La Milonga

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature -
Auteur femme.
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Récit libertin : La Milonga Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Milonga
Quelques semaines avant la fin de l'année, j'avais décidé de m'inscrire dans une association de la région. Il s'agissait d'un club de danse proposant à ses membres des cours et des soirées de danse de salon avec la possibilité également de participer à des galas, j'y voyais une opportunité pour moi de m'évader de mon quotidien et de faire des nouvelles rencontres. Très jeune, j’avais pratiqué la danse classique pendant de nombreuses années et avais gardé cette passion tout au long de ces années. Après quelques semaines, je m'étais perfectionnée dans le tango argentin qui au-delà de la nécessité de savoir danser, impliquait des règles vestimentaires, assez strictes où l'élégance était incontournable avec talons hauts et jupe fendue comme règle absolue. Notre professeur de danse s'était spécialisé dans le tango et ses Milongas, qui avait ses us et coutumes, mais aussi des codes très précis. C’était à la fois une danse sophistiquée faite d'improvisation sensuelle et complexe, et un style de musique sensuel. Pratiquée sur une piste revêtue de parquet et entourée de table de spectateurs et de danseurs, la technique d'invitation était non banale se faisant à distance par un échange de regards suivi d'un consentement par un léger hochement de tête. Des partenaires pouvaient alors se rejoindre sur la piste pour enchaîner quelques morceaux avant de reprendre sa place et de choisir un nouveau partenaire. Le style de danse dominant était très entrelacé, dit abrazzo. J'avais très vite remarqué que les femmes rivalisaient entre elles pour attirer le regard des hommes afin de se retrouver dans les bras des meilleurs danseurs mais aussi des plus élégants. L'homme conduisait sa partenaire à son rythme alors que la femme docile suivait son guide. J'étais attirée par ce côté sulfureux, voire érotique, des torses collés les uns aux autres où, la femme, souvent, pouvait poser sa tête sur l'épaule de son partenaire qui devait sentir la poitrine écrasée sous ton thorax musclé. La danse était assez sportive avec pour conséquence l'obligation de bien creuser les reins tout en se cambrant ce qui était, sans aucun doute, très excitant à regarder et qui attirait les danseurs auprès de leurs partenaires. Au fur et à mesure des semaines, j'étais de plus en plus sollicitée par des danseurs nettement meilleurs que moi qui ressentaient un attrait particulier pour mes formes plantureuses et pulpeuses mises en valeur dans des robes ou des jupes moulantes. J'adorais ces moments où leurs regards se posaient sur moi, et après un hochement de tête, me retrouvais dans leur bras, sentant leurs mains sur mes hanches parfois glissant nonchalamment sur ma croupe appétissante. Plusieurs fois, j'avais pu sentir leurs membres durcis se frotter contre moi, et plus particulièrement celui du professeur Matias, un bel argentin d’une quarantaine d’année.
Né à Buenos Aires, il était un artiste multidisciplinaire, danseur, professeur et chorégraphe de tango. Il avait une curiosité esthétique inspirée du tango, avec un charme sud-américain accentué par un léger accent argentin. Il s’était pris de sympathie pour moi, et me prenait régulièrement pour partenaire pendant nos cours du mercredi soir.
- Patricia, vous progressez terriblement, vite, vous êtes très douée.
- Merci Matias, c’est gentil de votre part, mais j’ai tellement à apprendre encore, et en plus, j’ai n’ai pas votre endurance.
- Vous verrez, dans quelques semaines, vous allez rivaliser avec mes meilleures élèves. Je vais m’occuper de vous personnellement.
- C’est tellement aimable à vous.
- Le Tango et ses Milongas éclaire les relations de l’art à la violence. Cette danse manifeste les potentialités que possède l’art de mettre en scène la violence en explicitant les rapports de domination entre les sexes. Allez, concentrons-nous maintenant...
Dessinant de l’index des cercles dans l’air, il leva les yeux demandant de lancer la musique. Il me faisait face, m’entourant la taille du bras droit et, de son autre main, saisit ma main droite pour la projeter vers le ciel. Je posais ma main gauche sur son épaule, alors qu’il exécutait une série de pas, m’obligeant à croiser les jambes. Il me faisait évoluer parfaitement en rythme, le corps bien droit, ses yeux fixés dans les miens, alors que sa main me serrait les hanches, serrant mon corps contre le sien. Je pouvais sentir la force de ses bras, mais aussi le désir et la dureté de son membre frottant contre ma robe noire. Il me paraissait d'une taille peu commune. Avant la fin du morceau, Matias exécuta une dernière figure et s’arrêta net. D’un geste, il me libéra de son étreinte et me remercia, avant de se tourner vers les autres élèves.
- Voilà, ça, c’était pour que les hommes comprennent que s’ils apprennent à bien danser, ils pourront faire danser n’importe quelle partenaire. Bien danser le tango, c’est ça...
Ce soir-là, le cours se termina vers 22H30. Je quittais la salle et alors que je regagnais ma voiture, garée sur un grand parking ouvert, j’entendis Matias m’interpeller.
- Hola Patricia, attendez quelques minutes.
- Oh Matias, vous m’avez surprise...
- Je voulais vous préciser un élément important de la Milonga- Lequel ?
- La domination qui est source de désir pour les femmes !!!!
Il s’était approché de moi, et sans aucune forme de préliminaire me poussa contre ma mini cooper forçant mes lèvres avec désir. Surprise, de cet assaut soudain, je sentais sa langue plonger en moi, alors que ses mains avaient écarté mon manteau m’attrapant par les hanches pour me maintenir contre lui. Affolée je ne savais que faire, mais excitée par le frottement de son sexe bien dur contre moi, je me laissais faire. Tout allait très vite. Ses mains remontèrent le bas de ma robe, dévoilant mon collant noir sous lequel un magnifique string noir Lise Charmel apparut, et alors qu’il me bâillonnait la bouche avec sa langue, sa main plongea entre mes cuisses sous mon nylon, s’emparant de mon entre-jambe. Je sentais ses doigts entrer en moi, activant instantanément une réaction de désir. J’avançais mes hanches comme pour offrir ma chatte à ce prédateur argentin. Il me doigta violemment, me plaquant sa main contre ma bouche afin de m’éviter d’ameuter tout le quartier. Je sentais ses doigts se frayer un chemin dans mon vain, coulissant avec rapidité, alors que son pouce caressait ma petite toison discréte.
- Tu sens ma main, Bella Dama !!!!!
- Ohhhhhh Matias, que faites vous !!!!!
- C’est la seconde partie de ton éducation de danseuse…- Ohhhhhhh, arretez, on va nous voir….
- Ta bouche dis non mais ton corps ne demande que cela … Puta- Ohhhhhhh, non !!!!
- Ouvre ta boca bien grande puta, je veux t’entendre jouir !!!!!
Il me regardait droit dans les yeux, sans un mot, appuyant sa seconde main sur mes lévres avec puissance, afin d’étouffer mes gémissements. Il allait me faire jouir . Je serrais ls cuisses comme pour éviter cette caresse forcée alors que ses deux doigts abusaient de moi. Ce viol, inattendu ne dura quelques minutes pas, m’amenant à un orgasme violent et rapide, pour m’écrouler dans ses bras... Il ouvrit ma voiture, et me poussa vers l’intérieur...
- La première chose et probablement la plus importante est d’apprendre à former un contact physique étroit et un sensuel, ressentir profondément son partenaire. Cela va te procurer l’occasion d’un contact physique rapproché et diminuer ton anxiété. Je t’attends mercredi prochain et fais toi belle.
L'expérience du parking se renouvela systématiquement à la fin de chaque séance pendant les semaines suivantes, Matias me faisant danser de manière sensuelle charnelle érotique, et à la fin du cours profitait d'un moment d'isolement pour abuser de mes formes, violant mon intimité de ses doigts experts. C'était pour lui comme une forme de conclusion, dans laquelle ils me plongeaient dans des orgasmes à répétition. Il était le mâle Alpha et j'étais sa proie qu'il aimait dominer chaque semaine avec perversité pendant quelques minutes, me laissant chancelante regagner ma voiture avec mon entre cuisses dégoulinantes. Sur le parking, dans son bureau, dans les toilettes, dans le couloir, entre 2 portes, quel que soit l'endroit, le scénario était le même, il me bloquait contre son corps, me bâillonnant avec sa main alors que l'autre remontait sous ma robe et plongeait sous ma culotte enfonçant ses doigts au plus profond de ma chatte en feu. Au fur et à mesure du temps, il m'imposa des règles vestimentaires. Bas nylon avec coutures noires, porte-jarretelles, serre-taille ou guêpière étaient de rigueur sous une jupe ou robe moulante fendue. Lors d'une séance ou je n'avais pas eu le temps de me changer afin de respecter ces règles, il me doigta encore plus fort, poussant son doigt autour de mon petit anus comme une ultime menace. Je sentais la pression da sa main sur mon gros cul, quand il poussa son doigt au fond de mon anus. Ce soir la, basculée en levrette sur son bureau, je me laissais sodomiser par les doigts experts de cet homme qui découvrait ma croupe pour la première fois.
- La chose la plus importante dans la milonga et de respecter les règles, je vois que tu aimes te faire doigter ton anus et ton gros cul bella puta...
À aucun moment, il ne me baisa, gardant ces séances de masturbation furtives et rapides comme un élément intrinsèque de mon éducation de danseuse de tango. Je rentrais donc chez moi tous les mercredis soir la chatte en feu, troublée par les orgasmes violents et rapides qu'il me faisait subir, et me surprenant sous les draps seule à me donner des plaisirs solitaires tout en rêvant à la séance suivante.
Au bout de quelques semaines, il proposa à l'ensemble du groupe un festival de danse à Montpellier sur un week-end. L'événement était organisé dans un hôtel de luxe, et avait attiré les meilleurs danseurs d’Europe. Je ne me sentais clairement pas à ma place n'ayant pas le niveau des participants, ne pratiquant cette discipline que depuis quelques mois. Nous séjournions dans l'hôtel, pouvant profiter pleinement du festival sans l'inconvénient des transports. Malgré mon niveau de débutante, j'étais invitée sans repos par un grand nombre d'hommes, qui au-delà de mon expérience de novice, devait apprécier mon apparence de bourgeoise mature et plantureuse. Chacun dansait avec moi de manière appuyée, me laissant sentir le désir que je suscitais au travers de leurs membres en érection qu'ils frottaient contre mon corps, et plus particulièrement Roberto un maître de la Milonga de Belgique, qui multipliait les invitations. Après avoir passé notre première journée à danser nous nous retrouvions tous ensemble pour dîner, pendant lequel Matias nous complémenta pour notre prestation du jour.
J’avais pour l’occasion revêtue, une robe noire, portefeuille et fendue avec manches longues et un col en V offrant un décolleté plongeant sur ma poitrine opulente me rendant encore une fois très désirable. Mon soutien gorge noir était aussi visible, ce qui accentuait mon côté sexy. Matias assis à côté de moi, profitait de la proximité pour pousser sa main sur ma cuisse, me caressant au travers du nylon de mes bas noir retenus par un porte-jarretelles à 6 bretelles larges, de toute beauté. Sa main me malaxait les cuisses, glissant aussi sous le nylon ou remontant vers mon entre-jambe et mon vagin humide juste protégé par un tanga lise charmel, alors qu’il susurrait à mon oreille.
- Tu crois que je n'ai pas vu ton manège ma beauté, tu as tapé dans l’œil du maître de la Milonga en Belgique...
- Ohhh Matias, retirez votre main, les autres vont s’apercevoir de quelque chose.
- Tu es toute humide... Écarte tes cuisses, je vais te donner un petit aperçu.
Il poussa sa main entre mes cuisses et je sentis son doigt pénétrer mon intimité. Alors que la discussion allait bon train, je me faisais doigter par Mathias, qui jouait de son statut de dominant, abusant de ma faiblesse et de mon excitation. Ma main droite était passée sous la table, essayant de résister et de limiter la pression de la masturbation que mon professeur de tango me faisait subir. Je sentais un désir, une envie, un besoin d'orgasme et de jouissance m’envahir une fois de plus. Mes yeux se révulsaient dans une réaction mécanique de pertes de contrôle totale. Mon corps m'abandonnait, laissant à mon violeur, un accès direct à mes désirs, fantasmes et besoins sexuels. Cette brute me faisait jouir, en public sous la table devant mes partenaires de danse, et je sentais qu’il en éprouvait une fierté incomparable. De manière vicieuse, il avait capturé la bourgeoise bien mise qui avait franchi la porte de son club de danse 2 mois plus tôt, sans avoir même besoin de me posséder. Ses jeux masturbatoires étaient d’une violence psychologique inouïe. Il ne prenait son plaisir que par les orgasmes en rafale qu’il me procurait, sans même avoir besoin de me baiser ou de se vider sur mon corps de bourgeoise qu’il avait capturé. Une fois de plus, j'avais rencontré un mâle dominant qui allait me posséder sans se préoccuper des conséquences.
- Regarde mon ami, il t’observe, il te veut comme élève...
- Ohhhhhh, Matias, arrêtez, s’il vous plaît, je n’en peux plus... Allons dans ma chambre, je serais à vous...
- No, Puta, tu es mon élève, je vais avant t’éduquer !!!!
Le dîner se poursuivit pendant plus d’une heure, ou je continuais à subir la pression des caresses de Matias provoquant des orgasmes à répétitions avant de rejoindre le bar pour un dernier verre. Roberto, qui était une référence du Tango en Belgique comme chorégraphe et danseur, se joignit à nous. Il avait parcouru le monde en dansant avec les plus grands et produit beaucoup de spectacle, et ce, perfectionniste d’une soixante d’année avait un style naturel d'Amérique du sud plein de charme et de sensualité. J’étais donc coincée entre ces deux latins qui sous le couvert de leur art, me tenaient par les hanches de façon plus que subjective.
Je sentais leurs mains dans mon dos sur mes hanches rivalisant de désir, malaxant les parties de mon corps les plus plantureuses, et cela, devant mes camarades de danse. Alors que Mathias me caressait le dos de sa main-forte, celle de Roberto était descendue sur ma croupe qu'il palpait avec délectation, camouflée et protégée par le bar sur lequel j'étais appuyée. Mathias continuait à me susurrer à l'oreille des propos indécents, au travers desquels je pouvais sentir l'envie et le désir de me posséder. J‘étais leur objet, un vulgaire jouet innocent, qu’ils avaient capturé et je savais que je ne pouvais m'y soustraire. Après plusieurs verres, Matias, nous proposa de regagner nos chambres pour un repos bien mérité. Le groupe se sépara et alors que j'essayais de me joindre à mes camarades pour rejoindre ma chambre, Roberto, m’attrapa par le bras pour m’entraîner vers l'ascenseur sous l’escorte de Matias. Me tenant fermement par le bras, il attendit le dernier ascenseur pour m'entraîner dans cet espace confiné coincé entre lui et Mathias. Les portes étaient en train de se fermer, quand sans attendre, il m'attrapa par les cheveux, m'attira vers lui et força l’entrée de ma bouche pour m'embrasser de manière gourmande, fougueuse et violente. Sa langue en moi, me violait les lèvres, alors que Matias, à mes côtés plaqua sa main sur mon décolleté, baissant avec rudesse mon soutien-gorge pour laisser apparaître mes gros seins laiteux. Les mains de mon professeur palpaient ma poitrine opulente, alors que la langue de Roberto jouait avec la mienne. Une main remonta ma robe dévoilant mon porte-jarretelles si raffiné, alors qu’une seconde plongea en dessous de mon Tanga envahissant mon entrejambe avec des doigts de prédateur. Je ne savais pas lequel des deux me doigtait, mais une violence érotique s'abattait sur mon corps sans aucune considération de la résistance dont j'essayais de faire preuve. Il m'utilisait comme un objet, ne cherchant qu'à me faire jouir, afin d'anéantir tout esprit de résistance sûrement dans le but de mieux me posséder pour le reste de la nuit. Je m'abandonnais dans les bras de ces animaux qui n’avaient pour ambition que de me faire jouir, et m’anéantir afin de pouvoir m’utiliser à leur bon vouloir. Matias avait bloqué l’ascenseur, pour gagner du temps, et me maintenait les bras au-dessus de la tête pour m’empêcher de lutter contre les caresses de Roberto qui se faisaient de plus en plus intrusives m’ayant relevé une jambe pour mieux écarter mes cuisses. Un doigt, deux doigts, trois doigts, coulissant entre mes jambes de plus en plus rapidement, déclenchaient des gémissements et des orgasmes multiples alors qu’une main perverse malaxait ma poitrine laiteuse offerte. Je soufflais, essayant de me débattre mollement, entravée par une main forte sur ma bouche alors que ma chatte en feu de faisait défoncer, et qu’un doigt pervers tournait autour de mon petit trou. Mes tétons étaient titillaient à l’extrême, j’arrivais au bout de mon endurance, quand au bout de 10 minutes de ce traitement, je me cambrais une dernière fois dans un spasme ultime de bonheur, et une énorme fontaine qui s'écoula sur le sol de l'ascenseur, m’écroulant entre leurs bras. Il m'avait anéantie, j’étais maintenant à eux pour la nuit et je savais qu’ils allaient pouvoir me posséder au gré de leurs fantasmes, et dans un état semi comateux, j'entendis l'ascenseur redémarrer.
Toujours étourdie du traitement que je venais de subir, ils m’entraînèrent vers la chambre de Roberto, me portant chacun d’un côté. Sa suite étant au bout du couloir, nous croisions plusieurs couples surpris de cette bourgeoise quasiment inconsciente, dans les bras de ces deux latinos.
- Et oui, l’abus d’alcool après une journée de danse ne pardonne pas, elle va faire un gros dodo.
Une fois dans la chambre de Roberto, Matias me plaqua sur la porte juste refermée, et m’embrassa à nouveau, avec fougue et violence. Ses mains remontaient mes cuisses le long de mes bas nylon noirs, alors que Roberto juste a coté, attrapa mon tanga qu’il arracha d’un geste brusque, avant de me fourrer ma culotte dans la bouche.
- Ola, Puta, vamos... On va te baiser comme une truie.
- T’es notre jouet pour la nuit, grande puta !!!!
- Ohhhhh laissez-moi .... Ça suffit, je dois retourner dans ma chambre...
- Mets ça dans ta bouche.
Il m’enfonça ma culotte dans la bouche, alors que Matias me retirait ma robe et mon soutien-gorge me laissant en porte-jarretelles et bas. Il me prit contre lui, et m’entraina dans un tango au milieu de cette chambre, alors que Roberto, qui tournait autour de nous, m’appliquait des claques sur les fesses, estimant mes mouvements pas suffisamment coordonnées.
- Applique-toi, salope... Sois belle et sensuelle puta !!!!
- Hummmmm, Hummmmm, Hummmmmm...
- Voilà, le moment est venu pour toi de recevoir mon sexe, grosse truie. Depuis le temps que tu attends. Deux mois, maintenant, que tu fais ta mijaurée avec mes doigts dans la chatte, je sais que tu en meurs d’envie. Demande-moi de te baiser !!!!
- Hummmmm, HummmmmmAlors qu’il me forçait à le regarder droit dans les yeux, je gémissais sous mon bâillon, emportée par ces deux hommes, qui se comportaient comme des animaux, décidaient d'abuser de leur proie naïve et offerte. Ils m’immobilisèrent enfin dans le milieu de la pièce, alors que Matias me remontait la cuisse droite, laissant le passage libre à son sexe bien dressé et énorme, qu’il poussa en moi. Il me pénétra comme un animal, violant mon intimité qui venait subir des caresses à répétitions, alors que je sentais le doigt de Roberto, parti à la recherche de mon petit trou. Ils avaient décidé de me prendre en doublette debout dans leur chambre, l’un devant, l’autre derrière, et de me baiser et m’enculer jusqu’à la fin de la nuit. Son doigt s’introduit dans mon anus avec lequel il joua pendant plusieurs minutes afin de mieux me dilater alors que Matias continuait à me baiser avec violence. Le sexe de Roberto, au gland proéminent s’enfonça enfin dans mon cul, poussant son bâton de chair au plus profond de mes entrailles. Accrochée à la nuque de mes deux violeurs, je me laissais prendre comme une vulgaire pute, debout au milieu de cette chambre me faisant subir ce traitement pendant de longues minutes.
- Allez la puta, bouge bien ton corps de ‘burgeus’, montre nous comment les femmes de la haute baisent dans ton pays.
- Oui, elle est bonne, elle bouge bien sous l’homme, avec ses mamelles de grosses vaches.
- Ça a dû être une bonne reproductrice. Une bonne laitière...
Ils me pilonaient dans une double pénétration machiavélique, ou mon corps suspendu entre ces deux brutes était secoué par le rythme des coups de reins que je subissais. Mes seins ballotaient sous la pression des mains des deux violeurs qui me palpaient comme un animal appétissant. Ils m’entraînèrent ensuite sur le lit pour continuer à me baiser. Ils étaient forts et endurants, prenant chacun leur tour des temps de repos, et me laissant aucun répit, aucune pause. Les positions s’enchaînaient, les claques sur la croupe également, les insultes.
- Ce soir on va juste s’occuper de ton gros cul de puta…- Demain on va t’éduquer par la Boca…- Hummmmmmm, Hummmmmmm- Tu dois être une bonne suceuse…- Hummmmmmm, Hummmmmmm- Bouge moi tes grosses fesses de puta !!!!!
J’étais perdue, épuisée anéantie, au bord de l’évanouissement, continuant à me baiser pendant toute une partie de la nuit. Ils me couchèrent sur le ventre, pour que Roberto s’allonge entièrement au-dessus de moi, me baisant dans le même mouvement que celui de la levrette au détail qu’il était couché sur moi, et que tout son poids reposait sur mes épaules et sur fesses. Il s’affaissait littéralement sur mon corps me défonçant les fesses, alors que Matias me tenait par les poignets de mes bras tendus. Ils échangèrent leurs positions plusieurs fois, leur permettant de reprendre des forces, alors que pour ma part, je subissais les assauts des trompes de ces éléphants surexcités. Cela faisait des heures que mon corps était tourmenté par leur, mais ou leurs sexes, quand enfin, ils me giclèrent sur le visage ensemble. Mon visage était recouvert de sperme, chaud et blanc dégoulinant sur mes gros seins, alors qu’ils s’essayaient dans mes cheveux laissant leurs traces sur tout mon corps. Il y avait de grandes taches aussi sur mes bas noirs et mon porte-jarretelle. Il était 3 heure du matin, et je venais de me faire posséder pendant plus de 3 heures quand ils me rhabillèrent, et que Matias me raccompagna à ma chambre, avec quelques instructions pour le lendemain.
- Je te conseille de profiter de la nuit, car la journée de demain va être longue, et fais-toi belle...

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Texte coquin : La Milonga
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