LA MANTE RELIGIEUSE. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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LA MANTE RELIGIEUSE. (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Aujourd’hui est le plus beau jour de ma vie, j’épouse Aurélien beau gosse blond de 21 ans qui a su me séduire lors de mes vacances dans le massif des Bauges près du Semnoz chez ma grand-mère que j’adore.
Depuis deux ans Mamy Denise est seul car j’avais préféré les vacances sur la Côte atlantique dans un camping à la maison près de la forêt où elle habite.
La ferme voisine a une spécificité, les parents ont cinq fils qui tous sont célibataires.
C’est le 14 juillet que ma vie a basculé quant au Bal Aurélien est venue m’inviter à danser.
J’ai toujours été une jeune fille sérieuse attendant le grand soir comme la plus banale des midinettes.
Plus belle la vie c’est pour moi ne pouvant voir les feux de l’amour car depuis deux ans j’ai arrêté de glander en travaillant dans un magasin de chaussures dans le quartier du marais parisien.
Le soir du 14 juillet en dansant un slow langoureux avec ce beau garçon j’ai pour la première fois senti la queue d’un homme bander pour moi.
Si j’avais été une salope nul doute que je serais allée avec lui derrière la fête pour la sucer comme de nombreuses copines le font.
J’ai refusé et c’est pour cela qu’avant la fin des vacances l’amour ayant fleuri entre nous il m’a demandé ma main.
Au cours de ces vacances j’ai appris à connaître les quatre frères d’Aurélien les voyant souvent travailler dans leur ferme.
Antoine l’aîné 31 ans, Henri 30 ans, Julien et Jules jumeaux de 29 ans.
Henri a fait une école de mécanique de machine agricole et entretient principalement celles de l’exploitation.
Jules a suivi les deux premières années d’une école de vétérinaires mais comme ses trois autres frères étant trop fruste il a dus abandonné mais semble en avoir assez appris pour s’occuper des animaux.
Julien a la charge des approvisionnements et l’achat ou la vente de ces derniers.
J’ai choisi le plus capable, peut-on dire parce qu’il est blond alors que ses frères sont d’un noir aussi noir que les corbeaux qui survolent la ferme non car il a un cerveau plus développé, Aurélien est en troisième année de médecine ayant tout réussi tout au long de ses études.
Bac à 16 ans 2 années de math supérieures avant de choisir médecine ou pour la deuxième année il est passé en troisième position de sa fac.
Parlons de mes beaux-parents chez qui nous allons habiter jusqu’à la fin de ses études.
Mon beau-père alcoolique notoire qui est bourré du soir au matin depuis plus de 20 ans.
Ma belle-mère bien qu’elle soit à quelques mois de sa cinquantaine est une petite femme rabougrie par ses nombreuses grossesses et le travail qu’elle a dû faire avant que ses garçons soient en âge de la suppléer dans les champs et à la ferme.
La cérémonie de mariage a été sobre car le travail à la ferme oblige.
Mes parents, ma belle-mère et mamy Denise qui a été mon témoin et c’est tout.
Aussitôt que j’ai dit oui, mes parents sont repartis et le soir même j’apprenais que quand les hommes sont à table nous les femmes notre place est devant le fourneau prêt à les servir.
J’aurais rêvé mieux pour mon repas de noce mais le regard du frère aîné au moment où j’ai ouvert la bouche pour demander où était le sel à refroidi mes ardeurs à être utile.
Ce qui m’intrigue c’est que les quatre frères parlent ensemble par des phrases courtes et des réponses encore plus courtes sans jamais parler avec mon mari qui mange sur le bout et en coin de la table.
Leur soupe mangée le canon de rouge avalé avec un morceau de pain coupé dans une miche avec une croûte épaisse faisant envie ils se lèvent laissant le père seul devant son verre et montent se coucher.
Une demi-heure après ce dernier se lève hésitant et monte lui aussi en titubant.
La grande pièce commune vide nous pouvons enfin manger notre assiette de soupe.
La salle nettoyée nous prenons le chemin de l’étage contente enfin de passer ma nuit de noces avec l’élu de mon cœur.
Montant côte à côte quand nous arrivons dans le couloir où se trouvent les chambres, j’entends cette phrase étonnante.
• Et la pute vient là il faut qu’on parle.
Ma belle-mère faisant celle qui est sourde s’engouffre dans sa chambre et j’aperçois une fraction de seconde mon beau-père allongé au sol.
La porte du fond est ouverte d’où semble être sortie cette phrase étonnante semblant m’être adressé.
J’avance et la stupeur est immense, Antoine l’aîné de la fratrie est assis sur le bord de son lit nu.
• Entre salope et viens ici me sucer, dans la famille le père à un droit de cuissage sur les entrantes et comme le mien est impuissant ce droit me revient.
• Et mon mari ?
• Ici les femelles se taisent et s’exécutent, tu as trois secondes sinon si je vais te chercher il t’en cuira.
J’avance outré qu’Aurélien semble c’être calfeutré dans sa chambre connaissant certainement les us et coutumes de la famille.
Je me vois contrainte d’avancer.
• Déloque-toi montre moi ton joli petit cul, depuis que cette lopette qui est devenue ton mari a dit à sa mère qu’il allait se marier et que tu allais venir habiter avec nous je bande.
Pour bander il bande et pour la première fois de ma vie je vois dans toute sa réalité la verge d’un homme.
Quand je dansais avec Aurélien ce que mon bas-ventre sentait était bien moins important que cette tige noueuse d’un diamètre et d’une longueur qui me font prendre peur.
Je me mets nue et je m’avance.
• Qu’est-ce que c’est que cette chatte rasée, je veux que tu laisses ton tablier de sapeur pousser ?
Pour une entrée dans ma vie sexuelle m’agenouiller devant cet homme à quelques mètres de mon mari qui semble impuissant à me protéger est loin de ce que j’espérais de ma nuit de noces.
Voyant la lenteur que je mets à m’approcher m’étant mise à quatre pattes il me saisit par les cheveux en me faisant très mal m’oblige littéralement à venir en contact avec sa verge sur ma joue.
• Je t’ai dit de sucer salope.
Joignant le geste à la parole une grande claque s’abat sur ma joue faisant ballotter ma tête de droite à gauche à me la décrocher.
C’est les yeux pleins de larmes que je l’ouvre là et que j’ai cette bite gigantesque qui entre en moi.
• Prends tes mains, tu vas apprendre à sucer avant que je te baise.
Je relève la tête lui montrant mes yeux apeurés.
• Non, pas cela, je suis vierge.
• Quel con ce puceau d’Antoine m’amener une vierge alors qu’il savait que je te passerais déçu, il aurait dû te baiser avant, dommage c’est moi qui vais profiter de ton petit cul, il est vierge lui aussi ?
• Oui.
• Encore mieux, je vais faire un doublé et quand tu le rejoindras tu viendras chaque jour me retrouver quand tu auras goûté à mon gourdin car sa petite bite sera loin de te satisfaire.
Aller salope suce en mettant tes mains de chaque côté pour me masturber.
Je fais comme il me dit et j’ai la stupéfaction de voir son manche grossir encore légèrement.
J’ai du mal à le faire entrer anxieuse d’avance de savoir que c’est cette bite qui dans quelques minutes va déchirer mon hymen.
La mainmise que semble avoir le frère aîné sur mon mari et son sexe augmente cette inquiétude car je pense qu’une fois en moi ma nuit risque d’être longue.
En effet l’ayant suffisamment sucé ce qu’il me dit montre le chemin qu’il vient de me faire franchir.
• Félicitations ma belle salope tu suces maintenant comme une reine monte sur le lit, met toi en levrette le meilleur moment de notre nuit c’est pour maintenant.
Cet homme est fruste mais cet homme a la capacité à me mettre en confiance quand c’est sa bouche suivie de sa langue qui vient caresser mon clitoris qui alors que je dois refuser tout plaisir pour rester une honnête femme je commence à réagir et que dire de mon trou du cul qui s’échauffe quand il en fait de même avec sa langue en pointe.
Moi la petite midinette écrivant chaque jour son journal intime qui dans les derniers jours écrivait ce que je pensais ressentir quand Aurélien m’ayant délicatement enlevé mes affaires nos bouches se retrouveraient avant que j’en fasse de même avec les siennes.
Le seul point commun avec ce que je vais pouvoir écrire c’est que je suis persuadé que je glisserais le long de son corps pour le prendre dans ma bouche pour lui faire une sucette.
Je pourrais ajouter que sous l’assaut de sa langue je tends ma chatte et mon cul pour devenir la salope et même la pute de cet homme car contrairement à ce que je pensais quand j’ai été invité à entrer dans sa chambre l’envi d’être sailli monte en moi.
Avec lui pas de fioriture, il me place les genoux au bord du lit d’une main autoritaire et debout derrière moi sans me prévenir m’enfonce son pieu au fond de ma vulve.
Je hurle un grand coup ayant l’impression qu’il vient de m’ouvrir en deux mais il est illusoire de croire que quelques secondes après la sensation du remplissage maximal de ma chatte me font changer mon cri de douleur en cri de plaisir, il est impossible de dire ce que je ressens. J’ai entendu parler des spasmes jouissifs qu’une queue peut procurer à une femme mais à ce point c’est inimaginable, me sentir transpercé par cette verge qui distant mon sexe me propulse au paroxysme de mon plaisir.
Aurélien dans la pièce voisine est obligé d’entendre que celle qu’il a épousée le matin même est une jolie garce qui au lieu de se mordre les lèvres pour garder en elle ses sensations les exprime clairement, en m’épousant il acceptait que je sois la pute de son frère aîné alors il doit savoir que c’est le cas.
C’est au moment où pour la première fois de ma vie j’ai un orgasme que j’idéalise ce qui m’arrive en criant encore plus fort, .
J’espère qu’il va en rester là, mais c’est mal le connaître. Il a à sa merci une Parisienne ignorante des choses du sexe et compte bien en profiter au maximum, avec la même violence qu’il a mise à me dépuceler, il me sodomise aussi violemment et aussi vite, sans aucune précaution qu’un doigt l’aidant à viser sa cible je suis de nouveau pourfendu et mes cris redoublent de puissance.
Puissance qu’il met à entrer et à sortir dès qu’il a placé l’intégralité de cette merveilleuse verge dans mon anus qui bizarrement l’accepte et même en redemande par des grands coups de cul avant arrière.
Quand je parle de salope le mot est faible même pute me semble trop bas pour ce que je suis devenue, mon cul s’enflamme littéralement et dans la position où je suis contrainte au début comme je l’ai été je deviens sa chienne adorant être sailli.
Une chienne lubrique qui le retire d’elle pour mieux le reprendre en bouche et qui arrive là encore à lui faire une gorge profonde mais à la vue de la longueur malgré toute mon abnégation laisse une grande partie à l’extérieur que mes mains saisissent pour le masturber.
Combien de temps suis-je dans cette chambre ?
Combien de fois ai-je joui ?
La seule certitude c’est que j’ai eu deux orgasmes avec ma chatte et un partant de mon anus sans que pour autant mon amant merveilleux montre la moindre trace de fatigue.
J’ai beau le pomper comme une folle souhaitant sentir le goût de son sperme dans ma bouche mais rien n’y fait, sa résistance me fait peur mais me promet des jours merveilleux car comme il me l’a dit, je sais déjà que demain je tortillerais de la croupe pour qu’il me fasse passer les mêmes bons moments que ceux que je suis en train de vivre.
Faire cocu celui qui m’a amené au milieu de ce traquenard va devenir ma seule raison de vivre.
Il est hors de question à partir de maintenant qu’il me touche persuadé que je suis certaine qu’il baisera moins bien que celui que je hais de m’avoir forcé à me prostituer mais qu’au moment où s’étant placé sur le dos d’une main puissante il me fait m’empaler sur la bite qu’il tend vers le ciel…
Aujourd’hui est le plus beau jour de ma vie, j’épouse Aurélien beau gosse blond de 21 ans qui a su me séduire lors de mes vacances dans le massif des Bauges près du Semnoz chez ma grand-mère que j’adore.
Depuis deux ans Mamy Denise est seul car j’avais préféré les vacances sur la Côte atlantique dans un camping à la maison près de la forêt où elle habite.
La ferme voisine a une spécificité, les parents ont cinq fils qui tous sont célibataires.
C’est le 14 juillet que ma vie a basculé quant au Bal Aurélien est venue m’inviter à danser.
J’ai toujours été une jeune fille sérieuse attendant le grand soir comme la plus banale des midinettes.
Plus belle la vie c’est pour moi ne pouvant voir les feux de l’amour car depuis deux ans j’ai arrêté de glander en travaillant dans un magasin de chaussures dans le quartier du marais parisien.
Le soir du 14 juillet en dansant un slow langoureux avec ce beau garçon j’ai pour la première fois senti la queue d’un homme bander pour moi.
Si j’avais été une salope nul doute que je serais allée avec lui derrière la fête pour la sucer comme de nombreuses copines le font.
J’ai refusé et c’est pour cela qu’avant la fin des vacances l’amour ayant fleuri entre nous il m’a demandé ma main.
Au cours de ces vacances j’ai appris à connaître les quatre frères d’Aurélien les voyant souvent travailler dans leur ferme.
Antoine l’aîné 31 ans, Henri 30 ans, Julien et Jules jumeaux de 29 ans.
Henri a fait une école de mécanique de machine agricole et entretient principalement celles de l’exploitation.
Jules a suivi les deux premières années d’une école de vétérinaires mais comme ses trois autres frères étant trop fruste il a dus abandonné mais semble en avoir assez appris pour s’occuper des animaux.
Julien a la charge des approvisionnements et l’achat ou la vente de ces derniers.
J’ai choisi le plus capable, peut-on dire parce qu’il est blond alors que ses frères sont d’un noir aussi noir que les corbeaux qui survolent la ferme non car il a un cerveau plus développé, Aurélien est en troisième année de médecine ayant tout réussi tout au long de ses études.
Bac à 16 ans 2 années de math supérieures avant de choisir médecine ou pour la deuxième année il est passé en troisième position de sa fac.
Parlons de mes beaux-parents chez qui nous allons habiter jusqu’à la fin de ses études.
Mon beau-père alcoolique notoire qui est bourré du soir au matin depuis plus de 20 ans.
Ma belle-mère bien qu’elle soit à quelques mois de sa cinquantaine est une petite femme rabougrie par ses nombreuses grossesses et le travail qu’elle a dû faire avant que ses garçons soient en âge de la suppléer dans les champs et à la ferme.
La cérémonie de mariage a été sobre car le travail à la ferme oblige.
Mes parents, ma belle-mère et mamy Denise qui a été mon témoin et c’est tout.
Aussitôt que j’ai dit oui, mes parents sont repartis et le soir même j’apprenais que quand les hommes sont à table nous les femmes notre place est devant le fourneau prêt à les servir.
J’aurais rêvé mieux pour mon repas de noce mais le regard du frère aîné au moment où j’ai ouvert la bouche pour demander où était le sel à refroidi mes ardeurs à être utile.
Ce qui m’intrigue c’est que les quatre frères parlent ensemble par des phrases courtes et des réponses encore plus courtes sans jamais parler avec mon mari qui mange sur le bout et en coin de la table.
Leur soupe mangée le canon de rouge avalé avec un morceau de pain coupé dans une miche avec une croûte épaisse faisant envie ils se lèvent laissant le père seul devant son verre et montent se coucher.
Une demi-heure après ce dernier se lève hésitant et monte lui aussi en titubant.
La grande pièce commune vide nous pouvons enfin manger notre assiette de soupe.
La salle nettoyée nous prenons le chemin de l’étage contente enfin de passer ma nuit de noces avec l’élu de mon cœur.
Montant côte à côte quand nous arrivons dans le couloir où se trouvent les chambres, j’entends cette phrase étonnante.
• Et la pute vient là il faut qu’on parle.
Ma belle-mère faisant celle qui est sourde s’engouffre dans sa chambre et j’aperçois une fraction de seconde mon beau-père allongé au sol.
La porte du fond est ouverte d’où semble être sortie cette phrase étonnante semblant m’être adressé.
J’avance et la stupeur est immense, Antoine l’aîné de la fratrie est assis sur le bord de son lit nu.
• Entre salope et viens ici me sucer, dans la famille le père à un droit de cuissage sur les entrantes et comme le mien est impuissant ce droit me revient.
• Et mon mari ?
• Ici les femelles se taisent et s’exécutent, tu as trois secondes sinon si je vais te chercher il t’en cuira.
J’avance outré qu’Aurélien semble c’être calfeutré dans sa chambre connaissant certainement les us et coutumes de la famille.
Je me vois contrainte d’avancer.
• Déloque-toi montre moi ton joli petit cul, depuis que cette lopette qui est devenue ton mari a dit à sa mère qu’il allait se marier et que tu allais venir habiter avec nous je bande.
Pour bander il bande et pour la première fois de ma vie je vois dans toute sa réalité la verge d’un homme.
Quand je dansais avec Aurélien ce que mon bas-ventre sentait était bien moins important que cette tige noueuse d’un diamètre et d’une longueur qui me font prendre peur.
Je me mets nue et je m’avance.
• Qu’est-ce que c’est que cette chatte rasée, je veux que tu laisses ton tablier de sapeur pousser ?
Pour une entrée dans ma vie sexuelle m’agenouiller devant cet homme à quelques mètres de mon mari qui semble impuissant à me protéger est loin de ce que j’espérais de ma nuit de noces.
Voyant la lenteur que je mets à m’approcher m’étant mise à quatre pattes il me saisit par les cheveux en me faisant très mal m’oblige littéralement à venir en contact avec sa verge sur ma joue.
• Je t’ai dit de sucer salope.
Joignant le geste à la parole une grande claque s’abat sur ma joue faisant ballotter ma tête de droite à gauche à me la décrocher.
C’est les yeux pleins de larmes que je l’ouvre là et que j’ai cette bite gigantesque qui entre en moi.
• Prends tes mains, tu vas apprendre à sucer avant que je te baise.
Je relève la tête lui montrant mes yeux apeurés.
• Non, pas cela, je suis vierge.
• Quel con ce puceau d’Antoine m’amener une vierge alors qu’il savait que je te passerais déçu, il aurait dû te baiser avant, dommage c’est moi qui vais profiter de ton petit cul, il est vierge lui aussi ?
• Oui.
• Encore mieux, je vais faire un doublé et quand tu le rejoindras tu viendras chaque jour me retrouver quand tu auras goûté à mon gourdin car sa petite bite sera loin de te satisfaire.
Aller salope suce en mettant tes mains de chaque côté pour me masturber.
Je fais comme il me dit et j’ai la stupéfaction de voir son manche grossir encore légèrement.
J’ai du mal à le faire entrer anxieuse d’avance de savoir que c’est cette bite qui dans quelques minutes va déchirer mon hymen.
La mainmise que semble avoir le frère aîné sur mon mari et son sexe augmente cette inquiétude car je pense qu’une fois en moi ma nuit risque d’être longue.
En effet l’ayant suffisamment sucé ce qu’il me dit montre le chemin qu’il vient de me faire franchir.
• Félicitations ma belle salope tu suces maintenant comme une reine monte sur le lit, met toi en levrette le meilleur moment de notre nuit c’est pour maintenant.
Cet homme est fruste mais cet homme a la capacité à me mettre en confiance quand c’est sa bouche suivie de sa langue qui vient caresser mon clitoris qui alors que je dois refuser tout plaisir pour rester une honnête femme je commence à réagir et que dire de mon trou du cul qui s’échauffe quand il en fait de même avec sa langue en pointe.
Moi la petite midinette écrivant chaque jour son journal intime qui dans les derniers jours écrivait ce que je pensais ressentir quand Aurélien m’ayant délicatement enlevé mes affaires nos bouches se retrouveraient avant que j’en fasse de même avec les siennes.
Le seul point commun avec ce que je vais pouvoir écrire c’est que je suis persuadé que je glisserais le long de son corps pour le prendre dans ma bouche pour lui faire une sucette.
Je pourrais ajouter que sous l’assaut de sa langue je tends ma chatte et mon cul pour devenir la salope et même la pute de cet homme car contrairement à ce que je pensais quand j’ai été invité à entrer dans sa chambre l’envi d’être sailli monte en moi.
Avec lui pas de fioriture, il me place les genoux au bord du lit d’une main autoritaire et debout derrière moi sans me prévenir m’enfonce son pieu au fond de ma vulve.
Je hurle un grand coup ayant l’impression qu’il vient de m’ouvrir en deux mais il est illusoire de croire que quelques secondes après la sensation du remplissage maximal de ma chatte me font changer mon cri de douleur en cri de plaisir, il est impossible de dire ce que je ressens. J’ai entendu parler des spasmes jouissifs qu’une queue peut procurer à une femme mais à ce point c’est inimaginable, me sentir transpercé par cette verge qui distant mon sexe me propulse au paroxysme de mon plaisir.
Aurélien dans la pièce voisine est obligé d’entendre que celle qu’il a épousée le matin même est une jolie garce qui au lieu de se mordre les lèvres pour garder en elle ses sensations les exprime clairement, en m’épousant il acceptait que je sois la pute de son frère aîné alors il doit savoir que c’est le cas.
C’est au moment où pour la première fois de ma vie j’ai un orgasme que j’idéalise ce qui m’arrive en criant encore plus fort, .
J’espère qu’il va en rester là, mais c’est mal le connaître. Il a à sa merci une Parisienne ignorante des choses du sexe et compte bien en profiter au maximum, avec la même violence qu’il a mise à me dépuceler, il me sodomise aussi violemment et aussi vite, sans aucune précaution qu’un doigt l’aidant à viser sa cible je suis de nouveau pourfendu et mes cris redoublent de puissance.
Puissance qu’il met à entrer et à sortir dès qu’il a placé l’intégralité de cette merveilleuse verge dans mon anus qui bizarrement l’accepte et même en redemande par des grands coups de cul avant arrière.
Quand je parle de salope le mot est faible même pute me semble trop bas pour ce que je suis devenue, mon cul s’enflamme littéralement et dans la position où je suis contrainte au début comme je l’ai été je deviens sa chienne adorant être sailli.
Une chienne lubrique qui le retire d’elle pour mieux le reprendre en bouche et qui arrive là encore à lui faire une gorge profonde mais à la vue de la longueur malgré toute mon abnégation laisse une grande partie à l’extérieur que mes mains saisissent pour le masturber.
Combien de temps suis-je dans cette chambre ?
Combien de fois ai-je joui ?
La seule certitude c’est que j’ai eu deux orgasmes avec ma chatte et un partant de mon anus sans que pour autant mon amant merveilleux montre la moindre trace de fatigue.
J’ai beau le pomper comme une folle souhaitant sentir le goût de son sperme dans ma bouche mais rien n’y fait, sa résistance me fait peur mais me promet des jours merveilleux car comme il me l’a dit, je sais déjà que demain je tortillerais de la croupe pour qu’il me fasse passer les mêmes bons moments que ceux que je suis en train de vivre.
Faire cocu celui qui m’a amené au milieu de ce traquenard va devenir ma seule raison de vivre.
Il est hors de question à partir de maintenant qu’il me touche persuadé que je suis certaine qu’il baisera moins bien que celui que je hais de m’avoir forcé à me prostituer mais qu’au moment où s’étant placé sur le dos d’une main puissante il me fait m’empaler sur la bite qu’il tend vers le ciel…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une belle entrée en matière!!
Humm .... Cocu le jour de sa noce !
Rudy
Rudy
Super bandante.
On aimerait être à la place d'Aurelien et être cocufier de cette façon.
On aimerait être à la place d'Aurelien et être cocufier de cette façon.
L'histoire est très intéressante mais malheureusement mal écrite, c'est dommage... Je me réjouis quand même de lire la suite en espérant qu'elle soit mieux écrite ! :)