LA MANTE RELIGIEUSE. (2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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LA MANTE RELIGIEUSE. (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je viens de me marier avec Aurélien quand Antoine l’aîné de ma belle-famille me fait entrer dans sa chambre pour exercer le droit de cuissage qui a été instauré dans sa famille depuis des générations. Le père incapable de faire valoir son droit est suppléé dans les circonstances présentes par le fils aîné le doyen étant incapable de me baiser aviné qu’il est.
• Alors, je te l’avais bien dit ma pute que tu aimerais.
La dernière que j’aie eue comme toi c’était la fiancée de Julien, la veille de ses noces elle est venue coucher chez nous et j’ai cédé à mes envies une journée trop top, elle était dépucelée sauf du cul et contrairement à toi elle s’est plainte que je lui faisais mal.
Le lendemain matin elle avait disparu à quelques heures des noces, j’ai évité de faire la même erreur avec toi, tiens enfile-toi à fond, j’aime ta façon de te tortiller sur ma queue.
En me disant cela, il empoigne mes seins semblant les découvrir et me les triture une fois encore à me faire hurler au début ayant mal mais cette douleur s’estompe vite et ce sont mes cris de plaisir qui les remplacent.
• Fumier, fils de pute, fais-leur mal, arrache-les, fais-moi souffrir c’est si bon, ta queue oh ! ta queue, tu me la remettras demain ?
• Mieux même laisse ton cocu médité l’erreur de revenir ici avec toi.
• Je peux amener ma valise.
• Oui et nous irons en ville, je t’achèterais des tenus de nuit sexy que je serais le seul à voir.
• Non, je me promènerais devant ce puceau d’Aurélien pour lui faire voir ce qu’il a perdu.
• Tu es plus salope que je ne le pensais pour une vierge, j’ai mieux même, demain soir je le ferais s’asseoir sur la chaise au coin de ma chambre et il me verra te baiser, tu es d’accord.
• Ta verge en moi est trop bonne en ce moment sinon je te dirais d’aller le chercher pour qu’il participe à sa nuit de noces.
Oh oui on le fait j’aimerais voir sa tête quand tu me reprendras le cul.
C’est ainsi qu’après un grand moment de baise il sort de moi et la queue toujours raide il sort de la chambre pour en revenir avec celui qui se croyait être mon mari.
Volontairement quand il entre je l’ignore attendant la chatte dégoulinante d’envie le retour de celui qui a su en quelques minutes me dépuceler et donner à mon corps un sens à mes instincts les plus bas, je lui saute littéralement au paf que j’avale quelques centimètres de plus que la première fois dès qu’il rejoint notre lit.
• Regarde bien lopette, ce qu’en quelques minutes j’ai fait de ta femme, jamais au grand jamais elle aura avec toi les jouissances que je lui apporte, Noami dit lui que tu es ma chienne qui veut se faire enfiler.
Me… la bouche autant rempli ce sont ces borborygmes que j’arrive à faire sortir mais Aurélien au mouvement de tête me permettant de monter et descendre le long de la verge qui est la mienne maintenant voit que je veux dire oui.
J’évite de regarder celui que moi aussi je suis prête à traité de lopette mais j’arrive à voir qu’il pleure à chaudes larmes.
Voyant que j’atteins ma cible en faisant à mon amant cette fellation dantesque je me repositionne en levrette frétillante du croupion comme le fond certains oiseaux dans leur parade nuptiale.
Cette parade qui aurait pu être belle s’il avait eu le courage de m’emmener loin de cette famille de tarés dégénérés après que j’ai dit oui à monsieur le maire aurait pu tourner au cauchemar si la verge qui entre de nouveau en moi sans aucune difficulté me fait crier des continus et dès encore.
Chaque fois que ses couilles viennent taper mon clitoris j’explose, ma jouissance contrairement à la première fois est continue et dès qu’elle commence elle est linéaire au sommet de ce qu’un corps peut encaisser sans que mon cœur éclate.
Pourtant il aurait bien des raisons d’éclater, moi la midinette parisienne qui rêvait d’un amour simple comme le rêve et le fond 99 % des jeunes filles j’en suis arrivée à me faire mettre de nouveau dans le cul pour faire voir à celui qui est prostré sur sa chaise mais qui a l’impudeur de bander me mettant hors de moi la catin qu’il a engendrée.
Je devrais en vouloir au frère aîné de la situation où cette famille m’a entraîné mais c’est vers la lopette que va tout mon ressentiment car il est difficile de dire du mal d’une queue qui vous défonce le cul en vous faisant jouir comme je continue de le faire.
Depuis combien de temps je me fais prendre, Antoine me fait placer dans des positions toujours renouvelées et toujours invraisemblables, il semble avoir une grande expérience de ces jeux érotiques qui me laisse pantelante sans que jamais il ne me montre des signes de fatigue.
Si toutes les nuits il me baise avec le même entrain je suis prête à accepter les petits inconvénients que les hommes de la maison semblent faire subir aux femmes.
Alors pour que ma nuit de noces soit complète et trouve son point d’orgue dans l’éclatement de mon amant et la récupération de sa sève, je le masturbe frénétiquement son gland posé aux commissures de mes lèvres.
J’ai nettement l’impression qu’il aurait pu retenir son sperme encore longtemps mais faute de champagne pour fêter mon dépucelage mon estomac est rempli d’une liqueur phénoménale dont je fais attention à bien tous récupérer.
Au moment où dans un cri de plaisir j’entends dans mon dos Aurélien qui détalle refusant d’admettre qu’il a épousé la plus grande pute que la terre est engendrée.
Je m’écroule sur ce qui devient ma couche je l’espère pour un bon moment, bien sûr j’ai ma petite idée sur ce qui vient de se passer aussi je cherche désespérément sans trouver comment tout cela va évoluer mais j’ai toutefois une bonne vision des choses que je vais faire.
Au matin c’est la queue de nouveau à son paroxysme qui vient titiller ma rosette, au risque d’être déformé à vie je le prends en main pour bien le situer et dès que son gland est entré je fais entendre à Aurélien le chant d’un cul qui s’éclate.
Deux fois de suite j’ai un orgasme dévastateur avant que son sexe ne remplisse mon oeillet de ce que j’ai eu le plaisir de boire ce matin.
Après avoir assouvi son envie mon amant à une réaction surprenante.
• Allez femelle tu dois descendre préparer le café avec ma mère, je l’ai entendu descendre il y a 15 minutes, apprends les bonnes habitudes.
Il se lève et je le vois prendre ma robe blanche qui est restée au sol et s’essuie la verge dedans.
Voyant mon embarras il sort de la chambre et j’ai le plaisir de voir mon mari entrer et m’apporter ma valise qu’il pose sur la chaise où il a assisté à sa déchéance sans comme aujourd’hui prononcer le moindre mot.
Le travail a la ferme est intéressant pour une femme, après avoir nettoyé la salle commune où les hommes mangent nous nous occupons des petits animaux, poules canard et lapins.
• Tu sais tuer un lapin.
• Quelle horreur, de si gentilles petites bêtes comment pourrai-je leur faire du mal ?
• Fais-le sinon j’appelle mon fils qui va te faire chanter autrement que tu la fais cette nuit, tu vas goûter de son ceinturon qu’il porte depuis qu’il a fait l’armée.
Après la nuit que nous avons passée je suis sûr qu’il sera magnanime mais la famille est tellement étrange que je me garde bien de la contredire.
• Comment faut-il faire ?
• Prend-lui les pattes arrière avec la tête vers le bas.
• Comme cela, pauvre bête.
• Quand tu mangeras sa cervelle à midi tu me demanderas quand nous tuerons le suivant.
Quelle horreur, la cervelle de cette pauvre bête certainement pas.
• Bien il est calmé, tu prends ce morceau de bois qui sert à cela et tu lui donnes un bon coup derrière la tête pour l’estourbir.
Trois fois je m’y reprends avant que la pauvre bête soit définitivement morte.
• Attache les pattes arrière dans ces nœuds coulants et enlève-lui l’œil pour récupérer le sang pour faire la sauce.
• A non, jamais.
• Le ceinturon, même si je suis sa mère j’y ai goûté et mon cul s’en souvient encore.
• Comment fait-on ?
• Je te montre une seule fois le prochain tu le fais sans moi sinon je préviens Antoine qu’à part te faire baiser tu n’es bonne à rien.
• J’apprends vite, montrez-moi.
C’est comme cela que je la voie prendre un couteau effilé et passé derrière l’œil de la pauvre bête pour d’un coup de couteau emprunte à l’habitude l’enlever et faire pisser le sang dans la gamelle qu’elle a placée au sol.
Dans le même temps elle sectionne la fourrure aux pattes et après avoir tiré vers le bas elle défait la peau en tirant dessus jusqu’à ce que le crane de l’animal soit dégagé.
Elle prend le couteau ouvrant le ventre.
Je ferme les yeux refusant de voir.
Je fais des prières pour que le deuxième animal à tuer soit dans plusieurs semaines voir des mois.
• Avec mes cinq gaillards un seul lapin est insuffisant, attrape ce gros et prépare le pour le mettre dans la casserole pour faire le ragoût.
Une nouvelle fois je suis piégé, l’estourbir ce fait facilement après toutes les difficultés que j’ai à l’attraper.
L’attaché les derniers spasmes de l’animal me faisant monter mon café aux lèvres
L’œil a enlevé tout un poème et la perte de la moitié du sang ayant oublié de mettre la gamelle peut m’attirer des ennuis.
Tiré sur la peau qui résiste au point de risquer de l’abîmer la rendant invendable et les tripes à sortir, une demi-heure après je rejoins la cuisine fière de mon travail.
Belle maman voit qu’il manque du sang mais ne dit rien et pour finir j’apprends à le découper, étant là encore contente d’avoir appris une chose nouvelle.
Le cul avec le frère aîné, le candaulisme de mon mari ainsi que le lapin tué dépecé et coupé qui mijote ont bien rempli mes premières heures de femme mariée.
Le repas du midi se fait sur le même modèle que celui d’hier au soir et dès que j’ai fini de manger Antoine entre me demandant de le suivre.
Nous montons dans son quatre-quatre et il dévale les flancs de montagne abrupte en pleine vitesse.
J’ai quelques frayeurs surtout dans un virage où il doit freiner plus fort que dans les autres.
Arrivé en bas du Semnoz nous rejoignons Annecy et c’est vers le lac que dans une boutique il m’achète des sous-vêtements sexy que je devrais mettre dès le soir.
Il tient à contrôler lui-même dans la cabine d’essayage celles qui me donneront l’allure d’une belle salope.
Sa main dans ma chatte me fait mouiller et si je m’écoutais je me mettrais à genoux devant lui pour lui faire une fellation.
C’est bizarre, baiser sans que mon cocu de mari le sache me fait redescendre sur terre et c’est avec de la haine que je prends les sacs pour retourner vers la ferme de ma déchéance…
Je viens de me marier avec Aurélien quand Antoine l’aîné de ma belle-famille me fait entrer dans sa chambre pour exercer le droit de cuissage qui a été instauré dans sa famille depuis des générations. Le père incapable de faire valoir son droit est suppléé dans les circonstances présentes par le fils aîné le doyen étant incapable de me baiser aviné qu’il est.
• Alors, je te l’avais bien dit ma pute que tu aimerais.
La dernière que j’aie eue comme toi c’était la fiancée de Julien, la veille de ses noces elle est venue coucher chez nous et j’ai cédé à mes envies une journée trop top, elle était dépucelée sauf du cul et contrairement à toi elle s’est plainte que je lui faisais mal.
Le lendemain matin elle avait disparu à quelques heures des noces, j’ai évité de faire la même erreur avec toi, tiens enfile-toi à fond, j’aime ta façon de te tortiller sur ma queue.
En me disant cela, il empoigne mes seins semblant les découvrir et me les triture une fois encore à me faire hurler au début ayant mal mais cette douleur s’estompe vite et ce sont mes cris de plaisir qui les remplacent.
• Fumier, fils de pute, fais-leur mal, arrache-les, fais-moi souffrir c’est si bon, ta queue oh ! ta queue, tu me la remettras demain ?
• Mieux même laisse ton cocu médité l’erreur de revenir ici avec toi.
• Je peux amener ma valise.
• Oui et nous irons en ville, je t’achèterais des tenus de nuit sexy que je serais le seul à voir.
• Non, je me promènerais devant ce puceau d’Aurélien pour lui faire voir ce qu’il a perdu.
• Tu es plus salope que je ne le pensais pour une vierge, j’ai mieux même, demain soir je le ferais s’asseoir sur la chaise au coin de ma chambre et il me verra te baiser, tu es d’accord.
• Ta verge en moi est trop bonne en ce moment sinon je te dirais d’aller le chercher pour qu’il participe à sa nuit de noces.
Oh oui on le fait j’aimerais voir sa tête quand tu me reprendras le cul.
C’est ainsi qu’après un grand moment de baise il sort de moi et la queue toujours raide il sort de la chambre pour en revenir avec celui qui se croyait être mon mari.
Volontairement quand il entre je l’ignore attendant la chatte dégoulinante d’envie le retour de celui qui a su en quelques minutes me dépuceler et donner à mon corps un sens à mes instincts les plus bas, je lui saute littéralement au paf que j’avale quelques centimètres de plus que la première fois dès qu’il rejoint notre lit.
• Regarde bien lopette, ce qu’en quelques minutes j’ai fait de ta femme, jamais au grand jamais elle aura avec toi les jouissances que je lui apporte, Noami dit lui que tu es ma chienne qui veut se faire enfiler.
Me… la bouche autant rempli ce sont ces borborygmes que j’arrive à faire sortir mais Aurélien au mouvement de tête me permettant de monter et descendre le long de la verge qui est la mienne maintenant voit que je veux dire oui.
J’évite de regarder celui que moi aussi je suis prête à traité de lopette mais j’arrive à voir qu’il pleure à chaudes larmes.
Voyant que j’atteins ma cible en faisant à mon amant cette fellation dantesque je me repositionne en levrette frétillante du croupion comme le fond certains oiseaux dans leur parade nuptiale.
Cette parade qui aurait pu être belle s’il avait eu le courage de m’emmener loin de cette famille de tarés dégénérés après que j’ai dit oui à monsieur le maire aurait pu tourner au cauchemar si la verge qui entre de nouveau en moi sans aucune difficulté me fait crier des continus et dès encore.
Chaque fois que ses couilles viennent taper mon clitoris j’explose, ma jouissance contrairement à la première fois est continue et dès qu’elle commence elle est linéaire au sommet de ce qu’un corps peut encaisser sans que mon cœur éclate.
Pourtant il aurait bien des raisons d’éclater, moi la midinette parisienne qui rêvait d’un amour simple comme le rêve et le fond 99 % des jeunes filles j’en suis arrivée à me faire mettre de nouveau dans le cul pour faire voir à celui qui est prostré sur sa chaise mais qui a l’impudeur de bander me mettant hors de moi la catin qu’il a engendrée.
Je devrais en vouloir au frère aîné de la situation où cette famille m’a entraîné mais c’est vers la lopette que va tout mon ressentiment car il est difficile de dire du mal d’une queue qui vous défonce le cul en vous faisant jouir comme je continue de le faire.
Depuis combien de temps je me fais prendre, Antoine me fait placer dans des positions toujours renouvelées et toujours invraisemblables, il semble avoir une grande expérience de ces jeux érotiques qui me laisse pantelante sans que jamais il ne me montre des signes de fatigue.
Si toutes les nuits il me baise avec le même entrain je suis prête à accepter les petits inconvénients que les hommes de la maison semblent faire subir aux femmes.
Alors pour que ma nuit de noces soit complète et trouve son point d’orgue dans l’éclatement de mon amant et la récupération de sa sève, je le masturbe frénétiquement son gland posé aux commissures de mes lèvres.
J’ai nettement l’impression qu’il aurait pu retenir son sperme encore longtemps mais faute de champagne pour fêter mon dépucelage mon estomac est rempli d’une liqueur phénoménale dont je fais attention à bien tous récupérer.
Au moment où dans un cri de plaisir j’entends dans mon dos Aurélien qui détalle refusant d’admettre qu’il a épousé la plus grande pute que la terre est engendrée.
Je m’écroule sur ce qui devient ma couche je l’espère pour un bon moment, bien sûr j’ai ma petite idée sur ce qui vient de se passer aussi je cherche désespérément sans trouver comment tout cela va évoluer mais j’ai toutefois une bonne vision des choses que je vais faire.
Au matin c’est la queue de nouveau à son paroxysme qui vient titiller ma rosette, au risque d’être déformé à vie je le prends en main pour bien le situer et dès que son gland est entré je fais entendre à Aurélien le chant d’un cul qui s’éclate.
Deux fois de suite j’ai un orgasme dévastateur avant que son sexe ne remplisse mon oeillet de ce que j’ai eu le plaisir de boire ce matin.
Après avoir assouvi son envie mon amant à une réaction surprenante.
• Allez femelle tu dois descendre préparer le café avec ma mère, je l’ai entendu descendre il y a 15 minutes, apprends les bonnes habitudes.
Il se lève et je le vois prendre ma robe blanche qui est restée au sol et s’essuie la verge dedans.
Voyant mon embarras il sort de la chambre et j’ai le plaisir de voir mon mari entrer et m’apporter ma valise qu’il pose sur la chaise où il a assisté à sa déchéance sans comme aujourd’hui prononcer le moindre mot.
Le travail a la ferme est intéressant pour une femme, après avoir nettoyé la salle commune où les hommes mangent nous nous occupons des petits animaux, poules canard et lapins.
• Tu sais tuer un lapin.
• Quelle horreur, de si gentilles petites bêtes comment pourrai-je leur faire du mal ?
• Fais-le sinon j’appelle mon fils qui va te faire chanter autrement que tu la fais cette nuit, tu vas goûter de son ceinturon qu’il porte depuis qu’il a fait l’armée.
Après la nuit que nous avons passée je suis sûr qu’il sera magnanime mais la famille est tellement étrange que je me garde bien de la contredire.
• Comment faut-il faire ?
• Prend-lui les pattes arrière avec la tête vers le bas.
• Comme cela, pauvre bête.
• Quand tu mangeras sa cervelle à midi tu me demanderas quand nous tuerons le suivant.
Quelle horreur, la cervelle de cette pauvre bête certainement pas.
• Bien il est calmé, tu prends ce morceau de bois qui sert à cela et tu lui donnes un bon coup derrière la tête pour l’estourbir.
Trois fois je m’y reprends avant que la pauvre bête soit définitivement morte.
• Attache les pattes arrière dans ces nœuds coulants et enlève-lui l’œil pour récupérer le sang pour faire la sauce.
• A non, jamais.
• Le ceinturon, même si je suis sa mère j’y ai goûté et mon cul s’en souvient encore.
• Comment fait-on ?
• Je te montre une seule fois le prochain tu le fais sans moi sinon je préviens Antoine qu’à part te faire baiser tu n’es bonne à rien.
• J’apprends vite, montrez-moi.
C’est comme cela que je la voie prendre un couteau effilé et passé derrière l’œil de la pauvre bête pour d’un coup de couteau emprunte à l’habitude l’enlever et faire pisser le sang dans la gamelle qu’elle a placée au sol.
Dans le même temps elle sectionne la fourrure aux pattes et après avoir tiré vers le bas elle défait la peau en tirant dessus jusqu’à ce que le crane de l’animal soit dégagé.
Elle prend le couteau ouvrant le ventre.
Je ferme les yeux refusant de voir.
Je fais des prières pour que le deuxième animal à tuer soit dans plusieurs semaines voir des mois.
• Avec mes cinq gaillards un seul lapin est insuffisant, attrape ce gros et prépare le pour le mettre dans la casserole pour faire le ragoût.
Une nouvelle fois je suis piégé, l’estourbir ce fait facilement après toutes les difficultés que j’ai à l’attraper.
L’attaché les derniers spasmes de l’animal me faisant monter mon café aux lèvres
L’œil a enlevé tout un poème et la perte de la moitié du sang ayant oublié de mettre la gamelle peut m’attirer des ennuis.
Tiré sur la peau qui résiste au point de risquer de l’abîmer la rendant invendable et les tripes à sortir, une demi-heure après je rejoins la cuisine fière de mon travail.
Belle maman voit qu’il manque du sang mais ne dit rien et pour finir j’apprends à le découper, étant là encore contente d’avoir appris une chose nouvelle.
Le cul avec le frère aîné, le candaulisme de mon mari ainsi que le lapin tué dépecé et coupé qui mijote ont bien rempli mes premières heures de femme mariée.
Le repas du midi se fait sur le même modèle que celui d’hier au soir et dès que j’ai fini de manger Antoine entre me demandant de le suivre.
Nous montons dans son quatre-quatre et il dévale les flancs de montagne abrupte en pleine vitesse.
J’ai quelques frayeurs surtout dans un virage où il doit freiner plus fort que dans les autres.
Arrivé en bas du Semnoz nous rejoignons Annecy et c’est vers le lac que dans une boutique il m’achète des sous-vêtements sexy que je devrais mettre dès le soir.
Il tient à contrôler lui-même dans la cabine d’essayage celles qui me donneront l’allure d’une belle salope.
Sa main dans ma chatte me fait mouiller et si je m’écoutais je me mettrais à genoux devant lui pour lui faire une fellation.
C’est bizarre, baiser sans que mon cocu de mari le sache me fait redescendre sur terre et c’est avec de la haine que je prends les sacs pour retourner vers la ferme de ma déchéance…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, dès l'épisode 3 dans deux jours ils seront marqués 3/14 car il y a 14 épisodes
Merci
Merci
il faut une suite a ca