LA MANTE RELIGIEUSE. (4/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (4/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (4/14)
Après une nouvelle nuit à me faire baiser par mon beau-frère devant mon puceau de mari, je vois Antoine parler à Henri qui a regardé ses freins avant qu’il rejoigne la plaine comme il lui a demandé.
Après c’être mis au volant je le vois partir vers la descente du Semnoz en pleine vitesse comme à son habitude.

Il est 11 heures quand une camionnette de la gendarmerie entre dans la cour, ma belle-mère sort et je la vois tomber littéralement à genoux devant le gendarme.
Compatissante je prends l’imperméable pendu dans l’entrée et je la rejoins « tant en petite tenue.

• Antoine a eu un accident dans la descente, il a loupé, un virage et sa voiture à passer dessus un parapet et s’est écrasé 50 mètres plus bas.
• Il est blessé.
• Non, il est mort.

Je fais voir ma compassion en prenant ma belle-mère dans mes bras pour la relever.

• Qui êtes-vous, c’est la première fois que je vous voie ?
• La femme d’Aurélien mais vous connaissez ma grand-mère qui habite la maison voisine.
• Vous êtes la petite fille de Denise.
• Oui c’est cela.
• La voiture va être remontée et envoyer à l’analyse, avez-vous des doutes sur ce qu’il pourrait c’être passé.
• Non, Henri le frère mécanicien a regardé les freins avant et arrière ce matin je l’ai vu sous la voiture à la demande d’Antoine qui se plaignait que ses freins étaient un peu mous.
• Merci nous consignons cela dans le procès-verbal, nous verrons après l’analyse, encore toutes nos condoléances.

Le fruit dans le ver, en parlant au gendarme qu’Henri est intervenu à l’avant et à l’arrière, lui seul sait qu’il a regardé juste à l’avant.
Les frères emmènent leur mère auprès du corps d’Antoine et je reste seul à la ferme avec le beau-père et sa bouteille.
J’en profite pour visiter et dans le hangar où sont rangées les grosses machines agricoles je constate qu’Henri travaille à l’intérieur des lames de la coupeuse à Maïs.
Je connais ces machines car nous sommes allés en bus dans une des dernières fermes de la région parisienne et le fermier nous a fait monter dans la cabine et je sais comment remettre la protection de sécurité et démarrer le moteur.
Quand je reviens dans la cuisine mon beau-père s’est endormi la tête sur la table comme à son habitude.
Je le laisse se reposer et je monte à l’étage faire les lits des frères.
Dans ce qui aurait dû être ma chambre, j’enlève le drap du dessus et je constate qu’Adrien a expédié beaucoup de cartes de France dans le drap du dessous, il a dû se masturber à mort en revenant de la chambre de feu Antoine.
Ce soir je vais dormir seul profitant de la promesse faite à mon amant de jamais me faire sauter par mon mari.
Je vais discrètement dans la chambre de mes beaux-parents et comme je suis curieuse j’explore l’armoire lieu des cachettes des gens rustiques.
Je tombe sur des cahiers type écolier à petit carreau où des textes sont écrits d’une belle main à l’ancre certainement à la plume sergent-major comme j’en ai vu chez mamy Denise.

Le plus vieux date des exploits sexuels de Camille quand elle faisait la pute à Toulon avec les petits pompons rouge.
Je retrouve ce que m’a dit Antoine sur le fait qu’elle a consigné sa nuit de noces contrainte de couché avec le grand-père des garçons alors qu’elle se savait enceinte d’un des marins inconnus.
J’apprends que comme Aurélien, le poivrot qui cuve en bas est le seul avec qui elle est restée sans aucun rapport.
Je prends le deuxième cahier bien plus intéressant car il parle de la période de la naissance d’Henri.
Et là la révélation que fait Camille m’apporte un jour nouveau sur ma propre famille.
Voici ce que je peux lire.

• Achille, mon beau-père meurt. Mon cocu est bien incapable de me baiser et rapidement ma chatte me démange.
De temps en temps je croise Victor le mari de Denise notre voisine et ce grand gaillard semble fort viril.
Hier en longeant la haie entre nos deux propriétés je suis tombé dessus et rapidement notre attirance physique s’est transformée en une attirance fusionnelle.
Nous avons littéralement arraché nos affaires et avec lui j’ai retrouvé les bons moments où je me faisais tringler en amassant le fric ainsi que le pognon de Luigi que j’ai bien caché si par malheur mes vieux jours se passent mal.
La queue qui m’a labouré pendant des semaines à entraîner la naissance d’Henri et qui a précipité ma rupture avec Victor contraint et forcé car ce grand couillon est mort en me baisant dans notre grange un jour de pluie.
Il a fallu que je le tire par les pieds jusqu’à la clôture pour faire croire qu’il était mort en se promenant.

Quelle révélation, Henri est le fils de mon grand-père et le demi-frère de ma mère.
J’entends la voiture d’Henri qui revient et je remets tous ces cahiers à leur place.
Alors que je descends un grand cri m’interpelle, ma belle-mère secoue son mari qui reste inerte.
Moi qui croyais qu’il dormait, il venait de boire son dernier verre.
Le médecin appelé est obligé de constater le décès par mort naturelle si l’on exclut les litres de pinard qu’il s’ingurgitait.
Son fils et son mari mort le même jour, nous allongeons Camille sur le canapé où le médecin lui fait une piqûre pour la faire dormir.
Je prépare le repas du soir et comme d’habitude mon mari mange seul en bout de table.
Les trois autres frères mangent sans un mot avant de monter ce coucher.
Je débarrasse laissant ma belle-mère dormir, je lui mets une couverture dessus et je monte à mon tour.
J’arrive sur le palier.

• Et la pute vient me voir je t’avais dit que tu serais à moi rapidement, maintenant c’est moi qui vais exercer mon droit de cuissage.

J’entre dans la chambre d’Henri il est assis sur son lit la queue au zénith.
Bien moins grosse que celle d’Antoine mais plus développé que celle d’Aurélien je me vois dans l’obligation de m’avancer.

• Je connais déjà ta chatte depuis que mon frère t’a acheté tes tenus de pute, fais-moi voir tes seins.
Moi en priorité c’est ton cul qui m’intéresse à baiser.

Aurait-il des tendances homosexuelles refoulées, même si c’est le fils de mon grand-père et le frère de ma mère j’ai l’impression qu’Henri va me faire commettre un acte réprouvé en me prenant le petit mais philosophe, je me dis que tradition oblige une queue est une queue et que tous ignoreront que j’ai transgressé des tabous.
Je me désape, monte sur le lit et une nouvelle fois depuis les trois jours de mon mariage j’ai la bite d’un nouvel amant à sucer tout en le masturbant.
J’ai nettement plus facile à lui faire une gorge profonde le calibre étant plus à la portée de mon conduit buccal et je vois qu’il apprécie d’avoir récupéré la salope que son frère, reposant à la morgue à créer.

• Mets-toi à quatre pattes que je te prends comme la chienne que depuis deux jours j’entends hurler à la mort sous les coups de bite de mon frère.
• Non va chercher mon mari pour qu’il contemple sa déchéance quand tu seras à fond en moi, il a joué avec moi je tiens à ce qu’il perde l’intégralité de sa dignité.

Henri se lève et Aurélien arrive en larmes dans la chambre pour s’asseoir sur une chaise et voir qu’une nouvelle fois je baise avec un autre que lui.

• Tu as raison de l’avoir là cela va amplifier mon plaisir, ma mère a voulu se faire mettre par ces Suédois et son rejeton va comprendre que dans notre famille on a de la dignité, remet toi à quatre pattes.

Je m’exécute mais sans aucune fioriture il me plante apportant un hoquet à mes lèvres.
Contrairement à Antoine sa résistance est bien moindre et au bout de moins d’un quart d’heure sans que j’aie joui il me fruste et décharge son sperme dans mon anneau.
Au matin ils dorment tous Aurélien après avoir vu sa nouvelle déchéance a rejoint sa chambre qui maintenant j’en suis sûr sera tout sauf la mienne.
Au rez-de-chaussée Camille est debout mais son comportement est étrange.
Elle marche en marmonnant des mots inaudibles.
Arrivée à un bout de la pièce elle tourne à 90 degrés et repart idem au mur suivant finissant par faire un carré autour de la table.
Je la prends par les épaules me sentant un peu proche d’elle, dans cette famille elle a connu l’obligation de coucher avec le patriarche même si elle était loin d’être vierge comme moi.
Deux fois dans ses mots psalmodiés « Armoire » revient, dès qu’Henri descend je lui parle de l’état de sa mère.
Il décide d’appeler le médecin qui arrive rapidement après avoir compris que ma belle-mère semble avoir perdu la raison.
Nouveau calmant pour la faire arrêter de marcher et évacuation vers l’hôpital me donnant libre cours à mes recherches dans la maison dès qu’ils sont tous à leur travail même Aurélien qui prend sa voiture pour retourner à la fac sans un mot.

Il est onze heures quand une voiture de la gendarmerie vient nous donner des convocations.

• Bonjour madame, Noami, monsieur Henri est là.
• Dans son atelier il doit travailler sur la faucheuse à maïs, je l’appelle.

Deux minutes après il arrive s’essuyant les mains grasses avec un chiffon aussi gras.

• Vous pouvez vous présenter à 13 heures dans nos bureaux avec votre mère nous avons quelques questions à vous poser.
• Vous madame Noami nous vous attendons à 14 heures, messieurs Julien et Jules à 15 heures et monsieur Aurélien à 16 heures.
• Notre mère a été hospitalisée ce matin elle semble avoir mal pris le décès de son fils et de son mari le même jour.
• Je le consigne nous irons la voir la-bas.
• Pour Aurélien mon mari il est retourné à la fac jusqu’à vendredi, il fait des études de médecine.
• Comme pour votre mère nous irons l’auditionner.
• Quelque chose vous intrigue monsieur ?
• Vous verrez cet après-midi nous avons des questions à vous poser.

Henri mange peu à midi mais il se croit obligé de faire voir aux jumeaux qu’il est le nouveau patron dans la maison.
Quand je passe près de lui pour le servir sa main passe sous ma petite jupe pour m’entrer des doigts dans l’anus.
Contrairement à son frère il est peu lingerie mais semble apprécier que j’aie oublié ma culotte.
Je deviens de plus en plus déluré car j’écarte légèrement les cuisses pour qu’il puisse entrer plus loin.
Les jumeaux ont les yeux qui leur sortent de la tête à cette vue qu’Henri leur sert sur un plateau.

Henri part et après avoir fermé la maison, les jumeaux étant déjà descendus je prends ma petite C1 Citroën et descends au rendez-vous passant près de l’endroit où Antoine a perdu la vie.
Je m’arrête dans le petit parc à voitures qui suit le virage permettant aux touristes de s’arrêter pour contempler la vue, je remonte jusqu’à la brèche boucher par les services de sécurité par une barrière de bois et m’approchant je jète dans le vide une rose rouge que j’ai cueillie devant la maison de la fratrie…

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