La maison bourgeoise 4

- Par l'auteur HDS Passud -
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La maison bourgeoise 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La maison bourgeoise 4
La veille, Corinne a trouvé deux billets de 500 Francs, dans la poche arrière de mon jeans.
J'y repense toute la journée, au travail.

Sur le retour, je passe par la rue de la maison de Jean-Pierre.
Il est dans son jardin, entrain d'ôter des boutons de roses fanées.

"Bonjour, Pascal ! J'ai fini, attends moi à la maison !".
"Bonjour ! OK ! J'y vais !".

Il me rejoint, puis se lave les mains.

Il se tourne vers moi et me saisit par la nuque, pour m'embrasser.

"Tu m'as manqué ! Mon p'tit Pascalou !".

J'ai horreur de ce surnom, à la consonnance provençale !

"Ah non ! Pas ça !".
"Pourquoi, j'aime bien ! "Calou", c'est mieux ?".
"Si tu veux !".

Il me blottit dans ses bras, je sens déjà sa grosse verge en érection contre moi.
Dès que mes lèvres sont libres, au lieu d'attendre, j'en profite pour aborder mon problème.

"Jean-Pierre ! Pourquoi, tu fais ça ?".
"Quoi ! Qu'est-ce que j'ai fait ?".
"Tu sais ! L'argent dans mes poches !".
"Oh ! Ca, c'est rien pour moi !".

"T'es fou ! C'est beaucoup d'argent, je veux pas être payé pour baiser ! Je suis pas une pute !".

"Mais, ne le prends pas comme ça ! J'ai envie de te faire plaisir ! Ca compte pas pour moi, j'ai bien gagné ma vie ! et j'ai bien investi ! J'ai beaucoup de biens immobiliers qui me rapportent plus qu'il m'en faut !".

"Peut-être, mais tu as une vision tronquée des rapports humains ! On paie pas pour le plaisir, sauf si c'est un vice ! Tu comprends que tu me places dans la peau d'un prostitué ! Tu es entrain de gâcher notre relation !".
"Désolé, mon p'tit Calou ! Mais, j'ai souvent fonctionné comme ça ! Je vais arrêter ! Donc, c'est vraiment moi qui t'intéresse !".

Je le regarde, étonné:

"Tu pensais que...".
"Ben, comme je t'ai connu à la soirée payante, j'ai cru que tu faisais ça pour l'argent !".

"Eric t'as rien dit ?".
"Quoi ?".
"Je suis venu pour le dépanner ! J'avais déjà participé à deux autres soirées, mais gratuites, enfin, je crois ! Parce qu'à présent, je le soupçonne d'avoir fait payer les participants, sans m'en parler !".
"Ah, je comprends tout ! Donc, t'es pas ce genre de garçon ! Tu me plais encore plus, du coup !".

Il plonge sa langue dans ma bouche, en frottant sa grosse main sur mon corps.
Je gémis en palpant sa grosse queue gonflée sous sa braguette.
Je respire ensuite.

"Ouffffffff ! Heureusement, que je ne t'ai pas connu avant Corinne !".
"Ah bon ? Pourquoi !".

"J'étais en pleine période ou je me cherchais sexuellement, et en plus, j'étais au chômage ! Avec une proposition comme la tienne, j'aurai pu basculer et me laisser entretenir !".
"Eh, mais, ça m'aurait bien arrangé ça !".

"Bon, oublies ce que j'ai dis, de toute façon, j'aime trop les filles !".
"Ah ! Dommage !".
"Mais pour le moment, j'ai envie de toi !".
"De quoi, tu as envie ?".
"Tout ce que tu veux ! Déshabilles moi ! Prends moi !".

Il me soulève le tee-shirt en m'offrant un baiser doux.
Il me couche sur son canapé, ensuite, je suis couvert de baisers sur le torse, pendant qu'il me dénude le bas du corps.
Il soulève mes cuisses et plonge entre mes fesses, avec sa langue.

"Ahhhhhhhh ! Jean-Pierre ! Encore !".
"Je l'adore ton cul ! Chéri !".
"Pourquoi ? T'as du en baiser des tas d'autres !".
"C'est comme ça, ça se commande pas !".

Après un long anulingus qui me rend fou de désir, il me relève.

"Je peux faire tout ce que je veux ?".
"Oui, tant que tu respectes mes limites !".

Il m'entraine encore au donjon, et me place à l'endroit qui m'oblige à le recevoir profondément avec le cul plus haut que mon corps.
Il reprend son anulingus un moment, puis pointe le bout de sa grosse queue.

"Tu me veux, Calou ?".
"Oui, j'en peux plus ! Ne me fais plus attendre !".

Il pousse fermement, mon anus lubrifié laisse entrer le début de son gros gland.
Il entre et recule plusieurs fois, puis force plus puissamment.

Je reçois sa grosse verge d'une traite.
Mes râles deviennent plus bruyants.

"Ca va, chéri ?".
"Arhhhhhhhhh ! Oui, je peux pas aller mieux ! Encore ! Continues ! Encules moi !".

Je joui rapidement sous ses premiers assauts, de plus en plus puissants.
Puis, à force de cogner dans mon fondement, en me faisant crier, son gland atteint enfin son but et s'insère en moi, jusqu'au fond.

Je hurle en sentant ses couilles frapper entre mes cuisses.

"Putain ! Calou, c'est beau à voir ! Tu dégoulines du cul ! C'est excitant !".

Il doit avoir raison, puisque que je me sens trempé sur les testicules.

"Ohhh ! J'ai envie de t'enculer comme ça, jusqu'au bout ! Je peux ?".
"Ouiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".

En me plaçant sur son dispositif, il a prit soin de coincer ma queue contre son flan.
Le bout de ma queue est trempé, à présent, mais surtout, je bande !
Il ne se lasse pas de me défoncer l'anus, interminablement.

Mon érection est gênante, mon gland frotte contre le flan du dispositif à chaque assaut.
Au bout de vingt minutes, je crie plus fortement.

"C'est bon, mon chéri ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, j'éjacule ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"A mon tour, mainteant ! Ca va prendre du temps, je veux encore te baiser longtemps !".

Mes envolées de plaisir anal se succèdent et me font perdre pied.

Mon corps se détend, j'ai l'impression de n'être plus qu'un anus béant, et trempé de jus.
Une montée d'orgasme plus puissant m'affole, je reconnais ce phénomène !

Habituellement, cela m'aurait gêné, mais avec Jean-Pierre, je sais qu'il n'y aura pas de jugement !
Je hurle mon plaisir, et vide ma vessie en giclant contre son dispositif.
Il s'en rend compte et amplifie ses enfoncements.
Je noie le sol sous mes jambes.

Il s'excite de plus belle.
Il me vide de toute énergie.
Je devine une certaine fébrilité dans ses assauts.

"Putain ! Calou, tu m'excites trop ! J'adore te faire pisser en t'enculant ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".

Je reçois son foutre au plus profond de mon cul, il se vide longuement.

Puis, il se dresse, bien droit sur ses pieds, et fait coulisser ses doigts sur sa grosse verge, humide de jus anal.
Il fait remonter le reste de son sperme qui vient me souiller le haut des fesses.

"Oh Putain, c'était trop bon ! Chéri !".

Il recule afin de s'assoir sur un banc, contre le mur.
Il se caresse la bite, en fixant mon anus béant et dégoulinant de foutre.

Il me répète qu'il a adoré cette séance anale, qu'il m'adore, etc...
Je me sens vidé, et plein à la fois ! Je profite du calme pour reprendre des forces dans cette position vicieuse.

"Ca t'as plu, Calou ?".
"Ahh ! Devines ! Je suis vidé ! J'ai rarement autant joui !".

Il se lève et me détache, je titube, puis retrouve mon équilibre !

"Putain ! Tu m'as défoncé ! Hummmmmmm ! Arhhhhhh ! Oh, mon pauvre cul !".
"Hummmm ! C'était génial ! Mon p'tit Calou !".

Il m'embrasse avec vice en palpant mon cul de ses grosses mains.
Je me blottis dans ses bras.

"Humm ! Je suis bien là ! Mais je dois rentrer ! Ma femme m'attend !".
"Ouais, t'as raison ! Tu reviens vite ?".
"Dès que je peux ! Je vais me doucher et je pars ! Et pas d'argent dans les poches ! OK ?".
"Mais, ça me fait plaisir !".
"Non ! Tu va tout gâcher ! Sinon !".
"Ok ! Mon bébé !".

Lors de mon retour au salon, je vois Eric qui parle avec Jean-Pierre.
"Salut, Eric !".
"Salut, Pascal ! C'était bon, apparemment !".
"Très bon, oui !".

Jean-Pierre lui dit:

"Ouais, tu m'as pas tout dit, toi ! Je savais pas, que c'était pas un habitué des soirées !".
"Je pensais que tu t'en moquais !".
"Bon, on oublie ! Et puis, en fait, ça m'arrange, après tout ! Parce que grâce à toi, je l'ai rencontré !".

Je me sens encore aimé, j'aime cette sensation, mais elle me fait peur aussi, je vais devoir faire attention à notre relation.

"Bisous, vous deux !".

Je les entend parler d'une prochaine soirée en m'éloignant.
Cela ne me regarde plus !
En rentrant, je ne trouve pas ma femme.
Elle arrive vers 20 h, épuisée.

"Je vais me doucher ! T'as fait à manger ?".

Après le repas, elle se blottit contre moi, puis réclame un baiser.

"Toi ! Tu as vu un homme !".

Elle prend sa moue de femme timide:

"Oui ! Tu m'en veux ?".
"Tu sais que non ! C'était bien ?".
"Hummm ! Trop bien ! Mais, maintenant, j'ai envie de tendresse !".

On se lance dans une longue série de baisers tendres, puis, je lui fais l'amour passionnément.
La séance avec Jean-Pierre m'a provoqué le même besoin !

Après l'éjaculation, et plusieurs orgasmes pour elle, elle me narre ses ébats avec son amant.
En effet, elle s'est bien amusée, elle aussi !

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