La longue permission.3

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : La longue permission.3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La longue permission.3
Franchement, je n'ai pas retenu grand chose, de notre passage en Italie.

Jean-Marc m'a demandé de rester caché, à l'arrière de la cabine, pour éviter des explications inutiles.
Les dockers se demanderaient, ce que fait un jeune comme moi, avec lui, qui approche les cinquante ans !
Un peu avant midi, ils ont terminé de charger leurs produits.

On reprend la route dans l'autre sens.
Nous mangeons dans un resto italien, abordable pour lui.
En remontant dans le camion, il me fait part de son envie:

"Je te baiserai bien encore, mais on est en retard !".
"C'est pas grave, on se rattrapera, au retour !".
"Oui, c'est vrai, on a le temps ! Maintenant !".
"C'est sûr, et ça me permet de "réparer" mon p'tit cul ! En même temps !".

On rit ensemble, puis il en profite pour me demander, de lui raconter, ce que j'ai fait avec Robert et son copain routier.
De fil en aiguille, il apprend mes expériences avec les militaires aussi, il me raconte des anecdotes sur des jeunes culs, qu'il a baisé au cours de ses déplacements, également.
J'ai du mal à le croire, quand il me dit, que je fais partie de ses "meilleurs coups", et sûrement, un des plus mignons.

Je n'ai pas encore assez d'estime personnelle, pour ça ! Avec ma profonde hétérosexualité, je ne peux pas encore, être fier de mes qualités de salope, avec les hommes !

"Bon, on va arrêter de parler de cul ! Sinon, je m'arrête ! Pour t'enculer sur la prochaine aire !".
"Oui, t'as raison, c'est pas raisonnable !".
"Putain, vivement, qu'on ait un peu de temps ! J'ai hâte !".

Son excitation me fait plaisir, j'adore ressentir ce désir envers moi !
Moi aussi, d'ailleurs, je bande !

Il termine de faire remplir son camion ensuite, au prochain dépôt, en livrant un supermarché au passage.
On devra livrer son chargement, demain matin !

Vers 17 heures, on arrive enfin au Muy, un village moyen du Var.
Je découvre sa maison, simple, mais bien tenue.

Il y a quelques photos de famille, qui laissent penser qu'il a été marié.
Après renseignement, il m'apprend:

"Tu sais ! La vie de routier, c'est pas simple pour une femme ! On a fini par ne plus s'aimer comme avant ! Et puis, mon gout des jeunes garçons, ne m'a pas aidé à lutter contre ça ! Elle a refait sa vie, c'est plus stable pour mon fils !".
"Tu le vois pas ce Week end, alors !".
"Non, la semaine prochaine !".
"Il a quel âge ?".
"Un peu plus âgé que toi ! 25 ans !".
"Ca te fait pas bizarre, de baiser un jeune de l'âge de ton fils ?".
"Non ! Je mélange pas tout !".
"Tant mieux ! Parce que t'es pas mon père, non plus ! Ca m'arrange !".
"Oui, tant mieux ! Et je crois qu'on va pas perdre plus de temps ! Viens là !".

Dès qu'il pose ses mains sur moi, je suis saisis d'un frisson dans tout le corps.
Le souvenir du plaisir ressenti avec son énorme bite, me rempli d'excitation.

"Putain ! Pascal, je suis désolé, mais je crois que j'ai trop envie de t'enculer ! On va directement passer à ton p'tit cul ! Ca te déranges pas ?".
"Euh, c'est direct, mais ! Prends-moi ! Moi aussi, j'en ai envie !".

Il ôte son pull et tout ce qui se trouve dessous, puis baisse son pantalon.
Je me presse de l'imiter, et me retrouve nu comme un ver, devant son très long corps, imposant et puissant.

Il me fait m'appuyer contre le dossier d'un fauteuil, les fesses tendues vers sa queue.
Il attrape son pantalon et sort son tube de gel, il a tout prévu !

La sensation de fraicheur sur mon œillet, participe à mon excitation, elle m'annonce que je vais me faire prendre.
Son gros gland vient s'écraser contre mon petit trou.

"Arh ! Doucement ! Jean-Marc !".
"Désolé, mais j'ai trop envie !".

Il me laisse diriger sa pénétration, je m'étonne de la faculté de mon œillet, à retrouver lentement, ses nouvelles possibilités d'écartèlement.

Cela ne se passe pas sans encombre, je lui fais partager mes petits cris et gémissements, pendant que mon anus, parvient peu à peu, à le laisser prendre sa place en moi.

Sans que je m'y attende, il pousse plus fortement, en me tenant fermement par les hanches.
Son gros sexe entre, en me déchirant les parois anales, puis vient se coller au fond de mon cul.

"Argggggggggggggggggg ! Pfffffffffffffffff ! Orhhhhhhhhh ! Ce que t'es gros ! Putainnnnnnnnn !".
"Ouais, mais t'adore ça ! Ma p'tite salope !".

Il m'assène deux courts assauts, puissants.

"Arhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Tu vas me tuer !".

Il reprend ses assauts courts, puis les amplifient, de plus en plus.
C'est difficile à encaisser, mais j'aime cette manière de me faire posséder.
Je mords ce que j'ai à ma portée, le dossier du fauteuil !

"Putain, ça fait du bien d'être dans ton p'tit cul, mon bébé ! Tu m'excites comme un dingue !".

Il n'aura pour seule réponse que mes râles étouffés, et mes cris de plaisir, à chaque enfoncement dans mon cul.

Mon anus s'habitue un peu, enfin.
Je peux ajouter mes impressions verbales aux siennes.

"Putain ! Jean-Marc ! C'est énorme comme plaisir ! Tu me fais trop jouir ! Arhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !".
"C'est bon ! Hein ? Tu sais que je vais t'enculer comme ça tous les jours, jusqu'à lundi ! Tu vas te faire démonter le cul, ma p'tite salope !".
"Orhhhhhh ! Oui, chéri ! J'en ai envie moi aussi !".
"Putain, ce que j'aime ta p'tite chatte !".

C'est la première fois qu'on utilise ce terme en m'enculant ! Mais avec ce mot, il me place dans le rôle d'une femelle, et mon plaisir cérébral est décuplé.

Il me détruit l'anus, mais je lui réclame de continuer de me soumettre, avec son gros engin.

Il recule lentement, me créant un vide énorme dans l'anus.
Puis il me demande de me placer face à lui sur le fauteuil.

Il me relève les cuisses, en me tenant par les pieds et me transperce à nouveau.
J'ai une vue imprenable sur sa possession anale.

J'hallucine de pouvoir encaisser cette énorme bite, dans mon petit anus imberbe, à peine sorti de l'adolescence.

"Putain ! Arghhhhhhhh ! Jean-Marc ! Tu me fais jouir, et tu m'excites trop !".
"Ca te plait de voir comme je te défonces le cul !".
"Ouiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh !".

Il m'encule profondément, pendant un durée interminable, puis il m'annonce son éjaculation enfin.
Il m'a vidé de toute énergie, depuis un moment déjà !

Il s'agite frénétiquement, puis se fige à plusieurs reprises, en grognant bruyamment.

Je le regarde avec une excitation énorme, en devinant qu'il m'insémine longuement.

Le frottement de son ventre sur ma verge, m'a emmené à bander pendant qu'il m'enculait.
Il sort de mon anus et vient fourrer sa grosse bite dans ma gorge.
Il m'abreuve du reste de son foutre, pendant que je me branle sous lui.

J'ai rarement été aussi excité, par un échange sexuel entre hommes !

Il revient ensuite, entre mes cuisses pour remettre son énorme bite dans mon cul.
Je pousse un énorme râle ! La superposition du plaisir anal et celui de ma queue me fait crier comme un fou.

Je me tord de plaisir sur sa grosse bite, en éjaculant mon sperme entre nos deux ventres.
Il m'assène quelques derniers assauts, en fixant ma queue qui se libère de mon jus.

Un long silence vient conclure notre jouissance commune.

"Tu as bien joui ! Mon bébé ?".
"Oh, putain ! Oui ! Je me sens complètement vidé ! Si ça continue, je vais vraiment devenir pédé, moi !".
"Ah bon, tu l'es pas ?".
"Euh, C'est compliqué ! J'aime les filles ! Mais je suis encore puceau, de ce coté là ! Par contre du coté de mon cul, ça commence à faire beaucoup !".

Il s'éclate de rire, puis, m'embrasse longuement.

"Je t'adore ! Tu me fais rire ! Mon bébé !".

Il m'entraine sous la douche, source de moments de sensualité, et de baisers doux après le sexe.

On va faire quelques courses ensemble, il me présente à une voisine, comme un jeune neveu.
Bref, l'excuse habituelle !

Si certains décèlent l'homosexualité chez des hommes un peu efféminés, c'est moins évident chez ceux qui gardent leur virilité ! Et c'est bien pour moi ! Ce sont eux qui me plaisent !

On partage une belle complicité naissante, en faisant le repas.
Je dévore ma part comme un ogre !

"Ca va mieux ! Tu reprends des forces !".
"Oui, j'en avais besoin !".

Je relève la tête, en découvrant son regard malicieux, et j'ajoute:

"Non ! Ne me dis pas que tu vas encore m'enculer, tout à l'heure !".
"Ah, ah ! Je sais pas ! On verra ! Si tu m'excites encore, tu y auras droit !".

On se couche assez tôt, vu le réveil matinal du lendemain.
Par contre, on ne s'est endormi que deux heures après.
Lui, s'était bien vidé les bourses, et moi, m'ayant encore fait éclater l'anus.
La nuit n'a pas été de trop !

Le matin a été tranquille, il fallait vite, aller bosser !
Je retrouvai des sensations anales, normales, enfin !
Mais j'ai profité du matin, pour me faire un lavement anal, par précaution.

A midi, on s'arrête dans un routier, pour s'installer en fond de salle.
Je me sens gêné par certains regards sur moi.

"Ils savent, tu crois ?".
"On s'en fout ! Il y en a tellement qui le font, ils sont jaloux ! Pour la plupart !".
"Ouais, mais les autres !".
"Tu les connais pas ! Non ?".
"Oui, c'est vrai, mais c'est gênant, quand même !".

Un groupe passe à nos cotés, en quittant le resto.
L'un d'eux vient saluer Jean-Marc, et lui dit en me fixant:

"Bonjour Jean-Marc ! Ca va ? Tu t'embêtes pas dis-moi ?".
"Non, ça va ! On s'amuse bien pourquoi ?".
"Il s'appelle comment ton petit copain ?".

Je prend la suite:

"Vous avez vraiment besoin de le savoir ?".
"Non, mais il est pas un peu âgé pour toi ! Jean-Marc ?".
"Non, pas du tout !".
"Donc, moi aussi, je pourrai te plaire alors !".

Jean-Marc s'en mêle, en disant à son copain routier:

"Laisses le tranquille ! Maurice !".

Je pose ma main sur la sienne en l'empêchant de continuer, puis reprends:

"Vous pourriez, mais le souci, c'est qu'après ce que Jean-Marc m'a mis, j'en peux plus ! Et, je pense que vous ne feriez pas le poids !".

L'homme est surpris de ma réponse, Jean-Marc souris, fier de lui et de mon aplomb.
Maurice retourne son visage pour questionner Jean-Marc:

"Tu l'as ramassé où, celui-là ?".
"C'est Robert de chez S... qui l'a pris en stop !".
"Donc, Robert aussi, il l'a ...".

Je lui coupe la parole.

"Oui, avec un de ses potes, dans les toilettes de l'autoroute ! Et il m'a gardé toute la nuit, ensuite, pour me confier le matin, à Jean-Marc ! Ca vous va, comme détails ?".
"Putain, quelle salope !".
"J'assume ! C'est mon Week end, et mon cul, après tout !".
"Bon, maintenant, tu nous laisses, s'il te plait, Maurice ! T'as surement de la route à faire !".
"Putain, t'as de la chance ! Enfoiré ! Bon, profitez bien tous les deux !".

On le remercie en cœur, puis Jean-Marc se retourne pour scruter les regards dans le resto, presque vide, avant de mettre sa main sur la mienne.

"Je t'adore ! Bébé ! Je paie et on s'en va, après le café ! D'accord ?".
"C'est toi qui décide ! Chéri !".

Je vais aux toilettes avant de partir, en sortant, Jean-Marc m'attend.
Il m'embrasse à pleine bouche ! En profitant que personne ne nous voit.

"Putain, tu m'as trop excité tout à l'heure ! J'ai adoré ta façon de répondre !".
"Euh, tu vas pas me baiser ici !".
"Ah, ah ! Mais non ! Mais j'avais trop envie de t'embrasser ! Par contre, si tu pouvais me sucer dans le camion, ce serait génial !".
"Hummm ! Ca tombe bien, j'en avais envie depuis ce matin ! Et comme dessert, y a pas mieux !".
"Tu veux mon jus ?".
"Oui ! Mais, je veux te lécher longtemps, avant !".
"Allez ! On y va vite, alors !".

Il déplace le camion sur une aire d'arrêt, un peu plus loin, sur la nationale.
Puis, il m'offre son gros jouet, à sucer.

Je prend mon temps, son gros gland qui me déforme la bouche m'excite énormément.
Je me dénude le bas du corps pour me branler, en me régalant de sa grosse bite.

"Je veux que tu me préviennes quand tu vas éjaculer dans ma bouche ! Je veux jouir avec toi !".
"Pas de souci, mon bébé ! Continues ! Tu me suces bien !".
"Mummmm ! J'adore tellement ta bite ! Gllllllllppppp ! Mmmmmmmmmm !...".
"Oh ! Putain, tu me fais tellement de bien ! J'ai pas envie que ça s'arrête ! Tu veux pas rester avec moi, bébé ?".

Je me dirige vers ses lèvres, en serrant sa queue entre mes doigts.

"T'es gentil ! Chéri, mais, c'est pas possible, tu le sais ! On en parlera après, si tu veux, laisses moi te donner du plaisir, pour le moment !".
"Oh, oui, encore ! Donne-moi ta bouche !".

Je recouvre délicatement sa grosse verge, de mes lèvres écartelées et humides.

Parfois, c'est lui qui coulisse entre mes lèvres, parfois, c'est moi qui vient me figer contre son gros gland, comme pour repousser mes limites buccales.

"Arhhhhhhhhh ! Putain, ça, c'est trop bon ! Bébé ! Arhhhhhhhhh !".

Puis, j'utilise ma bouche comme un sexe, qui coulisse sur sa grosse bite, pour faire venir son éjaculation plus rapidement.
Je calme le jeu, ensuite, pour m'amuser avec ses testicules.
Ma queue est prête à exploser, tant j'aime le sucer ainsi.

Je fais glisser mes doigts sur sa verge, tout en le léchant passionnément, sans cesse, sur toute la surface de sa bite.
Je recommence à le baiser avec ma bouche, longuement, très longuement !

Il se cambre et me crie:

"Arhhhhhhh ! Bébé ! Ca monte, attention ! Arghhhhhhhhhhhh !".

Seules quelques secondes séparent notre jouissance commune.
J'avale sa semence, en rependant la mienne, sur son tapis de sol, en caoutchouc noir.
Mes gémissements de plaisir rejoignent les siens, entre chaque son d'ingurgitation de sperme.

"Mmmm ! Glllllllllllllllpp ! Arhhhhh ! Mmmmm ! Grllllllllllllllllpp ! Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Mmmmmmm ! Glllllllllllrp !".

Sa bite est secouée de nombreux spasmes éjaculatoires, décuplant mon plaisir cérébral de l'avaler, encore et encore.

Il se relâche enfin, dans un très long souffle.

"Pfffffffffffffffffffff ! Putain, c'était trop bon, encore ! Je te trouve pas de défaut ! Tu m'as trop bien sucé, mon bébé !".

Je me redresse, en m'asseyant face à la route, un arbre nous protège des regards indiscrets.
Ma queue est toute pendante, et laisse couler un filet de sperme au bout de mon gland.
Ce sperme, dont j'ai les parois de la gorge encore couverte.

J'ai pris un plaisir fou, à faire jouir Jean-Marc, ainsi.
A ce moment précis, devant un tel bonheur, j'ai envie de tout envoyer balader, pour crier au monde entier que j'aime baiser avec des hommes !

"Chéri ? Tu as les mis où, tes mouchoirs ! J'en ai mis partout !".

Il me les donne, puis j'essuie son tapis de sol, pendant qu'il se rhabille.
Il démarre ensuite, je m'essuie le visage et remonte mon pantalon, dès les premières centaines de mètres.
On reprend sa tournée, jusqu'à 18 h, environ.

Sur la route, il aborde le sujet de notre suivi de relation.

"T'aimerais pas vivre avec moi ? Ou avoir une relation suivie, si tu préfères !".
"Vivre avec toi, c'est pas possible ! Les gens sauraient qu'on baisent ensemble ! Et je suis pas prêt pour ça ! Par contre ! Avoir une relation suivie, j'adorerai ! Mais nos vies sont incompatibles ! Je suis encore à l'armée, sans permis de conduire, et chez mes parents ! Si tu trouves une solution, je suis partant !".
"Ouais, t'as raison ! Putain, ça fait chier ! On s'amuse bien, tous les deux ! Mais c'est vrai, que je vais pas souvent sur Toulon, en plus !".

Il faut dire qu'aujourd'hui, ce serait beaucoup plus simple, il y a les portables ! Mais en 1981, ce n'était pas le cas !

"Comment on fait pour se joindre ?".
"Je sais ! Et en plus, il y a ton mec qui te baise à l'armée ! T'as pas besoin de moi !".
"Ne dis pas ça ! J'adore baiser avec toi ! Je sais pas pourquoi, à part la taille de ta bite, bien sûr ! Mais j'adore ta compagnie, aussi !".
"Bon, il nous reste un peu plus de deux jours, pour trouver une solution !".

Il pose sa main sur ma cuisse.

"Je t'adore ! Bébé !".
"Moi aussi ! Chéri !".

On finit sa tournée, je sais déjà, qu'il va me posséder en rentrant chez lui.

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