La panne de voiture

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : La panne de voiture Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La panne de voiture
C’était un vendredi en fin d’après-midi, nous avions passé la journée au Zoo de Thoiry.
Il avait fait beau et assez chaud, la visite avait été agréable.
Nous avions à peine vingt-cinq ans, peu d’argent et surtout une vieille R16 qui nous jouait parfois des mauvais tours.
Comme la météo était prometteuse le matin quand nous avons quitté la maison et qu’il faisait doux pour cette journée de juin, nous étions habillés légers.
Moi, juste un short et un tee-shirt et Nathalie aussi, elle avait quand même mis un string mais pas de soutien-gorge.

Quand nous sommes repartis du Zoo, en fin d’après-midi, le temps commençait à se couvrir.

Je n’ai pas voulu prendre la nationale pour rentrer chez nous, j’ai préféré les petites départementales, voir même les communales.

Le ciel se chargeait de plus en plus de gros nuages bien noirs et quelques gouttes commençaient à tomber.

Perturbé par ce mauvais temps, j’ai dû louper une route et me suis retrouvé sur des voies que je ne connaissais pas.

L’orage était là, la pluie tombait à sceau avec de gros éclairs et du tonnerre, de plus il faisait très sombre et l’éclairage de ma vieille R16 ne suffisait pas pour bien distinguer la route.
Je me suis donc arrêté sur le bas-côté en attendant que ça se calme un peu.
Environ trente minutes plus tard, le déluge s’était calmé mais il pleuvait toujours.
J’ai donc décidé de repartir, mais là, impossible de démarrer, la voiture ne voulait rien savoir, j’ai tellement insisté que j’ai vidé la batterie.

J’ai poussé la voiture pour essayer de la remettre en route, Nathalie a pris le relais aussi de temps en temps, mais rien n’y a fait, la vieille guimbarde avait décidé de nous laisser en plan sur une petite route communale.
La pluie n’avait pas cessé et nous étions complètement trempés.

« On va la pousser encore un peu pour la garer et on va faire du stop pour aller au prochain village. »
« Oui on verra bien, j’ai pas envie de passer la nuit trempée au beau milieu de la cambrousse. » m’a-t-elle dit en pleurant.

Au bout d’une demi-heure, alors qu’il commençait à faire bien nuit, une voiture est enfin passée devant nous.
Je lui ai fait des signes, il a ralenti puis s’est arrêté cinquante mètres plus loin. Il a fait marche arrière puis a ouvert sa fenêtre. Nathalie, en voyant la voiture reculer était sortie pour se placer à mes côtés :
« Qu’est-ce qu’il vous arrive les jeunes ? »
« On est en panne, je ne sais pas ce qu’elle a et on est loin de chez nous, on est un peu perdu. »
« Vous m’avez l’air trempé et frigorifié, allez, montez, j’habite à cinq cents mètres, vous allez pouvoir vous réchauffer en cherchant une solution.
« Merci beaucoup monsieur, c’est très gentil à vous. » Lui a répondu Nathalie toujours en larmes.
« Ne pleure pas ma petite, ça va aller, si vous voulez je peux même vous héberger cette nuit, ma femme et mes enfants sont partis en week-end chez leur grand-mère, alors j’ai de la place. »

Arrivé chez lui, c’est vrai qu’il y avait à peine cinq cents mètres, il nous a fait entrer dans la cuisine et est allé chercher des serviettes pour que l’on puisse se sécher un peu.
« Alors, vous avez quelqu’un qui peut venir vous chercher ? »
« Heu, non, c’est vendredi, nos amis sont de sortie et vu l’heure je pense que l’on ne va trouver personne. Si vous pouvez nous conduire à un hôtel, on repartira demain en stop. »
« Tsss, tsss, tsss, vous n’allez quand même pas dépenser des sous bêtement, je vous ai proposé de vous loger cette nuit, il est presque vingt heures, il fait nuit et vous ne trouverais pas d’hôtel comme ça dans le secteur. »
« Merci, c’est gentil, c’est juste qu’on ne veut pas vous déranger. »
« Allez, séchez-vous, je vais vous trouver des affaires pour que vous soyez au sec. »

Quelques minutes après, il revenait avec deux pantalons de survêtement et deux gros pulls.
« Tenez, enfilez-ça, si vous voulez, allez prendre une douche bien chaude avant ça vous réchauffera. »
« Oh oui je veux bien, merci. » Lui répondit Nathalie.

Un quart d’heure plus tard, nous sortions de la salle de bain, réchauffés et habillés d’un pantalon jogging et d’un pull.
Il a pris nos affaires trempées en nous disant qu’il allait faire une petite machine et les mettre à sécher après.
Un peu gêné car il y avait nos sous-vêtements avec, nous lui avons quand même donné.

Il s’appelait Marc, il était d’une taille moyenne, châtain clair, ni beau ni laid, mais en tout cas très sympa de nous dépanner ainsi.

Il nous a offert un apéro, ce qui a permis de faire plus ample connaissance, de nous débrider un peu et de nous faire, un peu, oublier nos petits soucis.
« J’ai appelé mon voisin pendant que vous étiez sous la douche, il est garagiste, il veut bien regarder demain le problème de votre voiture, il passera vous chercher vers huit heures. »

Nous avons passé une soirée agréable, il nous avait fait des pâtes à la carbo et nous sommes allés nous coucher vers vingt-trois heures trente environ.

Quand je me suis levé le matin, il était déjà debout.
Il m’a dit que si je voulais, Nathalie pouvait rester à dormir un peu, pendant que j’irais avec le mécano à ma voiture.

Quand José, le mécano, est arrivé, nous avons pris un café puis sommes partis.
Il a mis des câbles de démarrage et a essayé en vain de la faire démarrer.
« C’est plus grave que je ne le pensais. On va aller à mon garage chercher la dépanneuse et je vais regarder le problème au sec. »
Il pleuvait toujours et c’est vrai qu’essayer de dépanner une voiture sous la pluie n’était pas des plus agréables.
Son garage était à une bonne vingtaine de kilomètres.

Lorsque Nathalie s’est levée, Marc était dans la cuisine, il lui a proposé un café et des croissants qu’il était allé chercher au village avant que l’on se réveille.
Ils ont discuté tranquillement puis Nathalie lui a demandé si elle pouvait reprendre une douche.
« Mais bien sûr, sans soucis, attends, je vais te redonner tes affaires. »
Il est revenu avec dans une main, le short et le tee-shirt de Nathalie, pliés et repassés et dans l’autre son petit string rose.
« Je n’ai pas osé le repasser, j’ai eu peur de l’abîmer. » Lui a-t-il dit en lui tendant toutes ses affaires.

Après sa douche, quand elle est sortie, Marc était assis sur un tabouret de bar à lire le journal.
« Tu veux un autre café ? »
« Oui volontiers, merci. »
« Installe-toi, je te l’apporte. »
Elle s’est assise en attendant sa boisson.
Ils ont bu leur café en discutant de diverses choses, assis l’un en face de l’autre.
Il ne se cachait guère d’admirer la lourde poitrine outrageusement moulée dans le tee-shirt presque trop court.
« Tu es une très jolie fille avec de beaux atouts. »
« Heu, merci. »
Puis il reprit :
« Vous avez quand même eu de la chance que je passe par là. »
« Oui, c’est vrai, je ne sais pas comment on pourra vous remercier de nous avoir hébergés. »
« Au fait, José le garagiste m’a appelé, ils ne vont pas rentrer tout de suite, ils ont essayé de la faire démarrer, puis n’arrivant à rien ils sont partis chercher la dépanneuse pour emmener votre voiture dans son garage et essayer de cerner le problème. Je pense qu’ils en ont encore pour une bonne heure et demie avant de revenir ici. »
Puis il enchaîna avec un large sourire plein de sous-entendus :
« On va devoir passer le temps en les attendant. »
Elle avait bien compris le message et la proposition, mais ne savait quoi répondre.
La voyant embarrassée mais pas offusquée, il a pris sa main dans la sienne en lui disant :
« Tu as la peau douce, c’est agréable à toucher. »
Une de ses mains s’est posée sur sa cuisse pour la caresser.
« Hummm, tu es douce de partout. »
Nathalie se laissait faire en se disant qu’il voulait certainement la baiser et que, après tout, c’était une façon agréable de passer le temps.
« Lève-toi et approche. » Lui a-t-il dit.

Elle était maintenant debout face à lui et lui était encore assis sur le tabouret.
Ses mains se sont glissées sous le tee-shirt de ma femme pour lui ôter.
« Fais-moi voir cette énorme poitrine qui a l’air si belle. »
A peine libre, il s’est empressé de les caresser et de les embrasser avec fougue.
Ses mamelons ont aussitôt durci.
Il empoignait ses seins pour bien les lécher.
Ensuite il l’a collé contre lui pour lui prendre la bouche et y enfoncer sa langue, ses mains glissaient le long de son dos pour aller jusqu’à ses fesses qu’il palpait à travers le short.
« Retire-ça que je vois ce joli petit string rose que tu portes. »
Ses mains ont alors attrapé les deux globes fessiers séparés par ce minuscule petit morceau de tissu rose.
Il les a massés, caressés, palpés, puis a passé une main devant, dans le string, pour aller à la découverte de son intimité.
Ses doigts ont d’abord rencontré ce petit ticket de métro avant de s’immiscer plus bas vers les lèvres et le clito jusqu’à la fouiller avec son majeur et commencé à la branler.
Elle fermait les yeux, puis s’est mise à gémir sous ce doigtage en bon et due forme.
Un doigt puis deux, puis trois s’activaient maintenant dans son sexe trempé.
Elle se donnait bien à lui en avançant son bassin pour le sentir encore mieux la masturber.
« Oui c’est bonnnn, je vais venir, continue, ahhhhhhhhhh. »
« T’es une sacrée cochonne toi, tu caches bien ton jeu, en fait t’es une vraie petite salope. »
« Ouiiiiiiiiii, j’aime ça, vas-y encoreeeeeeee ouiiiiiiii salauddddddddddd ahhhhhhhhhhh. »

Après qu’elle a eu joui sur ses doigts, il les a portés à sa bouche pour les lécher et goûter à sa cyprine.

Il a déboutonné son pantalon puis a sorti sa queue toute gonflée.
« Regarde comme tu me fais bander, maintenant suce-moi. »

Il avait une belle queue, d’une taille correcte et bien raide.

Disant cela, il lui a appuyé sur les épaules, jusqu’à ce qu’elle soit accroupie à la hauteur de sa bite, puis lui a attraper les cheveux pour la diriger vers son braquemart, qu’elle a engloutie sans rechigner.
« Oh putain tu suces trop bien. »
Sa langue léchait bien le gland et la hampe bien dure qui coulissait entre ses lèvres, elle l’aspirait, le mordillait, le branlait en lui malaxant les couilles.
Il la repoussait parfois pour ne pas jouir trop vite.
« Doucement, doucement, attends, attends, va plus doucement s’il te plaît, putain t’es trop bonne. »
Elle calmait la cadence quelques secondes puis redoublait de vigueur, prenant un malin plaisir à le sentir au bord de l’explosion.
A ce petit jeu, il n’a pas tenu très longtemps, il lui a pris la tête entre ses mains pour bien la bloquer sur sa queue et lui a envoyé plusieurs grosses giclées de sperme au fond de la gorge tout en vociférant :
« Oh putain de salope, c’est bon, vas-y avale tout sale petite pute, ouiiiii avale tout mon foutre, putain, ouiiiiiiii, ahhhhhhhhhhhhhh. »
Elle a tout aspiré et avalé jusqu’à la dernière goutte en le regardant bien droit dans les yeux.

Une fois ses esprits repris, il l’a attiré contre lui en posant les mains sur ses fesses et en lui disant :
« Wha, wha, wha, on ne m’a jamais sucé aussi bien, tu es une experte. Vu comment tu es doué, je suis sûr qu’il n’y a pas que ton copain qui profite de ces faveurs. »
En guise de réponse elle a simplement souri.
Puis il a continué :
« En plus tu as une bouche que tout homme normalement constitué a envie de voir se poser sur sa queue, tu m’as fait fantasmer toute la nuit. »

Il ne débandait pas, alors il lui a dit :
« Viens, moi aussi j’ai envie de te bouffer. »
Il allait l’emmener dans sa chambre à l’étage, puis s’est ravisé :
« Allonge-toi sur le canapé. »
Le petit string rose était maintenant de trop, il a volé sur la table du salon et Marc a plongé la tête entre les cuisses de Nathalie.

Il s’est longuement attardé sur ses lèvres et son clito, la faisant jouir deux fois de suite ainsi.
Ensuite, il l’a bien fouillé profondément de sa langue et de ses doigts, ce qui lui a encore provoqué deux autres orgasmes.
« Baise-moi maintenant, j’ai envie de sentir ta queue me défoncer. »
« Tu as des capotes ? Parce que moi, ici à la maison je n’en ai pas. »
« Oui je crois que j’en ai dans mon sac à main. »
Dringgggggg.
« Allo…, oui…, ok, ça marche on vous attend. »
Une fois raccrochée, alors que Nathalie avait des capotes en mains, il lui dit :
« Ils seront là dans trente minutes, ta voiture est réparée. Vite suce-moi un peu que je te baise avant qu’ils arrivent. »
Elle a de nouveau englouti sa queue pour lui redonner vigueur.
Il lui a ensuite dit de se mettre à quatre pattes car il voulait voir son cul en la baisant.
Il la fourrait bien fort en la traitant et en lui claquant les fesses.
« T’aimes ça la bite salope, t’es une belle petite pute, oh putain t’es bonne. »
« Oui j’aime la bite, la tienne est bonne salaud, vas-y baise-moi fort. »
Il donnait de grands coups de reins, faisant jouir ma femme à plusieurs reprises.

« Tu vas devoir remercier aussi José. » Lui dit-il alors qu’il continuait à la bourrer.
« Bein non, pourquoi ?»
« Parce qu’il a réparé ta voiture et que c’est grâce à lui si je te baise en ce moment, il a pris son temps car je lui avais fait comprendre que je voulais te sauter, c’est pour cela qu’il a appelé pour prévenir de leur arrivée. »
« Salaud, tu avais prémédité. »
« Tu regrettes ? »
« Non, elle est bonne ta bite, vas-y continue, dépêche-toi. »
« Ok, alors tu vas sucer mon pote José. »
« Oui si tu veux, mais ce ne sera pas possible, on ne sera jamais seul. »
« Ne t’inquiète pas, j’ai ma petite idée. »
Il a ensuite redoublé de vigueur en la pilonnant bien fort.
Elle n’arrêtait pas de jouir pendant que lui était de plus en plus excité.
« T’es vraiment une bonne petite pute…, putain t’as un cul…, si j’avais le temps je te l’aurais défoncé…, putain t’es vraiment une petite salope qui ne pense qu’à baiser …, oh putain on voit que tu aimes la queue, salopeeeeeeeeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh putain ouiiiiiiiii c’est bonnnnnnnnnn. »
Après un ultime coup de rein puissant, il a éjaculé au fond de son ventre.

Quand nous sommes arrivés avec José, Nathalie et Marc étaient assis respectivement dans un fauteuil et dans le canapé, à boire un soda.
J’ai cru apercevoir un clin d’œil entre José et Marc.

Nous avons bu l’apéro, puis Marc a dit :
« Ça vous dit une petite bouffe tous les quatre ce midi ? »
Ne nous laissant pas le temps de répondre, il a continué :
« Je vais chercher de quoi manger. »
Puis en me regardant :
« Tu viens avec moi, on ira plus vite et je ne connais pas vos goûts. José et Nathalie vous nous préparez l’apéro, tu sais où tout se trouve mon José. »
« Ca roule, on fait ça. » A-t-il répondu.

Voilà, le tour était joué, il avait réussi à laisser ma femme et José ensemble pour au moins une demi-heure.
Avant de partir, il avait eu le temps de s’isoler quelques minutes avec lui, certainement pour lui faire comprendre qu’il allait pouvoir se vider les couilles pendant notre absence, car José est revenu avec un grand sourire.

A peine étions-nous partis avec Marc, qu’il s’est directement assis dans un fauteuil en disant à ma femme :
« Marc m’a dit que tu allais être gentille avec moi parce que j’ai réparé votre voiture. »
Petit assez bedonnant et très poilu, affalé sur le fauteuil, il avait un rictus presque sadique en lui disant cela.
Il n’était pas très appétissant et elle s’attendait au pire lorsqu’elle s’est installée entre ses cuisses pour déboutonner son pantalon et extirper sa queue, pensant trouver un mini sexe caché dans les poils avec une odeur nauséabonde de pisse ou autre.
Se disant que s’il puait trop, elle ne pourrait pas le sucer.

Il avait dégrafé sa chemise libérant son ventre recouvert d’une épaisse fourrure de poils, pendant qu’elle s’occupait de lui enlever le bas, et là, surprise, pas d’odeur désagréable, bien au contraire et un braquemart digne de ce nom proprement rasé.
Il bandait déjà et elle a pu libérer une queue bien large et assez longue.
Rassurée, elle a plongé pour engloutir sa bite et commencer à lui faire une pipe.
« Putain, il a raison mon Marco, t’es la reine de la pipe toi. Whaaaa, vas doucement, je ne veux pas cracher tout de suite. »
« Montre-moi tes seins, ils ont l’air splendides. »
Elle a ôté son tee-shirt, libérant son énorme poitrine pour le plus grand plaisir de celui qu’elle pompait avidement.
Elle l’avalait le plus loin possible et il lui remplissait bien la bouche, sa langue tournoyait autour de son gland tout en léchant sa hampe qu’elle branlait en même temps.
De son autre main, elle lui massait les couilles.

Cela faisait au moins un bon quart d’heure qu’elle s’affairait sur sa queue, quand il lui a tiré la tête en arrière en l’agrippant par les cheveux et éjaculé abondamment sur son visage et ses seins.

Elle lui a bien nettoyé la bite avant de se relever pour aller dans la salle de bain.

Quand nous sommes revenus avec Marc, l’apéro était prêt, José était toujours assis, mais rhabillé, dans le fauteuil ou il venait de se faire sucer et Nathalie était en face sur le canapé.
De nouveau un petit clin d’œil entre les deux compères.
Je commençais à me poser des questions, d’autant plus que ma femme ne laissait rien transparaître. Peut-être que je me faisais des fausses idées et que c’était un signe d’amitié entre eux.

Un whisky, puis deux, puis trois et enfin un dernier avant d’attaquer le pâté et le vin, suivi d’une belle entrecôte avec des frites surgelés, car pas le temps d’éplucher des patates, ça va plus vite en sachet, puis encore du vin, ensuite le fromage et de nouveau du vin.
Repu, nous n’avons pas pris de dessert.
Il devait être environ dix-sept heures et Marc nous a dit :
« Vu l’heure et ce qu’on a bu, vous allez tous rester à dormir ici, ce sera plus prudent. »
José était divorcé et seul, nous, personne ne nous attendait, il valait donc mieux être prudent.
Marc et José étaient bien guais, Nathalie aussi, bien qu’elle ait bu moins que nous, quant à moi j’étais joyeux mais j’avais la tête qui tournait.
Alors quand Marc a sorti le digestif, ça a été le coup de grâce.
Au bout du deuxième je me suis affalé sur le canapé sans même m’en rendre compte.
J’ai dû m’endormir vers dix-sept heures trente ou dix-huit heures et me réveiller vers vingt-trois heures trente.
J’étais allongé sur le canapé, tout habillé, seul dans la pièce.
Il m’a fallu cinq bonnes minutes pour émerger et me rendre compte qu’il y avait des bruits qui m’étaient assez familiers qui sortaient de la chambre du bas où nous avions dormi la nuit précédente.
« Vas-y ouiiiii, c’est bonnn, oh putain elle est bonne ta queue José. »


Quand je me suis endormi, ils ont repris un troisième disjo.
Pensant que j’allais me réveiller rapidement, ils ont rangé et nettoyé la vaisselle.
Régulièrement, des mains passaient sur les fesses et les seins de ma femme.
Une fois tout remis en place, Marc a demandé :
« Tu crois qu’il va dormir longtemps ? »
« Oui, au moins plusieurs heures. »
« Hummmm, intéressant ça. » Se sont exclamés les deux compères en cœur, qui sont venus directement vers elle pour la déshabiller complètement.
« Allons dans la chambre. » A dit Marc, et ils se sont dirigés vers la chambre du rez-de-chaussée.
L’alcool les avait tous désinhibés, ce qui fait qu’ils sont allés baiser tous les trois comme si c’était tout naturel.
Nathalie s’est agenouillée devant eux en baissant leur pantalon puis a pris leur queue dans chacune de ses mains pour les sucer à tour de rôle.
Ils bandaient tous les deux bien fort et elle s’en donnait à cœur joie.
« On va sur le lit, j’ai envie de la baiser, elle m’excite de trop. »
C’était José qui n’en pouvait plus.
Elle s’est alors mise à quatre pattes sur le lit, entre les cuisses de Marc qu’elle suçait pendant que José s’était placé derrière elle pour la baiser.
Au début, ils ne faisaient pas trop de bruit, puis au fur et à mesure, Nathalie a gémi de plus en plus fort et eux en ont profité pour la traiter et lui claquer les fesses, tout en la démontant.
Ils se sont relayés pour la sauter pendant plusieurs heures, la faisant jouir un grand nombre de fois, entre coupées de pause qui leur permettaient de vérifier que je dormais toujours.
Chacun d’eux a aussi éjaculé plusieurs fois dans sa bouche et dans son ventre.
La boîte de capotes qu’avait ramenée José était presque vide.


J’ai regardé par le trou de la serrure et j’ai aperçu ma femme à califourchon sur José pendant que Marc se faisait pomper le dard, il appuyait bien sur sa tête pour la bloquer sur sa queue alors que José la traitait de tout les noms pendant qu’il la besognait tout en gueulant :
« Oh putain la pute, tu va encore me faire gicler salope, vas-y donne-moi bien ta chatte sale chienne…, oh oui c’est bonnnnn…, ahhhhh…, salopeeeeeeeeeeeeeee…, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… »
Marc n’était pas loin non plus de se vider car il avait adopté le même langage que son pote.
Il tenait maintenant Nathalie par les cheveux pour lui imprimer un mouvement de va-et-vient assez rapide, puis lui a bloqué la tête en gémissant.
J’imaginais à son comportement qu’il était en train d’éjaculer dans sa bouche.
Elle a tout avalé et lui a bien nettoyé la queue.
« T’es une sacrée bonne petite pute. » Lui a-t-il dit en descendant du lit après lui avoir une dernière fois claqué les fesses.
Je suis vite retourné sur le canapé à continuer de faire semblant de dormir, un peu dégoûté de m’être réveillé si tard.
Quand ils sont tous revenus dans le salon, j’ai mis un bon quart d’heure avant d’émerger.
Un peu plus tard on est tous allés se coucher.
J’étais très excité quand on s’est mis au lit, j’ai sauté sur ma femme pour l’embrasser partout.
Sa bouche et son corps avaient le goût et l’odeur de sperme.
Je l’ai léchée et embrassée un long moment, la faisant jouir à mon tour plusieurs fois avant qu’elle ne me finisse dans sa bouche divine.

Elle les a sucés une dernière fois le lendemain matin pendant que je prenais une douche.
Ils n’ont pas mis longtemps à décharger au fond de sa gorge, presque en même temps.

Au premier feu rouge ou nous sommes arrêtés, sur le chemin du retour, Nathalie s’est penchée vers moi pour m’embrasser.
Elle avait de nouveau le goût de leur sperme dans la bouche et moi j’ai bandé une grande partie du voyage.

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