrouver à son contact. Je rejoignais un groupe d'amis composé d'anciens collègues, mais aussi de quelques étudiants qui faisaient partie du BDE et qui avaient en charge d'animer la soirée. J’observais Thierry du coin de l'œil qui tournait toujours autour de mon groupe essayant de s'immiscer dans la conversation alors que je continuais à l'éviter du regard. Il trouva quand même une façon de se rapprocher de moi et de me glisser à l'oreille.
- Patricia, s'il te plaît, donne-moi l'occasion de pouvoir te parler, je ne peux pas supporter de te voir comme ça surtout avec le mal que je t'ai fait, je veux me faire pardonner.
- Tu n'approches pas de moi, tu t’es conduit comme un monstre, je ne veux plus rien avoir à faire avec toi.
Je le laissais seul rejoignant un groupe d'amis en profitant de l'hospitalité des étudiants qui me servait du champagne que je consommais plus que de raison. La conversation était drôle, et je sentais l'alcool faire son effet, décidant de me rendre aux toilettes afin de m’asperger un petit peu d'eau fraîche sur le visage pour atténuer l'effet de l'alcool. J'avais du mal à marcher et alors que je titubais, Thierry se rapprocha de moi pour m’aider. Je le repoussais avec force.
- Je n’ai pas besoin de ton aide, et ne t’imagine pas arriver à quoi que ce soit. Je préfère encore me faire baiser par ces deux petits jeunes.
Je me dirigeais vers mes étudiants bien intentionnés que j'avais trouvé très sympathiques et sûrement à l'origine de mon état alcoolisé qui me prirent par le bras, m'entrainant avec eux, sous le regard de Thierry furieux.
- Laissez-nous vous aidez Patricia, vous n'êtes pas dans votre assiette, vous risquez de tomber dans les escaliers.
- Merci les garçons, c'est trop aimable à vous, je pense avoir abusé du champagne- Il n'y a pas de mal à se faire du bien venez, on va s'occuper de vous.
On descendait les escaliers pour se diriger vers les toilettes quand ils m'entraînèrent discrètement dans un petit vestibule qui servait de vestiaire. Surprise et avec mon esprit embué par l'alcool, je ne réagissais pas, ne m'apercevant pas que la porte s'était refermée derrière nous, et alors que mes deux étudiants m’avaient poussé contre le mur. Je sentis leurs mains se poser sur mon corps. J'étais comme droguée, excitée de cette situation, sentant mon corps frémir suite aux attouchements et incapable de repousser mes deux compagnons. Ils s'amusaient de mes formes pulpeuses découvrant mon corps sans résistance offert à leurs désirs et envies. Alors que l’un caressait ma poitrine, l'autre m’attrapant par les cheveux m'embrassait avec passion, plongeant sa langue entre mes lèvres. Je ne protestais pas, restant passive et soumise livrée à ces jeunes hommes qui allaient souvent sûrement profiter de notre intimité et de la faiblesse passagère de mon esprit pour abuser de moi et me prendre comme des bêtes. Ils me remontaient ma robe et je sentais la main du premier plonger dans ma culotte avec ardeur qui s'activait entre mes cuisses humides. Ils allaient me violer et j'aimais ça. Ils ne perdirent pas de temps et je sentis rapidement le sexe du premier, qui debout contre ce mur me remontait la cuisse droite pour la coincer sous son avant-bras, et plonger son membre plein de vigueur profondément dans ma chatte humide. L'autre s'était positionné derrière moi et me tenait fermement les bras. Je ne cherchais pas à me débattre et tandis que le premier me baisait comme une folle, me soulevant tout en me maintenant par les fesses, je pouvais sentir coulisser son sexe en moi alors que l'autre m’embrassait dans le cou tout en me palpant mes gros seins qu'ils avaient libéré de ma robe et de mon soutien-gorge.
- T’es une belle maman toi, t'as des belles loches, t'aimes ça que je te pétrisse des gros nichons.
- Je crois qu'elle aime ça regarde la bouger sous mes coups de bite. Elle avait envie de se faire troncher la salope.
- C’est bien ça grosse cochonne dis-nous que tu aimes ça.
- Ohhh les garçons, vous êtes fou…. Oui, c’est trop bon...
Ils me baisaient à tour de rôle pendant de longues minutes me prenant par-devant, par-derrière jouissant de mon corps quel est leur appartenait comme un fantasme d'enfance de 2 enfants qui rêvent de baiser leur maman pulpeuse et bourgeoise. Ils me soulevaient, debout au milieu de ce vestibule me prenant comme des animaux, poussant l’un après l’autre leurs sexes surexcités en moi. L’un me tenait fermement par les fesses, alors que le second me prenait sous les aisselles s’agrippant à mes gros seins qui remuaient sous les coups de reins de ces deux prédateurs. Je jouissais, et gémissais de plus en fort laissant l’un deux me bâillonner de sa main, afin de ne pas ameuter les autres invités qui passaient à proximité.
Ils me basculèrent en avant à quatre pattes sur une table, offrant ma croupe en levrette et tandis que l’un me tenait fermement le corps plaqué, sa main fermement agrippée à ma coupe rousse carré, l’autre me prenait par-derrière, pilonnant mes fesses comme un fou, tout en claquant sa main sur mon gros cul rougissant. Pouvoir s’offrir une magnifique bourgeoise, pulpeuse et plantureuse, dépassait tous les fantasmes. Ils faisaient preuve d’une frénésie incomparable et sans limite. Mon corps m’abandonnait, alors que j’imaginais Thierry derrière cette porte en train de m’imaginer me faire baiser par mes jeunes étalons. Je tenais ma vengeance, et alors que leurs sexes me pilonnaient de manière simultanée, j’imaginais le pire des scénarios.
- Ouiiiii, encore, prenez-moi, baisez-moi, vous me faites jouir.
- Oui ma beauté, tu me sens bien, tu aimes ma grosse bitte….
- Ohhhhhhhhh, encore…..
- Vas-y ma pute, bouge moi ton gros cul….
- Ohhhhhh, oui insultez moi, traitez-moi comme une grosse cochonne….
- Ohhhhh je vais jouir sur cette salope !!!!!!
- Oui, jouissez-moi dessus…. Inondez-moi, salissez-moi, mettez en partout…- Ohhhhhhhh, Ouiiiii !!!!
- Arrachez-moi ma culotte et videz-vous dedans.
Le premier tira sur mon string avec force arrachant la ficelle, me retirant ma culotte. J’étais dans un état second, transpercé par leurs membres gluants durs et chauds qui me labouraient les entrailles. Je ne souhaitait qu’une chose, de recevoir la marque de leur plaisir sur mon corps. Affichait ces marques, les montrer à Thierry afin d’attiser encore plus sa jalousie et de réaliser ma vengeance. Une fois relevés, ils me poussèrent à genoux et alors que le premier poussa son membre entre mes lèvres, le second, se branlait entre mes gros seins laiteux. Ils n’en pouvaient alors que je suppliais de recevoir leurs semences sur mon corps. Mes deux violeurs, se masturbèrent enfin au-dessus de mon corps quand les premiers jets de spermes se répandirent sur mon visage. J’en avais partout, autour de la bouche dans les cheveux, et alors que l’un m’essuyait avec ma culotte l’autre continuait à jouir dans mes cheveux. Ils me relevèrent, et continuèrent à m’embrasser avec passion. Je n’étais pas encore rassasiée et tremblais encore de désir. J’aurais voulu qu’ils me prennent à nouveau, me baisent de force, me sodomisent dans cette petite pièce. Je ne rêvais que de me faire salir par ces deux jeunes étalons, qui malgré s’être déjà soulagés sur moi, continuaient à m’embrasser et à me palper mes courbes laiteuses. Le temps s’écoulait dans cette petite pièce, et nous devions retourner dans la salle de réception au risque d’attirer l’attention inutilement.
- On doit remonter les garçons…- Reste encore un peu belle dame…- Soyez raisonnable, en plus, vous m’avez tellement jouir, que j’espère que vous allez retrouver des forces pour la fin de soirée.
- T’as encore envie de nous belle dame….
- Coquin….
Je me rhabillais rapidement, et alors que l’un des garçons gardait ma culotte, nous quittions tous les trois le vestibule. Remontant l’escalier, on tomba nez à nez sur Thierry qui apparemment devait me chercher. Son regard passait des garçons à moi, n’ayant aucun doute sur nos activités. Je me péchais tendrement vers l’un de mes deux amants, lui parlant dans l’oreille. Il sourit, et s’exécuta…- Excusez-moi, mais on vient de trouver ceci en bas, c’est peut-être ce que vous cherchiez ?
Il tendit mon string à Thierry qui le prit en main, s’apercevant immédiatement de l’état dans lequel il était. Déchiré, plein de sperme, il rougit, me regardant avec fureur…- Salope….
- Tu auras un souvenir à partager avec ta femme comme ça…J’éclatais de rire et remontais pour terminer la soirée avec mes deux amants. On passa le reste de la soirée à boire et à danser, j’étais légère, ivre, heureuse. Non seulement, j’avais eu droit à une incroyable partie de jambes en l’air, mais je m’étais vengée de Thierry, l’humiliant devant mes nouveaux amants. Mes deux amis, m’invitaient à danser à tour de rôle, et profitaient aussi de quelques espaces d’intimités pour profiter de mon corps, m’embrassant discrètement dans le cou, ou baladant leurs mains sur ma croupe.
- Et si on finissait la nuit chez toi ?
- Je suis à l’hôtel…- Parfait on pourrait faire notre seconde mi-temps qu’en penses-tu ? J’ai une envie folle de te prendre à nouveau.
- Tu es un coquin lubrique…- Un coquin lubrique qui ne rêve que ton cul… Allez, dis-moi, je suis sûr que tu as encore envie…On continua à danser jusqu’à 2 heures du matin quand je sentis l’effet de la fatigue, et décidais de profiter d’un instant tranquille pour m’éclipser discrètement. Je sortais de la salle de réception et me dirigeais vers le parking ayant au passage récupéré mon manteau. Marchant dans ce grand parking extérieur, j’essayais de retrouver la voiture de mon mari que j’avais garé au bout du parking. Arrivée à ma voiture, je sentis une présence derrière moi. Je me retournais, ayant face à moi les deux garçons…- Ohhh les garçons, vous m’avez fait peur- Tu allais partir sans nous dire au revoir.
- Ohhh, pardon, je suis épuisée et me lève tôt, demain- On voulait te dire au revoir dignement.
- Merci, vous êtes gentils.
- Viens dans la voiture avec nous.
- Non, je suis désolé, il est trop tard…- Allez, on sait que tu en meurs d’envie.
Ils me caressèrent debout devant ma voiture, s’acharnant sur ma grosse poitrine à nouveau libre et fouillant mon entre-jambe après avoir remonté ma robe de force. Je voyais la silhouette de Thierry caché derrière ma voiture qui nous observait. J’avais actionné l’ouverture automatique, profitant de cette opportunité pour me pousser à l’intérieur sur la banquette arrière, et cela, malgré mes protestations. Ils refermèrent la portière, nous laissant tous les trois dans l’obscurité de ma Tesla. Je sentais les mains de mes deux amis à nouveau s’étaler sur mon corps, alors que Thierry toujours à l’extérieur me regardait par la fenêtre de mon véhicule en train de me faire tripoter par ces deux hommes. Par provocation, je décidais de m’exhiber avec mes deux amants sous les yeux de mon ex, les laissant m’embrasser et me tripoter tout en fixant Thierry droit dans les yeux. Il était surexcité par la vision de son ex-maîtresse bourgeoise se faire caresser par deux jeunes albâtres sur un parking. Il sortit son sexe bien dur et se masturba dans mon string alors que je subissais les baisers de mes deux amants. Je l’observais avec son sexe coincé dans mon string dans la main, pendant que mon corps réagissait aux caresses de ses 4 mains qui parcouraient toutes les parties les plus intimes. Je pouvais entendre ses commentaires au travers de la vitre de la voiture.
- Sale pute, tu seras à moi à nouveau, je peux te le garantir… Baisez-moi cette grosse pute, elle adore se faire prendre en doublette… Elle adore se faire enculer….
- Il a l’air de bon conseil ton ex…. C’est vrai que tu aimes tout ça ?
- Hummmmmm, oui caressez-moi, emmenez-moi ensuite à mon hôtel et je serais à vous…- Haaaaaaaaaaaa !!!!!!!! Salope !!!!!!
Thierry venait de jouir dans mon string, qu’il utilisait comme un torchon pour se nettoyer. Il ouvrit la portière et tendit mon string à un des deux hommes…- Baillonnez là avec ça, elle devrait se souvenir de l’odeur…- Non hors de question, je ne veux pas m…… Hummmmmmmm, Hummmmmmmm- À défaut de t’avoir baisé ce soir, au moins, tu auras mon sperme dans la bouche….
Trop tard, j’avais mon string dans la bouche, sentant le sperme de Thierry qui riait à l’extérieur, toujours scrutant ces deux jeunes prédateurs abuser de leur proie, soumise et offerte et coincée entre leurs bras. Ils me coincèrent mes bras, les plaquant avec leurs corps sur la banquette, alors que leurs jambes s’accrochaient aux miennes afin de les écarter. Je sentais les mains du premier s’épandre sur mes gros seins, qu’il palpait avec gourmandise, alors que le second profitait de mes cuisses écartées, afin de se frayer un chemin le long de mes bas et de mes porte-jarretelles, et de pouvoir glisser un doigt dans ma chatte humide et lubrifiée. Il me doigta avec passion, m’arrachant des gémissements au travers de ma dentelle trempée. Ils jouèrent avec moi pendant de longues minutes, toujours sous les yeux mon voyeur qui continuait à nous épier, me faisant jouir à multiples reprises et avant de décider de rejoindre mon hôtel.
- Prends le volant, et allons à son hôtel, on va la terminer dans un endroit plus intime…- Dis au revoir à ton amoureux ma belle.
Le premier prit le volant de ma voiture pour démarrer, me laissant seule sur la banquette arrière avec le second qui continuait à jouer de mon corps, alors que je voyais la silhouette de Thierry disparaître. Je restais dubitative sur ma vengeance. Finalement, il avait réussi à m’imposer son choix, et cela, au travers de mes deux amants, et même si je m’étais refusé à lui, avoir son sperme dans ma bouche était aussi pour lui une forme de victoire. Je n’eus pas trop le temps à réfléchir, car même si l’hôtel était à proximité mon nouvel amant profitant du trajet pour m’enfoncer son sexe dans la bouche, m’obligeant à le sucer pendant le parcours…- Vas-y suce moi ma belle, montre comme tu es une bonne suceuse…- Hummmmmm, Hummmmmm, Hummmmmm- Alors dis-moi comment est sa bouche.
- Ohhhhhh mon ami, tu ne peux pas imaginer, je suis au paradis, c’est une pipeuse de première. Allez, la beauté applique-toi.
- Hummmmmm, Hummmmmm, HummmmmmIl me maintenait par les cheveux, accentuant les mouvements de ma tête, et faisant coulisser sa bite entre mes lèvres, avec pour musique de fond le bruit de succion qui raisonnait dans la voiture. Il avait repris des forces et je pouvais sentir son envie et désir entre mes lèvres. Je le suçais de manière vorace, ayant une attirance particulière pour les sexes de jeunes tribuns. Je sentais ce morceau de vie dans ma bouche, et la nature de son désir pour moi. Il voulait me posséder, me prendre, me baiser, et j’adorais ce sentiment. L’autre conduisait prudemment tout en jetant de temps en temps un œil dans le rétroviseur afin d’apprécier l’image de cette bourgeoise mature de cinquante ans en train de se faire baiser la bouche par son copain. On arriva enfin au Motel, ou ils m’entraînèrent rapidement dans ma chambre.
Le même rituel se répéta que dans le petit vestibule quelques heures plutôt. Coincée entre ces deux jeunes étalons, debout au milieu de ma chambre de Campanil. Ils m’embrassaient, me caressaient, rependaient leurs mains sur mes formes voluptueuses. Le premier tendit la main et me saisit par la taille. Avec son bras puissant, il m’attira contre lui. Je frissonnais en sentant son érection se presser contre mes courbes.
- Je te veux et je te veux maintenant. Ici- Oh mon Dieu.
Ses yeux étaient noirs de désir. Mon souffle s’arrêta quand il me repoussa. D’un mouvement rapide, il attrapa le décolleté de ma robe avec ses deux mains et tira si fort révélant mes gros seins laiteux. Maintenant, j’avais besoin de sexe comme l’air que je respirais. Les deux hommes étaient si puissants. Je retenais mon souffle tandis qu’il prenait grossièrement mon sein gauche avec sa grande main, pour le tenir fermement aspirant mon mamelon dans sa bouche. J’haletais tandis qu’il tirait rudement. Une bouffée de douleur et de plaisir traversa mon corps tremblant. Il baissa son pantalon et une chaleur fiévreuse me fouetta. Son sexe long et épais affichait une taille monstrueuse juste devant moi. Mon pouls s’accélérait et je scrutais les veines bleues qui s’entremêlaient avec la chair rigide et son gland affamé. Il prit mon autre sein en bouche. Il tira avec ses dents blanches me faisant gémir. Les deux hommes suçaient mes mamelons, tout en frottant leurs érections chaudes et rigides contre mes bas. Je serrais les poings et gémissais tandis que leurs mains rugueuses massaient ma peau et mes seins gonflaient. Je sentais cette chaleur et humidité caractéristique qui coulaient dans mon vagin.
Ma respiration s’accéléra. Ils tiraient fortement sur mes grosses mamelles laiteuses. Je m’arquais contre eux, haletante et me tordais contre leurs corps brûlants. Je voulais qu’ils me baisent adorant l’idée qu’ils aient besoin de moi sexuellement autant que j’avais besoin d’eux. L’un d’eux glissa un doigt dans mon vagin, me caressant profondément.
- Tu es belle et mouillée. Belle et trempéeIl enfonça deux doigts dans mon vagin et commença des mouvements lents qui me firent respirer de plus en plus vite. L’excitation me submergeait. Je pouvais à peine supporter le plaisir qui m’envahissait essayant de retarder un orgasme.J’avais envie d’être pénétrée regardant les sexes rigides de mes deux amants qui pulsaient devant moi.
- Penche-toi en avant belle bourgeoise.
Je suivis les instructions. La chair rigide de son sexe était proche de ma bouche et le désir me fit enrouler mes mains autour de son sexe. Je sentais la puissance de son membre entre mes doigts alors qu’il grognait. Je me rapprochais et aspirais rapidement son sexe rigide entre mes lèvres. Ma bouche s’étira autour de lui. Il se colla contre mon visage. Je le suçais et le caressais avec ma langue. Les paumes dures et chaudes de son camarade glissèrent soudain sur mes fesses. Il massait ma peau, quand il me fessa plusieurs fois. Il enfonça son sexe dans mon vagin et se retira rapidement. C’était arrivé si vite. Je n’avais même pas pensé à accepter son invasion. Il me caressa de nouveau, allant plus profondément et plus fort. Encore et encore, jusqu’à ce qu’il se déchaîne sur mon corps avec une folie qui me conduit à l’orgasme. Alors que son membre rigide coulissait en moi, il tendit la main et prit mes seins pendants. Ses doigts capturèrent mes mamelles qu’il serrait et palpait fermement. L’autre jouait avec ma bouche. Son sexe palpitait et tressaillait entre mes lèvres, demandant sa libération. Je sentais qu’il était sur le point d’éjaculer. Je lui serrais son sexe fort alors qu’il donnait des coups de hanches rapides et frénétiques. J’avais besoin de jouir. Je gémissais sous les coups de piston qui devenaient plus durs, plus rapides. Je luttais pour respirer. La friction de mon premier orgasme déboula en moi. Je me détachais dans un tourbillon d’explosions sensuelles. Le feu, c'était s’emparait de moi et me projetaient dans un monde d’une illumination sauvage et illimitée. Je m’abandonnais à tout. Je me sentais joyeusement perdue.
- Je crois que Madame Patricia vient d’avoir un orgasme violent.
- Oui, le premier d’une longue série.
- On n’a pas fini, belle dame, ce n’est que le début de la nuit.
- Ohhhhh, les garçons emmenaient moi sur le lit, j’en peux plus...
- Tu veux qu’on te prenne en double, allez demande-nous gentiment- Ohhhhhhhhh, faites de moi ce que vous voulez, je suis à vous...
J’étais consciente des regards de mes deux amants. Ils recommencèrent, avec leurs mains rugueuses qui me massaient mes seins et mon ventre, libérant des sensations plus aiguës au plus profond de ma chatte. Je gémissais à nouveau. Les deux hommes respiraient bruyamment. Mon cœur battait à tout rompre, j’avais besoin de pénétration. J’en avais terriblement envie. L’un deux me souleva par les hanches et m’attira contre lui. Son membre se pressa contre mon vagin tremblant avec pression, immense et magnifique, il me pénétra. Ma chatte se serra autour de son intrusion l’accueillant à l’intérieur. Je pouvais à peine reprendre mon souffle. Des spasmes enflammés m’envahissaient. Je jouissais en hurlant, le plaisir m’inondait. Son sexe plongeait dans et hors de mon vagin. Ses coups étaient forts et confiants, chacun plus dur et plus rapides que le précédent. Je convulsais et frissonnais à chaque impact violent me noyant dans un tourbillon de feu, de plaisir et de douleur. Je n’existais plus, perdue dans un orgasme vif et chaud alors qu’il pénétrait profondément en moi.
Ils me poussèrent sur le canapé me demandant de me mettre à genoux. Je m’attendais à ce que l’un des hommes me prenne par-derrière, mais cela ne produit pas. L’un d’eux noua sa cravate autour de mon cou pour s’en servir comme une bride et des rênes. Il monta sur mon dos et s’amusait à me guider par les rênes, tandis que l’autre utilisait sa ceinture pour me taper mon gros cul avec le cuir dur, après m’avoir à nouveau bâillonné avec mon string humide.
- Allez, Hue mon poney!
- Allez galope, beauté, tu aimes sentir l’odeur de ton copain... La bonne odeur de son sperme...
- Hummmmmm, Hummmmmm, HummmmmmmJe pouvais sentir son sexe dur frotter dans mon dos alors qu’il s’asseyait et déplaçait son corps vers l’avant, me guidant en utilisant ses jambes. L’humiliation m’envahissait. Ces hommes m’utilisaient comme un animal, un jouet, un petit poney. Sa ceinture se remit en action. Une chaleur ardente irradia mon cul partout où il frappait le cuir contre ma chair. Il joua au jeu du poney pendant au moins quinze minutes. J’étais devenue docile et fatiguée. Mon cul était boursouflé et mes seins lourds des palpations subies.
- Et maintenant, on va prendre notre jument sexyIl s’allongea sur le lit, sur le dos, s’étendant horizontalement, directement devant moi. Il caressa la longueur de son sexe raide. Le second m’enleva ma robe et me poussa vers son ami me forçant à l’enjamber afin qu’il me pénètre. Il s’enfonça en moi et je pouvais sentir sa chair rigide se contracter et pulser à chaque mouvement.
- Vas-y, ma belle jument, danse sur ton étalon.
- Utilise ta bouche.
Il retira mon string et j’ouvris la bouche pour sucer le sexe dur entre mes lèvres du second homme qui s’était placé debout devant moi. Je glissais ma bouche autour de son gros sexe palpitant. Sa chair chaude étirait mes lèvres et tapait contre mes joues. Ses yeux étaient quasiment fermés maintenant. J’accélérais, toujours pilonnée par mon premier amant quand l’extrémité piquante de la ceinture claqua contre mon gros cul nu.
- Allez ! Hue le petit poney...
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm- Et maintenant, on va prendre notre jument sexy en doublette.
- Tu veux ma belle bite dans ton petit trou... Allez demande le moi gentiment- Hummmmmm, Hummmmmm- J’ai envie de glisser mon membre au fond de ton cul serré.
Il me sodomisa, lentement, mais sans hésitation. La chaleur et l’immense pression de ses deux sexes à l’intérieur de moi me donnaient le vertige. Il se retirait de mon anus pour replonger d’un coup rapide, cognant les hanches si fort que j’avançais. Le mouvement violent de l’un envoyait le sexe de l’autre plus profondément dans mon vagin. Il continuait à me pomper le cul avec de longs coups puissants. Ses impacts créaient des douleurs de plaisir unique. Je ne me souciais plus de rien d’autre que d’apprécier ce moment. Prise entre ces deux hommes, j’aimais cette position. Mon cul et ma chatte empalés pendant qu’il félicitait d’être une bonne jument, docile.
- Vas-y petit poney, bouge bien sous l’homme.
- Hoooo, tes gros seins plein de lait... Une bonne laitière en plus...
- Hoooooooo, oui continuez défoncez moi...
- Emets lui son string dans la bouche, elle est trop bruyante.
- Encore un peu, elle va se mettre à hennir...
Ses coups dans mon cul devenaient plus durs, puis ses mains se posèrent sur mes hanches. Il me souleva, amenant le sexe de son ami presque hors de mon vagin, et me repoussa vers l’avant jusqu’à ce que le sexe soit à nouveau au fond de moi. J’étais perdue, déroutée avec mes orifices remplis par ces deux hommes qui bougeaient leurs hanches, afin de me tirer en arrière et de me repousser en avant afin que leurs membres s’enfoncent en moi encore plus profondément. Je suivais la cadence, appréciant d’être possédée par ces deux animaux qui m’empalaient. Des sensations intenses s’enflammaient dans mon cul et dans ma chatte. Les vibrations s’intensifiaient, devenant charnelles, et qui ne pourraient se calmer que par un orgasme violent. La tension augmentait et le plaisir me parcourait à une vitesse fulgurante. Mon corps exigeait la libération. Je m’entendais hurler, mendier sous mon bâillon, ressentant un plaisir si puissant et si intense qu’il se transformait en une douleur exquise.
- Hoooooo, t’es trop bonne petit poney...
- Quelle belle salope... Tu aimes te faire prendre comme-ça beauté.
- Hummmmmmmm- Allez Hue, Hue, HueJe ressentais sa main claquée sur mon gros cul rouge, alors que le premier me dévorait mes gros seins pendants face à lui, gémissant tous les deux de concerts comme deux animaux en ruts.
Des sensations insupportables m’inondaient. J’étais devenue, un animal sauvage envahit par le plaisir et emportait par une force dévastatrice. Je m’accrochais et dansais sur les sexes qui me transperçaient dans un ravissement délicieux qui me dévorait. C’était extraordinaire, fantastique et mon esprit était dans une autre dimension. Je n’étais qu’agonie et extase basculant vers l’orgasme.
- Ohhhh, j’en peux plus je vais lui jouir dessus à cette grosse pute...
- Tu veux notre sperme ma salope.
- Oui sur ta face de cochonne- Hummmmmm, Hummmmmmm- Demande-le gentiment.
- Oui, giclez-moi dessus, inondez moi de votre foutre.
- Sur ta face grosse pute...
- Oui sur ma face de grosse pute...
Ils me relevèrent, et je tendis la main attrapant un sexe dressé que je masturbais frénétiquement, quand les premiers jets de foutres me recouvrirent le visage. Ils jouirent sur moi, dans ma bouche, sur mes gros seins, sur mon visage, j’en avais partout. L’un des deux me poussa mon string vers le visage, frottant la dentelle chic contre mes joues. Il me poussa la culotte dans la bouche, qui était pleine de sperme…- Comme ton copain nous a rendu ta culotte avant de sortir, on va lui renvoyer en cadeau- Il nous a dits aussi que tu devrais aimer son odeur…- Oui, et on te passe les commentaires salaces qu’il a fait….
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm- Allez bonne nuit jolie Maman, et merci pour cette soirée.
Ils me laissèrent dans ma chambre, défaite sur mon lit, recouverte de sperme, avec mon string dans la bouche que j’étais bien décidé à renvoyer à Thierry par la poste dès le lendemain.

Les avis des lecteurs

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