La longue permission.5

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : La longue permission.5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La longue permission.5
De par son métier, Jean-Marc est un lève tôt !
C'est lui qui me réveille, il me sert un plateau avec des croissants et un café.

"Oh, t'es fou ! T'es sorti pour aller à la boulangerie ! T'es adorable ! Mais il fallait pas !".
"Ca me fait plaisir ! Désolé pour hier soir !".
"C'est rien ! C'est normal ! Et puis, j'ai eu mon compte ! Ne t'inquiètes pas !".

Il reste à mes cotés, en me caressant parfois, pendant que je termine mon p'tit dèj'.

Puis, il me libère du plateau et me donne sa bite à lécher.
Je m'assois au bord du lit pour mieux m'y prendre.

Mais, au bout de quelques minutes, une petite douleur abdominale m'oblige à cesser ma caresse buccale.

"Mmmm ! Désolé chéri ! Je dois te laisser !".

Je vais me libérer d'un besoin naturel, encore une fois, je suis surpris de la propreté de mon anus, quand j'ai fini !

J'en profite pour lui dire que je prends un douche, et pratique un petit lavement en même temps !
Au retour, je lui explique:

"Putain, je sais pas, si tu le sais ! Mais tu me règles le transit ! Ca va mieux ! Mais ça vient d'un coup !".

Il rit, puis m'attire à lui.

"Ou est-ce qu'on en était ?".

Je le couche sur son lit, et plonge sur sa queue, droite comme un rouleau à pâtisserie !

"Mmmm ! On en était là ! Mmmmmmm ! Gllllllrp !".
"Ouiii ! C'est ça ! Arrrrrhhhhhh !".

Je m'habitue à ses mensurations extrêmes, j'arrive de mieux en mieux à le sucer convenablement.
J'aime me dire qu'il ressent autant de plaisir que moi, lorsque je lui dévore la bite.
Ses râles et ses gémissements me rassurent sur ce point.

"Driiiiiinnng ! Driiiiiinnng !".

"Putain, pas maintenant ! Qui c'est qui m'appelle à cette heure là ? Allo ? Oh ! Robert ! Pourquoi tu m'appelles ?".

Il me regarde pendant que je continue de le sucer vicieusement, en gardant l'appareil à l'oreille.

"Comment ça s'est passé avec Pascal ? Super, je te remercie ! Il m'a raconté pour les toilettes de l'autoroute ! et le reste, bien sûr ! T'en as bien profité, toi aussi !".

Il me fait un clin d'œil, puis réponds encore à Robert, le routier.

"Quand je l'ai quitté ? Ben, il est encore avec moi, il est entrain de me manger la bite, là ! Tu veux lui parler ?".

J'écarquille les yeux, j'étais tellement bien avec sa bite dans la bouche !

Je prend l'appareil à l'oreille, puis monte sur le corps de Jean-Marc en saisissant le tube de gel, pour lui tendre.
Il est aux anges, la situation l'excite !

"Allo ? Salut Robert !".
"Salut Pascal ! Alors, j'avais raison ! Tu le regrettes pas ! Il a une bonne queue mon pote !".
"Oui, en effet ! On s'éclate bien tous les deux ! Mais c'était pas mal aussi, pour nous !".
"Putain, t'as raison, j'ai adoré et mon copain aussi !".

"Tant mieux ! Mmm ! Pou...Pourquoi tu appelles ?".
"Oh, rien, je voulais savoir ce que vous aviez fait tous les deux ! Je suis sur que vous vous éclatez !".

"Mmmm ! Arhhhhhhh ! Oh ! C'est bon ! Putain, Jean-Marc ! Encore !".
"Qu'est-ce qui se passe ?".

"Arghhhhhhhhhh ! Il m'encule ! Arghhhhhhhhh ! Elle est trop grosse, sa bite ! Arghhhhhhhhh !".
"Putain, les mecs ! Vous avez pas le droit ! Je bande maintenant !".

"Arhhhhhh ! Peut-être ! Mais ! Arghhhhhhh ! Je peux rien pour toi ! Je dois te repasser Jean-Marc ! Je vais jouir du cul, là ! Arghhhhhhhhhhh !".

Je rend le combiné à Jean-Marc, puis, me tiens avec mes mains sur son torse, pour amplifier mon plaisir en me défonçant l'anus.

"Oh, putain, Robert ! Il me baise trop bien la queue ! Si tu le voyait s'empaler sur ma bite, c'est trop excitant ! Je vais te laisser ! Passes une bonne journée ! Et merci encore de me l'avoir laissé !".
"Putain, salauds ! Je bande comme un âne ! Si j'étais pas si loin, je viendrai l'enculer moi aussi !".
"A plus ! Robert !".
"Clic".

"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Jean-Marc ! Chéri, je prend mon pied ! Arhhhhhhhhhhhh ! ...".

A force de m'entendre et me voir orgasmer sur sa grosse bite, sans m'arrêter, il craque et se déverse en grognant bruyamment.

J'ai envie de le boire, à cet instant précis, mais devant la puissance de son orgasme, qui secoue tout son corps avec des spasmes, et qui se répercutent dans son énorme verge, je me dois de lui laisser vivre ce moment magique.

Des frissons m'envahissent le corps, je vis un orgasme cérébral puissant, qui s'ajoute au précédent plaisir anal.

Lentement, je me colle contre lui, nous sommes soudés par nos organes sexuels, sa queue et mon anus.

"Mon bébé ! Je...".
"Chhht ! Ne dis rien, je sais déjà ! Je suis bien ! là !".

Je me laisse aller au plaisir de ses mains sur mon dos, mes fesses, mes cheveux.

"Hummm ! J'adore te caresser ! Tu es beau ! J'ai de la chance que tu sois là !".
"Moi aussi ! J'ai de la chance ! Je regrette pas, de pas être avec ma copine, mes potes ou mes parents !".

"T'as une copine ?".
"Oui, mais ça va pas durer, elle est super jolie, mais, super nulle ! Elle a aucune sensualité !".

"Tu me fais rire, mais tant mieux pour moi ! Bon, on va bouger ! Sinon, je te baise tout le Week end !".

Il me fait visiter l'arrière pays, je joue le "neveu en vacances".

On s'arrête dans la garigue, pour baiser à nouveau
Par plaisir et praticité, il éjacule dans ma gorge ! C'est bien plus propre, et moins gênant pour mon cul, qui doit se remettre de sa deuxième sodomie de la journée !

Il me traite comme une "princesse" en m'offrant un petit restaurant dans un village.
J'ai du mal à accepter que j'aime ce rôle de femelle choyée.
Il me protège, autant qu'il me domine, et c'est bon !
Je suis prêt à tout pour le satisfaire !

Le soir venu, il me fait l'amour passionnément, Je suis bouleversé par ce moment.
Il me perturbe, je ne sais plus ou j'en suis, mais je sais que malgré moi, j'ai adoré me faire aimer.
Nos éjaculations coordonnées nous ont offert un moment magique et intense encore.

Toutefois, au fond de moi, je sais que je n'ai que des forts sentiments pour lui, mais ce n'est pas de l'amour !

Je veux vivre notre rencontre pleinement, à fond ! Comme lorsqu'il me défonce !

Le dimanche est à l'image du samedi, il m'emmène dans un vide greniers, près de chez lui.
J'apprécie beaucoup ! De plus, cela nous permet de nous promener, sans être trop proche, non plus !

Au retour, on ne résiste pas à un rapprochement plus bestial.
Il me défonce le cul dans la nature ! Je retrouve son coté dominateur !

"Dis moi que t'aimes te prendre ma grosse bite dans le cul !".

Je lui répète à voix normale, pendant qu'il écrase mes cuisses contre un rocher dur et froid.

"Non ! Pas comme ça ! Je veux qu'on t'entende ! Salope !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! J'aime me prendre ta grosse bite dans le cul ! Je suis ta salope ! Arhhhhh !".
"Voilà ! Putain ! J'aime ça aussi ! Te défoncer comme une pute ! Tu jouis ma p'tite chienne ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".

J'apprend vite à me lâcher verbalement, grâce à lui, les mots crus s'enchainent de son coté, comme du mien, puis il annonce:

"Oh putain, je vais gicler ! Tu m'excites ! Tu veux mon foutre ?".
"Oui, je le veux ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Tiens, tournes toi !".

Je me place face à lui, puis il m'arrose le visage, la gorge, le pull, le pantalon.
Le foutre gicle dans une anarchie complète, sans se soucier des conséquences.

Puis, il me fourre la gorge, pour terminer de jouir jusqu'au bout.

Je viens de me faire souiller de sperme et je suis excité comme un fou.

J'ai envie de me branler en gardant sa bite dans la bouche, mais je sais qu'il va me baiser une dernière fois, ce soir.
Je me réserve donc pour lui.

Dans la voiture, il se moque de mon look, avec son sperme sur mes vêtements.
En arrivant, je les nettoierai, par chance, j'ai mon sac avec des habits de rechange.

Comme il a bien assouvi son envie de sexe brut, sa raison revient et il me demande de lui "pardonner" de l'avoir fait.

"Pourquoi, j'aime ça, moi aussi !".
"Je me doute, mais peut-être que je suis allé trop loin !".
"Non, j'ai adoré !".

"Super ! Alors ! Putain, tu sais que même avec du sperme sur toi, tu restes beau !".
"N'exagères pas quand même !".

"Non, je le pense vraiment ! Je pense même que certains mecs sont plus beaux que d'autres, pour que nous les hommes à grosses bites, on ait envie de les baiser !".
"N'importe quoi !".

"Ben, quoi, avec votre cul, vous encaissez mieux que les femmes ! C'est sûr ! On leur fait mal avec nos engins ! Ta queue est parfaite pour elles, mais ton cul, c'est pour nous !".

Sur ça, il n'a pas tord, je suis pas membré comme lui !

On s'est couché bien plus tôt, voulant profiter de nos derniers instants.
On a fait durer pendant presque trois heures, entre les caresses, le sexe, la sensualité, pour finir en apothéose avec mon éjaculation explosive, pendant qu'il m'inséminait une dernière fois.

Il m'a ramené le lundi, je l'ai obligé à se laisser dévorer la bite jusqu'à ce qu'il m'abreuve une dernière fois aussi.

En jouissant, il m'a dit:

"Pascal ! Je t'aime, mon bébé !".

Ce n'était pas une surprise, je m'en doutais, tout emmenait à cette conclusion !
J'avale son sperme matinal et abondant, puis je lui réponds:

"Je sais ! Chéri, mais on ne peux pas se revoir, tu t'en doutes bien !".
"Je sais !".

Notre séparation fut difficile, j'ai gardé le sourire, mais j'ai bien vu qu'il était au bord des larmes.
Il s'est éloigné en faisant sonner plusieurs fois son klaxon.

Ca m'a fait drôle, ensuite de me faire enculer par mon amant, le lieutenant, seulement quelques heures plus tard !
Puis, j'ai repris mes habitudes de soldat privilégié, et de salope pour militaires gradés.

Quelques semaines ensuite, j'ai vécu mon premier gang bang homo, chez un ami du lieutenant.
Je devenais de plus en plus salope !

J'ai revu Jean-Marc, bien des années après, avec Corinne.
Il m'a reconnu, en passant près de nous, en camion, faisant un raffut assourdissant.
Elle l'a traité de fou, mais moi, je savais pour quoi, il klaxonnait, j'ai reconnu son poids-lourd, sans problème.

La dernière fois, ce fut avec Corinne encore ! Nous étions dans un Emmaüs du Muy !
Elle était de l'autre coté de la salle, et j'ai vu Jean-Marc devant moi !

"Bonjour ! Bébé !".
"Bonjour ! ... euh ! Chéri !".
Il me sourit, ce petit nom lui fait plaisir, je le sais.

"T'as pas changé, t'es toujours aussi beau ! Je t'ai pas oublié, tu sais !".
"Je suis désolé que ça ce soit fini comme ça ! Mais je suis heureux de mon coté ! Même si je pense souvent à toi, aussi !".
"On peut vraiment pas se revoir ?".
"Je sais pas, je réfléchis ! Ecoutes, si t'es pas pressé, je serais libre samedi et dimanche, dans 3 semaines, mais tu dois passer me prendre à Toulon !".
"Pas de souci, on dit 8 h sur le boulevard du Port ?".
"Ok, attention, ma femme arrive !".

Il s'éloigne.

"Qui c'était ?".
"Personne ! C'est un type qui cherche un livre, et qui profitait que j'ai fini de fouiller, pour savoir si je l'avais vu !".

J'ai préféré aller chez lui, plutôt que dans mon nouvel appartement.
J'ai eu peur qu'il me harcèle, après nos retrouvailles.
On a vite retrouvé nos marques, et l'intensité de nos ébats.
Il m'aimait toujours, mais je n'avais toujours pas l'étincelle qu'il attendait.
Il l'a compris, et s'est résolu à m'oublier.

Reste enfin, que ce deuxième Week end m'a fait beaucoup de bien, analement !

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Texte coquin : La longue permission.5
Histoire sexe : Une rose rouge
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