La fête des voisins, une aubaine pour faire connaissance
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La fête des voisins, une aubaine pour faire connaissance
Karine, nouvelle venue dans le quartier, suscite quelques jalousies parmi la gente féminine. Cette femme qui frise la centaine, a de quoi attirer les regards. Elle vit seule, On ne lui connait pas de relations, et cela intriguent quelques commères qui lâchent le venin.
Pratiquement rejetée, elle suit son train, train, sans se soucier d'autrui. On ne sait par quelle circonstance, on l'invite à la fête des voisins, moyennant une participation. Surprise, elle accepte. La journée s'annonce très belle, le soleil est présent, elle décide de se vêtir légèrement, jupe assez courte et d'un dos nu. Elle arrive, c'est tout juste si on la salue, elle se place à une table seule. Après avoir reçu un apéro, le buffet est déjà pris d'assaut par des affamés. Karine boit lentement son verre, ses yeux font le tour des tables. Quelques personnes la dévisagent en parlant tout bas.
Elle se lève et se dirige vers le buffet. Elle se sert, et revient à sa table. C'est à ce moment, qu'un couple, prend place à la même table qu'elle. Les trois se sourient, le couple semble sympathique. Il parle à Karine sans arrière-pensées. Les trois trinquent, le couple très rieur semble plaire à Karine, rassurée, elle commence à se sentir à l'aise.
L'homme se prénomme Charles, la femme Huguette, ils sont un peu plus âgés que Karine. Ils ont une pêche d'enfer, une joie de vivre qui vous met en confiance. Petit à petit, le couple se confie, et pose de nombreuses questions. Huguette assez curieuse veut en savoir plus, elle demande :
-Dans le quartier, on dit que vous n'avez pas de compagnon ?
Karine en souriant dit, je vais satisfaire votre curiosité Huguette :
-Non, je n'ai pas de compagnon. J'ai eu il y a quelques années une déception amoureuse. J'étais très amoureuse d'un homme, nous avions vécu ensemble deux ans. Le salaud me trompait, bien entendu, j'ai rompu, et je ne suis pas prête à me remettre en couple avec un homme !
En souriant, Huguette dit :
-Et avec une femme n'en plus ?
Karine éclate de rire, et répond :
-Ce n'est pas à l'ordre du jour !
Les trois comme des larrons en foire, trinquent, rient, ils décident de se tutoyer. Soudain une musique résonne. Quelques couples se lancent sur la chaussée pour danser. L'heure tourne, l'alcool commence à faire effet. Pendant que Charles danse avec sa femme, un homme vient inviter Karine. Surprise, elle ne sait si elle doit accepter. Elle dévisage l'homme et en ravalant sa salive dit :
Je ne veux pas semer la zizanie dans votre couple, j'hésite !
L'homme d'un certain âge, en souriant, dit :
-Ma femme le permet, voyez, elle nous regarde, elle sourit même !
Karine regarde en direction de la femme, qui lui fait un signe de tête approbateur. Elle se lève, et les deux vont sur la piste improvisée qui est la rue. L'homme l'enlace, la serre doucement dans ses bras et les deux au rythme de la musique ondulent du bassin. Les deux papotent, se font de nombreux sourires. La danse se termine, chacun rejoint sa table. Charles et Huguette reprennent place, Charles en plaisantant dit :
-Alors, on a fait une touche !
Karine en souriant, réplique :
- Non, c'est en tout bien tout honneur, que cet homme m'a invité, il est resté correct. D'ailleurs, il est charmant !
Huguette dit en se pinçant les lèvres :
-Méfie-toi de sa femme, cette vieille peau est une tigresse !
Karine en éclatant de rire réplique :
-Mais je ne convoite pas son homme, il ne m'intéresse nullement !
La danse reprend, Charles veut inviter Karine, mais il est devancé par l'homme qui réinvite Karine. Les deux s'élancent sur la piste, et évoluent en papotant comme de vieux amis.
Charles, un peu déçu, se dit que c'est pour la prochaine fois. La danse cesse, L'homme en raccompagnant Karine à sa table dit :
-Ma femme et moi serons heureux si vous voulez prendre un verre avec nous !
Karine, très gênée répond :
Ça serait avec plaisir, mais je suis avec des amis, venez, vous joindre à nous !
L'homme disparait et revient avec sa femme. Ils prennent place à table et on remplit les verres. La discussion s'engage tout autant qu'Huguette et son mari, le couple d'arrivant est aussi curieux. Les questions fusent, Karine y répond à toutes. Le couple enfin se présente, Olga et Lucas.
Lucas ne cesse de regarder les cuisses de Karine que sa courte jupe ne peut cacher totalement. L'homme reçoit un coup de coude de sa femme pour le rappeler à l'ordre. Karine tire sur la jupe, mais en vain, elle fait une moue d'impuissance, en haussant légèrement les épaules. Les yeux de Lucas sont toujours attirés par les cuisses de Karine, qui le remarque. Elle serre les cuisses et en ravalant sa salive dit :
-J'aurais dû mettre un pantalon !
Les deux hommes en chœur disent :
-Oh non, vos cuisses sont un plaisir pour nos yeux !
Olga se cabre, retrousse sa jupe jusqu'à la taille, regarde son mari, et en haussant le ton, dit :
-Et celle-là, alors elles sont moches !
Charles et Huguette se penchent et admirent les cuisses d'Olga qui peuvent rivaliser avec celles de Karine.
Pour clore le débat, Les verres se vident. Contre toute attente, Olga invite Karine à danser. Les deux femmes se lancent sur la piste et s'enlacent. Les bassins se frottent effrontément, sans se soucier dès que dira-t-on. Elle agite son bas-ventre contre celui de Karine. Les visages sont si près l'un de l'autre, que les souffles se mêlent. Olga plaque sa joue contre la sienne et lui murmure à l'oreille :
-Vous plaisez beaucoup à mon mari, et je dois dire que vous ne me laissez pas indifférente, puis si, après, nous allons prendre un verre à la maison pour faire plus ample connaissance !
Karine veut refuser, mais se ravise et répond :
-Pourquoi pas, c'est vrai, je suis nouvelle dans le quartier, et qu'il est impératif que je me fasse des amis !
La femme, satisfaite de la réponse, lui donne un petit baiser sur la joue et lui agace le lobe de l'oreille en le mordillant. Karine soupire profondément, Olga sent le corps de sa cavalière frissonner. Comme le soir est tombé, et que l'on voit mal. Olga doucement caresse le dos de Karine. Lentement, elle lui griffe la peau en y enfonçant faiblement ses ongles. Karine se cabre, elle aime ce genre d'attouchement, sa chatte laisse échapper un petit filet de cyprine. Elle frémit en soupirant fortement.
Olga desserre son étau, elle regarde intensément Karine. Leurs lèvres se frôlent, Karine s'écarte doucement, ses mains tremblent. Heureusement la danse cesse. C'est très troublée qu'elle rejoint sa table suivit d'Olga qui d'un geste rapide lui caresse discrètement les fesses. Karine s'assoit, la danse reprendre, Charles l'invite. Pensant la danse, il lui dit à l'oreille :
-Attention, je sens que la vieille a tendu ses filets, c'est une vorace, qui épuise ses amants, avec la complicité de son mari !
Karine le regarde et lui demande :
-Comment que tu sais ça Charles !
C'est un peu gêné qu'il répond :
-Hum eh bien voila, Huguette est moi, nous avions eu avec ce couple des relations intimes, voire très intimes !
Karine surprise demande :
-Mais vous êtes libertins alors !
Charles réplique :
-Non, il n'y a qu'avec eux, ce sont les circonstances qui ont fait que nous avions couché ensemble. C'était pour fêter le quatorze juillet après le bal, nous nous sommes retrouvés chez elle.
Quelques fois, nous nous retrouvons pour nous éclater. Je dois dire que c'est une chaude du cul Olga, c'est étonnant, malgré son âge, elle ne rechigne devant rien. Huguette cette coquine se donne à elle comme une chienne en chaleur !
Karine est très intriguée, une fois à sa place, elle ne cesse de regarder Olga et Huguette. Charles en servant encore un verre dit en regardant Olga :
-Et si nous terminons la soirée ensemble !
Olga en souriant répond :
-J'ai déjà invité Karine, un autre jour peut-être Charles !
Charles en boudant comme un enfant dit :
-Ouais, tu veux te la garder pour toi toute seule !
Sans aucune gêne, Olga plaque sa main sous la jupe de Karine et en la retirant dit :
-Je dois éteindre le feu que j'ai allumé, sa culotte est trempée, regardez !
Elle montre ses doigts légèrement humides. Il est temps de se quitter. Olga prend la main de Karine et lui dit :
-Toi, je ne te lâche pas !
Et en compagnie de son mari, l'emmène chez elle sous les regards déçus de Charles et d'Huguette. Une fois dans la maison, Olga dit en souriant :
-Fais comme moi ma chérie, mets-toi à l'aise. Olga s'effeuille en regardant Karine qui semble gênée. La femme, totalement nue, s'approche de Karine qui est très réticente. Elle lui plaque la main sous la jupe et lui triture la chatte, en disant :
-Hum cela ne demande qu'à être travaillé, tu ne vas pas être déçue ma chérie, aller fous-toi à poils !
Karine, chauffée par Olga, surtout en manque de sexe depuis longtemps, se dit pourquoi pas se faire un petit plaisir et avec une femme cela semble alléchant. Avec des gestes maladroits, retire un à un ses vêtements. Lucas regarde, émerveillé, le corps qui se dénude peu à peu.
Olga a les yeux qui jettent des éclairs, elle s'approche de Karine et dit :
-Depuis la première fois que je t'aie vue, je ne rêvais que de te voir dans mon lit, enfin ce jour est arrivé !
Elle l'enlace, la serre très fort contre elle appuie son bassin contre le sien pour que les chattes se frottent. Vicieusement Olga ondule du bas-ventre, les chattes rapidement s'humidifies. Les poils reluisent de cyprine. La bouche d'Olga s'empare de celle de Karine qui ne peut qu'accepter le baiser, les langues se nouent, un flot de salive est échangé.
Lucas a avancé un banc sans dossier matelassé, le couple habitué aux orgies, avait tout prévu. Karine est basculée dessus, Lucas s'empare de ses seins. Il les malaxe, les pétrit comme du bon pain. Le bougre a l'art de faire dresser les mamelons, il a la manière de les faire durcir. Ses doigts pressent, étirent, roulent les bouts qui ne cessent de prendre du volume. Lorsqu'il pose sa bouche sur eux, Karine se cabre en poussant un gros gémissement.
Olga elle, ne reste pas inactive, elle se place entre les cuisses de Karine et caresse longuement sa chatte. Son clito devient plus gros qu'une cerise. Ses doigts agiles branlent la boule de chair avec de plus en plus d'ardeur. Karine grince les dents, serre les poings. Elle geint en étouffant le plus possible ses gémissements.
Lorsque qu'Olga lui gobe le clito, elle se tend comme un arc qui va lancer sa flèche. Elle se mord le poignet tellement les succions sur son clitoris sont puissantes. Elle agite son bassin, grogne comme une bête blessée avant de jouir fortement. Lucas lui écrase les mamelons les mordilles, c'est terrible pour Karine qui jouit une seconde fois aussi fortement. Olga enfonce quatre doigts dans le volcan de Karine, elle fait faire à sa main des demi-rotations, l'agite de plus en vite en grognant.
Les deux femmes supers excitées mêlent leurs gémissements. Olga joint le cinquième doigt et pousse en tournant. Karine grimace, elle serre les dents, sa chatte très travaillée, qui est déjà bien dilatée, résiste un moment avant d'engloutir la main entièrement. Karine se cabre elle ignorait jusqu'à cet instant, que sa chatte pouvait avaler une main.
La pénétration a était douloureux mais une fois la main en place, la douleur laisse la place au plaisir. Olga ramone la chatte avec violence, la vieille a déjà jouit deux fois en fouillant de sa main le ventre de Karine. Elle accélère légèrement puis ferme le poing. Karine pousse un long gémissement, elle a l'impression qu'Olga va lui arracher la chatte. Olga donne toute la vitesse qu'elle peut, Karine est au bord de la syncope. Elle se cabre comme un cheval qui donne une ruade. Une violente jouissance, la fait hurler. Elle se laisse retomber, ses bras pendent de chaque côté du banc.
Olga à le visage déformé, elle grogne :
-Oh salope j'ai joui autant que toi, tu es aussi bonne qu'Huguette toi !
Olga à les cuisses ruisselantes de cyprine, elle se presse la chatte en grimaçant, elle dit :
-j'ai l'impression de me vider, ouah c'est trop bon bouffe-moi, bouffe-moi !
Elle monte sur le banc et offre à la bouche de Karine sa chatte baveuse. Karine s'accroche sur le haut des cuisses d'Olga et commence un broutage de minou exceptionnel. Olga en a pour son argent, la langue agile lui fouille le vagin, lui titille le clito avant que Karine lui aspire le clito.
Les succions sont terribles, mais lorsque qu'elle lui mord le clito, Olga pousse un hurlement et envoie dans la bouche de Karine plusieurs jets de cyprine, que la vorace avale. Pendant que sa femme se fait bouffer la chatte, Lucas se place entre les cuisses de Karine et lui plante sa bite dans le ventre.
Il la défonce comme un sauvage, ses coups de reins, sont de vrais coups de marteau pilon. Plusieurs fois il ressort entièrement sa bite pour la lui replanter dans le ventre. Karine doit délaisser la chatte pour crier sa jouissance. Lucas ne se retient plus, il envoie dans le ventre de la soumise une décharge puissante de sperme.
Lucas au fil des heures doit honorer analement les deux femmes. Les jouissances sont nombreuses, les éjaculations de Lucas féroces. C'est épuisés, que le trios se sépare enfin.
Pratiquement rejetée, elle suit son train, train, sans se soucier d'autrui. On ne sait par quelle circonstance, on l'invite à la fête des voisins, moyennant une participation. Surprise, elle accepte. La journée s'annonce très belle, le soleil est présent, elle décide de se vêtir légèrement, jupe assez courte et d'un dos nu. Elle arrive, c'est tout juste si on la salue, elle se place à une table seule. Après avoir reçu un apéro, le buffet est déjà pris d'assaut par des affamés. Karine boit lentement son verre, ses yeux font le tour des tables. Quelques personnes la dévisagent en parlant tout bas.
Elle se lève et se dirige vers le buffet. Elle se sert, et revient à sa table. C'est à ce moment, qu'un couple, prend place à la même table qu'elle. Les trois se sourient, le couple semble sympathique. Il parle à Karine sans arrière-pensées. Les trois trinquent, le couple très rieur semble plaire à Karine, rassurée, elle commence à se sentir à l'aise.
L'homme se prénomme Charles, la femme Huguette, ils sont un peu plus âgés que Karine. Ils ont une pêche d'enfer, une joie de vivre qui vous met en confiance. Petit à petit, le couple se confie, et pose de nombreuses questions. Huguette assez curieuse veut en savoir plus, elle demande :
-Dans le quartier, on dit que vous n'avez pas de compagnon ?
Karine en souriant dit, je vais satisfaire votre curiosité Huguette :
-Non, je n'ai pas de compagnon. J'ai eu il y a quelques années une déception amoureuse. J'étais très amoureuse d'un homme, nous avions vécu ensemble deux ans. Le salaud me trompait, bien entendu, j'ai rompu, et je ne suis pas prête à me remettre en couple avec un homme !
En souriant, Huguette dit :
-Et avec une femme n'en plus ?
Karine éclate de rire, et répond :
-Ce n'est pas à l'ordre du jour !
Les trois comme des larrons en foire, trinquent, rient, ils décident de se tutoyer. Soudain une musique résonne. Quelques couples se lancent sur la chaussée pour danser. L'heure tourne, l'alcool commence à faire effet. Pendant que Charles danse avec sa femme, un homme vient inviter Karine. Surprise, elle ne sait si elle doit accepter. Elle dévisage l'homme et en ravalant sa salive dit :
Je ne veux pas semer la zizanie dans votre couple, j'hésite !
L'homme d'un certain âge, en souriant, dit :
-Ma femme le permet, voyez, elle nous regarde, elle sourit même !
Karine regarde en direction de la femme, qui lui fait un signe de tête approbateur. Elle se lève, et les deux vont sur la piste improvisée qui est la rue. L'homme l'enlace, la serre doucement dans ses bras et les deux au rythme de la musique ondulent du bassin. Les deux papotent, se font de nombreux sourires. La danse se termine, chacun rejoint sa table. Charles et Huguette reprennent place, Charles en plaisantant dit :
-Alors, on a fait une touche !
Karine en souriant, réplique :
- Non, c'est en tout bien tout honneur, que cet homme m'a invité, il est resté correct. D'ailleurs, il est charmant !
Huguette dit en se pinçant les lèvres :
-Méfie-toi de sa femme, cette vieille peau est une tigresse !
Karine en éclatant de rire réplique :
-Mais je ne convoite pas son homme, il ne m'intéresse nullement !
La danse reprend, Charles veut inviter Karine, mais il est devancé par l'homme qui réinvite Karine. Les deux s'élancent sur la piste, et évoluent en papotant comme de vieux amis.
Charles, un peu déçu, se dit que c'est pour la prochaine fois. La danse cesse, L'homme en raccompagnant Karine à sa table dit :
-Ma femme et moi serons heureux si vous voulez prendre un verre avec nous !
Karine, très gênée répond :
Ça serait avec plaisir, mais je suis avec des amis, venez, vous joindre à nous !
L'homme disparait et revient avec sa femme. Ils prennent place à table et on remplit les verres. La discussion s'engage tout autant qu'Huguette et son mari, le couple d'arrivant est aussi curieux. Les questions fusent, Karine y répond à toutes. Le couple enfin se présente, Olga et Lucas.
Lucas ne cesse de regarder les cuisses de Karine que sa courte jupe ne peut cacher totalement. L'homme reçoit un coup de coude de sa femme pour le rappeler à l'ordre. Karine tire sur la jupe, mais en vain, elle fait une moue d'impuissance, en haussant légèrement les épaules. Les yeux de Lucas sont toujours attirés par les cuisses de Karine, qui le remarque. Elle serre les cuisses et en ravalant sa salive dit :
-J'aurais dû mettre un pantalon !
Les deux hommes en chœur disent :
-Oh non, vos cuisses sont un plaisir pour nos yeux !
Olga se cabre, retrousse sa jupe jusqu'à la taille, regarde son mari, et en haussant le ton, dit :
-Et celle-là, alors elles sont moches !
Charles et Huguette se penchent et admirent les cuisses d'Olga qui peuvent rivaliser avec celles de Karine.
Pour clore le débat, Les verres se vident. Contre toute attente, Olga invite Karine à danser. Les deux femmes se lancent sur la piste et s'enlacent. Les bassins se frottent effrontément, sans se soucier dès que dira-t-on. Elle agite son bas-ventre contre celui de Karine. Les visages sont si près l'un de l'autre, que les souffles se mêlent. Olga plaque sa joue contre la sienne et lui murmure à l'oreille :
-Vous plaisez beaucoup à mon mari, et je dois dire que vous ne me laissez pas indifférente, puis si, après, nous allons prendre un verre à la maison pour faire plus ample connaissance !
Karine veut refuser, mais se ravise et répond :
-Pourquoi pas, c'est vrai, je suis nouvelle dans le quartier, et qu'il est impératif que je me fasse des amis !
La femme, satisfaite de la réponse, lui donne un petit baiser sur la joue et lui agace le lobe de l'oreille en le mordillant. Karine soupire profondément, Olga sent le corps de sa cavalière frissonner. Comme le soir est tombé, et que l'on voit mal. Olga doucement caresse le dos de Karine. Lentement, elle lui griffe la peau en y enfonçant faiblement ses ongles. Karine se cabre, elle aime ce genre d'attouchement, sa chatte laisse échapper un petit filet de cyprine. Elle frémit en soupirant fortement.
Olga desserre son étau, elle regarde intensément Karine. Leurs lèvres se frôlent, Karine s'écarte doucement, ses mains tremblent. Heureusement la danse cesse. C'est très troublée qu'elle rejoint sa table suivit d'Olga qui d'un geste rapide lui caresse discrètement les fesses. Karine s'assoit, la danse reprendre, Charles l'invite. Pensant la danse, il lui dit à l'oreille :
-Attention, je sens que la vieille a tendu ses filets, c'est une vorace, qui épuise ses amants, avec la complicité de son mari !
Karine le regarde et lui demande :
-Comment que tu sais ça Charles !
C'est un peu gêné qu'il répond :
-Hum eh bien voila, Huguette est moi, nous avions eu avec ce couple des relations intimes, voire très intimes !
Karine surprise demande :
-Mais vous êtes libertins alors !
Charles réplique :
-Non, il n'y a qu'avec eux, ce sont les circonstances qui ont fait que nous avions couché ensemble. C'était pour fêter le quatorze juillet après le bal, nous nous sommes retrouvés chez elle.
Quelques fois, nous nous retrouvons pour nous éclater. Je dois dire que c'est une chaude du cul Olga, c'est étonnant, malgré son âge, elle ne rechigne devant rien. Huguette cette coquine se donne à elle comme une chienne en chaleur !
Karine est très intriguée, une fois à sa place, elle ne cesse de regarder Olga et Huguette. Charles en servant encore un verre dit en regardant Olga :
-Et si nous terminons la soirée ensemble !
Olga en souriant répond :
-J'ai déjà invité Karine, un autre jour peut-être Charles !
Charles en boudant comme un enfant dit :
-Ouais, tu veux te la garder pour toi toute seule !
Sans aucune gêne, Olga plaque sa main sous la jupe de Karine et en la retirant dit :
-Je dois éteindre le feu que j'ai allumé, sa culotte est trempée, regardez !
Elle montre ses doigts légèrement humides. Il est temps de se quitter. Olga prend la main de Karine et lui dit :
-Toi, je ne te lâche pas !
Et en compagnie de son mari, l'emmène chez elle sous les regards déçus de Charles et d'Huguette. Une fois dans la maison, Olga dit en souriant :
-Fais comme moi ma chérie, mets-toi à l'aise. Olga s'effeuille en regardant Karine qui semble gênée. La femme, totalement nue, s'approche de Karine qui est très réticente. Elle lui plaque la main sous la jupe et lui triture la chatte, en disant :
-Hum cela ne demande qu'à être travaillé, tu ne vas pas être déçue ma chérie, aller fous-toi à poils !
Karine, chauffée par Olga, surtout en manque de sexe depuis longtemps, se dit pourquoi pas se faire un petit plaisir et avec une femme cela semble alléchant. Avec des gestes maladroits, retire un à un ses vêtements. Lucas regarde, émerveillé, le corps qui se dénude peu à peu.
Olga a les yeux qui jettent des éclairs, elle s'approche de Karine et dit :
-Depuis la première fois que je t'aie vue, je ne rêvais que de te voir dans mon lit, enfin ce jour est arrivé !
Elle l'enlace, la serre très fort contre elle appuie son bassin contre le sien pour que les chattes se frottent. Vicieusement Olga ondule du bas-ventre, les chattes rapidement s'humidifies. Les poils reluisent de cyprine. La bouche d'Olga s'empare de celle de Karine qui ne peut qu'accepter le baiser, les langues se nouent, un flot de salive est échangé.
Lucas a avancé un banc sans dossier matelassé, le couple habitué aux orgies, avait tout prévu. Karine est basculée dessus, Lucas s'empare de ses seins. Il les malaxe, les pétrit comme du bon pain. Le bougre a l'art de faire dresser les mamelons, il a la manière de les faire durcir. Ses doigts pressent, étirent, roulent les bouts qui ne cessent de prendre du volume. Lorsqu'il pose sa bouche sur eux, Karine se cabre en poussant un gros gémissement.
Olga elle, ne reste pas inactive, elle se place entre les cuisses de Karine et caresse longuement sa chatte. Son clito devient plus gros qu'une cerise. Ses doigts agiles branlent la boule de chair avec de plus en plus d'ardeur. Karine grince les dents, serre les poings. Elle geint en étouffant le plus possible ses gémissements.
Lorsque qu'Olga lui gobe le clito, elle se tend comme un arc qui va lancer sa flèche. Elle se mord le poignet tellement les succions sur son clitoris sont puissantes. Elle agite son bassin, grogne comme une bête blessée avant de jouir fortement. Lucas lui écrase les mamelons les mordilles, c'est terrible pour Karine qui jouit une seconde fois aussi fortement. Olga enfonce quatre doigts dans le volcan de Karine, elle fait faire à sa main des demi-rotations, l'agite de plus en vite en grognant.
Les deux femmes supers excitées mêlent leurs gémissements. Olga joint le cinquième doigt et pousse en tournant. Karine grimace, elle serre les dents, sa chatte très travaillée, qui est déjà bien dilatée, résiste un moment avant d'engloutir la main entièrement. Karine se cabre elle ignorait jusqu'à cet instant, que sa chatte pouvait avaler une main.
La pénétration a était douloureux mais une fois la main en place, la douleur laisse la place au plaisir. Olga ramone la chatte avec violence, la vieille a déjà jouit deux fois en fouillant de sa main le ventre de Karine. Elle accélère légèrement puis ferme le poing. Karine pousse un long gémissement, elle a l'impression qu'Olga va lui arracher la chatte. Olga donne toute la vitesse qu'elle peut, Karine est au bord de la syncope. Elle se cabre comme un cheval qui donne une ruade. Une violente jouissance, la fait hurler. Elle se laisse retomber, ses bras pendent de chaque côté du banc.
Olga à le visage déformé, elle grogne :
-Oh salope j'ai joui autant que toi, tu es aussi bonne qu'Huguette toi !
Olga à les cuisses ruisselantes de cyprine, elle se presse la chatte en grimaçant, elle dit :
-j'ai l'impression de me vider, ouah c'est trop bon bouffe-moi, bouffe-moi !
Elle monte sur le banc et offre à la bouche de Karine sa chatte baveuse. Karine s'accroche sur le haut des cuisses d'Olga et commence un broutage de minou exceptionnel. Olga en a pour son argent, la langue agile lui fouille le vagin, lui titille le clito avant que Karine lui aspire le clito.
Les succions sont terribles, mais lorsque qu'elle lui mord le clito, Olga pousse un hurlement et envoie dans la bouche de Karine plusieurs jets de cyprine, que la vorace avale. Pendant que sa femme se fait bouffer la chatte, Lucas se place entre les cuisses de Karine et lui plante sa bite dans le ventre.
Il la défonce comme un sauvage, ses coups de reins, sont de vrais coups de marteau pilon. Plusieurs fois il ressort entièrement sa bite pour la lui replanter dans le ventre. Karine doit délaisser la chatte pour crier sa jouissance. Lucas ne se retient plus, il envoie dans le ventre de la soumise une décharge puissante de sperme.
Lucas au fil des heures doit honorer analement les deux femmes. Les jouissances sont nombreuses, les éjaculations de Lucas féroces. C'est épuisés, que le trios se sépare enfin.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super bandant, et une suite nous en donnerait encore plus.
Parfait
Roger de l'Oise
Roger de l'Oise
Que du bonheur, mon mari et moi te remercions Linsee
Très bien racontée cette histoire bravo