La panne.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La panne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La panne.
Depuis quelques temps je travaille dans une boite de terrassement. Où j’ai de bonne relation avec la secrétaire des lieux. C’est une de ces foutues journées à l’issue de laquelle on sort d’une journée de boulot épuisé et d’humeur maussade, persuadé d’avoir gaspillé l’essentiel de mon temps pour rien. Et là, de voir le pneu avant de ma mobylette à plat n’est pas pour arranger mon humeur.
N’ayant rien sous les mains pour le réparer je file jusqu’au bureau de Monique. Elle doit avoir un peu plus de quarante ans, elle est rousse, de taille moyenne. Elle porte ce jour là, dans un bureau surchauffé, une robe de cotonnade aux couleurs vives qui lui moule la poitrine et les hanches, sous l’étoffe à gros ramages je vois le dessin de sa culotte et qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Le bout des seins pointe, mais en bas la robe s’évase en corolle à chaque pas. Elle porte aux pieds des escarpins. Je sens son parfum épicé malgré le mètre qui nous sépare.
-Je peux passer un coup de fil ?
-Tu as un problème ?
-Oui j’ai crevé !
-Merde ! Et tu veux appeler pourquoi ?
-Pour que mon père vienne me chercher.
-Si cela peut t’intéresser je peux te déposer !
-Cela ne vous dérange pas ?
-Si je te le propose.
-Bon ! C’est gentil.
-Tu peux patienter quelques minutes, j’ai du travail à finir avant de fermer le bureau.
-Je vous en prie, j’attends dehors !
Alors que je patiente, je m’efforce d’imaginer son anus. L’image d’une corolle sombre aux stries profondes en forme de rayons de soleil, flotte dans mon imagination avec la netteté d’une hallucination. Ma patience dure un bon quart d’heure. Une fois dans la voiture Monique s’intéresse sur mon boulot. Si j’en suis content.
-Tu permets que je passe à la maison avant ?
-Non.
-Nous arrivons bientôt, me dit-elle.
Et puis, spontanément, elle me lâche :
-Je peux t’offrir une bière ?
J’accepte avec gratitude. Sans arrière-pensée.
Elle quitte la route principale, pour prendre une petite route, puis un chemin gravillonné qui nous mène jusqu’à une grille, fermée.
-Suis-moi, me fait-elle quittant son siège.
Sa gentillesse me confond. Plus rien comte autour de moi, seulement cette somptueuse croupe montée sur roulement à billes, oscillant sur ses escarpins. Un coup à droite, un coup à gauche. Une sorte de balancier qui me scie les tripes au rasoir. Ça devient presque humiliant de rester derrière sans rien tenté. Elle ouvre la porte d’entrée et allume le lieu, et s’écarte pour me laisser passer.
Après s’être déchaussé elle m’installe dans un salon, m’abandonnant quelques instants avant de revenir avec un plateau en mains. On s’installe sur le divan, après avoir mit de la musique. Au court des minutes Monique se déhanche au son de la musique diffusée par l’Hi-fi.
-Tu danses ?
La proposition est brusque.
-Je ne suis pas un grand danseur.
Je me retrouve debout, dans les bras de Monique. Quelque chose se passe, progressivement, une détente complice. Des corps plus souples. L’air s’achève. Je commence à trembler, elle se rapproche de moi, sa tête sur mon épaule, je sens sa poitrine contre la mienne. Et puis, je commence à me sentir gêné. Et pour cause, elle est trop près de moi, elle doit bien se rendre compte que je bande. Je tente de m’écarter. Mais ce n’est pas de son goût, elle se rapproche encore.
-Tu as une copine ?
-Pas pour le moment.
-Alors comment te satisfaits-tu ?
-Je fais comme je peux.
Elle m’embrasse, se serre contre moi, m’attire contre elle. Je la laisse faire, et mon sexe en érection rencontre son pubis, à moins que ce ne soit son corps qui se frotte contre le mien. Je ne résiste plus. Je pose mes mains sur ses hanches, en remontant elles frôlent ses seins.
-Suis-moi, fait-elle, en me prenant par la main.
Elle me conduit jusqu’à sa chambre. Au bord du lit, elle m’embrasse, se colle à nouveau contre moi. Nous me pousse sur son lit, pour s’installer sur moi. Elle m’embrasse, enfonçant sa langue dans ma bouche. J’ose glisser mes mains sous son corsage, je sens sa peau. Stoppant son baiser, elle fait passer mon pull par-dessus la tête. Ses lèvres sont sur ma poitrine. Sa bouche descend et ses mains sont sur ma ceinture. Quelques contacts inévitables avec mon sexe tendu, à travers mon pantalon. Puis à travers le tissu de mon slip.
Je suis au bord de l’orgasme, incapable de me contrôler, je sens que je vais jouir. C’est le moment qu’elle choisit pour prendre mon sexe dans sa bouche. Le plaisir qu’elle me donne, est irrésistible. La secrétaire tète, m’enfourne dans sa bouche. Je gémis, je gémi et je jouis. Dans sa bouche. Cela ne l’empêche pas de continuer. Je me tords de plaisir, c’est insupportable. Elle attend que je crache la dernière goute, pour me recracher.
Elle embrasse mon ventre, mon sexe, et remonte. Elle pose ses lèvres sur les miennes. Un baiser qui sent ma queue.
-Tu as aimé ?
-Un moment inoubliable. Fais-je en défaisant, un à un, les boutons de son corsage.
Puis je passe à la ceinture de sa robe, la fermeture éclair sur le côté. Je glisse ma main sur son ventre. Je la sens frissonner, son ventre se creuse. Elle bouge, se soulève, retire sa robe. Elle tourne son visage vers le mien, murmure à mon oreille quelque chose que je ne comprends pas, que je crois deviner. Ma main glisse sur son ventre, je sens sa toison sous le tissu de la culotte. Je suis là, dans mon monde préférer.
J’introduis mes doigts sous sa culotte. Ils glissent dans sa fourrure, puis s’empare de sa chatte. Il est en eau. Mes doigts la percent, la caressent. Elle gémit, doucement, se cambre. Entre les lèvres de son sexe, le bout de mes doigts fouille, cherche, et trouve son clitoris, que je caresse.
Et tout à coup elle explose, pose sa main sur la mienne, pousse mes doigts entre ses cuisses qu’elle serre. Elle se tord de plaisir, rigide à se briser. Elle gémit, plus fort, crie presque. Puis reste inerte quelques instants avant de m’embrasser.
-Je ne regrette pas de t’avoir dégonflé ton pneu…
-Salope !
-Oui… c’est le mot juste, fait-elle en retirant sa culotte.
-Je peux l’avoir ? Lui fais-je.
-On voilà une drôle d’idée…
-J’en fais la collection.
-Alors dans ce cas… lâche-t-elle en me la tendant.
Je la dévore des yeux.
-Qu’attends-tu pour en faire de même ?
Une fois nu je me colle contre elle, loin d’être rassasié. Je la caresse, j’embrasse ses seins, ses tétons. Je les tète pour son plus grand plaisir.
De la main elle me pilote, poussant doucement ma tête vers le centre de son corps. Jusqu’à ce que ma bouche soit à la hauteur de sa forte toison, où se dégage une forte odeur de vie. Je pose mes lèvres dessus. Je la goûte. J’introduis ma langue entre les lèvres au goût aigre. Appréciant le moment, je bois au creux de ses cuisses, alors que ma langue déguste son sexe. J’enchaine en prenant son clitoris entre mes lèvres, comme pour un baiser d’abord, puis pour le sucer, l’aspirer. Elle vibre. Se cintre. Je sens qu’elle est proche de l’explosion, de l’orgasme. Et je suis là, un homme comblé.
Je l’entends gémir. Puis soudain elle crie, se tord. Ses cuisses se referment sur ma tête, elle les serre à m’en briser le crâne. Je tiens toujours son bouton entre mes lèvres, mes mains se posent sur ses seins, les agrippent, les malaxent. Elle se virevolte, se retourne et ma tête suit le mouvement, toujours séquestrée de ses cuisses, contre son sexe.
Quand elle daigne, enfin, de me lâcher, je profite de ce répit pour reprendre de l’oxygène. Je ne suis toujours pas rassasié, elle non plus, d’ailleurs. Nous avons encore du plaisir à prendre ensemble.
La voilà qu’elle s’allonge sur moi, son sexe contre le mien. Elle ondule doucement, et je sens mon sexe raide, glisser entre ses cuisses.
Je m’enfonce en elle. C’est doux, chaud, humide, souple. Elle roule des hanches, lentement, puis s’arrête, mon sexe suit les mouvements de son corps. Une bienfaisante chaleur m’envahit, s’empare de mon être. Je me colle contre elle, mes mains s’agrippent à ses hanches, la poussent sur mon sexe.
Elle guide nos mouvements. Je la sens s’écraser contre moi, mouvoir son bassin, je sens qu’elle veut me prendre en elle le plus loin possible. Très vite, elle jouit à nouveau. Comme une bouche sans dents, sa chatte se contracte, mord mon sexe, elle crie, remue la tête dans tous les sens, extériorise son bien-être. Son ventre se soude contre moi. Je l’écrase de toutes mes forces entre mes bras. Je sens que je ne vais plus pourvoir me retenir plus longtemps, et lâche tout mon plaisir retenue jusqu’alors.
Une fois la tempête calmée, elle reste là allongée.
-Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel pied…
-Moi aussi.
Un long temps de silence, puis elle lâche :
-Tu as une copine ?
-Non. Pas pour le moment.
-Donc, pas de baise ?
-Non…
-Donc tu peux encore me prendre…
Sans attendre ma réplique, la voilà qu’elle se jette sur moi. Faisant tout pour que ma queue la pénètre de nouveau. Ses ruades s’accélèrent progressivement. Ils sont aussi plus brusques. La nympho ne se contrôle plus. Je l’entends qui recommence à crier, et lâcher des mots crus. Encouragé par tant de débauche de sa part, que je sens une fois de plus mon sperme monter de ma queue, jaillir. Je m’entends lâcher un cri, puis deux, puis trois. Autant que d’éjaculations.
Elle attend qu’on soit assis à la table de la cuisine, en train de déguster une omelette, pour me confier :
- Tu sais, je n’aurais jamais cru que tu étais comme ça.
-C’est-à-dire ?
-Aussi pervers…
-Pervers ? Comment tu vas là…appelle la police, aller tout de suite, il faut m’enfermer…
-Je vais attendre un peu… j’ai encore besoin de tes services…

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