La clairière de la débauche
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La clairière de la débauche
La journée est très chaude, le soleil tape fort. Amélie décide de profiter des rayons pour brunir un peu sa peau laiteuse. Elle se rend dans une clairière ou coule une rivière. Déjà plusieurs personnes sont étendues sur l'herbe tendre. Amélie recherche un coin plus isolé. Elle retire ses vêtements, en dessous, elle porte un maillot de bain deux pièces.
Un peu plus loin, un couple profite aussi de cette belle journée. La femme seins nus, jambes largement écartées, porte une culotte très étroite qui ne couvre que sa fente. Aucun poils ne dépasse, cela prouve que la vulve est bien rasée. La femme profite du soleil, en changeant souvent de position. Son compagnon, en maillot de bain, va souvent piquer une tête dans l'eau glacée.
Il fait la navette entre la rivière et sa compagne. Il se secoue près de sa femme qui rugit de mécontentement :
- Roger, cesse de faire l'enfant !
Mais lorsqu'il pose sa main sur le corps brûlant de sa femme, elle le réprimande fortement, et cela le faire rire.
Lorsque sa femme est sur le dos, et que sa main, c'est réchauffée, il la pose sur sa peau brûlante, qui rapidement se met à frissonner. Lentement, il la fait monter vers les lobes qui semblent lourds.
Doucement, sans précipitation, il passe un doigt autour de l'aréole grenelée, sans toucher le mamelon. Pour lui, c'est comme un jeu, mais pour la femme, il en est tout autre, elle soupire profondément. Le doigt tourne sans cesse sur la tache brune qui cerne le mamelon.
Comme par miracle, le mamelon s'épaissit, en prenant du volume. Doucement, le coquin le presse et le branle comme une petite bite. La femme commence à se manifester, en geignant doucement. L'homme passe à l'autre sein et lui fait subir le même traitement. Les bouts, très sollicités, deviennent durs et énormes. Amélie ne quitte pas des yeux le couple.
Soudainement la femme pousse un gémissement, son mari vient de lui aspirer un mamelon. Il s'acharne dessus comme une bête affamée. Il martyrise le téton avec une cruauté que seule la femme peut apprécier. Il passe à l'autre, la femme se rend comme un arc, le gredin lui mord le mamelon, et en tenant les dents serrées, l'étire le plus qu'il peut. Les gémissements de la femme sont bruyants, sans relâche l'homme lui dévore les bouts gonflés.
Extraordinairement, la femme jouit, en se cabrant comme un cheval fougueux. D'où elle est Amélie, elle voit le corps de la femme trembler. Tout en lui suçant les mamelons, l'homme lui malaxe les siens fortement, cela semble plaire à la femme qui geint de plus belle. Soudain un inconnu jaillit de dernière un fourré, il a la bite hors de son slip et se la masturbe sauvagement en s'approchant du couple.
Sans aucune gêne, il s'agenouille près de la femme et lui offre sa queue à sucer. La femme, surexcitée, saisit le manche de chair, le décalotte, l'observe un moment puis se met à lécher la boule de chair avec une espèce de rage. Amélie n'en croit pas ses yeux, la femme fait une fellation à un inconnu, pendant que son mari lui dévore les mamelons.
La femme fait tourner sa langue autour du gland, titille le frein et enfin le gobe. Les succions font geindre l'inconnu, qui saisit la tête de la femme par les cheveux et commence à lui baiser la bouche en lui enfonçant sa bite jusqu'aux couilles dans la bouche. Malgré des hauts le cœur, elle subit la gorge profonde sans repousser l'inconnu.
On entend les gémissements bruyants de l'homme, qui est sur le point d'exploser. Il tire fortement sur les cheveux de la femme et lui remplit la gorge de sperme. Il fait encore quelques allers et retours dans la bouche de la femme, se retire, puis disparait comme il était venu. La femme avale la totalité de la décharge. Son mari la regard et lui dit :
-C'est bon, Jeannette !
La femme en s'essuyant d'un revers de la main ses lèvres répond :
-Hum délicieux mon chéri !
Son mari passe sa main sur le ventre de sa femme et la dirige vers la salle de jeu. Il passe plusieurs fois sur le fin tissu qui voile à peine la fente, puis l'écarte. La chatte de la femme est trempée. Son mari joue avec son clito un bon moment avant de le branler énergiquement. La femme se cabre et garde la pose, cambré comme un pont, elle offre son fruit juteux aux doigts habiles, qui lui maltraitent le clito.
Une jouissance terrible la fait retomber sur le sol. L'homme bande terriblement, il retire son maillot et prend place entre les cuisses de sa femme, d'une main, il maintient la culotte écartée et lui plonge sa bite profondément dans le ventre. Les coups de reins sont féroces et très appuyés. À chaque enfoncement du mandrin dans son ventre, la femme pousse des gémissements d'agonisantes. Le va-et-vient déclenche une violente jouissance. La femme ne crie plus, elle hurle. Son mari continue de lui défoncer la chatte, en poussant à chaque coup de reins un han de bucheron. Les cris de la femme attirent l'attention d'un couple de promeneurs.
Le couple s'arrête à hauteur des baiseurs, la femme se penche et ose palper les seins de Jeannette, elle les soupèse comme pour en connaitre la texture.
Son compagnon, lui, regarde la bite puissante de Roger qui voyage dans le ventre de la soumise. Roger se cabre et remplit le ventre de sa femme qui ne cesse de gémir. Il se retire et offre son outil gluant aux lèvres charnues de sa femme, qui s'empresse de le prendre en bouche.
L'homme reste un instant bouche bée, puis, incité par sa compagne, sort de son short sa bite qui est raide comme un morceau de bois et se place entre les cuisses ouvertes de Jeannette. C'est sa compagne qui lui dirige la bite vers la chatte engorgée de sperme. Un petit coup de reins et le voila enfoncé dans le ventre de jeannette qui pousse un râle. Les coups de reins sont terribles, tout en suçant la bite de son mari, Jeannette gémit sous les assauts de son amant inconnu. Le bougre ne la ménage pas, il la défonce avec sauvagerie.
Jeannette jouit encore une fois en même temps que son baiseur. Il se retire. C'est sa compagne qui se place entre les jambes de Jeannette. La femme enfonce un à un ses doigts dans la chatte gluante. Avec une persévérance inouïe, la femme réussie à y enfoncer sa main entièrement dans la chatte brûlante de Jeannette, qui recrache la bite de son mari pour se cabrer. Amélie n'en revient pas, c'est la première fois qu'elle voit une main entière fouiller la chatte d'une femme.
Sa vulve est devenue un torrent, sa culotte est très, très humide. Elle pose sa main dessus et la presse pour atténuer le flot qui s'échappe de son puits d'amour. Elle regarde Jeannette qui agite son bassin en grognant sous le va-et-vient violent que la femme lui impose. Une nouvelle jouissance la fait rugir. Son corps est secoué de spasmes violents, elle a plusieurs orgasmes à la suite. La femme lentement retire sa main du ventre qui ne cesse de s'agiter, comme pris de convulsions.
Le couple s'approche d'Amélie, la femme lui dit en souriant :
-Alors ma belle, on fait la voyeuse !
Très gênée, Amélie tente de se justifier, mais en vain. Le couple s'assied de chaque côté d'elle. La femme en regardant le bas-ventre d'Amélie lui dit :
-Oh, mais madame mouille, sa culotte est trempée, regarde mon chéri dans quel état est madame, nous devons lui venir en aide, tu ne crois pas !L'homme en souriant :
-Oui, je crois que madame en à besoin ma chérie !
Les deux se présentent, elle c'est Olga lui Marc, Amélie donne son nom. Ils entament une discution sur ce qui vient de se passer, la femme dit en regardant droit dans les yeux Amélie :
-Je crois que ce spectacle, t'a autant excité que moi, moi aussi j'ai des chaleurs, j'ai la chatte en feu, regarde !
Elle saisit la main d'Amélie et en retroussant sa jupe, la pose sur son bas-ventre. En effet sa culotte est aussi trempée que la sienne. Olga dit en souriant :
-Et si on se faisait un petit plaisir, pour calmer nos émotions !
Amélie, rougit et dit :
-Ca ne va pas non !
Olga éclate de rire et ajoute :
-Et alors eux viennent d'avoir leur compte, ils ne sont plus aptes, les autres ont beaucoup trop loin, personne ne nous verra !
En disant cela, Olga retire sa culotte et écarte sa vulve avec ses doigts en montrant l'interieur rouge vif de son conduit dit :
-Regarde elle ne te plait pas !
Amélie répond avec des trémolos dans la voix :
-Je ne suis pas lesbienne !
Olga répliqe :
-Alors il faut un début à tout, marc montre lui ta queue qu'elle voit, avec quoi tu vas lui travailler le ventre !
Amélie est mal à l'aise, Marc exhibe sa bite en l'agitant devant ses yeux.
Amélie se dit qu'elle est tombée dans un coin de pervers, renfile sa jupe, et sans saluer les deux inconnus, se hate de rentrer chez elle. Elle se laisse tomber sur le canapé, et se remémore ce qu'elle à vécue. Elle à chaud, sa peau est moite, elle est très nerveuse. Elle décide de prendre une douche, dans la salon elle s'effeuille. Ses vêtements jonchent le sol.
Puis elle se laisse retomber sur le canapé. C'est plus fort qu'elle elle revoit les scénes comme si elle y était encore. Elle ne peut s'ôter de la tête la main qui fouillait Jeannette, elle se pince les lèvres en se demandant encore comment que c'est possible, une chose pareille. Machinalement sa main se pose sur sa chatte qui s'échauffe, plus Amélie repense à ce qu'elle à vue, plus elle s'excite.
En fermant les yeux, elle se caresse doucement les grandes lèvres, qui au fur et à mesure des douces palpations enflent. Au bout d'un moment, ce n'est plus tenable pour Amélie. Elle saisit son clito dèjà bien gonflé, et le branle rageusement en serrant les dents. Rapidement elle jouit en poussant un gémissement affreux. Son souffle et court, sa respiration rapide.
Elle à quelque chose en tête, elle ouvre largement les cuisses et tente de se fister. La coquine en faisant des gros efforts, arrive à s'enfoncer quatre doigts dans la chatte. Comme la position n'est pas aisée, le cinquiéme ne peut rejooindre les autres. Après avoir jouit une seconde fois, elle doit renoncer à la pénétration extrême. Elle va prendre sa douche.
Un peu plus loin, un couple profite aussi de cette belle journée. La femme seins nus, jambes largement écartées, porte une culotte très étroite qui ne couvre que sa fente. Aucun poils ne dépasse, cela prouve que la vulve est bien rasée. La femme profite du soleil, en changeant souvent de position. Son compagnon, en maillot de bain, va souvent piquer une tête dans l'eau glacée.
Il fait la navette entre la rivière et sa compagne. Il se secoue près de sa femme qui rugit de mécontentement :
- Roger, cesse de faire l'enfant !
Mais lorsqu'il pose sa main sur le corps brûlant de sa femme, elle le réprimande fortement, et cela le faire rire.
Lorsque sa femme est sur le dos, et que sa main, c'est réchauffée, il la pose sur sa peau brûlante, qui rapidement se met à frissonner. Lentement, il la fait monter vers les lobes qui semblent lourds.
Doucement, sans précipitation, il passe un doigt autour de l'aréole grenelée, sans toucher le mamelon. Pour lui, c'est comme un jeu, mais pour la femme, il en est tout autre, elle soupire profondément. Le doigt tourne sans cesse sur la tache brune qui cerne le mamelon.
Comme par miracle, le mamelon s'épaissit, en prenant du volume. Doucement, le coquin le presse et le branle comme une petite bite. La femme commence à se manifester, en geignant doucement. L'homme passe à l'autre sein et lui fait subir le même traitement. Les bouts, très sollicités, deviennent durs et énormes. Amélie ne quitte pas des yeux le couple.
Soudainement la femme pousse un gémissement, son mari vient de lui aspirer un mamelon. Il s'acharne dessus comme une bête affamée. Il martyrise le téton avec une cruauté que seule la femme peut apprécier. Il passe à l'autre, la femme se rend comme un arc, le gredin lui mord le mamelon, et en tenant les dents serrées, l'étire le plus qu'il peut. Les gémissements de la femme sont bruyants, sans relâche l'homme lui dévore les bouts gonflés.
Extraordinairement, la femme jouit, en se cabrant comme un cheval fougueux. D'où elle est Amélie, elle voit le corps de la femme trembler. Tout en lui suçant les mamelons, l'homme lui malaxe les siens fortement, cela semble plaire à la femme qui geint de plus belle. Soudain un inconnu jaillit de dernière un fourré, il a la bite hors de son slip et se la masturbe sauvagement en s'approchant du couple.
Sans aucune gêne, il s'agenouille près de la femme et lui offre sa queue à sucer. La femme, surexcitée, saisit le manche de chair, le décalotte, l'observe un moment puis se met à lécher la boule de chair avec une espèce de rage. Amélie n'en croit pas ses yeux, la femme fait une fellation à un inconnu, pendant que son mari lui dévore les mamelons.
La femme fait tourner sa langue autour du gland, titille le frein et enfin le gobe. Les succions font geindre l'inconnu, qui saisit la tête de la femme par les cheveux et commence à lui baiser la bouche en lui enfonçant sa bite jusqu'aux couilles dans la bouche. Malgré des hauts le cœur, elle subit la gorge profonde sans repousser l'inconnu.
On entend les gémissements bruyants de l'homme, qui est sur le point d'exploser. Il tire fortement sur les cheveux de la femme et lui remplit la gorge de sperme. Il fait encore quelques allers et retours dans la bouche de la femme, se retire, puis disparait comme il était venu. La femme avale la totalité de la décharge. Son mari la regard et lui dit :
-C'est bon, Jeannette !
La femme en s'essuyant d'un revers de la main ses lèvres répond :
-Hum délicieux mon chéri !
Son mari passe sa main sur le ventre de sa femme et la dirige vers la salle de jeu. Il passe plusieurs fois sur le fin tissu qui voile à peine la fente, puis l'écarte. La chatte de la femme est trempée. Son mari joue avec son clito un bon moment avant de le branler énergiquement. La femme se cabre et garde la pose, cambré comme un pont, elle offre son fruit juteux aux doigts habiles, qui lui maltraitent le clito.
Une jouissance terrible la fait retomber sur le sol. L'homme bande terriblement, il retire son maillot et prend place entre les cuisses de sa femme, d'une main, il maintient la culotte écartée et lui plonge sa bite profondément dans le ventre. Les coups de reins sont féroces et très appuyés. À chaque enfoncement du mandrin dans son ventre, la femme pousse des gémissements d'agonisantes. Le va-et-vient déclenche une violente jouissance. La femme ne crie plus, elle hurle. Son mari continue de lui défoncer la chatte, en poussant à chaque coup de reins un han de bucheron. Les cris de la femme attirent l'attention d'un couple de promeneurs.
Le couple s'arrête à hauteur des baiseurs, la femme se penche et ose palper les seins de Jeannette, elle les soupèse comme pour en connaitre la texture.
Son compagnon, lui, regarde la bite puissante de Roger qui voyage dans le ventre de la soumise. Roger se cabre et remplit le ventre de sa femme qui ne cesse de gémir. Il se retire et offre son outil gluant aux lèvres charnues de sa femme, qui s'empresse de le prendre en bouche.
L'homme reste un instant bouche bée, puis, incité par sa compagne, sort de son short sa bite qui est raide comme un morceau de bois et se place entre les cuisses ouvertes de Jeannette. C'est sa compagne qui lui dirige la bite vers la chatte engorgée de sperme. Un petit coup de reins et le voila enfoncé dans le ventre de jeannette qui pousse un râle. Les coups de reins sont terribles, tout en suçant la bite de son mari, Jeannette gémit sous les assauts de son amant inconnu. Le bougre ne la ménage pas, il la défonce avec sauvagerie.
Jeannette jouit encore une fois en même temps que son baiseur. Il se retire. C'est sa compagne qui se place entre les jambes de Jeannette. La femme enfonce un à un ses doigts dans la chatte gluante. Avec une persévérance inouïe, la femme réussie à y enfoncer sa main entièrement dans la chatte brûlante de Jeannette, qui recrache la bite de son mari pour se cabrer. Amélie n'en revient pas, c'est la première fois qu'elle voit une main entière fouiller la chatte d'une femme.
Sa vulve est devenue un torrent, sa culotte est très, très humide. Elle pose sa main dessus et la presse pour atténuer le flot qui s'échappe de son puits d'amour. Elle regarde Jeannette qui agite son bassin en grognant sous le va-et-vient violent que la femme lui impose. Une nouvelle jouissance la fait rugir. Son corps est secoué de spasmes violents, elle a plusieurs orgasmes à la suite. La femme lentement retire sa main du ventre qui ne cesse de s'agiter, comme pris de convulsions.
Le couple s'approche d'Amélie, la femme lui dit en souriant :
-Alors ma belle, on fait la voyeuse !
Très gênée, Amélie tente de se justifier, mais en vain. Le couple s'assied de chaque côté d'elle. La femme en regardant le bas-ventre d'Amélie lui dit :
-Oh, mais madame mouille, sa culotte est trempée, regarde mon chéri dans quel état est madame, nous devons lui venir en aide, tu ne crois pas !L'homme en souriant :
-Oui, je crois que madame en à besoin ma chérie !
Les deux se présentent, elle c'est Olga lui Marc, Amélie donne son nom. Ils entament une discution sur ce qui vient de se passer, la femme dit en regardant droit dans les yeux Amélie :
-Je crois que ce spectacle, t'a autant excité que moi, moi aussi j'ai des chaleurs, j'ai la chatte en feu, regarde !
Elle saisit la main d'Amélie et en retroussant sa jupe, la pose sur son bas-ventre. En effet sa culotte est aussi trempée que la sienne. Olga dit en souriant :
-Et si on se faisait un petit plaisir, pour calmer nos émotions !
Amélie, rougit et dit :
-Ca ne va pas non !
Olga éclate de rire et ajoute :
-Et alors eux viennent d'avoir leur compte, ils ne sont plus aptes, les autres ont beaucoup trop loin, personne ne nous verra !
En disant cela, Olga retire sa culotte et écarte sa vulve avec ses doigts en montrant l'interieur rouge vif de son conduit dit :
-Regarde elle ne te plait pas !
Amélie répond avec des trémolos dans la voix :
-Je ne suis pas lesbienne !
Olga répliqe :
-Alors il faut un début à tout, marc montre lui ta queue qu'elle voit, avec quoi tu vas lui travailler le ventre !
Amélie est mal à l'aise, Marc exhibe sa bite en l'agitant devant ses yeux.
Amélie se dit qu'elle est tombée dans un coin de pervers, renfile sa jupe, et sans saluer les deux inconnus, se hate de rentrer chez elle. Elle se laisse tomber sur le canapé, et se remémore ce qu'elle à vécue. Elle à chaud, sa peau est moite, elle est très nerveuse. Elle décide de prendre une douche, dans la salon elle s'effeuille. Ses vêtements jonchent le sol.
Puis elle se laisse retomber sur le canapé. C'est plus fort qu'elle elle revoit les scénes comme si elle y était encore. Elle ne peut s'ôter de la tête la main qui fouillait Jeannette, elle se pince les lèvres en se demandant encore comment que c'est possible, une chose pareille. Machinalement sa main se pose sur sa chatte qui s'échauffe, plus Amélie repense à ce qu'elle à vue, plus elle s'excite.
En fermant les yeux, elle se caresse doucement les grandes lèvres, qui au fur et à mesure des douces palpations enflent. Au bout d'un moment, ce n'est plus tenable pour Amélie. Elle saisit son clito dèjà bien gonflé, et le branle rageusement en serrant les dents. Rapidement elle jouit en poussant un gémissement affreux. Son souffle et court, sa respiration rapide.
Elle à quelque chose en tête, elle ouvre largement les cuisses et tente de se fister. La coquine en faisant des gros efforts, arrive à s'enfoncer quatre doigts dans la chatte. Comme la position n'est pas aisée, le cinquiéme ne peut rejooindre les autres. Après avoir jouit une seconde fois, elle doit renoncer à la pénétration extrême. Elle va prendre sa douche.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai inversé les lectures..le deux avant le un
Même effet..🥵🥵
Même effet..🥵🥵
Encore une lecture très agitée, mon Dieu quel pied.
très forte érection merci à l'auteure
Ouah chaud chaud
Lucette
Lucette
Comme souvent après la lecture de tes récits, mon mari me défonce, que du plaisir.
Francie et Luc
Francie et Luc
Je bande comme un taureau
Roger
Roger
Encore une masturbation, merci Linsee pour les jouissances que tu le donnes.
Johanna
Johanna
Que du bonheur
Très bon récit, il monte doucement pour arriver à son paroxysme ainsi que notre excitation, merci.
Amélie va-t-elle se laisser tenter? Je dois dire, chère linsee, que je me suis retrouvée sans problèmes dans le personnage de ton Olga!