La liste des trucs à faire – Ou à ne pas faire
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La liste des trucs à faire – Ou à ne pas faire
Angela souriait. Curiosité satisfaite. Un de plus en moins sur la liste des souhaits.
Tellement bon ... mais ne plus JAMAIS le refaire !
Elle a démarré l’auto et s'est infiltrée dans la circulation, sans pouvoir effacer, sur son visage, ce sourire extasié. Le sperme suintait de sa chatte dévastée. Il l’avait chevauchée toute la nuit ... Infatigable … Vigoureux ... Performant ...
Sa première aventure … Son premier homme noir … Et sa dernière aussi, elle ne recommencerait plus jamais.
Elle voulait juste savoir. Cette légende … Le mâle Alpha … L’étalon reproducteur, supérieurement doté ...
«C'est fait, maintenant» murmura-t-elle pour elle-même. Elle en était heureuse, fière d'elle. Son mari voyageait beaucoup, elle en avait l’opportunité, mais elle ne l'avait jamais saisie. Mais, comme pour beaucoup de femmes blanches, il y avait ce mythe étrange, à propos de ce que les hommes noirs ont dans le pantalon.
«Ils ne sont peut-être pas tous comme celui-là, mais lui, il était énorme !»
Elle rigolait toute seule : «Merci mon amour, d'être en voyage d’affaires.»
Il faudra qu’elle lui fasse un bon repas, et une séance de baise mémorable, quand il est rentrera à la maison, pour atténuer ce putain de sentiment de culpabilité.
Son téléphone a sonné, annonçant un message entrant. Serait-ce «lui», l'homme qui venait de la baiser pendant une nuit entière. Elle lui avait accordé juste une heure, après elle devait partir. Mais il était implacable, inhumain, monstrueux.
Plusieurs fois, elle s'était endormie, à bout de forces, entre ses bras musclés. À chaque fois, il la réveillait. Avec ses doigts, ou sa langue, ou même son énorme bite qui cherchait à s’infiltrer entre ses lèvres.
Elle avait promis qu'elle lui enverrait un message dès son retour à la maison, et elle pensait clôturer ce compte aussitôt après. Ce serait un tête-à-tête unique. Sans lendemain.
Elle jeta un coup d'œil au téléphone pendant qu'elle conduisait, ce qu'elle ne faisait jamais d'habitude, même s’il était fixé à son support, sur le tableau de bord, trop dangereux de quitter la route des yeux.
C’était un gentil message la remerciant pour ce merveilleux moment qu’elle lui avait offert. Peut-être aurait-elle envie de recommencer ce soir, car il savait que Michel était absent pour la semaine.
«Je suis sûre et certaine de ne pas avoir dit ça» … «Je n’ai même pas prononcé le nom de Michel»
Elle était méfiante maintenant. Elle s'est arrêtée pour lui répondre :
«Salut Richard, merci pour cette nuit indescriptible. Je ne l'oublierai jamais. Mais je suis sûre de t’avoir dit que cela ne se reproduirait pas. Tu étais d'accord avec ça, n'est-ce pas ?»
Et juste rapidement après : «Où as-tu eu le nom de Michel ? Et qu'il était absent toute la semaine ?» Envoi.
Angela replacé le téléphone dans le berceau et remit sa voiture en marche. Avant qu'elle ne puisse repartir, le téléphone a bipé.
«C'était trop rapide» pensa-t-elle «Il doit avoir gardé le téléphone en main» Elle se sentait comme une gamine avec son premier flirt. Des papillons dans le ventre, elle a éteint le moteur pour lire le message.
«Salut, Tina» Elle avait donné un faux nom … «Moi aussi, j’ai passé un moment inoubliable dans tes bras, ma chérie. Et j’ai hâte de pouvoir renouveler ces instants de bonheur. J’espérais que ce soir tu aurais un peu de temps à gaspiller.»
«Je serais heureux de te rejoindre dans un hôtel plus près de chez toi. Tu m’avais parlé d’une heure et demie de route. C’est du temps perdu. Je préfère passer ce temps à te baiser plus. Je suis en érection en pensant à toi et à ta chatte qui s’ouvre pour moi.»
«Pour Michel, tu as crié son nom pendant un orgasme, cette nuit, et quand je t’ai demandé qui c’était, tu m’as dit que c’était ton mari et qu’il était absent pour la semaine. Tu voulais que je continue de te baiser. Tu me suppliais, tu ne t’en souviens pas ?»
«Si j’ai été trop long, ou trop fougueux, je m’en excuse. Tu me fais tellement d’effet. Je veux juste baiser encore ta chatte. Tu es si bonne. Tu vois, je suis honnête. Fais-moi savoir si je peux réserver l’hôtel, et lequel, ou si je dois m’effacer et te laisser tranquille. Je t’aime, Richard.»
Dieu qu'elle aimait ses boniments, il écrivait des mots qu’elle n’osait même pas prononcer. Peut-être qu'elle lui avait parlé de Michel, dans une stupeur orgasmique, il lui avait fait perdre la tête … et pas que !
Elle s’était comportée comme une fille, mais ... «Non! Une seule fois !» s’exclama-t-elle à haute voix. Poser ce téléphone et rentrer à la maison. Ignorer sa demande. Elle ne pouvait pas lui avouer qu’elle était libre toute la semaine, et qu’il pouvait la baiser tant qu’il voulait, comme une vulgaire catin.
Elle criait de rage maintenant : «Non, c'était le contrat ! Une heure, j’avais bien dit une heure !»
45 minutes plus tard, alors qu'elle quittait la nationale en arrivant près de son lotissement, elle s’est garée pour taper : «Bon, d’accord. Encore une nuit, mais une seule ! D’accord ?» Envoi.
La réponse immédiate : «D’accord, petite coquine. Dans quel coin habites-tu ?»
Ci-joint la photo de lui en pied, entièrement nu, la bite en pleine ascension.
La photo, et le fait d'être appelée coquine, l'ont eue. Éperonnée. Cela l’irritait d'être traitée de coquine. Pas contre lui, mais contre le fait qu’elle n’avait pas réagi quand il l’avait fait la première fois, pendant qu’elle jouissait. Et il avait continué, à chaque fois, avec toujours le même résultat. Elle grimpait aux rideaux. Incompréhensible ...
«Genevais» répondit-elle. La chatte en feu, suintante, les réponses en un seul mot étaient maintenant tout ce qu'elle pouvait trouver.
Message suivant : «À quelle heure appelles-tu Michel, le soir ?»
«22 heures» Envoi.
Elle a menti, d’habitude c’était vers 19 heures, mais avec le décalage horaire, ce serait encore plus tôt ce soir. Probablement entre 17 et 18 heures.
«Non, 21 heures»
«Oh mon Dieu !» pensait-elle «Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu deviens folle, ma pauvre fille !» en réalisant qu'elle était maintenant de plus en plus impatiente. Troublée et perverse.
Son téléphone est resté silencieux pendant quelques minutes, puis il a bipé. Angela l'ouvrit et lut.
«22 heures ... Non 21 .... Marrant, petite coquine, impatiente de te faire baiser, n'est-ce pas ?»
«Peut-être devrais-je venir avec quelques renforts ... (je plaisante)»
«Retrouve-moi au bar de l’hôtel Bel-Air à 21H30 ce soir - Richard»
Une autre photo de sa bite en gros plan, les veines bien saillantes.
Angela a décompressé son pantalon afin de glisser sa main. Dieu qu'elle était mouillée. Elle a frotté un peu sa chatte ruisselante de jus mélangés. Elle a enlevé sa main, sucé ses doigts pour répondre au message.
«Richard. Je serai au rendez-vous. Mais ce sera la dernière fois. OK ?» Envoi.
Elle regardait l'écran en attendant sa réponse. En jetant un coup d’œil aux environs, elle s’aperçut qu'elle était cachée, hors de vue, alors elle remit sa main dans son pantalon et se frotta jusqu'à l'orgasme.
«Si quelqu’un vient me voir ?» Elle pantelait. Elle n'a jamais fait quoi que ce soit de sexuel ailleurs qu’au lit, ou sous la douche. JAMAIS en public.
De nouveau, son téléphone bipait.
«D’accord, petite garce, mais je suis sûr que tu en réclameras davantage ce soir. Tu es une gourmande, une bête de sexe, accro à la bite noire, et il n'y en a pas tellement par ici.»
«Donc, ce soir, je veux te voir habillée sexy. Juste une robe de cocktail, tes talons, tes bijoux et ton parfum. Rien d’autre. Pas de sous-vêtements, de bas, de fanfreluches. Je te veux accessible, disponible, ouverte. Bien compris, pétasse?»
«Je réserve à l’hôtel un départ tardif. Donc, je te baiserai jusqu’à midi demain. Si tu le souhaites, je peux apporter quelques jouets dont nous avions discutés dans notre volumineuse correspondance antérieure. Bondage léger, jouets vibrants, … dis-moi si tu as un fantasme, ou un désir particulier.»
«À notre arrivée à l’hôtel, je te dépouillerai de ta robe, et je l’enfermerai dans le coffre-fort de l’hôtel, programmé pour s’ouvrir à midi le lendemain. Dis-moi que tu m’as bien compris, pétasse, et que tu donnes ton accord.»
Le doute hantait maintenant Angela. Devait-elle accepter ou reculer ? Il devenait exigeant, intrusif, mais tellement ...
«Non, non, non et non, pas question d’accepter cela ! Je ne suis pas sa poule !» Mais elle était en conflit ... elle avait tellement envie de lui dire oui, prends-moi, fais-moi ce que tu veux ...
Elle a répondu :
«Waouh, Richard, C’est à la fois si effrayant et si excitant ... Je ne suis pas sûre … Laisse-moi jusqu'à 14 heures pour décider, OK ? Tina» Envoi
Elle démarra la voiture et rentra chez elle.
Elle se garait dans son allée, quand son téléphone bipa :
«Ne te donne pas la peine de répondre. Je te verrai ce soir à 21H30 au bar de l’hôtel. Si tu viens, cela voudra dire que tu acceptes tout, salope.»
Angela a pensé : «Il est un peu trop confiant, le salaud !»
Accompagné d’une autre photo. Angela à genoux, en train de sucer la grosse bite noire de Richard, et un fichier trop gros pour être ouvert avec son téléphone.
Elle s’est précipitée à l'intérieur pour allumer son ordinateur. Télécharger le fichier. Et regarder une vidéo d'elle-même se faisant baiser par Richard, et l'encourageant par ses hurlements.
Merde. Elle n'avait pas vu de caméra. Mais ce n'était pas ça qui l'inquiétait.
Elle ne pouvait pas croire qu'elle avait été si stupide. Qu'elle avait laissé traîner des preuves. Si Richard voulait monnayer … Publier sur un site … Son mari … Merde, Michel n’acceptera jamais … Mais ce n'était pas le pire.
Ce qui l'inquiétait, le pire lorsqu'elle est revenue à la réalité, après avoir visionné la vidéo, c'est en saisissant la dangerosité de sa situation.
C'est à ce moment-là qu'elle a réalisé qu’elle avait quitté son pantalon et sa culotte, et qu'elle se masturbait devant la vidéo la montrant en train de s’humilier pour une bite noire.
Elle se précipita dans la salle de bain. D’abord, une bonne douche.
Ensuite, choisir sa robe pour ce soir.
************************
Angela est sortie de la voiture, et elle a réajusté sa robe d’un geste machinal.
Elle portait une courte robe de cocktail verte sans manches, des talons verts assortis, un sac à main noir avec son téléphone, son portefeuille et son maquillage. La robe en matière vaporeuse, qui s’évasait sous la poitrine, et l’absence de dessous ne protégeait pas sa chatte de la fraîcheur de la soirée.
Le simple fait de traverser à pied le parking de l’hôtel, la fraîcheur humide de sa chatte la faisait frissonner. Mais elle voulait plaire à Richard, le séduire et le charmer. Les mains le long des cuisses, pour ne pas prendre le risque qu’un coup de vent malicieux dévoile son intimité, elle s’engouffra dans le hall de l’hôtel.
Elle n’avait pas eu le temps d’ajuster la robe. Elle datait de plusieurs années, et elle avait pris un peu de volume depuis. C'était un peu plus serré qu'avant au niveau de la poitrine, et cela semblait faire remonter l’ourlet un peu plus haut, découvrant plus de chair laiteuse de ses cuisses.
Ses bijoux brillaient de mille feux. Le collier, l’alliance, le bracelet-montre et les boucles d’oreilles accrochaient et reflétaient la lumière. Du zirconium, du toc, mais qui faisait son effet. Malgré le confortable salaire de Michel, ni son mari ni Angela ne jetaient l’argent par les fenêtres. Surtout pour des choses aussi futiles. La douce tiédeur du hall confortable lui réveilla l’excitation fiévreuse de son endroit le plus intime.
«OK, ma fille. Es-tu prête à subir tout ça ?»
Fort heureusement, un important groupe de touristes s’agglutinaient à la réception de l’hôtel. Les employés présents étaient débordés et ne s’occupaient pas d’elle. Une profonde inspiration, et elle traversa le hall d’un pas décidé en direction des escaliers qui conduisaient au bar et au restaurant.
Le claquement sec de ses talons sur le dallage fit tourner la tête à quelques messieurs qui la suivirent du regard. L'horloge de la réception indiquait presque la demie de neuf heures, et elle ne voulait surtout pas être en retard.
L’établissement était fréquenté surtout par des couples d'âge moyen et des hommes d'affaires. Angela a scanné d’un regard circulaire les visages des consommateurs pour trouver son amant attablé près de la fenêtre. Un bref signe de tête, sans sourire, lui notifia l’ordre de s’approcher.
Angela sentit soudain le regard pesant de toutes les personnes présentes. Pas du tout intimidée, elle accentua le balancement de ses hanches pleines en s’approchant de son amant noir. Elle n’était pas habillée convenablement pour l’endroit, elle rejoignait un homme noir, elle était sûre et certaine que tout le monde la jugeait.
Elle s’assit en face de Richard, et la courte robe remonta au-dessus de la bienséance et de l’éducation. Maintenant, tout le monde ici savait précisément pourquoi elle était venue.
Elle se força à gazouiller : «Salut Richard. Il fait un peu frais, ce soir ...»
«Salut, pétasse ! Tu as l'air bonne. Un peu trop habillée, mais on va bientôt arranger ça. As-tu parlé à Michel ? Se doute-t-il de quelque chose ?»
«Oui, je lui ai parlé. Je lui ai dit que je ne me sentais pas trop bien, que j'allais prendre un somnifère pour m’assommer. Il sait qu’il ne pourra pas me joindre avant l'heure du déjeuner, demain.»
Elle se frottait sur son siège. Consciente des regards réprobateurs qu'elle provoquait.
«Ne préfères-tu pas aller dans la chambre, plutôt que de boire deux ou trois verres ici ?» Elle ne voulait surtout pas paraître impatiente, mais l’atmosphère feutrée lui pesait, et elle voulait sortir de ce bar.
Richard rigolait : «Tu es une garce impatiente d’être baisée, n'est-ce pas, Angela ?»
Angela se figea, glacée ... Il n’avait pas ...
«Angela Lemaître. De Jardineux. C'est drôle que tu m’aies dit Genevais. Tu as dû confondre. Mariée à Michel Lemaître. Ta sœur s’appelle Laura. Est-ce que je continue ?»
Angela se sentait défaillir. Elle pouvait sentir son cœur battre. Mais elle restait tétanisée, glacée d’effroi.
Richard la sortit de son état de choc avec un claquement de doigts : «Hello, pétasse ! Y a quelqu’un ?»
Angela a retrouvé ses esprits : «Mais comment ?»
«Hier soir, quand on a baisé, tu t'es endormie dans mes bras. Deux ou trois fois. Une vraie zombie !»
Angela était consciente qu'il n'était pas très discret avec sa grosse voix.
«Richard, s'il te plaît, parle à voix basse. Je suis une femme mariée.»
«Une salope mariée et infidèle» répondit-il. «Donc, pendant que tu roupillais, je m’emmerdais … Alors, j'ai copié tous les contacts de ton téléphone. Ton empreinte digitale fonctionne même quand tu dors.»
Visiblement fier de lui, il se pavanait sur sa chaise. Angela pouvait voir le contour de sa queue sur sa cuisse.
«Ne t'inquiète pas. Je n'ai pas l'intention de détruire ta vie. Fais juste très attention à ne rien me refuser. Dis-moi que tu m’as bien compris, catin...»
«J’ai compris, Richard»
«Bien» Il lui tendit un sac. «Tu vas monter d'un étage, jusqu'au vestiaire de la piscine. Tu quitteras ta robe et enfileras ce peignoir. La carte magnétique avec le numéro de la chambre est dans la poche. Rejoins-moi aux ascenseurs du niveau 2. Tu me donneras ce sac avec tes vêtements à l'intérieur. Rejoins la chambre, ôte la robe et attends-moi.
Elle prit le sac et se leva.
«Ne pars pas si vite, cochonne, viens par ici.» Elle s’approcha et se tint debout à côté de lui. La main de Richard grimpait à l'intérieur de sa cuisse. Craignant de se faire remarquer, elle serra ses jambes l'une contre l'autre.
«Écarte les jambes, maintenant, salope.» D’un coup d’œil circulaire, elle s’assura que personne ne faisait attention à elle. Rassurée, elle lui a obéit en libérant l’accès vers sa chatte. Immédiatement, il a introduit deux doigts en elle.
«Oh, mais tu es trempée, salope.» Elle ne pouvait pas nier l’évidence, car elle espérait ses soins avec impatience.
Il lui a donné un avant-goût avec ses doigts, puis il a brusquement retiré ses doigts. «Va, petite cochonne, et ne me fais pas attendre !»
Moins de 10 minutes plus tard, elle l’attendait, agenouillée et nue, au centre d’une chambre spacieuse.
La porte s'ouvrit et Richard entra : «Tes vêtements sont maintenant dans le coffre-fort de l'hôtel jusqu’à demain midi. Tu sais ce que ça veut dire ?»
«Je sais»
Richard enleva ses vêtements, et se tint debout devant elle, pour lui montrer sa magnificence noire. Une bite semi-rigide de 25 centimètres, aussi épaisse que le poignet d'Angela se balançait devant son nez.
Richard s'approcha un peu. Immédiatement, Angela ouvrit sa bouche.
Angela s'ouvrait en grand tandis qu'il se coulait à l’intérieur dans un mouvement régulier. Son réflexe nauséeux protestait, mais Richard attrapa sa nuque pour contraindre Angela à l’accepter plus profondément, pour l’asservir.
Il restait là, la forçant à s’étouffer, lui démontrant qu’il était le maître, qu’elle ne pouvait qu’obéir et se soumettre. Angela ne parvenait plus à respirer, tandis qu'il continuait l'assaut sur sa gorge. Puis, il lâcha sa prise, baissa son visage vers le sien et, avec du feu dans les yeux, il a demandé, alors qu’elle pantelait en essayant de reprendre son souffle :
«Tu ferais mieux d'apprendre à se détendre, salope! Tu vas avoir beaucoup de bite dans ta gorge, cette nuit, et pas seulement la mienne. J'ai des amis qui vont te rendre visite toute la nuit. Et tu leur appartiendras, comme à moi. Comprends-tu, traînée ?» La chatte d'Angela frémissait.
«Non, Richard, s'il te plaît. C'était censé être entre juste toi et moi»
«Eh bien, tu peux te lever et partir, si tu le veux. Mais tu ne récupéreras pas tes affaires. Et tu n'auras pas le peignoir. Il appartient à l’hôtel. Et j’ai toujours ces vidéos, tu sais, les enregistrements de la dernière fois. Ils prouveront à tout le monde que tu n'as pas été forcée.»
Angela se souvenait de la vidéo qu'il lui avait envoyée. Mais il ne lui avait pas dit qu'il y en ait plusieurs. De nouveau ce sentiment étrange. De peur ? Non. De colère ? Non plus. C'était sa chatte qui palpitait. Sa déchéance, l’humiliation qu’elle subissait, sa soumission devant ce mâle alpha, sa libido détraquée envoyait des flashes de plaisir dans sa chatte.
Il fallait qu’elle jouisse. Elle attrapa son clitoris et commença à le frotter, les yeux fermés. Alors que l'orgasme grondait, prêt à déferler sur elle, tout ce qu'elle a pu dire était :
«D’accord, Richard je serai ta pute cette nuit.»
«Répète ! Plus fort !»
L’orgasme la tordait : «D’ACCORD, RICHARD JE SERAI TA PUTE CETTE NUIT.»
Lorsque son orgasme se calma, elle ouvrit les yeux pour voir son amant noir en train de la filmer.
«Bien, ça fera l'affaire, Angela. Tu ne pourras pas te plaindre. Et tu devras faire exactement ce que tu as promis !»
La première heure, Richard l’a passée à câliner Angela. Avec la bouche, la langue et les doigts, chacune de ses zones érogènes a été sollicitée de nombreuses fois. Angela suppliait, quémandait, mais Richard refusait de la pénétrer.
Le premier couple d’intervenants est arrivé vers 23H. Une blanche et un noir. Elle était plus grande qu’Angela, plus volumineuse aussi. Les deux hommes n’avaient pas fini de se saluer, qu’elle avait déjà ôté sa robe. Son seul vêtement, c’était une chaîne en or autour de la taille. Son corps était recouvert de tatouages tribals.
Elle s’est allongée sur Angela, s’insérant entre ses jambes écartées, pour lui doigter la chatte en lui suçant les mamelons. S’apercevant qu’Angela était déjà prête, elle s’est relevée pour s’installer tête-bêche. Son compagnon est venu la baiser en levrette.
Angela a pu admirer de très près le spectacle de la grosse bite noire qui étirait la chatte de la femme. Son copain la baisait en levrette et, de temps en temps, il sortait sa bite pour la donner à sucer à Angela, avant de continuer à baiser la femme.
Richard s’était agenouillé entre les cuisses écartées d’Angela, et se faisait sucer par la femme. Celle-ci avait plongé deux doigts dans la chatte d’Angela et la masturbait frénétiquement. Finalement, le copain a cessé de la baiser en levrette pour la prendre par le cul, pendant qu’Angela lui bouffait la chatte. La femme est devenue folle.
Quand ils sont partis, Angela n’avait toujours pas été baisée et son impatience était à son comble. Heureusement, les participants suivants n’étaient pas loin. Ils attendaient leur tour, et ils ont profité de la porte ouverte pour entrer dans la chambre. Trois jeunes noirs dégingandés. Angela les trouvait maigrichons, jusqu’à ce qu’il ôtent leurs vêtements.
Ils étaient montés comme des taureaux de concours. En les voyant prendre place autour d’elle sur le lit, Angela a compris que ses orifices allaient enfin être sollicités. Richard s’est installé au pied du lit, avec son matériel vidéo, pour immortaliser la scène.
À la question d’un gars, qui demandaient ce qu’ils avaient le droit de faire à Angela, Richard a répondu qu’ils avaient carte blanche et qu’ils pouvaient faire d’elle tout ce qu’ils voulaient, que la salope n’avait pas à se plaindre, qu’elle était venue là, de son plein gré, pour tout ce qu’ils voudraient bien lui faire.
Un gars s’est couché sur le lit, obligeant Angelina à le chevaucher, le deuxième s’est installé dans ses fesses, le troisième s’est accroupi devant son visage pour qu’elle le suce. Les trois gars installés chacun dans un orifice, Richard a mis en marche sa caméra pour enregistrer les ébats.
La baise a duré toute la nuit, ils étaient inépuisables. Ils se relayaient, s’installaient dans une tournante, utilisant Angela comme une pute bon marché. Quand ils sont repartis, au petit matin, ils ont laissé Angela épuisée mais ravie. Vautrée au milieu du lit, dans la position où ils l’avaient laissée, elle gisait les ouvertures en désordre, boursouflées, rougies, distendues, suintantes de sperme crémeux.
Richard a installé sa caméra sur un trépied, l’a braquée sur le canapé, puis il est venu s’asseoir sur le canapé. D’un claquement sec de ses doigts, il a intimé l’ordre à Angela de venir le rejoindre. Épuisée, elle s’est traînée jusqu’à lui. Installée à califourchon sur ses cuisses, elle s’est laissée glisser sur le membre tendu.
Il l’a prise dans ses bras pour l’emboîter. Un bruit de piston s’est échappé de sa chatte remplie de sperme. Elle a ouvert grand sa bouche pour accueillir la langue de Richard. Gémissante, malgré sa fatigue, elle a commencé à monter et descendre sur le pieu de chair. Il pinçait et triturait ses mamelons pour la faire gémir plus fort.
Angela se cambrait pour prendre plus profondément son énorme bite noire qui brillait des liquides qu’elle drainait. Soudain, il la repoussa en se penchant, et la souleva comme un fétu de paille. Il se leva, et la promena à travers la pièce. Elle s’accrochait à lui, ses mains agrippées sur sa nuque, ses jambes entourant ses reins.
Tandis qu’il la promenait autour de la pièce, il inséra deux doigts dans son fondement. De ses orifices suintants s’échappaient les fluides que les garçons avaient gaspillés pour elle toute la nuit.
Soudain, il se retira et la laissa tomber sur le lit. Elle eut un cri de surprise. Levant et écartant ses jambes bien haut, il se laissa tomber entre elles. Il la fendit en deux d’une seule pénétration sauvage. Ses couilles ont giflé son cul tandis qu’elle hurlait de surprise et de douleur.
Il a débuté un mouvement d'entrée et de sortie éreintant. Ses coups devenaient plus longs et plus durs. Elle leva son visage vers son amant pervers et le regarda s’acharner sur elle.
«Tu aimes cette grosse bite, n'est-ce pas? Tu aimes te faire molester, frapper, injurier. Tu aimes être une salope soumise aux caprices des hommes. Que penserait Michel, ton mari, s’il te découvrait ainsi ?»
C’est au moment précis où l’orgasme l’a submergée, qu’en tournant la tête, elle a distingué, sur le pas de la porte, son mari Michel qui la regardait.
Tellement bon ... mais ne plus JAMAIS le refaire !
Elle a démarré l’auto et s'est infiltrée dans la circulation, sans pouvoir effacer, sur son visage, ce sourire extasié. Le sperme suintait de sa chatte dévastée. Il l’avait chevauchée toute la nuit ... Infatigable … Vigoureux ... Performant ...
Sa première aventure … Son premier homme noir … Et sa dernière aussi, elle ne recommencerait plus jamais.
Elle voulait juste savoir. Cette légende … Le mâle Alpha … L’étalon reproducteur, supérieurement doté ...
«C'est fait, maintenant» murmura-t-elle pour elle-même. Elle en était heureuse, fière d'elle. Son mari voyageait beaucoup, elle en avait l’opportunité, mais elle ne l'avait jamais saisie. Mais, comme pour beaucoup de femmes blanches, il y avait ce mythe étrange, à propos de ce que les hommes noirs ont dans le pantalon.
«Ils ne sont peut-être pas tous comme celui-là, mais lui, il était énorme !»
Elle rigolait toute seule : «Merci mon amour, d'être en voyage d’affaires.»
Il faudra qu’elle lui fasse un bon repas, et une séance de baise mémorable, quand il est rentrera à la maison, pour atténuer ce putain de sentiment de culpabilité.
Son téléphone a sonné, annonçant un message entrant. Serait-ce «lui», l'homme qui venait de la baiser pendant une nuit entière. Elle lui avait accordé juste une heure, après elle devait partir. Mais il était implacable, inhumain, monstrueux.
Plusieurs fois, elle s'était endormie, à bout de forces, entre ses bras musclés. À chaque fois, il la réveillait. Avec ses doigts, ou sa langue, ou même son énorme bite qui cherchait à s’infiltrer entre ses lèvres.
Elle avait promis qu'elle lui enverrait un message dès son retour à la maison, et elle pensait clôturer ce compte aussitôt après. Ce serait un tête-à-tête unique. Sans lendemain.
Elle jeta un coup d'œil au téléphone pendant qu'elle conduisait, ce qu'elle ne faisait jamais d'habitude, même s’il était fixé à son support, sur le tableau de bord, trop dangereux de quitter la route des yeux.
C’était un gentil message la remerciant pour ce merveilleux moment qu’elle lui avait offert. Peut-être aurait-elle envie de recommencer ce soir, car il savait que Michel était absent pour la semaine.
«Je suis sûre et certaine de ne pas avoir dit ça» … «Je n’ai même pas prononcé le nom de Michel»
Elle était méfiante maintenant. Elle s'est arrêtée pour lui répondre :
«Salut Richard, merci pour cette nuit indescriptible. Je ne l'oublierai jamais. Mais je suis sûre de t’avoir dit que cela ne se reproduirait pas. Tu étais d'accord avec ça, n'est-ce pas ?»
Et juste rapidement après : «Où as-tu eu le nom de Michel ? Et qu'il était absent toute la semaine ?» Envoi.
Angela replacé le téléphone dans le berceau et remit sa voiture en marche. Avant qu'elle ne puisse repartir, le téléphone a bipé.
«C'était trop rapide» pensa-t-elle «Il doit avoir gardé le téléphone en main» Elle se sentait comme une gamine avec son premier flirt. Des papillons dans le ventre, elle a éteint le moteur pour lire le message.
«Salut, Tina» Elle avait donné un faux nom … «Moi aussi, j’ai passé un moment inoubliable dans tes bras, ma chérie. Et j’ai hâte de pouvoir renouveler ces instants de bonheur. J’espérais que ce soir tu aurais un peu de temps à gaspiller.»
«Je serais heureux de te rejoindre dans un hôtel plus près de chez toi. Tu m’avais parlé d’une heure et demie de route. C’est du temps perdu. Je préfère passer ce temps à te baiser plus. Je suis en érection en pensant à toi et à ta chatte qui s’ouvre pour moi.»
«Pour Michel, tu as crié son nom pendant un orgasme, cette nuit, et quand je t’ai demandé qui c’était, tu m’as dit que c’était ton mari et qu’il était absent pour la semaine. Tu voulais que je continue de te baiser. Tu me suppliais, tu ne t’en souviens pas ?»
«Si j’ai été trop long, ou trop fougueux, je m’en excuse. Tu me fais tellement d’effet. Je veux juste baiser encore ta chatte. Tu es si bonne. Tu vois, je suis honnête. Fais-moi savoir si je peux réserver l’hôtel, et lequel, ou si je dois m’effacer et te laisser tranquille. Je t’aime, Richard.»
Dieu qu'elle aimait ses boniments, il écrivait des mots qu’elle n’osait même pas prononcer. Peut-être qu'elle lui avait parlé de Michel, dans une stupeur orgasmique, il lui avait fait perdre la tête … et pas que !
Elle s’était comportée comme une fille, mais ... «Non! Une seule fois !» s’exclama-t-elle à haute voix. Poser ce téléphone et rentrer à la maison. Ignorer sa demande. Elle ne pouvait pas lui avouer qu’elle était libre toute la semaine, et qu’il pouvait la baiser tant qu’il voulait, comme une vulgaire catin.
Elle criait de rage maintenant : «Non, c'était le contrat ! Une heure, j’avais bien dit une heure !»
45 minutes plus tard, alors qu'elle quittait la nationale en arrivant près de son lotissement, elle s’est garée pour taper : «Bon, d’accord. Encore une nuit, mais une seule ! D’accord ?» Envoi.
La réponse immédiate : «D’accord, petite coquine. Dans quel coin habites-tu ?»
Ci-joint la photo de lui en pied, entièrement nu, la bite en pleine ascension.
La photo, et le fait d'être appelée coquine, l'ont eue. Éperonnée. Cela l’irritait d'être traitée de coquine. Pas contre lui, mais contre le fait qu’elle n’avait pas réagi quand il l’avait fait la première fois, pendant qu’elle jouissait. Et il avait continué, à chaque fois, avec toujours le même résultat. Elle grimpait aux rideaux. Incompréhensible ...
«Genevais» répondit-elle. La chatte en feu, suintante, les réponses en un seul mot étaient maintenant tout ce qu'elle pouvait trouver.
Message suivant : «À quelle heure appelles-tu Michel, le soir ?»
«22 heures» Envoi.
Elle a menti, d’habitude c’était vers 19 heures, mais avec le décalage horaire, ce serait encore plus tôt ce soir. Probablement entre 17 et 18 heures.
«Non, 21 heures»
«Oh mon Dieu !» pensait-elle «Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu deviens folle, ma pauvre fille !» en réalisant qu'elle était maintenant de plus en plus impatiente. Troublée et perverse.
Son téléphone est resté silencieux pendant quelques minutes, puis il a bipé. Angela l'ouvrit et lut.
«22 heures ... Non 21 .... Marrant, petite coquine, impatiente de te faire baiser, n'est-ce pas ?»
«Peut-être devrais-je venir avec quelques renforts ... (je plaisante)»
«Retrouve-moi au bar de l’hôtel Bel-Air à 21H30 ce soir - Richard»
Une autre photo de sa bite en gros plan, les veines bien saillantes.
Angela a décompressé son pantalon afin de glisser sa main. Dieu qu'elle était mouillée. Elle a frotté un peu sa chatte ruisselante de jus mélangés. Elle a enlevé sa main, sucé ses doigts pour répondre au message.
«Richard. Je serai au rendez-vous. Mais ce sera la dernière fois. OK ?» Envoi.
Elle regardait l'écran en attendant sa réponse. En jetant un coup d’œil aux environs, elle s’aperçut qu'elle était cachée, hors de vue, alors elle remit sa main dans son pantalon et se frotta jusqu'à l'orgasme.
«Si quelqu’un vient me voir ?» Elle pantelait. Elle n'a jamais fait quoi que ce soit de sexuel ailleurs qu’au lit, ou sous la douche. JAMAIS en public.
De nouveau, son téléphone bipait.
«D’accord, petite garce, mais je suis sûr que tu en réclameras davantage ce soir. Tu es une gourmande, une bête de sexe, accro à la bite noire, et il n'y en a pas tellement par ici.»
«Donc, ce soir, je veux te voir habillée sexy. Juste une robe de cocktail, tes talons, tes bijoux et ton parfum. Rien d’autre. Pas de sous-vêtements, de bas, de fanfreluches. Je te veux accessible, disponible, ouverte. Bien compris, pétasse?»
«Je réserve à l’hôtel un départ tardif. Donc, je te baiserai jusqu’à midi demain. Si tu le souhaites, je peux apporter quelques jouets dont nous avions discutés dans notre volumineuse correspondance antérieure. Bondage léger, jouets vibrants, … dis-moi si tu as un fantasme, ou un désir particulier.»
«À notre arrivée à l’hôtel, je te dépouillerai de ta robe, et je l’enfermerai dans le coffre-fort de l’hôtel, programmé pour s’ouvrir à midi le lendemain. Dis-moi que tu m’as bien compris, pétasse, et que tu donnes ton accord.»
Le doute hantait maintenant Angela. Devait-elle accepter ou reculer ? Il devenait exigeant, intrusif, mais tellement ...
«Non, non, non et non, pas question d’accepter cela ! Je ne suis pas sa poule !» Mais elle était en conflit ... elle avait tellement envie de lui dire oui, prends-moi, fais-moi ce que tu veux ...
Elle a répondu :
«Waouh, Richard, C’est à la fois si effrayant et si excitant ... Je ne suis pas sûre … Laisse-moi jusqu'à 14 heures pour décider, OK ? Tina» Envoi
Elle démarra la voiture et rentra chez elle.
Elle se garait dans son allée, quand son téléphone bipa :
«Ne te donne pas la peine de répondre. Je te verrai ce soir à 21H30 au bar de l’hôtel. Si tu viens, cela voudra dire que tu acceptes tout, salope.»
Angela a pensé : «Il est un peu trop confiant, le salaud !»
Accompagné d’une autre photo. Angela à genoux, en train de sucer la grosse bite noire de Richard, et un fichier trop gros pour être ouvert avec son téléphone.
Elle s’est précipitée à l'intérieur pour allumer son ordinateur. Télécharger le fichier. Et regarder une vidéo d'elle-même se faisant baiser par Richard, et l'encourageant par ses hurlements.
Merde. Elle n'avait pas vu de caméra. Mais ce n'était pas ça qui l'inquiétait.
Elle ne pouvait pas croire qu'elle avait été si stupide. Qu'elle avait laissé traîner des preuves. Si Richard voulait monnayer … Publier sur un site … Son mari … Merde, Michel n’acceptera jamais … Mais ce n'était pas le pire.
Ce qui l'inquiétait, le pire lorsqu'elle est revenue à la réalité, après avoir visionné la vidéo, c'est en saisissant la dangerosité de sa situation.
C'est à ce moment-là qu'elle a réalisé qu’elle avait quitté son pantalon et sa culotte, et qu'elle se masturbait devant la vidéo la montrant en train de s’humilier pour une bite noire.
Elle se précipita dans la salle de bain. D’abord, une bonne douche.
Ensuite, choisir sa robe pour ce soir.
************************
Angela est sortie de la voiture, et elle a réajusté sa robe d’un geste machinal.
Elle portait une courte robe de cocktail verte sans manches, des talons verts assortis, un sac à main noir avec son téléphone, son portefeuille et son maquillage. La robe en matière vaporeuse, qui s’évasait sous la poitrine, et l’absence de dessous ne protégeait pas sa chatte de la fraîcheur de la soirée.
Le simple fait de traverser à pied le parking de l’hôtel, la fraîcheur humide de sa chatte la faisait frissonner. Mais elle voulait plaire à Richard, le séduire et le charmer. Les mains le long des cuisses, pour ne pas prendre le risque qu’un coup de vent malicieux dévoile son intimité, elle s’engouffra dans le hall de l’hôtel.
Elle n’avait pas eu le temps d’ajuster la robe. Elle datait de plusieurs années, et elle avait pris un peu de volume depuis. C'était un peu plus serré qu'avant au niveau de la poitrine, et cela semblait faire remonter l’ourlet un peu plus haut, découvrant plus de chair laiteuse de ses cuisses.
Ses bijoux brillaient de mille feux. Le collier, l’alliance, le bracelet-montre et les boucles d’oreilles accrochaient et reflétaient la lumière. Du zirconium, du toc, mais qui faisait son effet. Malgré le confortable salaire de Michel, ni son mari ni Angela ne jetaient l’argent par les fenêtres. Surtout pour des choses aussi futiles. La douce tiédeur du hall confortable lui réveilla l’excitation fiévreuse de son endroit le plus intime.
«OK, ma fille. Es-tu prête à subir tout ça ?»
Fort heureusement, un important groupe de touristes s’agglutinaient à la réception de l’hôtel. Les employés présents étaient débordés et ne s’occupaient pas d’elle. Une profonde inspiration, et elle traversa le hall d’un pas décidé en direction des escaliers qui conduisaient au bar et au restaurant.
Le claquement sec de ses talons sur le dallage fit tourner la tête à quelques messieurs qui la suivirent du regard. L'horloge de la réception indiquait presque la demie de neuf heures, et elle ne voulait surtout pas être en retard.
L’établissement était fréquenté surtout par des couples d'âge moyen et des hommes d'affaires. Angela a scanné d’un regard circulaire les visages des consommateurs pour trouver son amant attablé près de la fenêtre. Un bref signe de tête, sans sourire, lui notifia l’ordre de s’approcher.
Angela sentit soudain le regard pesant de toutes les personnes présentes. Pas du tout intimidée, elle accentua le balancement de ses hanches pleines en s’approchant de son amant noir. Elle n’était pas habillée convenablement pour l’endroit, elle rejoignait un homme noir, elle était sûre et certaine que tout le monde la jugeait.
Elle s’assit en face de Richard, et la courte robe remonta au-dessus de la bienséance et de l’éducation. Maintenant, tout le monde ici savait précisément pourquoi elle était venue.
Elle se força à gazouiller : «Salut Richard. Il fait un peu frais, ce soir ...»
«Salut, pétasse ! Tu as l'air bonne. Un peu trop habillée, mais on va bientôt arranger ça. As-tu parlé à Michel ? Se doute-t-il de quelque chose ?»
«Oui, je lui ai parlé. Je lui ai dit que je ne me sentais pas trop bien, que j'allais prendre un somnifère pour m’assommer. Il sait qu’il ne pourra pas me joindre avant l'heure du déjeuner, demain.»
Elle se frottait sur son siège. Consciente des regards réprobateurs qu'elle provoquait.
«Ne préfères-tu pas aller dans la chambre, plutôt que de boire deux ou trois verres ici ?» Elle ne voulait surtout pas paraître impatiente, mais l’atmosphère feutrée lui pesait, et elle voulait sortir de ce bar.
Richard rigolait : «Tu es une garce impatiente d’être baisée, n'est-ce pas, Angela ?»
Angela se figea, glacée ... Il n’avait pas ...
«Angela Lemaître. De Jardineux. C'est drôle que tu m’aies dit Genevais. Tu as dû confondre. Mariée à Michel Lemaître. Ta sœur s’appelle Laura. Est-ce que je continue ?»
Angela se sentait défaillir. Elle pouvait sentir son cœur battre. Mais elle restait tétanisée, glacée d’effroi.
Richard la sortit de son état de choc avec un claquement de doigts : «Hello, pétasse ! Y a quelqu’un ?»
Angela a retrouvé ses esprits : «Mais comment ?»
«Hier soir, quand on a baisé, tu t'es endormie dans mes bras. Deux ou trois fois. Une vraie zombie !»
Angela était consciente qu'il n'était pas très discret avec sa grosse voix.
«Richard, s'il te plaît, parle à voix basse. Je suis une femme mariée.»
«Une salope mariée et infidèle» répondit-il. «Donc, pendant que tu roupillais, je m’emmerdais … Alors, j'ai copié tous les contacts de ton téléphone. Ton empreinte digitale fonctionne même quand tu dors.»
Visiblement fier de lui, il se pavanait sur sa chaise. Angela pouvait voir le contour de sa queue sur sa cuisse.
«Ne t'inquiète pas. Je n'ai pas l'intention de détruire ta vie. Fais juste très attention à ne rien me refuser. Dis-moi que tu m’as bien compris, catin...»
«J’ai compris, Richard»
«Bien» Il lui tendit un sac. «Tu vas monter d'un étage, jusqu'au vestiaire de la piscine. Tu quitteras ta robe et enfileras ce peignoir. La carte magnétique avec le numéro de la chambre est dans la poche. Rejoins-moi aux ascenseurs du niveau 2. Tu me donneras ce sac avec tes vêtements à l'intérieur. Rejoins la chambre, ôte la robe et attends-moi.
Elle prit le sac et se leva.
«Ne pars pas si vite, cochonne, viens par ici.» Elle s’approcha et se tint debout à côté de lui. La main de Richard grimpait à l'intérieur de sa cuisse. Craignant de se faire remarquer, elle serra ses jambes l'une contre l'autre.
«Écarte les jambes, maintenant, salope.» D’un coup d’œil circulaire, elle s’assura que personne ne faisait attention à elle. Rassurée, elle lui a obéit en libérant l’accès vers sa chatte. Immédiatement, il a introduit deux doigts en elle.
«Oh, mais tu es trempée, salope.» Elle ne pouvait pas nier l’évidence, car elle espérait ses soins avec impatience.
Il lui a donné un avant-goût avec ses doigts, puis il a brusquement retiré ses doigts. «Va, petite cochonne, et ne me fais pas attendre !»
Moins de 10 minutes plus tard, elle l’attendait, agenouillée et nue, au centre d’une chambre spacieuse.
La porte s'ouvrit et Richard entra : «Tes vêtements sont maintenant dans le coffre-fort de l'hôtel jusqu’à demain midi. Tu sais ce que ça veut dire ?»
«Je sais»
Richard enleva ses vêtements, et se tint debout devant elle, pour lui montrer sa magnificence noire. Une bite semi-rigide de 25 centimètres, aussi épaisse que le poignet d'Angela se balançait devant son nez.
Richard s'approcha un peu. Immédiatement, Angela ouvrit sa bouche.
Angela s'ouvrait en grand tandis qu'il se coulait à l’intérieur dans un mouvement régulier. Son réflexe nauséeux protestait, mais Richard attrapa sa nuque pour contraindre Angela à l’accepter plus profondément, pour l’asservir.
Il restait là, la forçant à s’étouffer, lui démontrant qu’il était le maître, qu’elle ne pouvait qu’obéir et se soumettre. Angela ne parvenait plus à respirer, tandis qu'il continuait l'assaut sur sa gorge. Puis, il lâcha sa prise, baissa son visage vers le sien et, avec du feu dans les yeux, il a demandé, alors qu’elle pantelait en essayant de reprendre son souffle :
«Tu ferais mieux d'apprendre à se détendre, salope! Tu vas avoir beaucoup de bite dans ta gorge, cette nuit, et pas seulement la mienne. J'ai des amis qui vont te rendre visite toute la nuit. Et tu leur appartiendras, comme à moi. Comprends-tu, traînée ?» La chatte d'Angela frémissait.
«Non, Richard, s'il te plaît. C'était censé être entre juste toi et moi»
«Eh bien, tu peux te lever et partir, si tu le veux. Mais tu ne récupéreras pas tes affaires. Et tu n'auras pas le peignoir. Il appartient à l’hôtel. Et j’ai toujours ces vidéos, tu sais, les enregistrements de la dernière fois. Ils prouveront à tout le monde que tu n'as pas été forcée.»
Angela se souvenait de la vidéo qu'il lui avait envoyée. Mais il ne lui avait pas dit qu'il y en ait plusieurs. De nouveau ce sentiment étrange. De peur ? Non. De colère ? Non plus. C'était sa chatte qui palpitait. Sa déchéance, l’humiliation qu’elle subissait, sa soumission devant ce mâle alpha, sa libido détraquée envoyait des flashes de plaisir dans sa chatte.
Il fallait qu’elle jouisse. Elle attrapa son clitoris et commença à le frotter, les yeux fermés. Alors que l'orgasme grondait, prêt à déferler sur elle, tout ce qu'elle a pu dire était :
«D’accord, Richard je serai ta pute cette nuit.»
«Répète ! Plus fort !»
L’orgasme la tordait : «D’ACCORD, RICHARD JE SERAI TA PUTE CETTE NUIT.»
Lorsque son orgasme se calma, elle ouvrit les yeux pour voir son amant noir en train de la filmer.
«Bien, ça fera l'affaire, Angela. Tu ne pourras pas te plaindre. Et tu devras faire exactement ce que tu as promis !»
La première heure, Richard l’a passée à câliner Angela. Avec la bouche, la langue et les doigts, chacune de ses zones érogènes a été sollicitée de nombreuses fois. Angela suppliait, quémandait, mais Richard refusait de la pénétrer.
Le premier couple d’intervenants est arrivé vers 23H. Une blanche et un noir. Elle était plus grande qu’Angela, plus volumineuse aussi. Les deux hommes n’avaient pas fini de se saluer, qu’elle avait déjà ôté sa robe. Son seul vêtement, c’était une chaîne en or autour de la taille. Son corps était recouvert de tatouages tribals.
Elle s’est allongée sur Angela, s’insérant entre ses jambes écartées, pour lui doigter la chatte en lui suçant les mamelons. S’apercevant qu’Angela était déjà prête, elle s’est relevée pour s’installer tête-bêche. Son compagnon est venu la baiser en levrette.
Angela a pu admirer de très près le spectacle de la grosse bite noire qui étirait la chatte de la femme. Son copain la baisait en levrette et, de temps en temps, il sortait sa bite pour la donner à sucer à Angela, avant de continuer à baiser la femme.
Richard s’était agenouillé entre les cuisses écartées d’Angela, et se faisait sucer par la femme. Celle-ci avait plongé deux doigts dans la chatte d’Angela et la masturbait frénétiquement. Finalement, le copain a cessé de la baiser en levrette pour la prendre par le cul, pendant qu’Angela lui bouffait la chatte. La femme est devenue folle.
Quand ils sont partis, Angela n’avait toujours pas été baisée et son impatience était à son comble. Heureusement, les participants suivants n’étaient pas loin. Ils attendaient leur tour, et ils ont profité de la porte ouverte pour entrer dans la chambre. Trois jeunes noirs dégingandés. Angela les trouvait maigrichons, jusqu’à ce qu’il ôtent leurs vêtements.
Ils étaient montés comme des taureaux de concours. En les voyant prendre place autour d’elle sur le lit, Angela a compris que ses orifices allaient enfin être sollicités. Richard s’est installé au pied du lit, avec son matériel vidéo, pour immortaliser la scène.
À la question d’un gars, qui demandaient ce qu’ils avaient le droit de faire à Angela, Richard a répondu qu’ils avaient carte blanche et qu’ils pouvaient faire d’elle tout ce qu’ils voulaient, que la salope n’avait pas à se plaindre, qu’elle était venue là, de son plein gré, pour tout ce qu’ils voudraient bien lui faire.
Un gars s’est couché sur le lit, obligeant Angelina à le chevaucher, le deuxième s’est installé dans ses fesses, le troisième s’est accroupi devant son visage pour qu’elle le suce. Les trois gars installés chacun dans un orifice, Richard a mis en marche sa caméra pour enregistrer les ébats.
La baise a duré toute la nuit, ils étaient inépuisables. Ils se relayaient, s’installaient dans une tournante, utilisant Angela comme une pute bon marché. Quand ils sont repartis, au petit matin, ils ont laissé Angela épuisée mais ravie. Vautrée au milieu du lit, dans la position où ils l’avaient laissée, elle gisait les ouvertures en désordre, boursouflées, rougies, distendues, suintantes de sperme crémeux.
Richard a installé sa caméra sur un trépied, l’a braquée sur le canapé, puis il est venu s’asseoir sur le canapé. D’un claquement sec de ses doigts, il a intimé l’ordre à Angela de venir le rejoindre. Épuisée, elle s’est traînée jusqu’à lui. Installée à califourchon sur ses cuisses, elle s’est laissée glisser sur le membre tendu.
Il l’a prise dans ses bras pour l’emboîter. Un bruit de piston s’est échappé de sa chatte remplie de sperme. Elle a ouvert grand sa bouche pour accueillir la langue de Richard. Gémissante, malgré sa fatigue, elle a commencé à monter et descendre sur le pieu de chair. Il pinçait et triturait ses mamelons pour la faire gémir plus fort.
Angela se cambrait pour prendre plus profondément son énorme bite noire qui brillait des liquides qu’elle drainait. Soudain, il la repoussa en se penchant, et la souleva comme un fétu de paille. Il se leva, et la promena à travers la pièce. Elle s’accrochait à lui, ses mains agrippées sur sa nuque, ses jambes entourant ses reins.
Tandis qu’il la promenait autour de la pièce, il inséra deux doigts dans son fondement. De ses orifices suintants s’échappaient les fluides que les garçons avaient gaspillés pour elle toute la nuit.
Soudain, il se retira et la laissa tomber sur le lit. Elle eut un cri de surprise. Levant et écartant ses jambes bien haut, il se laissa tomber entre elles. Il la fendit en deux d’une seule pénétration sauvage. Ses couilles ont giflé son cul tandis qu’elle hurlait de surprise et de douleur.
Il a débuté un mouvement d'entrée et de sortie éreintant. Ses coups devenaient plus longs et plus durs. Elle leva son visage vers son amant pervers et le regarda s’acharner sur elle.
«Tu aimes cette grosse bite, n'est-ce pas? Tu aimes te faire molester, frapper, injurier. Tu aimes être une salope soumise aux caprices des hommes. Que penserait Michel, ton mari, s’il te découvrait ainsi ?»
C’est au moment précis où l’orgasme l’a submergée, qu’en tournant la tête, elle a distingué, sur le pas de la porte, son mari Michel qui la regardait.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une fin en queue de poisson … une histoire peu accrochante … merci d’avoir évité une suite ! On aurait envore droit au mari qui se fait défoncé ou qui devient subitement heureux d etre cocu par sa femme devenu pute !