La dispute
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La dispute
Ce matin, en buvant mon café, il m'est revenu une anecdote, qui m'a fait sourire intérieurement.
C'était un peu après l'époque ou je baisais avec Gilles, l'homme du réveillon du jour de l'an !
Bref, nos vies de famille ne nous permettaient de nous voir qu'au Sex-Shop, ou au petit bois du bord de Mer.
Mais, sans moyen de communication, on ne se trouvait pas souvent !
Bref, le hasard ne nous a pas aidé, et j'ai du rester presque un an, sans baiser avec lui !
J'avais de ses nouvelles par son fils, qui était un très bon ami.
La situation de son couple ne s'arrangeait pas, même son fils, ne comprenait pas pourquoi ses parents restaient ensemble !
Ce jour là, avec Corinne, nous avions envie de nous promener sur une piste cyclable boisée, proche de notre appartement et de la maison de Gilles.
En arrivant près de chez lui, on entend des disputes, puis, je reconnais mon ami, qui essaie de calmer ses parents.
C'est surtout sa mère, qui est virulente ! Je vois Gilles s'éloigner sans me voir, en direction de la voie verte.
On dit bonjour à notre ami, en lui demandant ce qui se passe:
"Comme d'habitude ! Je comprends pas pourquoi ils restent ensemble ! Bon, je vais aller le chercher !".
"Tu veux pas que Pascal aille lui parler ? Il sait comment le prendre !". Dit Corinne.
"C'est pas une mauvaise idée ! Il t'écoute ! Je sais qu'il t'apprécie beaucoup ! Tu peux Pascal ?".
Je me retiens intérieurement, Corinne sait ce qui va se passer, elle me jette dans ses bras, c'est sur !
Celui qui prend l'autre, en l'occurrence, c'est pas moi !
"Vas y bébé ! Tu sais comment le calmer !". Me dit-elle, en ajoutant un clin d'œil discret !
"Bon, j'y vais, mais ne vous attendez pas à ce qu'on rentre vite !".
"Oui, prenez tout votre temps ! Moi, je vais calmer ma mère !".
Je prend la direction de la voie cyclable, en marchant vite pour le rattraper.
Au bout de quelques minutes, il se retourne et me reconnait.
"Oh, mon p'tit Pascal ! Tu tombes bien ! Qu'est-ce que tu fais là ?".
"C'est ton fils qui m'envoie ! Il pense que je sais te résonner ! Pourquoi, vous ne divorcez pas ? Les enfants sont grands, maintenant !".
"Je sais pas ! C'est vrai que c'est ce qu'il faudrait, mais elle refuse ! Elle me dit qu'elle veut pas finir seule ! Et c'est quand même la mère de mes enfants !".
"Peut-être, mais quand il n'y a plus d'amour, c'est l'enfer ! Je sais pas comment vous faites !".
"Je sais, mais il y a plein de choses à prendre en compte, l'aspect financier est important aussi ! Et avant, j'avais des bouffées d'air, de temps en temps !".
"Justement, depuis quand, t'as plus baisé ?".
"Je sais plus, des mois peut-être ! Trop longtemps en tout cas ! Tu me manques, pour ça !".
"T'as pas trouvé quelqu'un d'autre ?".
"Si, bien sûr, mais, ou ils ne me plaisent pas, ou je m'emmerde avec eux !".
"Ah ! Je comprends ! Bon, on arrive bientôt à la maison abandonnée ! Je suppose que tu aurais besoin de te soulager un peu !".
"T'es adorable ! Ca me ferait du bien, c'est vrai !".
On sort de la piste pour entrer dans la maison, il recommence à s'emporter en parlant de sa femme.
A l'intérieur, je l'entraine vers l'étage, dans les chiottes, seul endroit ou on peut s'enfermer avec un loquet.
Je le cale contre le mur, en l'embrassant.
"Chht ! Tu vas me baiser ! Défoules-toi, si tu veux ! Arrêtes de penser à elle !".
Je descend lentement vers son gros sexe, qu'il libère en sachant que je vais lui donner du plaisir buccal.
Il est dans une érection impressionnante, sa grosse verge me comble la gorge comme jamais.
Je sais déjà que mon cul va déguster copieusement !
"Ohrhhhhh ! Pascal, ça m'a manqué ! Putain, ce que c'est bon !".
"Mmmm ! Moi aussi, elle m'a manqué ! J'aime trop l'avoir dans ma bouche ! Pourquoi, on s'est pas vu plus souvent ?".
"Arhhh ! Je sais pas ! Orhh ! Oui, suces-moi ! Orhh ! Ca fait du bien !".
Au début, j'arrive à contenir son agressivité, il apprécie mes nombreux coups de langues vicieux, les aller retours, humides et chauds de ma gorge sur sa bite.
Mais, il est pris d'un besoin de sexe, trop longtemps refoulé.
Il me défonce la gorge, de plus en plus fort.
"Arghhhh ! Ma p'tite salope ! J'a envie de t'enculer ! Je peux ?".
"Mmmmmmm ! Pffffffffff ! Glllllllp ! Mmmmmoui ! Glllllll ! Gllllllll !".
Il sort de ma bouche trempée de salive, je me dénude les fesses, afin de gagner du temps.
Il me penche au dessus du bidet, je racle ma bouche pour me lubrifier l'anus.
En comprenant, qu'il est trop pressé de me pénétrer, je le retiens avec ma main sur son ventre.
"Ouhhhhhh ! Pas si vite, Gilles ! Laisses moi le temps de m'ouvrir un peu !".
"Pardon, bébé ! Ca fait trop longtemps ! T'en as envie toi aussi ?".
"Oui ! Ca me manque de jouir avec toi ! Arghhhhhhhh ! Orh, oui ! Orrhhhhh, elle m'a manqué !".
Sa grosse bite vient de se figer au fond de mon anus.
Ce plaisir que j'avais oublié ! Je me sens si bien, planté sur sa grosse et longue bite !
Il bouge sans attendre, je me cambre en mordant mon bras, le plaisir m'envahit déjà.
"Putain Pascal ! Laisses-moi entrer jusqu'au fond ! J'aime trop ça !".
"Ca va venir ! Je... crois.... Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça... arhhhhhhhhhhh!".
Il a atteint son but, coulisser dans mon cul, de la base de son énorme gland, à la naissance de son gros mandrin, en frappant ses couilles contre mes miennes.
Je contiens mes hurlements d'orgasme anal, avec mon bras contre ma bouche.
Il secoue mon corps fragile, en m'empalant sans retenue, il commence à se lâcher verbalement.
Je redeviens sa pute, sa chienne, sa salope adorée.
Je lui confirme que j'aime être tout ça ! Que j'aime jouir comme ça, sur son énorme bite qui me déchire le cul.
Les orgasmes se succèdent, de plus en plus forts, puis j'atteint le plaisir ultime.
Mes yeux se troublent de larmes de bonheur anal, mon corps se relâche.
J'ai l'impression qu'on pourrait m'insérer n'importe quoi dans le cul, tant mon anus est ouvert et habitué aux assauts.
"Arhh ! Mon bébé ! Je vais éjaculer ! C'est trop bon de te casser le cul !".
"Non ! S'il te plait ! Pas dans le cul ! Je vais pas pouvoir me nettoyer après ! Dans ma bouche, c'est mieux !".
Il serre la base de sa grosse bite en se reculant.
Je me retourne en m'agenouillant devant lui, mon anus est tellement béant que je sens de l'air frais, au fond de moi.
Je serre mon muscle anal, pendant qu'il m'enfonce son gros gland dans la gorge.
Il écarte ses doigts, pendant que j'agrippe sa bite en glissant sur elle, pour m'empaler plus profondément.
Une douce chaleur salée, me prévient que je dois serrer mes lèvres sur sa verge.
J'avale rapidement, la quantité de cette première giclée de foutre est impressionnante.
J'ai un léger reflux que je contiens, le sperme chaud rempli à nouveau ma cavité buccale.
J'avale encore, Gilles grogne de plaisir à chaque éjection.
Je commence à bander, tant j'aime qu'il m'abreuve de son jus, avec autant d'abondance.
Il me traite de "salope gourmande" en m'abreuvant de foutre.
Je bande encore plus fort, c'est trop excitant pour moi !
Je bois toute sa semence en plusieurs gorgées, puis il me redresse et me plante à nouveau sa bite dans l'anus.
Il me masturbe un peu, en m'enculant.
Il use de mon jus anal, comme lubrifiant sur ses doigts, qui me branlent parfaitement.
Chaque assaut augmente mon double plaisir.
"J'veux que tu jouisses autant que moi, Pascal ! Viens, mon bébé !".
"Oui, Gilles ! Arghhhhhhhhhhh ! Argggggggggggggggg!".
Mon foutre gicle contre le bidet, en maculant ses doigts au passage, qui ramène la substance sur ma verge augmentant l'effet de gel naturel.
Je prend un dernier orgasme anal, en ressentant très profondément, son énorme gland dans mes entrailles.
Ce double orgasme est si intense, je ne regrette pas d'être là !
"Tu peux pas savoir, comme ça m'a fait du bien ! Je suis bien ! Comme ça ! Bien enfoncé dans ta p'tite chatte !".
Il me caresse les cuisses, les hanches, les fesses, je me cambre sur lui.
Puis, je passe une main derrière moi, pour caresser sa nuque pendant qu'il me mord le cou, en bougeant encore en moi.
"Arhhh ! Gilles ! C'est bon ! Mais ils nous attendent !".
"Je m'en fous ! Il t'as dis quoi, mon fils ?".
"Mmm, Orhh ! De prendre tout notre temps !".
"Tu vois ! J'ai pas envie de te laisser ! J'aime trop vivre ça, avec toi !".
Je me laisse aimer un long moment, puis ses tendres assauts s'amplifient et reprennent de la puissance.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Gilles ! Qu'est ce que... ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !".
"Je sais pas ! J'ai encore envie de toi ! Je veux encore jouir !".
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !...".
Je subis de nouvelles montées de plaisir anal, qui augmentent en intensité jusqu'à me faire planer encore.
Je me laisse secouer et détruire l'anus inlassablement.
S'il n'a pas tenu plus de dix minutes, la première fois, ce n'est pas le cas, à présent.
J'aurai adoré changer de position, mais les circonstances ne nous le permettent pas.
J'aime ressentir l'impression de ne plus être qu'un énorme masturbateur humain.
Il se branle la bite dans mon cul, sans discontinuer, me procurant orgasme sur orgasme.
J'endosse tous les rôles qu'il me donne, la salope, le vide-couilles, etc...
Je me suis calé contre le mur pour encaisser ses assauts destructeurs.
Je vois mon sperme qui brille dans le bidet sale, je devine que la fente de mes cuisses est trempée de jus anal.
Parfois, le bruit des gouttes qui rejoignent le sol, se joint à nos râles pervers.
Je suis sevré de plaisir, j'en peux plus !
"Gilles ! Arghhhhhhhh ! T'es en train de me tuer ! Jouis ! s'il te plait ! Arghhhhhhhh ! ".
"Bientôt mon bébé, encore un peu !".
Encore un peu ? Il m'a encore enculé plus de dix minutes supplémentaires ! Qui s'ajoutaient aux plus de trente précédentes !
Depuis qu'on est entré dans la maison, cela fait plus d'une heure qu'il me défonce ! Il s'est bien rattrapé le salaud !
"Arhh ! tu veux encore mon foutre ?".
"Oui, comme tout à l'heure !".
On réitère notre éjaculation buccale, il est beaucoup moins abondant que la première fois, mais il a l'air de jouir plus intensément !
"Oh putain, tu m'as vidé, bébé ! J'ai plus d'énergie !".
"Parce que tu crois que moi, je vais mieux ? Heureusement que je t'ai avalé parce qu'avec le cul dans cet état, j'aurai pas pu gérer ton sperme ! Orhhhhh ! J'espère que Corinne comprendra que je peux plus faire grand chose maintenant !".
Il me redresse et m'embrasse tendrement.
"Merci, mon bébé ! Je t'adore mon p'tit Pascal !".
Je souris, j'aime ces petits mots doux, ils contrastent avec la fougue de ses défonces anales.
"On rentre ? C'est bon ?".
"Oh, oui, c'est bon ! C'était même, très, très bon ! Excellent, je dirais !".
"Enfoiré ! Je vais pas faire ça, à chaque fois que tu te prends la tête avec ta femme !".
"Non, sinon, je m'engueule tous les jours !".
On s'éclate de rire ! Je me tiens le ventre plusieurs fois, je sais que je vais devoir rentrer pour prendre un anti douleur.
Mais, j'ai pris trop de plaisir pour m'en plaindre !
Au retour, Corinne comprend, au regard du temps écoulé, et à mon visage, que j'ai encaissé une grosse défonce anale.
Elle constate que le visage apaisé de Gilles, satisfait son fils.
"Merci, Pascal ! Je crois que même moi, j'aurais pas pu le calmer, comme toi !".
C'est sûr, mais il ne connait pas mon moyen de persuasion !
"T'as un super copain avec Pascal ! C'est un mec bien ! Bon, ta mère est calmée ?".
"Elle boude dans son coin !".
"Merci, Corinne de m'avoir envoyé ton homme ! Je sais ce que ça te coutes !".
"De rien, Il sait comment te faire redescendre, je vois !".
"Oui, il a de bons arguments ! Merci à vous deux, ça m'a fait du bien, jusqu'à la prochaine !".
Son fils enchaine:
"Papa ! Il va falloir sérieusement penser à divorcer ! C'est mieux pour vous deux !".
"Dis ça, à ta mère ! Je demande que ça !".
Corinne et moi reprenons notre ballade, on repasse devant la maison abandonnée.
Je lui révèle qu'il s'est "calmé sur moi" à l'intérieur, et lui demande de me laisser y retourner, pour évacuer un reflux de jus anal.
Elle m'a donné quelques kleenex pour m'essuyer.
Je reviens vers elle, en meilleure forme.
Je lui demande un comprimé de paracétamol, qu'elle sort de son sac avec une petite bouteille d'eau.
"Vous êtes restés longtemps ! Je trouve !".
"Il m'a enculé deux fois de suite ! Pendant plus d'une heure ! On a presque pas parlé ! Je sens plus mon cul !".
"Oufff ! T'as du déguster alors !".
"Il avait pas baisé depuis plusieurs mois apparemment ! J'aimerai bien le soulager plus souvent, mais j'ai ma vie aussi !".
"T'aimes bien baiser avec lui ! Non ?".
"Oui, tu le sais ! Il me fais jouir comme personne !".
"Ben, essaie de le voir plus souvent !".
"Comment ? Habituellement, on se voit au Sex-shop ! Mais, on y va pas aux mêmes jours !".
"Et, passer chez lui, pour aller dans la maison abandonnée ?".
"Euh, je sais pas ! On risque de nous surprendre un jour ! On verra ! J'irai le voir plus souvent, on trouvera quelque chose ensuite !".
C'est à cette époque, qu'on a écumé les endroits insolites, jusqu'à me faire défoncer dans un couloir d'immeuble ancien.
On a réussi, à forcer un vieux grenier, dans une vieille bâtisse habitée de plusieurs locataires, je me donnais à lui, sur un tas de vieux vêtements, sur le sol.
Puis, un cadenas énorme a empêché de réutiliser l'endroit.
Quand sa femme était absente, c'était bien plus simple !
Puis, j'ai déménagé, ce qui nous a éloigné une nouvelle fois, jusqu'à ce qu'il me surprenne à mon nouveau magasin !
Nos relations se sont étalées sur plus de 15 ans ! C'était mon amant, le plus régulier !
Il a eu un grand sourire de satisfaction, quand je suis passé le prévenir, un mois après sa dispute, qu'il pouvait venir chez moi à nouveau.
Mais seulement pendant le mois, ou mon enfant passait ses vacances chez mamie !
Mais ça c'est une autre histoire !
C'était un peu après l'époque ou je baisais avec Gilles, l'homme du réveillon du jour de l'an !
Bref, nos vies de famille ne nous permettaient de nous voir qu'au Sex-Shop, ou au petit bois du bord de Mer.
Mais, sans moyen de communication, on ne se trouvait pas souvent !
Bref, le hasard ne nous a pas aidé, et j'ai du rester presque un an, sans baiser avec lui !
J'avais de ses nouvelles par son fils, qui était un très bon ami.
La situation de son couple ne s'arrangeait pas, même son fils, ne comprenait pas pourquoi ses parents restaient ensemble !
Ce jour là, avec Corinne, nous avions envie de nous promener sur une piste cyclable boisée, proche de notre appartement et de la maison de Gilles.
En arrivant près de chez lui, on entend des disputes, puis, je reconnais mon ami, qui essaie de calmer ses parents.
C'est surtout sa mère, qui est virulente ! Je vois Gilles s'éloigner sans me voir, en direction de la voie verte.
On dit bonjour à notre ami, en lui demandant ce qui se passe:
"Comme d'habitude ! Je comprends pas pourquoi ils restent ensemble ! Bon, je vais aller le chercher !".
"Tu veux pas que Pascal aille lui parler ? Il sait comment le prendre !". Dit Corinne.
"C'est pas une mauvaise idée ! Il t'écoute ! Je sais qu'il t'apprécie beaucoup ! Tu peux Pascal ?".
Je me retiens intérieurement, Corinne sait ce qui va se passer, elle me jette dans ses bras, c'est sur !
Celui qui prend l'autre, en l'occurrence, c'est pas moi !
"Vas y bébé ! Tu sais comment le calmer !". Me dit-elle, en ajoutant un clin d'œil discret !
"Bon, j'y vais, mais ne vous attendez pas à ce qu'on rentre vite !".
"Oui, prenez tout votre temps ! Moi, je vais calmer ma mère !".
Je prend la direction de la voie cyclable, en marchant vite pour le rattraper.
Au bout de quelques minutes, il se retourne et me reconnait.
"Oh, mon p'tit Pascal ! Tu tombes bien ! Qu'est-ce que tu fais là ?".
"C'est ton fils qui m'envoie ! Il pense que je sais te résonner ! Pourquoi, vous ne divorcez pas ? Les enfants sont grands, maintenant !".
"Je sais pas ! C'est vrai que c'est ce qu'il faudrait, mais elle refuse ! Elle me dit qu'elle veut pas finir seule ! Et c'est quand même la mère de mes enfants !".
"Peut-être, mais quand il n'y a plus d'amour, c'est l'enfer ! Je sais pas comment vous faites !".
"Je sais, mais il y a plein de choses à prendre en compte, l'aspect financier est important aussi ! Et avant, j'avais des bouffées d'air, de temps en temps !".
"Justement, depuis quand, t'as plus baisé ?".
"Je sais plus, des mois peut-être ! Trop longtemps en tout cas ! Tu me manques, pour ça !".
"T'as pas trouvé quelqu'un d'autre ?".
"Si, bien sûr, mais, ou ils ne me plaisent pas, ou je m'emmerde avec eux !".
"Ah ! Je comprends ! Bon, on arrive bientôt à la maison abandonnée ! Je suppose que tu aurais besoin de te soulager un peu !".
"T'es adorable ! Ca me ferait du bien, c'est vrai !".
On sort de la piste pour entrer dans la maison, il recommence à s'emporter en parlant de sa femme.
A l'intérieur, je l'entraine vers l'étage, dans les chiottes, seul endroit ou on peut s'enfermer avec un loquet.
Je le cale contre le mur, en l'embrassant.
"Chht ! Tu vas me baiser ! Défoules-toi, si tu veux ! Arrêtes de penser à elle !".
Je descend lentement vers son gros sexe, qu'il libère en sachant que je vais lui donner du plaisir buccal.
Il est dans une érection impressionnante, sa grosse verge me comble la gorge comme jamais.
Je sais déjà que mon cul va déguster copieusement !
"Ohrhhhhh ! Pascal, ça m'a manqué ! Putain, ce que c'est bon !".
"Mmmm ! Moi aussi, elle m'a manqué ! J'aime trop l'avoir dans ma bouche ! Pourquoi, on s'est pas vu plus souvent ?".
"Arhhh ! Je sais pas ! Orhh ! Oui, suces-moi ! Orhh ! Ca fait du bien !".
Au début, j'arrive à contenir son agressivité, il apprécie mes nombreux coups de langues vicieux, les aller retours, humides et chauds de ma gorge sur sa bite.
Mais, il est pris d'un besoin de sexe, trop longtemps refoulé.
Il me défonce la gorge, de plus en plus fort.
"Arghhhh ! Ma p'tite salope ! J'a envie de t'enculer ! Je peux ?".
"Mmmmmmm ! Pffffffffff ! Glllllllp ! Mmmmmoui ! Glllllll ! Gllllllll !".
Il sort de ma bouche trempée de salive, je me dénude les fesses, afin de gagner du temps.
Il me penche au dessus du bidet, je racle ma bouche pour me lubrifier l'anus.
En comprenant, qu'il est trop pressé de me pénétrer, je le retiens avec ma main sur son ventre.
"Ouhhhhhh ! Pas si vite, Gilles ! Laisses moi le temps de m'ouvrir un peu !".
"Pardon, bébé ! Ca fait trop longtemps ! T'en as envie toi aussi ?".
"Oui ! Ca me manque de jouir avec toi ! Arghhhhhhhh ! Orh, oui ! Orrhhhhh, elle m'a manqué !".
Sa grosse bite vient de se figer au fond de mon anus.
Ce plaisir que j'avais oublié ! Je me sens si bien, planté sur sa grosse et longue bite !
Il bouge sans attendre, je me cambre en mordant mon bras, le plaisir m'envahit déjà.
"Putain Pascal ! Laisses-moi entrer jusqu'au fond ! J'aime trop ça !".
"Ca va venir ! Je... crois.... Arghhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça... arhhhhhhhhhhh!".
Il a atteint son but, coulisser dans mon cul, de la base de son énorme gland, à la naissance de son gros mandrin, en frappant ses couilles contre mes miennes.
Je contiens mes hurlements d'orgasme anal, avec mon bras contre ma bouche.
Il secoue mon corps fragile, en m'empalant sans retenue, il commence à se lâcher verbalement.
Je redeviens sa pute, sa chienne, sa salope adorée.
Je lui confirme que j'aime être tout ça ! Que j'aime jouir comme ça, sur son énorme bite qui me déchire le cul.
Les orgasmes se succèdent, de plus en plus forts, puis j'atteint le plaisir ultime.
Mes yeux se troublent de larmes de bonheur anal, mon corps se relâche.
J'ai l'impression qu'on pourrait m'insérer n'importe quoi dans le cul, tant mon anus est ouvert et habitué aux assauts.
"Arhh ! Mon bébé ! Je vais éjaculer ! C'est trop bon de te casser le cul !".
"Non ! S'il te plait ! Pas dans le cul ! Je vais pas pouvoir me nettoyer après ! Dans ma bouche, c'est mieux !".
Il serre la base de sa grosse bite en se reculant.
Je me retourne en m'agenouillant devant lui, mon anus est tellement béant que je sens de l'air frais, au fond de moi.
Je serre mon muscle anal, pendant qu'il m'enfonce son gros gland dans la gorge.
Il écarte ses doigts, pendant que j'agrippe sa bite en glissant sur elle, pour m'empaler plus profondément.
Une douce chaleur salée, me prévient que je dois serrer mes lèvres sur sa verge.
J'avale rapidement, la quantité de cette première giclée de foutre est impressionnante.
J'ai un léger reflux que je contiens, le sperme chaud rempli à nouveau ma cavité buccale.
J'avale encore, Gilles grogne de plaisir à chaque éjection.
Je commence à bander, tant j'aime qu'il m'abreuve de son jus, avec autant d'abondance.
Il me traite de "salope gourmande" en m'abreuvant de foutre.
Je bande encore plus fort, c'est trop excitant pour moi !
Je bois toute sa semence en plusieurs gorgées, puis il me redresse et me plante à nouveau sa bite dans l'anus.
Il me masturbe un peu, en m'enculant.
Il use de mon jus anal, comme lubrifiant sur ses doigts, qui me branlent parfaitement.
Chaque assaut augmente mon double plaisir.
"J'veux que tu jouisses autant que moi, Pascal ! Viens, mon bébé !".
"Oui, Gilles ! Arghhhhhhhhhhh ! Argggggggggggggggg!".
Mon foutre gicle contre le bidet, en maculant ses doigts au passage, qui ramène la substance sur ma verge augmentant l'effet de gel naturel.
Je prend un dernier orgasme anal, en ressentant très profondément, son énorme gland dans mes entrailles.
Ce double orgasme est si intense, je ne regrette pas d'être là !
"Tu peux pas savoir, comme ça m'a fait du bien ! Je suis bien ! Comme ça ! Bien enfoncé dans ta p'tite chatte !".
Il me caresse les cuisses, les hanches, les fesses, je me cambre sur lui.
Puis, je passe une main derrière moi, pour caresser sa nuque pendant qu'il me mord le cou, en bougeant encore en moi.
"Arhhh ! Gilles ! C'est bon ! Mais ils nous attendent !".
"Je m'en fous ! Il t'as dis quoi, mon fils ?".
"Mmm, Orhh ! De prendre tout notre temps !".
"Tu vois ! J'ai pas envie de te laisser ! J'aime trop vivre ça, avec toi !".
Je me laisse aimer un long moment, puis ses tendres assauts s'amplifient et reprennent de la puissance.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Gilles ! Qu'est ce que... ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !".
"Je sais pas ! J'ai encore envie de toi ! Je veux encore jouir !".
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !...".
Je subis de nouvelles montées de plaisir anal, qui augmentent en intensité jusqu'à me faire planer encore.
Je me laisse secouer et détruire l'anus inlassablement.
S'il n'a pas tenu plus de dix minutes, la première fois, ce n'est pas le cas, à présent.
J'aurai adoré changer de position, mais les circonstances ne nous le permettent pas.
J'aime ressentir l'impression de ne plus être qu'un énorme masturbateur humain.
Il se branle la bite dans mon cul, sans discontinuer, me procurant orgasme sur orgasme.
J'endosse tous les rôles qu'il me donne, la salope, le vide-couilles, etc...
Je me suis calé contre le mur pour encaisser ses assauts destructeurs.
Je vois mon sperme qui brille dans le bidet sale, je devine que la fente de mes cuisses est trempée de jus anal.
Parfois, le bruit des gouttes qui rejoignent le sol, se joint à nos râles pervers.
Je suis sevré de plaisir, j'en peux plus !
"Gilles ! Arghhhhhhhh ! T'es en train de me tuer ! Jouis ! s'il te plait ! Arghhhhhhhh ! ".
"Bientôt mon bébé, encore un peu !".
Encore un peu ? Il m'a encore enculé plus de dix minutes supplémentaires ! Qui s'ajoutaient aux plus de trente précédentes !
Depuis qu'on est entré dans la maison, cela fait plus d'une heure qu'il me défonce ! Il s'est bien rattrapé le salaud !
"Arhh ! tu veux encore mon foutre ?".
"Oui, comme tout à l'heure !".
On réitère notre éjaculation buccale, il est beaucoup moins abondant que la première fois, mais il a l'air de jouir plus intensément !
"Oh putain, tu m'as vidé, bébé ! J'ai plus d'énergie !".
"Parce que tu crois que moi, je vais mieux ? Heureusement que je t'ai avalé parce qu'avec le cul dans cet état, j'aurai pas pu gérer ton sperme ! Orhhhhh ! J'espère que Corinne comprendra que je peux plus faire grand chose maintenant !".
Il me redresse et m'embrasse tendrement.
"Merci, mon bébé ! Je t'adore mon p'tit Pascal !".
Je souris, j'aime ces petits mots doux, ils contrastent avec la fougue de ses défonces anales.
"On rentre ? C'est bon ?".
"Oh, oui, c'est bon ! C'était même, très, très bon ! Excellent, je dirais !".
"Enfoiré ! Je vais pas faire ça, à chaque fois que tu te prends la tête avec ta femme !".
"Non, sinon, je m'engueule tous les jours !".
On s'éclate de rire ! Je me tiens le ventre plusieurs fois, je sais que je vais devoir rentrer pour prendre un anti douleur.
Mais, j'ai pris trop de plaisir pour m'en plaindre !
Au retour, Corinne comprend, au regard du temps écoulé, et à mon visage, que j'ai encaissé une grosse défonce anale.
Elle constate que le visage apaisé de Gilles, satisfait son fils.
"Merci, Pascal ! Je crois que même moi, j'aurais pas pu le calmer, comme toi !".
C'est sûr, mais il ne connait pas mon moyen de persuasion !
"T'as un super copain avec Pascal ! C'est un mec bien ! Bon, ta mère est calmée ?".
"Elle boude dans son coin !".
"Merci, Corinne de m'avoir envoyé ton homme ! Je sais ce que ça te coutes !".
"De rien, Il sait comment te faire redescendre, je vois !".
"Oui, il a de bons arguments ! Merci à vous deux, ça m'a fait du bien, jusqu'à la prochaine !".
Son fils enchaine:
"Papa ! Il va falloir sérieusement penser à divorcer ! C'est mieux pour vous deux !".
"Dis ça, à ta mère ! Je demande que ça !".
Corinne et moi reprenons notre ballade, on repasse devant la maison abandonnée.
Je lui révèle qu'il s'est "calmé sur moi" à l'intérieur, et lui demande de me laisser y retourner, pour évacuer un reflux de jus anal.
Elle m'a donné quelques kleenex pour m'essuyer.
Je reviens vers elle, en meilleure forme.
Je lui demande un comprimé de paracétamol, qu'elle sort de son sac avec une petite bouteille d'eau.
"Vous êtes restés longtemps ! Je trouve !".
"Il m'a enculé deux fois de suite ! Pendant plus d'une heure ! On a presque pas parlé ! Je sens plus mon cul !".
"Oufff ! T'as du déguster alors !".
"Il avait pas baisé depuis plusieurs mois apparemment ! J'aimerai bien le soulager plus souvent, mais j'ai ma vie aussi !".
"T'aimes bien baiser avec lui ! Non ?".
"Oui, tu le sais ! Il me fais jouir comme personne !".
"Ben, essaie de le voir plus souvent !".
"Comment ? Habituellement, on se voit au Sex-shop ! Mais, on y va pas aux mêmes jours !".
"Et, passer chez lui, pour aller dans la maison abandonnée ?".
"Euh, je sais pas ! On risque de nous surprendre un jour ! On verra ! J'irai le voir plus souvent, on trouvera quelque chose ensuite !".
C'est à cette époque, qu'on a écumé les endroits insolites, jusqu'à me faire défoncer dans un couloir d'immeuble ancien.
On a réussi, à forcer un vieux grenier, dans une vieille bâtisse habitée de plusieurs locataires, je me donnais à lui, sur un tas de vieux vêtements, sur le sol.
Puis, un cadenas énorme a empêché de réutiliser l'endroit.
Quand sa femme était absente, c'était bien plus simple !
Puis, j'ai déménagé, ce qui nous a éloigné une nouvelle fois, jusqu'à ce qu'il me surprenne à mon nouveau magasin !
Nos relations se sont étalées sur plus de 15 ans ! C'était mon amant, le plus régulier !
Il a eu un grand sourire de satisfaction, quand je suis passé le prévenir, un mois après sa dispute, qu'il pouvait venir chez moi à nouveau.
Mais seulement pendant le mois, ou mon enfant passait ses vacances chez mamie !
Mais ça c'est une autre histoire !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut M@ximus, on a les mêmes faiblesses apparemment ! Personnellement, j'ai mis du temps à l'assumer !
Mais c'est tellement jouissif et envoutant, que j'y revenais sans cesse !
Mais c'est tellement jouissif et envoutant, que j'y revenais sans cesse !
Salut Pascal,
Belle histoire qui me rappelle tant de belles sensations.
Se faire enculer par un gros mandrin est exquis pour qui sait l’encaisser, pour peu que ce soit fait par un bon amant.
Tu as bien su retranscrire la sensation de vide et le frisson provoqué lorsque le gros nœud quitte un cul qui s’est bien fait dilater et que dire de l’euphorie que procure le fait de faire volte-face pour emboucher son mec afin de recevoir son foutre. L’ivresse du sexe entre mâles est limitless !
C’est bien connu, les hommes préfèrent les grosses ;-)
Bonne continuation !
M@ximus
Belle histoire qui me rappelle tant de belles sensations.
Se faire enculer par un gros mandrin est exquis pour qui sait l’encaisser, pour peu que ce soit fait par un bon amant.
Tu as bien su retranscrire la sensation de vide et le frisson provoqué lorsque le gros nœud quitte un cul qui s’est bien fait dilater et que dire de l’euphorie que procure le fait de faire volte-face pour emboucher son mec afin de recevoir son foutre. L’ivresse du sexe entre mâles est limitless !
C’est bien connu, les hommes préfèrent les grosses ;-)
Bonne continuation !
M@ximus