LA MANTE RELIGIEUSE. (10/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (10/14)
Antoine fils aîné mort en loupant un virage.
Hubert père mort d’une overdose en buvant comme un trou au fil des années.
Henri deuxième fils du couple dont mon mari est issu, mort broyé dans la moissonneuse qu’il réparait les sécurités ayant été ôté.
Camille ma belle-mère qui vient de sauter du toit de la maison de repos où elle a été admise suite à une dépression clôt la série des décès qui la marque depuis que je l’ai intégré.
Pour clore le tout Aurélien mon mari a disparu de la fac qu’il aurait dû rejoindre ayant été refusé en fin d’année précédente pour entrer en troisième année de médecine.
Ayant trouvé le magot de ma belle-mère j’ai caché la totalité de la somme avec divers objets lui ayant appartenu dans la vie où elle faisait la pute à Toulon avec ses cahiers résumant son parcours avant de rejoindre mamy Denise qui me demande de faire une crapette.
• Tu vas perdre ma belle, tu sais que je suis redoutable à ce jeu.
• J’aime perdre face à toi car je t’aime mamy.
J’ai follement envie de lui poser des questions sur sa propre vie mais la décence m’en empêche.
J’ai envie de lui dire que Camille est morte mais j’ai peur de sa réaction et celle que j’attends se produit 30 minutes après notre tête-à-tête avec les cartes ont commencé.
Mamy commence à fermer les yeux.
Le tic-tac de la pendule annonce 17 heures 10 minutes, je me lève sans faire de bruit quand un grand coup de tonnerre nous fait sursauter.
• A enfin, l’orage va éclater, la chaleur va retomber, ou allais-tu ?
• Aux toilettes, c’est à toi de jouer.
• Je sais, je suis peut-être vieille mais je suis mon jeu, je t’attends.
Je sors de la pièce pour rejoindre les petits coins et quand je reviens elle s’est rendormie.
Le retard que j’ai pris sur mon plan peut être préjudiciable aussi prenant tous les risques je quitte la pièce pour partir en courant par le chemin du haut passant par la forêt évitant que l’on puisse me voir de la route.
J’entre par la porte arrière après être passé devant le pré où les vaches attendent sagement que les jumeaux viennent démarrer la traite.
Dans un champ mitoyen à ceux des vaches, le couple de chevaux se frotte l’encolure se montrant les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.
La verge que me montre le mâle me conforte dans l’amour qu’ils ont l’un pour l’autre.
Ces animaux qui ont besoin de nous pour vivre ont fait partie de ma décision d’épouser Aurélien souhaitant depuis des années me rapprocher de la nature, à Paris je faisais partie d’une association écologiste et en emménageant avec lui j’espérais passer de la théorie à la pratique.
J’entre et je rejoins l’étage.
• Alors Noami, tu es en retard, regarde, on bande déjà, à poil viens nous rejoindre.
En prononçant ces mots l’un et l’autre se rasseyent dans la baignoire attendant que je rejoigne leurs jeux et leur envie.
Je pourrais les rejoindre et profiter une dernière fois de leurs verges mais le temps m’est compté mamy risquant de se réveiller.
• Je suis en retard cela vous a permis de vivre quelques minutes de plus, adieu.
• Non pas cela, on te promet d’être tout pour toi, tu seras notre reine, nous serons tes petits chiens fidèles, nous nous soumettrons au moindre de tes désirs.
• Trop tard les jumeaux, vous avez exercé sur moi votre droit de cuisage alors il faut payer et la sentence est tombée, mon tribunal personnel à voter et la peine de mort a été rétablie dans cette maison depuis que je suis arrivé.
Le regard d’horreur qu’ils me lancent manque de m’amadouer mais le sèche-cheveux, préalablement branché avant de partir chez mamy, échappe de mes mains et vient tomber dans l’eau.
Les jumeaux veillaient l’un sur l’autre, ils meurent l’un avec l’autre dans une gerbe d’étincelles.
Quatre à quatre je redescends afin de rapidement refaire le chemin inverse et arrivé au rez-de-chaussée, je vois le tableau électrique commencer à cramer.
Je laisse faire, ce début d’incendie providentiel hors de mes plans, mais tout en courant, je réfléchis qu’il m’arrange bien.
Au moment d’entrer chez grand-mère je m’arrête quelques minutes pour reprendre mon souffle.
En me retournant je vois une colonne de fumée de plus en plus importante montée de la ferme que je viens de quitter définitivement.
• Alors mamy c’est à toi.
• Je sais ma belle et je crois qu’une fois de plus je gagne, regarde.
Mamy remonte toutes les cartes libérant son jeu c’est à ce moment qu’au loin j’entends la sirène des pompiers.
• Tu vois j’ai gagné, je te l’avais dit je te bas toujours.
La sirène passe devant chez elle mais je suis rassuré elle est restée endormie tout le temps de mon escapade vengeresse m’apportant un alibi en or.
• Mon dieu et si c’était à la ferme des voisins que le feu a pris, Noami va voir et dit moi ce qui se passe.
Mamy est de plus en plus incapable de se déplacer seule aussi je sors sans précipitation au moment où William passe avec son adjoint à ses côtés m’apportant un alibi supplémentaire.
Le feu a dû se généraliser à tout le bâtiment car si la maison m’est cachée, les flammes qui la dévorent sont bien visibles.
• Mamy,c’est ma maison qui est en feu, j’espère que personne n’est à l’intérieur.
Tu m’as peut-être sauvé la vie en me proposant une partie de crapette car j’aurais pu être dans notre chambre à Aurélien et moi et être piégé par les flammes à l’étage.
En lui disant cela je la prends dans mes bras et je lui donne le gros baiser qu’elle mérite.
• J’y vais, les gendarmes viennent de passer et m’ont vue sur ton perron, ils pourraient trouver bizarre que je reste ici.
Je quitte grand-mère et je prends le chemin normal pour arriver devant l’amas de cendres que la maison en très grande partie construite en bois est déjà réduite.
• William, encore un grand malheur, je vois le tracteur et la moissonneuse, les jumeaux étaient-ils dedans.
• On l’ignore, le feu est encore trop intense pour que nous approchions, la seule chose que je sais c’est que des promeneurs sur les hauts du Semnoz ont vu les flammes sortir au-dessus du bois et ont appelé sur leur portable.
Tu étais chez ta grand-mère.
• Oui comme tous les après-midi nous jouions à la crapette elle raffole de ce jeu elle me bat toujours.
• Je sais, il m’est arrivé étant de repos de passer la voir et de faire une partie avec elle, elle est redoutable.
Un frisson passe dans mon dos, s’est-elle endormie pendant les parties qu’ils ont jouée ?
La nuit tombe et je suis toujours devant les dernières flammes qui lèchent quelques poutres plus résistantes.
Les pompiers peuvent enfin avancer dans les cendres, j’en vois un revenir à son camion et prendre des poches pliés et repartir.
Quelques minutes après ils sont quatre à revenir tenant deux de ces poches où je sais ce qu’elles contiennent.
• Nous avons trouvé deux corps il était dans la baignoire, ils sont méconnaissables mais venez, vous allez constater une chose intéressante.
Je tombe dans les bras de mon cousin par alliance montrant la peine qui m’étreint au décès des jumeaux derniers représentant de la fratrie avec mon mari.
William et sa gendarmette les suivent et quelques minutes après ils reviennent vers moi.
• Vous avez trouvé quelque chose.
• Oui, dans la baignoire il y a un sèche-cheveux, j’appelle les services d’enquête, ils détecteront peut-être comment il est arrivé là.
Ils vont vers leur voiture et passent un message, profitant du noir, il leur est impossible de voir mon visage radieux.
• Ils vont arriver, tu viens chez moi, j’habite à Alby-sur-Chéran.
• Tu veux m’emmener à la gendarmerie.
• Non, dans un mois je quitte la gendarmerie après 15 ans de service et j’ai acheté une vieille maison au centre du village médiéval.
• As-tu retrouvé mon mari ?
• Pas encore mais nous cherchons, nous sommes de plus en plus étonnés de constater sa disparition et les successions de malheurs qui frappe cette ferme.
Mais quand nous voyons ce qu’il en reste, je pense que nous sommes au bout de ces successions d’incidents ou d’accidents.
Il a raison, quel motif aurait la mante religieuse à s’attaquer à d’autres hommes, ce sont ceux qui vivaient ici par leur comportement qui ont déclenché son courroux.
Certes il y a eu des dommages collatéraux avec le suicide de ma belle-mère.
Mais en ayant laissé faire ses fils s’occuper de moi, obligée d’entendre quand Antoine m’a fait entrer dans sa chambre pour me déflorer indirectement elle cautionnait leurs agissements.
Mes cris de plaisir s’arrêtant difficilement à leur porte elle savait bien ce qu’elle avait subi elle-même avec son beau-père amenant son mari à un alcoolisme extrême l’ayant entraîné lui aussi à la mort.
Bien sûr elle était déjà dans sa maison médicalisée quand Hubert le cadet d’Antoine a pris le relais s’occupant principalement de mon cul ses penchants homosexuels l’attirant certainement à me pénétrer l’anus plutôt que la chatte.
Et que dire de ceux qui viennent d’être chargés dans l’ambulance des pompiers qui sont eux aussi tombés sur la mante religieuse les dévorants avec envie quand le sèche-cheveux a rejoint l’eau de la baignoire.
• Noami, tu sais, je connais le secret de notre famille et dès que j’ai fini mon service je veux faire valoir mon droit de cuissage, va chez ta grand-mère prépare un sac, dès que j’ai fini je passe te chercher et je t’emmène chez moi.
• On va faire autrement donne-moi tes clefs de maison et le numéro, je prends ma voiture qui est chez mamy et je vais t’attendre chez toi, tu as raison, j’ai hâte d’être ta proie, ta chose, je suis sûr que tu dois être un amant extraordinaire.
• Je me défends depuis que je suis en âge de baiser toutes les femmes séduites jamais je n’ai enregistré de plainte.
Je croyais en avoir fini avec cette famille qui contraint les femmes et mettre en sommeil si possible définitivement la mante religieuse mais je crois qu’un candidat frappe à la porte m’obligeant à trouver une manière de débarrasser le pays de ces malades…
Hubert père mort d’une overdose en buvant comme un trou au fil des années.
Henri deuxième fils du couple dont mon mari est issu, mort broyé dans la moissonneuse qu’il réparait les sécurités ayant été ôté.
Camille ma belle-mère qui vient de sauter du toit de la maison de repos où elle a été admise suite à une dépression clôt la série des décès qui la marque depuis que je l’ai intégré.
Pour clore le tout Aurélien mon mari a disparu de la fac qu’il aurait dû rejoindre ayant été refusé en fin d’année précédente pour entrer en troisième année de médecine.
Ayant trouvé le magot de ma belle-mère j’ai caché la totalité de la somme avec divers objets lui ayant appartenu dans la vie où elle faisait la pute à Toulon avec ses cahiers résumant son parcours avant de rejoindre mamy Denise qui me demande de faire une crapette.
• Tu vas perdre ma belle, tu sais que je suis redoutable à ce jeu.
• J’aime perdre face à toi car je t’aime mamy.
J’ai follement envie de lui poser des questions sur sa propre vie mais la décence m’en empêche.
J’ai envie de lui dire que Camille est morte mais j’ai peur de sa réaction et celle que j’attends se produit 30 minutes après notre tête-à-tête avec les cartes ont commencé.
Mamy commence à fermer les yeux.
Le tic-tac de la pendule annonce 17 heures 10 minutes, je me lève sans faire de bruit quand un grand coup de tonnerre nous fait sursauter.
• A enfin, l’orage va éclater, la chaleur va retomber, ou allais-tu ?
• Aux toilettes, c’est à toi de jouer.
• Je sais, je suis peut-être vieille mais je suis mon jeu, je t’attends.
Je sors de la pièce pour rejoindre les petits coins et quand je reviens elle s’est rendormie.
Le retard que j’ai pris sur mon plan peut être préjudiciable aussi prenant tous les risques je quitte la pièce pour partir en courant par le chemin du haut passant par la forêt évitant que l’on puisse me voir de la route.
J’entre par la porte arrière après être passé devant le pré où les vaches attendent sagement que les jumeaux viennent démarrer la traite.
Dans un champ mitoyen à ceux des vaches, le couple de chevaux se frotte l’encolure se montrant les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.
La verge que me montre le mâle me conforte dans l’amour qu’ils ont l’un pour l’autre.
Ces animaux qui ont besoin de nous pour vivre ont fait partie de ma décision d’épouser Aurélien souhaitant depuis des années me rapprocher de la nature, à Paris je faisais partie d’une association écologiste et en emménageant avec lui j’espérais passer de la théorie à la pratique.
J’entre et je rejoins l’étage.
• Alors Noami, tu es en retard, regarde, on bande déjà, à poil viens nous rejoindre.
En prononçant ces mots l’un et l’autre se rasseyent dans la baignoire attendant que je rejoigne leurs jeux et leur envie.
Je pourrais les rejoindre et profiter une dernière fois de leurs verges mais le temps m’est compté mamy risquant de se réveiller.
• Je suis en retard cela vous a permis de vivre quelques minutes de plus, adieu.
• Non pas cela, on te promet d’être tout pour toi, tu seras notre reine, nous serons tes petits chiens fidèles, nous nous soumettrons au moindre de tes désirs.
• Trop tard les jumeaux, vous avez exercé sur moi votre droit de cuisage alors il faut payer et la sentence est tombée, mon tribunal personnel à voter et la peine de mort a été rétablie dans cette maison depuis que je suis arrivé.
Le regard d’horreur qu’ils me lancent manque de m’amadouer mais le sèche-cheveux, préalablement branché avant de partir chez mamy, échappe de mes mains et vient tomber dans l’eau.
Les jumeaux veillaient l’un sur l’autre, ils meurent l’un avec l’autre dans une gerbe d’étincelles.
Quatre à quatre je redescends afin de rapidement refaire le chemin inverse et arrivé au rez-de-chaussée, je vois le tableau électrique commencer à cramer.
Je laisse faire, ce début d’incendie providentiel hors de mes plans, mais tout en courant, je réfléchis qu’il m’arrange bien.
Au moment d’entrer chez grand-mère je m’arrête quelques minutes pour reprendre mon souffle.
En me retournant je vois une colonne de fumée de plus en plus importante montée de la ferme que je viens de quitter définitivement.
• Alors mamy c’est à toi.
• Je sais ma belle et je crois qu’une fois de plus je gagne, regarde.
Mamy remonte toutes les cartes libérant son jeu c’est à ce moment qu’au loin j’entends la sirène des pompiers.
• Tu vois j’ai gagné, je te l’avais dit je te bas toujours.
La sirène passe devant chez elle mais je suis rassuré elle est restée endormie tout le temps de mon escapade vengeresse m’apportant un alibi en or.
• Mon dieu et si c’était à la ferme des voisins que le feu a pris, Noami va voir et dit moi ce qui se passe.
Mamy est de plus en plus incapable de se déplacer seule aussi je sors sans précipitation au moment où William passe avec son adjoint à ses côtés m’apportant un alibi supplémentaire.
Le feu a dû se généraliser à tout le bâtiment car si la maison m’est cachée, les flammes qui la dévorent sont bien visibles.
• Mamy,c’est ma maison qui est en feu, j’espère que personne n’est à l’intérieur.
Tu m’as peut-être sauvé la vie en me proposant une partie de crapette car j’aurais pu être dans notre chambre à Aurélien et moi et être piégé par les flammes à l’étage.
En lui disant cela je la prends dans mes bras et je lui donne le gros baiser qu’elle mérite.
• J’y vais, les gendarmes viennent de passer et m’ont vue sur ton perron, ils pourraient trouver bizarre que je reste ici.
Je quitte grand-mère et je prends le chemin normal pour arriver devant l’amas de cendres que la maison en très grande partie construite en bois est déjà réduite.
• William, encore un grand malheur, je vois le tracteur et la moissonneuse, les jumeaux étaient-ils dedans.
• On l’ignore, le feu est encore trop intense pour que nous approchions, la seule chose que je sais c’est que des promeneurs sur les hauts du Semnoz ont vu les flammes sortir au-dessus du bois et ont appelé sur leur portable.
Tu étais chez ta grand-mère.
• Oui comme tous les après-midi nous jouions à la crapette elle raffole de ce jeu elle me bat toujours.
• Je sais, il m’est arrivé étant de repos de passer la voir et de faire une partie avec elle, elle est redoutable.
Un frisson passe dans mon dos, s’est-elle endormie pendant les parties qu’ils ont jouée ?
La nuit tombe et je suis toujours devant les dernières flammes qui lèchent quelques poutres plus résistantes.
Les pompiers peuvent enfin avancer dans les cendres, j’en vois un revenir à son camion et prendre des poches pliés et repartir.
Quelques minutes après ils sont quatre à revenir tenant deux de ces poches où je sais ce qu’elles contiennent.
• Nous avons trouvé deux corps il était dans la baignoire, ils sont méconnaissables mais venez, vous allez constater une chose intéressante.
Je tombe dans les bras de mon cousin par alliance montrant la peine qui m’étreint au décès des jumeaux derniers représentant de la fratrie avec mon mari.
William et sa gendarmette les suivent et quelques minutes après ils reviennent vers moi.
• Vous avez trouvé quelque chose.
• Oui, dans la baignoire il y a un sèche-cheveux, j’appelle les services d’enquête, ils détecteront peut-être comment il est arrivé là.
Ils vont vers leur voiture et passent un message, profitant du noir, il leur est impossible de voir mon visage radieux.
• Ils vont arriver, tu viens chez moi, j’habite à Alby-sur-Chéran.
• Tu veux m’emmener à la gendarmerie.
• Non, dans un mois je quitte la gendarmerie après 15 ans de service et j’ai acheté une vieille maison au centre du village médiéval.
• As-tu retrouvé mon mari ?
• Pas encore mais nous cherchons, nous sommes de plus en plus étonnés de constater sa disparition et les successions de malheurs qui frappe cette ferme.
Mais quand nous voyons ce qu’il en reste, je pense que nous sommes au bout de ces successions d’incidents ou d’accidents.
Il a raison, quel motif aurait la mante religieuse à s’attaquer à d’autres hommes, ce sont ceux qui vivaient ici par leur comportement qui ont déclenché son courroux.
Certes il y a eu des dommages collatéraux avec le suicide de ma belle-mère.
Mais en ayant laissé faire ses fils s’occuper de moi, obligée d’entendre quand Antoine m’a fait entrer dans sa chambre pour me déflorer indirectement elle cautionnait leurs agissements.
Mes cris de plaisir s’arrêtant difficilement à leur porte elle savait bien ce qu’elle avait subi elle-même avec son beau-père amenant son mari à un alcoolisme extrême l’ayant entraîné lui aussi à la mort.
Bien sûr elle était déjà dans sa maison médicalisée quand Hubert le cadet d’Antoine a pris le relais s’occupant principalement de mon cul ses penchants homosexuels l’attirant certainement à me pénétrer l’anus plutôt que la chatte.
Et que dire de ceux qui viennent d’être chargés dans l’ambulance des pompiers qui sont eux aussi tombés sur la mante religieuse les dévorants avec envie quand le sèche-cheveux a rejoint l’eau de la baignoire.
• Noami, tu sais, je connais le secret de notre famille et dès que j’ai fini mon service je veux faire valoir mon droit de cuissage, va chez ta grand-mère prépare un sac, dès que j’ai fini je passe te chercher et je t’emmène chez moi.
• On va faire autrement donne-moi tes clefs de maison et le numéro, je prends ma voiture qui est chez mamy et je vais t’attendre chez toi, tu as raison, j’ai hâte d’être ta proie, ta chose, je suis sûr que tu dois être un amant extraordinaire.
• Je me défends depuis que je suis en âge de baiser toutes les femmes séduites jamais je n’ai enregistré de plainte.
Je croyais en avoir fini avec cette famille qui contraint les femmes et mettre en sommeil si possible définitivement la mante religieuse mais je crois qu’un candidat frappe à la porte m’obligeant à trouver une manière de débarrasser le pays de ces malades…
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