LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (4/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (4/14)
Une pute d’autoroute, je suis devenue une pute d’autoroute, hier j’ai sucée un jeune puceau avec qui j’ai repris goût au sexe et 12 routiers à qui j’ai fait des fellations empochant 240 €.
C’est grâce à cet argent que je me laisse tomber sur un lit que je viens de louer dans l’hôtel ou pendant des jours j’ai rêvé de venir quand je dormais dans ma voiture.
Cinq minutes à profiter du matelas avec Juliette qui s’est laissée tomber elle aussi à mes côtés et je me relève pour nous faire couler un bain.
Depuis ma jeunesse dans les douches d’un gymnase c’est la première fois or télé que je vois une autre femme aussi nue que moi.
Dans ces années-là j’aurais pu devenir lesbienne ayant une attirance certaine pour mon amie Joselyne qui venait à la maison sous couvert de faire nos devoirs.
Un jour où nous avions franchi quelques étapes ses mains ayant glissé l’une sur ma poitrine l’autre dans ma petite culotte au moment où je ressentais un début d’émoi la porte de ma chambre s’est ouverte et ma mère est entrée.
• Regardez-moi cette traîner, une vraie dévergondée et toi Henriette tu te laisses tripoter, tu risques d’attraper sa maladie, dégage petite salope.
Pour ma mère à cette époque être lesbienne s’apparentait à une maladie, c’est comme cela que mes parents mon envoyée dans une école catholique où j’étais encadrée de bonnes sœurs jusqu'à ce que j’en sorte pour aller en fac mais surtout par me marier au grand soulagement de mes parents.
Juliette vient dans l’eau et je la rejoins, nous sommes face à face et après quelques secondes profitant de l’eau chaude elle se relève se retourne et s’assoit dos à moi venant s’appuyer sur ma poitrine.
Mon bras est coincé, je le fais passer devant elle, ma main venant englober son sein qui frissonne malgré l’eau chaude.
Mon autre bras en fait de même mais ma main comme elle dans ma voiture se porte vers son sexe qui est mouillée, normal nous sommes dans l’eau.
Elle tourne sa tête et nos bouches vont pour se rejoindre.
• Attends une seconde.
Elle sort de l’eau et va jusqu’au lavabo, elle prend le petit tube de dentifrice et la brosse dans son sac de protection en plastique fourni par l’hôtel et se brosse les dents.
Elle est dégoulinante d’eau, la salle de bain va être trempée et les employés vont avoir double de travail, elle me rejoint m’apportant la brosse à dents.
• Ouvre ta bouche !
Je suis comme une enfant attendant les initiatives de Juliette, elle me brosse les dents sans se poser de questions si le faîte qu’elle se soit servi de la même brosse me pose problème mais j’accepte tout ce qui m’aurait déplu il y a peu.
Elle repose le tout et me rejoint, s’agenouillant devant moi.
Je suis dans l’attente de la suite, j’ai nettement l’impression que je souhaite intensément rependre ma vie dans ma chambre de jeune fille au moment où Joselyne commençait à me mettre la main sur ma chatte pour voir si la venue de ma mère à inverser le cours de ma vie.
• Donne-moi ta bouche, elle sent le dentifrice, fini nos haleines de fennec, surtout moi après la cuite que j’ai prise hier.
• Tu aurais pu y laisser la vie, conduire en étant bourrer sur une autoroute c’est une folie.
• Détrompe-toi, je conduis mieux dans cet état que quand je suis sobre, j’ai eu deux accidents, les deux fois je sortais d’une cure de désintoxication.
Sa main, plutôt deux doigts pour commencer entre de plus en plus profondément dans mon vagin, suivi de sa main, j’ai l’impression qu’elle souhaite me la rentrer intégralement.
Je suis ruisselante de la chatte et du corps car l’été qui se profile risque d’être chaud c’est du moins ce qu’ils disent aux infos quand j’attends dans ma voiture et que j’écoute sur un auto radio normal.
• Tu es dingue, tu veux entrer ta main en moi.
• Je veux te fister et tu vas voir que je vais la faire rentrer jusqu’à mon poignet, regarde j’y suis.
Je m’étire de plaisir et de douleur dans le bain mais comme d’habitude ce qu’elle promet de faire elle le fait et quand je regarde je vois ses doigts tendres l’intérieur de ma peau me donnant l’impression comme l’on voit dans les films d’horreur que des verres ou des insectes courent sous ma peau, ces semaines d’autoroute m’ayant fait énormément maigrir.
Çà ne m’empêche pas de jouir comme jamais Pierre ne la fait avec moi.
• Tu viens, on s’essuie et on va sur le lit, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec une autre fille.
• Si tu savais.
• Tu m’ouvres des horizons on sent la femme d’expérience, tu as bien vécu ma salope, j’ai bien fait de m’arrêter ici pour faire mon plein de jaja même si j’ai fait chou blanc de ce côté.
Elle semble penser que je suis une autre qu’en réalité, il est vrai que depuis que le notaire m’a certifié que j’étais ruinée les aventures foisonne surtout depuis deux jours.
Putain, ce mot sonne à mon oreille comme une réalité, suis-je ou non la Duchesse pute de l’autoroute entre Mâcon et Beaune.
• Oui ma chérie approche ta chatte de la mienne, on va se caresser les clitos, j’adore, on le fait souvent avec ma voisine.
• La femme du mec qui t’a enculée quand ton mec t'a donné un gage ?
• À, je t’ai parlé de ce mec, j’en tenais une bonne hier, aucun souvenir, t’as peut-être raison, encore une chance que tu m’as piqué mes clefs de bagnole.
Ce qu’il y a de sûr c’est que je finis par aimer cette vie pleine d’imprévue moi qui commençait à avoir une vie de none même si ces imprévues sont des bites de routiers à sucer tous les soirs pour gagner des euros et survivre.
Au moment où je jouis pour la première fois avec une femme, j’ai une pensée pour mon petit puceau qui doit parader devant ses copains d’avoir sauté une vieille.
Sa main dans ma chatte dans le bain et mon clito contre son clito après que nos corps aient pris un grand plaisir nous nous prenons dans les bras et dans un dernier baiser nous nous endormons.
« Mon cœur, je te quitte avant de te faire du mal, toutes les amitiés que j’ai connues se sont terminées en jus de boudin.
Je dois t’avouer que je suis alcoolique et que la seule chose à qui je suis fidèle c’est la petite fiole que j’ai due te montrer dans mon délire hier au soir et que je viens de reprendre en main pour boire la dernière rasade avant de te quitter.
Heureusement avant de la vider je t’ai regardée dormir et un déclique c’est fait en moi, regarde dans la poubelle, la fiole est refermée et jetée.
Je te promets de refaire une cure de désintoxication et qu’un jour nous nous retrouverons je te dois bien cela.
Continue à prendre soin de toi et de ta voiture qui est la seule chose qui te reste, attention quand tu l’as déplacé j’ai entendu un bruit, une bielle semble être malade, si elle reste en l’état tu vas la couler et te trouver à pied sans endroit pour dormir.
Tu dois te demander comment une femme même ivrogne sait pour la bielle, avant d’atterrir près de Tournus je faisais partie d’une troupe de cascadeur qui présentait des spectacles à travers la France, j’ai connu Pierrot qui était mon ami avant de devenir mon amant et enfin mon mari.
J’avais une fille qui est morte il y a deux ans écrasés par la voiture que j’avais préparée pour une cascade dans un film.
Les bouteilles terminées je suis passée au whisky et pour en avoir toujours sur moi j’ai acheté cette fiole que je remplissais chaque fois que je le pouvais.
Bonne continuation ma vieille, mon amie, du moins j’espère, ma vie est auprès du père de ma fille tu l’as compris c’est Pierrot, je t’aime. Juliette »
Le mot « vieille » est barré et le mot « aime » le remplace m’apportant un grand réconfort bien que déjà son abandon me pèse.
Quand je retrouve ma voiture je sens le besoin de bouger aussi je vais jusqu’à Beaune pour retourner direction Lyon profitant du passage avant les cabines de péage comme me l'a dit Fantine.
Arrivé à l’aire de Saint-Ambreuil je place ma 208 entre deux camions le plus loin de la station d’essence, je vais boire un café et dès mon retour je m’appuie sur l’aile avant.
• Cuanto para besar.
• Besar ?
• Fuck.
• No, masturbation, sucette.
Je suis seule avec cet espagnol, j’ai une idée je mets ma main comme si je tenais une bite et que je l’avais dans la bouche.
• Si masturbacion. Cunto ?
• 50.
• Euros ?
• Si.
• Ok.
Je sais c’est ignoble de faire payer un étranger plus cher qu’un Français mais çà marche je me fais 6 routiers dont deux étrangers à 50, j’attends le client suivant après avoir nettoyé ma bouche en buvant une gorgée d’eau et un mouchoir en papier.
• Salope, on m’a prévenue que tu tapinais sur mon territoire, ici les routiers sont à moi, tu vas voir comment je vais t’arranger ta petite gueule, tu vas tâter de ma batte de base-ball…
C’est grâce à cet argent que je me laisse tomber sur un lit que je viens de louer dans l’hôtel ou pendant des jours j’ai rêvé de venir quand je dormais dans ma voiture.
Cinq minutes à profiter du matelas avec Juliette qui s’est laissée tomber elle aussi à mes côtés et je me relève pour nous faire couler un bain.
Depuis ma jeunesse dans les douches d’un gymnase c’est la première fois or télé que je vois une autre femme aussi nue que moi.
Dans ces années-là j’aurais pu devenir lesbienne ayant une attirance certaine pour mon amie Joselyne qui venait à la maison sous couvert de faire nos devoirs.
Un jour où nous avions franchi quelques étapes ses mains ayant glissé l’une sur ma poitrine l’autre dans ma petite culotte au moment où je ressentais un début d’émoi la porte de ma chambre s’est ouverte et ma mère est entrée.
• Regardez-moi cette traîner, une vraie dévergondée et toi Henriette tu te laisses tripoter, tu risques d’attraper sa maladie, dégage petite salope.
Pour ma mère à cette époque être lesbienne s’apparentait à une maladie, c’est comme cela que mes parents mon envoyée dans une école catholique où j’étais encadrée de bonnes sœurs jusqu'à ce que j’en sorte pour aller en fac mais surtout par me marier au grand soulagement de mes parents.
Juliette vient dans l’eau et je la rejoins, nous sommes face à face et après quelques secondes profitant de l’eau chaude elle se relève se retourne et s’assoit dos à moi venant s’appuyer sur ma poitrine.
Mon bras est coincé, je le fais passer devant elle, ma main venant englober son sein qui frissonne malgré l’eau chaude.
Mon autre bras en fait de même mais ma main comme elle dans ma voiture se porte vers son sexe qui est mouillée, normal nous sommes dans l’eau.
Elle tourne sa tête et nos bouches vont pour se rejoindre.
• Attends une seconde.
Elle sort de l’eau et va jusqu’au lavabo, elle prend le petit tube de dentifrice et la brosse dans son sac de protection en plastique fourni par l’hôtel et se brosse les dents.
Elle est dégoulinante d’eau, la salle de bain va être trempée et les employés vont avoir double de travail, elle me rejoint m’apportant la brosse à dents.
• Ouvre ta bouche !
Je suis comme une enfant attendant les initiatives de Juliette, elle me brosse les dents sans se poser de questions si le faîte qu’elle se soit servi de la même brosse me pose problème mais j’accepte tout ce qui m’aurait déplu il y a peu.
Elle repose le tout et me rejoint, s’agenouillant devant moi.
Je suis dans l’attente de la suite, j’ai nettement l’impression que je souhaite intensément rependre ma vie dans ma chambre de jeune fille au moment où Joselyne commençait à me mettre la main sur ma chatte pour voir si la venue de ma mère à inverser le cours de ma vie.
• Donne-moi ta bouche, elle sent le dentifrice, fini nos haleines de fennec, surtout moi après la cuite que j’ai prise hier.
• Tu aurais pu y laisser la vie, conduire en étant bourrer sur une autoroute c’est une folie.
• Détrompe-toi, je conduis mieux dans cet état que quand je suis sobre, j’ai eu deux accidents, les deux fois je sortais d’une cure de désintoxication.
Sa main, plutôt deux doigts pour commencer entre de plus en plus profondément dans mon vagin, suivi de sa main, j’ai l’impression qu’elle souhaite me la rentrer intégralement.
Je suis ruisselante de la chatte et du corps car l’été qui se profile risque d’être chaud c’est du moins ce qu’ils disent aux infos quand j’attends dans ma voiture et que j’écoute sur un auto radio normal.
• Tu es dingue, tu veux entrer ta main en moi.
• Je veux te fister et tu vas voir que je vais la faire rentrer jusqu’à mon poignet, regarde j’y suis.
Je m’étire de plaisir et de douleur dans le bain mais comme d’habitude ce qu’elle promet de faire elle le fait et quand je regarde je vois ses doigts tendres l’intérieur de ma peau me donnant l’impression comme l’on voit dans les films d’horreur que des verres ou des insectes courent sous ma peau, ces semaines d’autoroute m’ayant fait énormément maigrir.
Çà ne m’empêche pas de jouir comme jamais Pierre ne la fait avec moi.
• Tu viens, on s’essuie et on va sur le lit, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec une autre fille.
• Si tu savais.
• Tu m’ouvres des horizons on sent la femme d’expérience, tu as bien vécu ma salope, j’ai bien fait de m’arrêter ici pour faire mon plein de jaja même si j’ai fait chou blanc de ce côté.
Elle semble penser que je suis une autre qu’en réalité, il est vrai que depuis que le notaire m’a certifié que j’étais ruinée les aventures foisonne surtout depuis deux jours.
Putain, ce mot sonne à mon oreille comme une réalité, suis-je ou non la Duchesse pute de l’autoroute entre Mâcon et Beaune.
• Oui ma chérie approche ta chatte de la mienne, on va se caresser les clitos, j’adore, on le fait souvent avec ma voisine.
• La femme du mec qui t’a enculée quand ton mec t'a donné un gage ?
• À, je t’ai parlé de ce mec, j’en tenais une bonne hier, aucun souvenir, t’as peut-être raison, encore une chance que tu m’as piqué mes clefs de bagnole.
Ce qu’il y a de sûr c’est que je finis par aimer cette vie pleine d’imprévue moi qui commençait à avoir une vie de none même si ces imprévues sont des bites de routiers à sucer tous les soirs pour gagner des euros et survivre.
Au moment où je jouis pour la première fois avec une femme, j’ai une pensée pour mon petit puceau qui doit parader devant ses copains d’avoir sauté une vieille.
Sa main dans ma chatte dans le bain et mon clito contre son clito après que nos corps aient pris un grand plaisir nous nous prenons dans les bras et dans un dernier baiser nous nous endormons.
« Mon cœur, je te quitte avant de te faire du mal, toutes les amitiés que j’ai connues se sont terminées en jus de boudin.
Je dois t’avouer que je suis alcoolique et que la seule chose à qui je suis fidèle c’est la petite fiole que j’ai due te montrer dans mon délire hier au soir et que je viens de reprendre en main pour boire la dernière rasade avant de te quitter.
Heureusement avant de la vider je t’ai regardée dormir et un déclique c’est fait en moi, regarde dans la poubelle, la fiole est refermée et jetée.
Je te promets de refaire une cure de désintoxication et qu’un jour nous nous retrouverons je te dois bien cela.
Continue à prendre soin de toi et de ta voiture qui est la seule chose qui te reste, attention quand tu l’as déplacé j’ai entendu un bruit, une bielle semble être malade, si elle reste en l’état tu vas la couler et te trouver à pied sans endroit pour dormir.
Tu dois te demander comment une femme même ivrogne sait pour la bielle, avant d’atterrir près de Tournus je faisais partie d’une troupe de cascadeur qui présentait des spectacles à travers la France, j’ai connu Pierrot qui était mon ami avant de devenir mon amant et enfin mon mari.
J’avais une fille qui est morte il y a deux ans écrasés par la voiture que j’avais préparée pour une cascade dans un film.
Les bouteilles terminées je suis passée au whisky et pour en avoir toujours sur moi j’ai acheté cette fiole que je remplissais chaque fois que je le pouvais.
Bonne continuation ma vieille, mon amie, du moins j’espère, ma vie est auprès du père de ma fille tu l’as compris c’est Pierrot, je t’aime. Juliette »
Le mot « vieille » est barré et le mot « aime » le remplace m’apportant un grand réconfort bien que déjà son abandon me pèse.
Quand je retrouve ma voiture je sens le besoin de bouger aussi je vais jusqu’à Beaune pour retourner direction Lyon profitant du passage avant les cabines de péage comme me l'a dit Fantine.
Arrivé à l’aire de Saint-Ambreuil je place ma 208 entre deux camions le plus loin de la station d’essence, je vais boire un café et dès mon retour je m’appuie sur l’aile avant.
• Cuanto para besar.
• Besar ?
• Fuck.
• No, masturbation, sucette.
Je suis seule avec cet espagnol, j’ai une idée je mets ma main comme si je tenais une bite et que je l’avais dans la bouche.
• Si masturbacion. Cunto ?
• 50.
• Euros ?
• Si.
• Ok.
Je sais c’est ignoble de faire payer un étranger plus cher qu’un Français mais çà marche je me fais 6 routiers dont deux étrangers à 50, j’attends le client suivant après avoir nettoyé ma bouche en buvant une gorgée d’eau et un mouchoir en papier.
• Salope, on m’a prévenue que tu tapinais sur mon territoire, ici les routiers sont à moi, tu vas voir comment je vais t’arranger ta petite gueule, tu vas tâter de ma batte de base-ball…
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