Nocturna Tango

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : Nocturna Tango Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Nocturna Tango
À la suite de ma première journée au festival de danse de Bruxelles, je me réveillais après quelques heures de sommeil, avec encore les stigmates sur mon corps de la perversion sexuelle subis de mes deux experts de tango. Je prenais une douche rapide, espérant faire disparaître les traces encore visibles de leurs mains sur mon corps, et pour pouvoir profiter d'un bon petit-déjeuner avant d'attaquer cette seconde journée, qui sans aucun doute promettait d’être riche de danse et de spectacle, mais également de sensualité d'érotisme, en écho à la promesse de Matias après notre folle nuit d'amour et de sexe. Je m'installais, vers 10 h autour de la piste de danse. La première partie de cette journée spéciale était réservée à un spectacle, avec deux fantastiques danseurs de tango, Marc et Valérie, qui pratiquait une version tout à fait particulière, attachant beaucoup d'importance aux dialogues entre l'homme et la femme. Le dialogue n'était pas verbal, mais plus une conversation qui se tenait à l'intérieur qui leur permettait d'exprimer leurs émotions et de la faire ressentir au public. En les observant, je prenais conscience du corps et de l'espace, et réfléchissais sur cette approche qui commençait par la conscience de soi et permettait d'être en meilleure harmonie avec son partenaire. J'avais l'impression que ce couple faisait l'amour en public tout en se sentant dans un environnement sécurisé de confiance oubliant les frustrations et les difficultés du quotidien. Ils avaient pleinement conscience de leur corps et offraient un abrazo leur permettant de s'épanouir ensemble et de créer de jolies figures maîtrisées pleines de ressenties. Dans un second temps, Marc banda les yeux de Valérie lui permettant de ressentir et de percevoir cette danse dans le rôle du suiveur sans avoir l'occasion de pouvoir ouvrir les yeux. Le tango étant une danse de couple où l'on retrouvait de rôles bien définis avec traditionnellement un guide, et un partenaire qui était le suiveur, le fait d'avoir les yeux fermés permettait aussi aux danseurs de se sentir encore plus connectés et de suivre les indications de leurs partenaires afin de vivre cette danse dans un lâcher-prise total. Matias, assis à mes côtés commentait les figures et techniques.
- Regarde les Bella, leurs corps ne font qu’un, je vais t’initier à cette pratique.
- Matias, non, je ne suis pas assez expérimentée.
- Ne te fais pas de soucis ma Puta, je connais une adaptation de cette pratique dans laquelle tu vas exceller.
- Hooooo, Matias à quoi pensez-vous encore !!!!
Alors qu’il restait silencieux, je recevais des messages What’s app sur mon téléphone d’un numéro inconnu. C’était des photos, envoyées par Roberto, prises la veille dans sa chambre avec pour seul message.
- @Patricia : je t’attends dans les toilettes des hommes dans 5 minutes... Installe-toi dans la dernière cabine.
- Tu devrais t’y rendre, mon ami n’aime pas attendre...
- Matias, non, je ne veux pas...
- Tu ne veux pas que cette photo se perde par accident sur le site du festival ?
- Ohhhhhh .... C’est du chantage !!!!
- Tu en meurs d’envie bella puta... Vas-y.
Je me levais, sous le regard d’un grand nombre d’hommes envieux. Il faut dire que ma Robe ceinturée unicolore rouge, qui m’arrivait en dessous du genou, avec un col bardot de style Bohème et une large ceinture noire resserrant la taille ainsi que les pans évasés me donnait un coté gitane appétissante. Gitane, mais blonde, car pour ce festival, j'avais décidé de teindre pour la première fois mes cheveux en blond, afin de me démarquer de toutes les autres danseuses principalement brunes... C'était aussi une façon d’attirer l’attention et d'être assurée d'être invitée lors des miradas. J’avais ajouté une touche sensuelle ayant recouvert mes avant-bras de gants longs unicolores noir et un béret en tulle noir très glamour. J’étais très sexy et excessivement pulpeuse. Je me dirigeais vers les toilettes, traversant une partie de l’hôtel, partiellement vide, l’ensemble des clients se trouvant dans les salles de spectacles de danse. Je rentrais dans les WC, et m’installais dans la dernière cabine. Assise, j’attendais la suite. La porte s’ouvrit et Roberta entra.
- Bella Puta, eres espléndido. Ouvre-moi ta grande bouche. !!!!
- Roberto- Silencio per favor !!!!
Il sortait son gros membre bien dur, avec son énorme gland proéminent, et me le poussa entre mes lèvres, tout en posant sa main sur mon béret qu’il utilisait pour me maintenir la tête. J’avais son sexe en bouche, et après mettre faite baiser par ce pervers pendant toute une partie de la nuit, il allait me violer les lèvres pendant le spectacle de danse.
- Quelle bouche, Que boca tan esplendida- Hummmmm, Hummmmmm- Pompe-moi bien, Puta !!!!!
- Hummmm, Hummmmmm- Tu vas devoir tout avaler, sinon tout le monde va voir les traces...
Je m’appliquais à le pomper, tenant son sexe entre mes mains gantées, et sentant la pression de son membre gonflé à bloc dans ma bouche bourgeoise. Il s’exclamait devant ma tenue de gitane bourgeoise utilisant sa main libre pour plonger sous mon décolleté Bardot et me palper mes gros seins, juste remis du traitement de la veille. Sa queue exerçait un certain nombre de mouvement dans ma bouche comme un ballet dont je ressentais les effets sur ce prédateur argentin. J’avais son gland en bouche, la couronne placée à la lisière de mes lèvres totalement dilatées, et l’aspirais comme si je suçais mon pouce, en relâchant la pression régulièrement, tout en titillant, de temps à autre, son gland avec le bout de ma langue. Son sexe étant trop gros, j’avais du mal à le gober en bouche entièrement, et décidais de changer de tactique et de prendre son sexe en bouche transversalement, comme un épi de maïs, coinçant son membre entre mes lèvres en commençant à la base en me positionnant comme une ventouse à bitte remontant doucement jusqu’au gland en faisant courir ma langue.
Il établissait un contact visuel avec moi, avec un regard profond dans les yeux comme pour crier "j'éclate dans ta bouche" et se vider entre mes lèvres, montrant à quel point il était heureux de m’humilier. Je lui donnais autant de plaisir avec mes yeux bleus, mon expression faciale, que les claquements de ma bouche résonnant dans cet espace confiné et la salive qui sortait de ma bouche. Il n’en pouvait plus...
- J'adore ton goût, tu aimes sucer Puta- Hummmmmmmmm- Je vais me vider dans ta bouche, gicler dans tes amygdales... Tu vas tout avaler.
- Hummmmmmmmmm- Tu vas me faire exploser. Prends-moi bien au fond...
Il m’appuya sur la tête, pour pousser son sexe au fond de ma gorge, m’étouffant. Il me laissa juste quelques secondes pour reprendre ma respiration et me repoussa autour de son bâton de chair, qu’il se mit à coulisser entre mes lèvres. Je ne le suçais plus, c’était lui qui me baisait la bouche, jusqu’au moment où je sentis qu’il allait éjaculer. Il ralentissait, tenant son sexe à pleine main toujours bien entre mes lèvres, quand je sentis son liquide se reprendre dans ma bouche. Il me tenait fermement par mon béret bourgeois, giclant de son liquide en moi, qu’il me força à avaler.
- Bravo la Puta, tu es esplendita... Ta bouche est aussi bonne que ton anus.
- Salaud !!!!!
- Retournes en salle maintenant, la journée va être longue...
Je regagnais la salle, et reprenais ma place aux côtés de Matias, toujours attentif au spectacle de danse. Assise à ses côtés, mes jambes croisées, je laissais apparaître le haut de mes bas noirs ainsi que l’attache de mes portes-jaretelles rouges assorties à ma robe gitane. Matias me tendit un mouchoir.
- Tu as quelques traces suspectes dans tes beaux cheveux blonds et sur le tulle de ton joli béret. Essuie-toi, ma Puta Bella.
J’obtempérais, et m’activais à éliminer les traces que Roberto avait laissées sur moi, comme un animal marquant son territoire. Je rendais le mouchoir humide à Matias, qui le repoussa dans ma direction.
- Essuie-toi le visage avec, étale-moi toute cette crème sur ta face de bourgeoise en chaleur.
- Hooooo, Matias mon maquillage !!!!
Il insistait, m’obligeant à étaler les restes de sperme de Roberto sur mon visage, alors que le spectacle continuait. La première partie de la journée se termina vers 12h30, suivit par un déjeuner, auquel une fois de plus je participais assise au côté de Matias alors que Roberto s’était installé sur ma gauche. Sans attendre, je sentis les mains de mes deux violeurs se poser sur mes cuisses. Alors que Roberto glissait sa main sous mon bas et me malaxait la cuisse avec perversité, la main de Matias remontait le long de mon entre-jambe et de mes jarretelles pour se glisser sous ma culotte. Il plaqua sa main contre ma chatte et m’enfonça son index entre les cuisses envahissant mon vagin humide tout en me malaxant le clitoris et les grandes lèvres de son pouce. Les deux hommes assis en face de moi, ne pouvaient ignorer le traitement que je subissais, et même si mes deux danseurs se voulaient discrets, leurs bras sous la table de chaque côté de mon corps ne devait laisser aucun doute. J’entendais Matias me murmurer à l’oreille à intervalle régulier...
- Tu es en train de jouir, Puta, ta chatte est toute humide...
- Ohhhh Matias arrêtez s’il vous plaît, vous me rendez folle...
Je subis pendant tout le repas ces caresses intrusives contre mon gré, m’amenant à plusieurs orgasmes rapides alors que leurs deux mains étaient maintenant sous mon string et que je sentais leurs index respectifs coulisser en moi simultanément. À la fin du repas, Matias m’ordonna de me rendre à nouveau dans les toilettes et d’attendre patiemment. Quel sort allait-il encore me réserver... Une fois de retour dans cet espace confiné, j’attendais patiemment me surprenant à écouter les conversations des hommes qui urinaient avant la reprise du festival, avant que Matias rentre et referme la porte me plaçant la main sur la bouche afin de ne pas faire de bruit. À l’extérieur, deux hommes venaient de rentrer dans les WC.
- Tu as vu la même chose que moi pendant le repas. Une sacrée salope cette bourge, elle a dû se faire doigter par les deux latinos pendant tout le repas.
- Oui, j’ai même cru l’apercevoir de jouir...
- Faut dire qu’elle est diablement bandante cette pute. Quel corps !!!! Et la salope elle met des bas pour danser !
- En effet, je me la taperais bien... Quel cul, ses seins, ses hanches et sa bouche de salope. J'en bande !
Ils sortirent au bout de quelques minutes, nous laissant seul avec Matias.
- Hummmmm, je vois que le fan club de ma bella puta s’agrandit...
- Ohhhh Matias, vous allez trop loin...
- Tu es notre puta pour le week-end... Maintenant, j’ai un petit cadeau pour l’après-midi. Tourne-toi, et baisse ta culotte...
J’obtempérais une fois de plus, et après avoir relevé ma robe, dévoilant mes magnifiques portes-jartelles rouge, il écarta la lanière de mon string, et me titilla l’anus. J’avais compris ce qu’il avait en tête, et ne fut pas surprise de voir le plug anal qu’il me tendit.
- Prends-le dans ta bouche pour bien le lubrifier, tu vas le garder pour la première danse, je veux te voir bouger avec...
- Ohhhhhh Matias Non !!!!!!!
Sans attendre aucune approbation de ma part, il me poussa l‘objet dans la bouche, que j’humidifiais, avant de me l’enfoncer dans mon anus qu’il avait au préalable un peu dilaté avec son pouce... Il cala le plug anal bien au fond de mon gros cul, et le recouvra de la lanière de mon string, avant de m’appliquer une violente claque sur ma croupe qui résonna dans les toilettes. Je regagnais la salle de danse avec entre mes fesses un nouvel occupant que j’allais devoir subir une bonne partie de l’après-midi.
Roberto et Matias, rivalisaient de perversion, m’invitant à danser, pour me faire enchaîner des pas envoûtants, cadençaient par cette musique sensuelle. J’évoluais sous des mesures à deux ou à quatre-temps avec un esprit d’improvisation, guidée par mes partenaires qui m’entraînait marchant de manière impromptue sans même chercher à suivre une direction. À la fin de ma troisième danse, Matias, m’avait guidé dans le coin le plus sombre de la salle, ou il exécuta une “quebrada”, cassure acrobatique qui consistait à me faire courber en arrière. Lors d’un arrêt de sa marche, il se pencha au-dessus de moi, forçant un fléchissement alterné d’un genou puis de l’autre. Alors que nous étions immobiles, je sentais sa main descendre de mes hanches vers le milieu de ma croupe, ou il cherchait mon plug au travers de ma robe, qu’il saisit à pleine main, tout en me fixant droit dans les yeux... Il tenait son jouet fermement par le tissu rouge de ma robe, s’amusant et le bougeait discrètement dans mon petit trou. Je le regardais les yeux écarquillés de honte, rouge de l’humiliation que je subissais en toute discrétion au milieu de tous ses danseurs. Je sentais la lanière de mon string coulisser entre mes grosses fesses, alors qu’il essayait de faire coulisser mon plug dans mon anus.
- Bella Puta, je suis sûr que ce n'est pas la première fois que tu te fais défoncer ton gros cul en public...
- Ohhhh, Matias, arrêtez... Tout le monde nous regarde.
L’obscurité protégeait le jeu pervers de cet animal, mais je craignais qu’un regard perdu ne tombe sur cette main plaquée sur mes fesses. Je fermais les yeux, afin d’ignorer mon entourage, et continuais à me laisser guider, dans cette danse qui me conduisait inéluctablement vers un orgasme anal...
Il était un danseur vraiment extraordinaire, mouvant nos corps de manière lente ou syncopée, ce qui impliquait un changement de poids d'un pied sur l'autre, pour changer de direction, et pour rester en mouvement dans cet espace réduit, gardant avec force sa main entre mes fesses. Avec une créativité déconcertante, il arrivait non seulement à me faire danser, mais en plus me sodomiser, comme dans une chorégraphie érotique et originale. Je n’en pouvais plus, et mon rythme de respiration s’accélérait quand je m’écroulais entre ses bras, traversait par un orgasme anal intense. Il me tenait contre lui immobile me laissant quelques instants pour reprendre mon souffle avant de me laisser partir afin de retirer le jouet encombrant.
- Tu peux retirer ton jouet, Puta, et tu le donneras à Roberto- Ohhh Matias qu’as tu encore en tête...
- La journée n’est pas finie, profite de l’après-midi, pendant que je t’organise une séance privée avec les meilleurs danseurs du jour... Je vais t’apprendre la Milonga en aveugle.
L’après-midi s’écoula de manière plus paisible, mais deux tortionnaires me laissant tranquille. Vers 18 H, alors que le festival se terminait, Matias me prit par le bras pour m’entraîner avec lui dans une petite salle en annexe. Il me poussa à l’intérieur, referma la porte et me banda les yeux.
- Tu vas découvrir un nouvel univers. Se déplacer les yeux bandés et faire entièrement confiance à son partenaire. Se faire guider, en toute confiance, mais aussi s’abandonner pour devenir l’offrande ultime.
- Ohhh Matias qu’allez-vous me faire encore ?
- Silencio bella Puta... Et laisse-toi conduire.
Il m’entraîna vers le milieu de la pièce, me laissant seule, debout, aveuglée, offerte, telle une proie innocente traquée par une horde de prédateurs. J’entendais des voix autour de moi, sans pouvoir les reconnaître, mais qui en tout état de cause était plus nombreux que simplement mes deux violeurs. Une musique composée de guitare, violon et piano démarra, quand je sentis un homme devant moi, se saisir de mes mains pour m’entraîner dans une première danse enflammée. Il m’emportait, m’entraînait, me faisait virevolter entre ses bras forts, et cela, dans un aveuglement total, alors qu’au détour d’une « molinente », il me lâcha le bras me laissant tournoyer seule sur moi-même avant de me retrouver dans les bras d’un autre homme que je devinais être Roberto...
- Attends, bella, on va te mettre à l’aise...
- Laisse-toi faire bella Puta...
Assistez de Matias, il m’enlevèrent ma robe, me laissant toujours les yeux bandés dans mon ensemble de lingerie rouge, avec mon beret en tule sur la tête et mes gants noirs. J’avais mis un ensemble porte-jaretelles, soutien gorge corbeille et string Lise Charme rouge de la collection lingerie du soir avec des strass rehaussées apportant une élégance et sensualité supplémentaire à mes formes pulpeuses de femme bourgeoise et mature. Perchée, sur mes escarpins de danse de 12cm qui me faisaient des jambes interminables, je pouvais ressentir le désir des hommes autour de moi, au travers de leurs respirations animales, percevant aussi des mouvements ainsi que des ombres qui me tournaient autour comme des chasseurs s’apprêtant à s’abattre sur leur proie. Combien étaient-ils, qui étaient-ils ? Un homme me reprit dans ses bras, pour me faire danser à nouveau, toujours aveugle, et en lingerie, il me faisait tournoyer dans ses bras experts, pouvant sentir aussi sa main-forte posée sur mes hanches qu’il se délectait à malaxer comme de la pâte à pain. Un autre homme prit le relais, puis un autre, ils continuèrent pendant plusieurs danses.
À nouveau Matias, me prit par la main, baissant mon soutien-gorge avec autorité pour laisser dévoiler mes gros seins laiteux, alors que je sentais Roberto derrière moi écarter la lanière de mon string afin de replacer son jouet anal entre mes fesses.
- Et tes gros seins libres sont tellement appétissants.
- Allez retourne danser...
Les danses reprirent de plus belle, et je sentais la pression de mon plug au fond de mon anus, alors que mes gros seins ballottaient libres et offerts. Je savais que tout cela n’avait qu’un seul objectif ultime, qui était de me posséder, de me prendre, de me baiser, offrant mon corps à une bande d’animaux en ruts. La main de mon partenaire s’était posée sur ma croupe, et je sentais au gré des figures de tango, la pression de sa paume sur mon cul qu’il s’amusait à malaxer. Il me retourna, pour se positionner contre mon dos, et alors que sa main sur ma hanche continuait à me faire danser, son autre main se posa sur mes gros seins qu’il s’amusa à caresser et à malaxer tout en continuant à me faire balancer le corps. La cadence rythmique de la danse avait baissé d’intensité pour laisser la place à une atmosphère sexuelle torride. Il me pelotait mes gros seins tout en me parlant à l’oreille.
- T’aimes ça salope, de te faire pétrir te grosses miches... Ils sont beaux tes seins... Tu es une superbe pute.
- Hoooooooo, non, s’il vous plaît...
- On va te prendre la bourgeoise... Chacun notre tour... Tu vas adorer !!!
Il me fit alors tourner plusieurs fois sur moi-même, me projetant dans les bras d’un autre homme qui à son tour joua avec mes gros seins, avec gourmandise. Cette danse sexuelle, était comme une nouvelle version de Tango passion, comme une nouvelle position sexuelle procurant des émotions et des sensations magnifiques entre sensualité, érotisme, et soumission. Langoureusement, ils jouaient tous avec mon corps, me poussant à osciller mon corps, qui répondait d’une part aux rythmes de la musique, mais surtout à l’excitation que provoquèrent leurs caresses multiples. Alors que plaquait contre cet inconnu qui continuait à me malaxer mes gros seins, une main plongea sous mon string pour s’emparer de ma chatte en feu et provoquer une stimulation clitoridienne, la danse avait laissé sa place à ce qui ressemblait plus à une future orgie dont j’étais le plat principal.
Ils me masturbèrent tous les deux, pendant de longues minutes, avant que je sente le sexe du premier qui après m’avoir soulevé la cuisse, me pénétrait avec passion. Son long sexe lui permettait de me baiser debout, au milieu de cette pièce, toujours tenue fermement par l’homme qui me caressait mes gros seins tout en m’embrassant le cou et la nuque. Il me pilonna violemment et rapidement, mais à bout de souffle gicla rapidement sur mes cuisses et mes bas noirs, alors que le second prit sa place pour me baiser également debout et par-derrière. Alors que son sexe, beaucoup plus large, s’empalait dans mon vagin, un autre homme se repositionna devant moi, plongeant sa tête entre mes seins, qu’il tétait avec folie. Je sentais, dans la force de cette caresse buccale un appétit hors norme pour mes mamelles laiteuses. Il me dévorait littéralement, alors qu'un membre bien gros et dur me ravageait la chatte sans oublier le plug anal toujours bien enfoncé dans mon anus. Combien d’hommes allait me posséder dans cette pièce, isolée de tous, sans défense et offerte à la perversité de mâles en rut.
Je sentis le sperme de mon partenaire se répandre abondamment sur ma croupe, chaud, dégoulinant le long de mes bas, alors que sans aucune pause, le troisième homme me pénétra à son tour. Il se faisait aider par son camarade qui était resté bien collé à mon dos, et me tenait par les bras, ce qui permettait à mon violeur inconnu de me soulever par le dessous des cuisses et de s’enfoncer en moi. Son sexe était encore plus long et gros que celui du précédent, comme si mes deux tangueros avaient choisi cet ordre. Rapidement, tel un animal, il me pilonna, sans répit, juste pour se vider le plus rapidement. En trois minutes, seulement, il se vida entre mes cuisses, me laissant debout dans cette pièce recouverte de sperme, attendant l’assaut suivant. Je reconnus de suite mes deux Argentins et espérais que c’était le bouquet final. Roberto derrière moi toujours avide de mon petit trou joua avec mon plug avant de pousser son membre largement plus gros que le plug, dans ma chatte béante et trempée. Matias, lui, me souleva à nouveau, me coinçant en sandwich accroché à leurs épaules. Il me pénétra également, plantant un second sexe de taureau argentin entre mes cuisses accrochées à mes bas recouverts de spermes encore dégoulinants. Ils me pénétraient tous les deux dans une doublette vaginale, avec leurs membres énormes qui me déchiraient le vagin.
- Allez Puta, bouge ton corps- Oui, c’est ça ma belle, bouge bien ton gros derche de bourgeoise.
- Regarde-moi tes belles mamelles ballotter... Une vraie laitière.
Ils me pétrissaient mes gros seins, me défonçaient mon gros cul, me laminaient la chatte, jouaient de mon corps comme avec une poupe désarticulée. J’étais perdue, dans un état comateux, évanoui, tremblant de partout ne laissant que mes hanches répondre à leurs assauts et attaques multiples. Je poussais des cris de plaisirs impressionnants, toujours les yeux bandés, subissant la pression de leurs membres durs et tendus. Leurs mains accrochaient à mes bas qu’ils déchiraient avec violence, me tenaient toujours fermement les cuisses, dans un double viol vaginal qui me faisait jouir comme une folle. Les deux sexes de ces bruts me défonçaient, alors que Roberto jouait avec mon plus anal, le tournant dans mon anus dilaté. Ils me reposèrent enfin sur le sol, et m’enlevèrent mon bandeau des yeux, et j’aperçus les trois hommes autour de moi qui se masturbaient avant d’essayer de se re-vider enfin sur mon corps défait. Je sentis le liquide de ces inconnus se répandre sur moi, avec des longs jets chauds, alors qu’ils tapotaient leurs membres sur mes cuisses ou sur mon cul comme une dernière marque d’humiliation. Une fois recouverte de sperme, Marias et Robert me rhabillèrent, et m’accompagnèrent dans ma chambre pour de qui allait sans aucun doute maintenant être le bouquet final.
Une fois dans ma suite, ils m’arrachèrent ma robe et m’entraînèrent sur le lit sur lequel ils me placèrent en levrette.
- On va te finir par le cul bella Puta.
Roberto me sodomisa le premier, alors que Matia devant me poussa son sexe dans la bouche. J’avais mes deux violeurs à chaque extrémité de mon corps, dont le premier me cassait le cul dans une sodomie profonde, alors que le second me violait la bouche avec son sexe de taureau. Ils échangèrent de position plusieurs fois, usant de mes fesses et de ma bouche tel les prédateurs avides et gourmands qu’ils étaient violant chaque partie de mon corps qui subissait ces orgasmes à répétitions.
Ils me prirent ensuite en position d’Andromaque, assise à cheval inversée sur le sexe raide de Matias à qui je tournais le dos. Il pouvait profiter de la vue de ma croupe et d’une vue imprenable sur la cambrure de mes reins. Roberto profitait de la grande amplitude de mes mouvements pour debout devant moi se faire sucer avec délectation, poussant son sexe dans ma bouche, toujours me tenant par mon béret en tulle dernier rempart ridicule de mon statut de bourgeoise.
Pendant plus d’une heure, je fus leur jouet, leur poupée, ou chaque partie de mon corps leur appartenait. Ils se vidèrent enfin sur moi, me laissant dans ma chambre anéantie et vidée, mais ayant joui intensément.
Le lendemain, après un peu de repos, je décidais de quitter l’hôtel discrètement. Je savais que mon mari allait regarder mes dessous et mes bas en rentrant, ils étaient tellement souillés et remplis de taches blanchâtres que je décidais de les jeter et de les laisser à l'hôtel. Je me sentais salie, humiliée, mais paradoxalement épanouie et heureuse d'avoir pu atteindre des sommets de plaisirs jusqu'à maintenant inconnus. Craignant que cette expérience devienne un engrenage pervers et sans fin, je décidais de mettre un terme à mes cours de Tango, avec toutefois un souvenir inoubliable.

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