Miroir mon beau miroir

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : Miroir mon beau miroir Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Miroir mon beau miroir
Après mes aventures à la Chapelle avec Thierry, j’avais mis une distance entre lui et moi, comprenant le risque pervers de cette relation, et voulant également préserver ma santé physique et mentale ainsi que mon mariage.… Je restais muette à ses nombreux messages, ignorant ses multiples relances, me concentrant sur mon couple et la programmation de nos vacances estivales. Le mois de juin apporté aussi ses lots de célébrations, barbecue, invitations diverses et variées, et je partageais avec mon mari un planning serré. J’assistais aussi au dernier match de basket de notre équipe, qui au terme d’une saison difficile jouait leur maintien en Pro D2. Ayant perdu un certain nombre de joueurs emblématiques, nous étions à risque pour la saison prochaine. Fort heureusement, l’équipe réussie à se transcender pour cette dernière rencontre, nous permettant de conserver notre place dans cette division, synonyme de public et de visibilité, donc d’accord de sponsoring.
Pour l’occasion, le président avait organisé une soirée avec espace privatif dans une discothèque, pour laquelle il avait invité non seulement les joueurs, mais aussi les membres du comité ainsi que les sponsors dont j’étais une des représentantes principales. Une fois de plus, je m’y rendais seule, mon mari étant en déplacement à l’étranger. Bien décidé de profiter de cette soirée, mais tout en gardant raison, j’avais mis un top haut beige avec un joli décolleté échancré, ainsi qu’un pantalon leggins noires en imitation cuir, qui donnait un aspect des plus attractives à mes courbes et mes hanches. Chic, casual, décontracté, mais toujours terriblement sexy pour une femme de mon âge. J’arrivais à la soirée vers 21h avec un premier filtre à l’entrée de l’établissement par le service d’ordre, dont le portier un jeune asiatique d’une trentaine d’année particulièrement attractif.
- Bonjour Madame… Vous venez pour la soirée Basket ?
- Et bien oui tout à fait, vous êtes physionomiste
- Disons que vous n’êtes pas dans la cible de notre clientèle habituelle.
- Et bien merci si c’est en référence à mon âge, ce n’est pas très aimable
- Hooooo non pas du tout, désolé pour la méprise. Disons qu’on n’est pas habitué d’avoir une clientèle aussi chic et raffiné. Le coté mature aide également, mais dans le bon sens du terme
- Haaa, merci, vous vous rattrapez un peu…
- Entrez, l’espace et sur la gauche, et j’espère que vous m’accorderez le privilège de vous offrir un verre pour me faire pardonner.
- Avec plaisir, considérez que vous, êtes déjà pardonné.
Décidément, cette soirée commençait très bien, avec un beau et jeune videur qui se montrait charmant. Il fallait absolument que je fasse mieux connaissance. Je montais à l’espace, et retrouvais les membres du club, dont Daniel le président, qui m’accueillit.
- Bonjour Patricia, ravis que tu te joignes à nous ce soir…
- Bonjour Daniel, merci, mais je n’ai pas prévu de rester trop tard.
- En-tout-cas merci, je vais pouvoir te présenter de nouvelles personnes qui souhaitent participer au sponsoring du club. Ils ne vont pas tarder à arriver…
L’espace privatif, étant un peu à l’écart de la discothèque, on bénéficiait d’un buffet avec champagne. Je retrouvais des collègues qui m’avaient accompagné, notamment Patrick notre directeur commercial, mais aussi des membres du club dont Quentin et Antoine, qui m’offrirent une coupe de champagne. Nous ne nous étions pas revus depuis le séminaire au Negresco qui s’était terminé en orgie dans ma suite sous les yeux de mon mari consentant.
- Patricia, tu nous as manqués depuis le séminaire, on espérait te voir plus souvent aux matchs.
- Merci les garçons, mais même si je garde un merveilleux souvenir de notre dernière soirée, il faut savoir passer à autre chose…
- Pourtant, je suis sûr qu’on peut te faire découvrir encore plein d’autres choses.
- Vous êtes mignons et je n’en doute pas les garçons, mais ce n’est pas dans ma feuille de route.
Ils riaient de bon cœur, et malgré ma positon de refus, restaient charmants et intentionnés. Daniel nous rejoignit enfin avec un nouvel arrivant futur sponsor. J’écarquillais les yeux de surprise face à cet homme qui me souriait avec tendresse.
- Patricia, je te présente Thierry, notre futur sponsor.
- Enchanté de faire votre connaissance Madame Dupond
- Bonsoir…
- Thierry fait partie d’une veille famille aristocratique bourguignonne avec des vignes en cote d’or mondialement connu, mais également s’occupe d’œuvre caritative de restauration de vieux bâtiments. C’est par ce cadre que nous sommes rencontré.
Il me prit la main pour me donner un baisemain plein de courtoisie et de politesse, comme une marque de dévouement d’un homme vers une dame. Était-ce un signe d’allégeance qui devait aussi symboliser son respect, ou une demande d’engagement plus profond ? Je restais toutefois choquée de sa présence et dubitative sur les raisons réelles de ce futur sponsoring. On échangeait toutefois tous ensemble, essayant de masquer notre liaison passée, mais il fallait que je puisse avoir une explication claire avec lui afin d’éviter tout malentendu. L’occasion se présenta en milieu de soirée, me retrouvant enfin seule avec Thierry.
- Peux-tu m’expliquer la vraie raison de ta présence ce soir ?
- Tu ne répondais pas à mes messages alors j’ai trouvé ce moyen.
- Je t’ai expliqué que notre relation était pourtant terminée.
- Je sais que ce n’est pas ce que tu veux, et que tu as adoré notre dernière rencontre, avoue-le. Avoue que tu aimes que je te soumette ?
- Thierry, tu es terrible, je ne veux pas continuer, j’espère que c’est clair. Restons en là s’il te plaît. Quittons nous bons amis.
- OK, mais saches que je vais investir dans le club, non pas parce que j’aime le basket, mais seulement parce que cela me donnera la possibilité de rester près de toi. Et je n’abandonnerai pas. Je t’aime, et je sais que c’est réciproque.
Je soufflais d’agacement tout en étant émue et touchée de cette marque d’amour. Il voulait me posséder, me dominer, me partager, me prendre, mais il m’aimait, et cela restait précieux à mes yeux. Je noyais ma confusion dans le champagne, alternant les danses, les discussions, les dragues me demandant aussi avec qui j’aurais aimé finir la soirée, l’alcool commençant à avoir généré une excitation. Cette sensation que je connaissais bien, ou je devais trouver l’amant d’un soir qui allait me donner le plaisir dont j’avais besoin. Lequel de mes cinq anciens amants… Patrick mon directeur commercial, Daniel le président, Quentin et Antoine mes deux jeunes joueurs ou Thierry ? Je savais que chacun d’eux ne rêvait que de ce moment, mais aucune des options me convenait… C’est à ce moment où passant à proximité du bar, le beau videur asiatique m’interpella.
- Alors belle cliente, disponible pour un verre afin de me faire pardonner ?
- Je croyais qu’on ne buvait pas pendant le service ?
- Vous avez raison, mais cela ne m’empêche pas de vous offrir une coupe de champagne ?
- Alors avec plaisir…
Je m’installais sur un tabouret à ses côtés, et partageais une nouvelle coupe avec lui. Il me parlait de lui, m’expliquant son parcours. Arrivé de Corée à l’âge de 5 ans, il avait grandi en France, développant sa passion des arts martiaux. Aujourd’hui, il était professeur de karaté dans un club, mais aussi coach sportif particulier pendant la journée, et la nuit, il dépannait comme videur. Trouvant le personnage très attirant, j’étais bien également intéressée par ses compétences de coach privé.
- Vous consultez à domicile. Je suis en permanence en recherche d’activité et de support pour perdre du poids, et faire du sport en salle ce n'est pas mon truc.
- Perdre du poids, je ne crois pas que ce soit vraiment nécessaire, vous avez tout ce qu’il faut ou il faut.
- Vous êtes gentil, mais à mon âge, je peux vous assurer que c’est loin d’être simple.
- Votre âge !!!! Vous savez que les hommes adorent les femmes dans la quarantaine…
- Quarantaine !!!! Hahahahahah, vous pouvez ajouter minimum 10 pour arriver sur la bonne tranche
- En-tout-cas, vous êtes resplendissante, et bien plus attirante que toutes les petites jeunes qui se trémoussent sur la piste !!!!
- Ohhhh merci petit bandit …..
Il m’avait pris tendrement la main et s’était penché vers moi pour m’appliquer un baiser sur les lèvres, que je lui rendais avec désir. Finalement, j’avais trouvé mon partenaire, avec l’avantage de la jeunesse, de la nouveauté et de l’exotisme. Après tout, c’était la première fois que j’allais fleureter avec un Asiatique et je trouvais cela très excitant.
- Et si je te faisais visiter l’arrière-boutique de la boite, ou pourrais se trouver un endroit tranquille ?
- Et pour faire quoi, jeune bandit ?
- Déjà te montrer l’effet qu’une femme plantureuse et magnifique comme toi me fait, et aussi de donner un aperçu de mes compétences de coach sportif ?
- Hummm quel programme
- Oui, tu verras, je peux te faire un programme très personnalisé…
- Alors qu’attendons-nous ?
Il me prit par le bras, et m’entraîna à l’arrière de la salle, utilisant son badge pour entrer dans une zone privative. Nous traversions le couloir, avant de rentrer dans un petit vestiaire qu’il referma avec un petit rideau. Il se colla contre moi, frottant son corps contre le mien, je pouvais percevoir le désir et l’envie de me prendre de me posséder dans ce petit espace. Il poussait son visage contre le mien tout en me chuchotant dans l’oreille son excitation. Ce moment était terriblement érotique, moi la femme mûre et bourgeoise de 56 ans coincée dans des toilettes, dans l’arrière-boutique d’une boite de nuit par un jeune homme surexcité qui allait se payer une mature plantureuse désinhibait par les effets de l’alcool. Je sentais que mes formes pulpeuses réveillaient son envie.
- Tu es magnifique Patricia, tes seins, ton corps, tes fesses, je te désire…
- Tu exagères, je pourrais être ta mère…
- Ça m’excite encore plus… J’adore les femmes mures, les mamans plantureuses… Et toi, tu aimes les jeunes ?
- Hummmmmm, j’ai envie de toi, prends-moi… Je suis à toi, Occupe-toi de moi, je veux sentir tes mains…
Il me caressait mes gros seins au travers de mon débardeur, impressionné par leur taille, mais aussi, et cela, malgré mon âge, leurs maintiens impeccables. Il pencha son visage et prit en bouche mes tétons brûlants, suçant l’un et pelotant l’autre de ses mains puissantes, et cela, de manière alternative.
- Hummmmm, Hummmmmm, oui continue suce-moi mes gros seins, tête moi…
- Hoooooo tes nichons, ils sont gros, ils sont beaux…. Tu m’excites trop…
- Oui tête moi, comme un bébé qui veut le lait de sa maman…. Ça m’excite…
- Ohhhhh, tu es bonne…. Hummmmm
- Viens te branler entre mes mamelles, coince-moi ta belle bite entre les gros seins de ta maman, petit bandit….
Il me poussa contre l’évier et sortit son membre, long et fin. Bien que moins large qu’un grand nombre de mes amants, j’avais son sexe bien dressé devant moi que je regardais avec gourmandise. Je le pris en main, avec douceur et tendresse, le tenant avec mes doigts, comme inspectant ce membre qui allait me posséder. Lui debout devant moi avait fermé les yeux, et attendait sagement que je m’occupe de lui. Je plaquais son sexe entre mes beaux nichons et commençais à le presser et à le masturber entre mes belles grosses mamelles. Mon videur était au septième ciel, les yeux fermés, la tête tournait vers le plafond, il devait vivre l’expérience de sa vie en se faisant branler par une plantureuse bourgeoise pulpeuse.
- Ohhhhh, oui continue, vas-y, c’est si bon, serre moi bien la bite beauté...
- Oui, tu aimes ça mon petit bandit, tu aimes mes seins...
- Oui, j’aime tes beaux nichons de maman...
- Tu veux me baiser après... Dis-le-moi...
- Oui, je veux te baiser, te prendre ton gros cul... Ohhhh quelle chienne !!!!
Je continuais à masturber cet homme, tout en prenant garde qu’il ne jouisse pas trop vite, rêvant du moment où il allait me prendre comme un animal. Je pris son sexe dans ma bouche, le suçant doucement, mais de manière sulfureuse, afin de faire baisser un peu la pression, sentant qu’il n’allait pas tenir très longtemps à ce rythme. Son sexe long et puissant m’envahissait la bouche, et il accélérait les va-et-vient entre mes lèvres, avec une envie folle de me baiser la bouche. Il me redressa enfin, et passa la main entre mes cuisses, longeant dans mon leggins pour attraper ma chatte à pleine main. Il me doigta avec violence et rage, tout en m’embrassant de sa langue experte afin d’éviter que mes cris ameutent le reste du personnel qui pouvait passer à proximité.
Je jouissais sous cette pression vaginale, et sentais mon premier orgasme arriver, quand il me retourna, me plaçant en levrette baissa mon pantalon à mi-cuisse et enfonça son long sexe en moi. Il me prenait comme une chienne à quatre pattes, bien accroché à mes hanches et faisant coulisser son membre comme un piston de marteau-piqueur surpuissant. Je jouissais. Être prise comme ça par cet inconnu, si fort, dans cet endroit sordide, alors que mes ex amants devaient se demander où j’étais et ce que je faisais accentuer mon excitation. Je me laissais faire, me faire défoncer, me faire prendre, sentant son sexe entrer et sortir en moi, m’apportant des décharges de plaisir et de jouissance. Il m’avait attrapé par les cheveux, ayant perçu mon penchant pour la domination.
- Hooooo, t’es une bonne maman, tu vas me faire jouir...
- Ouiiii, continue, prends moi comme une grosse pute... Continue
- Tu aimes te faire baiser comme ça... Tu veux que je te traite comme une grosse pute...
- Oui une grosse pute, une grosse salope, une grosse cochonne
- Ouiiiiii, continue à bouger ton gros cul de cochonne, prends ça salope...
- <<clac>> <<< clac >>> <<< clac >>> <<< clac >>>
- Oui, continue fesse-moi mon gros derche...
Il me baisait, me pilonnait, me fessait, me défonçait, me violait les fesses, me faisant jouir comme une hystérique, une nymphomane de sexe, une droguée qui recherche sa dose de sperme pour survivre. Après un ultime coup de rein, il se répandit sur moi sur mon ventre giclant des quantités impressionnantes de sperme sur mon corps en feu, avant de m’embrasser langoureusement.
- J’espère que tu reviendras danser bientôt dans mon établissement belle-maman.
- Avec plaisir jeune étalon, tu m’as fait jour comme une folle.
Alors qu'on retournait vers la piste de danse, je tombais nez à nez avec Thierry, qui nous observait tous les deux échangeant une bise d’adieu.
- Oups, je crois que ton ami n’a pas l’air content.
- Non ne t’inquiète pas, c’est un bon ami à moi, il se prend un peu pour mon ange gardien
Alors que mon jeune et fougueux amant, repartit pour reprendre son service, Thierry me prit par le bras m’entraîna avec lui.
- Je vois que tu te donnes du bon temps avec des jeunes.
- Et toi je vois que tu continues à m’espionner et à jouer les voyeurs
- Je ne t’espionne pas.
- Je suis sûr que ça t’excite de me savoir entrain de baiser avec des inconnus dans des lieux publics. Et puis, il faut savoir varier les plaisirs, et en plus celui, il n’est pas trop envahissant.
- Patricia, tu es terrible, mais ne pense pas que cela va me décourager.
Je le quittais pour retourner danser, et passais le reste de la soirée sur la piste, ou au bar à me faire offrir des coupes de champagnes par de multiples admirateurs, et cela, sous les yeux de mes ex amants qui n’en perdaient pas une goutte. Je me sentais euphorique, désinhibée, mais avec une chaleur émotive étrange, un sentiment de relaxation et une hyper sensualité. Vers 3h, je me sentais comme invincible, anesthésiée par l’alcool, sans aucune limite, trouvant un canapé dans une petite alcôve isolée pour m’asseoir. Tout était flou autour de moi, et sans percevoir toutes les choses, j’entendais des voix, sentais des mains se poser sur mon corps, des voix douces qui me soufflaient à l’oreille des milliards de choses cochonnes.
J’étais comme dans un état d’ivresse sexuelle, mais aussi dans un état d’excitation comme sous l’emprise d’un aphrodisiaque. Je reconnus Antoine et Quentin, qui assis autour de moi profitaient, de mon état semi-conscient, m’embrassant dans le cou, alors que je sentais leurs mains se poser sur ma grosse poitrine qu’ils malaxaient avec délectation. Je me laissais embrasser, caresser, répondant à leurs sollicitations par des mouvements de mon corps suggestif. Une main se glissa entre mes cuisses, passant en dessous de mon leggins, explorant ma chatte brûlante encore marquée par les traces de sperme de mon beau videur. Il ne tarda pas à constater le liquide chaud entre mes cuisses.
- C’est du sperme que tu as sur ta belle chatte...
- Tu t’es fait fourrer ma jolie bourgeoise...
- Hooooo les garçons, arrêtez...
- J’ai envie de toi belle dame, et si on t’emmenait chez moi ?
- Hooooo, Antoine non, tu profites de la situation.
- Tu aime sentir ma main sur tes gros seins, dis le...
- Ohhhhhhhhhhh
Sans aucune notion du temps et de l’espace, je sentais d’autres présences autour de moi, essayant aussi d'échanger avec eux une suite de propos incohérents, mais très provocateurs. J’entendis la voix de Thierry, qui semblait être accompagné de mon bel et fougueux amant.
- Patricia, tu as trop bu, tu m’entends, réponds moi...
- Ahhhh, voilà mon amoureux, mon ex, mon maître, Heueueueu comment veux tu que je t’appelle
- Patricia, tu es complétement saoule.
- Non je me sens super bien, il est ou mon petit jeune de tout à l’heure, j’ai besoin d’un deuxième round
- Il faut la ramener chez elle.
- Oui, ce serait mieux, vous pouvez m’aider à la transporter jusqu’à sa voiture.
- Ahhhhhh oui deux pour le prix d’un !!!!!
- Calme-toi Patricia, tu ne sais pas ce que tu dis...
Thierry et mon amant d’un soir me soulevèrent, et me portèrent jusqu’à la voiture, ou Thierry m’installa sur le siège passager. La voiture démarra... Je somnolais pendant le trajet, me réveillant devant ma maison.
- Tu as les clés où je dois réveiller ton mari ?
- Il n’est pas là, prend les clés dans mon sac...
- Je t’aide à rentrer et ensuite, je repars...
- Ohhh tu ne veux pas rester, toi qui rêvais de me baiser tout à l’heure, que dirais tu de me prendre maintenant, la maison est à nous.
- Désolé, ma belle, mais bien que je meurs d’envie de te prendre, il est hors de question que ce soit dans ces circonstances...
- Pourquoi, je ne te fais pas bander
- Tu es bourrée et ne sais pas ce que tu fais...
Il m’aida à rentrer dans la maison, et alors qu’il refermait la porte, je m’étais installée dans une petite méridienne rouge dans l’entrée, et me caressais. Ma main gauche pétrissait mes gros seins, alors que la droite, je me doigtais ave rage, le regardant droit dans les yeux...
- Alors Monsieur le Comte, on ne veut pas punir sa vilaine boniche
- Viens avec moi, je vais te mettre au lit, il faut que tu dormes...
Il me posa, sur le lit, ou je me positionnais en levrette, continuant à me masturber tout en gémissant, alors que la fatigue me rattrapait. Je me réveillais le lendemain la tête lourde. J’étais couchée dans mon lit, encore habillée, essayant de me rappeler la soirée. La piste de danse, des coupes de champagnes, ma voiture, et puis quelques flashes, avec Thierry me portant dans mon lit, la lumière qui se ferme.
Je me levais le lendemain, pour me rendre à la cuisine et prendre un bon café. Je passais l’après-midi pour me reposer, somnolente sur le canapé, et troublé par les rêves et pensées érotiques qui m’envahissaient. La passion de la veille au soir ne s’était pas atténuée, et j’étais toujours dans un état d’excitation nymphomaniaque. Ce n’est que vers 18H que je découvrais sur mon téléphone les messages de Thierry, qui avait oublié son portefeuille chez moi et souhaitait passer le récupérer. Je lui proposais de passer vers 19H pour le récupérer, me laissant aussi le temps de me préparer au cas où. Juste le temps d’une bonne douche et d’une sélection des dessous appropriés et il sonna et entra dans ma grande maison vide.
- Haaa, ça y est, tu es réveillée. Comment vas-tu ?
- Un peu groggy, et un peu honteuse également. Que s'est-il passé.
- Tu étais totalement saoule alors je suis allé chercher ton copain videur, et ensuite, je t’ai ramené chez toi. Je pensais que ton mari serait là, mais il n’y avait personne donc je t’ai couché.
- Et bien, je suppose que je dois te remercier.
- Non, je ne demande rien, mais tu devrais faire attention, dans ton état, il aurait pu se passer n’importe quoi.
- C’est peut-être ce dont j’avais envie. Je crois me souvenir que tu n’as pas été téméraire.
- Je n’aime pas abuser des femmes que je juge en état de faiblesse. Pour moi, l’amour passe par la domination et la soumission, mais consentante et mesurée.
- Quel gentleman, et en ce moment, tu me juges comment ?
Je fis tomber mon grand peignoir, pour dévoiler mon ensemble noir, serre taille, bas résilles avec une petite nuisette en dentelle. J'avais volontairement omis de mettre un soutien-gorge afin de laissant ma voluptueuse poitrine apparente.
- Tu es époustouflante comme d’habitude !!!
- Alors pas intéressé par la marchandise... Maintenant, je ne veux pas t’importuner, et peut-être que tu n’as pas trop envie...
Il me regardait tel un prédateur affamé prés à sauter sur sa proie pour la dévorer. Il se leva de son fauteuil pour s’approcher de moi, posant une main sur un de mes gros seins, provoquant immédiatement un frisson d’excitation qui me traversa le corps. Mon cœur s’accélérait, j’attendais qu’il me prenne, qu’il me retourne, me viole, abuse de moi. J’étais prête à m’offrir toute la nuit à cet homme que j’avais décidé d’abandonner quelques semaines plus tôt. Je succombais à la liberté soudaine et écrasante de mes pulsions et embrassais Thierry.
Ses grognements d’approbation me traversèrent comme un fil électrique de plaisir. C’est ce dont j’avais besoin. Un besoin frénétique de pénétration naissait au plus profond de moi. Le désir explosa et je glissais mes mains sur la taille, avec des doigts tremblants, enlevant le bouton de son pantalon et baissant le Zip de sa fermeture éclair. Ses grognements étaient pour moi comme un aphrodisiaque et j’étais impatiente de sentir son sexe au plus profond de moi. Je passais mes doigts autour de son immense sexe. Il était énorme, dur et puissant. Il palpitait entre ma paume de la main.
C’était un serpent qui se tordait avec un esprit qui lui était propre. Il pulsait avec chaleur et autorité, exigeant d’être utilisé. Quelque part, un avertissement jaillit que je décidais d’ignorer. C’était trop tard. Je voulais du sexe, j’en avais besoin. Ses lèvres étaient sur les miennes alors que je gémissais tandis qu’il pressait son érection brûlante contre ma cuisse droite gainée de nylon. Il allait me baiser !!!! Il me caressait mes gros mamelons avec délectation, soupesant la chair de mes nichons laiteux pour me faire haleter de plaisir. Je regardais son membre avec envie, voyant son énorme érection qui s’enfonçait enfin en moi.
Nous scrutions tous les deux son gland en forme de champignon disparaître dans mon vagin humide. Je ressentis une morsure douloureuse tandis que mes muscles protestaient. Ma chatte frémissait, mes cuisses tremblaient alors que mon cul se serrait. Je voulais être rempli de chaque côté, dans tous mes orifices. Il me possédait, violemment me pilonnant debout dans mon salon, tel un robot, un vibromasseur, une machine automatique et infatigable. Il se vengeait à nouveau de moi, me punissait pour ma conduite de la veille. J’étais suspendue dans son nouveau monde de soumission sexuelle. Je savais que je n’avais pas le choix. Il me prendrait encore et encore et je n’avais rien à dire. J’étais incapable de protester. Trop faible pour combattre ce membre si gros qui me pulvérisait de bonheur.
- Prends-moi ça ma salope, il ne t'a pas baisé comme ça ton petit videur hier soir...
- Hoooooooooooooo
- Tu es unepute, ma pute, ma traînée, ma cochonne... Dis-le-moi.
- Ouiiiiiiiii, je veux être ta pute.
- Mon esclave sexuel
- Oui ton esclave, je suis à toi...
J’avais mes mains sur ses épaules, accrochées à son bassin, alors que ses deux mains puissantes me tenaient par la croupe, nous permettant de baiser debout dans mon salon. Soudain, il repoussa mes mains puis poussa ses hanches vers l’avant. Je criais de surprise, alors que son sexe lourd m’empalait à nouveau en moi profond et destructeur. Chaque pénétration et intrusion rapide entre mes cuisses me donnaient des sensations érotiques à me couper le souffle. Je criais à chaque nouvelle pénétration de son sexe affamé, gardant mes mains autour de ses épaules et luttant pour rester debout. Ma bouche chercha la sienne, cherchant une forme de réconfort. Ses lèvres fondirent sur les miennes et je gémis. Il commença à pousser sa langue dans ma bouche. Avec des poussées sur ses hanches, son sexe s’enfonçait de plus en plus profondément en moi.
- Je vais te baiser dans tous les coins de ta baraque de bourgeoise parvenue.
- Ouiiiiiiiii, Hoooooooo, Ouuuuuuuu !!!!!
- Tais-toi salope tu es trop bruyante.
- Hummmmmmmmm, Hummmmmmmmm
- Voilà, comme ça, tu feras moins de bruit quand je vais te mettre ma grosse bite dans ton anus de grosse chienne.
Il plaquait sa main contre ma bouche afin de m’empêcher de hurler, tout en continuant à pilonner mon corps tout entier me laissant surfer sur une vague sauvage d’excitation. Il m’entraîna dans la chambre, pour me baiser pendant de longues minutes sur mon lit. Il me coucha sur le ventre, et se positionna sur moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps entièrement étendue sur mon dos et sur mes cuisses, alors que son membre se faufiler entre mes cuisses serrées. Il me pénétra, couché sur le dos, et me pilonna à nouveau tel un marteau-piqueur. Sa main tenait mes cheveux, tel un jockey, tenant sa jument par l’encolure pour mieux la dompter, et son sexe multipliait les va-et-vient entre mes fesses et dans ma chatte en feu. Il me ramena ensuite dans l’entrée me prenant en levrette debout contre le miroir, me forçant à regarder mon reflet et collant mon visage contre la glace.
- Regarde-toi jouir ma pute. Regarde ton visage déformé par mon sexe...
- Hoooooooo, Hoooooooooooo
- Tu en veux encore ????
- Je n’en peux plus, tu me tues...
- Bouge-moi ce gros cul, regarde comme tu aimes ça !!!!
J’étais devenue irréfléchie, coincée contre le corps de cet homme comme une poupée de chiffon alors qu’il me baisait, me caressait, s’enfonçait en moi. Je m'étais égaré sous les coups les grognements les gémissements et les va-et-vient sans fin. J’ignorais combien de temps, il me baisa de la sorte, j’avais perdu la notion du temps, seule livrée aux bras de cet adonis du sexe.
- Il t’a enculé ton videur hier soir, allez dis le moi !!!!
- Noooooonnnnn, il ne m’a pas sodomisé...
- Il t’a fait jouir salope ?
- Ouiiiiiiiii, mais pas comme toi...
- Grosse pute, je vais t’enculer maintenant sur ton canapé. Tu veux ma grosse bite dans ton cul ?
- Oui, prends-moi mon gros cul...S ‘il te plaît, fais moi jouir...
- Prends-ça grosse chienne, une grosse fessée avant une bonne sodo
- <<clac>> <<< clac >>> <<< clac >>> <<< clac >>>
- Hoooooooooo Hoooooooooo
- Regarde-toi, allez demande à ton miroir qui est la plus belle quand elle se fait baiser.
- Ohhhhhhhhhh
- Miroir mon beau miroir, dis-lui qui est la plus grosse des putes...
- <<clac>> <<< clac >>> <<< clac >>> <<< clac >>>
- Hoooooooooo Hoooooooooo
- Allez demande lui, je veux t’entendre !!!!
- Hoooooooo, Miroir, Hooooooo, mon beau Miroir Hoooooo, qui est la plus grosse des putes ?
- C’est bien, je crois qu’il est d’accord c’est bien toi la plus grosse des putes....
- Hooooooooo, Ouiiiiiiiii
- Ton beau miroir me dit que tu veux que je te sodomise maintenant, quand penses-tu ?
- Ohhhhh oui mon beau miroir, qu’il m’encule maintenant
- Allez, viens sur le canapé, je vais te mettre à l’aise...
Toujours en ma baisant la chatte, il me poussa vers le canapé, en me claquant le cul de ses grosses mains épaisses. Thierry se retira de ma chatte pour plonger son sexe lubrifié dans mon anus serré. La longueur de sa queue, dure comme du fer, appuyait contre les terminaisons nerveuses sensibles et j’explosais. Les vibrations me déchiraient et je me retrouvais engloutie dans un kaléidoscope de couleurs et de spasmes. Alors que son sexe coulissait dans mon petit trou, ses mains avides continuaient exploraient mes courbes. Ils me faisaient sortir d’une vague de plaisir pour me jeter directement dans une autre. Je tremblais et me noyais encore et encore dans un tourbillon de plaisir. Cela faisait des heures qu’il me baisait.
De temps en temps, il s’arrêtait et me laissait quelques minutes pour reprendre mes esprits. J’avais juste le temps de me calmer avant qu’il ne recommence et me repousse dans son royaume insensé de soumission. Il me poussait systématiquement à l’orgasme me faisant trembler de manière incontrôlable, me tenant captive et soumise aux pulsions répétées de son sexe hystérique. Sa bouche était douce contre ma peau caressante, attentionnée profitant de ma peau, de mon corps. Il m’avait retourné pour me prendre par-derrière, assise sur son membre qu’il poussait en permanence au fond de mon anus. Il grommela doucement et sortit son sexe de moi. Un vent de désespoir et d’horreur m’envahit. Je me sentais abandonnée, il devait continuer encore et toujours à me défoncer mon anus qui lui était offert, comme un divin, une offrande, à son dieu.
- Monnnn Dieu, non n’arrête pas continue, baise-moi, encule-moi, je veux te sentir...
- Ohhhhhh, mon amour, je t’aime, j’aime ton corps, j’aime tes yeux, j’aime ton âme... Je veux te baiser jusqu’à en mourir.
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiiiii, je suis à toi..... Je t’aime !!!!!!!!!!!! Prends-moi...
Jamais, de ma vie de femme mariée adultère, je n’avais pas prononcé ses mots. Je le voulais encore en moi. Mes jambes étaient faibles, mon corps m’avait abandonné, mais pire encore, tout mon esprit était à lui. Je tendis la main vers la sienne qu’il avait saisie et mon cœur battait incroyablement, vite. Je jouissais, au travers un orgasme incontrôlable et permanent. Je pensais que c’était fini, qu’il allait jouir, mais il continuait telle une machine infatigable. Il avait pris le contrôle du moment où il allait jouir, mais je comprenais que c’était sous conditions.
- Dis-moi encore que tu m’aimes, allez dis le.
- Oui, je t’aime, je t’ai toujours aimé... Ohhhh MON DIEU Thierry tu me rends folle !!!!!
- Ouiiiiiiiii je vais tout de donner !!!!!!!!!!!!!!!
- Ohhhhhhh oui continue, prends moi mes grosses fesses de cochonne, traite moi comme une chienne
- Oui, c’est ça, bouge moi ton gros cul de grosse vache, tu es ma soumise, tu es à moi.
- Ouiiiiiiii je suis à toi !!!! Fais-moi tout ce que tu veux. Je suis ton jouet.
- Mon garage à foutre
- Hoooooooooooo !!!!!!!!!!
Comment cet homme était-il encore capable d’une telle prestation physique ? Plus je lui parlais, plus il accélérait ses mouvements de bassin. Mon anus était rempli de son sexe, et je jouissais toujours plus. Combien de temps cela pouvait durer ? C’était une machine, un automate, un robot, qui me faisait jouir de manière permanente et récurrente. Il nous releva enfin, et se vida sur moi, recouvrant mon corps de sa semence blanche et chaude. J’en avais partout, sur les seins, les lèvres, les cheveux, il m’avait inondé. On s’écroula tous les deux sur le canapé, il était 21H, et cela, faisait plus de deux heures qu’il me faisait l’amour... À mon réveil, il était parti, mais je savais qu’il ne fuyait pas, je savais, qu’il fallait que maintenant tous les deux ensembles, nous puissions affronter nos vies, nos envies, nos codes, et cela, plus que jamais. Je savais aussi que ce serait affreux si quelqu’un le découvrait, mais nous nous aimions, et je ne pouvais pas l’ignorer.

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Texte coquin : Miroir mon beau miroir
Histoire sexe : Une rose rouge
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